President. − The next item is the report with recommendations to the Commission by Jürgen Klute, on behalf of the Committee on Economic and Monetary Affairs, on access to basic banking services (2012/2055(INI)) (A7-0197/2012).
Before we start, can I make the point that we are running 30 minutes late. I would hope that people keep to time to allow the interpreters and other staff to get something to eat before we resume at 9 p.m. It is after all their human right.
Jürgen Klute, Berichterstatter. − Herr Präsident, sehr geehrter Herr Kommissar Barnier! Auf unserer Agenda steht diese Woche ein legislativer Initiativbericht zum Thema Zugang zu Basiskonten. Das Parlament macht klare und detaillierte Vorschläge, wie eine Gesetzesinitiative der Kommission aus seiner Sicht aussehen könnte und sollte.
Der erste klare Vorschlag betrifft den Zeitplan. Eine sehr große Mehrheit im federführenden Ausschuss, im ECON, ist der Meinung, dass wir bei diesem Thema nicht unnötig weitere Zeit verlieren sollten und dürfen. Wir fordern daher die Kommission auf, dem Parlament bis Januar 2013 einen legislativen Vorschlag zu unterbreiten. Ich denke, da befinden wir uns durchaus auf einer Linie mit Herrn Barnier.
Wir sind der Meinung, dass die EU den 30 Millionen Bürgerinnen und Bürgern, die ihren Alltag bisher ohne ein eigenes Bankkonto gestalten, ermöglichen muss, sich in normale Wirtschaftskreisläufe zu integrieren. Ohne Konto werden Selbstverständlichkeiten schnell zu einem unlösbaren Problem. Das Anmieten einer Wohnung, der Zugang zu Energie oder die Integration in eine moderne Arbeitswelt: Ohne ein Bankkonto ist das in den meisten Staaten kaum machbar. Wir meinen, dass all das nicht an der Renditemaximierung von Bankinstituten scheitern darf. Um es mit den Worten des Berichts zu sagen: Banken haben auch eine Verantwortung für die Gesellschaft. Eine funktionierende soziale Marktwirtschaft, einen modernen Binnenmarkt erreichen wir nur, wenn diese Verantwortung auch tatsächlich wahrgenommen wird. Doch seien wir ehrlich: Viele Bürger trauen der EU nicht mehr zu, diese Ziele zu verwirklichen. Wenn es hart auf hart kommt – wie in der gegenwärtigen Krise –, dann bleibt für die Mehrzahl der Bürgerinnen und Bürger vieles nur schöne Worte. Sie sehen vor allen Dingen, dass die EU mit großen Rettungspaketen die Banken unterstützt, und viele Bürger fühlen sich im Regen stehen gelassen. Das ist doch zumindest der Eindruck, der sich bei immer mehr Bürgern in immer mehr Ländern der Europäischen Union festsetzt.
Der Bericht, über den wir morgen abstimmen, war ursprünglich nicht als Initiativbericht geplant. Wenn die Kommission in ihrer Mehrheit ihren eigenen Plänen treu geblieben wäre, könnten wir den Bürgern heute schon ein Verhandlungsergebnis präsentieren. Dann könnte das europaweite Verbraucherrecht auf ein Konto bereits auf dem Weg oder sogar schon Wirklichkeit sein.
Wir halten die bisherige Bilanz der Empfehlung, die die Kommission an die Mitgliedstaaten gerichtet hat, für enttäuschend. Manche Antworten, die aus den Mitgliedstaaten auf die Anfrage, auf die Länderberichte der Kommission gekommen sind, ähneln mehr einer Satire als einer vernünftigen und bürgernahen Politik. Um das zu verstehen, sollten wir uns eines vergegenwärtigen: Wir haben es bei der Frage des Zugangs zu Konten mit gesellschaftlichen Interessen zu tun, das ist normal. Es sind Interessen, die unterschiedlicher kaum sein könnten, was ihre Einflussmöglichkeiten angeht. Politik muss daher einen fairen und gesellschaftlich wünschenswerten Interessensausgleich organisieren. Das ist unsere Verantwortung als Politiker, als Mitglieder dieses Parlaments.
Ich kann hier nicht auf alle Punkte des Berichts eingehen, ich will nur einige aus meiner Sicht zentrale Punkte kurz benennen und darauf eingehen. Stichpunkt Kosten: Ein Basiskonto sollte kostenfrei oder doch zumindest kostengünstig angeboten werden. So steht es in dem Bericht. Um dies sicherzustellen, sollen die Mitgliedstaaten eine verbindliche Obergrenze festschreiben. Die Kommission sollte daneben prüfen, wie eine EU-weite Obergrenze für Gebühren für ein Basiskonto aussehen könnte. Ohne eine klare Kostenregelung erreichen wir unsere Zielgruppe nämlich nicht.
