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Процедура : 2005/0246(COD)
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Етапи на разглеждане на документа : A6-0011/2008

Внесени текстове :

A6-0011/2008

Разисквания :

PV 18/02/2008 - 24
CRE 18/02/2008 - 24

Гласувания :

PV 19/02/2008 - 6.14
Обяснение на вота

Приети текстове :

P6_TA(2008)0049

Пълен протокол на разискванията
Понеделник, 18 февруари 2008 г. - Страсбург Редактирана версия

24. Митнически кодекс на Общността (разискване)
Протокол
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  Presidente. − L'ordine del giorno reca la raccomandazione per la seconda lettura della commissione per il mercato interno e la protezione dei consumatori relativa alla posizione comune definita dal Consiglio in vista dell'adozione del regolamento del Parlamento europeo e del Consiglio che istituisce il codice doganale comunitario (Codice doganale aggiornato) (11272/6/2007 – C6-0354/2007 – 2005/0246(COD)) (Relatrice: Janelly Fourtou) (A6-0011/2008).

 
  
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  Janelly Fourtou, rapporteur. − Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici arrivés à la fin de trois années de travail, et je me réjouis du chemin accompli sur les points importants de ce dossier.

L'union douanière est un fondement de l'Union européenne et un élément essentiel du fonctionnement du marché intérieur. Le code des douanes communautaire actuel, conçu dans les années 1980 et entré en vigueur dans les années 1990, est dépassé. Aujourd'hui, les services douaniers font face à de nouveaux défis. En 2007, les échanges mondiaux avoisinaient les 16 billions de dollars, soit 31 % du PIB mondial, et, à elle seule, l'Union européenne intervient pour 20 % dans le volume total des importations et des exportations mondiales.

Les douanes doivent donc garantir le flux des échanges, tout en effectuant les contrôles nécessaires, et en veillant à protéger la santé et la sécurité des citoyens de la Communauté. Pour parvenir à un bon équilibre, les méthodes de contrôle doivent être modernisées et la coopération entre les différents services et les opérateurs économiques renforcée.

Il faut également adapter ce code aux autres changements radicaux survenus dans l'environnement du commerce international, en raison notamment du recours croissant et irréversible aux technologies de l'information et à l'échange des données électroniques. Ce volet particulier a d'ailleurs fait l'objet d'un rapport de mon collègue Christopher Heaton-Harris, adopté en décembre dernier par notre Assemblée.

La première lecture du code des douanes modernisé a été adoptée le 12 décembre 2006 et la Présidence allemande est parvenue à obtenir un accord politique le 25 juin 2007. En première lecture, le Parlement européen avait adopté 51 amendements, 34 d'entre eux, la plupart essentiels, ont été repris en totalité ou en partie dans la position commune du Conseil.

Les points épineux du dossier étaient l'opérateur économique agréé, le droit de représentation en douane, le dédouanement centralisé et la comitologie. Le concept d'opérateur économique agréé, directement lié aux événements du 11 septembre, a été introduit par le règlement dit "amendement de sécurité" afin d'accroître les facilités pour les opérateurs en compensation des charges nouvelles liées à la prise en compte de la dimension sécuritaire.

Votre rapporteur est satisfait de la reprise de l'idée développée par le Parlement lors de la première lecture de différencier deux types d'autorisations: simplification douanière, d'une part, sécurité et sûreté, d'autre part. Cette solution pragmatique tient compte des différents besoins des opérateurs économiques.

Concernant le droit de représentation en douane, l'émotion était grande dans les pays où la profession était particulièrement bien implantée. Si le Conseil n'a pas repris exactement les propositions du Parlement, il s'est quand même basé sur l'idée d'associer représentant en douane et opérateur économique agréé, comme nous le souhaitions.

Votre rapporteur estime que le Conseil est arrivé à un bon compromis. Qui plus est, cette solution satisfait les associations de représentants en douane, qui ont pourtant perdu leur monopole dans certains États membres.

Quant au dédouanement centralisé, autre grande nouveauté, le Conseil a introduit un nouvel article, l'article 106, estimant qu'il était préférable, par souci de logique et de transparence, d'intégrer dans un article unique toutes les dispositions du code liées à ce concept.

Dorénavant, tous les opérateurs économiques peuvent bénéficier du dédouanement centralisé sur le territoire d'un même État membre. Pour en bénéficier dans plusieurs États membres, il leur faudra répondre aux critères du statut d'opérateur économique agréé.

