předseda. − Na pořadu jednání je rozprava o zprávě, kterou předkládá Luis Manuel Capoulas Santos za Výbor pro zemědělství a rozvoj venkova, o návrhu nařízení vropského parlamentu a Rady, kterým se stanoví sazba úpravy přímých plateb podle nařízení (ES) č. 73/2009 v kalendářním roce 2013 (COM(2013)0159 – C7-0079/2013 – 2013/0087(COD)) (A7-0186/2013).
Luis Manuel Capoulas Santos, relator. − Senhor Presidente, senhor Comissário, senhoras e senhores deputados, pese embora o esforço do Sr. Comissário Ciolos para dotar a agricultura de um orçamento adequado, teremos provavelmente para o período de 2014 a 2020 um orçamento agrícola bastante mais reduzido, que irá já, provavelmente em 2014, obrigar-nos a aplicar o mecanismo de disciplina financeira.
A Comissão Europeia decidiu utilizar para base de cálculo a proposta de orçamento aprovada pelo Conselho Europeu em 8 de fevereiro. Com este gesto, a Comissão surpreendeu-nos ao aceitar como definitivo o orçamento aprovado pelo Conselho, ignorando assim a codecisão e a existência do Tratado de Lisboa. É uma posição que revela pouco respeito institucional pelo Parlamento e que criticamos vivamente.
A proposta alternativa que apresentamos é coerente com o mandato negocial sufragado por larga maioria e que nos foi concedido por este mesmo plenário no mandato de negociação para o regulamento dos pagamentos diretos. É a única que consideramos aceitável nesta fase de negociação do Quadro Financeiro Plurianual.
Por outro lado, apoiamos a Comissão no sentido de isentar da aplicação deste mecanismo os agricultores que recebem menos de 5 000 euros por ano. Trata-se de um elevado número de agricultores – cerca de 80 % do total da União – que recebem, contudo, apenas 15 % do montante global. A discriminação positiva dos mais pequenos e os objetivos de simplificação permanentemente proclamados justificam plenamente esta decisão.
Apelo, por isso, a este plenário para aprovar o relatório que hoje aqui estamos a discutir.
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Monsieur le Président, Monsieur le rapporteur, Mesdames et Messieurs, la Commission a fait cette proposition concernant l'application de la discipline financière, parce que le calcul que nous avons réalisé pour le budget alloué pour 2014 a montré qu'on était dans le sous-plafond concernant les mesures de marché, qui n'étaient pas suffisamment financées.
Pourquoi la Commission a-t-elle pris en compte les montants de l'allocation budgétaire prévue dans les perspectives budgétaires proposées par le Conseil – en fait adoptées et décidées par le Conseil européen – et non pas celles proposées initialement par la Commission? Tout simplement pour des raisons de pragmatisme.
On pouvait bien sûr se baser sur ce que la Commission a proposé, tant que les perspectives budgétaires n'étaient pas définitivement adoptées par un vote du Parlement. Mais il s'est avéré que les chefs d'État et de gouvernement ont décidé de proposer au Parlement, pour adoption – il y a actuellement des négociations à ce sujet –, des chiffres réduits par rapport à ceux proposés par la Commission.
Pour ces raisons de réalisme et de pragmatisme, et pour envoyer aux agriculteurs un signal plus proche de la réalité, nous avons pris en considération ces chiffres fournis par un des codécideurs, qui est le Conseil, mais bien sûr, sous réserve de l'adoption des perspectives budgétaires. Je dis "sous réserve", puisque cette proposition d'application de la discipline financière devrait être présentée par la Commission. Elle devrait faire cette proposition pour que les agriculteurs sachent sur quoi compter l'année prochaine. Bien sûr, on a toujours la possibilité d'adapter ce niveau d'allocation budgétaire que la Commission a proposé pour la discipline financière en fonction d'une éventuelle décision, d'un accord, sur ces chiffres – que nous espérons – entre le Parlement et le Conseil.
Comme vous le savez, nous avons l'habitude, dans la deuxième moitié de l'année – en automne – d'élaborer la lettre rectificative au projet de budget. À cette occasion, si d'ici l'automne, le Conseil trouve un accord avec le Parlement sur les perspectives budgétaires, nous pouvons prendre en compte les chiffres définitifs et les répercuter dans les propositions pour l'application de cette discipline budgétaire. Mais pour rester réalistes, nous avons préféré prendre en compte les chiffres qui sont les plus proches d'une éventuelle décision.
Mais encore une fois "sous réserve". En effet, la Commission a proposé cette franchise de 5 000 euros, c'est-à-dire d'exempter de l'application de cette discipline budgétaire – soit une réduction – les agriculteurs qui reçoivent moins de 5 000 euros. Pourquoi? Pour assurer une répartition plus équilibrée des aides directes et faciliter les calculs, puisque nous appliquons déjà une modulation pour les paiements dépassant 5 000 euros, c'est-à-dire une réduction. Il nous est donc apparu logique, puisqu'on n'applique pas cette modulation aux agriculteurs qui ont moins de 5 000 euros par année, de ne pas appliquer non plus cette franchise de 5 000 euros.