Der Zugang ist ein weiterer Punkt. Die bürokratischen Hürden für Verbraucher, die auf ein Basiskonto angewiesen sind, müssen so gering wie möglich gehalten werden. Finanzielle Ausgrenzung geht Hand in Hand mit sozialer Ausgrenzung. Subsidiarität ist ein weiterer Punkt. Mit einer Richtlinie könnte auf nationale Besonderheiten Rücksicht genommen werden. Wenngleich möglichst alle Banken unter die Richtlinie fallen sollten, denken wir, dass die Mitgliedstaaten am besten in der Lage sind, mögliche Ausnahmen zu definieren.
Zum Ende meiner Ausführungen möchte ich mich noch bei dem Verhandlungsteam, bei der Führung ECON und auch beim Ausschuss für Binnenmarkt ganz herzlich bedanken, aber auch bei Kommissar Barnier, mit denen es eine sehr gute und konstruktive Zusammenarbeit gegeben hat. Das hat sicherlich wesentlich zum Gelingen des Berichts beigetragen.
Michel Barnier, membre de la Commission. − Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, ce que vient de dire Jürgen Klute dans le rapport qu'il vous présente est très important pour la dimension équitable ou humaniste du marché intérieur, que j'ai souvent soulignée devant vous, en affichant et en affirmant l'espérance ou l'ambition, avec vous, de réconcilier les citoyens et les petites et moyennes entreprises avec le grand marché, alors qu'ils ont le sentiment que ce grand marché n'est pas fait pour eux mais qu'il est seulement fait pour les grands et pour les gros. Voilà pourquoi j'ai fait de la protection des consommateurs une des priorités de notre action cette année.
Tout à l'heure, j'ai présenté, au nom de la Commission, trois textes qui vont dans cette direction, sur la protection des investisseurs, des petits investisseurs, des produits d'épargne, des produits financiers, des produits d'assurance, sur la responsabilité des dépositaires. Trois textes législatifs qui vont arriver sur votre table et, ce soir, nous parlons de la même chose, c'est-à-dire de cette ambition de rétablir la confiance.
Mesdames et Messieurs, il ne s'agit pas seulement de la confiance des marchés, ni de la confiance des grandes institutions financières ou de la confiance dans le mécanisme de formation des prix. Bien sûr, c'est important, mais il s'agit aujourd'hui, tout autant, de la confiance des citoyens, des consommateurs, qui a eu beaucoup de raisons d'être contestée ou lassée par trop d'affaires ou de crises, parfois même de malversations dans le passé.
Quand nous parlons de confiance, nous sommes sur le thème que M. Klute évoque dans son rapport et qui n'a rien d'anecdotique: 30 millions de personnes en Europe, 7 % de la population adulte de l'Union ne possèdent pas de compte bancaire; parmi elles, au moins 20 % en ont été privées ou n'ont pas osé demander l'ouverture ou la réouverture d'un compte personnel. Il faut que les consommateurs aient accès à des services de paiement pour avoir leur place et jouer leur rôle dans le grand marché européen.
Voilà pourquoi je salue votre travail et je vous remercie, Monsieur Klute. Je remercie aussi Madame Gebhardt pour son travail au sein de la commission IMCO avec plusieurs de vos collègues.
Nous avons, comme vous le savez, joué le jeu du dialogue et du contrat avec les États membres. Dans un tout premier temps, que vous avez peut-être trouvé un peu long – celui de la consultation et de la réflexion –, cette recommandation de la Commission n'a été suivie que d'effets contrastés, partiels, dans les États membres.
Seuls quelques-uns d'entre eux ont mis en pratique certaines lignes de notre recommandation, une dizaine d'États membres n'ont rien fait du tout après l'adoption de ce texte, et certains ont agi partiellement. Voilà pourquoi votre rapport, Monsieur Klute, vient au bon moment pour servir de base, de très bonne base aux propositions législatives que je vous présenterai sous réserve de l'accord du collège au mois de novembre prochain, c'est-à-dire dans quelques semaines.
Je voudrais évoquer brièvement quelques points qui guideront notre proposition. D'abord, un accès garanti pour les personnes dépourvues de compte. Il s'agit des bénéficiaires, naturellement, qui sont les premiers concernés, c'est-à-dire les personnes qui sont dépourvues d'accès aux services de paiement dans un État membre, celles qui se sont vu refuser l'ouverture d'un compte bancaire en raison de leur situation sociale ou financière, du chômage, de l'endettement ou encore au motif qu'elles ne résident pas dans un État où elles ont, pourtant, besoin d'un compte – je pense aux étudiants ou aux travailleurs saisonniers. Voilà la population qui est concernée.
S'agissant des prestataires, faut-il leur imposer à tous d'offrir des comptes de base ou à certains d'entre eux seulement? Dans ce cas, comment déterminer lesquels?
