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Procedure : 2005/0202(CNS)
Forløb i plenarforsamlingen
Dokumentforløb : A6-0192/2006

Indgivne tekster :

A6-0192/2006

Forhandlinger :

PV 13/06/2006 - 17
CRE 13/06/2006 - 17

Afstemninger :

PV 14/06/2006 - 4.3
CRE 14/06/2006 - 4.3
Stemmeforklaringer
PV 06/09/2006 - 7.3
CRE 06/09/2006 - 7.3
PV 27/09/2006 - 5.1
CRE 27/09/2006 - 5.1
Stemmeforklaringer

Vedtagne tekster :

P6_TA(2006)0258
P6_TA(2006)0370

Fuldstændigt Forhandlingsreferat
Tirsdag den 13. juni 2006 - Strasbourg

17. Beskyttelse af personoplysninger (forhandling)
Protokol
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  Przewodniczący. Kolejnym punktem porządku dziennego jest sprawozdanie sporządzone przez Martinę Roure w imieniu Komisji Wolności Obywatelskich, Sprawiedliwości i Spraw Wewnętrznych w sprawie wniosku dotyczącego decyzji ramowej Rady w sprawie ochrony danych osobowych przetwarzanych w ramach współpracy policyjnej i sądowej w sprawach karnych [COM(2005)0475 - C6-0436/2005 - 2005/0202(CNS)] (A6-0192/2006).

 
  
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  Martine Roure (PSE), rapporteur. – Monsieur le Président, l'Union européenne est réputée dans le monde pour le niveau élevé de protection des droits fondamentaux, et en particulier de protection des données personnelles qu'elle garantit à ses citoyens. Ce principe est ainsi inscrit à l'article 8 de la Charte des droits fondamentaux.

Dans le domaine communautaire, deux directives réglementent le traitement loyal de ces données dans le cadre du marché intérieur, et quand un citoyen fait, par exemple, un achat sur Internet, la compagnie auprès de laquelle il effectue cet achat est obligée de lui demander l'autorisation d'utiliser ses données pour lui envoyer des offres commerciales. Le citoyen est ainsi informé de l'utilisation faite des données le concernant et, fondamentalement, il peut demander la rectification de ces données.

Or, cet espace européen de protection des données comprend actuellement une lacune grave. Il n'y a pas de coordination des vingt-cinq États membres pour la protection des données personnelles utilisées dans le cadre du travail policier ou judiciaire. Alors que nous œuvrons pour la mise en place d'un espace européen de liberté, de sécurité et de justice, cette coordination est devenue absolument indispensable. En effet, il est nécessaire pour les polices des États membres de travailler en étroite collaboration et d'échanger des données pour lutter efficacement contre la criminalité organisée. Nous pouvons renforcer cette coopération, mais nous devons nous assurer que les données concernant les citoyens sont protégées de la même manière dans toute l'Europe. Je rappelle que le Parlement européen a demandé, depuis de nombreuses années, un instrument pour la protection des données dans le cadre de la coopération judiciaire et policière.

Nous nous félicitons, par conséquent, de cette proposition de la Commission, et l'objet de mon rapport est de renforcer cette proposition afin d'assurer la cohérence avec les instruments existants de protection des données relevant du premier pilier. Nous souhaitons également que cette décision-cadre ne se limite pas aux données échangées entre États membres, mais qu'elle assure un niveau minimal de protection des données à l'intérieur même des États membres. En effet, si cela n'était pas le cas, nous pourrions alors avoir deux systèmes différents de protection des données dans une même enquête. Cela non seulement menacerait la protection des citoyens, mais compliquerait également le travail policier ou judiciaire.

Nous avons renforcé les garanties relatives à l'utilisation de données personnelles par, et à leur transmission à des parties privées lorsque celles-ci les traitent dans le cadre d'une fonction publique. Nous souhaitons également des garanties relatives à l'utilisation de données personnelles par, et à leur transmission à des pays tiers. Je rappelle que la Cour a annulé cette décision du Conseil sur l'accord entre la Communauté européenne et les États-Unis sur le traitement et le transfert des données à caractère personnel ainsi que la décision d'adéquation de la Commission relative au niveau de protection adéquat de ces données, et ce pour cause de bases juridiques inappropriées, comme vous le savez.

