Thierry Cornillet (ALDE). – Monsieur le Président, la Tunisie fait effectivement l'objet d'une attention soutenue de la part de notre Parlement, mais au-delà de la condamnation, nous pouvons jouer un rôle de conciliateur. C'est le sens de cet amendement oral que je vous lis et qui fait suite au paragraphe 3: "Le Parlement européen invite toutes les parties intéressées à l'avenir de la Ligue tunisienne des droits de l'homme à renouer le dialogue en vue de trouver une solution acceptable par tous."
Si d'aventure, certains des collègues refusaient que cet amendement soit soumis au vote, j'inciterais mes collègues à s'abstenir sur cette résolution, car elle serait déséquilibrée.
Le Président. – Y a-t-il des oppositions à la prise en compte de cet amendement oral?