Je pense qu'il faut d'abord étudier les aspects pratiques des différentes solutions et regarder les traditions nationales, puisque ce qui compte ici, avant tout, c'est qu'il y ait un accès effectif aux comptes de paiement de base. Au-delà, nous devons trouver des normes de qualité pour le contenu du compte de base, comme vous l'avez dit vous-même, Monsieur Klute. Je ne me satisferai pas d'un compte de paiement de base au rabais qui ne permette pas d'effectuer les opérations les plus simples nécessaires à la vie quotidienne. Dans le même temps, nous devons veiller à ne pas avoir des exigences disproportionnées, mais je ne veux pas que ce compte bancaire de base auquel nous allons travailler soit un compte au rabais.
Sur la question de l'inclusion ou non de la possibilité d'un découvert, je n'ai pas d'idée préconçue. Il y a des avantages et des inconvénients et nous sommes prêts à travailler sur la base des propositions que M. Klute a bien voulu esquisser.
Le troisième sujet est le principe de l'accessibilité tarifaire. Dans certains États, il existe des comptes de paiement de base sans limitation des frais bancaires qui les concernent. On constate, d'ailleurs, que les banques qui offrent des comptes de paiement de base le font souvent à un prix élevé. Peut-on alors considérer que l'accessibilité est assurée? Je ne le crois pas. Je crois en la vertu d'un principe tarifaire raisonnable, qui permette une véritable accessibilité, davantage d'ailleurs qu'en un plafonnement rigide autour d'un montant précis et uniforme.
Le principe de coût raisonnable ne doit donc pas empêcher les prestataires d'innover et de proposer des formes diversifiées de compte de paiement de base à l'intérieur, bien entendu, de normes communes.
Je suis donc assez favorable, Mesdames et Messieurs, à l'idée de préserver une certaine flexibilité pour les États membres sur la question des prix. Nous devrons travailler et c'est ce que je fais, sur la question de l'information pertinente à délivrer aux consommateurs et aussi sur les mécanismes de résolution des litiges éventuels entre consommateurs et professionnels.
Enfin, le dernier point important est le rôle des États. Nous avons besoin des États membres pour faire adopter ce texte. Nous devons regarder de très près ce qui se fait au niveau national et nous appuyer sur ce qui se fait de mieux. Vous le savez, Mesdames et Messieurs, un certain nombre d'État membres ne sont pas favorables à cette idée ou ne sont pas enthousiastes à cette initiative de l'Union. Nous devrons donc agir, de manière convaincante et déterminée et élaborer une proposition efficace et équilibrée pour les convaincre de soutenir notre proposition au Conseil. En tout cas, vous pouvez, très clairement, compter sur ma propre détermination dans les quelques semaines qui viennent.
Evelyne Gebhardt, Verfasserin der Stellungnahme des mitberatenden Ausschusses für Binnenmarkt und Verbraucherschutz. − Herr Präsident! Die Enttäuschung war sehr groß, Herr Barnier, als – anders als im Arbeitsprogramm 2011 angekündigt – nicht ein Legislativvorschlag, sondern nur eine Empfehlung an die Mitgliedstaaten herausgekommen ist. Deswegen begrüße ich sehr, dass Sie hier heute noch einmal den Willen zeigen, spätestens im Herbst – hoffe ich – einen Legislativvorschlag vorzulegen. Denn wir wissen, dass Appelle schlicht und einfach gar nichts bewirken.
Und 30 Millionen Bürger und Bürgerinnen warten darauf, dass sie auch wirklich Zugang zu einem Basiskonto erhalten, damit sie die elementaren Dinge, die wir in der heutigen Gesellschaft brauchen, erledigen können. 30 Millionen Bürger und Bürgerinnen – Saisonarbeiter, Menschen, die wenig verdienen, Obdachlose, Studierende –, all diese Menschen haben ein Recht auf ein Bankkonto. Es muss sichergestellt werden, dass sie dieses auch bekommen.
Dieses Basiskonto muss auch günstig sein. Es darf nicht sein, dass diese Menschen über den Preis doch wieder ausgeschlossen werden, oder weil sie keine Adresse haben, oder aus irgendwelchen anderen Gründen, die immer wieder vorgebracht werden. Wir müssen zusichern, wir müssen dafür sorgen, dass dieses Recht kommt, denn wir können nicht akzeptieren, dass es Menschen erster und zweiter Klasse in unserer Gesellschaft gibt. Deswegen hoffe ich sehr, dass Sie Ihr Kollegium sehr schnell überzeugen können. Wir werden Ihnen dabei helfen, Herr Barnier, dafür zu sorgen, dass auch die Mitgliedstaaten am Ende zustimmen, denn hier geht es wirklich um elementare Rechte.
Gay Mitchell, on behalf of the PPE Group. – Mr President, can I thank Commissioner Barnier for his response and also the rapporteur for the report. We should acknowledge that Commissioner Barnier has had a major role in protecting consumers and I am very pleased to hear what he said here this evening in relation to acting on proposals.