Le commissaire Frattini nous a dit qu'il souhaitait déposer une nouvelle proposition d'accord sur la base du troisième pilier. Il est donc nécessaire de disposer d'une législation de protection des données pour le troisième pilier, et j'apprécie d'ailleurs le soutien de la Commission à cet égard.

Lors de l'adoption de la directive sur la rétention des données en décembre 2005, le Conseil s'était moralement engagé devant le Parlement européen – je tiens à le rappeler – à procéder à l'adoption rapide, et dans le respect d'une coopération loyale entre les institutions européennes, du texte sur la protection des données. Or, cette adoption a pris énormément de retard et sa concrétisation dans le courant de cette année est aujourd'hui menacée.

Nous souhaitons donc que le Conseil prenne aujourd'hui, devant nous, des engagements clairs, notamment sur les points cruciaux pour le Parlement européen, et nous attendons qu'il nous présente un calendrier d'adoption de cette décision-cadre. Je suis très déçue par le Conseil actuellement. Et, dans le cas contraire, le Parlement européen se sentirait trahi et sa confiance serait alors sérieusement ébranlée pour l'avenir, ce que nous ne souhaitons pas.

 
  
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  Franco Frattini, Vice-President of the Commission. Mr President, first of all I would like to thank Mrs Roure, the rapporteur on this very important and well-balanced report.

I recall that in the Hague Programme there is the clear obligation to ensure the exchange of law enforcement information under the principle of availability with effect from January 2008. At the same time, key conditions in the area of data protection shall be strictly observed. Therefore, the quick adoption of the framework decision on data protection in the third pillar is indispensable.

Security policy, in particular anti-terrorist policy, must respect both the obligation of the State to protect citizens against serious crimes, including terrorism, as well as the fundamental rights of the citizens to their private and family life and to personal data protection. I believe that we must ensure that there is coherence and uniformity in the principles of data protection in the European Union, inter alia, between the first and the third pillar.

The Judgment of the European Court on the PNR agreement, as Mrs Roure rightly said, shows the necessity of a coherent and complete data protection regime at European level, based on clear, substantial data protection principles. In this context, in my view, the framework decision would constitute an important step forward.

The Commission has already proposed that the framework decision on data protection should be implemented by the end of 2006, before the application of the principle of availability. So I join the European Parliament and Mrs Roure in a plea to the Council to accelerate the agreement on the framework decision, taking into full account the position expressed by this Parliament.

As far as the scope of the framework decision is concerned, as many chapters as possible must apply to domestic situations, as already proposed by the Commission. In my view Member States must agree on common data protection principles that apply to all processing of personal data by the police and the judicial authorities for the purpose of prevention, investigation, detection and prosecution of criminal offences, as the common basis for the exchange of personal data in full respect of such principles.

As far as the Europol/Eurojust system is concerned, the Commission agrees that in principle further approximation and facilitation of the European data protection regime should be ensured after the adoption of the framework decision in consultation with all the bodies concerned. The concrete time schedule might need further examination.

I am open to additional data protection safeguard specifications concerning biometric identifiers and/or DNA data and will look more closely at the European Parliament’s suggestions in this very important and sensitive field.

Taking into account the position of Parliament, I will reflect on the concrete procedure for assessing the level of data protection in a third country or an international body. Now in the report you are to adopt a solution which would provide that the Commission, after consulting the Council and Parliament, may establish that a third country or an international body ensures an appropriate level of protection within the meaning of the framework decision. As you can guess, I am not personally against such a solution. We will have to work closely with the Council because we need unanimity so that the final solution in any case provides, first, a mechanism ensuring that when the other conditions provided for by the framework decision are met, an adequate level of protection exists; and second, that Parliament is consulted beforehand and that due account is taken of its opinion.