C'est d'ailleurs cohérent avec ce que la Commission a proposé pour la réforme de la politique agricole commune, en cours de négociation, dans le cadre de laquelle nous avons proposé de maintenir cette franchise et donc de protéger les petits agriculteurs.
Voilà les précisions que je voulais apporter pour expliquer pourquoi nous avons proposé cette discipline budgétaire, et pourquoi nous avons pris en compte certains chiffres que nous pensions être plus proches de la réalité. Il vaut mieux donner aux agriculteurs un signal plus proche de la réalité. Mais, une fois encore – je le souligne – cette proposition est sous réserve d'une adoption des perspectives budgétaires par le Conseil et le Parlement.
Bien sûr, si cette décision n'est pas prise à temps, nous devrons, au titre du règlement, appliquer d'autres mécanismes. Mais, pour l'instant, cette proposition est aux mains du Parlement et du Conseil.
Giovanni La Via, relatore per parere della commissione per i bilanci. − Signor Presidente, signor Commissario, onorevoli colleghi, in quanto relatore del parere in commissione per i bilanci mi soffermerò sugli aspetti finanziari della relazione – come peraltro il Commissario ha già sottolineato e il relatore – siamo in attesa dell'adozione del nuovo QFP, non siamo pertanto oggi in grado di conoscere le risorse a disposizione sulla rubrica 2 del bilancio e il livello del massimale applicabile per il bilancio nel 2014 rimane incerto. Fino a quando non verrà fatta chiarezza in merito al livello del massimale non sarà possibile stabilire se è necessario un adeguamento ai pagamenti diretti per il 2013.
Abbiamo quindi ritenuto opportuno proporre che l’importo della disciplina finanziaria venga essere rivisto nel parere fatto alla commissione bilancio nel corso della procedura di adozione del bilancio del 2014, tenendo conto, come peraltro sottolineato dal Commissario, della lettera rettificativa.
Aggiungo, che in caso di mancato accordo sul QFP, peraltro non escludibile a questo momento, non si applicherà alcuna disciplina finanziaria, dal momento che l’importo sarà calcolato sulla base dei massimali del 2013 con una maggiorazione del 2% per tener conto dell’inflazione.
Peter Jahr, im Namen der PPE-Fraktion. – Vielen Dank Herr Präsident, vielen Dank Herr Kommissar! Für das kommende Jahr plant die Kommission die Kürzung der Direktzahlungen an die europäischen Landwirte und ich finde es erst einmal realistisch, dass die Kommission sich mit einem sinkenden Agrarhaushalt beschäftigt.
Wir kämpfen natürlich noch um eine Verstetigung des Haushalts, aber unabhängig davon, wie das Ergebnis sein wird, müssen wir ja einen Mechanismus festlegen, was eigentlich passiert, wenn das Budget überzeichnet wird? Immerhin haben wir ja auch in der gemeinsamen Marktordnung ein ähnliches System vorgesehen. Deshalb finde ich es auch zunehmend spannend und wichtig, darüber heute hier zu diskutieren.
Und so nachvollziehbar und verständlich die sogenannten finanzielle Disziplin auch ist, umso unverständlicher ist mir der Mechanismus, mit dem das Geld eingesammelt wird. Ich definiere mich immer noch als Fachpolitiker, d.h., ich möchte meine politischen Beschlüsse fachlich analysieren und bewerten. Und die Empfehlung des Kommissars geht ja dahin, alle Betriebe bis 5 000 Euro keiner Kürzung zu unterwerfen. Was an sich erst einmal logisch und verständlich klingt, wirkt sich dann natürlich so aus, dass sich in den Mitgliedstaaten ein riesengroßes Ungleichgewicht bei den Rückzahlungen ergibt.
Es ist mir unverständlich, dass wir zulassen wollen, dass einige Länder aufgrund der Struktur ihrer Betriebe dann nichts oder wenig zur Finanzierung der Mehrausgaben im Agrarbereich beitragen müssen. Beispielsweise muss Frankreich im Verhältnis viermal so viel zahlen wie Polen. Wie wollen wir das den Landwirten erklären? Ist das eigentlich fair? Ich sage es noch einmal: Es geht um die Beziehung zwischen Brüssel und den Mitgliedstaaten. Oder anders: Welchen Anreiz sollen diese Länder haben, sparsam mit den Haushaltsmitteln umzugehen, wenn sie für die entstehenden Mehrausgaben gar nicht oder unterproportional aufkommen müssen? Das ist einfach nicht fair.
