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Procedură : 2014/2258(INI)
Stadiile documentului în şedinţă
Stadii ale documentului : A8-0136/2015

Texte depuse :

A8-0136/2015

Dezbateri :

PV 19/05/2015 - 9
CRE 19/05/2015 - 9

Voturi :

PV 21/05/2015 - 7.5
Explicaţii privind voturile

Texte adoptate :

P8_TA(2015)0214

Stenograma dezbaterilor
Joi, 21 mai 2015 - Strasbourg Ediţie revizuită

8.2. Finanţarea politicii de securitate şi apărare comune (A8-0136/2015 - Eduard Kukan, Indrek Tarand)
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   Oral explanations of vote

 
  
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  Neena Gill (S&D). Madam President, I could not agree more that we need to thoroughly rethink our common security and defence policy, especially when it comes to resource management. A lot can – and should – be done to improve the efficiency and cost effectiveness of CSDP missions by looking into how Member States can pool and share resources, capabilities and assets, which would in turn allow us to have the faster, more flexible CSDP missions that are needed to underpin a strong and effective foreign policy.

Better resource management, however, crucially means that we should look into how we can be complementary to what is already being done elsewhere – such as NATO – rather than duplicating it. I do not agree that there is a need for EU tax incentives for cooperation and pooling of capabilities, given that the case for increased cooperation is strong enough by itself and does not need tax measures that might in turn reduce incentives…

(The President cut off the speaker)

 
  
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  Seán Kelly (PPE). A Uachtaráin, ar dtús ba mhaith liom a rá sna cúig bliana roimhe seo nach raibh mórán cainte againn faoi chúrsaí slándála agus cosanta. Ach de bharr na rudaí a tharla san Úcráin agus an t-ionsaí a rinne an Rúis ar an dtír sin, tá a lán tíortha tar éis teacht ar athrú aigne agus tá siad ag déanamh athbhreithniú ar an scéal. Is amhlaidh dúinne chomh maith san Aontas.

Dá bhrí sin, bhí mé sásta vótáil leis an ngrúpa ins na vótaí go léir, taobh amuigh de cheann amháin; is é sin ar mhír 3, an dara cuid den vótáil. Staonamar ar an vóta sin mar go labhraíonn sé faoi mhíleatachas soiléir agus mar gur tír neodrach í Éire b’fhearr dúinn a bheith neodrach freisin ins an vóta sin agus staonamar.

 
  
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   Written explanations of vote

 
  
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  Clara Eugenia Aguilera García (S&D), por escrito. ‒ Hemos votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒

El informe sometido a votación es un claro llamado a la expansión de las misiones militares de la Política Común de Seguridad y Defensa. El texto lamenta la poca inversión en las misiones y pide incrementos en el gasto militar. Además, plantea la posibilidad de que la Unión disponga de un presupuesto para financiar las primeras etapas de las misiones.

Por otro lado, el llamamiento al incremento y la eficiencia en el gasto no está exento de orientaciones políticas. El texto explicita que la Unión debe ser "actor genuino en la defensa en el contexto de la OTAN" y debe ser complementaria con esta. Por todo ello, he votado en contra de este informe.

 
  
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  Marie-Christine Arnautu (NI), par écrit. ‒ Ce rapport s’inscrit dans la suite logique du rapport Danjean et vise à renforcer la politique de sécurité et de défense commune en augmentant ses moyens financiers et humains. Ce rapport va plus loin que celui susvisé sur la mise en œuvre de la PSDC puisqu’il "demande que le rôle de l’Union en matière de défense dans le cadre de l’OTAN soit renforcé", c'est à dire que l’Union se substitue purement et simplement aux États membres.

Le rapport demande en sus la mutualisation des ressources, quand les dépenses resteraient à la charge des États. Puis il souligne qu’en retirant le financement individualisé pour les dépenses opérationnelles militaires ou de défense, les États membres se verront retirer, à terme, leur indépendance. Ils ne pourront plus choisir de participer ou non à des missions puisque, selon le "principe de solidarité", aucun État ne pourrait signifier son refus.

J’ai donc voté naturellement contre ce texte.

 
  
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  Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ I am opposed to the common security and defence policy in principle: the UK is a member of NATO, and this arrangement works very well for ensuring national security. The tone of this report pushes us ever closer to a fully-fledged EU army and indeed proposes tax incentives for companies cooperating with it. I therefore voted against this.

 
  
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  Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de cette délibération car je suis favorable d'une meilleure cohérence entre les instruments de politique extérieure et intérieure ainsi que de davantage de coopération et de coordination entre les États membres, en particulier en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée ainsi que dans les domaines de la cybersécurité et de l'immigration.

Il s'agit d'un premier pas vers une armée européenne...

 
  
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  Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ Chaque fois que le lancement d'une opération de PSDC est décidé, on assiste aux mêmes problèmes, les débats s'éternisent pour savoir qui va fournir quoi. Cela empêche un déploiement rapide des missions de PSDC et celles-ci sont souvent modestes car les États membres sont réticents à fournir beaucoup d'hommes et beaucoup de matériel. En fait, ces problèmes découlent essentiellement du mode de financement actuel de la PSDC. Actuellement, seul 10 % des coûts sont financés collectivement selon le mécanisme Athéna et environ 90 % des dépenses sont prises en charge par les États membres selon le principe d'imputation des dépenses à leur auteur, c'est-à-dire que l'État qui fournit du matériel et des hommes paie également la facture.

Si on veut avoir une véritable solidarité européenne et si on veut avoir une PSDC efficace, il est essentiel d'envisager un élargissement des coûts couverts par le mécanisme Athéna en y intégrant les dépenses liées au déploiement des opérations et missions PSDC.

 
  
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  Dominique Bilde (NI), par écrit. – Le rapport d'Eduard Kukan et d'Indrek Tarand sur le financement de la politique de sécurité commune ne peut en aucun cas bénéficier de mon soutien, en raison de mon opposition à la politique étrangère et de sécurité commune. Je rappelle brièvement que cette politique de mutualisation de la politique étrangère et de sécurité des États membres est inefficace, voire contreproductive, outre qu'elle porte gravement atteinte à la souveraineté desdits États.

Sur ce rapport en particulier, qui est censé assurer le financement de la PESC, mon opposition est similaire. Non seulement les États doivent conserver la maîtrise totale de leurs moyens de défense mais doivent aussi conserver l'absolue nécessité de décider de l'allocation des ressources qu'ils entendent allouer à ces mêmes moyens. Je suis scandalisée par la volonté répétée de l'Union européenne de contrôler les budgets des États membres. Les États sont souverains en cette matière comme en toutes les autres. Pour ces raisons, je vote contre ce texte.

 
  
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  Mara Bizzotto (NI), per iscritto. ‒ Mi sono astenuta rispetto al testo proposto poiché trovo la relazione troppo schiacciata sulle posizioni della NATO per quanto riguarda il finanziamento della politica comune di sicurezza e difesa. Alcuni passaggi sono condivisibili, ma altrettanti mi paiono contrastanti e poco condivisibili.

 
  
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  Malin Björk (GUE/NGL), skriftlig. ‒ Jag har röstat nej till samtliga tre betänkanden om den gemensamma försvars- och säkerhetspolitiken.

De präglas alla av ett militaristiskt tänkande, kräver kraftig upprustning och understryker kopplingen till Nato. Dessutom krävs en förstärkning av Athena-mekanismen för att finansiera EU:s militära uppdrag, och det argumenteras för att sätta in EU-stridsgrupper vid alla typer av krishantering.

EU har påståtts vara ett fredsprojekt, men det syns inte alls i de aktuella betänkandena som istället präglas av en strävan att bygga en militärmakt åt ett federalt EU.

Som en förespråkare för avspänning och fred vill jag att EU och dess medlemsländer istället betonar civila fredliga strategier för konfliktlösning. Därför har jag röstat nej till dessa tre betänkanden

 
  
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  José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šį pranešimą, kuriame aptariama būtinybė iš naujo apsvarstyti Bendros saugumo ir gynybos politikos (BSGP) misijų ir operacijų finansavimą ir geriau bei ekonomiškai efektyviau panaudoti biudžeto asignavimus, kartu užtikrinant tinkamą visų misijų operacijų, tiek civilinių, tiek karinių, demokratinę kontrolę ES institucijų lygmeniu. Europos Parlamentas teigiamai vertina konkrečias priemones ir pragmatinius sprendimus, kuriuos neseniai pateikė Komisija pagal taikomą finansinių taisyklių sistemą, siekdama sutrumpinti su BSGP civilinėmis misijomis susijusias finansines procedūras. Tačiau Parlamentas ragina Komisiją šalinti esamus sistemos trūkumus, parengti konkretų civilinių BSGP misijų finansinių taisyklių šabloną ir pritaikyti esamas gaires prie jų poreikių, kad būtų sudarytos palankesnės sąlygos greitai, lanksčiai ir veiksmingiau vykdyti misijas, tuo pat metu užtikrinant patikimą ES finansų valdymą ir tinkamą Sąjungos finansinių interesų apsaugą. Būtina parėžti, kad skaidrumas ir atskaitomybė – tai esminiai reikalavimai, siekiant užtikrinti ne tik ES vykdomų misijų demokratinę kontrolę, bet ir tinkamą jų veikimą bei patikimumą. Europos Parlamentas didelę svarbą teikia kontroliavimui, kaip įvairios BSGP misijos ir operacijos įtraukiamos į biudžetą.

 
  
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  Andrea Bocskor (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a közös biztonság- és védelempolitika finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy, mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athena mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját.

A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban, szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Biljana Borzan (S&D), napisan. Pozdravljam konkretne mjere i rješenja koje je Komisija nedavno uvela unutar postojećeg okvira financijskih pravila. Te mjere imaju za svrhu skratiti procedure u pogledu civilnih misija u okviru zajedničke sigurnosne i obrambene politike.

U okolnostima sve nestabilnije globalne situacije, ali i događaja u neposrednom susjedstvu Unije, smatram kako je potrebno jačanje zajedničke sigurnosne i obrambene politike kako bi ona postala djelotvorniji instrument politike i jamstvo sigurnosti građana EU-a.

 
  
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  Steeve Briois (NI), par écrit. ‒ Le présent rapport cherche à répondre au constat de l’absence de solidarité européenne dans le cadre des interventions militaires extérieures. Par exemple, l’intervention de l’armée française au Mali n’a pas été soutenue financièrement et matériellement par les Allemands. Pour autant, le succès des opérations aura un impact positif en matière de lutte contre le terrorisme, pour l’ensemble des États membres. C’est à cette contradiction que l’Union cherche à répondre pour dissimuler son absence de crédibilité en la matière. C’est pourquoi, au lieu de redonner aux États membres la pleine maîtrise de leur politique budgétaire en matière de défense, le rapport cherche à substituer la politique européenne de sécurité commune à la diplomatie intergouvernementale. L’objectif sera désormais d’inciter, par des dispositifs fiscaux et budgétaires, à la mutualisation des capacités militaires de chaque État membre. Pour ce faire, le rapport souligne la nécessité d’approfondir l’européanisation des politiques extérieures de l’Union en utilisant pleinement les possibilités juridiques offertes par le traité de Lisbonne.

Pour toutes ces raisons, j’ai voté contre ce texte.

 
  
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  Daniel Buda (PPE), în scris. ‒ Într-o perioadă în care ne confruntăm tot mai frecvent cu diferite amenințări din exterior, politica de securitate și apărare a Uniunii Europene impune o reevaluare în vederea întăririi capacităților de intervenție şi de răspuns în cazul crizelor. Cel mai recent exemplu, criza valului de imigranți din Mediterană, atrage atenția asupra capacității limitate şi scoate în evidență lipsa unei acțiuni coordonate din partea statelor membre. Operațiunea Triton la care participau nu mai puțin de 20 de state membre a scos la iveală deficiențele cu care se confruntă Uniunea la capitolul securitatea frontierelor externe. Pentru a face față amenințărilor teroriste, tot mai frecvente în ultima perioadă, se impun măsuri concrete pentru creșterea eficacității, vizibilității și a impactului PSAC. Trebuie avute în vedere amenințări noi precum atacurile de natură cibernetică, vulnerabilitățile frontierelor şi securizarea comunicațiilor. Întărirea capacității de planificare şi de răspuns rapid pentru desfășurarea coordonată a misiunilor se realizează prin investiții mai cuprinzătoare în apărare şi prin gestionarea mai eficientă a mijloacelor existente. De asemenea, statele membre trebuie să depună eforturi în vederea dezvoltării industriei europene de apărare prin intensificarea colaborării cercetării din domeniile civil şi militar.

 
  
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  Gianluca Buonanno (NI), per iscritto. ‒ Nel suo complesso la relazione è troppo "schiacciata" sulle posizioni della Nato e sulle deludenti capacità della Mogherini. In particolare, considerando l'ambiente di sicurezza sempre più impegnativo dentro e fuori l'Unione, caratterizzato da nuovi rischi e minacce ai quali nessuno Stato membro può far fronte da solo, si richiede un rafforzamento della politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) per renderla uno strumento strategico più efficace e garanzia per la sicurezza dei cittadini dell'UE; l'Unione deve inoltre rafforzare la sicurezza alle proprie frontiere esterne. Mi sono astenuto rispetto al testo proposto.

