Harlem Désir (PSE). - Monsieur le Président, nous avons en effet accepté de retirer notre amendement 1. Cela, pour préserver le consensus et l’unanimité entre les groupes, qui selon moi vont donner de la force à cette résolution, ce dont je me félicite. D’un commun accord avec les différents groupes, nous avons déposé à la place un amendement oral qui viendrait s’inscrire à la fin du considérant D, et que je vais vous lire en anglais, parce que c’est la langue qui fera référence et dans laquelle a été négocié cet amendement oral. Celui-ci précisera qu’il s’agit de l’intervention de mercenaires actuellement utilisés par les autorités venant du Liberia et du Sierra Leone, mais dont officiellement il n’y a pas encore de preuve absolue, même si tous les observateurs sur place ont pu commencer à la constater. Pour être rigoureux et, en même temps, l’évoquer, nous disons ce qui suit:
(EN) «considérant les allégations relatives à la présence de mercenaires et d’anciens guérilleros».
Mais je crois que notre collègue, M. Matsakis, souhaitait apporter un amendement oral à l’amendement oral pour que celui-ci soit encore plus précis et je tiens à dire d’emblée que je soutiens la formule qu’il va maintenant nous proposer, afin que nous puissions tous voter unanimement le même texte.
Marios Matsakis (ALDE). - (EN) Monsieur le Président, je souhaiterais apporter un amendement oral à l’amendement oral de M. Désir pour que celui-ci soit encore plus précis, plus exact quant aux faits et plus complet.
Après les mots «considérant les allégations relatives à la présence de mercenaires et d’anciens guérilleros», je voudrais ajouter «en tant que forces paramilitaires gouvernementales».