Enfin, parmi les grandes avancées de ce dossier, nous pouvons également nous féliciter de l'extension de la procédure de comitologie avec contrôle à 44 des dispositions du code des douanes modernisé.

C'est donc pourquoi je demande au Parlement européen de soutenir la position commune du Conseil, sans aucun amendement.

 
  
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  László Kovács, Member of the Commission. − Mr President, after more than two years of active interinstitutional work, we are now very close to the completion of the codecision procedure on this proposal, thanks in particular to the commitment of Ms Fourtou and the support of the members of the Committee on the Internal Market and Consumer Protection.

I am very pleased that the legal framework for a future-oriented reform of European customs will – hopefully – be in place this year, which marks the 40th anniversary of our Customs Union. That will provide encouraging impetus for the work that still lies ahead of us.

The customs union is usually presented as an ‘old’ pillar of the Community. It cannot, however, be reduced to a simple legacy of the past. It is in operation today – and not just to ensure the collection of own resources. More and more, customs administrations, legislation and procedures will secure the internal market, contribute to consumer protection, support the external aspects of common policies and, at the same time, contribute to the facilitation of our international trade. To this end, customs legislation will evolve to respond to major changes and challenges, inside and outside the Union, and resort to the most effective rules and efficient techniques.

What will modernisation of the Community Customs Code actually mean?

First, better customs regulations, including simpler and streamlined rules and procedures, clarifying the rights and obligations of economic operators and guaranteeing their more uniform treatment, while providing for an equivalent level of security and safety.

Second, a progressive computerisation of all customs formalities, with a view to a completely ‘paperless’ environment for customs and trade, whose development will be supported and framed by the e-customs Decision (No 70/2008/EC) of the Parliament and of the Council, adopted on 15 January 2008.

These changes include interoperability between national computerised customs systems. They will allow, in particular, customs clearance of goods at the place of establishment of the declarant, irrespective of the place of entry into, exit from or supply within the Community of those goods – so-called ‘centralised clearance’. They will also permit an exchange of data elements, in real time, between customs authorities, in order to perform risk analysis and improve controls within the framework of common risk management.

By supporting the Commission’s proposal at first reading, Parliament has acknowledged the essential contribution of this legislative initiative to the Lisbon strategy for growth and jobs. The Council common position of October 2007, which incorporates most of the amendments adopted by Parliament at first reading, is considered by the Commission to be a well balanced compromise.

The Commission therefore welcomes Ms Fourtou’s report recommending approval of the common position without amendment.

 
  
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  Christopher Heaton-Harris, on behalf of the PPE-DE Group. – Mr President, firstly I would like to thank Ms Fourtou. I am always in awe of her grasp of the detail in this very complex matter.

The Modernised Customs Code, as the Commissioner has heard me say before, is an amazingly boring but ever so important piece of law from the Commission. In 1975, when the United Kingdom voted in a referendum that we should actually be having now (a referendum on the Lisbon Treaty) – a referendum to come into this club – we thought we were voting to come into a free-trade area. What people got was, in fact, a customs union, and since I have been here I have been working hard on this particular report, because getting this Customs Code right and modernising it correctly is possibly the most important thing we can do until the whole thing is rejuvenated, as the Commissioner said, within the system of e-customs, making trade much more easy and duty collection much more simple across the Union.

However, as with all things European, we do not move forward as quickly as some of us would like – if we move forward at all. There are still barriers that are contained within this text. Some are pretty much built-in, until there is a complete wipe-clean of the slate and we start all over. What is an Authorised Economic Operator? What qualification should customs representatives – or AEOs, as they are known – have? Could these be used in the future as barriers to stop people coming into the business as start-ups, or indeed existing businesses running in Europe spreading across the rest of it?

This Modernised Customs Code is actually a very good document, on balance, but it could have been very much better as well. Alas, we have to compromise in this House a little too often, but I hope that, on balance, this will be good for the continent of Europe.

 
  
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  Manuel Medina Ortega, en nombre del Grupo PSE. – Señor Presidente, creo que el código aduanero comunitario, en la forma en la que ha sido presentado por la Comisión y debatido por el Parlamento y el Consejo, ha recorrido un procedimiento ejemplar. Nuestra ponente, la señora Fourtou le ha dedicado una enorme cantidad de trabajo y al final, como casi siempre, el Parlamento, el Consejo y la Comisión nos hemos encontrado de acuerdo en el texto final que vamos a aprobar.