 
  
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  Soledad Cabezón Ruiz (S&D), por escrito. ‒ Hemos votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ Le contexte international actuel demande davantage de coopération entre les États membres dans le domaine de la défense. Cela passe également par plus de rigueur quant au financement de la politique de sécurité et de défense commune.

Le budget que les États membres accordent à la défense n'est pas assez important pour que l'Union européenne soit garante de la sécurité dans son voisinage. J'ai voté en faveur du rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune.

 
  
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  Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione sul finanziamento della politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) per deplorare la natura assai modesta degli interventi PSDC, soprattutto quelli militari, che consistono principalmente in missioni di addestramento militare di piccola entità, anziché in sostanziali contributi europei al mantenimento e al rispetto della pace.

Sono convinto che l'UE non possa permettersi di concentrarsi esclusivamente sugli strumenti del dopo-crisi o di accompagnamento dall'uscita dalla crisi, ma debba invece essere in grado di intervenire sull'intero spettro della gestione della crisi.

Invito l'Alto rappresentante e gli Stati membri a liberare il pieno potenziale del trattato di Lisbona al fine di incrementarne l'efficacia e il successo delle missioni e operazioni PSDC.

Infine ritengo necessario che il prossimo Consiglio europeo di difesa adotti misure concrete volte a rafforzare le capacità di difesa dell'Unione in modo complementare alla NATO, sostenga e consolidi l'Agenzia europea per la difesa e fornisca sostegno a una base industriale e tecnologica comune.

 
  
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  James Carver (EFDD), in writing. ‒ UKIP voted against the implementation of the Common Security and Defence Policy. The drive to ever closer union is a major concern for us and many of our constituents. We are against the centralisation of powers in Brussels and the transfer of sovereignty from the Member States to EU level. Foreign and defence policy has so far remained the prerogative of Member States, with less far reaching EU interference than in other areas. Sections of this report called for increases in, or support of, EU foreign, security and defence policy, which is something we do not support.

 
  
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  Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ Il mio voto negativo dipende da alcune questioni fondamentali: trovo che ogni aumento delle spese militari costituisca un serio pericolo per la pace e non ritengo corretto gravare con spese militari sulle tasche dei cittadini europei, già stremati dalla crisi economica. Sono infine convinto che le situazioni di crisi vadano affrontate con un approccio multilaterale e diplomatico, non militare.

 
  
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  Aymeric Chauprade (NI), par écrit. ‒ J'ai voté contre ce rapport qui n'est que la suite logique du rapport de Monsieur Danjean sur la PSDC, lequel se place dans la perspective d'un renforcement de celle-ci ainsi que de ses moyens financiers et humains.

Le rapport d'Eduard Kukan et d'Indrek Tarand acte par ailleurs la soumission d'une éventuelle défense européenne à l'OTAN, c'est-à-dire aux États-Unis.

Par ailleurs, l'idée d'une mutualisation des ressources en dotant ainsi la PSDC d'un budget propre est posée. Si, en théorie, cet effort de rationalisation budgétaire peut sembler louable puisqu'il s'agit de simplifier la structure organisationnelle autour de la PSDC, cette autonomisation représenterait un pas de plus vers une défense européenne, c'est-à-dire vers une perte de souveraineté avec la disparition des défenses nationales.

Enfin, le rapport se place en faveur de la disparition du financement individualisé des opérations militaires ou de défense, ce qui conduira, sous couvert du principe de solidarité, à retirer aux États membres leur indépendance puisqu'ils n'auront plus la possibilité de choisir à quelles missions ils participent ou non.

 
  
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  Salvatore Cicu (PPE), per iscritto. ‒ In merito al provvedimento che abbiamo esaminato sul finanziamento della politica di sicurezza e di difesa comune ritengo importanti le considerazioni che sono state esposte nel testo in merito al riconoscimento dell'importanza degli interventi PSDC ai fini del conseguimento della pace, incoraggiando comunque gli Stati membri dell'Unione europea ad assumere una posizione più determinata in materia di prevenzione dei conflitti, ricostruzione postbellica e mantenimento di una pace sostenibile nelle aree funestate da conflitti. Per questi motivi e altri esposti nel dispositivo ho ritenuto di esprimere il mio voto favorevole.

 
  
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  Carlos Coelho (PPE), por escrito. ‒ As políticas de segurança e defesa permanecem, essencialmente, competência dos Estados-Membros. Apesar de operações conjuntas e de uma necessidade crescente de maior cooperação, justificada por um mapa político que cada vez mais impõe uma ação europeia concertada, o financiamento da Política Comum de Segurança e Defesa permanece com demasiadas falhas.

Por um lado, são gastos atualmente pelo conjunto dos Estados-Membros cerca de 190 mil milhões de euros anualmente em defesa. Os resultados alcançados, porque não coordenados, são muitas vezes inferiores aos desejáveis, ou então duplicações.

Por outro lado, o financiamento das operações conjuntas da PCSD não só não estimula a participação dos Estados-Membros como carece de maior transparência, flexibilidade e eficácia.

Por tudo isto, votei favoravelmente este relatório.

 
  
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  Lara Comi (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione sul finanziamento della politica di difesa e di sicurezza comune. Ritengo, infatti, che a fronte dei tagli in bilancio per la difesa, un ripensamento delle modalità di finanziamento e delle voci di spesa nelle operazioni PSDC sia fondamentale per accrescere l'efficienza dal punto di vista dei costi.

Esprimo, inoltre, qualche perplessità di fronte alla disparità d'impegno riposto dall'UE nelle operazioni di pace e di gestione delle crisi in tutto il mondo, di cui siamo grandi finanziatori, rispetto alle missioni civili e operazioni militari PSDC, che rappresentano solo una piccola parte di tutto il finanziamento e che si limitano principalmente a missioni di addestramento militare di piccola entità.

Mi auguro, infine, che si sviluppi presto un modello specifico per le norme finanziarie capace di agevolare un più flessibile ed efficiente svolgimento delle missioni, garantendo al contempo una sana gestione delle risorse e un'adeguata tutela degli interessi finanziari dell'Unione.

 
  
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  Therese Comodini Cachia (PPE), in writing. ‒ Delegating the budget to the Civilian Operations Commander (who forms part of the European External Action Service) would remove the oversight that the Council currently has over the Common Foreign and Security Policy budget. The Council politically prioritises the use of this budget through the Political and Security Committee, and this is effected through the budgetary scrutiny and oversight mandate of Foreign Relations Counsellors. A transfer of any part of this budget line would constitute a lessening of the Council’s role. This is a fundamental point about budgetary control and scrutiny. From the other side, Malta is more in favour of an inclusive collective approach to keep the Common Security and Defence Policy a single policy without creating a two-tier European action. Regarding these issues I abstained, but on the report as a whole I voted in favour.

 
  
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  Ignazio Corrao (EFDD), per iscritto. ‒ La relazione Kukan-Tarand sul finanziamento delle missioni PSDC dell'Unione non incontra minimamente le tendenze finora espresse dal gruppo EFDD e dal M5S. Gli sforzi in termini di coordinamento, finanziamento ed efficacia delle missioni militari UE, cui invita la relazione, non considerano che la PESC e la PESD non possono concepirsi che alla luce della naturale propensione dell'Unione al soft power, alla risoluzione pacifica delle controversie ed alla lotta alle cause primarie dell'instabilità: la povertà e l'esclusione sociale.

Ho votato contro le proposte e l'impianto stesso della relazione. Non disponendo di un esercito, l'Unione europea non dovrebbe neanche valutare la possibilità di attuare una propria politica militare. Le questioni deplorate dalla relazione (la scarsità di mezzi finanziari, la carente efficienza ed efficacia delle decisioni, le difficoltà a inserire le missioni militari nel bilancio dell'Unione) semplicemente contrastano con il quadro giuridico UE, che non risulta predisposto alla decisione né all'attuazione di misure militari, soprattutto in assenza di una PESC e di una PSDC non ancora integrate e alla luce della mancanza di una reale unione politica.

 
  
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  Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. – El informe sometido a votación es un claro llamado a la expansión de las misiones militares de la Política Común de Seguridad y Defensa. El texto lamenta la poca inversión en las misiones y pide incrementos en el gasto militar. Además, plantea la posibilidad de que la Unión disponga de un presupuesto para financiar las primeras etapas de las misiones. Por otro lado, el llamamiento al incremento y la eficiencia en el gasto no está exento de orientaciones políticas. El texto explicita que la Unión debe ser "actor genuino en la defensa en el contexto de la OTAN" y debe ser complementaria con esta. Por todo ello, he votado en contra de este informe.

 
  
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  Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report with the following reservation: I am more in favour of an inclusive collection approach to keep CSDP a single policy without creating a two-tier European action.

 
  
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  Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Le présent rapport vise à exprimer les inquiétudes du Parlement européen vis-à-vis du manque de financement de la politique de sécurité et de défense commune et appelle, notamment à plus de flexibilité et de cohérence dans la mise en place de cette politique.

Considérant que si l'Europe souhaite progresser dans ce domaine stratégique et répondre aux enjeux actuels, il convient de proposer des engagements budgétaires à la hauteur de nos ambitions. De plus, il est nécessaire de renforcer la cohérence et la complémentarité de la politique de sécurité et de défense commune avec les politiques de défense nationales, en vue de réduire la duplication et le manque de transparence financière des missions et opérations.

Pour ces raisons, j'ai voté en faveur de ce rapport.

 
  
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  Rachida Dati (PPE), par écrit. – Face à la problématique des déficits publics, la mise en commun des ressources des États membres est une meilleure réponse que celle de la réduction non concertée des budgets de la défense. De plus, quand des États membres souhaitent s’engager ensemble civilement et/ou militairement, il faut qu’ils puissent mettre en œuvre des moyens de coopération étroite. Ces moyens existent dans le traité de Lisbonne. Aussi, j’appelle Federica Mogherini, vice-présidente de la Commission et haute représentante, à encourager les chefs d’État et de gouvernement à tirer pleinement parti des dispositions du traité. Grâce à un financement et un processus décisionnel flexibles, les missions et opérations dans le cadre de la politique de sécurité et de défense commune pourront être déployées rapidement et efficacement, ce qui est d’autant plus urgent aujourd’hui au regard des enjeux sécuritaires auxquels nous devons faire face en Europe.

 
  
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  Marielle de Sarnez (ALDE), par écrit. ‒ L'Union fait face à de nouveaux défis difficiles à appréhender car de natures différentes: sécuritaires comme le terrorisme mais aussi humanitaires et liés au développement comme la gestion des flux migratoires. Notre politique de défense doit être en mesure d'y répondre. Pour cela, les États membres doivent faire preuve de plus de solidarité en mettant en commun leurs ressources et en coordonnant davantage leurs politiques étrangères. Des outils permettant de débloquer des fonds plus rapidement pour les interventions doivent aussi pouvoir être mobilisés.

 
  
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  Andor Deli (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a KBVP finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athéné mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját. A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban, szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Gérard Deprez (ALDE), par écrit. ‒ J'apporte mon soutien au rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune. Le financement des missions civiles et militaires européennes doit être adapté à de nouveaux besoins, pour plus d'efficacité, plus de solidarité entre les États membres et plus d'engagements par des actes concrets et perceptibles par les citoyens.

 
  
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  Tamás Deutsch (PPE), írásban. – A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a KBVP finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athéné mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját.

A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Diane Dodds (NI), in writing. ‒ As we reflect on further attempts to make defence powers a pawn in Europe’s integrationist agenda, I would like to draw attention to positive developments toward safeguarding communities in my constituency, Northern Ireland, from terrorist and criminal threats.

Despite prolonged and self-interested efforts by nationalists and republican politicians in Northern Ireland to block the full operation of the UK National Crime Agency, I am happy to report that it has now been rolled out fully in our Province. No longer will organised crime gangs be allowed off the hook.

These new powers will provide crucial support to tackle fuel laundering, illicit trade, trafficking, other forms of organised crime and terrorist activity in our region of the United Kingdom.

This is what national security should be about – local and national agencies with tailored skills and a unique insight working together to combat threats to national security.

 
  
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  Mireille D'Ornano (NI), par écrit. ‒ J'ai voté contre le rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune. Les États doivent conserver leurs prérogatives en la matière. Pour cela, il est évident qu'ils doivent également choisir librement les budgets qu'ils souhaitent lui allouer.

Loin d'adopter ce principe, l'Union préfère miser sur une mutualisation des ressources. Ce rapport démontre pourtant l'inefficacité de l'action de l'Union. Je rappelle que les citoyens français sont particulièrement attachés à la conservation de ces politiques, garde-fous aux volontés d'un projet de défense européen. En effet, ces rapports n'ont pas la seule finalité de leur propos mais sont des étapes vers une succession de propositions toujours plus risquées.