 
  
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  Camiel Eurlings, namens de PPE-DE-Fractie. – Voorzitter, de Europese Volkspartij hecht zeer veel belang aan gemeenschappelijke waarborgen voor de bescherming van de persoonlijke levenssfeer op het niveau van de Unie. Deze zullen niet alleen bijdragen aan het wederzijds vertrouwen tussen lidstaten bij de verstrekking van gegevens, maar zullen ook de vervolging van strafbare feiten en de bereidheid tot het uitwisselen van gegevens voor die vervolging ten goede komen. U heeft helemaal gelijk wanneer u wijst op de beschikbaarheid van gegevens, want het is belangrijk dat wij hiermee echt voortgang kunnen boeken met het oog op de veiligheid van onze burgers. Voordat we dit kunnen doen, hoort deze stap te worden genomen ter bescherming van de privacy.

Kijk ik naar de achter ons liggende discussies, dan moet ik namens mijn partij een groot compliment geven aan de rapporteur. Mevrouw Roure heeft immers een gebalanceerd verslag opgesteld en is ook op een zeer goede manier omgegaan met de discussie in de Commissie, op realistische en afgewogen wijze. Ze heeft samen met ons op een aantal punten nadrukkelijk één lijn getrokken. Zo zijn wij er niet toe overgegaan om het uitwisselen van informatie met derde landen te willen verbieden. Wij hebben gezamenlijk een goede lijn getrokken door dat niet te doen.

Ten tweede, zijn we evenmin meegegaan en zullen we niet meegaan met diegenen die willen dat geheime diensten hieronder vallen. Ten derde is de rapporteur evenmin overgegaan tot het onder druk zetten van de Raad om de behandeling van de verslagen over het FIS en SIS II tegen te houden totdat dit verslag is afgehandeld.

Mevrouw Roure heeft daarmee zeer goed werk geleverd. Dit is een uitgebalanceerd verslag is waarin een goede balans is gevonden tussen enerzijds het beschermen van die privacy maar anderzijds het creëren van de mogelijkheden voor een betere gegevensuitwisseling. Dat laatste zijn wij aan onze burgers verplicht, als we echt willen dat de Unie het maximum doet om de veiligheid te waarborgen. Ik dank u nogmaals, mevrouw Roure, voor de samenwerking.

 
  
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  Proinsias De Rossa, on behalf of the PSE Group. – Mr President, it makes eminent common sense in today’s world to have enhanced exchange of information and cooperation between our police services and, indeed, our judicial authorities. It is not possible, in my view, to combat transnational crime without such cooperation, whether the crime is driven by anti-democratic forces which use terror as a political weapon, or by straightforward self-enrichment through money laundering, people trafficking or drug smuggling.

The cooperation needs to be both within the European Union and between the European Union and third countries, but it should not be allowed unless there is stringent protection for human rights and citizens’ freedoms. This is why I wholeheartedly support here tonight the proposal of my colleague, Mrs Roure, and the Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs.

Some of our Member States are resisting elements of the proposed cooperation, not on grounds of protecting human rights but on purely ideological grounds of protecting national sovereignty. This might at least be understandable if they were consistent. However, the selfsame states are quite happily prepared to accept at face value assurances from the US about its extraordinary rendition network, which transfers suspects from country to country, in and out of EU territory and even to third countries where we know that torture is used. This practice is trampling all over our Member States’ sovereignty and the US has even admitted that it does not accept our definitions of torture.

Our Member States should cooperate while insisting on proper protection concerning the use of information and for the people about whom information is exchanged, as is proposed be done in this report.

To be consistent, however, our Member States must in practice also insist that the US respect the civil and human rights of the people it has illegally transported, and follow up their call that Guantánamo should be closed by making it clear to the US that its approach is increasing the threat of terror and is the best recruiting sergeant that fundamentalists of all persuasions have had for many years.

 
  
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  Alexander Alvaro, im Namen der ALDE-Fraktion. – Herr Präsident, Herr Vizepräsident! Herzlichen Dank an die Kollegin Roure für diesen Bericht, der eben auch schon von einigen Kollegen entsprechend gewürdigt worden ist. Ich glaube, wir haben fraktionsübergreifend ein wirklich hervorragendes Papier hinbekommen, auch in Anbetracht der Tatsache, dass lange bevor ich in dieses Parlament gewählt worden bin, sich bereits Kollegen bemüht und immer wieder die Notwendigkeit für solch einen Bericht hervorgehoben haben.