Seven per cent of the adult population within the European Union is a very big number. In my own country, 100 000 adults do not have bank accounts and many of them receive, for example, social welfare payments in cash via post offices; they do not have the option to have it paid into a bank account because they cannot get a bank account. This has implications in this day and age for things like shopping on the Internet, for taking advantage of bargains that become available, for buying tickets, for booking events – things that we all take as the normal way of conducting our business.
Discussions on how to reform the banking sector have been going on now for some considerable time, but I think there needs to be more discussion and more consideration of how we get the banks to actually act in favour of individuals and in favour of the public good. Looking for example at the enormity of the bank rescue in Ireland where the government injected or committed EUR 62 billion of public funding to the banks, I think banks should be going out of their way now to show that they have what Commissioner Barnier called that ‘humanist touch’ and should start to take account of people who are suffering and hurting.
It would be very useful if the Commissioner were at some stage to give some thought to the idea of how he might encourage the return of traditional bank managers, managers who assess people on their track record, on their character, on their knowledge of the business, on the sort of person they are. There is far too much automaticity in the banking system. We need to get much further back to the human touch.
Olle Ludvigsson, för S&D-gruppen. – Herr talman! Finansiellt utanförskap är ett stort problem. Att inte kunna göra normala banktransaktioner till en rimlig kostnad är handikappande i dagens samhälle. I nuläget brottas miljontals europeiska konsumenter med detta problem. Så behöver det inte vara och så ska det inte heller vara.
Därför är det bra att vi nu ber kommissionen presentera ett lagförslag där alla konsumenter i EU ges rätten att öppna och använda ett grundläggande betalkonto. Det handlar om en liten reform som ändå skulle hjälpa många.
Tre aspekter är särskilt viktiga. För det första bör alla normala vardagstransaktioner ingå i ett sådant konto. För det andra behöver lagstiftningen innehålla ett tak för hur mycket de grundläggande betaltjänsterna får kosta per år. Utan ett sådant tak skulle kostnaden sannolikt skjuta i höjden. Den nya rättigheten skulle då inte vara till mycken hjälp. Om tjänsten blev för dyr skulle många konsumenter inte heller ha råd att använda den på ett normalt sätt.
För det tredje bör lagstiftningen göra alla betaltjänstleverantörer skyldiga att erbjuda det grundläggande betalkontot. Då undviks den sociala stigmatisering som skulle kunna uppstå om kommersiellt mindre attraktiva konsumenter skulle slussas till någon enstaka betaltjänstleverantör.
Hittills har medlemsstaterna inte gjort sin hemläxa. Om den trenden fortsätter förväntar vi oss ett snabbt levererat lagförslag.
(Talaren samtyckte till att besvara en fråga (blått kort) i enlighet med artikel 149.8 i arbetsordningen.)
Olle Schmidt (ALDE), Fråga “blått kort”. – Min fråga till min sympatiske kollega Olle Ludvigsson avser formuleringen – du nämnde den själv – ”till en rimlig kostnad”. I den diskussion vi hade i IMCO-utskottet fanns det förslag från dina partivänner att det skulle vara gratis att få den här typen av konto. Tycker du att den formulering som nu finns i texten: ”till en rimlig kostnad”, är acceptabel?
Olle Ludvigsson (S&D), Svar “blått kort”. – Det har framförts olika synpunkter, och det är just på den här grunden vi har kommit överens om att det antingen ska vara utan kostnad eller till en rimlig kostnad. Det är den överenskommelsen vi har gjort.
Philippe De Backer, namens de ALDE-Fractie. – Wij weten allemaal dat cash geld in onze samenleving meer en meer wordt vervangen door elektronische vormen van betaling en dan is natuurlijk toegang tot een basisbankrekening van essentieel belang. Vele dingen worden een probleem in onze maatschappij als men daar geen toegang toe heeft. Het ontvangen van loon, het uitbetalen van pensioenen, het betalen van energierekeningen, de aankoop van producten of diensten blijken allemaal zeer moeilijk als men niet kan beschikken over een basisbankrekening. De toegang tot die betaaldienst is dus van cruciaal belang, zeker voor zwakkere en ook zeer mobiele consumenten en mensen die zich vandaag in de ganse Europese Unie meer en meer bewegen tussen de verschillende landen.
Nog al te vaak blijven bijvoorbeeld Erasmus-studenten die in het buitenland verblijven, grensarbeiders en gepensioneerden die deeltijds in een ander land wonen, uitgesloten van dergelijke essentiële en elementaire betaaldiensten. Ik ben dan ook blij dat wij met het Europees Parlement de druk op de lidstaten opvoeren. Wij pleiten er ook voor dat de consument die geen bankrekening krijgt in een lidstaat wel toegang zal krijgen tot een basisbankdienst in de lidstaat waar hij verblijft of bepaalde functies uitoefent.