Insbesondere vor dem Hintergrund der laufenden Trilogverhandlungen zur Agrarreform ist dieser Bericht des Agrarausschusses auch widersprüchlich. Das fairste System für mich ist, wenn der Brüsseler Haushalt Geld braucht, dann sollten wir linear kürzen.
Ich möchte die Kollegen daran erinnern, dass wir uns im Verhandlungsmandat zur Reform bereits für eine lineare Anwendung der Finanzdisziplin für die neue Förderperiode ausgesprochen haben. Für das kommende Jahr nun etwas ganz anderes beschließen zu wollen, entspricht nicht gerade meiner Vorstellung von einer kohärenten Politik. Ich spreche mich daher deutlich dafür aus, dass eine Kürzung der Direktzahlungen auch im nächsten Jahr in allen Mitgliedstaaten gleichermaßen, das heißt linear, erfolgen muss.
Das hätte auch zur Folge, dass auch die Kürzungen in allen Ländern geringer ausfallen, und so würde ein deutlicher Anreiz geschaffen, so effektiv und effizient wie möglich mit den vorhandenen Mitteln umzugehen. Wenn man bedenkt, dass in der neuen Förderperiode mit erheblichen Mehrausgaben durch die europäische Marktordnung und der Krisenreserve zu rechnen ist, wird dem Mechanismus der finanziellen Disziplin eine erhebliche Bedeutung zukommen.
Deshalb ist es nur richtig, wenn sich alle Landwirte in Europa an der Finanzierung dieser Kosten gleichermaßen beteiligen.
Paolo De Castro, a nome del gruppo S&D. – Signor Presidente, Signor Commissario, onorevoli colleghi, voglio dire con chiarezza e forza che il Parlamento non può accettare che il taglio dei pagamenti diretti sia basato sulle conclusioni del Consiglio europeo del 7 e 8 febbraio: si tratta di un accordo politico che non è stato ancora approvato dal Parlamento europeo così come previsto dal trattato.
Troviamo inaccettabile che si scavalchi l’istituzione con la massima legittimità democratica per penalizzare in maniera così inconsistente gli agricoltori europei. In attesa di un accordo, il taglio dei pagamenti diretti dovrebbe basarsi sul massimale per il 2014 indicato dalla Commissione nella sua proposta sul quadro finanziario pluriennale, che è coerente con il mandato negoziale approvato da questa plenaria sul regolamento dei pagamenti diretti.
Inoltre, la commissione agricoltura che ho l'onore di presiedere, non ritiene che tutti gli agricoltori debbano essere penalizzati con la stessa percentuale di taglio al di là della loro dimensione e da quanti aiuti ricevono. Non ci sembra equo e ragionevole, ed è per questo che riteniamo di dover esentare gli agricoltori che ricevono fino a 5 000 euro di aiuti.
Britta Reimers, im Namen der ALDE-Fraktion. – Sehr geehrter Herr Präsident, Herr Kommissar, liebe Kolleginnen und Kollegen! Den mehrjährigen Finanzrahmen haben wir immer noch nicht abgeschlossen. Immer noch gelingt es uns nicht, den Respekt für die europäischen Bürger zu erreichen, den dieses Parlament verdient, weil wir für sie sprechen, von ihnen gewählt sind und sie repräsentieren.
Wir müssen jetzt aufgrund von Schätzdaten für den zukünftigen Haushalt entscheiden, und dafür bedarf es einer finanziellen Disziplin im Agrarhaushalt, sprich einer Kürzung des Agrarhaushaltes. Wenn wir jetzt davon reden, dann ist es für mich selbstverständlich, dass hier vor dem Gesetz alle gleichbehandelt werden. Das heißt, alle Landwirte haben das gleiche Recht und auch die gleiche Pflicht. Und dementsprechend macht es nur Sinn, hier linear zu kürzen, sprich jedes Mitgliedsland mit demselben Prozentsatz zu belasten. Denn Disziplin bedeutet auch, dass alle gleich bestrebt sein sollen, ordentlich mit ihren Geldern umzugehen. Und das erreichen wir nicht, indem wir einzelne Staaten mit weniger scharfer Disziplin behandeln als andere.
Es kann in Europa nicht sein, dass es immer mehr Mode wird, in schwarz und weiß zu denken, zu entscheiden, ob große Strukturen oder kleinere Strukturen gut oder schlecht sind. Das ist das falsche Signal für Europa, das ist gefährlich, und es ist auch gefährlich für den europäischen Gedanken. Denn wir sollten alle gemeinsam daran arbeiten, dass wir alle gemeinsam zu einem Ziel kommen. Und das bedeutet, dass wir auch gleichermaßen verteilt die Lasten tragen. Und dazu gehört eben auch eine lineare Kürzung, sprich, dass wir nicht die Betriebe unter 5 000 Euro grundsätzlich ausnehmen. Da müssen wir ganz ehrlich sagen, auch bei den kleinen Betrieben ist es notwendig, dass diese lernen, dass es auf Dauer weniger Agrarzahlungen gibt. Und wenn wir die lange Frist sehen und auf lange Frist planen, dann wissen wir, dass es weniger wird. Und dann macht es keinen Sinn, kleineren Betrieben vorzugaukeln, es bleibt alles so wie es ist und nur die großen Betriebe dürfen dann dafür die Last tragen.