 
  
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  Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. – Гласувах против доклада относно финансиране на общата политика за сигурност и отбрана, защото смятам че отбраната и националната сигурност са приоритет на държавите членки, а не общ приоритет на Съюза.

Във време в което сме обградени от конфликти – на югоизток Ислямска държава и назряващия конфликт между Иран и Саудитска арабия, на юг от Европа в северна Африка имаме разпаднали се държави, множество терористични групировки и бежански наплив, а на североизток – военен конфликт на територията на Украйна, ние трябва да водим по-сигурна и отговорна политика.

Смятам, че националната сигурност е приоритет на националната държава и тя сама трябва да решава колко средства и по какъв начин ще ги използва за гарантирането на националната си цялост и суверенитет. Моето мнение е, че ОПСО не трябва да препокрива функциите си с тези на НАТО.

 
  
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  Γεώργιος Επιτήδειος ( NI), γραπτώς. ‒ Η χρηματοδότηση της ΚΠΑΑ και ο μηχανισμός ΑΘΗΝΑ, είναι πολυτέλεια για την Ευρώπη της οικονομικής κρίσης. Δε μπορούν τα κράτη μέλη να συνεισφέρουν ταυτόχρονα σε δυο αμυντικούς οργανισμούς (ΕΕ - ΝΑΤΟ). Εφόσον οι διαβουλεύσεις για τη χρηματοδότηση της ΚΕΠΠΑ δεν καρποφορούν και δεν υπάρχει σταθερή ΚΠΑΑ, οποιαδήποτε πρωτοβουλία για χρηματοδότηση στρατιωτικών ή μη αποστολών αποτελεί ουτοπία.

 
  
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  Norbert Erdős (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a közös biztonság- és védelempolitika finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athéné mechanizmus és a közös biztonság- és védelempolitikai katonai műveletek reformját. A fenti célokkal egyetértek, így az Európai Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban, szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Eleonora Evi (EFDD), per iscritto. ‒ La relazione Kukan-Tarand sul finanziamento delle missioni politica di sicurezza e di difesa comune dell'Unione non rispecchia le priorità politiche del M5S. La politica estera e di sicurezza comune dovrebbe essere concepita tenendo conto del ruolo che l'Unione ha sempre avuto: una predilezione per il soft power. Occorre puntare a una soluzione pacifica delle controversie che miri soprattutto a combattere le cause dell'instabilità, piuttosto che le conseguenze, ovvero lotta alla povertà e all'esclusione sociale e promozione dei diritti umani, della democrazia e dello Stato di diritto come espresse dal TUE.

Non capisco come, non disponendo di un esercito, si possa pensare di attuare una politica militare. Si contravviene così al quadro giuridico UE, che non prevede l'attuazione di misure militari, soprattutto in presenza di una politica estera e di sicurezza comune e di una politica di sicurezza e di difesa comune che non sono ancora integrate, dato che manca una reale unione politica.

Un dato risalta: 190 miliardi di euro vengono spesi all'interno della UE nel settore della difesa. Visti i dilaganti impatti sociali dell'austerità negli Stati membri e considerando che risorse tanto ingenti potrebbero alimentare sia la ripresa europea, sia la risoluzione dell'instabilità alla radice, affrontando le emergenze sociali nei teatri di crisi, questa spesa è follia. Ho votato contro.

 
  
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  José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ Os cortes orçamentais no setor da defesa e as duplicações existentes exigem uma reformulação do financiamento das missões e operações da PCSD, que passe por uma melhor utilização, mais eficaz em termos de custos, das dotações, bem como por um controlo democrático adequado, a nível das instituições da UE, de todas as missões e operações, tanto civis como militares.

Recordo que a UE e os Estados-Membros são grandes financiadores das várias operações de paz e de gestão de crises em todo o mundo, e que as missões e operações civis e militares da PCSD representam uma parte diminuta do financiamento global, tendo, até, diminuído nos últimos anos. Segundo o relatório, as missões civis foram afetadas pela insuficiência generalizada de dotações para pagamentos, o que obrigou a Comissão a adiar o pagamento de 22 milhões de euros para 2015 como medida atenuante.

 
  
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  Jonás Fernández (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor del informe por considerar que necesitamos con premura nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo siga siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ O relatório lamenta a natureza modesta das intervenções militares da Política Comum de Segurança e Defesa (PCSD). A partir daqui, está tudo dito relativamente à visão e aos valores que o inspiram.

O relatório exige missões da PCSD mais rápidas e flexíveis, além de lamentar a pouca contribuição dos orçamentos dos Estados-Membros para a PCSD. Defende que sejam elaboradas propostas concretas sobre a reforma dos esquemas de financiamento das missões e operações da PCSD, considerando necessário adotar medidas concretas para reforçar as capacidades de defesa da UE em complementaridade com a NATO. Solicita o reforço da cooperação em matéria de defesa, a reunião e partilha de recursos, capacidades e meios, ou seja, apoia e pede um alargamento dos custos elegíveis ao abrigo do mecanismo ATHENA, alargando o seu âmbito para o financiamento de missões militares da UE.

A realidade demonstra uma UE cada vez mais belicista, envolvida em quase todos os cenários de ingerência, desestabilização e intervenção militar, atividade que necessita de financiamento, e que aqui se propõe ser aumentado.

Este relatório procura formas de contornar o próprio Tratado da UE, que prevê que o orçamento da UE não possa ser utilizado para despesas decorrentes de operações que tenham implicações no domínio militar ou da defesa.

Obviamente votámos contra.

 
  
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  Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. ‒ Udalosti, ku ktorým prišlo v tomto roku, jasne dokazujú, že Európska únia musí zapracovať na tom, aby bola schopná sa oveľa razantnejšie a rýchlejšie popasovať s čoraz väčšími výzvami na svojom území, ale aj mimo neho a reagovala tak na nové bezpečnostné riziká a hrozby. Rozpočtové škrty vo výdavkoch na obranu a existujúce zdvojenia si vyžadujú prehodnotenie financovania misií a operácií SBOP. Skromný charakter intervencií SBOP, predovšetkým vojenských, ktoré, bohužiaľ, namiesto zásadného európskeho príspevku k udržaniu a presadzovaniu mieru predstavujú väčšinou iba malé vojenské misie zamerané na výcvik. Európska únia musí byť schopná zrýchliť a zflexibilniť misie SBOP a prehĺbiť civilno-vojenskú spoluprácu.

 
  
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  Lorenzo Fontana (NI), per iscritto. ‒ Anche questa relazione non tiene conto delle differenze sostanziali dei vari Stati membri e tende all'imposizione di una linea unica per tutti i paesi.

 
  
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  Λάμπρος Φουντούλης ( NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω την έκθεση σχετικά με τη χρηματοδότηση της κοινής πολιτικής ασφάλειας και άμυνας. Η χρηματοδότηση της ΚΠΑΑ και ο μηχανισμός ΑΘΗΝΑ είναι πολυτέλεια για την Ευρώπη της οικονομικής κρίσης. Δε μπορούν τα κράτη μέλη να συνεισφέρουν ταυτόχρονα σε δυο αμυντικούς οργανισμούς (ΕΕ - ΝΑΤΟ). Εφόσον οι διαβουλεύσεις για τη χρηματοδότηση της ΚΕΠΠΑ δεν καρποφορούν και δεν υπάρχει σταθερή ΚΠΑΑ, οποιαδήποτε πρωτοβουλία για χρηματοδότηση στρατιωτικών ή μη αποστολών αποτελεί ουτοπία.

 
  
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  Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ The EU has to assume its role at global level not only from the economic and political point of view, but as well from the security point of view. That comes particularly at a moment when the level of security challenges for EU have increased and, consequently, strengthening the CSDP is more than ever a must.

A new method is necessary to be adopted as regards the financing of the CSDP missions and operations in order to increase their efficiency. The priority stays in developing a financial mechanism for the deployment of the EU civilian missions and military operations in a faster and more flexible way, while having the full logistical and financial support in order to fulfil the objectives they are entrusted with.

That is why, among others, we need to alleviate today’s very bureaucratic system of procurement. The permanent CSDP Warehouse should quickly be upgraded by enlarging its scope and by improving the availability of stored equipment, and enlarge, as well, the diversity of it.

 
  
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  Ildikó Gáll-Pelcz (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a KBVP finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy, mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athena mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját.

A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban, szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ La inestabilidad política presiona las fronteras exteriores de la Unión, tanto en el este como en el sur. Activar mecanismos de cooperación a nivel interno europeo para reducir los costes, coordinar las políticas de defensa y profundizar en la integración son caminos que es necesario que andemos juntos. Asimismo, como socios en el seno de la OTAN debemos corresponsabilizarnos en el marco de la seguridad internacional y cumplir así con los pactos que hemos adoptado. Por esta responsabilidad y la creencia de que una Europa más fuerte, más segura y mejor defendida tendrá un papel clave en la seguridad global, he votado a favor del informe.

 
  
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  Iratxe García Pérez (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo siga siendo muy baja. También lamenta que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impida que algunos de los Estados miembros puedan participar de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Eider Gardiazabal Rubial (S&D), por escrito. ‒ Ante el contexto global estoy a favor de que necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Asi mismo, este informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

También ha sido relevante en mi voto, el hecho de que hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Jens Geier (S&D), schriftlich. ‒ Die Abgeordneten der SPD im Europäischen Parlament haben heute gegen den Kukan/Tarand-Bericht gestimmt, weil wir die hier vorgeschlagenen Mechanismen zur Finanzierung der GSVP nicht mittragen wollen.

Der EU-Haushalt ist chronisch unterfinanziert. Der Rat der EU zeigt sich ablehnend, wenn es darum geht, wichtige Ziele der EU ausreichend zu finanzieren. Die Zahlungskrise der EU ist nicht gelöst. Sie gefährdet weiterhin auch die außenpolitischen Instrumente der EU, wie die humanitäre Hilfe.

Vor diesem Hintergrund können wir nicht verantworten, dem Rat der EU auch nur die anteilige Finanzierung einer Politik anzubieten, ohne dass dem europäischen Haushalt zusätzliche Mittel genehmigt werden und ohne dass die demokratische Kontrolle dieser Politik durch das EP gegeben ist.

Wir sind besorgt, dass der Kukan/Tarand-Bericht dem Rat die Möglichkeit eröffnet, Missionen der GSVP zu finanzieren, selbst wenn diese nicht die Zustimmung des Europäischen Parlaments finden.

Dieser Vorschlag vermindert also die Kontrolle des EP über den europäischen Haushalt. Dies lehnen wir ab.

 
  
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  Michela Giuffrida (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione perché l'Europa deve ripensare la sua politica di sicurezza e difesa. La nuova agenda per la migrazione ha riservato un importante paragrafo al ruolo che anche questa politica gioca nella gestione dell'immigrazione. Adesso bisogna ridisegnare i confini tra aree politiche, anzi oserei provocatoriamente dire che bisogna eliminarli.

La politica estera, la politica di cooperazione allo sviluppo e la politica d'immigrazione devono avere un disegno comune. Laddove politica di sicurezza e difesa non vuol dire armamenti, ma soprattutto missioni civili, va rafforzata anche attraverso un adeguato finanziamento.

Non si può pensare ad una politica di difesa comune senza un comune finanziamento. Che Unione è un'Unione in cui vige il principio "ognuno si fa carico delle proprie spese"?

Considerato che la politica di sicurezza e difesa c'è, è prevista dai trattati e quanto mai necessaria, tutti gli Stati devono partecipare al suo finanziamento e gli sforzi devono essere congiunti e coordinati.

 
  
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  Sylvie Goddyn (NI), par écrit. ‒ J'ai voté contre le rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune.

Ce rapport pose le constat que les États membres ne remplissent pas les objectifs d'Helsinki fixés en 1999. Ces objectifs consistaient notamment à pouvoir déployer une force terrestre européenne de 50 000 à 60 000 hommes, sur la base des moyens mis à sa disposition par chaque pays. En outre, des forces aériennes et navales devaient compléter cette force terrestre.

Ce rapport pose également le constat de la diminution, ces dernières années, du financement des missions civiles relevant de la PSCD. Cette diminution a même obligé la Commission à reporter 22 millions d'euros de paiement sur l'année 2015.

Toutefois, au regard de la politique étrangère belliqueuse et désastreuse menée par l'Union européenne en Afrique, au Proche-Orient et même sur le continent européen, en Ukraine, il faut se réjouir que les objectifs d'Helsinki ne soient pas atteints.

Avec les dirigeants actuels, donner à l'Union européenne des moyens militaires reviendrait, en quelque sorte, à laisser des enfants jouer avec des armes à feu.