Ik denk dat het ook heel belangrijk is dat, indien lidstaten geen actie ondernemen, wij ervoor pleiten om vóór januari 2013 met een Europees bindend wetsvoorstel te komen. Het Europees Parlement volgt hiermee eigenlijk voor een deel hetgeen de Belgische regering al een tijdje geleden heeft gedaan en waardoor al sinds 2003 een wetgevend kader bestaat dat ertoe heeft bijgedragen dat meer mensen gebruik kunnen maken van elementaire betaaldiensten.
De informatie die verspreid moet worden rond die elementaire betaaldiensten is belangrijk. Het moet transparant zijn hoe mensen daar toegang toe kunnen krijgen. Er moeten verschillende systemen nagekeken worden, net zoals de Commissie heeft aangekondigd, maar natuurlijk moet de basisbankdienst ook breed genoeg zijn om juist heel inclusief te kunnen werken en de meest elementaire betalingen te kunnen verrichten.
Ik ben blij dat, als het tot een wetgevend kader zou komen, zowel de lidstaten als Europese instanties erop gaan toezien dat er geen misbruik wordt gemaakt van deze basisdienst. De toegang moet breed zijn, maar natuurlijk kan een elementaire betaaldienst niet oneerlijk concurreren met een gewone bankdienst. Ik ben dan ook blij dat de lidstaten hopelijk binnenkort verplicht zullen worden om iedereen toegang tot deze basisbankdiensten te verschaffen.
Emilie Turunen, for Verts/ALE-Gruppen. – Hr. formand! Det er på høje tid, at vi i EU etablerer en ret for alle borgere til at have adgang til en konto og en pligt for alle banker til at udbyde en konto. Jeg så selvfølgelig gerne, at vi fra EU's side slet ikke havde brug for at indføre sådan en slags lovgivning, at medlemslandene eller i bedste fald bankerne selv tog sig af den opgave, det er at sikre alle borgere adgang til en konto.
Virkeligheden er imidlertid meget mere alvorlig. Den viser os, at 7 % af alle voksne europæere i dag ikke har adgang til en konto. Derfor synes jeg også, at vi må tage ansvaret på os fra europæisk side og sige, at det skal være en klar rettighed i Unionen. Vi ved, det drejer sig om studerende, det drejer sig om migranter, det drejer sig om de fattigste i vores samfund, som måske ikke er de mest attraktive bankkunder, men det gør det ikke mindre vigtigt at sikre, at de har adgang til en konto, fordi det også er et redskab til aktiv inklusion.
Så derfor vil jeg bare kort sige, at det er helt afgørende, at Kommissionen kommer med et lovgivningsforslag, og at det er helt afgørende, at dette hus bakker meget bredt op om den glimrende tekst, der foreligger fra ECON-udvalget i morgen.
Ivo Strejček, za skupinu ECR. – Pane předsedající, já hned na začátek chci odmítnout teze, které tady zaznívají od některých z vás, já jim prostě nevěřím. Já si nemyslím, že přístup k základnímu platebnímu účtu je základním lidským právem.
Obhajujete-li tady právo, pak ve vašich všech zdůvodněních zaznívá, že obhajujete povinný nárok, že má vzniknout něco, co je povinným nárokem. Sami víte, když jsme v průběhu projednávání zprávy pana Kluteho hledali i společné průniky a společný kompromis, tak jsme naráželi na problémy, které jsme v té chvíli neuměli rozhodnout, neuměli jsme je vyřešit a zároveň to budou zřejmě obtížně řešitelné problémy i pro budoucnost.
Vzpomeňte, debatovali jsme, jak vysoký má být poplatek za zřízení účtu, jak vysoký má být poplatek za vedení účtu. Je to projekt uzavřený pouze pro občany Evropské unie, nebo i pro ty, kteří krátkodobě v evropském prostoru pobývají? Je tam celá řada problémů, pro které návrh nemůžeme podpořit.
Theodor Dumitru Stolojan (PPE). - Mulţumesc domnului Klute pentru că a avut iniţiativa acestui raport. Într-adevăr, accesul la serviciile bancare de bază nu este numai o condiţie pentru buna funcţionare a pieţei unice, dar este şi o cerinţă a progresului economic şi social. Acest acces la serviciile bancare de bază ar trebui să se facă la costuri cât mai mici pentru cetăţeni şi firme.
Din păcate, însă, ne aflăm într-o lume bancară unde asistăm la abuzuri ale băncilor faţă de cetăţeni, în special faţă de cetăţenii neinformaţi, în ceea ce priveşte taxele percepute pentru diferite servicii bancare. Mai mult, ne aflăm într-o lume bancară în care am aflat cu stupoare că unele bănci mari au manipulat până şi determinarea de către piaţă a acelor dobânzi de referinţă care sunt luate ca bază în contractele de credit cu dobânzi variabile.
