Elnök. − A következő napirendi pont a Catherine Trautmann által az Ipari, Kutatási és Energiaügyi Bizottság nevében készített, az elektronikus hírközlésről szóló jelentésről folytatott vita (2013/2080(INI)) (A7-0313/2013)
A következő pont a Giles Chichester által az Európai Konzervatívok és Reformerek Képviselőcsoportja nevében a Bizottsághoz intézett, a digitális egységes piac kiépítésére vonatkozó közelmúltbeli javaslatokról szóló szóbeli választ igénylő kérdésről folytatott vita (O-000109/2013 - 2013/2892(RSP) - B7-0523/2013)
Catherine Trautmann, rapporteure. − Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, le débat de ce matin s'intègre parfaitement dans l'actualité.
La Commission européenne vient de publier une nouvelle proposition. Le Conseil européen discutera, cet après-midi, de pistes pour un marché unique du numérique. Mon rapport a été élaboré avant ce nouveau texte, mais l'unanimité dont il a bénéficié lors du vote en commission de l'industrie, de la recherche et de la technologie en a validé tant la méthode que le fond. Je m'en réjouis car le Parlement aura exprimé sa voix.
Nous le savons, le numérique est l'un des principaux vecteurs de croissance. Nous attendions du paquet Telecom et de sa transposition qu'ils accélèrent les investissements réalisés par le secteur. Nous n'avons pas eu entière satisfaction sur ce point. Bien sûr, la transposition du paquet a pris plus de temps que prévu. Elle était fixée à mai 2011, mais le dernier État membre ne l'a achevée qu'en janvier 2013. Là n'est cependant pas la seule raison de notre insatisfaction.
C'est donc autour de ce constat général que s'articule mon rapport. J'y dresse un bilan entre les objectifs du paquet et les faits, en essayant de tirer les enseignements sur ce qui pourrait être amélioré. J'y mentionne un certain nombre de points qui ont fonctionné, tel que le mécanisme de corégulation, qui a permis d'améliorer la cohérence réglementaire intraeuropéenne, mais aussi, et c'est là toute l'importance de ce rapport, d'autres éléments qu'il faudrait modifier.
Je pense à l'harmonisation en matière de fréquences, à une meilleure coordination dans les calendriers d'attribution des licences ou encore à d'autres sujets que nous appelons de nos vœux depuis bien longtemps déjà, comme la question de l'inclusion du haut débit dans le service universel. La Commission nous avait promis d'avancer une proposition sur ce point lors des négociations sur le paquet en 2009. Nous sommes en 2013 et, pour l'instant, je n'ai rien vu venir. Je pense que nous aurions pu nous appuyer sur ces bases, saisir les occasions que le cadre donne, comme l'identification des marchés transnationaux, une première étape vers le fameux marché unique numérique. La Commission a préféré une autre stratégie et a publié cette nouvelle proposition de règlement sur laquelle, selon ses termes, les colégisateurs sont tenus d'arriver à un résultat avant la fin de la législature.
Mais, Madame la Commissaire, sans obérer la situation difficile dans laquelle nous nous trouvons, nous avons besoin de temps pour consulter et débattre afin d'éviter de légiférer à l'emporte-pièce et de garantir une cohérence juridique pour les acteurs du secteur. Le remède ne doit pas être pire que le mal. En effet, nos acteurs européens dans le numérique ont certes besoin d'être stimulés, mais ils ont surtout besoin de stabilité, de visibilité et surtout pas d'un regain de complexité avec, sous couvert de simplification, la création d'un système assez complexe d'autorisations uniques dont la valeur ajoutée reste encore à démontrer, si j'en crois mes premières consultations.
Le devoir, mais aussi le privilège de la Commission est de proposer et non pas d'imposer. Or, nous nous sentons, il faut le dire, mis sous pression pour obtenir un résultat coûte que coûte. C'est la raison pour laquelle je souscris en grande partie à la question de mon collègue Chichester.
Un autre exemple: depuis 2009, nous attendions une législation contraignante sur la neutralité de l'internet. Nous pourrions nous féliciter que ce thème soit présent dans la proposition, mais nous attendions de la Commission qu'elle apporte des réponses, qu'elle clarifie les définitions, qu'elle donne les garanties nécessaires. En l'occurrence, tout porte à croire que nous avons affaire à une belle architecture, mais dont la pierre angulaire, la définition de ce qu'un utilisateur peut attendre de son accès au best effort internet serait encore instable. Il y a de bonnes choses, le spectre par exemple, mais cela ne suffit pas. Bien sûr, nous avons besoin d'initiatives, mais il nous faut aussi la perspective.
Côté Parlement, nous sommes pragmatiques. Il ne s'agit pas d'avoir une réflexion philosophique. Nous sommes tous convaincus des bienfaits d'un marché unique, mais la question est de proposer les bons outils pour créer un véritable effet de levier. Il ne me semble ainsi pas possible de réviser la réglementation en six mois mais nous pouvons mettre à profit cette période qui nous sépare des élections pour élaborer un canevas solide dont le prochain Parlement pourra se saisir.
Giles Chichester, author. − Mr President, it is very good to see the Commissioner here this morning, but it would have been even better if we could have met before the proposal was put.
It is not common for EU institutions to criticise each other, let alone for one department to criticise another within the same institution. Yet we have the European Parliament Impact Assessment Unit criticising the Commission, and the Commission Impact Assessment Board criticising the Commission’s impact assessment, not once but three times. Not only that, but we have a paper from the Body of European Regulators for Electronic Communications (BEREC) pointing to many flaws in this Commission proposal, including such sins as unnecessary complexity and greater legal uncertainty; no consultation and analysis; misleading, inaccurate comparisons with the USA; no reference to the dynamics of next generation networks; citing market fragmentation in Europe with no evidence that innovation or investment has been hindered; insufficient recognition of BEREC progress towards regulatory harmonisation (they would say that, of course); no specific assessment of the impact on SMEs; and so on and so forth. Then we have the commentary by Rewheel, which debunks the idea that European consumers are worse off than US citizens on cost, use of mobile data and network speeds – not quite what the Commission tells us in order to justify this proposal.
Of more concern are the sneaky transfers of sovereignty from Member States to the Commission in the fields of authorisation, spectrum harmonisation and net neutrality. Member States: you have been warned!
In short, this seems like nothing so much as a vanity project of legacy legislation, tackling too many things and trying to run before it can walk. Many answers are needed.
Neelie Kroes, Vice-President of the Commission. − Mr President, Catherine Trautmann beats me on experience in this House, although I beat her on age. Taking that into account, I thank her from my heart for her report. I do not mean that I necessarily agree with everything in it, but it is solid. It is also clear that we share much, and that is important in a debate.
We agree that tomorrow’s growth is digital: no doubt about that. We agree that economic growth and job creation require high-speed programmes: no misunderstanding about that. Ms Trautmann and I could not agree more closely on these things, and we agree that what we need are not fragmented national markets but rather a single, unified and competitive market. Heads of State and Government are discussing this issue later today, and I hope that they hear our message loud and clear.
Let me address some points in the report. Number one: I note the call for a full review of the framework, a call made clearly, not only in the report but also earlier. Indeed, on 11 September 2013, we set out how we are preparing such a review. It is not an easy task, but we have set out what the review will cover: namely, enhancing consistency; a single regulator for a level playing field; and convergence. Let there be no mistake, however: the review will take some time, and we cannot wait that long before taking action. The question is: are we aware of the situation in the sector? If we are, then my position is that we cannot delay, for whatever reason. With the economy where it is – and we all regret that it is in such bad shape – and with technology where it is, and the rest of the world marching on quickly, this is a competitive game. It is a global scene.
Secondly, Mr President, let me reassure you that we are not taking a piecemeal approach. Our measures deliberately target the most important single-market barriers and will remove them. What is at stake is the creation of a real single market. At the risk of repeating myself, I have to ask: when we are so proud of our single market, is it not strange that one very important economic sector should be excluded from that market? Electronic communication is not, nowadays, something separate. It is integrated with all areas of economic activity, and this is about jointly creating a tipping point so that the market can evolve to become a true, pan-European single market. Who is against that? It is also about complementing the existing framework.
Ultimately, our goal is to make this a ‘normal’ economic sector, one that needs only limited ex ante rules. If market players recognise the opportunity this represents, then this package will take us a long way – I am certain even Mr Chichester will agree on that – and without harming competition or consumer choice. In fact, we are promoting competition, harmony and consumer choice. In an open, competitive single market with fewer barriers, companies will succeed only by offering the best deals at the lowest prices. That is competition, and I would claim to know something about competition, given my previous portfolio.
Thirdly, on institutional issues: our proposal strengthens the Body of European Regulators for Electronic Communications (BEREC). I repeat: it strengthens BEREC, it does not weaken it. We intend to strengthen BEREC with a permanent and independent chair, and I would emphasise the word ‘independent’. This proposal is not about taking power to Brussels; I am the last person to be in favour of that. Parliament gets a say, of course. It is part of our proposal that Parliament will be involved in the appointment of the chair.
The fourth issue is net neutrality. For the first time, across Europe, our proposal guarantees access to an open internet with no more blocking, no more slowing down and no more discrimination. Specialised services are needed for innovations such as e-health and business-critical cloud computing, but these will be allowed only under tight constraints. In particular, they cannot be a substitute for the internet, nor may they impair the internet for others. There are clear legal safeguards here: new monitoring and enforcement powers and clearer contracts to guarantee consumers internet speed and quality.
Fifthly, delays in spectrum licensing are partly to blame for today’s fragmented mobile markets, and we badly need a new approach on coordination across Europe. I am glad we are on the same page about this, but let me be clear: what we are talking about is coordination, not transferring responsibilities. The Member States and the national authorities will, of course, advise and will be involved in decision-making, and the additional administrative burden will be minimal. The Commission has no wish to intervene except where that is absolutely necessary.
Lastly, there are also new consumer rights: on contracts, transparency and switching – badly-needed rights, by the way – and that helps consumers, helps providers to expand across borders, taking advantage of our single market, and strengthens competition. We took the decision – and I am still grateful to those founders of Europe who took it – to be one family, for better or for worse, and with regard to this economic activity, it is of course far more challenging to have a single market rather than 28 individual ring-fenced markets. We are all aware of the many benefits that these reforms can bring.
Our common aim remains a more competitive Europe, with pervasive broadband underpinning a vibrant digital single market. I sincerely hope that I can count on your support, Mr President, to deliver this gift before the end of the Parliamentary term.
I think I have answered the substance of the points you raised, Mr Chichester. I look forward to our debate and to hearing Parliament’s views on the crucial issues.
Malcolm Harbour, rapporteur for the opinion of the Committee on the Internal Market and Consumer Protection. − Mr President, I am very pleased to be here this morning, on behalf of the Committee on the Internal Market and Consumer Protection, because we worked very closely with Catherine Trautmann to add a number of important elements to her initial report, in particular about users’ rights.
I would just remind you that my committee has had a consistent record, first of all in championing the single market – we need no lessons about that – but particularly because of the real importance of consumer rights and offering consumers that vital information – the ability to switch providers, and understanding the quality of service and any restrictions that may be applied to it, which are vital for the single market.
Our argument is that we have advanced significantly in that respect, particularly with the reforms that my committee added in 2009. The Commissioner talked about contract terms. We added significantly to the Commission’s original proposal in 2009, and we do not need any further lessons about that. I would say to the Commissioner – because, in a way, we are talking about her new proposal – that my committee and my shadows have met already, and we are very disturbed about the fact that you have gone for fully-harmonised regulation.
I see that the Prime Ministers agree with us on the need for more flexibility. We need to do a lot of work on this proposal, but we would have made much more significant progress if you had sent it to us as an amendment to our existing directive.
(The speaker agreed to take a blue-card question under Rule 149(8))
Andreas Schwab (PPE), Frage nach dem Verfahren der „blauen Karte“. – Herr Präsident! Ich hoffe, dass mein Kollege Hökmark, der eigentlich für die EVP spricht, es mir nicht übelnimmt, dass ich eine Nachfrage an den Kollegen Harbour stellen möchte. Frau Kollegin Trautmann hat eben in ihrer Einleitung darauf hingewiesen, dass sie eigentlich eine Gesetzgebung zur Netzneutralität erwartet. Frau Kroes ihrerseits hat gesagt, dass die Netzneutralität nunmehr geregelt sei mit dem Vorschlag der Kommission, und Sie, Herr Kollege Harbour, haben für den Binnenmarktausschuss gesagt, dass die Universaldienstleistungsrichtlinie eigentlich schon Regelungen für die Netzneutralität enthält. Könnten Sie vielleicht noch einmal deutlich machen, was Sie damit gemeint haben?
Malcolm Harbour (ECR), blue-card answer. – Yes, certainly, I was involved in drafting the provisions in 2009 about quality of service and giving the regulators the ability to intervene if they saw that service quality was being used in an anti-competitive way, and indeed if operators had already blocked, restricted or throttled services in a discriminatory way. BEREC, the regulators, have already told the Commissioner that they feel they have powers to deal with the net neutrality problems that are currently emerging.
I think that the problem that we will look at closely in the Commissioner’s new proposal is whether she is trying to anticipate potential problems as opposed to dealing with existing problems. It is not the philosophy of telecom legislation to try and anticipate problems but to allow the market to work, as she would agree.
Gunnar Hökmark, on behalf of the PPE Group. – Mr President, first of all I should like to thank the rapporteur and the Commissioner. I think it is striking that the sector we are discussing today is, on the one hand, characterised by extremely complex and slow administrative procedures and, on the other hand, that there are extremely rapid and dynamic developments in it. That means that we need to look ahead to the coming ten years more than we need to look back over the last five or three years.
Secondly – and this is crucial – we need to fight fragmentation. It is a paradox that, in these varying mobile and global markets, we in the European Union have more fragmentation than in nearly any other sector of our economy. I think we need to focus on opportunities for achieving transnational European markets, transnational operators, and the benefits for consumers of having those. I think it is fair to say that here we have the impact assessment of reality – not from any bureaucratic department or division, but we have the impact assessment from reality, because the reality is that Europe is lagging behind. It is of crucial importance for us to speed up, because otherwise we will lag behind more and more. The things we do not do today will mean that we lag behind even more tomorrow. That is why we need to ensure that we can deal with difficult spectrum issues, the 700 MHz band, and the transnational perspective.
We need to ensure that we in Europe can have the highest speeds, not the old-fashioned speeds of the digital agenda. We need to be better than that, and we need to make use of the fact that we now have a recovery. No other area provides such good investment and competitiveness as these telecom sectors. That will help society as a whole. That is what we have a duty to achieve.
Patrizia Toia, a nome del gruppo S&D. – Signor Presidente, onorevoli colleghi, saluto anch'io la signora Commissario, ringraziando in modo particolare l'onorevole Trautmann, che ha saputo presentare una relazione molto esauriente ed esaustiva nell'analisi della situazione, dell'applicazione della legislazione e che fornisce anche molti spunti per le azioni che dovremo compiere nei prossimi mesi e le scelte che dovremo fare.
Ciò che emerge con evidenza dalla relazione e dalla discussione di oggi è che, nonostante gli sforzi regolamentari fatti dall'Unione europea, questo mercato unico delle telecomunicazioni è ancora un obiettivo, e questo forse giustifica anche un nuovo impulso, una nuova attività da svolgere, perché la situazione è ancora quella di mercati frammentati, che insieme non riescono a rendere competitivo questo settore nel continente europeo. Questa perdita di competitività l'abbiamo constatata anche recentemente con l'acquisizione di grandi realtà europee da parte di soggetti di aziende extraeuropee.
Ritengo quindi che dobbiamo lavorare molto in questa direzione, consapevoli che da questo settore può derivare un impulso a tutte le altre attività economiche che cerchiamo di rilanciare nell'Unione europea, nonché alla pubblica amministrazione, che è anche un forte retaggio per il nostro ritardo economico, nonché un'occupazione qualificata per i giovani.
Dei tanti punti citati da Catherine, ne riprendo velocemente solo due o tre. Il primo è lo spettro radio. Penso che, nonostante i risultati, un più forte coordinamento europeo avrebbe permesso un uso più efficiente, oltre che di ricavare poi da questa opportunità molto di più per gli investimenti, per nuovi servizi nelle telecomunicazioni, e anche per entrate degli Stati membri, alcuni dei quali hanno usato male l'attribuzione delle frequenze, con aste, a volte non con aste, con metodi che non erano prescritti dall'Unione europea e che hanno fatto perdere denaro e possibilità per le telecomunicazioni. Ritengo quindi che bisogna lavorare ancora in questo settore.
Il tema della neutralità della rete – che Catherine ha richiamato e che le sta molto a cuore, così come sta molto a cuore a tutti noi – per combinare diritti dei cittadini con la qualità dei servizi.
Infine, un accenno al servizio universale, che deve essere veramente attuato per colmare questo divario che c'è e anche – mi rivolgo alla ex Commissaria – alla concorrenza, anche forse per rivedere la disciplina degli aiuti di Stato e il diritto comunitario per raggiungere questo importante obiettivo del servizio universale.
Adina-Ioana Vălean, on behalf of the ALDE Group. – Mr President, I would firstly like to congratulate the rapporteur, Ms Trautmann, on her excellent report and on a fruitful discussion ahead of the Commission’s proposal.
As a Liberal, I warmly welcome the objective of the Commission proposal. Borders make no sense in relation to electronic communication, and we need – soon – to overcome the status quo of 28 national markets. Time is moving on, and we need measures to promote growth and jobs. The ICT sector is certainly one that drives our economy forward, but we have to do things right: healthy policy-making can promote investment, competition and growth, but it can also severely damage the sector if we do not work properly.
While all of us agree on the goals pursued in this regulation – an end to roaming charges, net neutrality, a single European authorisation, improved consumer protection – we should also ensure that we are sending the right message to the industry and to consumers. Part of our work must be to respond to any fears or expectations that may be voiced about predictability. The current European competition model has proved efficient: it has created many jobs and businesses and promoted growth. It can be further improved through this new package only if we succeed in adding the necessary key performance drivers, which will restart investment in this important area of economic activity.