 
  
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  Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de este informe que pide reforzar la PCSD para que la UE tenga un papel mucho más activo en materia de defensa. El informe lamenta asimismo el bajo presupuesto de la UE en defensa (190 mil millones de euros por año). Es cierto que el Tratado de Lisboa ha ampliado o incluso abierto nuevas posibilidades para el desarrollo de la PESC y la PESD bajo otras fórmulas, si bien la militarización de la UE ha sido uno de sus ejes principales. Nosotros creemos que la UE no se puede ser una fuerza militar sino una fuerza para la paz y para el desarrollo de los pueblos.

 
  
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  Antanas Guoga (ALDE), raštu. ‒ Balsavau už pasiūlymą dėl EP rezoliucijos dėl bendros saugumo ir gynybos politikos finansavimo, nes dėl vis sudėtingesnės saugumo padėties Sąjungoje ir už jos ribų, kuriai būdingi nauji pavojai ir grėsmės, su kuriomis nė viena valstybė narė negali susidoroti viena, reikia stiprinti bendrą saugumo ir gynybos politiką (BSGP) ir užtikrinti, kad ji būtų veiksmingesnė politikos priemonė – tikra ES piliečių saugumo ir europinių interesų bei vertybių skatinimo garantija. Todėl Europos Sąjunga turi gerinti savo išorės sienų apsaugą, iš naujo apsvarstyti BSGP misijų ir operacijų finansavimą ir geriau bei ekonomiškai efektyviau panaudoti biudžeto asignavimus, kartu užtikrinant tinkamą visų misijų operacijų, tiek civilinių, tiek karinių, demokratinę kontrolę ES institucijų lygmeniu bei užtikrinti finansavimo skaidrumą ir atskaitomybę. Per kitą Europos Vadovų Tarybos susitikimą gynybos klausimais turi būti priimtos konkrečios priemonės, padėsiančios padidinti ES gynybos pajėgumus ir jais papildyti NATO pajėgas, paremti ir įtvirtinti Europos gynybos agentūrą bei sustiprinti bendrą pramonės ir technologijų bazę.

 
  
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  Sergio Gutiérrez Prieto (S&D), por escrito. ‒ Hemos votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la Política Común de Seguridad y Defensa (PCSD).

Además, el informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Brian Hayes (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of this report as our common security and defence policy is an important principle that binds Member States together. However, we should recognise that some Member States have different positions on military policy and therefore caution should be employed when harmonising certain aspects of defence policy.

 
  
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  György Hölvényi (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a közös biztonság- és védelempolitika finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A dokumentum rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét; például a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá, rámutat a pénzügyi eszközök átláthatatlanságára a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Ezen felül kezdeményezi az Athéné mechanizmus és a közös biztonság- és védelempolitika katonai műveletek reformját. A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Pablo Iglesias (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de este informe que pide reforzar la PCSD para que la UE tenga un papel mucho más activo en materia de defensa. El informe lamenta asimismo el bajo presupuesto de la UE en defensa (190 mil millones de euros por año). Es cierto que el Tratado de Lisboa ha ampliado o incluso abierto nuevas posibilidades para el desarrollo de la PESC y la PESD bajo otras fórmulas, si bien la militarización de la UE ha sido uno de sus ejes principales. Nosotros creemos que la UE no se puede ser una fuerza militar sino una fuerza para la paz y para el desarrollo de los pueblos.

 
  
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  Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasovao sam za Izvješće o financiranju zajedničke sigurnosne i obrambene politike (ZSOP), budući da je EU okruženje u smislu sigurnosti sve složenije, te postoje novi rizici i prijetnje s kojima se ni jedna država članica ne može samostalno suočiti. Stoga je potrebno jačanje zajedničke sigurnosne i obrambene politike (ZSOP) s ciljem jačanja sigurnosti građana. Potrebna je tješnja koordinacija i suradnja u području obrane među država članicama i na razini EU-a te udruživanje i dijeljenje resursa, kapaciteta i sredstava. Pozdravljam navedene inicijative za smanjenje troškova i povećanje učinkovitosti. Potrebna je veća dosljednost i komplementarnost među raznim instrumentima kako bi se postigla ekonomija razmjera i najbolji mogući učinak potrošnje EU-a. Podržavam težnju za postizanje više razine vojno-civilne sinergije kada je to potrebno. Slažem se da su transparentnost i odgovornost ključni zahtjevi ne samo za demokratski nadzor, već i za primjereno funkcioniranje i vjerodostojnost misija koje se provode pod zastavom EU-a. Podržavam poziv Komisiji da podrži napore koje države članice ulažu u svrhu operativne provedbe odluka Europskog vijeća u pogledu poboljšanja obrambenih sposobnosti ali vodeći pritom računa o proračunskim ograničenjima s kojima se suočavaju neke države.

 
  
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  Jean-François Jalkh (NI), par écrit. ‒ Ce rapport s'inscrit dans la suite logique du rapport Danjean et vise à renforcer la politique de sécurité et de défense commune en augmentant ses moyens financiers et humains. Ce texte va plus loin que le rapport sur la mise en œuvre de la PSDC puisqu'il "demande que le rôle de l'Union en matière de défense dans le cadre de l'OTAN soit renforcé"; autrement dit, que l'Union se substitue donc aux États membres.

Le rapport demande en sus la mutualisation des ressources, quand les dépenses restent à la charge des États. Enfin, le rapport souligne qu'en retirant le financement individualisé pour les dépenses opérationnelles militaires ou de défense, les États membres se verront retirer, à terme, leur indépendance. Ils ne pourront plus choisir de participer à des missions ou non puisque, selon le "principe de solidarité", aucun État ne pourra signifier son refus. Pour toutes ces raisons, j'ai décidé de voter contre ce texte.

 
  
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  Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport de mes collègues Kukan et Tarand sur le financement de la politique de défense et de sécurité commune. Ce rapport formule plusieurs propositions concernant les économies de coûts et l'augmentation de l'efficacité, comme par exemple le manque de transparence dans le choix de compagnies privées dans la protection du personnel civil dans des zones de conflit, et demande aussi plus de cohérence et de synergie entre les militaires et les civils dans une zone de conflit afin d'optimiser au maximum des coûts.

Ce rapport a été adopté à une large majorité, ce dont je me félicite.

 
  
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  Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune (PSDC). Aucun État membre ne peut affronter seul l'instabilité sécuritaire qui se déploie aux portes de l'Union. Il est donc nécessaire de faire de la politique de sécurité et de défense commune un instrument stratégique efficace qui puisse garantir la sécurité des citoyens européens et promouvoir les intérêts et valeurs européennes.

 
  
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  Barbara Kappel (NI), schriftlich. ‒ Mehr Koordinierung und das Zusammenführen von Ressourcen innerhalb der Europäischen Verteidigungsagentur sind durchaus vernünftige Vorschläge. Das Ziel, die Kompatibilität von Militärausrüstungen und Einsatzkapazitäten der Mitgliedstaaten zu steigern, d. h. Synergieeffekte zu haben, unterstütze ich voll und ganz. Doch eine Überführung und Zentralisierung auf europäischer Ebene halte ich nicht für zielführend, da nicht mehr die Mitgliedstaaten selbst, sondern Kommission und Europäisches Parlament ein gewichtiges Mitspracherecht hätten. Deshalb enthalte ich mich meiner Stimme.

 
  
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  Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I support initiatives that could improve the efficiency and cost effectiveness of CSDP missions. The report, however, offers ideas which could interfere in what should be Member State competence.

 
  
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  Ádám Kósa (PPE), írásban. ‒ A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a KBVP finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athéné mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját. A fenti célokkal egyetértek, így a Néppárt képviselőcsoportjának álláspontjával összhangban szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Béla Kovács (NI), írásban. – Ne feledjük, hogy az Európai Unióról szóló szerződés 41. cikkének (2) bekezdésével összhangban katonai, vagy védelmi vonatkozású fellépésekből eredő kiadások nem terhelhetik az Unió költségvetését. Ezért meg kell erősíteni a pénzforrások feletti teljes parlamenti ellenőrzést, és szigorúan szét kell választani a polgári és katonai missziókat. Nem támogatható a javaslat, mert az adófizetők pénzét nem költhetjük átláthatatlan, tiltott és ellenőrizhetetlen célokra.

 
  
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  Giovanni La Via (PPE), per iscritto. – Ho accolto tale proposta, votando positivamente, in quanto l'obiettivo della relazione è quello di dar voce alle preoccupazioni del Parlamento sul deficit del sistema di finanziamento della PSDC. Nello specifico, si chiede più flessibilità e coerenza nei finanziamenti e si sottolineano alcune lacune in relazione alla poca trasparenza nelle allocazioni finanziarie riguardanti le missioni. Inoltre la relazione chiede una revisione del meccanismo "Athena", al fine di garantire che le procedure consentano all'Unione di essere più efficiente nell'impiego di missioni civili ed operazioni militari.

 
  
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  Marine Le Pen (NI), par écrit. ‒ Comme les autres députés du Front National, j'ai voté contre le rapport sur le financement de la politique de sécurité et de défense commune. Tout comme le rapport Danjean sur la mise en œuvre de cette politique, ce rapport vise à mutualiser les ressources des États membres pour conduire à la création d'une armée européenne unique. On croit rêver lorsque l'on lit le premier paragraphe du rapport notamment, qui "déplore le caractère modeste des interventions relevant de la PSDC, notamment des opérations militaires, qui constituent essentiellement des missions militaires de formation de petite ampleur au lieu d'être des contributions majeures de l'Europe au maintien et à l'imposition de la paix; est convaincu que l'Union européenne ne peut se contenter de se concentrer exclusivement sur les instruments d'après-crise ou d'accompagnement de sortie de crise, mais doit, au contraire, pouvoir intervenir sur l'ensemble du spectre de gestion de crise".

L'Union européenne, qui n'est même pas capable de contrôler ses propres frontières extérieures, a maintenant l'ambition de livrer des "contributions majeures" à l'imposition de la paix dans le monde entier. Le ridicule ne tue pas.

 
  
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  Gilles Lebreton (NI), par écrit. J'ai voté contre ce rapport car dans la logique du rapport Danjean, il veut mutualiser les ressources pour permettre la création d'une armée européenne.

 
  
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  Javi López (S&D), por escrito. El informe sobre la incidencia de la evolución del mercado europeo de la defensa en las capacidades de seguridad y defensa en Europa entra en el ámbito de competencias tanto de la Comisión JURI como de la Comisión IMCO. Se destaca la necesidad de un mercado único de la defensa a través de la reducción de procesos y trabas que evite duplicidades, que generan distorsiones en el mercado.

Uno de los elementos esenciales a favor de la independencia europea en materia de seguridad y defensa es poder contar con una industria europea en el sector altamente competitiva basada en la I+i. Sin embargo, la fragmentación de los mercados hace que la colaboración entre Estados miembros sea limitada y las investigaciones, fragmentadas. Igualmente señala la necesidad de establecer una planificación previa para la inversión estratégica en las adquisiciones y renovaciones de material entre los Estados miembros. Al igual que el conjunto de la Delegación socialista española, he considerado necesario votar a favor de su aprobación.

 
  
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  Petr Mach (EFDD), písemně. ‒ Hlasoval jsem proti tomuto usnesení, které obsahuje i bod 28, v němž je Parlament „udiven tím, že na evropské úrovni doposud neexistují mechanismy daňových pobídek ke spolupráci a vzájemnému sdílení [v rámci společné obranné a bezpečnostní politiky]“ a „domnívá se, že tato osvobození [od DPH] musí být systematická a je třeba je rozšířit na infrastrukturu a konkrétní programy zvyšování kapacit“ a „vyzývá k vypracování veškerých dalších mechanismů pobídek, které by mohly podpořit spolupráci v oblasti kapacity mezi Evropany.“ Tedy vyzývá Komisi k větší aktivitě ohledně společné obranné a bezpečnostní politiky, zřejmě s cílem vybudovat evropskou armádu, jak o tom mluví vysoká představitelka Mogheriniová.

Nesouhlasím s tím, že Evropská unie má mít vlastní bezpečnostní a obrannou politiku, natož vlastní armádu. Jakožto obranná aliance v Evropě členským státům dobře slouží NATO a není nutné ani žádoucí ho dublovat nebo mu konkurovat evropskou obrannou aliancí.

 
  
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  Ivana Maletić (PPE), napisan. ‒ Podržavam izvješće kojem je glavna svrha upozoriti na nedostatke u financiranju zajedničke sigurnosne i obrambene politike Europske unije.

Unija bi trebala igrati glavnu ulogu u međunarodnim sukobima te biti sposobna odgovoriti na sigurnosne izazove današnjice. Financije ne bi trebale predstavljati zapreku u obavljanju zadaće osiguranja mira i sigurnosti, pogotovo u državama našeg susjedstva gdje su sukobi sve češće.

Misije su bitan faktor u obavljanju ove zadaće te bi trebalo definirati i pojednostaviti procedure kako bi mogle djelovati transparentnije i učinkovitije. U tom kontekstu, potrebno je pripremati godišnju procjenu ukupnih troškova sigurnosnih i obrambenih politika država članica, osnovati zajednički centar za upravljanje resursima i opremom, poticati bolju suradnju među državama članicama i provoditi nadzor upravljanja proračunima za misije te javnim nabavama.