Creo que, como ha dicho antes el señor Heaton-Harris, la Unión Europea es, sobre todo, una unión aduanera, con lo cual el código aduanero es un importante elemento para su funcionamiento. Sin embargo, el servicio de aduanas en cuanto tal no funciona como una actividad totalmente libre, es una actividad en la que hay una gran intervención de la administración pública, ya que hay determinados bienes y valores que nos afectan a todos. Estamos hablando del contrabando y, en algún caso, de contrabandos tan peligrosos como el contrabando de armas, el de drogas e, incluso, los controles de salida de capital.

Por tanto, es lógico que el código aduanero comunitario recoja las limitaciones normalmente existentes en cada uno de los Estados miembros y trate de armonizar. Creo que los puntos de discusión que teníamos al final han sido satisfactoriamente resueltos, en primer lugar, con el doble concepto del derecho de representación en aduanas y del operador económico autorizado, la idea de que haya dos figuras, que son teóricamente distintas, pero que pueden coincidir y se pueden armonizar. Creo que la solución adoptada es una solución bastante buena y bastante correcta.

El Comisario Kovács ha insistido en el concepto del despacho de aduanas centralizado, en la medida en que la unión aduanera constituye una unidad. En efecto, no tiene sentido que existan diferencias en los diversos puntos aduaneros. Creo que la solución es una solución buena, práctica y que permitirá que funcionemos de una manera adecuada.

Por último, el último aspecto que conviene mencionar es el procedimiento de la comitología. En este momento, tanto la Comisión como el Consejo han reconocido la importancia de la participación del Parlamento en este procedimiento. El acuerdo al que se ha llegado permite que, de las 28 disposiciones con respecto a las cuales se aplicaba este procedimiento con participación del Parlamento, pasemos ahora a 44 disposiciones, es decir, que el Parlamento estará en condiciones de intervenir cada vez más de una manera eficaz en el desarrollo de las disposiciones del código aduanero.

En definitiva, señor Presidente, agradezco a la señora Fourtou el trabajo y también al señor Comisario el esfuerzo que ha hecho por recoger las propuestas del Parlamento.

 
  
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  Othmar Karas (PPE-DE). – Herr Präsident, Herr Kommissar, meine Damen und Herren! Die Europäische Union ist zweifelsohne viel mehr als eine Zollunion. Wir werden auch durch die heutige Diskussion und den morgigen Beschluss nicht auf eine Zollunion reduziert. Trotzdem ist die Zollpolitik an den Außengrenzen ein wichtiger Bestandteil der Tätigkeit der Europäischen Union und eines funktionierenden Binnenmarktes.

Der ÖVP-Europaclub im Europäischen Parlament begrüßt den Vorschlag für eine Verordnung zur Festlegung des modernisierten Zollkodex der Gemeinschaft. Warum? Weil das Zollverfahren verschlankt wurde, weil die Grundlage für einfachere, schnellere, gemeinsame Zollabwicklungsverfahren an der Außengrenze geschaffen wurde, weil den radikalen Änderungen des Umfelds, in dem der internationale Handel stattfindet, z.B. der Informationstechnologie, der elektronischen Daten usw., Rechnung getragen wird, weil Zollvertreter klar definiert und klaren gemeinsamen Kriterien unterworfen werden, weil die berufliche Zuverlässigkeit gestärkt und die notwendige Sachkenntnis gefordert wird.

Diese Verordnung stärkt die Zusammenarbeit zwischen den Mitgliedstaaten und der Europäischen Union. Sie schafft mehr Gemeinsamkeit, was auch dadurch zum Ausdruck kommt, dass alle Änderungsanträge des Parlaments vom Rat übernommen wurden. Für mich bleibt eine einfachere, eine schnellere, eine gemeinsame Abwicklung, und das ist gut für die Unternehmen und die gesamte Europäische Union.

 
  
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  Andreas Schwab (PPE-DE). – Herr Präsident, liebe Kolleginnen und Kollegen! Auch von meiner Seite herzlichen Dank an die Berichterstatterin und natürlich an unseren Schattenberichterstatter, die bei einem sehr technischen Dossier wertvolle Arbeit geleistet haben.