Das führt zu einer Verstimmung unter den Landwirten. Es führt zu einem wirklichen Streit unter den Landwirten und es fördert eben dieses ständige Schwarz-Weiß-Denken, was in der Öffentlichkeit derzeit diskutiert wird und nicht gut ist für den europäischen Gesamtgedanken.
James Nicholson, on behalf of the ECR Group. – Mr President, can I first of all thank Mr Capoulas Santos for undertaking this report in the midst of intensive CAP negotiations. I have to say to him that he really is a glutton for punishment. I thought he would have had enough to deal with without actually taking on board this report as well, and certainly it put extra pressure on us in the agricultural field within the European context.
Total CAP expenditure has now reached the point at which financial discipline must be applied in order to ensure that spending remains within the allocated budget of the MFF Council conclusions. Unfortunately the result of the vote in the Committee on Agriculture and Rural Development (AGRI) leaves us with an adjustment rate and a threshold which will have a disproportionate and negative effect on farmers in many Member States across the European Union. With the threshold of EUR 5 000 proposed in the report, 80 % of people would be excluded from financial discipline. Now I do not know about you, but I would find it extremely difficult to justify to any of the farmers that I represent why 20 % of them will be required to cover the deficit which is incurred because of spending which could be attributed to 100 % of the Member States and 100 % of the farmers.
We should not support a measure which will undoubtedly lead to such extreme inequalities between farmers and between Member States, and it certainly destroys any hope of a level playing field. On the Direct Payments Regulation which is currently part of the CAP reform dossier, this Parliament voted to delete the financial discipline threshold. The objective of this mandate was to ensure that the burden of financial discipline is shared equally and fairly between farmers across the European Union. That, Mr President, is what I think we should do and that is what I think the Commissioner should do, because I think that this proposal is totally unfair, totally inadequate and totally unacceptable.
Younous Omarjee, au nom du groupe GUE/NGL. – Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, je suis un peu étonné de l'application de ce règlement dans les régions ultrapériphériques et les îles de la mer Égée, alors même que celles-ci bénéficient de règles spécifiques via leurs POSEI respectifs.
Si j'ai bien compris, on leur demande de participer au financement d'une réserve de crise dont elles ne pourront jamais bénéficier. On ne peut non plus ignorer le fait que la baisse induite par le règlement va se traduire par une baisse des enveloppes allouées aux régions ultrapériphériques pour l'année civile 2013, contrairement aux engagements qui avaient été pris.
Je sais votre attachement, Monsieur le Commissaire, à ce que les particularités de ces régions soient prises en compte et c'est le sens de l'amendement n° 12, que nous avons déposé avec 40 de nos collègues, visant à ce que ce règlement ne soit pas appliqué dans les régions ultrapériphériques et dans les îles de la mer Égée.
Димитър Стоянов (NI). - Много интересно е това предложение. Още по-интересни са поправките, внесени в него от германските колеги, защото те за пореден път закрепостяват едно вече създадено положение. Положението на Европа на две скорости, положението, в което старите, големите държави членки са привилегировани и получават повече, а малките и новите са мачкани, за да могат големите да защитават своите интереси. Какво лошо има в това полските фермери да получават колкото френските, защото казвате не можем да го обясним това, някак си трудно ни е. Какво лошо има в това? Не го ли обяснихте, когато Полша я приемаха? Какво лошо има българските фермери да вземат колкото германските или колкото великобританските? Докога ще имаме различни двойни стандарти? Какво стана с обединените в многообразието? Много ли ви дойде многообразието, колеги, или искате да сме разединени в еднообразието? Еднообразието, в което ще бъдем в животинската ферма, в която вие ще сте по-равните, отколкото сме ние?
Herbert Dorfmann (PPE). - Sehr geehrter Herr Präsident, Herr Kommissar, geschätzte Kolleginnen und Kollegen! Grundsätzlich ist es bedauerlich, dass wir über das Thema überhaupt reden, weil es bedauerlich ist, dass wir im letzten Jahr in der Planungsperiode den Bäuerinnen und Bauern, den bäuerlichen Betrieben, nicht die Sicherheit geben können, dass das was wir versprochen haben, auch eingehalten wird. Das heißt, dass Rechtssicherheit über die sieben Jahre des Planungszeitraums gewährleistet wird.
