Pervenche Berès (PSE). – Monsieur le Président, j'interviens concernant notre ordre du jour. Les sujets que nous allons aborder ce matin sont tout à fait essentiels. Je me réjouis que notre hémicycle ait l'occasion de le faire dans la sérénité et dans un esprit de compréhension mutuelle.
Pour autant, d'autres sujets avaient été proposés en vue de leur inscription à l'ordre du jour, notamment l'analyse de l'impact pour l'ensemble de l'Union européenne de l'offre hostile d'achat d'Arcelor par Mittal Steel. Je pense qu'il aurait été normal que notre hémicycle se prononce sur cette affaire.
(Le Président retire la parole à l'orateur)
El Presidente. Señora Berès, esto no es una cuestión de orden. Perdóneme, comprendo que usted quiera hablar sobre este tema, pero si invoca usted una cuestión de orden, la Presidencia tiene que señalarle que esto no lo es y lamentablemente no puede continuar dándole la palabra.