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 Texte intégral 
Compte rendu in extenso des débats
Lundi 11 mars 2013 - Strasbourg Edition révisée

Interventions d'une minute (article 150 du règlement)
MPphoto
 

  Karim Zéribi (Verts/ALE). - Monsieur le Président, chers collègues, nous allons évoquer dans les mois à venir la question de la réforme ferroviaire en Europe. Sur le papier, c'est toujours la même chose: la Commission européenne nous propose de réformer, avec pour seul objectif l'ouverture obsessionnelle du marché via la libéralisation du système. Pourtant, si nous voulons réussir la réforme ferroviaire en Europe, il faut, au préalable, intégrer deux dimensions, aujourd'hui absentes des orientations de la Commission.

Premièrement, il est impératif d'investir pour développer les infrastructures de qualité au sein de tous les États membres de l'Union européenne. Pour cela, il est nécessaire de soutenir un budget européen ambitieux doté de moyens pour des investissements d'avenir. Or, ce n'est pas le cas. Le Conseil, lors du dernier sommet sur le budget 2014-2020, a réduit d'environ 10 milliards d'euros le budget affecté aux infrastructures.

Deuxièmement, il est nécessaire d'investir dans un socle social commun à tous les salariés du ferroviaire en Europe, pour leur assurer des conditions de travail dignes.

Mon groupe ne fera pas de concessions sur ces sujets. Sans cela, l'Europe se fera à l'encontre des citoyens et ouvrira la voie à tous les populismes possibles.

 
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