Aber wie auch immer, Herr Kommissar, Sie haben einen Vorschlag gemacht, wie gekürzt werden soll, und Sie haben das heute nochmals hier bekräftigt. Ich denke, das ist ein kleines Zeichen in Richtung Unterstützung und Förderung der kleinen Betriebe.
Wir reden hier nicht von großen Zahlen. Im Durchschnitt der Europäischen Union reden wir hier von 10 bis 15 Euro pro Hektar. Ich denke, das ist sinnvoll. Wenn kleine Betriebe überleben sollen, dann müssen auch wir politische Zeichen geben. Und ich denke, das ein kleines, bescheidenes Zeichen. Aber es ist ein Zeichen in die richtige Richtung.
Natürlich wirft es eine Frage der Verteilung zwischen den Mitgliedstaaten auf. Und da bin ich mit dem Kollegen Jahr durchaus einverstanden, dies hätte man vielleicht anders lösen können, indem man zuerst die Zuweisungen an die Mitgliedstaaten festgelegt hätte und dann in den Mitgliedstaaten diese Kürzung angewandt hätte. Das ist nicht passiert. Aber insgesamt denke ich doch, dass Ihr Vorschlag richtig ist und dass wir diese kleineren Betriebe ausnehmen und sie nicht noch einmal vor den Kopf stoßen sollten. Und deswegen werde ich Ihren Vorschlag auch unterstützen.
Iratxe García Pérez (S&D). - Señor Presidente, señor Comisario, el 9 de febrero el ministro de Agricultura de España, el señor Arias Cañete, anunciaba de manera triunfalista en nuestro país que el acuerdo del marco financiero había sido muy positivo porque no iba a suponer el recorte de un solo euro en las ayudas de la política agrícola común para España.
Unos meses después, y como consecuencia de ese acuerdo del marco financiero, la Comisión nos presenta una propuesta de Reglamento de disciplina financiera en la que se plantea el recorte de cerca del 5 % de las ayudas a cada uno de los agricultores de la Unión.
Realmente eso provoca un rechazo rotundo por parte de la delegación socialista española, que apoya la propuesta que ha salido de la Comisión de Agricultura y Desarrollo Rural tras el informe del señor Capoulas, que no acepta el recorte que plantea la Comisión como consecuencia —repito— de un acuerdo que el Consejo ha adoptado planteando recortes financieros y presupuestarios en todas y cada una de las políticas de la Unión, cuestión sobre la cual este Parlamento todavía no se ha posicionado.
Kristiina Ojuland (ALDE). - Mr President, the financial discipline proposal was created to ensure that obligations in regard to direct payments for every year are fully respected. Unfortunately, the Commission has gone further and is now asking for the market crisis reserve to be composed from the CAP budget. The near 5 % reduction in direct payments to farmers receiving more than EUR 5 000 would give an overall reduction of nearly EUR 1.5 billion. That is almost double the amount that the Commission was looking to cover initially.
I understand that it is looking to cut as much as possible from every budget line, but this time the Commission has gone too far. I would like to call on colleagues to support the rapporteur and the Commission’s initial proposal to cut the payments by 0.7% and include only those farmers receiving more than EUR 5 000. I do not disagree with the market crisis reserve, but it should be composed from different funds.
Hynek Fajmon (ECR). - Pane předsedající, chtěl bych jasně říci, že nepodporuji návrh Komise na uplatnění selektivních srážek z přímých plateb pro zemědělce v roce 2013.
Je otázkou, zda je uplatnění režimu finanční kázně v současné době skutečně nezbytné. Vzhledem k tomu, že dosud nebylo dosaženo dohody o víceletém finančním rámci pro roky 2014 až 2020, není ve skutečnosti nutné snižovat přímé platby o 5 %, jak navrhuje Komise.
Souhlasím s názorem zpravodaje, že snížení může být i nižší, a to maximálně o 1 %. Pozměňovací návrhy jdoucí tímto směrem zítra podpořím v hlasování.
Největší problém ale spatřuji v selektivním charakteru srážek. Komise navrhuje uplatnit srážky u plateb, které jsou vyšší než 5 000 eur. Na menší zemědělce by tedy šetření vůbec nedopadlo, a o to více by naopak museli šetřit zemědělci střední a větší.
S tímto přístupem naprosto nesouhlasím. Pokud se má šetřit, tak to musí být spravedlivě rozděleno vůči všem zemědělcům, a spravedlivé je pouze to, že šetřit budou všichni a stejnou měrou.
Pokud tomu tak nebude, dojde k nespravedlivému zvýhodnění států s menší velikostní strukturou farem. To je pro Českou republiku, kterou zde zastupuji, nepřijatelné. Nepotřebujeme postupovat dle Orwellova vzoru z farmy zvířat, nepotřebujeme rovné a rovnější.