We must promote the creation of a single telecom market and EU competitiveness at global level, but we cannot afford to create distortions in such a sensitive market. If we want to change the paradigm of the EU pro-competition model, we should not go about it in a rush. We need proper democratic debate, among ourselves and with the Council, and we need to draft a coherent piece of legislation. Therefore, I invite my colleagues to take their time, to have discussions, to consult the stakeholders and to make sure that the parliamentary outcome will be a solid one that reassures all parties as to our intentions and our means. As we know, good intentions are not always enough.
Evžen Tošenovský, za skupinu ECR. – Vážená paní komisařko, pane předsedající, chtěl bych ocenit dlouhodobou snahu paní komisařky o posílení telekomunikačního trhu v Evropě a snahu o odstranění bariér pro jeho růst. Já také považuji za nesmyslná některá opatření, omezení, která komunikační služby prodražují nebo je administrativně omezují.
Problém vidím v načasování předloženého programu. Do konce našeho mandátu zbývá již jen několik měsíců, přičemž se jedná o velmi technicky a organizačně složitý materiál. Bylo by velkou škodou, kdyby tak důležitý záměr zůstal nedořešen z důvodu nedostatku času pro projednání v Parlamentu a v Radě. Nezbytnost investic do telekomunikací, například do širokopásmového internetu, je v současné době v Evropské unii vysoká a je zapotřebí zajistit hlavně předvídatelnost daného prostředí pro investory.
Za zásadní téma proto považuji zavedení jednotného evropského oprávnění pro celou Evropskou unii a vyřešení nebo odstranění poplatků za roaming.
Marisa Matias, em nome do Grupo GUE/NGL. – Senhor Presidente, eu também quero começar por felicitar a relatora, concordo com a linha geral do relatório que nos propõe e também as preocupações que foram apresentadas pelo colega Chichester.
Eu entendo que a regulação das comunicações eletrónicas e das telecomunicações é provavelmente um dos setores que tem mais impacto na vida dos cidadãos e o papel da Comissão aqui ao de tentar eliminar as lacunas, simplificar, mas a Comissão deve propor e não impor. A Comissão Europeia não pode substituir os reguladores nacionais.
Concordo com as preocupações e as questões suscitadas relativamente à neutralidade da Internet, à obrigação do serviço universal, incluindo o acesso à Internet a um preço justo e ao respeito da privacidade dos utilizadores.
Nós não podemos ficar apenas chocados quando vemos, nas notícias, a Senhora Merkl a telefonar ao Senhor Obama para saber se o seu telefone esteve ou não esteve sob escuta.
A questão da privacidade é um direito fundamental de todos os cidadãos europeus e essa é mesmo uma das questões principais porque a desconfiança, e termino com isto Senhor Presidente, a desconfiança é uma das principais barreiras à verdadeira implementação de uma agenda digital e isso é tão válido para cidadãos e cidadãs, como para as empresas e, se falamos de empregos, temos de ter isso em conta.
Pilar del Castillo Vera (PPE). - Señor Presidente, señora Comisaria, yo quiero empezar, como mis colegas, dando las gracias a Catherine Trautmann por el informe que ha presentado. Como todos sabemos, es una extraordinaria conocedora del tema, puesto que, además, fue la ponente de la Directiva sobre este tema hace ya cinco años. Yo creo que —como ella plantea— es necesaria una revisión. También creo que la revisión —como decía la Comisaria— lleva sus plazos y que —como alguien decía— en el mundo digital no hay ayer, no hay presente, solo hay mañana. Y, por tanto, hay que tener siempre la vista puesta en el futuro en esa dirección, teniendo en cuenta esa circunstancia de este sector sobre el que estamos trabajando, por lo que hay que combinar la evaluación de lo que viene ocurriendo con las normas que tenemos con los nuevos problemas que van surgiendo.
Y, en ese sentido, yo creo que se contextualiza la propuesta de la Comisión, que —ya lo hemos debatido muchas veces; yo misma lo he dicho— podría haberse hecho antes, probablemente sin ningún problema; habríamos ganado tiempo, pero las circunstancias son las que son. Y en este Parlamento, sobre todo en la Comisión de Industria, Investigación y Energía, ya hemos debatido este tema. Tenemos la determinación de seguir adelante. Seguir adelante significa que podamos llegar a aprobar en este Parlamento una posición, que naturalmente no se podrá negociar con el Consejo en esta legislatura, porque para eso sí que no hay tiempo, pero no importa, porque lo importante será fijar una posición y poder hacer luego la negociación con el Consejo.
Y una cosa más: yo no voy a entrar específicamente en cada uno de los temas, pero, en términos de tiempo, imagínense que les digamos a los ciudadanos europeos que en siete meses no tenemos tiempo de fijar una posición del Parlamento. Sería un poco ridículo. Hablamos de temas que llevamos debatiendo muchos años. No empezamos desde cero ni en espectro, ni en itinerancia, ni en neutralidad, ni en nada. Es decir, estamos hablando de temas ya muy debatidos y se trata ahora de que el Parlamento dé un impulso nuevo, para que lo que decidamos sea realmente eficiente. Ahí es donde —yo creo— tenemos que contribuir a lo que dice la Comisión.
Sergio Gaetano Cofferati (S&D). - Signor Presidente, onorevoli colleghi, Signora Commissario, dell'importanza che questo settore ha – attraverso il suo sviluppo sulle altre attività economiche di questa parte del mondo – ha già detto molto bene Catherine Trautmann nella sua introduzione.
Ritengo tuttavia che abbiamo oggi due emergenze, due priorità che vanno affrontate. Lei ricorderà che nel 2000 a Lisbona, l'Europa indicò il modello di competizione basato sulla conoscenza al resto del mondo come novità nel mercato globale. Ma la conoscenza ha bisogno di essere aiutata e sostenuta. Per questa ragione, il servizio universale è una priorità. Garantire l'accesso al servizio universale vuol dire dare la possibilità a questo settore di diventare il motore della crescita economica, soprattutto di favorire la competizione alta, quella legata appunto alla conoscenza.
E poi bisogna creare il mercato interno. Il mercato interno è fondamentale per i consumatori, che hanno bisogno di certezze, di trasparenza, di sicurezze, nonché di condizioni di accesso ottimali. E ciò vale sia per gli utilizzatori, cioè i consumatori, sia per le imprese. Penso che la creazione del mercato unico sia davvero, insieme al servizio universale, la priorità della nostra azione.
Jens Rohde (ALDE). - Hr. formand! Jeg får lyst til at sige til fru Matias, at det da næsten kunne være dejligt, om der var nogen, der gad at aflytte os engang imellem, for så var der da i det mindste nogen, der lyttede til, hvad vi siger og foretager os her i Parlamentet! Man kan ikke samle Europa! For man kan ikke lave omelet af hårdkogte æg! Sådan sagde den tidligere franske præsident Charles de Gaulle engang. Charles de Gaulle tog fejl! Vi har jo gennem årene, gennem historien vist, at det faktisk kan lykkes at samle Europa. Og en af de vigtigste samlinger, vi har lavet, er jo netop det indre marked. Hvis jeg stillede mig op her i dag og sagde, at jeg er imod at skabe et indre marked for kartofler, for mælk, for traktorer, for køleskabe, så ville man jo tro, jeg var fuldstændig fra forstanden. På den baggrund er det jo fuldstændigt absurd, at vi i dag både fra sektoren og fra medlemslandene møder en meget kraftig modstand mod vores kommissærs forslag, som går ud på at skabe et indre marked for digitale ydelser og kommunikation. Jeg møder dagligt lobbyister for både regeringshold og for sektoren, der spørger, hvorfor det skal komme nu? Hvorfor så hurtigt? Hvorfor dette hastværk? Til det er der kun ét svar, og det er: Hvorfor er de forslag ikke kommet i går, i forgårs, for flere år siden? Og jeg vil gerne understrege, at det ikke er en kritik af vores kommissær. Jeg synes, det er pragtfuldt, at vi har en Kommission, som nu på dette område i hvert fald tør vise mod og mandshjerte og pege på noget, der kan bringe os fremad. Vi behøver ikke være enige i alle detaljerne, men det er vigtigt, at vi forstår, hvad målsætningen med det her er, og at vi samlet som Parlamentet forstår at bygge det op, som kommissæren er kommet med, for det er det, der skal tage os frem mod et indre marked, som burde være en selvfølge i Europa i dag.
Adam Bielan (ECR). - Panie Przewodniczący! Realizacja zasad swobodnego przepływu towarów, usług i kapitału w nowoczesnym świecie wymaga sprawnego funkcjonowania jednolitego rynku cyfrowego. Mechanizm ten jest kluczowy dla rozwoju gospodarki opartej na wiedzy, pobudzania aktywności obywateli oraz potęgowania inwestycji w kapitał ludzki. Niestety szereg przepisów wykonawczych wciąż pozostaje w fazie opracowywania, a ich późniejsze wdrażanie w państwach członkowskich przebiega powoli.
Z perspektywy konsumentów, za niezmiernie ważne uważam zagwarantowanie neutralności sieci. Systematyczny rozwój nowoczesnych technologii telekomunikacyjnych, w tym przyspieszenie wdrażania telefonii czwartej generacji, to dziś absolutny priorytet. Wyeliminowanie roamingu w oczywisty sposób zwiększy konkurencyjność usług komórkowych w Europie.
Liczę na konstruktywne inicjatywy Komisji, umożliwiające jak najszybszą finalizację budowy rynku cyfrowego, aby jego potencjał wspomagał progres gospodarczy Wspólnoty.
Jolanta Emilia Hibner (PPE). - Panie Przewodniczący! Witamy szanowną panią komisarz, naszą koleżankę Trautmann. To jest chyba jedno z pierwszych naszych sprawozdań, gdzie prawie nic nas nie dzieli. Wszyscy chcemy dobrego, jednolitego rynku łączności elektronicznej. Jest to o tyle ważne, że łączność elektroniczna wpisana jest w pakiecie konkurencyjności, przewidywalności, ale jednocześnie poddana kontroli ze strony Europejskiego Urzędu Regulacyjnego Rynku Telekomunikacyjnego. Co jest najważniejsze? Najważniejsze są usługi transeuropejskie, neutralność sieci. O to walczy nasza pani komisarz i to trzeba też docenić. Ważne są również paszporty telekomunikacyjne dla operatorów. My musimy spowodować, żeby operatorzy mieli absolutnie większy dostęp do sieci, żeby nie było blokad na naszych granicach. Ważna jest też wspólna platforma technologiczna i wymiana wszelkich informacji. Jeżeli my wymienimy między sobą najlepsze przykłady, to jest to sukces. Nie ważne, który kraj prześciga inne i w którym momencie . My powinniśmy zachowywać się wzorcowo. Jeżeli któryś kraj ma wzorcowy dostęp do telekomunikacji, te wzorce powinny być transportowane do wszystkich innych krajów. Ważne jest absolutnie zmniejszenie obciążeń administracyjnych, bo one są tak naprawdę blokadą dla rozwoju sieci telekomunikacyjnej i dostępu do rynku. Ważne jest też wprowadzenie zapisów prawnych. Wiadomo, że musimy jako Europejczycy nadążyć za rozwojem sieci telekomunikacyjnej, takiej, jaką mają w Stanach Zjednoczonych. Dla mnie takim najważniejszym hasłem jest: „Biegnij, Europo, bo inni są już na mecie”.
Marita Ulvskog (S&D). - Herr talman! Jag vill ställa samma fråga som Jens Rohde gjorde: Varför kommer dessa förslag nu?
Detta var faktiskt frågor som vi diskuterade när kommissionär Kroes skulle väljas till kommissionär och vi parlamentariker ställde tuffa frågor om vilket program som hon tänkte jobba för. Nu i sista minuten av mandatperioden kommer förslagen. De är dessutom kombinerade med enormt stora förväntningar. Med hjälp av telekommarknaden ska vi bekämpa arbetslösheten, vi ska bekämpa krisen, vi ska åtgärda ungdomsarbetslösheten, och vi ska dessutom göra det väldigt bra för konsumenterna. Jag tycker att det känns som ett jätteberg som någon har skjutit framför sig tills vi befinner oss alldeles i slutet av en mandatperiod. Det kan mycket väl vara så att skulden inte ska läggas på kommissionär Kroes utan på andra delar av kommissionen.
Hur som helst måste vi ha rimliga förväntningar och en rimlig bild av var vi befinner oss. Det finns tre olika marknader inom EU: en nordlig telekommarknad, en – låt mig kalla det för mellaneuropeisk och en sydlig. Man måste erkänna att de finns där. Det måste nämligen vara styrande för de förslag som man sedan försöker genomdriva.
Man börjar inte från noll. Det kräver noggranna analyser, det kräver öppenhet, det kräver eftertanke – och det saknar jag i detta arbete. Viktigast är dock konsumentnyttan i slutändan. Med öppna ögon kommer jag att följa de förslag som förmodligen kommer att läggas fram.
Francesco De Angelis (S&D). - Signor Presidente, onorevoli colleghi, ho apprezzato molto il lavoro dell'onorevole Trautmann, davvero eccellente, così come il lavoro della Commissione sul tema dell'agenda digitale.
Nel merito, condivido le proposte. Il mercato unico è un obiettivo strategico per la competitività, la crescita e soprattutto l'occupazione. Ritengo tuttavia che dobbiamo accelerare il passo perché abbiamo bisogno di provvedimenti più coraggiosi per consolidare il mercato, tutelare soprattutto i consumatori e rendere quindi competitivo il tessuto economico, produttivo e industriale. Lo spettro radio e la neutralità della rete e il servizio universale sono questioni molto importanti per affermare i diritti fondamentali dei cittadini.
Infine, un'ultima questione sul roaming. Troppi tentennamenti; avremmo preferito la cancellazione di questa ingiusta tassa già nel 2015 e non rinviarla al 2016.
Giles Chichester (ECR). - Mr President, actually I was going to enquire whether the Commissioner was going to give me a written answer to my questions, since she so elegantly has not answered them in the debate today. I look forward to hearing from her.
Catch-the-eye procedure
Angelika Niebler (PPE). - Herr Präsident, verehrte Frau Kommissarin, liebe Kolleginnen und Kollegen! Zunächst ein Dankeschön an die Kollegin Trautmann für ihren Bericht, in dem sie alle wichtigen Fragen nochmals aufgreift, die auch mit Blick auf die Beratungen zum Telekom-Paket jetzt anstehen.
Ich möchte nur zwei Bemerkungen machen. Erstens: In den letzten zehn, zwanzig Jahren konnten wir feststellen, dass jeder technologische Fortschritt – egal in welchem Bereich, ob das die Automobilindustrie ist, ob das die chemische Industrie ist, ob das der Maschinenbau ist oder der Bereich Biotechnologie – mit IKT-Technologien zu tun hat. Das heißt, das was wir heute diskutieren und was Sie, Frau Kroes, an Vorschlägen vorgebracht haben, ist elementar dafür, dass Europa in der Welt auch wirklich eine wichtige wirtschaftspolitische Rolle spielt. Daher: Vielen Dank!
Ich möchte betonen, dass wir sicher auch im Parlament, zumindest was ich dazu beitragen kann, sehr engagiert in die Beratungen hineingehen werden. Die Kollegin Pilar del Castillo Vera hat bereits gesagt, wir werden zeitlich vielleicht ein Problem haben. Wir werden sicher nicht eine Einigung in erster Lesung hinkriegen. Aber bei den wichtigen Themen, bei den Fragen zur künftigen Frequenzpolitik, Thema Netzneutralität, das sind alles Sachen, da erwarten auch die Bürger von uns ein Signal, dass wir im Parlament hierzu eine Meinung haben. Und die sollten wir uns noch in dieser Legislatur bilden.
Andreas Mölzer (NI). - Herr Präsident! Die neuen Medien stellen uns bekanntlich immer wieder vor neue Herausforderungen, schon allein die Vielzahl an Werbeformen auf Webseiten macht meines Erachtens eine genauere Durchleuchtung zum Schutz personenbezogener Daten notwendig.
Noch viel bedenklicher ist allerdings eine andere Form der Verfolgung: Wenn da etwa Google in Zusammenhang mit der NSA-Affäre ganz lapidar meint, kein gmail-Nutzer dürfe erwarten, dass der Inhalt seiner persönlichen E-Mails privat bleibt, ist dies höchst bedenklich. In der Vergangenheit hieß es ja noch, dass die E-Mails von gmail-Konten lediglich auf Spam und Viren gescannt werden und für die Schaltung personalisierter Daten verwendet werden.
Gerade im Zusammenhang mit dem Fortschreiten des E-Government muss meines Erachtens eindeutig klargestellt werden, dass beim E-Mail-Versenden ebenso wie beim Versenden von Briefen das Postgeheimnis gilt, also, dass kein Anbieter mitlesen darf. Ebenso haben die Kunden meines Erachtens ein Recht zu erfahren, welche Nutzerdaten an Sicherheitsbehörden weitergegeben werden dürfen.
(A „catch the eye” eljárás vége.)
Neelie Kroes, Vice-President of the Commission. − Mr President, thank you for this debate. By the way, this is the first time that I have had the experience in my nine years in office in Brussels/Strasbourg of being blamed for being too speedy. Mostly the reactions of our citizens are ‘my goodness, they believe in eternal life in Brussels/Strasbourg!’
Having said that, and being aware that there is much that we have in common, one issue I would like to underline is that I have been appointed for five years, provided that I follow the rules and behave properly. That means that I am paid to fulfil my responsibilities, and I can assure you that it is an appointment for five years and that I will be active until my last day in office. So to those who are saying that it is nearly time to think about what is next, I would say that I myself am not thinking of my future after this period. I am just concentrating on what has to be done – and I repeat – up to my last day in office.
I am glad that most of you share the view that bringing back economic growth is at stake. Europe needs competition and competitive high-speed broadband markets. Our proposal addresses new challenges in a fast-changing world. We are talking about the global scene: there are no more ring-fenced national states; there is no more ring-fenced Europe. This is a global stage. Therefore, it is absolutely essential to act quickly, as our competitors will not wait until we are ready.
If we want Europe to have the economy and the technology to thrive, we cannot wait around. Our proposal is pragmatic, but it is focused. It is focused on clear objectives: removing the most important barriers to the single market so that the market can evolve. We have acted fast to respond to a changing market and to changing technology so that the current framework continues to meet its objectives.