În ţara din care provin, România, dar şi în alte ţări, sistemul bancar este dominat de către băncile străine. Şi ce constatăm în aceste ţări? Că taxele care sunt plătite pentru servicii bancare de către cetăţenii din ţara mea şi din alte ţări sunt mai mari decât taxele pe care aceste bănci le percep în ţările lor, unde îşi au headquarters-urile. De asemenea, există servicii bancare gratuite care în ţara mea şi în alte ţări sunt percepute pe bază de taxe. Iată de ce voi susţine mâine, prin vot, raportul domnului Klute.
Antolín Sánchez Presedo (S&D). - Señor Presidente, la inclusión financiera es vital para que el sistema financiero esté al servicio de los ciudadanos y cumplamos los objetivos de la Estrategia Europa 2020. Es inadmisible que de los 30 millones de europeos que carecen de cuenta bancaria, casi 6,5 millones, los más vulnerables, no estén en condiciones de abrirla y asuman por ello un coste que puede llegar a un euro al día.
Apoyo la propuesta del señor Klute de una iniciativa legislativa al respecto y me congratulo del anuncio realizado por el Comisario, señor Barnier, de que la presentará antes de que finalice el presente año.
La Unión Europea debe asegurar el acceso a unos servicios bancarios mínimos, como la apertura de una cuenta básica, sin obstáculos por razón de precio. Debe promover la información y la educación financieras y las prácticas responsables. Es bueno para la eficiencia económica y para evitar la marginación y la adopción de decisiones discriminatorias contra los ciudadanos más vulnerables.
Kay Swinburne (ECR). - Mr President, I agree that consumers need access to basic bank accounts in all Member States, but I do not think that requiring all Europe’s commercial retail banks to provide such centrally-defined accounts is necessarily in the best interests of all consumers.
Let me explain. In Wales there is currently a strong network of credit unions that provide basic banking services to the most disadvantaged group of people in society. They go far beyond simply providing people with bank accounts. They also provide advice and help to those people who have difficulty managing their basic finances. They help those who cannot afford to pay for help to understand financial services and provide a personal relationship manager that the large retail banks will never be in a position to provide; this certainly will not be a commercially-viable proposition.
Access to bank accounts for everybody is likely to put the business of these credit unions in jeopardy and force them out, so that, while people will end up with a bank account, they will lose all the added value that they are getting from these local institutions.
Catch-the-eye procedure
Petru Constantin Luhan (PPE). - Este îngrijorător faptul că, în unele state membre, cetăţenii nu au posibilitatea de a accesa servicii bancare de bază şi este încă îngreunată procedura birocratică; astfel, este mult diminuată utilizarea comerţului electronic şi a transferurilor de fonduri online. Această iniţiativă este absolut necesară pentru că vine în sprijinul consumatorilor vulnerabili din punct de vedere financiar şi a celor mai puţin atractivi din punct de vedere comercial, care de acum vor avea acces la conturi de plăţi de bază, fără restricţii impuse de bănci, pe considerente subiective, beneficiind, astfel, de proceduri simplificate.
Consider că furnizorii de servicii bancare trebuie motivaţi ca de acum încolo să îşi canalizeze eforturile pe campaniile ample de încurajare şi informare a cetăţenilor.
(Preşedintele a întrerupt vorbitorul)
Marc Tarabella (S&D). - Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, chers collègues, en Europe – on l'a dit –, 30 millions de citoyens ne possèdent pas actuellement de compte bancaire. Donc soyons clairs, l'exclusion bancaire provoque et aggrave la spirale de l'exclusion sociale. Ses conséquences sont extrêmement graves.
Or, les banques ont clairement leur part de responsabilités dans cette situation. L'information et l'accompagnement de leur part ne sont pas assez efficaces. Ou plutôt, le système bancaire est extrêmement efficace pour ceux qui ont les moyens et extrêmement exclusif pour tous ceux qui ne les ont pas.
Or, la solution à explorer a certes été évoquée, je pense: c'est sans doute d'obliger les banques à ouvrir un compte adapté à chacun, qui permette d'effectuer les transactions les plus élémentaires, comme la réception d'argent, notamment de paiements. Sans doute faut-il aussi un travail d'éducation à l'intention des personnes qui n'ont pas de compte bancaire, qui n'en utilisent pas et qui n'estiment pas en avoir besoin.
Il ne serait pas inutile d'essayer de faire changer les comportements de ce point de vue.
Olle Schmidt (ALDE). - Mr President, even though I thought I got your message that I should not ask for the floor, I will do it anyway.
Normally I agree with Kay Swinburne but in these circumstances I do not. I think that it is actually a fundamental right to have a basic bank account. Our appeal to the Commissioner today is that these fundamental rights have to be protected. If recommendations and self-regulation are not enough, we need legislation at European level. I hope that we will get that.
Elena Băsescu (PPE). - Deţinerea unui cont bancar reprezintă o condiţie prealabilă pentru participarea deplină la viaţa economică şi socială. Astfel, consumatorii vor putea beneficia de toate avantajele oferite de piaţa internă şi, în special, de libertatea de circulaţie.