Vor allen Dingen angesichts des modernen Informationszeitalters ist dieser Bericht wesentlich dringender als er das je vorher war. Wenn man einmal überlegt: Die Summe der Daten, die bei den europäischen Behörden gespeichert werden, das sind nicht Hunderttausende, das sind auch nicht Millionen, das sind Milliarden von Datensätzen, die in die individuelle Persönlichkeit jedes Einzelnen eingreifen, indem Informationen gespeichert werden, die bei böser Absicht — die ich aber keinem Staat unterstelle — miteinander verbunden werden können, mit denen ich Profile erarbeiten kann, mit denen ich das Verhalten unliebsamer Bürger ermitteln kann. Umso dringender ist dieser Bericht, weil diese Datenmengen noch ansteigen werden.

Wir haben nicht nur bestehende Systeme wie EURODAC oder APIS, die noch in Kraft treten werden. Wir haben das Visa-Informationssystem, das neu entwickelt wird. Wir haben SIS, das Schengen-Informationssystem der zweiten Generation, und wir haben womöglich auch in der dritten Säule demnächst die Fluggastdatenspeicherung und -übermittlung. Insofern werden diese Milliarden von Datensätzen auch noch zunehmen.

Hinzu kommt die Mitteilung der Kommission zu Interoperabilität und Synergie und Effizienzsteigerung bei europäischen Datenbanken, die de facto diese Datenbanken auch miteinander verlinken möchte, so dass der Austausch erst recht vereinfacht wird, wenn man denn einmal die technischen Probleme überwunden hat.

Das Problem ist aber, dass Leute, die Daten schützen wollen, oft in eine Ecke gestellt werden, als wären sie irgendwelche Knallschoten, die nicht in der Lage sind, Grundrechte und Sicherheitsrechte in irgendeiner Weise vernünftig gegeneinander abzuwägen. Gott sei Dank hat sich dieses Parlament in diesem Fall nicht in diese Ecke treiben lassen, dass wir Grundrechte gegen Sicherheitsrechte ausspielen würden, denn das Weniger an Grundrechten gefährdet definitiv die Sicherheit der Bevölkerung.

Ich bin sehr dankbar — Frau Roure hat uns damit auch als Liberale eine enorme Arbeit abgenommen —, dass sie unglaublich viele Änderungsanträge und Vorschläge, die der Europäische Datenschutzbeauftragte Peter Hustinx eingebracht hat, übernommen hat. Damit waren wir auf einer Linie.

Das Europäische Parlament hat nicht viele Schwerter, und ich glaube, das ist auch bei Frau Roure schon angeklungen Aber wie wichtig dieser Bericht ist, zeigt die Bereitschaft, auch SIS und VIS gegebenenfalls zurückzuhalten.

 
  
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  Jean Lambert, on behalf of the Verts/ALE Group . – Mr President, like others before me, I would like to thank Mrs Roure very much on behalf of my group for the work that she has done on this report and the improvements we think have been brought to the initial proposal.

I also welcome the Commissioner’s comments tonight in terms of his strong commitment to a rapid completion of the timetable for this framework decision. Parliament, like the Commission, also feels that as we move further down the road of data collection and data exchange, it is absolutely essential that we have safeguards in place. If more and more data is to be readily available on that principle – online and cross-border – we need those clear rules: not least for the agencies involved – they need to be clear about what it is they have and how it can be used – but equally, because people need to have confidence that this data will be used appropriately. They want to feel that it will be protected and not easily available to private parties. So we agree on the need for strict regulation and penal sanctions in that area.

We are also clear – not least because of the recent issues about transfer of passenger data – that when we are handing data to third countries, when they are involved, we need clear safeguards as to where that data may end up and under what circumstances. We also welcome the fact that their data, too, will be assessed against fundamental rights. I think it is a tragedy that we have to think in those terms these days, but we do. Maybe what we are looking at here is a new definition of a ‘safe’ third country, at least in terms of its information.

