Retour au portail Europarl

Choisissez la langue de votre document :

  • bg - български
  • es - español
  • cs - čeština
  • da - dansk
  • de - Deutsch
  • et - eesti keel
  • el - ελληνικά
  • en - English
  • fr - français
  • ga - Gaeilge
  • hr - hrvatski
  • it - italiano
  • lv - latviešu valoda
  • lt - lietuvių kalba
  • hu - magyar
  • mt - Malti
  • nl - Nederlands
  • pl - polski
  • pt - português
  • ro - română
  • sk - slovenčina
  • sl - slovenščina
  • fi - suomi
  • sv - svenska
 Index 
 Texte intégral 
Compte rendu in extenso des débats
Mardi 4 octobre 2016 - Strasbourg Edition révisée

L'avenir des relations ACP-UE au-delà de 2020 (A8-0263/2016 - Norbert Neuser)
MPphoto
 
 

  Louis-Joseph Manscour (S&D), par écrit. ‒ L’accord de Cotonou, adopté en 2000, arrivera à échéance en 2020. Il est le cadre, juridiquement contraignant, des relations entre l’Union européenne et les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP). Il offre aujourd’hui un cadre de référence, autour de valeurs et de priorités communes à 107 pays. Il s’agit du plus important accord de partenariat international, tant par le nombre de ses signataires, que par les dimensions qu’il recouvre: politique, développement, économique et commerciale.

Le futur des relations UE‐ACP constitue une question centrale au regard des enjeux politiques et stratégiques qu’il représente à long terme.

Afin d’adapter le partenariat aux nouveaux enjeux internationaux, ce rapport appelle à la préservation, après 2020, des acquis antérieurs de l’accord de Cotonou.

Ce rapport souligne également l’impérieuse nécessité d’intégrer les résultats des grandes conférences internationales de 2015: nouveaux objectifs de développement durable, nouveau cadre de financement du développement, accord de Paris sur le climat/COP21.

Convaincu que le futur de la relation UE‐ACP est un sujet majeur, je vote en faveur de ce texte.

 
Avis juridique - Politique de confidentialité