The impact assessment sets out – and I was listening to the remarks made about the impact assessment from both sides – our evidence and analysis on how we are achieving that. Yes, the speed with which we have had to act has created challenges for my people, for the Commission and for all those involved, and we are communicating intensively and keeping an eye on all those who are interested in this matter. I am counting my blessings that so many people and organisations are interested in what is at stake. But to those who complain about lack of consultation, I would say: come on! We have been speaking to stakeholders for years: market players, national regulators, BEREC, investors, Members of Parliament, you name it – on issues ranging from how to stimulate investment to net neutrality. I promise and guarantee that we are listening to those who are discussing these issues.
This does not mean that we are following 100 % what they are in favour of. We listened and we responded, but let us not use procedure as an excuse for inaction, and I am repeating myself here. That is exactly what we are so often blamed for: using procedures as an excuse. We cannot afford it, and I am always saying to those I am in discussions with that I want to be open and honest to those youngsters who do not have a job and who have no prospect of a job in the coming years. I do not want to tell them: ‘Well, we need to have more time for procedures; well, we need more discussions’, and so on. They are only interested in a real effort to do whatever would give them the prospect of a job. We cannot afford to do it differently.
I would like to reassure you that national regulatory agencies will remain fully responsible for fact-finding, analysing markets and identifying remedies nationally. Mr President, I can claim to have a bit of experience in national policies as well, and I do not buy it when people are not telling the truth. I want to argue, but not on fake arguments, and not on issues that are not correct, for then we will never come to a decent, final result.
So I would like to reassure all of you that that the national regulatory agencies will remain fully responsible for the issues I have mentioned. The Commission proposes a new power concerning the legal compatibility of remedies imposed on European operators before those remedies are implemented. But that power is subject to safeguards, guaranteeing legal predictability and certainty.
These proposals foster competition and consumer choice. They will end the problems with roaming charges in Europe once and for all. I am ready to fight for that. I think citizens deserve a decent bill, not one based on historical situations in Europe. We have a single market and we should use it, using a market-based approach that helps operators to internalise their costs, thereby protecting citizens from domestic price increases. In an open and competitive single market with fewer barriers and greater economies of scale, companies will only succeed by offering the best deals at the best prices. And that is positive – it is positive for every European. In the longer run, some consolidation might be a consequence – it is not up to us. I am not the one sitting in the business chair; I am not making their business models. That is up to them, because operators will see different opportunities, plans and strategies in the single market. They have to seize that opportunity. But make no mistake: competition law continues to apply, and if someone is there to defend competition law, it is me.
European and national competition authorities continue to keep a close eye on this, and our proposal will bring many benefits to European citizens and businesses. Let me mention just one, and then I shall talk about jobs. The internet creates five jobs for every two jobs lost. In fact, a single market in telecoms will boost GDP by up to EUR 110 billion. That is exactly what I was talking about. If we do not speed up, what is the answer? If we are aware that this could be the real result of our actions, what is our answer to those who are looking forward? Is it that we are failing in our promise to do our utmost to restore the economy and create a climate in which creating jobs is at stake?
A growth boost would more than offset the negative impacts. Remember that the digital sector is crying out for talented workers, but it relies on fast broadband. I know that we share many common objectives for a digital single market, with fast broadband underpinning a more competitive Europe. We need to work together, and I am grateful to those who have mentioned that. I am grateful for the clear statement that Ms del Castillo Vera made, that we have to get together and fight and have a discussion. I am a democrat, and I am looking forward to that discussion and no mistake. We need to work together to achieve this and move one step closer.
Quite a number of you touched on the universal service rules. We are working on the next review of the scope of universal service, which will take place at the end of next year. The work foreseen will include assessing the economic and societal impact of various scenarios of universal service obligations and the potential inclusion of broadband in its scope.
This is what is at stake, and the honourable Member Matias mentioned it: to get every European digital. This was an issue when I first took responsibility for this portfolio. If we are to ensure that every European goes digital and is aware of the positive advantages of the internet, then we need to create trust and security, otherwise people will not be convinced that that is the way they should deal with it.
I am also talking about an ageing population. I am not only talking about the youngsters: they are well aware of what is at stake for them in the development of the internet. We badly need the ageing population to be involved in this positive part of our society. It can give them a lot of perspectives. Security, trust and confidence are at stake.
Just a last word – and of course I will gladly answer Mr Chichester in a written text. I am certain that that will stay longer in his office than my spoken text. It is quite clear, as mentioned by a couple of you, that it is unrealistic to think that we can adopt this proposal by the end of the parliamentary term. I am aware that your term and my term, so to speak, are not completely parallel. But we have to be ambitious; we have to think positively. We can and should adopt this proposal quickly. I learnt from my mother that if you really want something, you fight for it. I can assure you that I will do so.
(Applause)
Catherine Trautmann, rapporteure. − Monsieur le Président, Madame la Commissaire, je voudrais vous rassurer. Nous sommes un Parlement responsable et comme mes collègues l'ont exprimé ce matin, nous mesurons parfaitement notre responsabilité pour légiférer sur un texte qui mette du lien, de la cohérence, un texte qui donne confiance aux investisseurs pour créer de l'emploi au bénéfice des consommateurs. Notre cahier des charges, nous le connaissons. Vous nous avez fait une proposition. Nous saurons dégager ce qui est prioritaire et ce qui devra nous mobiliser pour travailler utilement pour nos concitoyens.
Je me réjouis aussi que le Conseil planche aujourd'hui sur une stratégie globale sur le numérique. En effet, j'attendais dans la proposition que vous nous avez soumise une stratégie industrielle, des orientations sur la normalisation et, bien sûr, un certain nombre de pistes sur la fiscalité. J'ai écouté M. Barroso hier et j'ai beaucoup apprécié que soit mis en place un groupe d'experts qui travaillera précisément sur l'aspect de la fiscalité.
Au vu de tout ce qui est mis sur la table, l'ensemble du Parlement, d'ici la fin de son mandat, autour des collègues rapporteurs, travaillera à dégager ce qui sera utile pour permettre au prochain Parlement d'enchaîner. C'est bien l'intention que nous avons. Nous n'avons pas l'intention de travailler sans parvenir un résultat. Nous savons pertinemment que nous serons aussi jugés par les électeurs, qui attendent des réponses sur ces questions. Nous avons travaillé sur la protection des données, sur le cloud, sur les aspects des droits des consommateurs, sur les contrats, sur la transparence et ce Parlement peut se targuer de résultats significatifs qui montrent aujourd'hui qu'il est aussi un exemple dans le monde.
Mais nous savons que nous devons accélérer pour suivre l'évolution technologique et répondre aux prochains défis. Soyez rassurée, Madame la Commissaire, nous travaillerons, mais nous travaillerons librement, intensément, et nous saurons présenter notre bilan à l'ensemble de nos concitoyens.
Pour terminer, Monsieur le Président, encore un mot parce que j'avais un point d'interrogation. Vous avez dit, Madame la Commissaire, que vous n'aimez pas – je vous cite – les gens qui ne disent pas la vérité. Dans ce Parlement, je crois que tout le monde s'est exprimé sincèrement. Le débat était utile et je voudrais vous remercier, Madame la Commissaire, d'y avoir vous-même contribué.
Neelie Kroes, Vice-President of the Commission. − Mr President, I would just like to mention that when I said some people were not telling the truth, I was not referring to anyone at all in this House.
President. − The debate is closed.
The vote will take place shortly.
Written statements (Rule 149)
Marino Baldini (S&D), napisan. - Imajući u vidu posljednje izmjene u zakonskom okviru koje se tiču cijena telekomunikacijskih usluga u drugim državama, izrazio bih zadovoljstvo postignutim snižavanjem cijena usluga roaminga. Ovim cjenovnim promjenama usluga je postala ekonomski prihvatljivija i dostupnija krajnjem korisniku. No, istovremeno bih naglasio kako je ostalo dosta prostora za napredak i kvalitetnije uređenje zakonskog okvira u pogledu elektroničkih komunikacijskih usluga i to posebice u dijelu koji se odnosi na razvoj jedinstvenog tržišta u području telekomunikacija. Također bih kao osobito važno istaknuo primjenu načela mrežne neutralnosti. Ovo načelo, kojim se operaterima nameće obveza da korisnicima ne smiju blokirati određene aplikacije, nažalost se ne primjenjuje. Zbog važnosti ovog načela, kroz koje se ostvaruje nediskriminatorna politika pružanja usluga krajnjem korisniku, od iznimne je važnosti da se zakonskoj regulaciji istoga pristupi detaljno, ali svakako u razumnom vremenskom roku kako bi relevantni propisi odgovorili na zahtjeve razvoja dinamičnog tržišta. Ovakav koncept za dugoročan cilj bi imao poticaj razvoja digitalnog društva te proširenje poslovanja kompanija izvan matičnih država članica. Smisao postojanja EU-a u svom izvornom i temeljnom smislu potiče rušenje granica koje su nepotrebne, ekonomski prihvatljive samo malobrojnim i štetne za većinu građana. Na ovaj način učinit će se dodatni korak u povećanju prava potrošača.
András Gyürk (PPE), írásban – Catherine Trautmann képviselő asszony elektronikus hírközlésről szóló jelentése nagy jelentőséggel bír, hiszen közös érdekünk, hogy a társadalom mind nagyobb hányada élvezhesse az internet nyújtotta előnyöket.
A jelentésben felsorolt problémákkal egyetértek, de engedjék meg, hogy kiemeljek néhány különösen fontos pontot. Elsőként a fogyasztók szempontjaira szeretném felhívni a figyelmet. A fogyasztók érdeke az alacsony ár és a szolgáltatóválasztás lehetősége, ezért olyan piaci struktúrát kell kialakítani, amely a lehető legnagyobb versenyt biztosítja a szolgáltatók között.
Másodszor, a beruházásokra is gondolnunk kell, hiszen a verseny előfeltétele az infrastruktúrához való hozzáférés, illetve az átlátható, egységes és beruházásokat ösztönző keretfeltételek.
Harmadszor, az egységes piaci struktúra kialakítása során nem szabad figyelmen kívül hagynunk a széles körű, folyamatos és intenzív konzultáció fontosságát. Egy valóban egységes piac elérése csak olyan szabályozási keretek között működik, amely hűen tükrözi minden gazdasági és kormányzati szereplő, illetve a többi érintett véleményét.
Mindezek fényében üdvözlöm a Bizottság „Behálózott Kontinens” elnevezésű rendeletjavaslatát, amely a fent felsorolt problémákra keres megoldást. Ez a javaslat azonban olyan összetett kérdéseket érint, amelyek kezelésére csak egy alapos helyzetértékelésre épülő csomag alkalmas. Félő azonban, hogy a csomag feszített ütemezése miatt elmaradt ez a részletes helyzetértékelés, és várhatóan a jelenlegi parlamenti ciklus is kevés lesz a téma részletes kitárgyalásához.
Danuta Jazłowiecka (PPE), na piśmie. – Niewątpliwie w interesie całej Unii jest stworzenie jednolitego rynku internetowego. Wciąż istniejące przeszkody i bariery uniemożliwiają pełne wykorzystanie jego potencjału. Zgadzam się z Komisją, że rynek składający się z 28 odrębnych krajowych rynków telekomunikacyjnych, na którym w dodatku działa ponad dwustu operatorów, nie może być przyjazny ani dla przedsiębiorców, ani konsumentów. Dlatego rozumiem intencje przyświecające Komisji przy tworzeniu wniosku ustawodawczego. Wydaje mi się jednak, że problem jest na tyle poważny, iż wymaga pogłębionej refleksji i dokładnej analizy. Nie możemy bowiem dopuścić do sytuacji, że przyjęte rozwiązania prawne jeszcze bardziej utrudnią funkcjonowanie na rynku elektronicznym. Możliwe korzyści są duże, ale potencjał szkód przy niewłaściwym uregulowaniu tej kwestii również jest ogromny. Dlatego też dziwić może, że Komisja zdecydowała się na tak szybkie tempo prac. Słuszne wydają się więc wątpliwości związane z brakiem wystarczających konsultacji społecznych nad tym wnioskiem. Z drugiej jednak strony sektor internetowy jest tak dynamiczny, że każdy miesiąc zwłoki może osłabić naszą konkurencyjność na globalnym rynku. Dlatego też Parlament Europejski musi dołożyć wszelkich starań, aby prace nad tym rozporządzeniem przebiegały sprawnie i doprowadziły do przyjęcia rozwiązań łączących w sobie ułatwienia dla przedsiębiorców z wysoką ochroną konsumentów.
Alajos Mészáros (PPE) , irasban. – Az egységes digitális piacban rejlő lehetőségek kulcsfontosságú szerepet játszanak egy versenyképesebb és dinamikusabb gazdaság megteremtéséhez. Egyenlő és akadálytalan hozzáférést kell biztosítanunk a nagy sebességű, szélessávú internethálózatokhoz valamennyi polgárunk számára. Infrastruktúránk kiépítésével 2016-ig globálisan 16 milliárd eurós bevételt és 4,4 millió újonnan létrehozott munkahelyet teremthetünk. Szem előtt kell tartani a globalizációból és az új technológiák használatából eredő kihívásokat, hiszen a nagy mennyiségű adatok és a tudás képezi az Unió jövőbeli gazdaságának hajtóerejét. A felhőalapú számítástechnika minimális indulási költségeket és kevés infrastruktúrát igényel, így az informatikai ágazat és a kkv-k számára lehetőséget biztosíthat arra, hogy az új digitális szolgáltatások és adatközpontok terén vezető pozíciót szerezzenek. Az e-közbeszerzéshez hasonló innovatív technológiai megoldások elfogadása révén ösztönözni lehet az új, jó minőségű e-kormányzati szolgáltatásokat is, ezáltal segítve a fennakadásmentes információ- és szolgáltatásnyújtást. Mivel a világgazdaság egyre inkább internetalapúvá válik, fel kell ismerni, hogy az intelligens, fenntartható és inkluzív növekedés egyik forrását az információs és kommunikációs technológiák jelentik. Ezért hívnám fel a Bizottság és a tagállamok figyelmét, hogy kötelezzék el magukat az egységes digitális piac kialakításához mint átfogó politikai prioritás felé.
Joanna Katarzyna Skrzydlewska (PPE), na piśmie. – Przejrzystość i jasne zasady stanowienia prawa to jedne z podstawowych cech demokracji. Natomiast jedną z zasad stanowienia prawa europejskiego jest udział Parlamentu Europejskiego w procedurze ustawodawczej. Dlatego dużym niepokojem – o czym wspomina w swoim sprawozdaniu poseł Catherine Trautmann – napawa zamiar przedstawienia na wiosnę przyszłego roku przez komisarz ds. agendy cyfrowej końcowego pakietu dotyczącego utworzenia jednolitego wewnętrznego rynku łączności elektronicznej. Podzielam pogląd, że w tak ważnej i złożonej sprawie Parlament Europejski nie powinien być zaskakiwany nowymi projektami i nie powinien podejmować decyzji pod presją czasu. Proszę, zatem o odpowiedź, dlaczego Komisja, zamiast dokonać całościowego przeglądu ram regulacyjnych dotyczących łączności elektronicznej, zamierza w przyszłym roku przedstawić Parlamentowi Europejskiemu propozycje nowych rozwiązań w tym zakresie, co ze względu na koniec kadencji uniemożliwi przeprowadzenie dogłębnej i merytorycznej debaty w tej bardzo ważnej sprawie?
Jarosław Leszek Wałęsa (PPE), na piśmie. – Dzisiejsza rzeczywistość opiera się na technologiach informacyjnych. W moim przekonaniu wszelkie inicjatywy i działania, które mają ułatwić i usprawnić przesył danych, są tak samo, a może nawet bardziej, istotne niż inwestycje infrastrukturalne. Cieszy mnie, że Komisja Przemysłu, Badań Naukowych i Energii postanowiła dokonać przeglądu wdrażania ram regulacyjnych dotyczących łączności elektronicznej, ponieważ pokazuje w ten sposób wszelkie niedociągnięcia, które powinniśmy jak najszybciej poprawić.
W sprawozdaniu wiele uwagi poświęca się dostępowi do szerokopasmowego internetu na terenie całej Unii Europejskiej. Warto przyjrzeć się regionom. Przegląd danych EUROSTAT-u unaocznia bardzo istotny problem rozpiętości w dostępie do internetu pomiędzy regionami Unii. Dla przykładu, dostęp do szerokopasmowego internetu w regionie Sztokholmu wynosi 91%, natomiast w rumuńskim regionie północno-wschodnim to zaledwie 17%. Regularnie z internetu korzysta od 94 do zaledwie 33 procent obywateli państw członkowskich. Również w Polsce widoczny jest podział na Wschód i Zachód. Rozpiętości sięgają 10%, biorąc pod uwagę oba wskaźniki. Sprawozdanie wspomina o zmniejszaniu przepaści w dostępie do najnowszych technologii informatycznych pomiędzy regionami. Rzeczywiście naszym priorytetem powinno być, by żadna z grup mieszkańców nie pozostawała wykluczona cyfrowo. Należy stale wspierać państwa w dążeniach do budowy społeczeństwa informacyjnego.
Elnök − A következő napirendi pont az Astrid Lulling és Paolo de Castro által a Mezőgazdasági és Vidékfejlesztési Bizottság nevében a Bizottsághoz intézett, az uniós borágazat jövőjéről szóló szóbeli választ igénylő kérdésről folytatott vita (O-000097/2013 - 2013/2850(RSP) - B7-0519/2013)
Astrid Lulling, auteur. − Monsieur le Président, chers collègues, cette question orale n'est pour moi qu'un pis-aller parce que, à cause d'un oubli de l'administration, nous n'avons plus pu élaborer dans les délais le rapport qui portait le titre suivant: "Après la réforme de l'OCM 'Vin' de 2008 et la réforme de la PAC, quel avenir pour le secteur viticole en Europe?". Il est inadmissible que ce rapport très attendu n'ait pas pu être établi parce qu'un fonctionnaire a simplement oublié de déposer la demande dans les délais.