Atrag atenţia că, în ciuda acestui fapt, în momentul de faţă, aşa cum a spus şi colegul meu, domnul Tarabella, aproximativ 30 de milioane de persoane nu au încă un cont bancar. Consumatorii respectivi trebuie să suporte costuri mai ridicate din cauză că utilizează excesiv numerarul. De aceea, consider că este important să se promoveze incluziunea financiară şi socială pentru consumatorii din întreaga Europă. În acest fel, se pot îmbunătăţi semnificativ vieţile câtorva milioane de europeni. Este important să se pună capăt practicilor care exclud oamenii de la accesul la un astfel de serviciu de bază.
Phil Prendergast (S&D). - Mr President, millions of our citizens have been refused a basic payment account, which renders their daily life extremely difficult in a world dominated by and dependent on information technologies. A situation of financial exclusion equates to social exclusion. Legislative action in many of our Member States has proved effective at providing what has nowadays become an essential social service.
People in the EU are citizens not merely consumers and, just because a person is not attractive to a bank in terms of profits, this cannot justify a denial of the means to make basic payments, especially when our exchequers and our taxpayers have done and suffered so much to save our financial institutions from the brink of disaster.
A payment account has become necessary for interaction and autonomy in our societies and is a right we must grant to our citizens regardless of their credit status, employment status or residence. I hope the Commission will heed the calls from this evening. This is a commendable report.
Frédéric Daerden (S&D). - Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, chers collègues, je me réjouis de ce débat ce soir sur l'accès aux services bancaires de base, des services qui doivent être rendus au prix le plus bas possible, voire gratuit, condition essentielle à leur accessibilité.
Aujourd'hui, près de 30 millions de personnes n'ont pas accès aux services bancaires de base en Europe. Comment sortir ces personnes de l'exclusion? C'est sur la base de cette interrogation que j'avais introduit une recommandation sur le sujet dans mon rapport sur la lutte contre la pauvreté, adopté en 2011, qui soulignait que l'incapacité pour les personnes en situation de pauvreté d'accéder à des services bancaires de base est un frein notable à leur réinsertion sur le marché du travail et dans la société.
Une initiative est donc indispensable pour lutter contre l'exclusion, pour rétablir la confiance de nos citoyens. Arrêtons de laisser les banques contribuer à l'exclusion sociale!
(End of catch-the-eye procedure)
Michel Barnier, membre de la Commission. − Monsieur le Président, merci à chacun et chacune d'entre vous, pour vos questions et, surtout, pour vos encouragements et votre soutien à cette idée que M. Klute a bien illustrée dans son rapport.
Mme Swinburne et M. Schmidt ont évoqué un point que je veux préciser. Il n'y a aucune volonté d'exclure des établissements qui s'adressent déjà aujourd'hui à ce type de public. C'est le principe de l'accès que nous voulons poser. Nous ne désignons pas des prestataires. Ce point doit donc être clair.
Je remercie d'abord Mme Gebhardt, et également M. Ludvigsson, M. Tarabella, M. Daerden, pour leur soutien et leurs encouragements. Oui, il s'agit bien d'avoir un vrai service bancaire pour ces 7 % de la population qui en sont exclus, c'est-à-dire de vrais services, une véritable garantie d'accès pour tous les citoyens qui vivent légalement dans l'Union et également des coûts très faibles, pour répondre à la préoccupation que Mme Băsescu a évoquée à l'instant.
Je rejoins M. Mitchell et M. De Backer sur le lien qui existe entre ce compte bancaire de base et tout ce qui se passe sur le marché unique électronique, notamment et pas seulement pour le paiement des salaires, mais aussi pour toutes les activités du commerce électronique. Nous évoquons d'ailleurs cette question dans le livre vert sur les paiements électroniques, qui aborde les pistes que nous allons proposer à l'automne, à peu près en même temps, pour développer des paiements sûrs, efficaces, bon marché. Cela ne peut produire des effets que si tous les citoyens de l'Union, et pas seulement 93 % d'entre eux, disposent d'un compte bancaire de base.
Mme Gebhardt et Mme Turunen ont souligné le fait que nous sommes passés par l'étape de la recommandation, qui, me semble-t-il, a été trop longue pour elles, mais qui s'est néanmoins déroulée dans un laps de temps limité. Je n'oublie pas que certains États, comme la Belgique ou l'Italie et d'autres encore, ont agi, mais on voit bien que pour beaucoup d'autres États, il faut un acte législatif contraignant. C'est ce que je vous proposerai dans quelques semaines. Nous sommes très déterminés et très fermes sur notre intention d'offrir cet accès au compte bancaire de base.
M. Sanchez Presedo, qui connaît bien ces sujets de préoccupation des consommateurs, puisqu'il est rapporteur du texte sur le crédit hypothécaire, M. Stolojan, tout à l'heure, ont évoqué les conditions économiques et sociales, Mme Prendergast l'équité. Ce sont toutes ces idées-là qui sont induites par cette proposition pour que le marché intérieur, dans tous ses aspects, notamment financiers, soit plus équitable et plus humain.
