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Compte rendu in extenso des débats
Jeudi 16 mars 2017 - Strasbourg Edition révisée

Prisonniers politiques ukrainiens en Russie et situation en Crimée
MPphoto
 

  Jean-Luc Schaffhauser (ENF). – Monsieur le Président, chers collègues, la situation est idéologique et la raison ne l’emporte pas.

Je voudrais rappeler le contexte historique. En février 2014, les puissances occidentales avaient signé un document pour une transition démocratique, les événements de Maïdan ont été un véritable coup d’État et il y a eu interruption de l’état de droit. C’est un fait juridique.

Face à cela, la Russie a occupé la Crimée qui avait été donnée – il faut le dire – par un décret en 1954 par Khrouchtchev et il y a eu référendum sur la libre autodétermination. Nous sommes face à une situation juridique compliquée parce qu’effectivement, nous avons d’un côté ce que nous avons signé, qui ne s’est pas réalisé, et donc une rupture de l’état de droit et une autre situation de rupture. Je tiens seulement à signaler à propos de l’occupation en Crimée, où il y a eu une véritable autodétermination, que la situation des droits de l’homme n’est pas pire aujourd’hui qu’hier et que donc nous devons raison garder.

(L’orateur accepte de répondre à une question «carton bleu» (article 162, paragraphe 8, du règlement))

 
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