Gabriel Mato Adrover (PPE). - Señor Presidente, mi intervención en este Pleno es para defender, como ha hecho el señor Omarjee, que las regiones ultraperiféricas deben estar exentas de la aplicación de la disciplina presupuestaria y financiera planteada en este informe, de la misma manera que han quedado al margen del principio de modulación aplicado en los últimos años dentro de la política agrícola común.
La Comisión Europea propone una rebaja para las RUP de 14,5 millones de euros. Ese recorte no haría más que acrecentar las dificultades con las que se ya se enfrentan estas regiones, en las que el presupuesto procedente de la PAC es muy escaso. En ese sentido, me gustaría recordarles que, con motivo de la última modificación del POSEI, el Parlamento defendió un incremento sustancial de los fondos destinados a esas zonas, pues ha quedado demostrado que son netamente insuficientes.
Las ayudas nacionales que otorgan, desde hace años, Francia y España para completar los fondos que reciben las regiones ultraperiféricas de la política agrícola común son otra prueba fehaciente de que el apoyo de la Unión Europea en materia agrícola no es suficiente. Recordemos, además, que estas regiones se enfrentan de forma especialmente dura a la crisis económica, con tasas de paro que superan la media europea y con un sector agrícola que supone actualmente el principal refugio económico de muchos trabajadores.
Confío en que, como ya ha ocurrido en otras muchas ocasiones y con el respaldo jurídico del artículo 349 del Tratado de Funcionamiento de la Unión Europea, este Parlamento sea nuevamente solidario con los productores agrícolas de la ultraperiferia europea y entienda la importancia de concederles un trato singular en materia de disciplina presupuestaria apoyando nuestra enmienda en este sentido.
Eric Andrieu (S&D). - Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, chers collègues, je tenais tout d'abord à remercier mon collègue Luis Manuel Capoulas Santos pour son travail et son rapport que je soutiens.
J'ai bien entendu le devoir de réalité dont vous faites état, Monsieur le Commissaire, mais la réalité, c'est que le Parlement est codécideur, colégislateur depuis le traité de Lisbonne, et le Parlement doit être respecté.
Je trouve assez cocasse la proposition de la Commission. Alors qu'il n'y a toujours pas d'accord entre le Parlement et le Conseil sur le futur budget pluriannuel, il nous est demandé de fixer un taux d'ajustement des paiements directs de la PAC au titre de l'année civile 2013 pour l'année 2014. Cette demande de diminution des aides de 5 % ne me paraît pas acceptable en l'état.
Par ailleurs, la spécificité des exploitations des régions ultrapériphériques, dont les particularités ont été reconnues par les traités, doit être prise en compte.
À ce titre, aujourd'hui comme demain, je considère qu'il ne doit être procédé à aucune diminution des paiements pour les exploitations de ces régions sensibles.
Vystoupení na základě přihlášení se zvednutím ruky
Σπύρος Δανέλλης (S&D). - Κύριε Πρόεδρε, κύριε Επίτροπε, καλώ και εγώ τους συναδέλφους να υπερψηφίσουν τις τροπολογίες που υποστηρίζουν την εξαίρεση των μικρών γεωργικών εκμεταλλεύσεων από την γραμμική μείωση που, ενδεχομένως, χρειαστεί να επιβληθεί μετά την οριστικοποίηση του προϋπολογισμού για την περίοδο 2014-2020.
Ας μη ξεχνάμε, αγαπητοί συνάδελφοι, ότι δεν είναι οι μικρές γεωργικές εκμεταλλεύσεις που επιβαρύνουν με το μερίδιο του λέοντος, τον προϋπολογισμό για τις άμεσες ενισχύσεις. Αντίθετα, στις μικρές εκμεταλλεύσεις οφείλεται η προσφορά πληθώρας κοινωνικών αγαθών τα οποία δεν ανταμείβονται από τις αγορές.
Ένα τέτοιο αγαθό είναι και η αντίσταση στην απερήμωση απομακρυσμένων περιοχών οι οποίες, ούτως ή άλλως, βρίσκονται σε μειονεκτική θέση. Γι' αυτό το λόγο και ζητάμε επιπροσθέτως την εξαίρεση από τη μείωση και των μικρών νησιών του Αιγαίου καθώς και των εξόχως απόκεντρων περιοχών.
Seán Kelly (PPE). - A Uachtaráin, ar dtús ba mhaith liom a rá leis an gCoimisinéir go bhfuil súil agam go n-éireoidh leis agus le hUachtaránacht na hÉireann comhréiteach a fháil ar an socrú maidir leis an gComhbheartas Talmhaíochta roimh dheireadh thréimhse Uachtaránacht na hÉireann i gceann cúpla seachtain. Má éiríonn linn é sin a dhéanamh, beidh dul chun cinn déanta againn. Chomh maith leis sin, tá sé an-tábhachtach go n-éireoidh linn an MFF a thabhairt thar an líne chomh luath agus is féidir mar tá gach rud ag brath air sin.