Il s'agissait d'arrêter la position et les propositions du Parlement européen sur les résultats de la réforme très controversée de 2008 et sur les conséquences à en tirer après ce que nous avons pu arracher dans la récente réforme de la PAC pour maintenir la diversité et le potentiel de la viticulture européenne, ses traditions, mais aussi sa contribution au magnifique paysage, fonds de commerce du tourisme européen. Vous connaissez les buts visés par la réforme de 2008, qui portait la signature ultralibérale de la commissaire à l'agriculture, Mme Fischer Boel, avec des instruments comme le plan d'arrachage, la décision de supprimer les droits de plantation, la suppression des mécanismes d'intervention, et j'en passe.
En ce qui concerne l'arrachage, entre 2008 et 2011, 4,6 % des surfaces viticoles européennes ont été arrachées. Le potentiel de production a été réduit de 10 millions d'hectolitres par rapport à l'année de production 2008. Cet arrachage de 161 200 hectares a coûté 1 024 millions d'euros. Quant à la libéralisation des droits de plantation prévue pour 2006, nous avons pu l'empêcher et elle n'aura pas lieu. Le système des droits de plantation sera remplacé par un système d'autorisation de plantation acceptable pour les viticulteurs qui veulent planter parce qu'ils peuvent vendre plus, comme pour ceux qui ne veulent pas planter. Sans le Parlement européen, ces mesures qui sauveront la viticulture européenne de qualité n'auraient jamais vu le jour.
Vous devez savoir certaines choses. Soixante-trois pour cent de la production de vin européen, ce qui équivaut à 103 millions d'hectolitres, sont produits sous AOP et IGP. Cinquante et un millions d'hectolitres (31 %) sont sans indication géographique. Puisque les 63 % créent plus de valeur ajoutée, je suis d'avis qu'il convient de maintenir obligatoirement les dispositifs d'appellation dans les régions.
En ce qui concerne les pratiques œnologiques, il faut absolument éviter que d'avantage de compétences soit déléguées à la Commission européenne par le biais d'actes délégués. Il faut maintenir la réglementation des pratiques œnologiques dans le règlement de base et ne pas déterrer la hache de guerre entre le Nord et Sud qu'on a enterrée en 2008.
La bonne nouvelle, c'est que les 7,5 % des subventions, à hauteur de 2,8 milliards d'euros, qui ont été utilisés pour la promotion des vins européens sur les marchés non communautaires ont porté leurs fruits, car la quantité totale des exportations a augmenté de 17,9 millions d'hectolitres à 22,8 millions, donc de 22 %, et la valeur de ces exportations a même grimpé de 36 %, donc 65 % de ces vins ont été exportés en bouteille. La preuve: nous sommes compétitifs dans le secteur haut de gamme pour nos exportations dans les pays tiers.
Les importations ont aussi augmenté, de 5 %, mais leur valeur a diminué de 2,7 à 2,4 milliards. Il est d'ailleurs intéressant de constater que 64 % de ces importations étaient à destination du Royaume-Uni et de l'Allemagne. Nous ne sommes donc pas compétitifs par rapport aux vins bas de gamme des pays tiers.
En 1999 déjà, le Parlement européen avait réclamé la possibilité d'étendre la promotion au marché intérieur. Aujourd'hui, cette possibilité existe. La preuve que nous avions raison de la demander, c'est que seuls 33 % des vins communautaires (49 millions d'hectolitres) sont commercialisés entre les États membres. Nous devons donc enfin arriver à activer les débouchés intracommunautaires au lieu de laisser ces parts de marché aux pays tiers.
En conclusion, Monsieur le Président, nous voulons étendre les mesures de promotion, mais il n'est pas opportun d'engager une nouvelle réforme du secteur. Laissez les viticulteurs travailler. Pardonnez-moi, mais foutez-leur la paix!
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Monsieur le Président, chère Madame Lulling, je vais vous répondre tout de suite. Non, la Commission européenne n'envisage pas une autre réforme du secteur viticole. Oui, le secteur viticole a besoin de pouvoir travailler et d'assurer la mise en œuvre de ce qui existe.
Vous avez dit à la fin de votre intervention "foutez-leur la paix": c'est ce que nous faisons. Je vous rappelle que ce n'est pas la Commission qui a demandé à revoir la réforme de 2008. Il y a eu des demandes émanant notamment de votre part. Elles étaient justifiées, je dois le reconnaître, et ont été prises en compte dans le cadre de la réforme. Mais maintenant, je dis, moi aussi, qu'il faut laisser le secteur viticole pouvoir s'appuyer sur les mesures qui ont été prises.
D'ailleurs, l'évaluation initiale de la réforme de 2008, de notre point de vue, est jusqu'à présent plutôt positive. Les nouvelles mesures structurelles – vous avez parlé de l'arrachage, qui remplace les mesures de distillation – ont démontré leur intérêt auprès des opérateurs puisque les viticulteurs qui les avaient demandées en ont bénéficié. Il me semble que, même si vous avez montré combien a coûté cet arrachage – mais, vous savez, la distillation chaque année de quantités supplémentaires de vin qui, par ailleurs, mettaient en péril la compétitivité des autres vins de qualité coûtait cher également et pesait sur le budget public –, ces mesures structurelles ont été plutôt positives.
Les stocks diminuent, les exportations de l'Union vers des pays tiers – comme vous l'avez mentionné – continuent de progresser, tant en volume qu'en valeur, et, d'ailleurs, le vin européen tire comme une locomotive d'autres secteurs de l'industrie alimentaire sur des marchés internationaux. Nous allons utiliser ces aspects dans le nouveau programme de promotion, le nouveau règlement que nous allons bientôt vous proposer pour renforcer la promotion agroalimentaire européenne, et j'espère que le vin en bénéficiera.
Le secteur vitivinicole est également intégré depuis 2008 dans le règlement OCM unique et, en conséquence, l'accord politique intervenu entre le Conseil et le Parlement dans le cadre de la réforme de la PAC post-2013 a introduit quelques nouveautés, notamment un nouveau système d'autorisation des plantations, qui remplace le système actuel de droits de plantations, à la suite des conclusions du groupe à haut niveau sur le vin et avec l'appui du Parlement, représenté par le rapporteur Michel Dantin qui, en votre nom a beaucoup insisté aussi pour que ces mesures soient introduites dans ce règlement OCM unique.
De plus, d'autres améliorations ont été introduites dans le programme d'aide, la plupart à la demande du Parlement européen, comme vous le savez bien, notamment la promotion des vins sur le marché de l'Union, la mesure d'innovation et la mesure de restructuration de vignobles à des fins sanitaires et phytosanitaires pour mieux adapter les normes de l'Union aux besoins du secteur et de son développement.
Le rapport de 2012 que vous avez cité est donc dépassé, compte tenu du fait que nous avons eu, depuis, ces négociations dans le cadre de la réforme de l'OCM unique, que le secteur viticole y a été intégré et que tous les aspects de ce rapport 2012 que nous aurions pu traduire dans des actes législatifs ont été pris en compte dans le cadre de cette réforme.
Pour répondre encore une fois clairement à votre question, non, la Commission n'a pas l'intention de revenir sur ce qui a été fait. Vous demandez de quelle façon le potentiel du marché intérieur peut être pleinement exploité. Les outils mis à la disposition des producteurs se sont étoffés, notamment via la réforme de la PAC 2013. En réalité, il faut d'abord laisser le secteur s'adapter aux changements préconisés. La poursuite de la mise en œuvre de la réforme doit aussi favoriser davantage l'amélioration de la compétitivité du secteur, à l'intérieur comme à l'extérieur. Je vous disais tout à l'heure qu'un des instruments à venir sera ce règlement sur la promotion, qui visera aussi le secteur viticole.
La Commission prépare actuellement des actes délégués et d'exécution nécessaires à la bonne application des mesures de soutien, y compris pour le secteur viticole, dès 2014 et pour le système d'autorisation dès 2016.
Pour conclure, il me semble que ce qu'il faut maintenant, c'est être en mesure de conserver et de mettre en valeur la qualité liée à un terroir, mais aussi répondre aux évolutions du marché de l'offre et de la demande sans pour autant laisser le secteur livré à lui-même. Ce système d'autorisation des plantations nous permet donc de garder, de valoriser et de protéger la qualité et les liens avec un terroir, tout en permettant au secteur de s'adapter à l'évolution du marché. Sans compter les autres mesures que nous avons prévues – l'innovation, la recherche – dont, j'en suis sûr, le secteur viticole bénéficiera, comme de la promotion.
Michel Dantin, au nom du groupe PPE. – Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, Mesdames et Messieurs, je voudrais tout d'abord, Monsieur le Commissaire, vous remercier pour l'hommage que vous venez de rendre au travail du Parlement sur les aspects viticoles de la réforme de l'organisation commune des marchés. Je pense que vous avez été effectivement tout à fait fidèle au point que le Parlement a souhaité intégrer et je veux aussi vous remercier pour le travail collaboratif que nous avons pu faire pour œuvrer ensemble en faveur de la viticulture.
C'est vrai que l'évaluation qui a été rendue publique, conformément à ce qui avait été convenu en 2008 a quelque peu perturbé le secteur viticole, qui a vu là les prémices d'une nouvelle réforme. Je crois que nous venons de prendre un certain nombre de dispositions qui reviennent sur des dispositions de 2008 ou qui les complètent, et qu'il faut effectivement maintenant que ces mesures entrent en application, que les textes sortent le plus rapidement possible et que le secteur puisse s'emparer de ces nouveaux outils. À ceux que vous avez cités, je voudrais ajouter ce que nous avons intégré pour le pouvoir des organisations de producteurs. Le secteur viticole est un secteur qui est globalement assez bien organisé, mais qui peut encore faire mieux. Il faut que ce secteur d'empare des outils qui existent en termes d'organisation de producteurs et d'interprofession.
Je voudrais également vous demander, Monsieur le Commissaire, de lancer sans délai les campagnes d'information qui sont plus ou moins annoncées par vos collaborateurs sur les signes de qualité. Le secteur du vin est un secteur qui a de l'avenir en Europe, si la qualité est renforcée et si elle est reconnue. Les signes de qualité européens sont mal connus, trop mal connus par le consommateur européen. Nous avons un besoin impératif de communication à ce sujet.
En ce qui concerne les mesures de promotion, je voudrais simplement insister sur le fait qu'elles doivent permettre de renforcer une consommation responsable, notamment dans les nouveaux pays consommateurs de vin.
Paolo De Castro, a nome del gruppo S&D. – Signor Presidente, signor Commissario, onorevoli colleghi, quello di cui discutiamo oggi è uno dei settori più importanti e strategici del sistema agroalimentare europeo, un settore che rappresenta per diversi paesi la prima voce per l'export agroalimentare e che punta ormai da anni sulla qualità, tanto da farne il suo principale elemento di forza e di successo sul mercato mondiale, come l'onorevole Lulling ha ricordato.
È all'interno di questo contesto che possiamo dunque ricondurre il dibattito odierno. Il nostro obiettivo è quello di raccogliere una sfida ambiziosa: avviare un concreto percorso di riflessione sul futuro del settore vitivinicolo dopo la riforma del settore del 2008 e dopo il recente accordo sulla riforma della PAC.
Com'è stato ricordato, la proposta della Commissione nel novembre 2011, al contrario degli orientamenti emersi sia in Parlamento sia in Consiglio, aveva confermato la fine del sistema dei diritti d'impianto dei vigneti. Una liberalizzazione assoluta, che avrebbe rischiato di favorire una drastica riduzione della redditività delle aziende e che avrebbe generato conseguenze negative in termini di riduzione di qualità e prezzi. Ma l'accordo finale sulla PAC, pur superando il sistema dei diritti d'impianto, ha introdotto un nuovo sistema di autorizzazioni a partire dal 2016 e fino al 2030, dando poi la possibilità a chi ne fa richiesta di mantenere l'attuale sistema dei diritti d'impianto per altri cinque anni.
Se guardiamo al futuro, però, l'obiettivo deve essere quello di superare questo stratificato sistema normativo, spesso complicato e gravoso, che costa ai produttori vitivinicoli. I presupposti delle precedenti riforme del vino erano stati quelli del controllo della quantità, i vari tipi di distillazione e il controllo sui vigneti. La stessa riforma del 2008 ha eliminato progressivamente gran parte dei sostegni che giustificavano questo controllo sistematico delle produzioni e della circolazione dei prodotti vitivinicoli.
Signor Commissario, non è dunque più giustificato mantenere in piedi un sistema normativo burocratico, ispirato a esigenze che ormai non sono più ravvisabili nelle regole attuali della nuova OCM. Dunque, la sfida è quella di creare un regime vitivinicolo basato su regole chiare, semplici ed efficaci. Era l'obiettivo della riforma del 2008 e ci auguriamo che oggi ci siano le condizioni per semplificare la vita ai nostri produttori.
Sylvie Goulard, au nom du groupe ALDE. – Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, merci d'être là, même si nous n'avons pas pu faire un rapport. Je crois que cette discussion est extrêmement utile et je m'associe aux remerciements de Michel Dantin. Je crois que les institutions ont effectué un bon travail collectif qui – cela ressort du débat – satisfait les gens raisonnables et désireux de réorienter un peu les mesures par rapport à 2008.
À propos de la réforme de la PAC, je crois que nous pouvons nous féliciter d'avoir réussi à réaménager les droits de plantation de manière plus intelligente et à les garantir pour un certain temps, grâce à un travail qui a permis d'éviter des excédents qui étaient à la fois de mauvaise qualité et extrêmement onéreux – vous avez bien fait de le rappeler – pour le budget.
Je voudrais insister sur deux points: l'importance de la qualité et celle des accords de libre-échange. Sur ce dernier point, nous avons une bataille à livrer. Je compte vraiment sur vous, au sein du collège, pour que, dans les mois qui viennent, l'accord de libre-échange avec les États-Unis permette la défense de toutes les appellations et des indications géographiques protégées qui, comme plusieurs collègues l'ont rappelé, constituent le véritable fer de lance de nos exportations.
Pour l'avenir, je pense que nous devons laisser le message à la prochaine Commission – dont vous ferez peut-être partie, Monsieur le Commissaire, je vous le souhaite votre portefeuille – qu'il faut travailler dans une perspective à long terme. L'Europe se renforce lorsque nous sommes capables de prendre des mesures qui fixent un cadre, qui laissent le temps à l'investissement. Et l'investissement en matière vitivinicole, ce n'est pas un investissement du jour au lendemain, particulièrement, par exemple, pour le cognac: il faut non seulement faire le vin, mais ensuite le laisser reposer dans des fûts. Je souhaite donc une approche qui ne soit pas réduite au seul aspect de la compétitivité à court terme, mais une approche à long terme dans nos partenariats étrangers et par rapport à nos investissements.
Willy Meyer, en nombre del Grupo GUE/NGL. – Señor Presidente, señor Comisario, quiero comenzar mis palabras haciendo referencia a la huelga general que se está produciendo en mi país, España, en defensa de la educación pública, en contra de una ley —la Ley Wert— que pone en cuestión la educación pública en mi país.
Y en relación con el tema de este debate, a mi Grupo le preocupa especialmente todo lo relativo a la producción europea, así como la defensa de la pequeña y mediana producción, de las cooperativas. Creemos que hay una concentración en grandes empresas que pone en riesgo, precisamente, la producción europea. Es el caso, por ejemplo, de las bodegas García Carrión de mi país, primera bodega europea y cuarta del mundo, que importó en el mes de enero diecisiete millones de litros de vino de Chile. Diecisiete millones. Claro, pone en riesgo la producción nacional, la producción europea, la pequeña y mediana producción; y, además, estas concentraciones de producción reciben una parte muy importante del dinero de la PAC.
Por lo tanto, la concentración de la producción es un peligro; peligro del que alertamos a esta Cámara.
Mara Bizzotto, a nome del gruppo EFD. – Signor Presidente, (microfono spento) importante che, nonostante la crisi, riesce a garantire lavoro e sostegno all'economia nazionale. Nel primo semestre 2013 le vendite sono cresciute del 4 per cento. Soltanto il Veneto, grazie ai suoi vini DOP e IGP, produce oltre un miliardo di euro di fatturato all'anno.
L'altolà europeo alla liberalizzazione dei vigneti, che avrebbe significato la possibilità di piantare di tutto e ovunque, è stato una conquista importantissima per le nostre aziende e per i nostri territori. Ma non basta. L'UE deve investire di più sulla qualità, e perciò ringrazio il Commissario per essersi attivato subito per bloccare i vini in polvere "fai da te" spacciati per Prosecco, Amarone o Chianti, dopo la mia denuncia di quasi un anno fa.
Tuttavia, questi falsi vini in polvere continuano ad essere prodotti in Svezia e ad essere venduti in Gran Bretagna e in altri Stati e possono essere acquistati sul web in alcuni siti come Amazon o eBay. Per questi motivi, vorrei chiedere un ulteriore impegno perché dobbiamo lottare contro il business illecito dell'agropirateria e perché – come tutti sappiamo – il vino si fa con l'uva e non questi miscugli strani e pericolosi.
Christa Klaß (PPE). - Herr Präsident, Herr Kommissar, liebe Kolleginnen und Kollegen! Ich danke Astrid Lulling für die Anfrage an die Kommission, denn das gibt uns Gelegenheit, die wichtigen Fragen des Weinbaus in Europa hier zur Sprache zu bringen.
Vier Jahre nach Inkrafttreten der Reform sind erste Erfahrungen gemacht. Die Hauptaufmerksamkeit des Weinsektors widmet sich jetzt den Vorschlägen zur Ergänzung und Verbesserung durch die kürzlich eingeführten Maßnahmen im Rahmen der Gemeinsamen Agrarpolitik. Die Kommission hat erklärt, dass vorrangig die delegierten Rechtsakte zu den Direktzahlungen verabschiedet werden müssen, weil hier eine besondere Eilbedürftigkeit bestehe.
Herr Kommissar, das neue Autorisierungssystem soll erst 2016 etabliert werden, und da ist man der Meinung, dass diese delegierten Rechtsakte nicht so dringlich seien und erst im neuen Europäischen Parlament, also nach den Wahlen, vorgelegt werden sollten. Ich denke, das ist die völlig falsche Einschätzung. Es gibt sicherlich zu viele delegierte Rechtsakte, aber meines Erachtens sollte das jetzige Parlament auch die delegierten Rechtsakte verabschieden, denn wir haben schließlich die politischen Grundlagen dazu beschlossen.
