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Stenograma dezbaterilor
Luni, 18 ianuarie 2016 - Strasbourg Ediţie revizuită

13. Ordinea lucrărilor
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Proces-verbal
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  Der Präsident. – Der endgültige Entwurf der Tagesordnung dieser Tagung, wie er in der Konferenz der Präsidenten in ihrer Sitzung vom Donnerstag, 14. Januar 2016, gemäß Artikel 149 der Geschäftsordnung festgelegt wurde, ist verteilt worden.

Montag und Dienstag: Keine Änderungen.

Mittwoch:

Für den Mittwochnachmittag ist mir von der Koordinierung der Fraktionen Folgendes vorgeschlagen worden: Der Bericht von Frau Lunacek über das Stabilisierungs- und Assoziierungsabkommen EU/Kosovo und die Erklärungen der Vizepräsidentin der Kommission und Hohen Vertreterin der Union für Außen- und Sicherheitspolitik zum systematischen Massenmord an religiösen Minderheiten durch den IS werden in dieser Reihenfolge – also zunächst Kosovo, dann Massenmord durch den IS – nach den Erklärungen der Vizepräsidentin der Kommission und Hohen Vertreterin für Außen- und Sicherheitspolitik zu den Assoziierungsabkommen mit Georgien, der Republik Moldau und der Ukraine auf die Tagesordnung gesetzt.

Donnerstag: Keine Änderungen.

 
  
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  Philippe Lamberts (Verts/ALE). Monsieur le Président, avant de déclarer l'ordre du jour approuvé, je voudrais faire l'observation suivante: la semaine dernière, en Conférence des présidents, nous avons discuté de la question du Danemark, dont la commissaire est d’ailleurs présente ici, bien qu’elle n'ait rien à voir avec ce qui se passe. Cette situation est extrêmement préoccupante, puisque des mesures, qui, aux yeux d'un assez grand nombre d'entre nous, constituent des infractions, sont en voie d'être prises dans ce pays.

La situation au Danemark est préoccupante, dans le sens où des mesures sont en train d'être prises, dont l'adoption finale est prévue pour le 26 janvier, qui, en tout cas aux yeux d'un certain nombre d'entre nous, semblent être en contradiction avec les valeurs de l'Union.

Nous en avons discuté en Conférence des présidents et avons convenu de la procédure suivante: ce soir – je dis bien ce soir –, la commission des libertés publiques entendrait un représentant du gouvernement danois et, à la suite de cette réunion, les coordinateurs de la commission des libertés publiques se réuniraient et décideraient si, oui ou non, du temps de débat en plénière est nécessaire.

Or, nous constatons que nous ne savons toujours pas si la commission des libertés publiques entendra un représentant du gouvernement danois. En tout cas, c'est sûr que ce ne sera pas ce soir – ce qui était convenu. Donc, cela n'aura pas lieu ce soir et il est sûr que les coordinateurs ne se réuniront pas ce soir.

Dans ce cas de figure, il me semble normal, Monsieur le Président, de prévoir un créneau à la plénière pour débattre de la situation au Danemark, puisque nous ne savons toujours pas si, oui ou non, la commission des libertés publiques décidera, dans sa grande sagesse, de se réunir à ce sujet avec un représentant du gouvernement danois. Autrement dit, si nous décidons de jouer la montre, peut-être que ce Parlement débattra en plénière, mais post-factum, c'est-à-dire lors de la période de session de février I, autrement dit après la décision du gouvernement danois.

Alors autant – et je l'avais dit en Conférence des présidents – je comprends parfaitement que la Commission européenne ne puisse se prononcer que sur des décisions des actes de droit posés dans les États membres, autant ce Parlement a – je pense – un rôle d'avertisseur. Je pense donc que le débat doit se tenir dans ce Parlement avant que le gouvernement danois et le Parlement danois ne décident, plutôt qu'après. Et comme les conditions ne sont pas réunies pour avoir le débat en commission LIBE, je pense que nous devons le prévoir à titre conservatoire, tout au moins, en plénière, et si jamais, par bonheur, la commission LIBE devait se réunir et que ses coordinateurs estiment qu'un débat est devenu inutile, nous annulerons ce débat en plénière.

 
  
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  Der Präsident. – Vielen Dank Herr Lamberts. Ich glaube, das ist klar.

 
  
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  Philippe Lamberts (Verts/ALE). Monsieur le Président, si je peux me permettre de demander une précision: il s'agit donc bien d'une réunion soit des coordinateurs soit de l'ensemble de la commission des libertés publiques en présence d'un représentant du gouvernement danois?

 
  
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  Der Präsident. – Herr Lamberts, ich glaube, es hat keinen Sinn, dass die sich ohne einen Vertreter der dänischen Regierung treffen. Worüber sollten sie dann diskutieren?

Ich habe heute auch eine Gelegenheit gehabt, mit dem Ministerpräsidenten von Dänemark zu telefonieren, und ihn gebeten, einen entsprechenden Vertreter zu entsenden.

 
  
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  Manfred Weber (PPE). Herr Präsident! Ich möchte zunächst einmal Ihren Verfahrensvorschlag im Umgang mit dieser Fragestellung ausdrücklich unterstützen, dass wir in aller Ruhe jetzt den Kollegen im LIBE-Ausschuss das erste Recht geben, das zu prüfen. Ich möchte aber für meine Fraktion zum Ausdruck bringen: Wenn wir jetzt bei jeder Legislativarbeit, die auf nationaler Ebene ansteht, so eine Hektik und so einen Aktionismus verbreiten, wie es die Grünen in diesem Fall machen, dann werden wir der europäischen Sache eher schaden als nützen. Denn wir haben ein demokratisch gewähltes dänisches Parlament, das jetzt im Gesetzgebungsverfahren ist und einfach nur sein Votum zum Ausdruck bringt. Wir sollten den dänischen Kollegen Respekt entgegenbringen. Die haben zunächst die Entscheidung zu fällen, wie sie ihre Asylgesetzgebung vollziehen, und dann besteht immer noch die Möglichkeit, dass wir im Europäischen Parlament über diese Fragen diskutieren. Meine Fraktion sieht schlicht und einfach keine Dringlichkeit in dieser Frage.

 
  
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  Gabriele Zimmer (GUE/NGL). Herr Präsident! Auch ich unterstütze das Vorgehen, das Sie jetzt vorgeschlagen haben. Ich verlasse mich auch darauf, dass wir morgen dann dazu auch noch einmal eine Information bekommen. Herrn Weber möchte ich nur sagen: Es handelt sich hier nicht um einen Präzedenzfall und um irgendeinen normalen legislativen Vorgang. Es geht ja darum, ob wir die Werte der Europäischen Union auch weiter achten, und dazu gehört das Grundrecht auf Asyl. Und zum Grundrecht auf Asyl gehört es beispielsweise nicht, Eigentum von Flüchtlingen, von Asylsuchenden zu beschlagnahmen.

 
  
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  Der Präsident. – Ich glaube, wir sind uns einig. Ich werde heute Abend noch mit Herrn Moraes sprechen, um zu gewährleisten, dass eine solche Sitzung morgen stattfindet.

(Der Arbeitsplan ist somit angenommen.)

 
  
  

Președinte: IOAN MIRCEA PAŞCU
Vicepreședinte

 
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