Druga aktivnost su vojne operacije koje države članice ne financiraju iz proračuna Europske unije nego iz mehanizma Athena. Problem je što je i dalje nizak postotak sudjelovanja mehanizma u financiranju vojnih operacija te tako demotivira države članice da sudjeluju u operacijama sprječavanja sukoba i osiguranja mira.

Izvješće sa zabrinutošću utvrđuje da države članice nisu ostvarile ciljeve vezane za sigurnosne i obrambene politike postavljene 1999. u Helsinkiju unatoč tome što je zajednički godišnji proračunu za obranu otprilike 190 milijardi eura.

 
  
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  Andrejs Mamikins (S&D), rakstiski. ‒ Es nevarēju atbalstīt šo ziņojumu, jo ES dzīvo vairāki miljoni nabadzīgu cilvēku. Nabadzība ir mūsu ienaidnieks, nevis kaut kāds militārais drauds. Tērēt papildu milzīgu naudu militārām aktivitātēm ES ir nepieļaujami, kad katrs trešais jaunietis ES ir bezdarbnieks!

 
  
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  Vladimír Maňka (S&D), písomne. – Efektívna a účinná spoločná bezpečnostná a obranná politika si vyžaduje jasné, jednoznačné, zrozumiteľné a transparentné podmienky jej financovania a koordináciu postupov Európskej únie a jej členských štátov. Rovnaké požiadavky musia byť kladené aj na kontrolu financovania spoločnej bezpečnostnej a obrannej politiky. Európska únia musí byť schopná zabezpečiť ochranu svojich území a bezpečnosť svojho obyvateľstva.

 
  
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  Νότης Μαριάς ( ECR), γραπτώς. ‒ Καταψήφισα την έκθεση σχετικά με τη χρηματοδότηση της κοινής πολιτικής ασφάλειας και άμυνας, διότι προάγει την εικόνα και τη συνακόλουθη δράση μιας μιλιταριστικής Ευρωπαϊκής Ένωσης που επιδιώκει την ολοένα και μεγαλύτερη συμμετοχή της αλλά και των κρατών μελών της σε στρατιωτικές και μη επιχειρήσεις της ΕΕ με παράλληλη χρηματοδότηση από τους εθνικούς προϋπολογισμούς.

 
  
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  Dominique Martin (NI), par écrit. ‒ Nous avons voté contre ce rapport. L'objectif de ce rapport est de renforcer la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) en mutualisant ses ressources humaines et financières. Sur le papier, cela semble positif puisque la PSDC disposerait ainsi d'un budget et de ressources propres. En réalité, il s'agit de retirer le financement individualisé des États membres et donc leur indépendance puisqu'ils n'auront plus la possibilité de choisir à quelles missions ils souhaitent participer. Nous sommes contre cette idée.

 
  
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  Marisa Matias (GUE/NGL), por escrito. ‒ Votei contra porque este relatório defende o reforço da Política Comum de Segurança e Defesa e lamenta que o orçamento europeu para a defesa, atualmente de 190 milhões de euros/ano, seja baixo, com o qual estou em desacordo total. O projeto europeu nasceu da ideia de paz e foi construído para garantir essa ideia de paz e desenvolvimento dos povos, não para ser mais uma potência militar.

 
  
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  David Martin (S&D), in writing. ‒ I abstained on this resolution because I believed it moved into areas that should be Member States’ competence.

 
  
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  Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ Le rapport regrette le caractère modeste des interventions militaires dans le cadre de la politique de sécurité et de défense commune (PSDC), appelle à une mise en place des missions plus rapide et flexible et préconise la coopération civilo-militaire en matière de recherche. Il demande également une participation systématique de tous les États au mécanisme financier dit "Athena", qui assure le financement des coûts communs des opérations militaires des États membres (sauf le Danemark) mais également la recherche sur les armes nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques.

Enfin, il plaide pour une coopération plus étroite avec l'OTAN quand le rapport de M. Danjean pousse au contraire à une plus grande autonomisation. Je n'ai pas à choisir entre la peste et le choléra, entre l'armée belliciste de l'OTAN ou sa reproduction au niveau européen pour aller intervenir en Ukraine et semer le trouble à nos frontières ou ailleurs. Je votre contre ce rapport comme celui du député UMP, et je dénonce l'irresponsabilité des Verts d'avoir laissé un rapporteur balte des plus bellicistes prendre en charge ce dossier.

 
  
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  Joëlle Mélin (NI), par écrit. ‒ Ce rapport s'inscrit dans la suite logique du rapport Danjean et vise à renforcer la politique de sécurité et de défense commune en augmentant ses moyens financiers et humains. Ce texte va plus loin que le rapport sur la mise en œuvre de la PSDC puisqu'il "demande que le rôle de l'Union en matière de défense dans le cadre de l'OTAN soit renforcé"; autrement dit, que l'Union se substitue donc aux États membres.

Le rapport demande en sus la mutualisation des ressources, quand les dépenses restent à la charge des États. Enfin, le rapport souligne qu'en retirant le financement individualisé pour les dépenses opérationnelles militaires ou de défense, les États membres se verront retirer, à terme, leur indépendance. Ils ne pourront plus choisir de participer à des missions ou non puisque, selon le "principe de solidarité", aucun État ne pourra signifier son refus. Pour toutes ces raisons, j'ai voté contre.

 
  
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  Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ Os desafios crescentes do clima de segurança dentro e fora da União, caracterizado por novos riscos e ameaças que nenhum Estado-Membro está em condições de enfrentar isoladamente, requerem um reforço da PCSD no sentido de a tornar um instrumento político mais eficaz e uma garantia efetiva da segurança dos cidadãos da UE e da promoção dos interesses e valores europeus. A União deve reforçar a segurança nas suas fronteiras externas.

Os cortes orçamentais no setor da defesa e as duplicações existentes exigem uma reformulação do financiamento das missões e operações da PCSD, que passe por uma melhor utilização, mais eficaz em termos de custos, das dotações, bem como por um controlo democrático adequado, a nível das instituições da UE, de todas as missões e operações, tanto civis como militares.

É necessário fazermos todos um esforço financeiro no sentido de continuarmos a reforçar a nossa PCSD. Daí o meu voto favorável.

 
  
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  Roberta Metsola (PPE), in writing. I chose to support this report as it highlights the need for increased democratic scrutiny over the way that the budget for different Common Security and Defence Policy missions and operations is allocated. It is important that the European Parliament be involved in these decisions to increase the transparency and accountability of these missions.

 
  
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  Louis Michel (ALDE), par écrit. – L'Europe doit faire face à de nombreux défis pour sa sécurité, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'Union. Dans une période où les restrictions budgétaires touchent également le domaine de la défense, il est nécessaire de répondre à ces défis d'une manière coordonnée afin d'utiliser de manière optimale les ressources financières disponibles. Cette optimisation ne pourra se faire qu'à l'aide d'un dialogue croissant et d'une coordination poussée entre tous les acteurs concernés.

En matière de défense, la solution pour l'avenir est "plus d'Europe". Si les États membres agissaient de manière plus intégrée, leur budget collectif, qui se chiffre actuellement à 190 milliards d'euros, diminuerait considérablement. Selon l'étude du Parlement européen sur le coût de la non-Europe 2014-2019, le gain d'efficacité potentiel d'une meilleure coordination au niveau européen en matière de sécurité et de défense pourrait atteindre les 26 milliards par an.

 
  
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  Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ With the level of instability at EU borders, the EU should take responsibility for security and defence by using the Common Security and Defence Policy tools more effectively so as to counter terrorism, fight organised crime, strengthen cyber-defence and cope with migration. The funding of EU civilian missions and military operations must be adapted to new needs, and the CSDP needs proper funding. Therefore, I voted in favour of the final resolution by Eduard Kukan (EPP, SK) and Indrek Tarand (Greens/EFA, ET), even though I do not support some of the paragraphs in the text, and in particular the one on budgetary control and scrutiny, regarding the CFSP.

 
  
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  Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ A Política Comum de Segurança e Defesa é um dos pilares da Política Externa da União Europeia. Dentro deste âmbito estão inseridas as Missões Civis e as Operações Militares que têm como principal objetivo a prevenção de conflitos e a gestão dos mesmos. Desde 2003, a União já lançou mais de 30 missões.

Apesar das medidas introduzidas pela Comissão Europeia subsistem problemas que afetam diretamente a eficácia destas operações. A constante redução nos orçamentos militares dos Estados-Membros leva a atrasos no fornecimento de equipamentos e serviços essenciais. Por outro lado, a lentidão no processo de tomada de decisão no Conselho põe em causa a segurança e os objetivos da Política Comum de Segurança.

Apoio este relatório porque acredito que deve haver maior transparência e responsabilização, mas também mais coerência e complementaridade entre a União e os Estados-Membros. Acredito que o princípio da solidariedade deve ser aplicado e que todos os Estados-Membros devem suportar estas missões mesmo quando não participem diretamente. Deve ser assim estabelecido um financiamento a longo prazo das missões militares e civis.

 
  
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  Sophie Montel (NI), par écrit. – Ce rapport s'émeut de la faible mutualisation et solidarité des pays de l'UE en matière de défense.

Mais le caractère modeste des opérations militaires relevant de la politique de sécurité et de défense commune n'est que le reflet des profondes divergences d'intérêts qui existent entre les différents États membres. L'idée d'une armée européenne fédéralisée est donc un songe que seuls les esprits européistes peuvent croire prémonitoire. Les divisions sur la guerre en Irak ou même sur l'intervention en Libye en témoignent.

En outre, cette mutualisation est motivée par les coupes dans les budgets de défense nationale: c'est à se demander si Bruxelles n'impose pas l'austérité pour promouvoir l'armée européenne et satisfaire ainsi l'attitude du belliqueux M. Juncker, dont les idées n'ont pas décongelé depuis la fin de la guerre froide.

Il est par ailleurs scandaleux que ce rapport propose de financer les interventions militaires sur le budget de l'UE alors que ceci est clairement prohibé par l'article 41, paragraphe 2, du traité sur l'Union eruopéenne.

Face à ces lubies, il faut d'urgence ramener la part du budget de la défense de la France à 2 % du PIB et favoriser plutôt les coopérations bilatérales ciblées et temporaires. J'ai donc voté contre.

 
  
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  Claude Moraes (S&D), in writing. ‒ We need to provide a renewed focus on where the common security and defence policy (CSDP) can best contribute to global security, by using a comprehensive approach to tackling conflict and by complementing NATO, which is the cornerstone of European defence. We support initiatives that could improve the efficiency and cost-effectiveness of CSDP actions. However, we do not agree with proposals asking for an increase in common funding for military actions, duplicating of the work of NATO, or interfering in what should be Member State or industry-driven activity. I therefore voted against it.

 
  
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  Nadine Morano (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de cette résolution relative au financement de la politique de sécurité et de défense commune européenne. Ce texte insiste sur la nécessité pour l'Union de s'adapter de toute urgence aux nouveaux défis sécuritaires qui sont apparus à ses frontières et dans son voisinage immédiat. Les mesures contenues dans la résolution proposent notamment la mise en place de procédures financières permanentes pour la coopération entre la Commission, le SEAE, l'Agence européenne de défense, l'Agence spatiale européenne et les États membres. L'objectif est de faire en sorte que l'Union devienne un acteur décisif et soudé face à chacune de ces menaces.

 
  
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  Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ Accogliamo positivamente questa relazione, resasi necessaria visto che l'ambiente di sicurezza sempre più impegnativo per l'Unione, caratterizzato da nuovi rischi e minacce ai quali nessuno Stato membro può far fronte da solo, richiede un rafforzamento della politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) per renderla uno strumento strategico più efficace e una garanzia di sicurezza dei cittadini dell'UE e promozione degli interessi e dei valori europei.

Sottolineiamo, inoltre, che la dotazione finanziaria annuale rimane troppo ridotta per rispondere a tutte le mansioni di pianificazione, condotta e supporto, soprattutto nel momento in cui siano lanciate quasi contemporaneamente più missioni, ma che allo stesso tempo è fondamentale considerare quali e quanti sarebbero i potenziali risparmi per l'UE e per i singoli bilanci nazionali che deriverebbero dalla promozione di sinergie a livello di Unione nel settore militare, anche per quanto riguarda il trasporto, la formazione e l'assistenza medica. Il trattato di Lisbona, infatti, predispone per l'UE nuove disposizioni in materia di PSDC, che sono ancora inesplorate. Il Consiglio potrebbe, dunque, far ricorso all'articolo 44 TUE, che consente a un gruppo di Stati membri di procedere con l'attuazione di una missione PSDC in modo da sviluppare un processo decisionale più rapido.