Außerdem muss auch genügend Zeit für eine Prüfung sein. Wir lassen uns nicht unter Druck setzen, die Entwürfe der Kommission einfach durchzuwinken, um noch eine zeitgerechte nationale Umsetzung zu ermöglichen. Zuerst weigert die Kommission sich, das geltende Recht bis 2018 laufen zu lassen und drängt auf einen Beginn im Jahr 2016, und jetzt kommt sie mit den Durchführungsverordnungen nicht in die Pötte. Die Kommission vergisst offenbar auch, dass auf der nationalen und regionalen Ebene immer auch noch Umsetzungsbedarf besteht und die Arbeiten auch erledigt werden müssen, wenn die Kommission ihre schon gemacht hat.
Außerdem, Herr Kommissar, erlauben Sie mir, auch noch ein besonderes Augenmerk auf den Weinbau im Rahmen der Verhandlungen der Europäischen Union und des US-Freihandels-Abkommens zu richten. Die europäische Weinkultur ist nicht für andere wirtschaftliche Interessen verhandelbar. Hier muss die Kommission besonderen Druck ausüben und besonderes Augenmerk darauf legen. Weinbau in Europa ist Wirtschaft und ist auch unsere Kultur.
Luis Manuel Capoulas Santos (S&D). - Senhor Presidente, Senhor Comissário, Senhoras e Senhores Deputados, não é novidade para ninguém que a vinha e o vinho constituem uma das marcas mais impressivas da agricultura europeia. Não só moldou a paisagem de muitas regiões da Europa, como inseriu na nossa cultura traços que perduram ao longo de séculos.
Por isso, nunca é demais lembrar que produzir vinho ou beber vinho não é uma mera atividade económica ou uma simples opção gastronómica.
Tenho orgulho em provir de um país onde se situa a mais antiga zona demarcada do mundo, cujos limites foram fixados em 1756 e que hoje está classificada como Património da Humanidade. Ao longo de séculos, o homem esculpiu montanhas num trabalho ciclópico, só comparável aos dos construtores de pirâmides.
O setor conheceu uma profunda reforma em 2008 e estamos agora a concluir a reforma da PAC para o período 2014-2020, onde algumas decisões com impacto no setor acabam de ser tomadas, designadamente quanto ao regime dos direitos de plantação.
Há um ano, a Comissão divulgou um útil estudo de avaliação sobre os últimos cinco anos, que nos deu uma perceção global do impacto das principais medidas. Constata-se que os resultados são muito diferenciados, de região para região, e os efeitos da crise económica que vivemos no mercado interno e em países terceiros revelam também tendências contraditórias.
Perante a importância do setor, em tempos de incerteza, é necessário estar sempre atento e antecipar uma estratégia adequada para acautelar o futuro.
Solicito, por isso, à Comissão que nos informe quais as iniciativas que tenciona levar a cabo neste domínio, no futuro próximo, para além, naturalmente, daquelas que decorrem da reforma de 2013 e, em particular, quanto à questão da promoção. A questão da promoção no mercado interno é uma questão decisiva nos momentos que vivemos.
Muito obrigado.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL). - Senhor Presidente, sempre afirmámos: a liberalização das plantações acarreta perigos imensos, põe em causa o equilíbrio económico das explorações e das regiões agrícolas, mas põe também em causa o equilíbrio ecológico dos vinhos e das paisagens.
Sempre defendemos a manutenção dos direitos de plantação da vinha e o estabelecimento de regimes especiais para as regiões em que a vitivinicultura é a atividade dominante.
O que está hoje em cima da mesa é uma política que irá criar ainda mais descontrolo da produção através de total liberalização do setor vitivinícola. O objetivo de criar novas segmentações, que permitam promover vinhos de mistura originários de diferentes países, trará problemas enormes à produção dos vinhos de indicação geográfica.
Somos totalmente contra a desregulação do setor, sendo fundamental a manutenção dos direitos de plantação da vinha - garante da continuidade dos vinhos de indicação geográfica. A questão que se coloca hoje não é se há ou não uma reforma do setor, não é só essa a questão, mas se o conteúdo dessa reforma irá proteger o setor, nomeadamente os pequenos produtores.
Franco Bonanini (NI). - Signor Presidente, onorevoli colleghi, ringrazio gli onorevoli De Castro e Lulling che hanno posto questo problema importante, facendo mio lo slogan con il quale ha chiuso l'onorevole Lulling – "Lasciateci in pace" – perché sostanzialmente è quello che principalmente chiedono i viticoltori, il che non vuole dire diminuire i controlli o alleggerire quelle che sono le necessità di verifica, ma semplicemente uno snellimento delle procedure burocratiche.
C'è un confine – diciamolo chiaramente – tra l'Unione europea e gli Stati nazionali. Tuttavia, mi auguro che la revisione in corso del regolamento 882 finisca anche per razionalizzare un po' di questi controlli. Oggi si calcola che ogni viticoltore destina il 33 per cento del suo tempo alle procedure burocratiche. I sistemi di controllo sono formati da più organi, che tra l'altro dipendono anche da ministeri diversi e talvolta hanno anche interpretazioni diverse.
Personalmente concordo con gli autori dell'interrogazione sul legame che ci deve essere fra produzione di qualità e indicazione geografica. Metterlo in discussione significa mortificare il pregio più importante su cui si basa la produzione europea, ossia la ricchezza delle biodiversità territoriali. Bisogna anzi promuovere un'ampia protezione delle indicazioni geografiche, superando il sistema della lista breve, che trascura invece un'ampia fetta di produzione che merita di essere in qualche modo citata e proposta.
Maria do Céu Patrão Neves (PPE). - Senhor Presidente, Senhor Comissário, a União Europeia é o maior produtor, consumidor, exportador e importador de vinho do mundo. Uma posição dominante que importa manter.
As duas últimas reformas, 2008 e 2013, vieram munir o setor das condições e instrumentos que se creem necessários para enfrentar o futuro com sucesso. O que passa por conquistar uma maior quota de mercado, apostar no investimento em conhecimento, com vista à reestruturação e modernização das vinhas e adegas, melhorar constantemente a sua qualidade, contando ainda com uma política de promoção adequada às suas necessidades.
A reforma de 2008 ainda não foi avaliada e a de 2013 ainda nem entrou em vigor, pelo que se exige agora tempo suficiente para que o setor se adapte às últimas alterações, as implementar e, depois, permitir que sejam avaliadas, sem que entretanto venham a ser de novo alvo de revisões.
A estabilidade legislativa é essencial para que o setor planeie o seu futuro a médio prazo, sem o qual não se poderá manter competitivo.
E este é o seu maior desafio, pelo que importa agora reorientar o financiamento para medidas proativas de reforço à competitividade, investir na promoção dos vinhos produzidos pelos diversos Estados-Membros.
Neste contexto, há alguns aspetos que considero merecerem consideração. Um primeiro é a possibilidade da produção de vinhos varietais pôr em causa a importante associação entre a produção de vinho e as respetivas IGP DOP, o que tem de ser devidamente ponderado. A este propósito, sublinho a urgência de defender as DOP e IGP europeias sujeitas a uma concorrência crescente de vinhos de outros países.
Há situações que, nomeadamente, importa revitalizar produções certificadas que, por circunstâncias extrínsecas, foram definhando mas têm potencial competitivo. A aguardente da Lourinhã, em Portugal, atualmente sem vinha suficiente para se afirmar no mercado, é um exemplo.
Outro aspeto importante é o da possibilidade de apoios suplementares aos produtores de vinho em regiões desfavorecidas, como sejam ilhas. E, aqui, gostaria de dizer que, além de impactos negativos a nível económico, social e também ambiental, o tradicional cultivo da vinha tem também valor cultural e mesmo turístico.
Terminando, apenas dar o exemplo da vinha do Pico, nos Açores, que a UNESCO distinguiu como Património da Humanidade e que precisa efetivamente de ser apoiada no que diz respeito à recuperação de zonas para cultivo desta vinha.
Iratxe García Pérez (S&D). - Señor Presidente, comienzo también mi intervención con un reconocimiento a los miles de hombres y mujeres, niños y niñas, que hoy, en España, se manifiestan contra los recortes y por el derecho a la educación pública.
Con respecto al sector vitivinícola, creo que todos hemos coincidido hoy, en este debate, en reconocer que estamos hablando de uno de los sectores más competitivos de nuestra industria agroalimentaria y que, si bien ha pasado por determinadas incertidumbres en el marco de todo este proceso de debate de la PAC y, por lo tanto, de la OCM única, a día de hoy se pueden sentir satisfechos del resultado de este trabajo de cooperación del Parlamento con el Consejo y con el Grupo de alto nivel de la Comisión, que creo que ha terminado buscando una solución beneficiosa para el sector, un instrumento que garantice la estabilidad de un sector tan importante como este del que estamos hablando.
Pero quería también hacerle una pregunta al señor Comisario, puesto que, en estos momentos, en este sector, hay determinados territorios en los que se está dando una sobreproducción y quería saber si la Comisión ha previsto algún instrumento para hacer frente a una posible situación de desestabilización del sector en determinados territorios.
Dubravka Šuica (PPE). – Gospodine predsjedniče, želim se na početku zahvaliti gđi Lulling što je otvorila ovo pitanje nakon reforme iz 2008. godine jer smatram da je važno govoriti o ovom sektoru. Također su dobri prijedlozi koje smo čuli od Komisije u okviru zajedničke poljoprivredne politike.
Međutim, budući da dolazim iz Hrvatske gdje je proizvodnja vina i vinogradarstvo jedna od zanimljivih, ili zanimljivijih, grana poljoprivrede. Postoji duga i bogata tradicija proizvodnje vina, a negdje je, u nekim krajevima Hrvatske, jedina moguća grana poljoprivrede. Proizvodnja vina se može okarakterizirati kao proizvodnja koja ima tendenciju razvoja kvalitete. A naši ciljevi su sukladni Europskim ciljevima. Radi se o povećanju proizvodne kvalitete vina, povećanje konkurentnosti proizvođača, ali i modernizaciji vinogradarskih tehnika kroz nova ulaganja u infrastrukturu vinarija i prerađivačke kapacitete. Također se radi o povećanju promocije i prodaji vina na tržištima trećih zemalja.
Međutim, kod nas nije lako biti konkurentan. Razlozi su usitnjenost posjeda, dakle veliki problem su mali vinogradi, a posebno u Dalmaciji, i veliki broj malih proizvođača. Dakle, vrlo je važno osigurati opstanak i razvoj ruralnih područja, a time povećati kvalitetu života. Želim ovdje spomenuti i situaciju tijekom pregovora između Hrvatske i Europske unije, a vezano za naše pristupanje. Bilo je teško, ali i važno, zaštititi pojedine vrste, zaštititi zemljopisno porijeklo i zaštititi izvornost. Tako smo imali jednu situaciju kad smo došli u konflikt između dva imena, između našeg desertnog vina koje se zove prošek i jednog talijanskog vina, koje je pjenušavo vino, a zove se prosecco. Vjerujem da je taj problem sada izglađen, ali bilo je još nekih takvih situacija, pa želim na to ukazati i molim da o tome možda još jedanput bilateralno razgovaramo.
Eric Andrieu (S&D). - Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, je voudrais tout d'abord à mon tour vous remercier de votre implication et de votre écoute dans le travail qui a été conduit par le groupe à haut niveau.
En effet, en 2008, les sociaux-démocrates ont approuvé la nécessité de la réforme du secteur vitivinicole et ont souhaité une stratégie politique pour l'avenir de ce secteur qui soit cohérente et qui permette à la fois de stabiliser rapidement et durablement les marchés, d'engager une restructuration de la filière, tout en maintenant les revenus des acteurs de ce secteur.
Je me félicite que notre assemblée ait permis, dans la toute récente réforme de la PAC, certaines rectifications de l'OCM de 2008. Je veux d'abord parler de la substitution des autorisations de plantation aux actuels droits de plantation. Sans cette correction, le secteur se serait exposé à bien des déconvenues. Je veux aussi souligner les adaptations apportées aux programmes de soutien nationaux qui permettront de conduire des campagnes d'information sur la consommation responsable du vin et sur des systèmes d'origine de qualité et d'entreprendre de la recherche sur la qualité de l'environnement et sur la sécurité alimentaire.
Je demande à la Commission d'être vraiment attentive à la notion de marque d'origine et aux indications géographiques et de ne pas créér de confusion entres les vins de cépage et les vins d'appellation dans les textes à venir.
María Auxiliadora Correa Zamora (PPE). - Señor Presidente, señor Comisario, el régimen de ayudas del sector vitivinícola europeo ha sufrido, en los últimos años, fuertes transformaciones tras la reforma aprobada en el año 2008. Dicha reforma acabó con el régimen de intervenciones y supuso para algunos países, como es el caso de España, una pérdida cuantiosa de ayudas para el sector.
Afortunadamente, con el apoyo del Parlamento, se ha revisado la decisión de liberalización de las plantaciones y, hasta 2030, se mantendrá un régimen de control de la producción mediante un nuevo sistema de autorizaciones que sustituirá al sistema basado en derechos de plantación.
Considero que todavía es demasiado pronto para conocer el resultado de los cambios introducidos con esa reforma del año 2008 y, además, el sector ha de prepararse para esa situación que ―como ha dicho el señor Comisario― se creará a partir de 2016 con la introducción del régimen de autorizaciones. Creo que, en el futuro, hay que mantener la política de calidad existente en la actualidad.
Señor Comisario, en estos momentos el sector vitivinícola europeo está funcionando bien a pesar de la crisis. Por eso, considero que sería un error modificar una política que está dando, en estos momentos, unos resultados positivos.
„Catch the eye” eljárás.
Herbert Dorfmann (PPE). - Herr Präsident, geschätzter Herr Kommissar, geschätzte Kolleginnen und Kollegen! Ich denke, die Marktordnung für Wein ist in der Tat ein erfolgreiches Beispiel, wie man europäische Politik machen kann. Ich komme selbst aus Italien, aus einem Land, das die defensiven Maßnahmen der alten Marktordnung – Rücknahme, Destillationen – äußerst genutzt, vielleicht auch ausgenutzt hat, das aber auch verstanden hat, die neuen Methoden – d. h. Absatzförderung – zu nutzen, und heute ist der Wein eines jener wenigen Produkte, die erfolgreich in Italien bestehen.
Ich glaube, wir haben jetzt mit den Regelungen für Pflanzrechte eine vernünftige Regelung gefunden, und wir sollten diese gesetzliche Regelung aufrechterhalten, und zwar bis zum Ende dieses Finanzzeitrahmens, d. h. bis 2020. Ich glaube, die Weinbauern haben jetzt gute Voraussetzungen, erfolgreich in Europa und in der Welt zu arbeiten, und das sollten wir sie tun lassen.
Biljana Borzan (S&D). – Gospodine predsjedniče, kao što je naglašeno u pitanju vinski sektor konstantno je pod reformom i izražena je zabrinutost zbog novih mjera koje se planiraju uvesti a da prethodno nisu određeni učinci dosadašnjih mjera. Pored mnogih drugih djelatnosti ulaskom u Europsku uniju hrvatski vinari naravno imaju velika očekivanja od slobodnijeg pristupa jedinstvenom tržištu. To se među ostalim odnosi na proizvođače vinske sorte graševine koji čine gotovo trećinu hrvatske proizvodnje vina. U posljednjih pet do šest godina proizvođači su uložili oko 20.000 eura po hektaru te značajno modernizirali pogone velikim ulaganjima kako bi se prilagodili Europskoj uniji.
Međutim, najavljene nove mjere, koje nisu bazirane na evaluaciji prethodnih, predstavljaju nove izazove za proizvođače. Naglašavam da nisam protiv reformi, ali moramo prvenstveno misliti na ljude koji ih trebaju provesti na način da im olakšamo i pojednostavimo posao.
Ruža Tomašić (ECR). - Gospodine predsjedniče, kao stanovnica vinogradarske regije, zabrinuta sam za budućnost hrvatskog vinarstva i vinogradarstva u sklopu Europske unije. Slučaj hrvatskog Prošeka i Terana, koji su bili suočeni s potencijalnom zabranom prodaje ulaskom Hrvatske u Europsku uniju najbolje pokazuje delikatnost trenutne situacije.
Smatram kako ne bismo smjeli odustati od modela proizvodnje prema zemljopisnom porijeklu te izražavam nadanje kako nije u namjeri Komisije promicati proizvodnju vina bez zemljopisnog porijekla. Dapače, snažno brendiranje vrhunskih kvalitetnih vina upravo prema njihovom zemljopisnom porijeklu predstavlja polazišnu točku vinarske strategije za mnoge male države poput Hrvatske.
Također držim kako su prečeste korekcije i brze reforme zajedničke organizacije tržišta vina kontraproduktivne jer nam ne omogućuju sagledavanje rezultata i posljedica prethodnih reformi s obzirom da je vinova loza višegodišnja biljka što cijeli sektor vinarstva čini prilično tromim na brze promjene.
Govornica se složila da odgovori na pitanje podizanjem plave kartice na osnovi članka 149. stavka 8. Poslovnika.
Mara Bizzotto (EFD), Domanda "cartellino blu". – Signor Presidente, è la seconda volta che si parla di "Prosec" in riferimento al prosecco.
Chiedo pertanto alla collega: non le sembra ingiusto usare un nome simile al prosecco per vendere questo vostro vino, totalmente diverso dal prosecco? Non è trarre in inganno i consumatori, che conoscono molto bene il prosecco, venduto in tutto il mondo e la cui qualità è oggettivamene migliore e, quindi, dovrebbe essere tutelato, come ha già detto il Commissario?
Ruža Tomašić (ECR), odgovor na pitanje postavljeno podizanjem plave kartice - Kolegice, onda bi tako trebalo biti isto ako jedan grad u Hrvatskoj ima isto ime kao grad u Italiji, onda bi se taj grad, što, trebao raseliti ili uništiti? Prošek u Hrvatskoj je isto star kao i prošek u Italiji, a slično ime ne bi uopće trebalo smetati jer i mi isto imamo svoje porijeklo, kao i vi svoje.