Mit dem neuen Zollkodex werden ja der bestehende Kodex und die auf ihn Bezug nehmenden Verordnungen durch einen modernisierten Kodex ersetzt, die bestehenden Zollverfahren verschlankt und die Grundlagen für zugängliche interoperable Zollabwicklungsverfahren auf der gesamten europäischen Ebene geschaffen. Das begrüßen wir sehr, denn es heißt für Unternehmen konkret eine Anpassung an die heutige Entwicklung der Informationstechnologie und eine schnellere und sicherere Abwicklung der zunehmenden Mengen an Gütern, die die EU-Grenzen passieren.

Unternehmerverbände und Handelskammern haben am Anfang zu Recht vor überbordender Bürokratie im Rahmen von EU-Sicherheitsinitiativen gewarnt, die aus den Vereinigten Staaten von Amerika herübergeschwappt sind, und wir haben mit den Beratungen im Parlament und auch einem intensiven Kontakt zu den Stellen der Kommission, denen ich dafür ausdrücklich danke, am Ende eine relativ solide, unbürokratische Lösung gefunden.

Ein wichtiger Punkt für Unternehmen, der nun umgesetzt wird, ist die Etablierung der zentralen Zollabwicklung im Rahmen eines Single Point of Contacts. Wir konnten uns außerdem mit der Forderung durchsetzen — und darauf bin ich sehr stolz —, dass der Status des zugelassenen Wirtschaftsbeteiligten am Ende wirklich ein privilegierter Status ist, der nur den Wirtschaftsbeteiligten zu Gute kommt, die festgelegte Kriterien erfüllen.

Als Abgeordneter aus Südbaden möchte ich es aber nicht versäumen, auch darauf hinzuweisen, dass der Zollkodex an den Landesgrenzen, an den Grenzen der Europäischen Union, zu Staaten, die nicht Mitglied sind, erhebliche Probleme aufwerfen kann, wenn nicht rechtzeitig entsprechende Vorsorge getroffen wird. Ich weiß, dass die Kommission diese Vorsorge treffen möchte, ich hoffe — ich spreche von der Schweiz —, dass auch die Mitgliedstaaten des Gemischten Ausschusses EU-Schweiz ihre Aufgaben hier erfüllen.

Die Schweiz ist einer der wichtigsten Abnehmer von EU-Gütern. 41 % der gesamten Exporte und 59 % der gesamten Importe der Schweiz entfallen auf die vier direkt benachbarten EU-Mitgliedstaaten, deswegen ist hier Handlungsbedarf geboten. Wir können nicht akzeptieren, dass sich im Rahmen des Zollkodex kilometerlange Schlangen an den Grenzen zur Schweiz aufbauen, nur weil das Schweizer Verfahren der Zollabwicklung sich an einigen kleinen Punkten unterscheidet.

Herr Kommissar Kovács, ich darf Sie noch einmal sehr herzlich darum bitten, sich dieses Problems anzunehmen und den Mitgliedstaaten, die hier zur Verantwortung gezogen werden müssen, eindringlich ins Gewissen zu reden. Es geht auch um einen Wirtschaftsstandort im Herzen Europas, der von den internationalen Warenströmen nicht abgeschnitten werden darf.

 
  
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  Zuzana Roithová (PPE-DE). – Pane předsedo, dámy a pánové, věřím, že zítra přijmeme ve druhém čtení ten dosažený společný postoj Rady k celnímu kodexu. Je to zdařilá modernizace evropského celního práva a je skutečnou bránou k elektronickému, centralizovanému, interoperabilnímu a automatizovanému celnictví. Všechny orgány Společenství budou využívat jednoho správního místa – one-stop-shop – pro své operace, což také zefektivní kontrolu, kterou tedy potřebujeme velmi. Díky jednotnému celnímu informačnímu portálu – single window – budou podnikatelé moci komunikovat jen s jedním úřadem v Unii v zemi svého usazení. Tato norma skutečně zjednodušuje, sjednocuje a zlidšťuje terminologii a definice. Je skvělým důkazem, že dokážeme i v rozšířené Unii zjednodušit byrokracii a zlepšit právní prostředí pro podnikatele a občany. Navíc se má investice prý vrátit už v roce 2010. Děkuji zpravodajům, paní Fourtou a panu Newtonovi Dunnovi, Komisi a i Radě za opravdu dobře odvedenou tříletou práci.