Maidir leis an bhfadhb atá againn anocht, is fadhb chasta í, ní fadhb mhaith í, ní dea-scéal é d’aon duine ach, mar a dúirt sé, tá na figiúirí atá ag an gCoimisiún níos luaithe ná an t-airgead atá againn. Dá bhrí sin, tá gá le leasú. Níl daoine sásta leis ach caithimid a bheith réadúil agus, le bheith réadúil, caithimid athrú a dhéanamh. Aontaím, leis, gur cheart eisceacht a dhéanamh de na feirmeoirí beaga mar tá a lán díobh siúd ag brath ar na híocaíochtaí seo chun dul ar aghaidh ag feirmeoireacht, agus is fiú eisceacht a dhéanamh díobh.
(Konec vystoupení na základě přihlášení se zvednutím ruky)
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Monsieur le Président, cela me permettra de reprendre certains éléments et d'apporter des clarifications.
Cette proposition, M. Andrieu, n'est pas un manque de respect vis-à-vis du Parlement, c'est tout simplement une mesure de précaution. Si le Parlement parvient, à la fin des négociations sur les perspectives budgétaires avec le Conseil, à augmenter le budget de la politique agricole commune et à l'amener au niveau de la proposition initiale de la Commission, il ne sera pas nécessaire d'appliquer cette mesure.
Mais pour l'instant, le chiffre que nous avons sur la table, suite à la décision du Conseil par rapport à ce que la Commission a proposé, est celui-là. Plutôt que de venir maintenant avec une petite réduction et être obligé à la fin, dans quelques mois, de réduire encore plus, je pense qu'il est préférable de prendre cette mesure de précaution et je rappelle que c'est une proposition législative et que c'est à vous de décider avec le Conseil. Et je l'ai précisé – d'ailleurs, M. La Via l'a dit aussi –, par la lettre rectificative, on peut revenir sur la réduction qu'on a proposée et faire en sorte qu'on réduise moins le paiement direct.
Deuxième élément de réponse à ceux qui disent qu'on coupe des paiements directs aux agriculteurs, et donc qu'on prend de l'argent. Je vous rappelle que cette discipline financière est appliquée pour un fonds de crise qui fait partie de la politique agricole commune, qui reste pour les agriculteurs. Ne laissons pas l'impression qu'on prend de l'argent aux agriculteurs dans le cadre de la politique agricole commune pour le donner ailleurs à quelqu'un d'autre. Mme García Pérez, rappelez-vous qu'il y a deux ans, il me semble, lors de la crise dans le secteur des fruits et légumes, grâce au fonds de crise, on a pu aider l'Espagne et d'autres pays qui ont des producteurs de fruits et légumes pour couvrir une partie des pertes subies. Cet argent sert à cela. Cet argent n'est pas perdu. On constitue cette réserve de crise et si l'argent n'est pas utilisé en 2014 pour une crise, il n'est pas perdu, il retourne aux agriculteurs. Donc c'est une simple réserve qu'on constitue et qui reste pour les agriculteurs.
Je reviens sur la franchise de 5 000 euros. C'est vrai, Monsieur Nicholson, 80 % des agriculteurs seront exemptés. Mais je vous rappelle aussi que ces 80 % ne reçoivent qu'environ 20 % des paiements directs. Nous exemptons les agriculteurs qui totalisent seulement 20 % de paiements directs. Donc je ne veux pas non plus laisser l'impression qu'il n'y a qu'une petite partie des agriculteurs qui fait l'objet de cette mesure. C'est une plus petite partie d'agriculteurs, mais qui reçoit des niveaux de paiement plus élevés, donc il nous semble que c'est une mesure d'équité. C'est plus simple sur le plan administratif, puisqu'avec cette limite de 5 000 euros, on élimine la charge administrative liée à 80 % du nombre d'agriculteurs, et on se concentre aussi sur ceux qui ont le paiement le plus élevé.
Concernant le POSEI, le règlement actuel, que la Commission doit d'ailleurs respecter, prévoit qu'effectivement la modulation ne s'applique pas pour les régions POSEI. Par contre, la discipline financière s'applique aussi à ces régions.
Donc là, de toute façon, la Commission n'avait pas le choix, parce qu'elle est tenue de respecter les règles. La Commission fait des propositions législatives dans ce cas, en prenant en compte certains règlements. Et c'est d'ailleurs le même règlement aussi qui dispose que pour que la codécision puisse s'appliquer à ce règlement, le Parlement, ensemble avec le Conseil, doivent prendre une décision avant le 30 juin. Si une décision n'est pas prise au 30 juin concernant ce règlement, le règlement financier en vigueur prévoit que la Commission sera obligée de venir avec une autre proposition.