Andreas Mölzer (NI). - Herr Präsident! Der Weinsektor ist ja bekanntlich ein besonders sensibler Sektor, und er ist stark von der Natur abhängig, etwa hinsichtlich der Wetterbedingungen, der Bodenbeschaffenheit, der Qualität der Trauben und nicht zuletzt des Vorkommens von Mikroben. Und für die Produktion, das wissen wir alle, ist ein hohes Maß an Know-how notwendig.
Der Weinsektor unterliegt natürlich auch einer Vielzahl von Regelungen, auch auf EU-Ebene. Diese ändern sich leider auch immer wieder. Inwieweit sich die letzten GMO-Änderungen aus dem Jahr 2008 tatsächlich auf den Weinsektor auswirken, der ein heiß umstrittener Sektor ist und immer wieder auch durch Weinimporte aus Drittländern in Bedrängnis gerät, lässt sich meines Erachtens wohl noch nicht vollständig sagen. Hinsichtlich der geografischen Angaben müsste man wirklich sensibel vorgehen, damit den Winzern nicht noch mehr Kosten aufgebürdet werden, und die Regelungen müssen dann auch eine gewisse Verlässlichkeit bringen, können also nicht ständig geändert werden.
Ein Aspekt, der meines Erachtens bei der Weinlese nicht vergessen werden sollte, ist jener der illegalen Erntehelfer. Dort gilt es natürlich, gegen Schwarzarbeit vorzugehen, es darf aber nicht dahingehend ausarten, dass die Jagd auf helfende Verwandte und Bekannte eröffnet wird.
Andrej Plenković (PPE). - Gospodine predsjedavajući, zahvaljujem našoj doajenki, zastupnici Lulling, i povjereniku na otvaranju ove važne teme vinskoga sektora. Dolazim iz zemlje, porijeklom iz Dalmacije, i s otoka i obitelji gdje se vino tradicionano i proizvodilo i konzumiralo.
Konkurencija na globalnom tržištu je sve veća. Jedini odgovor Europske unije u sektoru može biti jačanje kvalitete. U tom smislu, podržavam naglasak na zemljopisno podrijetlo iz reforme iz 2008. godine, za koje je izuzetno bitno da se precizno provede, i kada je riječ o hrvatskom prošeku kao autohtonom proizvodu u odnosu na talijanski prosecco i zaštiti hrvatskoga terana.
Proizvodnja vina u Hrvatskoj se stabilizirala, zalihe su prilično velike, konkurencija je sve veća, ulaganje u suvremene tehnologije omogućuje nam da imamo izuzetno konkurentne i kvalitetne vinske proizvode. Ono što je bitno je da se u budućnosti hrvatski proizvođači udružuju kako bi mogli zajednički nastupati na europskim tržištima, a na kraju samo jedna rečenica: zaštitimo kamene vinograde, spomenike vinograde kojih u Dalmaciji ima preko 1000 hektara i izuzmimo ih iz svih kvota jer to moramo učiniti prema našoj baštini.
Marino Baldini (S&D). - Gospodine predsjedavajući, gospodine povjereniče, dragi kolege, od davnina je vino jedan od glavnih proizvoda sredozemne civilizacije i svih onih regija koje su crpile temelje vlastitog razvoja u izvorištu pisma prvih poljoprivrednih kultura, gradova i onih kulturnih vrijednosti koje nas danas čine naprednim pred čitavim svijetom.
Tako vino nije samo proizvod koji izniče iz poljoprivrede, već često označava znatno širi kontekst. U slučaju istarskog terana, a to je regija iz koje ja dolazim, iz Hrvatske, teran su pili još Histri u prvom mileniju prije Krista, a to je jedan latinski naziv koji izniče iz rimske uprave prije 2000 godina. Nepravedno je da bude zaštićen samo u manjem dijelu ili u jednoj državi u kojoj se proizvodi. Za ispravljanje takve nepravde, a kojih sigurno ima još na području Europske unije, treba omogućiti svim proizvođačima, a Istra se nalazi u Hrvatskoj, Sloveniji i Italiji, da mogu zaštititi svoj proizvod.
Ovo su neki od razloga radi čega povremeno treba vršiti reviziju da bi se ... (isključen mikrofon).
Tomasz Piotr Poręba (ECR). - Panie Przewodniczący! Bardzo się cieszę, że rozmawiamy o przyszłości sektora winnego w Europie. Reprezentuję Polskę, gdzie –co może Państwa zaskoczy – produkuje się całkiem dobre wina, rozwijają się gospodarstwa winiarskie, także na Podkarpaciu, w moim regionie. Kilka lat temu odbyła się w Parlamencie Europejskim degustacja wina z Podkarpacia, oceniona naprawdę bardzo wysoko. Ale Panie Komisarzu, zwracam się do Pana z prośbą. Udało się wiele zmienić, jeżeli chodzi o winiarstwo w Polsce, o przepisy, które krępowały rozwój winiarstwa w moim kraju, jednak wciąż pozostają takie zapisy, które nie pozwalają winiarzom w Polsce i na całym Podkarpaciu, prowadzić i rozwijać aktywnej działalności, kontynuować zaplanowanych działań. Dlatego bardzo Pana proszę, żeby w kontekście tej debaty, ale również przyszłych działań Komisji, przyjrzeć się przepisom, które, w moim przekonaniu, w sposób jednoznaczny i bardzo wyraźny krępują rozwój winiarstwa w Polsce i na całym Podkarpaciu.
Sophie Auconie (PPE). - Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, merci d'être devant nous aujourd'hui. Je voudrais profiter de ce moment pour saluer le travail remarquable que fait depuis de nombreuses années et de nombreux mandats Astrid Lulling pour le secteur viticole, ainsi que le travail de Michel Dantin.
J'en profite pour vous rappeler que la réforme de 2008 était une réforme en profondeur qui a débouché sur une refonte complète de la segmentation des vins. Elle a notamment favorisé un développement des vins sans indications géographiques avec la valorisation de ces vins à travers l'étiquetage et une libéralisation de leurs conditions de production. Ces vins sans IG disposent aujourd'hui des armes de la compétitivité pour affronter les marchés mondiaux.
La création d'une nouvelle catégorie de vins appelée "vins de cépage", ne ferait qu'ajouter de la confusion dans l'esprit des consommateurs, Monsieur le Commissaire. Nos viticulteurs ont besoin de stabilité juridique, de soutien dans la conquête de nouveaux marchés, d'une véritable défense de ce secteur dans le cadre des négociations des accords de libre-échange et de moyens scientifiques et techniques pour lutter efficacement contre la maladie du bois de la vigne, et je vais reprendre les mots de mon amie Astrid, en disant qu'ils ont aussi besoin qu'on leur fiche la paix et qu'on les laisse travailler.
(A „catch the eye” eljárás vége.)
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Monsieur le Président, merci encore une fois à Astrid Lulling et à Paolo De Castro de nous avoir donné l'occasion de ce débat avec cette question.
Je vais essayer de répondre aux différentes questions quant aux points qui ont été soulevés. M. Dantin demande quand viendra la promotion des signes de qualité. Nous avons prévu cela dans la proposition de règlement que la Commission adoptera bientôt pour la promotion sur le marché intérieur et sur le marché extérieur et effectivement, notre intention était de pouvoir soutenir financièrement, sur le marché intérieur, une forte communication autour de toute la politique de qualité agroalimentaire, y compris les signes de qualité.
Certains d'entre vous ont mentionné les droits de plantation. Je souhaite juste rappeler que ces droits de plantation étaient intégrés dans la réforme de 2008, qui a été adoptée par le Conseil des ministres. Mais malgré cela et au-delà de cela, dans le cadre de cette réforme 2013, nous sommes revenus sur cette question, compte tenu aussi du rapport d'évaluation de la réforme de 2008. Ce rapport a été présenté en 2012. Certains d'entre vous disent que le délai était peut-être trop court pour voir les effets. On a déjà observé certains effets positifs, mais on a aussi pu corriger des éléments qui étaient mis en cause par certains, y compris par le secteur.
En ce qui concerne les accords commerciaux et le vin, je tiens à vous assurer que, comme je l'ai fait jusqu'à maintenant et comme j'entends le faire jusqu'à la fin de mon mandat et de mon travail à la Commission, dans chaque accord commercial, je défends globalement les indications géographiques comme élément sine qua non de tels accords commerciaux. Nous aurons sans doute l'occasion de parler du succès que nous venons d'obtenir avec le Canada, y compris pour le secteur du vin et pour les boissons spiritueuses, puisque non seulement nous protégeons nos indications géographiques, mais nous avons aussi clarifié certaines conditions de vente de ces produits protégés sur le marché canadien. Nous allons faire de même avec les États-Unis. Nous avons aussi des accords en vue avec le Japon et avec l'Inde. Sur tous ces marchés, les indications géographiques seront un des points essentiels des discussions. Nous sommes également en train de négocier avec la Chine un accord bilatéral de reconnaissance et de protection des indications géographiques sur le marché chinois, et c'est surtout le vin qui en profitera.
Monsieur Meyer, à propos de la défense des petites et moyennes entreprises et des coopératives (il me semble qu'il n'est plus là, mais je réponds quand même): si vous regardez, Monsieur Meyer – j'espère que vous nous écoutez là où vous êtes –, la réforme de la politique agricole commune qui est en phase finale d'adoption, sans doute allez-vous trouver beaucoup de mesures qui soutiennent les petits producteurs ainsi que toutes les formes d'organisations collectives, y compris les coopératives.
Madame Klaß, en ce qui concerne les actes délégués pour le secteur viticole, c'est-à-dire pour les autorisations de plantation: dans notre calendrier, nous avons prévu l'année 2016, puisque c'est à partir de 2016 que ce nouveau système entrera en vigueur. Cependant, la Commission aura, courant 2014, énormément de choses urgentes à régler très rapidement, qui devront être appliquées à partir de 2015. Nous devons donc nous concentrer, avec les ressources humaines dont nous disposons au sein de la DG AGRI, sur ce qui est vraiment prioritaire.
Je souhaite aussi rappeler que nous sommes, à la DG AGRI, dans un processus où il y aura beaucoup de travail pendant les trois prochaines années, avec la mise en œuvre de la réforme de la politique agricole commune et des ressources humaines réduites peu à peu, en raison de l'engagement pris par la Commission, y compris devant le Parlement, de resserrer ses rangs pour faire des économies. C'est pour cela que nous devons planifier et comme les systèmes d'autorisation de plantation vont entrer en vigueur en 2016, nous avons pris l'engagement d'avoir ces actes délégués avant 2016, à savoir avant l'entrée en vigueur de ces mesures.
Madame Zuber, sur les autorisations de plantation et les AOC: je peux vous assurer que les AOC seront protégées dans le cadre de ce nouveau système d'autorisation de plantation, puisque les AOC ont toujours un régime distinct concernant les droits de plantation et l'extension de ces surfaces plantées.
Madame García Pérez, sur la surproduction: les programmes nationaux pour le secteur viticole de chaque État membre, y compris l'Espagne, incluent toujours, suite à la réforme de 2008, des mesures qui permettent en principe de gérer ce type de situation. Seulement, l'Espagne, dans le cadre de ce programme national pour le secteur viticole, devra bien assurer un équilibre entre les différentes mesures qu'elle a prévu de financer pour couvrir ses besoins. Mais au-delà de cela, l'Espagne a déjà fait un grand effort et d'autres efforts sont encore nécessaires pour faire en sorte que tous les vins qui n'ont pas de signes de qualité puissent s'orienter vers une politique de qualité, pour qu'ils soient mieux identifiés sur le marché et pour éviter en effet la surproduction de vins de basse qualité et de bas prix.
Plusieurs membres du parlement de la Croatie ont soulevé cette question de Prosek. Je peux comprendre votre position politique au Parlement, mais les règles sont les règles. De la même manière qu'en Croatie, vous avez besoin de protéger certaines indications géographiques qui sont vos indications géographiques, qui sont des noms, qui sont liés à votre tradition, à votre histoire, les autres États membres ont le droit de protéger leurs appellations et leurs indications géographiques. Le principe s'applique pour tout le monde et on ne peut pas faire des exceptions. En cas de conflit, comme entre le Prosecco et le Prosek, la Commission propose toujours aux États et aux producteurs qui sont en conflit à propos d'une dénomination des périodes de conciliation pour en discuter cartes sur table. Mais une fois qu'on a conclu le sujet, sur la base de règles qui sont des règles transparentes, il ne faut plus essayer, à mon avis, de relancer politiquement un sujet, de donner de faux espoirs sur des choses qui sont très claires sur le marché européen. J'espère que la Croatie utilisera pleinement les instruments désormais à sa disposition, y compris les instruments financiers, pour pouvoir mettre en valeur ses produits sur le grand marché européen de plus de 500 millions de consommateurs. Je pense que c'est là la voie pour aider les producteurs croates en se fondant sur des règles qui sont très claires et qui protègent tous les producteurs, y compris les producteurs croates, mais avec honnêteté, et sans leur vendre des illusions.
Sur les vins de cépage, je voudrais dire à M. Andrieu et à l'autre personne qui a abordé le sujet, que nous n'avons pas l'intention de reprendre ce sujet. Nous considérons que les règles que nous avons actuellement pour les définitions des différents types de vins sont suffisantes pour couvrir la problématique à l'échelle européenne. Nous n'envisageons donc pas de revenir sur un autre sujet de ce genre.
Je souhaite vous remercier encore une fois pour ce débat. Comme vous l'avez mentionné, oui, nous allons ficher la paix au secteur, tant que le secteur est en paix. Mais quand il y a des problèmes dans le secteur, il faut intervenir pour régler ces problèmes et pour que, justement, il puisse continuer à se développer. Parce que je suis sûr qu'en situation de crise, le secteur ne nous demande pas de lui ficher la paix, mais d'intervenir. Et nous devons avoir les instruments pour pouvoir intervenir quand il le faut.
President. − Ms Lulling, I am sorry, but I am not in a position to give you the floor now. I disagree with this rule, but that is the rule, and, as we have heard from the Commissioner, a rule is a rule.
The debate is closed.
Written statements (Rule 149)
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. – Agora que a PAC deu origem a mudanças na última reforma da OCM de 2008, com a criação de um regime de autorização de plantação de vinhas e a possibilidade de realizar campanhas de informação e promoção, é necessário dar tempo aos operadores vitivinícolas para que se adaptem a todas estas mudanças. Parece que está em preparação uma nova reforma do setor, que prevê, entre outros aspetos, a criação de novas categorias de vinhos. A introdução de alterações na política de qualidade vitivinícola, nas práticas enológicas ou nas medidas de regulação dos volumes pode colocar em risco os vinhos que beneficiam de uma indicação geográfica. Mas não devemos pôr em causa este modelo de produção de vinhos que caracteriza o setor, visto estar em crescendo e representar uma parte considerável da produção vitivinícola das RUP, quase 20% nos Açores. É por isso necessário saber se se está a planear uma nova reforma do setor, quais são os seus objetivos para este setor nos próximos anos e de que forma pode ser explorado o potencial do mercado interno, nomeadamente no enoturismo, pois este pode ser uma parte da solução para atrair investimentos para as regiões mais desfavorecidas.
Gaston Franco (PPE), par écrit. – Le secteur vitivinicole est depuis toujours un des domaines agricoles les plus touchés par la législation européenne et par ses différentes réformes. En 2008, une profonde réforme du secteur a été lancée puis modifiée dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune (PAC). Le secteur a aujourd'hui besoin de pérennité. La réforme de la PAC a apporté en partie cette solution en fixant un système d'autorisation de plantation des vignes jusqu'en 2030. L'horizon fixé est le bon puisque les professionnels et les organisations souhaitent aujourd'hui se focaliser davantage sur leur métier que sur la veille législative. Un cadre normatif stable permettra aux secteurs d'avancer sur la qualité de leurs produits ainsi que sur la recherche. Il est beaucoup trop tôt pour se lancer dans une nouvelle révision sans avoir évalué sérieusement et avec un panel très large l'impact des réformes précédentes sur les professionnels et auprès des citoyens. De plus, une nouvelle réforme entraînerait certainement un retard des investissements, un gel de la création d'emplois dans le secteur, voire également un découragement des personnes de la filière, lassées des modifications successives des règles.
Elżbieta Katarzyna Łukacijewska (PPE), na piśmie. – Dobra strategia rozwoju wina w Unii Europejskiej jest szansą rozwiązania wielu problemów nie tylko dla tych terenów, dla których produkcja wina stanowi ważną i często jedyną gałąź rozwoju, ale również dla tworzących się czy odradzających po dziesiątkach lat winnic. Pochodzę z regionu Podkarpacie w Polsce, gdzie po latach niebytu powstają winnice, głównie jako małe gospodarstwa rodzinne, które są ważnym elementem podnoszącym atrakcyjność turystyczną i agroturystyczną regionu. Niestety miłośnicy winiarstwa i tworzenia winnic w moim kraju napotykają wiele problemów i przepisów, które ograniczają rozwój sektora winiarskiego oraz możliwość uzyskania przychodu ze sprzedaży win. Dlatego cieszę się z dzisiejszej dyskusji i mam nadzieję, że przyczyni się ona do rozwiązania problemów, z którymi borykają się zarówno funkcjonujące od dziesiątek lat, jak i tworzące się przedsiębiorstwa winiarskie.