 
  
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  Victor Negrescu (S&D), in writing. – The idea of a common defence policy for Europe dates back to 1948 when the UK, France, and the Benelux signed the Treaty of Brussels. CSDP was on the agenda of the December 2013 European Council meeting when the heads of states discussed how to enhance defence capabilities, strengthen the defence industry and improve the effectiveness, visibility and impact of the CSDP. Now, this report will bring new concrete measures, pragmatic solutions, cost savings/efficiency-increasing initiatives, transparency and accountability. As shadow rapporteur, I have voted for this report calling for a strengthened cooperation mechanism between Member States.

 
  
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  Liadh Ní Riada (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted against this report on the impact of developments in European defence markets on security and defence capabilities in Europe.

The report advocates a need to develop a European market for defence equipment and services. While at times it attempts to justify this by referring to Member State and EU security it is clear its concern is for the European military industry itself. The report states that, ‘the EU 28 Member States are still the world’s number two when it comes to both defence spending and arms exports; believes that this fact shows that the EU Member States and the Union still play a key role in global arms sales and defence procurement.’

The report also calls for EU funding opportunities for defence related projects which I oppose.

We have seen the terrible effects of the military industrial complex elsewhere, and its role in perpetuating conflict. I am opposed to the militarisation of the EU and the use of Irish or EU taxpayers’ money for the EU military industry.

 
  
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  Norica Nicolai (ALDE), in writing. I voted in favour of this very important budgetary text due to the need we have in the European Union for Member States to start listening to the recommendations found within. We have, collectively, one of the worldʼs largest defence expenditure budgets, yet individually our Member States are badly underfinanced in terms of the Helsinki Headline Goals. We have significant potential and we are wasting it by refusing to cooperate, by having joint programmes only in the least sensitive areas and by allowing nationalistic, limited mindsets to prevail in our defence ministries. The European Union needs to start planning and spending money in a comprehensively complementary way. We need to stop duplication or even investing in obsolete capacities and to start using our financial resources, which are quite ample if we look at the total figure, in a realistic way.

 
  
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  Franz Obermayr (NI), schriftlich. ‒ Grundsätzlich ist ein dauerhaftes Verfahren der Finanzierung sowie eine gemeinsame Marktforschung, Industrieforschung, Raumfahrtforschung und entwicklungspolitische Strategien wichtig und sinnvoll. Doch auf der anderen Seite bewirken sie eine Aufblähung des EU-Apparates und des Budgets. Aus diesem Grund habe ich mich bei diesem Punkt enthalten.

 
  
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  Maite Pagazaurtundúa Ruiz (ALDE), por escrito. ‒ La financiación de la acción exterior de la UE es capital para cumplir con los objetivos de la UE. Es por ello que lamentamos la tendencia a la baja de los presupuestos de defensa de los últimos años como consecuencia de la crisis financiera. Bien es verdad que debemos controlar que los presupuestos y los gastos han de ser eficientes; presionamos por tanto a la Alta Representante para ejercer liderazgo en la acción exterior de la UE y para fomentar el debate sobre las medidas concretas de financiación y modulación del gasto.

 
  
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  Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Considerando che l'ambiente di sicurezza mostra sfide sempre più impegnative dentro e fuori l'Unione, essendo caratterizzato da nuovi rischi e minacce ai quali nessuno Stato membro può far fronte da solo, si richiede un rafforzamento della politica di sicurezza e di difesa comune (PSDC) per renderla uno strumento strategico più efficace e un'autentica garanzia di sicurezza dei cittadini dell'Unione europea e promozione degli interessi e dei valori europei.

Considerando che l'Unione deve rafforzare la sicurezza alle proprie frontiere esterne, che si prevede comunque un controllo democratico adeguato a livello di istituzioni dell'Unione su tutte le missioni e le operazioni, siano esse civili o militari, ho espresso il mio voto favorevole.

 
  
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  Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Podržala sam izvješće o financiranju zajedničke sigurnosne i obrambene politike zbog važnosti ove teme u današnjem okruženju Europske unije. Glavna svrha izvješća je navesti zabrinutost Europskog parlamenta prije sastanka Europskog vijeća u lipnju i upozoriti na nedostatke financiranja sustava Zajedničke sigurnosne i obrambene politike. Godišnje zajedničko financiranje svih država članica je oko 190 milijardi eura, s tim da je to i dalje nedostatno za ispunjavanje zadatka osiguratelja sigurnosti u svom okruženju.

Izvješće poziva na fleksibilnije i koherentnije financiranje, navodi glavne identificirane probleme kao što su duplikacije, nedostatak transparentnosti, nedostatak fleksibilnosti u pravilima i mehanizmima, nedostatak transparentnosti u financijskim alokacijama vezanim uz misije i operacije. Izvješće naglašava potrebu uštede sredstava i inicijativa koje povećavaju efikasnost, koherentnost i komplementarnost, transparentnost i odgovornost.

Poziva na reformu Atenskih mehanizama, financiranja vojnih operacija zajedničke i sigurnosne i obrambene politike, prema linijama povećanja kataloga zajedničkih troškova koja trenutno ostaje vrlo nisko i nije poticaj zemljama članicama da doprinose.

 
  
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  Florian Philippot (NI), par écrit. ‒ Il est parfaitement logique que ceux qui prônent une politique de défense commune veuillent mettre en place les moyens de la financer. Il est tout aussi logique que ceux qui s'opposent à une telle trahison de la souveraineté des peuples refusent avec énergie de financer sa mise en œuvre. C'est donc en pleine cohérence avec mon vote précédent que je vote également contre ce texte.

 
  
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  Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ Podržavam izvješće kolega Kukana i Taranda o financiranju zajedničke sigurnosne i obrambene politike. EU i države članice najveći su ulagači u financiranje raznih mirovnih operacija i operacija upravljanja krizama diljem svijeta te da civilne i vojne misije i operacije u okviru ZSOP-a predstavljaju tek vrlo mali dio ukupnog financiranja. Važnost tih intervencija u okviru ZSOP-a u pogledu postizanja mira je iznimna zbog čega bi države članice trebale zauzeti jasniji stav prema sprječavanju sukoba, obnovi nakon sukoba i očuvanju održivog mira u zonama u kojima vladaju sukobi.

Priroda intervencija u okviru ZSOP-a ostaje vrlo skromna, posebno onih vojnih, koje su uglavnom misije vojnog osposobljavanja malog obujma, a ne znatan europski doprinos čuvanju i provođenju mira. Nedavne krize duž 15 000 kilometara europskih granica najbolji su pokazatelj i poziv da to promijenimo, na što poziva i ovo izvješće te ga zbog toga podržavam.

 
  
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  Andrej Plenković (PPE), napisan. U europskom sigurnosnom okruženju identificiraju se mnogobrojni problem i izazovi, granice između vanjske i unutarnje sigurnosti su sve manje vidljive. EU ima jasan interes za preuzimanjem strateških odgovornosti europske sigurnosti i rješavanjem sigurnosnih problema van kontinenta, stoga jačanje uloge u kontekstu sporazuma Berlin Plus mora biti snažnije.

Podržavam ovo izvješće, ali izražavam zabrinutost da unatoč zajedničkom godišnjem proračunu za obranu od oko 190 milijardi eura ne uspijevamo ostvariti glavne ciljeve iz Helsinkija. Ne možemo dopustiti da još uvijek govorimo o propuštenim prilikama. Dobro financijsko upravljanje resursima, fleksibilnije i učinkovitije provođenje misija su conditio sine qua non. Potrebno je ispitati određene financijske aspekte vojnih misija i operacija, mehanizam Athena je korišten za 5 vojnih operacija, udio zajedničkih troškova je samo 10 %. Lisabonskim ugovorom je predviđena provedba zadaća od strane skupine država što je neiskorišteno. Potrebna je vojno-civilna sinergija koja će ubrzati postupak odlučivanja i omogućiti bržu reakciju i veću učinkovitost.

Pozdravljam poziv povezivanja dionika unutarnje sigurnosti s dionicima vanjske obrane u pogledu konsolidacije financijskih pravila te ostalih oblika suradnje. Visoka predstavnica treba preuzeti vodstvo u ZSOP-u s ciljem bolje koordinacije i kvalitetnije suradnje. Višestruki izvori financiranja trebaju prerasti iz problema u prednost jer moramo govoriti o uspješnoj provedbi, a ne o neiskorištenom potencijalu.

 
  
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  Salvatore Domenico Pogliese (PPE), per iscritto. ‒ Le recenti minacce che l'UE subisce quasi quotidianamente richiedono un rafforzamento della politica di sicurezza e di difesa comune per far sì che diventi un vero strumento di protezione e di garanzia per i cittadini dell'UE e per porre in essere azioni che nessuno Stato membro potrebbe permettersi con i suoi soli mezzi.

Sono d'accordo con quanto si dice nella relazione, cui ho dato il mio voto positivo: bisogna che in tutte le operazioni e le missioni della PSDC, siano esse civili oppure militari, ci sia un utilizzo migliore e più efficiente delle dotazioni finanziarie, soprattutto a seguito dei tagli di bilancio alla spesa per la difesa. Deve sempre esserci una cooperazione strutturata per quanto riguarda le missioni e operazioni della PSDC, con una trasparenza totale sulla spesa affinché non venga offuscata la credibilità delle azioni prese. Spetterà al PE sorvegliare su come sono iscritte a bilancio le varie operazioni e missioni della PSDC.

 
  
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  Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ La sécurité, à la fois intérieure et extérieure, de l'Union est aujourd'hui une question d'importance cruciale. Les menaces se multiplient, et l'Union doit être en mesure de défendre son territoire et de protéger ses citoyens.

Dans cette perspective, j'ai voté en faveur de la résolution relative au financement de la politique de sécurité et de défense commune. Je souligne l'importance de favoriser des mesures concrètes et des solutions pragmatiques permettant ainsi à l'Union d'avoir un véritable impact.

 
  
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  Frédérique Ries (ALDE), par écrit. ‒ Nous constatons avec inquiétude que les États européens dépensent toujours moins en matière de défense et ce malgré la nécessité d'augmenter leurs investissements pour répondre dûment aux nouvelles menaces. Et au sein de ces budgets réduits, les missions relevant de la politique de sécurité et de défense commune ne représentent qu'une part minime.

Les instruments législatifs dont nous disposons ne sont en outre pas suffisants pour nous permettre d'utiliser de façon efficace et rentable ces ressources limitées. Ce sont malheureusement les contribuables européens qui payent la note finale de cette gestion incohérente.

La crise économique est souvent invoquée comme raison pour justifier ces financements insuffisants. Nous devrions cependant voir la crise comme un catalyseur de la défense européenne, étant donné les économies potentielles qui découleraient d'une coopération approfondie entre les États membres. Dans le scénario d'un système européen de défense complètement intégré, le budget total s'élèverait à 62,9 milliards d'euros au lieu des 193 milliards d'euros actuellement dépensés par les 28 États. Une économie d'échelle pour une capacité d'intervention améliorée, voilà pourtant comment l'Union européenne pourrait avoir plus d'influence sur la scène internationale.

 
  
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  Liliana Rodrigues (S&D), por escrito. ‒ A discussão do relatório sobre o financiamento da Política Comum de Segurança e Defesa é uma oportunidade para recuperar algumas disposições do Tratado de Lisboa que ainda não foram exploradas. Estou ciente de que é necessário reforçar as capacidades de defesa da União Europeia, mas é necessário ter também em consideração as restrições orçamentais com que alguns Estados-Membros se veem confrontados. Sabemos que a União Europeia e os Estados-Membros devem assumir-se como agentes de paz. Porém, penso que a União Europeia não pode deixar de estar na linha da frente na resolução de problemas mundiais, permanecendo atenta às transformações culturais, sociais e políticas que estão a acontecer no mundo e que dizem respeito a todos nós.

 
  
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  Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ Hemos votado a favor del informe por considerar que ante el contexto global necesitamos más que nunca una cooperación en materia de defensa más integrada, en la que se compartan recursos y capacidades.

Así mismo, el informe solicita que el mecanismo ATHENA sea dotado de mayor presupuesto y lamenta que la proporción real de los costes comunes que cubre dicho mecanismo sigue siendo muy baja y que la elevada proporción de gastos y responsabilidades por operaciones militares a cargo del nivel nacional impide que algunos de los Estados miembros participen de manera activa en operaciones de la PCSD.

El informe hace un llamamiento para que las misiones y operaciones de la PCSD sean más flexibles y puedan ser puestas en marcha con mayor celeridad, y resalta la importancia de una mayor cooperación entre las operaciones militares y las misiones civiles.

 
  
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  Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport car les multiples coupes dans le budget de la défense imposent de repenser son financement. En effet, il faut bien constater qu'en dépit d'un budget annuel combiné pour la défense européenne d'environ 190 milliards d'euros, les États membres ne sont toujours pas en mesure d'atteindre les objectifs fixés à Helsinki en 1999 (autrement dit, déployer, en soixante jours et sur une durée au moins égale à un an, une force de réaction rapide, si besoin, de l'importance d'un corps d'armée, soit au total pour la composante terrestre de l'ordre de 50 000 à 60 000 hommes, sur la base des moyens mis à sa disposition par chaque pays).