D'ailleurs, je peux vous confirmer que nous n'allons pas nous arrêter là. À l'automne, je vais traiter, par un texte législatif, la question de la transparence des frais bancaires, qui concerne, cette fois-ci, tous les clients et tous les citoyens. Et puis, également, la question de la mobilité bancaire. Ce sont les trois points, avec le compte bancaire de base, que nous allons traiter dans ce dernier paquet sur la protection des consommateurs, et notamment celle des citoyens les plus fragiles dans notre société.
Jürgen Klute, Berichterstatter. − Herr Präsident! Ich möchte mich noch einmal ganz herzlich für die Unterstützung für den Bericht bedanken. Das ist ja sehr deutlich geworden. Herr Kommissar, Sie haben gehört, dass diese Initiative eine breite Zustimmung hier im Parlament findet. Ich denke, es ist jetzt wirklich an der Kommission, etwas zu machen. Wir alle wissen, dass Sie da sehr engagiert sind, und keiner hat Zweifel an Ihrem Engagement, aber wir wissen auch, dass es in der Kommission durchaus auch Widerspruch dazu gibt. Also nehmen Sie bitte in Ihr Kollegium mit, was Sie hier gehört haben, und Sie können sich sicher sein, dass Sie in diesem Vorhaben von unserer Seite breite Unterstützung bekommen werden.
Gut, es gibt sicherlich die eine oder andere Detailfrage, da wird man diskutieren müssen, aber ich habe in den Kompromissverhandlungen die Erfahrung gemacht, dass wir da über die Fraktionsgrenzen hinaus sehr konstruktiv zusammengearbeitet haben. Ich bin sicher, dass wir in den konkreten Fragen zu Lösungen kommen werden, die für alle befriedigend sind.
Ich möchte abschließend noch sagen, dass ich mich auf die weitere Zusammenarbeit zu diesem Thema freue.
President. − The debate is closed.
The vote will take place tomorrow (Wednesday, 4 July 2012).
Written statements (Rule 149)
Evelyn Regner (S&D), schriftlich. – Sehr geehrter Herr Kommissar, Sie sind in Verzug! Angeküngigt war bereits im Arbeitsprogramm der Kommission für 2011 einen Gesetzesvorschlag vorzulegen der gewährleistet, dass alle rechtmäßig ansässigen VerbraucherInnen in der EU Zugang zu den grundlegenden Bankdienstleistungen haben. Es gibt 30 Millionen EU-BürgerInnen denen dies heute noch verwehrt ist. Allein in Österreich leben beispielsweise 150.000 Menschen in einem Haushalt ohne Girokonto und die Mehrheit davon unfreiwillig! Finanzielle Ausgrenzung ist ein großes Problem, deshalb muss das Basiskonto günstig sein, es soll eine Obergrenze für die Gebühren beinhalten und muss alle grundlegenden Transaktionen umfassen, damit die Bürgerinnen und Bürger Europas íhre grundlegenden Geschäfte des Alltags erledigen können. Herr Kommissar - handeln Sie und überzeugen Sie rasch das Kollegium der Kommission, damit wir im Parlament diesen Vorschlag bald behandeln können.
Olga Sehnalová (S&D), písemně. – V souvislosti s přístupem k základním bankovním službám pro evropské občany bych ráda opětovně poukázala na jeden úzce související problém. Tím jsou přetrvávající rozdíly v mezibankovních poplatcích. Existují velké rozdíly mezi poplatky účtovanými napříč členskými zeměmi, ale také znatelné rozdíly mezi samotnými bankami. Výslednou netransparentností trpí v první řadě vždy spotřebitel. Proto se domnívám, že by se měla Komise zaměřit i na zlepšení fungování jednotného evropského platebního prostoru, respektive jeho průhlednost. Odstranění zmíněných problémů považuji za důležitý základní stavební kámen důvěry spotřebitelů v bankovní služby, včetně používání bankovního účtu. Samostatnou kapitolu tvoří ti občané, kterým z nějakých důvodů není umožněno založit si a spravovat platební účet. Zde zpráva vysílá jasné stanovisko, že každý spotřebitel napříč Evropskou unií by měl mít zaručeno právo na přístup k základním platebním službám, s čímž se plně ztotožňuji. Vítám zároveň výzvu, aby byl přístup k základnímu platebnímu účtu zdarma, případně aby náklady na jeho zpřístupnění byly přiměřené. Používání základního platebního účtu nesmí být z pohledu koncového spotřebitele spojeno s žádnou formou diskriminace. Je rovněž důležité, aby přístup k základnímu platebnímu učtu nebyl podmíněn koupí žádných dodatečných služeb, ať již finanční či nefinanční povahy.
(The sitting was suspended at 20.40 and resumed at 21.00)