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 Texte intégral 
Compte rendu in extenso des débats
Mardi 4 octobre 2016 - Strasbourg Edition révisée

L'avenir des relations ACP-UE au-delà de 2020 (A8-0263/2016 - Norbert Neuser)
MPphoto
 
 

  Mylène Troszczynski (ENF), par écrit. ‒ Il s’agit pour l’Union européenne de faire perdurer ce qu’elle considère comme les avancées des rapports de Cotonou.

Il faut rappeler que les accords de Cotonou reposent sur trois piliers (le développement, les relations commerciales et le dialogue politique).

L’Union n’a pas à avoir de diplomatie sous aucune forme et il faut rappeler que les accords de Cotonou furent une catastrophe pour l’Afrique. En effet, en substituant un système de libre-échange progressif au système jugé paternaliste où les pays du Nord acceptaient de payer plus cher les droits de douane pour permettre le développement accéléré de cette zone, les accords de Cotonou ont participé avec d’autres facteurs comme la politique des institutions internationales à retarder la création d’industries africaines protégées par de forts droits de douane, ce qui était l’objectif de la France avec le projet de coopération.

Pourquoi refuser la démocratie organique naturelle des pays africains au lieu de pratiquer un impérialisme des valeurs qui n’est plus au goût du jour et qui relève d’une sinistre farce?

Enfin, on ne peut qu’être surpris des leçons que l’UE se permet dans ce texte de donner sur la corruption.

J'ai voté contre ce texte.

 
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