Je souhaite que le Conseil européen de juin qui sera consacré à cette thématique soit l'occasion de mener un débat approfondi et de formuler des propositions concrètes en vue d'une réforme des modalités financières des missions et opérations relevant de la PSDC. Il faudra en outre que des mesures concrètes soient adoptées pour renforcer les capacités de défense de l'UE en complémentarité avec l'OTAN, que l'Agence européenne de défense soit davantage consolidée et une base industrielle et technologique commune davantage soutenue.

 
  
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  Massimiliano Salini (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione sul finanziamento della politica di sicurezza e difesa comune, che dà voce alle preoccupazioni del Parlamento alla vigilia del Consiglio europeo di giugno circa il deficit del sistema di finanziamento della PSDC. Si chiede con essa più flessibilità e coerenza nei finanziamenti e si individua nella mancanza di trasparenza nelle allocazioni finanziarie riguardanti le missioni e le operazioni uno dei problemi principali. Condivido inoltre la richiesta di una revisione del meccanismo Athena al fine di garantire che le procedure e le norme consentano all'Unione di essere più flessibile ed efficiente nell'impiego di missioni civili e operazioni militari dell'UE.

 
  
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  Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. – Hemos votado en contra de este informe que pide reforzar la PCSD para que la UE tenga un papel mucho más activo en materia de defensa. El informe lamenta asimismo el bajo presupuesto de la UE en defensa (190 mil millones de euros por año). Es cierto que el Tratado de Lisboa ha ampliado o incluso abierto nuevas posibilidades para el desarrollo de la PESC y la PESD bajo otras fórmulas, si bien la militarización de la UE ha sido uno de sus ejes principales. Nosotros creemos que la UE no se puede ser una fuerza militar sino una fuerza para la paz y para el desarrollo de los pueblos.

 
  
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  Alfred Sant (S&D), in writing. ‒ I wish to explain that I abstained on the final vote of this report due to the following: where in this text, security cooperation and joint action by the EU as a whole, in collaboration or in tandem with NATO, is contemplated and endorsed, I am not in agreement, for so long as it is clear that such references do not include or cover neutral states that are members of the EU, unless these autonomously decide to be so associated, and this not least with particular reference to Malta, which as a neutral country, is specifically barred by its Constitution from participating in the programmes of a military alliance.

 
  
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  György Schöpflin (PPE), írásban. A jelentés célja, hogy kifejezésre juttassa az Európai Parlament azzal kapcsolatos aggodalmait, hogy a KBVP finanszírozásának esetében visszaesés történt a rendelkezésre álló források mértékében. A jelentés egy rugalmasabb, koherensebb finanszírozási rendszer kidolgozását sürgeti. Emellett kijelöli a megoldandó problémák körét, úgy mint a duplikációt, az átláthatóság hiányát, a rugalmasság hiányát a különböző eljárási szabályok és mechanizmusok területén. Továbbá a pénzügyi eszközök átláthatatlanságát a missziók és műveletek esetében. A jelentés kiemeli a költséghatékonyság és hatékonyságnövelés célját. Kezdeményezi továbbá az Athéné mechanizmus és a KBVP katonai műveletek reformját.

 
  
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  Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ El informe sometido a votación es un claro llamado a la expansión de las misiones militares de la Política Común de Seguridad y Defensa. El texto lamenta la poca inversión en las misiones y pide incrementos en el gasto militar. Además, plantea la posibilidad de que la Unión disponga de un presupuesto para financiar las primeras etapas de las misiones.

Por otro lado, el llamamiento al incremento y la eficiencia en el gasto no está exento de orientaciones políticas. El texto explicita que la Unión debe ser "actor genuino en la defensa en el contexto de la OTAN" y debe ser complementaria con esta. Por todo ello, he votado en contra de este informe.

 
  
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  Siôn Simon (S&D), in writing. ‒ We need to provide a renewed focus on where the CSDP can best contribute to global security, by using a comprehensive approach to tackling conflict and by complementing NATO, which is the cornerstone of European defence. We support initiatives that could improve the efficiency and cost effectiveness of CSDP actions. However, we do not agree with proposals asking for an increase of common funding for military actions, duplicating of the work of NATO, or interfering in what should be Member State or industry—driven activity. We therefore voted against.

 
  
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  Branislav Škripek (ECR), písomne. ‒ Hlasoval som proti správe. Neverím, že nastavanie financovania, ktorá správa prezentuje, je pre EÚ prínosné.

 
  
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  Monika Smolková (S&D), písomne. ‒ Európska únia a členské štáty patria k významným financovateľom rôznych mierových operácií a operácií krízového riadenia na celom svete. Civilné a vojenské misie a operácie spoločnej bezpečnostnej a obrannej politiky predstavujú veľmi malú časť všetkých financií, význam spoločnej a obrannej politiky na dosiahnutí mieru je výrazný. Keďže rozpočtové prostriedky EÚ pre SZBP sú nedostatočné na jej financovanie, musí Európska rada pre obranu a bezpečnosť na nasledujúcom zasadnutí sformulovať konkrétne návrhy na reformy financovania misií a operácií spoločnej bezpečnostnej a obrannej politiky tak, aby boli efektívnejšie a úspešnejšie. Na druhej strane členské štáty si musia plniť prijaté záväzky na podporu a upevnenie európskej obrannej agentúry a na podporu spoločnej priemyselnej a technologickej základne.

 
  
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  Ivan Štefanec (PPE), písomne. ‒ Keďže bezpečnostná situácia EÚ je komplexná a čelí novým výzvam a rizikám, je nevyhnutné posilniť spoločnú bezpečnostnú a obrannú politiku (SBOP) tak, aby sa stala účinnejším politickým nástrojom a skutočnou zárukou bezpečnosti občanov EÚ. Taktiež je dôležité, aby nakladanie s finančnými prostriedkami bolo efektívne a transparentné.

 
  
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  Catherine Stihler (S&D), in writing. ‒ While I support initiatives which could improve the efficiency and cost—effectiveness of CSDP missions, this report offers ideas which could interfere in what should be Member State competence. Therefore, I abstained on this report.

 
  
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  Dubravka Šuica (PPE), napisan. ‒ Glasovala sam u korist izvješća o financiranju zajedničke sigurnosne i obrambene politike te smatram da je pitanje financiranja misija i operacija od ključne važnosti. Izražavam žaljenje što rasprava o toj temi koju je Vijeće pokrenulo u prosincu 2013. zasad nije dovela do konkretnih prijedloga te pozivam na sustavno korištenje mehanizmom Athena za financiranje operacija ZSOP-a i troškova slanja misija, posebno kada je riječ o korištenju borbenim skupinama EU-a, infrastrukturi za smještaj borbenih snaga, troškovima povezanima s uspostavljanjem ulaznih točaka na poprišta operacija i, prema potrebi, sigurnosnim zalihama hrane i goriva.

Potrebno je ponovno razmotriti financiranje misija i operacija u okviru ZSOP-a tako da se proračunska sredstva koriste na bolji i ekonomičniji način uz odgovarajući demokratski nadzor svih civilnih i vojnih misija i operacija na razini institucija EU-a. Također pozdravljam mjere koje je Komisija uvela unutar postojećeg okvira financijskih pravila kako bi se skratile financijske procedure u pogledu civilnih misija u okviru ZSOP-a.

Osim toga, pozdravljam činjenicu da su utvrđene moguće uštede od oko 16 milijuna eura, kojima bi se moglo omogućiti financiranje daljnjih misija ako to u bliskoj budućnosti bude potrebno.

 
  
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  Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Glasovala sem za poročilo o financiranju skupne varnostne in obrambne politike. Glasovanje o poročilu poteka v času, ko se soočamo z različnimi krizami in konflikti, tudi v naši bližini. Evropska unija in države članice pomembno financirajo različne mirovne operacije po svetu. Mislim, da nihče ne more oporekati temu, da je posredovanje skupne varnostne in obrambne politike pomembno za dosego miru. Poročilo sem podprla tudi zaradi tega, ker poziva države članice k sprejetju bolj odločnega stališča v smeri preprečevanja konfliktov, pokonfliktne obnove in ohranjanja trajnega miru na konfliktnih območjih.

 
  
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  Νεοκλής Συλικιώτης ( GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Δυστυχώς η έκθεση ζητά αύξηση των κονδυλίων για υλοποίηση των στόχων της ΚΠΑΑ για περαιτέρω στατιωτικοποίηση της ΕΕ, θέση με την οποία διαφωνούμε έντονα. Επιπρόσθετα, η έκθεση προωθεί την ενίσχυση της αύξησης των επεμβάσεων, την ένταξη των προληπτικών δράσεων στην στρατηγική της ΕΕ καθώς και την ενίσχυση της σύνδεσης της ΕΕ με το ΝΑΤΟ, θέσεις που επίσης μας βρίσκουν κάθετα αντίθετους.

Ως Ευρωπαϊκή Ενωτική Αριστερά, τασσόμαστε ενάντια σε μιλιταριστικές αντιλήψεις που πάντα στρέφονται ενάντια στους λαούς. Θεωρούμε ότι η ΕΕ δεν έχει το δικαίωμα να επεμβαίνει στο εσωτερικό καμίας χώρας, για τα συμφέροντα των δικών της ισχυρών. Αντίθετα, θεωρούμε ότι η χρηματοδότηση πρέπει να στραφεί προς την ενίσχυση της κοινωνικής ανάπτυξης για εξυπηρέτηση των αναγκών του λαού. Για τους λόγους αυτούς καταψηφίσαμε την έκθεση και καταθέσαμε πρόταση μειοψηφίας η οποία, μεταξύ άλλων, ζητά τον ριζικό αφοπλισμό (χημικό, βιολογικό, ραδιολογικό και πυρηνικό) της ΕΕ αλλά και παγκόσμια. Ουδεμία στρατιωτική χρηματοδότηση από τον προϋπολογισμό της ΕΕ, μη στρατιωτικές ειρηνικές προσεγγίσεις στην επίλυση συγκρούσεων και αυστηρό διαχωρισμό της ΕΕ από το ΝΑΤΟ.

 
  
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  Ελευθέριος Συναδινός ( NI), γραπτώς. ‒ Η χρηματοδότηση της ΚΠΑΑ και ο μηχανισμός ΑΘΗΝΑ είναι πολυτέλεια για την Ευρώπη της οικονομικής κρίσης. Δε μπορούν τα κράτη μέλη να συνεισφέρουν ταυτόχρονα σε δυο αμυντικούς οργανισμούς (ΕΕ - ΝΑΤΟ). Εφόσον οι διαβουλεύσεις για τη χρηματοδότηση της ΚΕΠΠΑ δεν καρποφορούν και δεν υπάρχει σταθερή ΚΠΑΑ οποιαδήποτε πρωτοβουλία για χρηματοδότηση στρατιωτικών ή μη αποστολών, αποτελεί ουτοπία.

 
  
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  Tibor Szanyi (S&D), írásban. ‒ Szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását, figyelemmel arra, hogy alapos elemzéssel és adatokkal támasztja alá az EU közös biztonság- és védelempolitikájának finanszírozása terén tapasztalható hiányosságokat, miközben jelzi a lehetséges korrekciók területeit és irányait is. Egyetértek azzal, hogy – akárcsak a KBVP egészének végrehajtása tekintetében – az Unió közös védelmi erőfeszítéseinek támogatása, a hatékony működéshez elengedhetetlen az EU külkapcsolati törekvéseivel és más politikáival való koherencia és komplementaritás kidolgozása és biztosítása terén a jövőben a kül- és biztonságpolitikai főképviselő központi és megerősített szerepet kapjon. Döntésemnél nagy súllyal esett latba az, hogy a szerzők rámutatnak a katonai és polgári eszközök közötti szinergia megteremtésében rejlő takarékossági és költséghatékonysági lehetőségekre.

Hasonlóképpen fontos, a közös biztonság- és védelmi politikai együttműködést érdemben előrevivő szempontnak tartom – a jelentés szerzőinek meglátásával összhangban – az átláthatóság és az elszámoltathatóság követelményeinek következetesebb érvényesítését, különös tekintettel az Athéné keretében zajló közös katonai műveletek végrehajtása kapcsán megállapított szervezési, illetve finanszírozási hiányosságok és hibák tapasztalataira.

 
  
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  Dario Tamburrano (EFDD), per iscritto. ‒ Ho votato contro questa relazione. Essa si situa agli antipodi rispetto alla vocazione pacifica che ha contrassegnato l'Europa dopo gli orrori delle due guerre mondiali e dopo l'impegno a non ripetere gli errori del passato.

L'UE dovrebbe invece urgentemente realizzare che lo sfoggio della muscolarità è inutile ed anzi controproducente nella gestione dei conflitti, la cui soluzione duratura è possibile solo attraverso un approccio rigorosamente pacifico e multilaterale. Invece la presunta importanza della muscolarità viene sottolineata da questa relazione, che non traccia affatto l'indispensabile, ovvero la netta demarcazione fra le missioni civili e le eventuali missioni militari ed apre così la strada ad un'ambiguità pericolosa nel modo in cui la presenza dell'UE si manifesta nelle zone di conflitto.