People also want to have confidence that data will be used appropriately and for the purpose for which it was collected, although we think it is totally appropriate that different categories of data, whether on suspects, convicted people, witnesses, victims, etc., are differently treated. Again, it gives clarity and facilitates communication.

We also welcome the amendment stipulating that data relating to people not under suspicion should be used solely for the purpose collected. We hope that Member States would operate to that standard domestically, but I know of at least one where DNA data has been retained when it should not have been. So the additional safeguards concerning DNA and biometrics put into Article 6 are also very welcome to us.

We need data we can trust – maybe that is something we cannot guarantee in a framework directive; but we also need to have confidence that the data collected is used appropriately and that rights are safeguarded while we are able to trace criminal activity more effectively.

 
  
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  Hubert Pirker (PPE-DE). – Herr Präsident, Herr Kommissar, geschätzte Kolleginnen und Kollegen! Wenn wir über den Bericht Roure diskutieren, dann diskutieren wir über eine weitere Maßnahme im Interesse von mehr Sicherheit für unsere Bürger im Rahmen der Realisierung des Haager Programms, und dafür brauchen wir Polizei- und Justizkooperation. Diese Kooperation kann nur stattfinden, wenn wir entsprechende Datensätze austauschen und zur Verfügung stellen. Das Ganze kann aber nur unter entsprechender Kontrolle erfolgen, und hier ist der Berichterstatterin zu gratulieren, weil es ihr gelungen ist, die entsprechende Balance herzustellen zwischen dem Schutz von personenbezogenen Daten und damit der Privatsphäre auf der einen Seite und der unbedingt notwendigen verbesserten Zusammenarbeit von Polizei und Justiz im Interesse der Sicherheit der Bürger auf der anderen Seite.

Dieser Bericht hat zweifelsohne auch die Voraussetzungen dafür geschaffen, dass man darüber nachdenkt, wie die Einheitlichkeit des Datenschutzes in all unseren Mitgliedstaaten verbessert werden kann.

Zum Dritten hat er auch Voraussetzungen dafür geschaffen, dass Datenbanken wie das Schengener Informationssystem und das Visa-Informationssystem — in Hinkunft werden wir es in einer neuen Form zur Verfügung haben — auch gemeinsam genutzt werden können und Querverbindungen im Interesse der Sicherheit erlauben.

Dieser Bericht unterstützt damit das Prinzip der Interoperabilität der Datenbanken, was für mich einen ganz entscheidenden Quantensprung in der Sicherheitspolitik der Zukunft der Europäischen Union bedeutet. Dieses neue Sicherheitspaket, über das wir heute im Rahmen des Haager Programms diskutieren, wird aber erst dann vollständig sein, wenn wir auch die Verordnungen zum Visa-Informationssystem und zum Schengener Informationssystem II beschlossen haben werden.

 
  
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  Sarah Ludford (ALDE). – Mr President, I also wish to thank the rapporteur, Mrs Roure. However I also regret very strongly the absence of the Council tonight, because I am afraid too many of us are preaching to the converted: it is the Council that we have to convert.

I want to add my voice to those who have emphasised how essential this measure is. That is why Parliament has been asking for it for many years. Now, however, in the era of all the EU databases such as the Visa Information System, the Schengen Information System, Eurodac and the whole question of access by law enforcement – the policy of interoperability – and, of course, the question of the transfer of data to third countries, including the air passenger data agreement, it is more vital than ever.

It is a great mistake to think that data protection somehow obstructs police and security work: it actually enhances the prospect of cooperation by increasing trust and confidence, including public confidence. So I believe Parliament will do everything it can to achieve this measure.

As the rapporteur on the Visa Information System, I see a triple package: the first-pillar regulation; the measure on access to the VIS for police and intelligence services; and this data protection framework decision. We have codecision on the first-pillar measure, so the message I want to send very strongly to the Council is that it needs to take account of that. I want the VIS to be on the statute book as soon as possible; but we need to have the other elements in place as well.

 
  
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  Carlos Coelho (PPE-DE). – Senhor Vice-Presidente da Comissão, caras e caros Colegas, há muito que o Parlamento Europeu reclama um novo quadro jurídico para a protecção dos dados no âmbito do terceiro pilar, comparável às normas em vigor no direito comunitário. Queremos garantir o mesmo nível de protecção, embora tendo em conta a especificidade do trabalho policial e judicial.