 
  
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  Bill Newton Dunn (ALDE). – Mr President, I would just like to make one comment in response to Mr Heaton-Harris saying that he thought that Britain in 1975 was joining a free-trade area. I am very worried about his memory, or perhaps it is his education. Britain was leaving a European free-trade area – it was called EFTA. We chose to leave it to join the European Community, and Mrs Thatcher, who was the Conservative leader at the time of the 1975 referendum in the UK, said that it was ‘more than a free-trade area’. Very simple, very clear, on the record.

Now, since Mr Heaton-Harris wants a referendum today on the Lisbon Treaty in the UK, he is clearly confident that the British public would read all the documents to make up their minds how to vote. And that must have been true in 1975. The British public in 1975 will have read in the documents that this is about an ever closer union and not a free-trade area. The European Union is about an ever closer union. So please, Mr President, can we get a pill for Mr Heaton-Harris’s memory?

 
  
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  Presidente. − Grazie, onorevole Newton Dunn. Come sarebbero tristi le serate del Parlamento europeo senza delle interessanti discussioni britanniche.

 
  
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  Mairead McGuinness (PPE-DE). – Mr President, I will resist the temptation to join in. I would like to thank the rapporteur for the detailed work on this report.

Let us be honest, this is not the stuff that people talk about in public houses and on social occasions. But getting our customs laws right is very important for business and for jobs, and that is why we are doing it. So the idea of centralised clearance makes good sense, if it works – and let us hope that it does, under these new rules.

Also, the idea of a single window has potential to reduce unnecessary bureaucracy. But can I make just one point: let us take feedback, when this all is up and running, from the economic operators, and be willing to adjust it where we see problems which have been identified by other speakers this evening.

 
  
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  László Kovács, Member of the Commission. − Mr President, my point of departure is that I am not only pleased but also very proud that we have reached this point, because I agree with all those speakers who consider it a very great achievement for the Union as a whole.

First of all, I would like to express my thanks for your support for the Modernised Customs Code and for your interest in future developments. As you have recalled, the adoption and subsequent entry into force of the Code will not be the end of the story, since its application will depend on the finalisation and application of its implementing provisions.

The new regulatory procedure with scrutiny will be used for the adoption of these provisions. It will give Parliament the possibility to check the way the Commission intends to implement in detail, with the assistance of the Customs Code Committee, the general provisions resulting from the Code.

Besides this procedural requirement, the Commission intends to keep Parliament, through its Committee on the Internal Market and Consumer Protection, properly informed about the state of preparation of the draft implementing measures and the time-schedule envisaged for the application of the Modernised Customs Code.

Concerning the problem of Switzerland and the European Union, which Mr Schwab raised, on 1 July 2009 the security amendment to the Community Customs Code will be fully implemented. This means that all goods entering or leaving the Community shall be the subject of a pre-arrival or pre-departure declaration. The Authorised Economic Operator will benefit from the facilitations envisaged in the Code.

As with other third countries, we are currently negotiating with Switzerland on the mutual recognition of control centres, the results of controls and the status of Authorised Economic Operator. The negotiations are ongoing, and we are looking for a mutually satisfactory solution to be in place by 1 July 2009.

Now let me finish by inviting you to join the celebrations of the 40th anniversary of the Customs Union on 1 July 2008. The Customs Union was the first cornerstone in building the internal market and remains one of its essential components. I am looking forward to continuing our discussion about the future role of customs in the context of the celebrations. Thank you very much, once again, for your support.

 
  
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  Janelly Fourtou, rapporteur. − Monsieur le Président, je remercie les intervenants et tous ceux qui ont contribué à l'élaboration de ce rapport.

Puisque M. Medina Ortega a parlé de contrebande, je ne résiste pas à l'envie de vous parler de contrefaçon. Entre 1998 et 2004, le nombre de prises de contrefaçons a augmenté de 1000 %. C'est dire si les contrôles spécifiques et une nouvelle approche de la fonction de la douane avaient besoin d'une modernisation.

Je tiens aussi à saluer les professionnels, qui ont fait preuve d'une grande ouverture d'esprit, et je tiens à leur dire que je ne me sens pas quitte envers eux. Ceci répondra sans doute aux préoccupations de Mme McGuinness. Pour ce qui est des mesures d'application, je m'efforcerai de favoriser le dialogue entre eux et les institutions communautaires, dont la Commission, avec qui la coopération a toujours été étroite et fructueuse.

Je vous invite donc à voter en faveur de la position commune et je vous remercie de votre attention.

 
  
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  Presidente. − La discussione è chiusa.

La votazione si svolgerà martedì 19 febbraio 2008.

 
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