Tonino Picula (S&D), napisan. - Proizvodnja vina na razini EU-a opada jer u zadnjoj godini samo tri članice bilježe porast proizvodnje dok sve ostale bilježe pad, a što je jasan signal da su promjene u vinskom sektoru potrebne. Za hrvatske vinare proces prilagodbe postojećoj europskoj regulativi vinskog sektora je posebno otežan činjenicom da je doveden u pitanje plasman nekih njihovih proizvoda proizvedenih nakon 30. lipnja 2013. Proširenjem tržišta hrvatski vinari se suočavaju sa znatno jačom konkurencijom. Osim zaoštrene konkurencije, značajan problem s kojim se hrvatski vinari suočavaju su sustavi zaštite izvornosti i regionalnog porijekla. Nove članice EU-a unijele su i novu vinsku tradiciju, ali se ona u mnogim slučajevima preklapa s postojećim vinskim brendovima. Postojeće sustave zaštite stoga je potrebno prilagoditi. U Hrvatskoj na kvalitetna vina otpada 62 % ukupne proizvodnje. Pridodamo li tome još 5,5 % vrhunskih vina jasno je da je kvaliteta hrvatskih vina na visokoj razini. Potrebno je stoga novo razgraničenje zaštita koje će uzeti u obzir postojanje vrsta sličnog imena ali potpuno različitih enoloških kvaliteta, čime će se potrošačima omogućiti konzumacija šireg spektra kvalitetnih vina s jasnijim zemljopisnim porijeklom. Europska unija mora, prije svega, štiti kvalitetu vina i njegovu distribuciju, uvažavajući pritom kulturne i enološke posebnosti kao i sličnosti među nazivima vinskih sorti svih zemlja članica.
Franck Proust (PPE), par ecrit. – Les derniers mois ont été particulièrement difficiles pour les viticulteurs européens. Ils ont dû mener une longue bataille pour arriver à maintenir la régulation du potentiel de production. Ce combat, ils l'ont gagné car il était légitime, et je suis fier d'avoir été à leurs côtés dès mon arrivée au Parlement européen. Aujourd'hui, notre viticulture a besoin d'un cadre clair, stable et prévisible pour prospérer. Elle a besoin d'aide, plutôt que d'obstacles. Face à la concurrence croissante et réelle des pays du nouveau monde, nos viticulteurs doivent compter sur le soutien sans faille de leurs autorités publiques nationales et européennes sur ce qui constitue le socle de leur compétitivité: la qualité et le savoir-faire ancestral. Depuis des générations, les vins français et européens se distinguent par des cépages, des procédés et des terroirs qui font leur réputation dans le monde. Depuis les premières tentatives de libéralisation du secteur, nous avons accompli tant de chemin, fait tant d'efforts qu'il est temps aujourd'hui de protéger et d'encourager, une bonne fois pour toutes, qualité. Nous le devons à nos viticulteurs, autant qu'aux consommateurs. J'espère vivement que cela figurera dans les objectifs de la Commission pour les prochaines années.
PRÉSIDENCE DE MME ISABELLE DURANT Vice-présidente
8. Stratēģija attiecībā uz Karpatu reģionu (debates)
La Présidente. - L'ordre du jour appelle le débat sur la déclaration de la Commission sur la stratégie pour la région des Carpates (2013/2896(RSP)).
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Madame la Présidente, même si vous pensez que je suis un grand spécialiste des Carpates, parce que je viens d'un État membre qui a une grande partie de la surface des Carpates sur son territoire, je m'exprimerai aujourd'hui au nom de la Commission, notamment au nom de mon collègue Johannes Hahn, qui est en charge de ce dossier et qui, malheureusement, n'a pas pu être là.
D'une manière générale, la Commission encourage la coopération renforcée entre les régions dans le souci d'une meilleure mise en place des politiques qui ont une portée transfrontalière. Pour cette raison, la Commission soutient et facilite la coopération dans le cadre des stratégies macrorégionales. Elles sont au nombre de deux: celle pour la région de la mer Baltique et celle du Danube. Je m'y référerai puisqu'elles sont en rapport avec l'ordre du jour.
L'objectif des stratégies macrorégionales est d'apporter une réponse coordonnée à des problématiques qu'il est plus efficace d'appréhender en commun que séparément. Les deux stratégies existantes ont pour objectif de surmonter les obstacles freinant le développement des régions concernées et de mieux valoriser leur potentiel. Elles encouragent les participants à surmonter non seulement les limites des frontières nationales, mais également les barrières qui restreignent une conception plus stratégique et plus créative des atouts en présence. Le but des stratégies macrorégionales est de mobiliser des nouveaux projets et des nouvelles initiatives afin de créer un sens de responsabilité partagée. Elles sont une innovation importante pour la coopération territoriale et pour la cohésion.
Au mois d'avril de cette année, la Commission a publié le premier rapport sur la mise en œuvre de la stratégie de l'Union européenne pour la région du Danube. Elle s'est félicitée du bon début de cette stratégie après deux années d'application. Jusqu'à présent, les progrès réalisés comprennent la mise en place de projets transnationaux innovants, la création d'interconnexions dans les domaines de l'énergie et des transports, la création de mesures communes pour limiter les risques environnementaux, des investissements dans les domaines de l'éducation et de la formation ou encore le soutien aux PME et aux nouvelles technologies.
En juin, la Commission a publié un rapport sur la valeur ajoutée des stratégies macrorégionales, dans lequel elle examine le travail effectué jusqu'à présent dans la région de la mer Baltique et dans la région du Danube. Ce rapport affirme que les stratégies sont efficaces du point de vue stratégique, mais aussi du point de vue politique. Il souligne également la nécessité d'améliorer leur mise en œuvre et leur préparation. Il est ainsi nécessaire que l'adaptation des stratégies soit effectuée à tous les niveaux et d'y affecter suffisamment de personnel afin de permettre leur mise en œuvre efficace, et de mettre les moyens disponibles en adéquation avec les objectifs des stratégies.
Concernant les pays couverts par la chaîne des Carpates, la Commission souhaite souligner qu'ils sont presque tous inclus dans la stratégie pour la région du Danube. Seule la Pologne n'y figure pas. Les défis concernant les Carpates sont déjà également mentionnés dans les plans d'action de cette stratégie et sont pris en compte dans sa mise en œuvre. C'est aussi le cas de la convention des Carpates. Compte tenu de ce fait, la Commission ne voit pas de raison, actuellement, de créer une stratégie de l'Union européenne pour la région des Carpates. Elle suggère plutôt aux pays de cette région d'utiliser la stratégie pour la région du Danube, qui prévoit déjà un cadre de coopération dans onze domaines prioritaires qui couvrent un large éventail d'enjeux, y compris, probablement, des problématiques liées plus spécifiquement aux Carpates. La Pologne, qui n'est pas directement couverte par la stratégie de Danube, peut cependant en bénéficier au cas par cas, selon le principe de l'approche fonctionnelle ouverte qui régit le fonctionnement de la stratégie.
Le rapport de la Commission sur la valeur ajoutée des stratégies macrorégionales, qui a été publié le 27 juin 2013, souligne également cet aspect dans le chapitre "Nouvelles stratégies". La Commission affirme que ces stratégies doivent être utilisées uniquement dans les cas précis où la participation de l'Union européenne est appropriée. Cette participation est déjà garantie par la forte implication de la Commission dans la stratégie pour le Danube, qui, je le répète, pourrait aussi couvrir la problématique des Carpates, puisque les États membres concernés font aussi l'objet de cette stratégie.
Elżbieta Katarzyna Łukacijewska, w imieniu grupy PPE. – Pani Przewodnicząca! Dobra współpraca pomiędzy państwami, umiejętność zdefiniowania wspólnych problemów i szans jest najlepszym sposobem wykorzystania potencjału gospodarczego tych terenów. Mówił zresztą o tym przed chwilą komisarz Ciolos. Komisarz Hahn wielokrotnie podkreślał, że podejście makroregionalne przynosi korzyści, tworzy nowe ramy współpracy. Myślę, że z tych powodów powstała strategia dla Morza Bałtyckiego, strategia dunajska czy przestrzeń alpejska, i aż ciśnie się na usta – „czas na strategię dla Karpat”. Ze zdumieniem i przykrością słyszę dzisiaj od komisarza Ciolosa, że Komisja nie widzi potrzeby utworzenia dodatkowego euroregionu, dodatkowej strategii dla Karpat. Myślałam, że nikogo na tej sali nie trzeba przekonywać o potrzebie jej utworzenia, bo wielokrotnie podkreślałam to zarówno na sesji plenarnej, jak i podczas prac w Komisji Rozwoju Regionalnego. Myślę, że my, posłowie reprezentujący swoje regiony, państwa, Unię Europejską, powinniśmy wsłuchiwać się w potrzeby mieszkańców tych terenów. Powinniśmy w swoich działaniach dążyć do maksymalnego wykorzystania potencjału gospodarczego, ekonomicznego i społecznego. Mieszkańcy Karpat, jednego z najbiedniejszych regionów Europy, potrzebują tego. Wielokrotnie rozmawiałam na ten temat z samorządowcami, przedsiębiorcami czy mieszkańcami. Wszyscy podkreślają korzyści, które mogłyby być mierzalne dzięki utworzeniu takiej strategii. Panie Komisarzu, tylko działania, które będą oparte na budowaniu mostów miedzy poszczególnymi państwami Unii oraz Unią, jako całością, oparte na narzędziach, takich jak strategia dla Karpat, pozwolą na zrównoważony rozwój tej części Europy. Bez takiego wsparcia biedniejsze regiony nie będą w stanie dogonić Europy Zachodniej. Natomiast strategia dla Karpat jest szansą na harmonijny wzrost, i mam nadzieję, że w końcu uda się przekonać Pana Komisarza i Komisję Europejską do tej inicjatywy.
Na koniec chciałabym zadać Panu Komisarzowi pytanie: czy funkcjonujące strategie zostały wyposażone w specjalne programy operacyjne i dodatkowe specjalne środki finansowe?
Monika Smolková, za skupinu S&D. – Ďakujem za slovo. Ja chcem sa pripojiť k mojej kolegyni predrečníčke a povedať, že tiež ma prekvapil pán komisár, keď povedal, síce v prvej vete, že podporuje stratégiu, ale potom následne povedal, že táto stratégia by mala byť súčasťou dunajskej stratégie.
Možno by sme si mali povedať, čo znamenajú Karpaty v rámci Európy. Jednoznačne musíme povedať, že oblasť Karpát je zdroj pitnej vody a čistého ovzdušia pre väčšinu európskych krajín. Sú miestom výskytu tretiny fauny a flóry nášho svetadielu, preto koordinácia štátov v rámci stratégie pre karpatský región v oblasti životného prostredia, hospodárskeho rastu, zamestnanosti, cezhraničnej spolupráce, cestovného ruchu a iných oblastiach je vítaná iniciatíva. Už skôr menované stratégie Dunajská a Pobaltska potvrdili, že spoločný záujem skupiny štátov prináša nové podnety pre rozvoj celej Európy, nielen daného regiónu. Stratégia pre karpatský región nevznikne na zelenej lúke, pretože krajiny patriace do tejto oblasti karpatského euroregiónu už spolupracujú 20 rokov. Je to ochrana pred povodňami, presieťovanie v rámci priemyselných parkov a logistických centier, rozvoj malých hydroelektrární v povodí riek tohto regiónu. Nesmieme zabudnúť na spoluprácu samosprávnych orgánov, mimovládnych organizácií a kultúrnych inštitúcií.
Ako poslankyňa pochádzajúca z východného Slovenska vidím potenciál stratégie pre karpatský región predovšetkým pre regionálny rozvoj, pri realizácii medzinárodných projektov so zameraním hlavne na ekonomiku, kultúru a sociálnu pomoc. Dôležitosť spoločnej stratégie pre karpatský región vidím aj v potrebe vytvorenia spoločného finančného mechanizmu pre podporu a rozvoj karpatského regiónu a práve tu potrebujeme podporu Komisie. Ja verím, že Komisia svoj postoj prehodnotí a príde s podporou.
Tomasz Piotr Poręba, w imieniu grupy ECR. – Pani Przewodnicząca! Panie Komisarzu! Bardzo się cieszę, że dziś, po raz pierwszy w historii tej izby, możemy rozmawiać o Karpatach, debatować o tym regionie, zastanawiać się nad tym, co można zrobić w Parlamencie Europejskim, Komisji Europejskiej, żeby ten region uumocnić i bardziej wspierać, zarówno jeżeli chodzi o środki unijne, jak i o programy związane ze wzrostem gospodarczym i wyrównywaniem szans między poszczególnymi regionami. Nie ukrywam, że ta radość została bardzo mocno zakłócona przez wystąpienie Pana Komisarza. Jestem tym wystąpieniem zwyczajnie rozczarowany. Powiedział Pan, że wszystkie kraje z wyjątkiem Polski są objęte strategią dunajską. Strategia dotycząca dorzecza dużej europejskiej rzeki, a strategia dotycząca drugiego co do wielkości łańcucha górskiego w Europie, to są dwie zupełnie inne historie. Podobnie, jeśli mówiąc o strategii bałtyckiej, mówi Pan, że również kraje w Europie Wschodniej są nią objęte. Jak się ma strategia bałtycka do strategii karpackiej? Zwyczajnie tego nie rozumiem. Jeżeli wychodzimy z tej logiki, którą Pan zaprezentował, mówiąc, że programy operacyjne mają służyć wyrównywaniu szans, zwiększaniu konkurencyjności między regionami, jeżeli strategie makroregionalne mają służyć wyrównywaniu poziomu dobrobytu w Unii Europejskiej, to nie widzę żadnych przeciwwskazań, żeby takim programem operacyjnym, taką strategią karpacką, nie objąć regionu Karpat. Po pierwsze, dlatego że jest to jeden z najuboższych regionów Unii Europejskiej. Po drugie, jest to region, który boryka się z wieloma problemami: z migracją, brakiem kturyinfrastruktury,bezrobociem, porzucaniem ziemi, z dziesiątkami innych problemów, które ten region zwyczajnie degradują.
KKiedy będziemy mówić o aktywności Unii Europejskiej, jeżeli nie w kontekście tego typu działań, które miałyby służyć przyspieszeniu rozwoju i zwiększeniu konkurencyjności takiego regionu jak Karpaty? Dlatego apeluję do Pana, do Komisji Europejskiej, aby jednak nad strategią karpacką pochylić się w sposób rzeczowy i poważny, tak żeby taką koncepcję strategii w przyszłości zaprezentować.
Chciałbym też Panu i Państwu powiedzieć o jednej rzeczy. Istnieje bardzo duży ruch oddolny na rzecz tej strategii. Samorządowcy krajów regionu Karpat, samorządowcy z mojego Podkarpacia, organizacje pozarządowe, świat nauki, politycy bardzo mocno nad tą strategią pracują, przygotowują się do niej i apelują, proszą o nią. Dobrym tego przykładem jest koncepcja Uniwersytetu Karpackiego, który jest obecnie tworzony. Dlatego bardzo Pana proszę, proszę też Komisję, nie zawiedźcie tych ludzi, nie zawiedźcie ich oczekiwań, naszego pragnienia, tego marzenia, aby region Karpat był objęty konkretną strategią, która przysłuży się jego rozwojowi!Teraz czas na Karpaty i nie ma żadnych argumentów, żeby takiej strategii dla regionu Karpat nie przygotować.
Jaroslav Paška, za skupinu EFD. – Karpatský región sa rozkladá na rozsiahlom území v štyroch krajinách v Európskej únii, Rumunska, Maďarska, Slovenska, Poľska ako aj v západnej časti Ukrajiny. Karpaty sú považované za jedno z najdôležitejších prírodných oblastí Európy. Ako tu už bolo povedané, sú zdrojom pitnej vody, čistého vzduchu pre milióny ľudí. Preto súčasťou našej stratégie pre Karpatskú oblasť by malo byť maximálne úsilie o udržanie rovnováhy medzi ekologickou ochranou prírodného prostredia a hospodárskymi aktivitami realizovanými v tomto regióne. V tomto období, keď sa chystáme výrazne posilniť našu ekonomickú a politickú spoluprácu s Ukrajinou, môže byť práve stratégia pre karpatský región jedným z konkrétnych projektov, ktorý prispeje k rýchlejšiemu prekonávaniu politických bariér na tomto území. Spolupráca zúčastnených štátov pri realizácií cezhraničných regionálnych projektov môže poskytnúť koordinované odpovede na rozličné výzvy, ktoré nám prináša život pri programovaní udržateľného hospodárskeho rastu v tejto časti Európy. Preto, myslím si, by mala byť Únia pri formovaní politiky karpatského regiónu aktívnejšia.
Jan Březina (PPE). - Paní předsedající, vytvoření nové makroregionální strategie pro karpatský region považuji za námět hodný pozornosti a diskuse. Domnívám se, že karpatská oblast má společné, specifické charakteristiky, které ji odlišují od regionů v sousedství. Je to nejen problematika horských regionů, ale uvědomme si, že zároveň celé karpatské horstvo probíhá kohezními zeměmi a problémy horských oblastí jsou tam tímto způsobem ještě umocněny.
Stojí tedy za zvážení, zda by zajištění potřeb bylo snáze dosažitelné pomocí zvláštní makroregionální strategie. Považuji za nutné zdůraznit, že tato strategie by neměla zdvojovat a dublovat jiné nástroje, ale v případě karpatské strategie by mělo vyplynout, zda bude představovat přidanou hodnotu proti existujícím strategiím. Já osobně se domnívám, že ano.
Principiálně jsem tedy zastáncem maximálního využívání stávajících nástrojů, ale vzhledem k těmto specifikům bych se za novou makroregionální strategii přimlouval. Samozřejmě na stejné bázi, jako jsou strategie dunajská a baltská, by neměly tyto věci vyvolávat potřebu nové unijní legislativy a dodatečných finančních prostředků. Jakékoliv řešení by mělo vycházet z dohody členských států, na jejichž území se dotyčné karpatské regiony nacházejí, a užitečnost relokace části prostředků vyčleněných na územní spolupráci do nové makroregionální karpatské strategie by měla být takovouto dohodou podtržena a zdůrazněna.
Miroslav Mikolášik (PPE). - Makroregión Karpaty spája osem členských štátov. Vlastne geograficky presahuje hranice Únie. Z regionálneho pohľadu však Karpaty predstavujú spoločný menovateľ až pre 41 regiónov Európskej únie a sedem regiónov mimo Európsku úniu. Z geopolitického hľadiska si karpatský región vyžaduje zvláštnu pozornosť, pán komisár, pretože sa tiahne pozdĺž východnej hranice Európskej únie a spája rôznorodé kultúry a národy. Posilňovanie európskej identity a európskych hodnôt je preto aj otázkou politickou a je to nesmierne dôležité za účelom homogénnej integrácie na celom území Európskej únie. Podľa môjho názoru by malo byť prioritou práve vybudovanie tranzitného koridoru zo severu na juh, ďalej posilnenie dopravy, vybudovanie chýbajúcej infraštruktúry. Uľahčí to pohyb osôb, tovaru a služieb, čím sa jednoznačne zvýši vlastne konkurencieschopnosť tohto regiónu. Na septembrovom ekonomickom fóre v poľskej Krynici som sa osobne zúčastnil, kde bolo aj vyjadrené a prijaté memorandum zástupcov 8 krajín z tohto regiónu, a preto vás vyzývam, pán komisár, aby ste toto zobrali tiež na vedomie. A žiadam preto Komisiu, aby plne podporila tento projekt karpatského makroregiónu, pretože jeho integrácia prispeje k posilneniu hospodárskej, sociálnej súdržnosti a podpore európskych hodnôt na východnej hranici Európskej únie.