Temos de reconhecer que existe neste momento uma protecção insuficiente. A recente aprovação da proposta de directiva relativa à retenção de dados já tinha sido acompanhada de um pedido claro para que fossem adoptadas rapidamente as garantias adequadas no âmbito desta decisão-quadro. Como relator para as três medidas legislativas relativas à criação do Sistema de Informação de Schengen II, procurei introduzir as alterações necessárias de forma a ter em conta a aprovação desta decisão-quadro e enviei uma carta ao Vice-Presidente Frattini, solicitando à Comissão que actualize as regras em matéria de protecção dos dados na decisão SIS II com o objectivo de garantir a coerência, pois é de extrema importância que as novas normas se apliquem ao SIS II tal como em relação ao VIS.

A resolução criada pelo acórdão do Tribunal de Justiça, de 30 de Maio, que anulou as decisões relativas à transferência de dados PNR para os Estados Unidos da América, vai passar por soluções do terceiro pilar, como afirmou o Comissário Frattini na passada segunda-feira.

Tudo isto vem reforçar a ideia de que é urgente e fundamental aprovar um instrumento legal que assegure a protecção dos dados pessoais fora do primeiro pilar. Por todas essas razões, a adopção desta decisão-quadro reveste-se de um carácter urgente e de uma importância primordial. Felicito a Deputada Roure pelo trabalho que desenvolveu e apoio as alterações que apresentou e que foram aprovadas na Comissão LIBE. Estas propostas deixam claro quais são os princípios e as salvaguardas que queremos ver asseguradas. Apoio igualmente o pedido da relatora no sentido de adiarmos o voto sobre a resolução final para a próxima sessão plenária.

 
  
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  Barbara Kudrycka (PPE-DE). – Panie Przewodniczący! Ta decyzja ramowa jest z całą pewnością bardzo potrzebna. Potrzebna jest po to, aby zwiększyć możliwości współpracy pomiędzy wymiarami sprawiedliwości państw członkowskich oraz z tego powodu, iż zwiększy ona zakres ochrony danych osobowych, a więc tym samym zwiększy prawa osób prywatnych w ramach współpracy trzeciofilarowej.

Po zamachach terrorystycznych, które dotknęły nasz kontynent widzimy jak ważna jest taka dobra współpraca. Niestety w ramach współpracy pomiędzy wymiarami sprawiedliwości państwa członkowskie cały czas wykazują brak wzajemnego zaufania. W wielu przypadkach jest to uzasadnione, ponieważ poziom ochrony często bywa różny. Jeśli jednak chcemy budować spójny obszar sprawiedliwości, wolności i bezpieczeństwa, jeśli w przyszłości chcemy osiągnąć wzajemność w uznawaniu decyzji wydawanych przez organy sprawiedliwości, to decyzje takie jak dzisiejsza decyzja ramowa są z całą pewnością konieczne.

Komisja LIBE wprowadziła do projektu poprawki, które z całą pewnością poprawiają ten projekt oraz tworzą go bardziej precyzyjnym i spójnym z tym, co posiadamy już przy ochronie danych osobowych w pierwszym filarze. Mówiąc o tym nie można jednak zapominać o dwóch generalnych aspektach. Mam nadzieję, jest to pierwszy problem, że ochrona danych osobowych regulowana tą decyzją ramową korespondować będzie z ochroną danych stosowaną przy realizacji zasady dostępności w ramach współpracy stron regulowanych traktatem w Prim.

Z drugiej zaś strony, mam nadzieję, iż przyjęcie tego instrumentu spowoduje, że instytucje unijne nie będą miały już żadnego uzasadnienia do odraczania prac prowadzonych nad pakietem legislacyjnym VIS i SIS, jako że przyjęcie ich leży w żywotnym interesie nowych państw członkowskich.

 
  
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  Przewodniczący. Zamykam debatę.

Głosowanie odbędzie się w środę o godz. 12.30.

 
Juridisk meddelelse - Databeskyttelsespolitik