Avec ces éléments d'explication, je pense que les choses sont maintenant plus claires et j'espère que vous disposez des éléments nécessaires pour prendre la décision en connaissance de cause.
Luis Manuel Capoulas Santos, relator. − Senhor Presidente, eu gostaria de chamar a atenção para o facto de que o Sr. Comissário tem dado sempre provas de um relacionamento impecável com o Parlamento, e registamos com muito apreço a sua permanente disponibilidade para o diálogo connosco. Infelizmente, não podemos dizer o mesmo da Comissão relativamente a este procedimento. Não pode haver pragmatismo ou realismo político que ponham em causa o equilíbrio de poderes entre as instituições. Considero, por isso, que a atitude sobre este assunto deveria ser outra, e já o reafirmei.
Agradeço aos colegas as intervenções que fizeram e que, no essencial, reafirmam as posições do Parlamento. Penso que, independentemente do seu conteúdo, esta é uma forma de os deputados mostrarem a sua coerência com o mandato que receberam e, ao mesmo tempo, reafirmarem a defesa dos interesses dos agricultores em geral e, para uma boa parte dos deputados, em especial também dos pequenos agricultores.
předseda. − Rozprava skončila.
Hlasování se bude konat ve středu 12. června 2013.
Písemná prohlášení (článek 149)
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. – A minha intervenção é dirigida a um apelo aos colegas dos outros grupos políticos para acompanharem o grupo socialista na votação a favor da não penalização das Regiões Ultraperiféricas neste regulamento. A aplicação da modificação na disciplina financeira nos pagamentos diretos acima dos 5 000 euros por beneficiário resulta da redução do orçamento da PAC. Ora por não se verificar idêntico pressuposto no orçamento POSEI, ao não se registar a sua alteração, não se justifica nesta situação qualquer redução das ajudas pagas aos beneficiários das Regiões Ultraperiféricas, recebidas através deste orçamento. Nestas condições, o Parlamento não os deve incluir no regulamento que iremos votar, pelo que isso mesmo deve ser expresso no texto que será aprovado se recebermos o vosso justo apoio.
Jarosław Kalinowski (PPE), na piśmie. – Modyfikacja wysokości dopłat bezpośrednich w roku 2013 jest niezbędna, gdyż według wstępnych szacunków przy sporządzaniu projektu budżetu na rok 2014 okazało się, iż pułap wydatków związanych z rynkiem i płatnościami bezpośrednimi zostanie przekroczony. Dlatego Komisja Europejska zaproponowała obniżenie wysokości wsparcia o blisko 5% (dokładnie 4,981759%).
Jednakże prace nad ustaleniem nowych Wieloletnich Ram Finansowych na lata 2014–2020 wciąż trwają, a zakładany stopień redukcji został obliczony na bazie konkluzji z posiedzenia Rady Europejskiej w lutym br., ponadto Parlament Europejski nie zatwierdził jeszcze propozycji budżetu. Dopóki zatem prace nad nowymi WRF nie zostaną sfinalizowane, nie można jednoznacznie stwierdzić, czy korekta wysokości dopłat bezpośrednich jest potrzebna, a jeśli tak, to jaką wartość powinien mieć współczynnik korygujący (sprawozdawca proponuje redukcję na poziomie 0,748005%).
Zdecydowanie popieram jednak postulat mówiący o objęciu redukcją tylko gospodarstw zgłaszających wnioski o pomoc bezpośrednią o wartości powyżej 5000 EUR. Pomoże to zredukować problem nierównej dystrybucji funduszy pomiędzy małych i dużych beneficjentów.
Daciana Octavia Sârbu (S&D), în scris. – În primul rând, aş dori să felicit raportorul pentru munca depusă şi aş dori să îmi exprim îngrijorarea faţă de atitudinea pe care o are Consiliul European faţă de Parlament când vine vorba de stabilirea viitorului cadru financiar multianual. De exemplu, cifrele stabilite în cadrul Consiliului European din februarie 2013 au fost greu accesibile pentru Parlament, ceea ce mi se pare inacceptabil. Parlamentul este colegiuitor şi rolul său trebuie să fie respectat. Susţin cu fermitate poziţia raportorului, care modifică propunerea Comisiei. O acceptare a acestei propuneri ca atare ar legitimiza deja deciziile luate în cadrul Consiliului European din februarie 2013. Disciplina financiară trebuie să ţină cont de mandatul de negociere al Parlamentului privind reforma PAC. Totodată, dat fiind faptul că rezerva pentru situaţii de criză care urma să absoarbă banii proveniţi din reducerea plaţilor directe peste 5 000 de euro, trebuia iniţial creată în afara cadrului financiar multianual şi că negocierile privind CFM nu sunt încă încheiate, poziţia PE ar trebui să sprijine scăderea procentului disciplinei bugetare.