È pericolosa anche la prospettiva che il bilancio UE si appesantisca di capitoli legati alle spese militari, quali quelle per la creazione di gruppi tattici, per il finanziamento della base militare e tecnologica della difesa o per l'estensione del meccanismo Athena. Significa sottrarre ulteriori risorse, attraverso la tassazione, ai cittadini e ai contribuenti già stremati da una crisi economica gestita a base di austerity, ed impiegarle per scopi che non hanno nulla a che fare con l'aumento della prosperità.

 
  
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  Claudia Țapardel (S&D), în scris. ‒ Politica de apărare reprezintă unul dintre cele mai importante instrumente ale Uniunii Europene într-un context internaţional şi regional marcat de o creştere a instabilităţii şi de un nivel ridicat al ameninţărilor la adresa securităţii naţionale a mai multora dintre membrii Uniunii Europene. Consider că pledoaria în favoarea unei dimensiuni mai pronunţate a politicii de securitate şi apărare comună este binevenită – obiectivele acestei politici sunt irealizabile dacă resursele puse la dispoziţie nu sunt adecvate. În egală măsură, consider că este nevoie de creşterea nivelului de cooperare între spaţiul civil şi cel militar. Natura instrumentală a politicii de securitate şi apărare comună este cel mai bine deservită de o cooperare strânsă între cele două niveluri. Totodată, este important ca acţiunile demarate în cadrul acestei politici să corespundă preocupărilor curente de securitate ale statelor membre – o abordare mai rapidă şi mai flexibilă este benefică. Această schimbare, însă, depinde, în mod esenţial, de alocarea unor resurse financiare suplimentare şi susţin în acest context extinderea costurilor eligibile în cadrul mecanismului ATHENA.

 
  
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  Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du texte, je partage le constat du rapporteur selon lequel en dépit d'un budget annuel combiné pour la défense d'environ 190 milliards d'euros, les États membres ne sont toujours pas en mesure d'atteindre les objectifs globaux d'Helsinki de 1999.

 
  
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  Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra ya que el informe pide reforzar el papel de la PCSD, haciendo hincapié en mejorar los mecanismos de cooperación y adaptarlos a las amenazas y desafíos en materia de seguridad.

Una de las ideas clave del informe es el desarrollo del denominado "Complejo Industrial Militar", que incluye incentivos fiscales como parte del plan (desarrollo de drones, entre otras cosas). La crisis económica es interpretada como excusa para modificar el mecanismo ATHENA, preparando el terreno para su posible financiación directamente a través de los presupuestos. Además, el alineamiento con la OTAN (según lo estipulado en el Tratado de Lisboa) aparece como uno de los mayores retos político del informe.

 
  
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  Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. – Hemos votado en contra de este informe que pide reforzar la PCSD para que la UE tenga un papel mucho más activo en materia de defensa. El informe lamenta asimismo el bajo presupuesto de la UE en defensa (190 mil millones de euros por año). Es cierto que el Tratado de Lisboa ha ampliado o incluso abierto nuevas posibilidades para el desarrollo de la PESC y la PESD bajo otras fórmulas, si bien la militarización de la UE ha sido uno de sus ejes principales. Nosotros creemos que la UE no se puede ser una fuerza militar sino una fuerza para la paz y para el desarrollo de los pueblos.

 
  
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  Ernest Urtasun (Verts/ALE), por escrito. ‒ He votado favorablemente de este informe porque a pesar de que tiene varios elementos negativos, integra algunas de las enmiendas verdes y comparte el mismo análisis del grupo: El principal problema un mercado de defensa fraccionado en Europa es que no se están disminuyendo los presupuestos nacionales de defensa. La fragmentación, la ineficiencia, la falta de transparencia, la corrupción, mala gestión, y la ausencia de normas del mercado interior claras y estrictas sigue siendo la norma general.

 
  
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  Ramón Luis Valcárcel Siso (PPE), por escrito. ‒ Hablamos de un informe que tiene que votarse a favor, ya que pretende llamar la atención sobre las reformas necesarias que han de llevarse a cabo en la financiación de la política común de seguridad y defensa para evitar duplicidades, rigideces burocráticas y al mismo tiempo aumentar la eficacia y el ahorro mediante la puesta en marcha de herramientas eficientes.

 
  
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  Marco Valli (EFDD), per iscritto. – Ho votato contro la relazione sul finanziamento della politica di sicurezza e difesa comune (PSDC), perché ritengo inaccettabile nonché irresponsabile utilizzare le risorse finanziarie UE per potenziare la dimensione militare dell'UE, descritta come uno strumento strategico per rafforzare il ruolo dell'Unione nella prevenzione e gestione delle crisi internazionali.

La relazione, dopo aver espresso forte preoccupazione per i tagli di bilancio che negli ultimi anni hanno interessato il settore della difesa, esorta a stanziare maggiori fondi per le politiche PSDC, potenziando i meccanismi di finanziamento automatico delle missioni militari. In particolare si chiede di espandere ulteriormente le spese comuni connesse alla cooperazione militare attraverso il meccanismo Athena, al momento insufficiente a coprire i costi delle operazioni militari. Si invita inoltre a considerare la possibilità di attrarre finanziamenti da paesi terzi o da organizzazioni internazionali, inclusa la Nato, con cui si raccomanda peraltro una più stretta collaborazione.

Al di là delle forti riserve sull'approccio alla politica estera supportato da questa relazione, io credo che nel contesto di forte crisi economica in cui ancora versano i cittadini europei sia una assurdità e un segnale di grave irresponsabilità destinare al militarismo risorse vitali, che potrebbero essere utilizzate per la lotta alla disoccupazione, alla povertà e all'esclusione sociale, le radici dell'instabilità dentro e fuori l'Europa.

 
  
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  Ángela Vallina (GUE/NGL), por escrito. ‒ El informe sometido a votación es un claro llamado a la expansión de las misiones militares de la Política Común de Seguridad y Defensa. El texto lamenta la poca inversión en las misiones y pide incrementos en el gasto militar. Además, plantea la posibilidad de que la Unión disponga de un presupuesto para financiar las primeras etapas de las misiones.

Por otro lado, el llamamiento al incremento y la eficiencia en el gasto no está exento de orientaciones políticas. El texto explicita que la Unión debe ser "actor genuino en la defensa en el contexto de la OTAN" y debe ser complementaria con esta. Por todo ello, he votado en contra de este informe.

 
  
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  Marie-Christine Vergiat (GUE/NGL), par écrit. ‒ J'ai voté contre ce rapport sur la mise en œuvre de la politique de sécurité et de défense commune qui ne fait que renforcer et encourager une militarisation toujours plus forte de l'Union européenne.

Je refuse cette PSDC (politique de sécurité et de défense commune) qui pousse l'UE vers une vision de plus en plus militarisée et donc à toujours plus d'opérations militaires, alors que celle-ci devrait se concentrer sur le dialogue politique et les processus de paix en mettant tout son poids dans la balance. Cette vision des choses demande des capacités budgétaires colossales au détriment d’autres politiques.

La GUE/NGL a dénoncé la participation financière automatique de chaque État membre à des missions militaires de l'Union comme la remise en cause de la nature purement civile de celles-ci, sachant qu'aujourd’hui, les aspects civils et militaires sont de plus en plus souvent mêlés et confus. La GUE/NGL a aussi condamné l'utilisation et le développement de drones armés et la pratique illicite des exécutions ciblées extrajudiciaires.

Je refuse cette fuite en avant à laquelle une majorité du Parlement européen est malheureusement favorable pour des motifs aussi variés qu'ambigus.

 
  
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  Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Este relatório omite, ardilosamente, a efetiva responsabilidade desta Europa e das suas potências nos processos de desestabilização dos países, no financiamento e apoio a grupos extremistas, terroristas e regimes autoritários, no subdesenvolvimento efetivo daqueles países, nas políticas de agressão e ingerência.

Nos seus objetivos prossegue-se a normalização europeia das medidas de segurança nas mais diversas frentes, a intervenção no quadro das políticas e objetivos da NATO, ferramenta ao serviço da política imperialista dos EUA, a federalização europeia da sua política externa, nomeadamente através do protagonismo da VP/AR que não reconhecemos e rejeitamos, a valorização do mecanismo ATHENA, uma via para a decisão da militarização fora do controlo dos Estados-Membros e do Parlamento.

 
  
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  Beatrix von Storch (ECR), schriftlich. ‒ Der Entschließung zur Finanzierung der Gemeinsamen Sicherheits- und Verteidigungspolitik habe ich nicht zugestimmt. Verteidigung ist eine Sache der Mitgliedstaaten und sollte es auch bleiben. Das gilt insbesondere auch für ihre Finanzierung. Sicherheits- und Verteidigungspolitik lässt sich multilateral organisieren, jedoch benötigt die Finanzierung keine dauerhaften Institutionen (insbesondere nicht auf EU-Ebene). Doch diese will die Entschließung schaffen, da sie sich für die „Einrichtung eines gemeinsamen Dienstleistungszentrums sowie eines Systems zur integrierten Verwaltung von Ressourcen“ ausspricht. Schon geringes Verständnis von den Ausmaßen der EU-Bürokratie reicht aus, um dies als den Bau eines weiteren Fasses ohne Boden zu erkennen.

 
  
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  Θεόδωρος Ζαγοράκης ( PPE), γραπτώς. ‒ Υπερψήφισα την έκθεση σχετικά με τη χρηματοδότηση της κοινής πολιτικής ασφάλειας και άμυνας. Είναι γεγονός ότι δεν υπάρχει ακόμα αντιστοιχία λόγων και έργων στο τομέα αυτό. Κανένα κράτος μέλος δεν μπορεί να αντιμετωπίσει από μόνο του τις σημερινές προκλήσεις. Γι' αυτόν τον λόγο απαιτείται η ενίσχυση της ΚΠΑΑ: για να καταστεί αποτελεσματικότερο μέσο πολιτικής και πραγματική εγγύηση για την ασφάλεια των πολιτών της ΕΕ.

 
  
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  Marco Zanni (EFDD), per iscritto. ‒ Nella relazione votata oggi appare un dato allarmante: ben 190 miliardi di euro vengono spesi all'interno della UE nel settore della difesa. Visti i dilaganti impatti sociali dell'austerità negli Stati membri e considerando che risorse tanto ingenti potrebbero alimentare sia la ripresa europea che la risoluzione dell'instabilità alla radice, affrontando le emergenze sociali nei teatri di crisi, questa spesa sembra assolutamente folle.

L'UE non può pensare di attuare una propria politica militare, né dovrebbe cercare di farlo. La scarsità di mezzi finanziari, la carente efficienza ed efficacia delle decisioni e le difficoltà di inserire le missioni militari nel bilancio dell'Unione semplicemente contrastano con il quadro giuridico europeo, che non risulta predisposto alla decisione né all'attuazione di misure militari, soprattutto in presenza di una PESC e di una PSDC non ancora integrate e alla luce di una mancanza di una reale unione politica.

Aumentare il bilancio della difesa, che verrebbe riversato in "missioni Petersberg", sembra inoltre contraddire le finalità di integrazione dell'Unione: la conduzione ricadrebbe sempre in capo agli Stati UE militarmente più dotati, allontanando la possibilità di esprimere la posizione unica dell'Unione, se non legittimando l'assimilazione delle voci deboli a quelle forti. Per tutti questi motivi, ho espresso il mio voto contrario.

 
  
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  Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. ‒ O relatório lamenta a natureza modesta das intervenções militares da Política Comum de Segurança e Defesa (PCSD), em vez de" contribuições europeias substanciais para a manutenção e imposição da paz", exige missões da PCSD mais rápidas e flexíveis, além de lamentar a pouca contribuição dos orçamentos dos Estados-Membros para a PCSD, e defende a cooperação civil-militar. Defende que sejam elaboradas propostas concretas sobre a reforma dos esquemas de financiamento das missões e operações da PCSD, considerando ainda necessário adotar medidas concretas para reforçar as capacidades de defesa da UE em complementaridade com a NATO. Solicita o reforço da cooperação em matéria de defesa, a reunião e a partilha de recursos, capacidades e meios, ou seja apoia e pede um alargamento dos custos elegíveis ao abrigo do mecanismo ATHENA, alargando o seu âmbito para o financiamento de missões militares da UE. Através do mesmo mecanismo, ATHENA, apela ao financiamento do destacamento de agrupamentos táticos da UE, além de propor a criação de um fundo para as operações militares.

A realidade demonstra uma UE cada vez mais militarista, envolvida em quase todos os cenários de ingerência, desestabilização e intervenção militar, atividades que necessitam de financiamento, que aqui se propõe ser aumentado, perspetiva que repudiamos e que, mais uma vez, rejeitámos.

 
Aviz juridic - Politica de confidențialitate