Zbigniew Ziobro (EFD). - Pani Przewodnicząca! Region Karpat wymaga spojrzenia całościowego. Z całą pewnością jest tak, że strategie Unii Europejskiej realizowane na rzecz makroregionów powiodły się w wielu miejscach. Warto więc zaangażować się również we wsparcie tego regionu. Ostatnie miesiące spędziłem na Podkarpaciu – to jest też region związany właśnie z tym obszarem – i jestem przekonany, że wiele krajów zyska na tym, jeśli będziemy wspierać poprawki, które pozwolą ten cały region ze sobą łączyć, również od strony komunikacyjnej. Dlatego wraz z kolegami złożyłem projekt poprawki, która będzie głosowana na sesji listopadowej. Dotyczy to budowy drogi Via Karpatia S19. Mam nadzieję, że znajdziemy tutaj konsens, wspólne porozumienie wielu grup, i spojrzymy na interes całego regionu, a także Unii Europejskiej. Warto tego rodzaju wspólne działania podejmować.
Interventions à la demande
Lena Kolarska-Bobińska (PPE). - Pani Przewodnicząca! Reprezentuję Lubelszczyznę, która nie jest objęta ideą makroregionu karpackiego, ale bardzo popieram tę koncepcję, dlatego że wiem, co to znaczy dla regionów wschodniej Unii, we wschodniej Polsce. Środki z Funduszu Spójności nie powodują zmniejszenia różnic w regionach mniej rozwiniętych. Cała nasza strategia przyczynia się do rozwoju większych miast, powodując coraz większe różnice wewnątrz regionów. Uważam, że idea makroregionu karpackiego, integracji w tamtej przestrzeni, mogłaby pobudzić rozwój gospodarczy również małych miast i wsi, które bardzo cierpią i nie są w stanie podołać ani nadążać za resztą regionów Unii Europejskiej.
Vasilica Viorica Dăncilă (S&D). - Pornind de la experienţa strategiilor regionale adoptate deja de Uniunea Europeană, Strategia pentru regiunea carpatică trebuie să aibă în vedere provocările comune, să îmbunătăţească funcţionalitatea structurilor existente, să vizeze mărirea coeziunii teritoriale, să permită o exploatare substanţială a potenţialului existent, să ţină cont de specificităţile regiunii, de tradiţiile locale şi regionale ale populaţiei.
Consider că toate acestea nu pot fi acoperite de Strategia Dunării, ci trebuie să avem o nouă strategie specifică pentru Carpaţi. Cooperarea privind turismul, conservarea biodiversităţii, amenajarea teritoriului, agricultura, silvicultura, transporturile, industria, energia pot conduce la îmbunătăţirea calităţii vieţii în această zonă, dar şi la împiedicarea depopulării localităţilor din regiunea carpatică. Însă, pentru a putea vorbi de o strategie eficientă în regiunea Carpaţi, trebuie ca aceasta să aibă, începând din anul 2014, propria sa linie de finanţare din bugetul Uniunii Europene, care să îi permită elaborarea şi derularea proiectelor.
Oldřich Vlasák (ECR). - Paní předsedající, pane komisaři, dovolte mi, abych reagoval na úvodní slova pana komisaře, protože v mnohém s ním souhlasím. Je hodné zřetele, abychom podpořili všechny iniciativy, které jdou zezdola. Karpatská strategie má velkou podporu v daném místě, podpořilo ji sedm zemí jako takových. Náš požadavek nepředstavuje zátěž pro rozpočet, podporuji plně strategii „třikrát ne“. Ne nová administrativa, ne nová legislativa a ne nové zdroje. Čili to je potřeba podpořit.
Z hlediska srovnání s dunajskou strategií není možné zahrnout karpatskou strategii k Dunaji, protože se jedná úplně o jiné podmínky. Jedna věc je povodí a spolupráce kolem Dunaje, druhá věc je spolupráce v horských oblastech a v oblastech, které jsou jedny z nejchudších v Evropě. Proto si myslím, že je nutné podpořit tuto strategii, protože to pomůže rozvoji nás všech.
(Fin des interventions à la demande)
Dacian Cioloş, membre de la Commission. − Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, dans mon intervention, au nom, je le répète, de mon collègue Johannes Hahn qui est en charge de ce dossier, je n'ai pas dit qu'il ne faut pas une coordination pour cette région. Ce que j'ai dit, c'est que le cadre existant de la stratégie pour le Danube, qui inclut pratiquement tous les pays, sauf la Pologne – mais j'ai précisé que la Pologne peut s'associer à certains projets –, permet déjà de couvrir les différentes problématiques que vous avez soulevées, concernant notamment le besoin d'interconnexion, les infrastructures, l'éducation, l'environnement. Tous ces thèmes figurent dans cette stratégie pour le Danube, qui inclut les pays recouvrant également la région des Carpates, lesquels peuvent déjà utiliser ce cadre pour financer des projets spécifiques à la zone des Carpates.
Cela étant dit, j'ai pris note de toutes vos remarques et des arguments que vous avez présentés concernant le besoin d'une coordination spécifique à la région des Carpates et je les transmettrai à mon collègue Johannes Hahn. Ce que je peux dire, pour ma part, au sujet des zones de montagne et de la zone des Carpates en particulier, c'est que dans la politique agricole commune, nous avons déjà avancé vers cette coordination interrégionale spécifique pour la partie rurale et agricole. La nouvelle réforme de la politique agricole commune permet, par exemple, une coordination régionale transfrontalière sur des massifs pour pouvoir financer certains projets admissibles dans le cadre du programme de développement rural. Cela pourrait peut-être constituer un point de départ pour une approche plus large concernant les zones de montagne. Je reconnais, personnellement, qu'elles ont une spécificité, au moins du point de vue agricole et rural, une spécificité non seulement climatique, mais aussi sociale. L'avenir nous permettra peut-être d'avancer dans cette réflexion.
Cependant, je répète que les États qui demandent cette stratégie pour les Carpates pourraient, dans un premier temps, utiliser le cadre et les instruments en place pour démontrer la cohérence d'avoir une approche spécifique pour cette région. Comme vous l'avez précisé, du point de vue financier, l'argent est là, dans les Fonds structurels. Il s'agit simplement de le canaliser vers certains projets transfrontaliers régionaux spécifiques et j'espère que ce cadre, qui existe déjà, permettra de poursuivre la réflexion de manière plus concrète. En tout cas, je transmettrai toutes vos remarques et vos arguments à mon collègue Johannes Hahn pour une réflexion ultérieure.
La Présidente. - Le débat est clos.
9. Budžeta grozījuma Nr. 6/2013 projekts (debates)
La Présidente. - L'ordre du jour appelle le débat sur le rapport de Giovanni La Via, au nom de la commission des budgets, sur la position du Conseil sur le projet de budget rectificatif n° 6/2013 (14870/2013 – C7-0378/2013 – 2013/2151(BUD)) (A7-0347/2013).
Giovanni La Via, relatore. − Signora Presidente, ministro Rimkunas Commissario Lewandowski, onorevoli colleghi, il bilancio rettificativo n. 6 del 2013, presentato dalla Commissione il 10 luglio e poi modificato dall'amending letter, ammonta a 2,7 miliardi di euro. Esso prevede una revisione delle stime delle risorse proprie, sulla base delle previsioni della Commissione a seguito della revisione delle entrate conseguenti a minori dazi incassati nel corso dell'anno.
La storia di questo bilancio rettificativo è recente, ma si inserisce in un quadro molto più complesso, del quale brevemente cercherò di riassumere gli elementi.
Come ricorderete, in occasione dell'approvazione del bilancio 2013, questo Parlamento aveva fortemente sottolineato una mancanza di stanziamenti di pagamento, quegli stanziamenti di pagamento necessari per poter debitamente pagare e rimborsare con risorse comunitarie ciò che gli Stati membri o i singoli soggetti hanno speso.
Tutto questo, dunque, il Parlamento lo aveva sottolineato e aveva approvato il bilancio per il 2013 solo dopo che in questa sede era stato raggiunto un accordo al più alto livello tra la Presidenza del Consiglio, della Commissione e del Parlamento europeo, cioè fra il Presidente della Commissione Barroso, il Presidente cipriota di turno del Consiglio e il Presidente Schulz. Era stato affermato che era necessario che sin dall'inizio dell'anno vi fosse un bilancio rettificativo in grado di coprire il fabbisogno dei pagamenti.
La Commissione ha mantenuto fede all'impegno perché all'inizio dell'anno ha emesso il suo bilancio rettificativo n. 2 per 11,2 miliardi di euro, ma il Consiglio non è stato in grado di coprirlo integralmente ed ha chiesto a questo Parlamento di dividerlo in due tranche. Una prima, che è stata onorata, e una seconda, per la quale il Commissario ha mandato un altro bilancio rettificativo da 3,9 miliardi, il bilancio rettificativo n. 8. Tutto questo serviva ad assicurare il livello dei pagamenti nel corso dell'esercizio 2013.
Il Consiglio su questo – mi dispiace dirlo – ha una forte responsabilità perché non ha avvertito quella che era l'esigenza dei pagamenti, ha avversato l'innalzamento degli stanziamenti di pagamento in sede di bilancio l'anno scorso e, quando si è trattato di approvare il bilancio rettificativo n. 8, ha avviato una procedura più lunga che, in ogni caso, non ci avrebbe consentito di disporre delle risorse entro la fine dell'anno.
Da tutto ciò è derivata la corsa degli ultimi giorni. L'ultimo weekend nel corso del quale, fra le telefonate incrociate tra Commissione, Consiglio e Parlamento, si è addivenuti alla necessità di sbloccare e far partire subito la corsa per il bilancio rettificativo n. 6 che, deve essere chiaro a tutti, è una ruota di scorta e non la soluzione del problema. Una ruota di scorta per poter andare avanti evitando quello che è stato definito dal Presidente Barroso lo shut down.
Consapevole di ciò, questo Parlamento, con un atto di responsabilità, ha votato in commissione bilancio il bilancio rettificativo, infrangendo tutte le nostre procedure interne, modificando d'urgenza l'ordine del giorno in modo che oggi voteremo o comunque i principali gruppi politici di questo Parlamento voteranno a favore di questo bilancio rettificativo.
Signor Presidente del Consiglio, ciò non toglie che il bilancio rettificativo n. 8 deve essere approvato, e ci attendiamo una rassicurazione in tal senso in occasione del suo intervento. Questo Parlamento la chiede con forza perché senza una rassicurazione che i 3,9 miliardi di euro verranno pagati alla prima occasione utile, aumenterà il livello di dissenso in quest'Aula e diminuiranno sicuramente i voti a favore di questo bilancio rettificativo n. 6.
Vi chiediamo quindi un atto di responsabilità, dandoci le assicurazioni e le garanzie necessarie che i 3,9 miliardi possono essere deliberati dal Consiglio nel più breve tempo possibile affinché si possa, in occasione della prossima sessione plenaria, votare in favore del bilancio rettificativo n. 8, così come dell'MFF.
Algimantas Rimkūnas, President-in-Office of the Council. − Madam President, I am glad that we can have this exchange of views today in Parliament before the definitive adoption of Amending Budget No 6. I hope this debate will contribute to clarifying the extraordinary circumstances under which the amending budget is being adopted.
Last Monday, at the request of the Commission, the Council launched a written procedure for the urgent adoption of Draft Amending Budget No 6. The Council, exceptionally, agreed to engage in such a procedure, under extreme time pressure, following the Commission’s warning that it would otherwise run into serious cash-flow problems at the beginning of November. As you know, the Council successfully completed this written procedure, accepting the draft amending budget and its amending letter, as proposed by the Commission. The Council transmitted its position to Parliament on Monday evening.
I would like to underline that, contrary to some comments made in plenary yesterday, the Council started the examination of this draft amending budget immediately. It was only as a result of a specific request by the Commission and the announcement of an amending letter, presented by the Commission only on 18 September 2013, that the Council did not adopt this position earlier.
On behalf of the Council, I would like to thank Parliament’s Committee on Budgets for its flexibility and very quick reactions, which resulted in a positive vote on Tuesday evening. It might be worth recalling that this amending budget relates exclusively to the revenue side of the EU budget. This has become necessary, as Union revenue from customs duties has fallen dramatically as a result of the economic crisis. Therefore, Member States’ contributions, based on their general national income, have to be urgently increased.
Let me stress that, contrary to the other draft amending budgets, Draft Amending Budget No 6 is not at all related to the expenditure side of the EU budget. Consequently, its adoption will not impact on the amounts proposed in Draft Amending Budgets Nos 7, 8 and 9. I would like to kindly remind you that, ten days ago, the Council reached a political agreement on all outstanding draft amending budgets relating to 2013, including Draft Amending Budget No 6, which we are discussing today.
In accordance with its internal rules, the Council has scheduled the formal adoption of its position concerning Draft Amending Budgets No 8 and 9 for 30 October 2013 at the latest. All these draft amending budgets involve a large amount of money. It is, therefore, necessary to provide sufficient time for national parliaments to examine them, as is foreseen in Protocol No 1 to the Treaty. Nevertheless, for Draft Amending Budgets No 8 and 9, given their importance, the Council has already shortened this period to the absolute minimum. I have to underline that it would have been impossible for the Council to adopt them any earlier than 30 October 2013.
In response to the concerns raised by a few Members, let me make it very clear that the Council remains fully committed to formally endorsing the political agreement reached on the other outstanding Draft Amending Budgets – Nos 8 and 9 – by 30 October 2013 at the latest. The Council will stick to its promises and deliver. On the basis of these decisions, the Council will have approved this year a total amount of EUR 11.6 billion in additional payment appropriations. This significant amount will need to be financed by Member States through higher contributions to the European Union budget, which is not an easy task in these times of economic and financial crisis.
We all share responsibility for the orderly implementation of the EU budget. I sincerely hope that we can count on your support and that Parliament will vote in favour of Draft Amending Budget No 6 today.
Janusz Lewandowski, Member of the Commission. − Madam President, today we have to solve the problem of the 2013 budget. This is not a perfect solution, it is a partial solution, but still a solution demanding goodwill and some understanding. Various serious problems in the implementation of the 2013 budget are the result of under-budgeting for several years. This is not a surprise, even if some claim that it does come as a surprise. It is not a surprise that we have an accumulation in the last year of the financial perspective when all the projects are gaining maturity and all the capitals are sending their bills to Brussels for compensation for eligible projects.
From the very beginning of this year, due to the under-budgeting, I was crystal clear that we need reinforcement for 2013. The number has been very well known since March: 11.2 billion, 7.3 done and what remains is 3.9, which we absolutely need. But the problem, as you know, is that if we have no agreement at this part-session on the overall package, we run into difficulties because we cannot call for money before 16 November and we will start to have cash flow problems only in January. Therefore, we need a second-best solution, a lifebelt for the European budget, and of course it was my responsibility to take the initiative and find the solution via Draft Amending Budget No 6, which is about the revenue side as a candidate for rapid delivery of cash into the budget. This is normally a sort of routine budget, offsetting what is wrong on the revenue side, but this year it is not that routine, because we feel the consequences of the crisis and efforts of rebalancing in many Member States. Therefore, imports are down, customs are down and we have a shortfall of revenues from customs, and net that is EUR 2.7 billion. This is the nature of this revenue type of budget; therefore, I took the initiative, asking the Council and Minister Rimkūnas personally for an emergency procedure. I see that this was a very constructive approach – thank you, Minister – and now I see the same acceleration in Parliament.
This is also a measure of responsibility, otherwise we might stop payments in cohesion and rural development at the end of November. That would not be a good message for Europe. So I thank the rapporteur, Giovanni La Via, for his understanding, and I thank Alain Lamassoure of the Committee on Budgets for giving a recommendation yesterday on the extraordinary session. But I also have to repeat what the rapporteur has already said: we cannot mix that revenue-side rapid reinforcement to overcome the cashflow bottlenecks with what we need still – 3.9 billion – to reinforce expenditure this year. This is coming too late, but we are in need of that additional 3.9 to cover all the obligations of 2013 until the end of October. So both should not be mixed. We are overcoming the bottleneck and see it as the second-best solution.
Of course, we hope for the overall agreement that is urgently needed. We see the concern across Europe. I can only quote the voice of the Council of European Municipalities and Regions this week saying that, at a time at which the economic crisis affects all Europeans, a responsible attitude from Parliament and the Council is necessary. Here is a demonstration of a very responsible attitude towards these urgent needs of the European budget – but please, we need overall agreement as well.
Sidonia Elżbieta Jędrzejewska, w imieniu grupy PPE. – Pani Przewodnicząca! Unia Europejska musi spłacać swoje zobowiązania – po prostu umów należy dotrzymywać. Właśnie w tym duchu Europejska Partia Ludowa popiera i będzie chciała, by przyjąć budżet korygujący nr 6 na rok 2013.
Należy podkreślić, że codziennie Komisja Europejska podpisuje dziesiątki kontraktów na inwestycje, które podnoszą poziom życia Europejczyków. Każdego dnia z tego tytułu tysiące beneficjentów programów unijnych otrzymuje zwrot części poniesionych kosztów. Cały ten system opiera się na stabilności finansów Unii Europejskiej, ale opiera się przede wszystkim na zaufaniu. Nie możemy pozwolić na to, by to zaufanie i ta stabilność zostały zachwiane.
Dziś głosowany budżet korygujący praktycznie oznacza dodatkowe składki dla państw członkowskich w wysokości 2,7 miliardów euro. Jednak trzeba sobie powiedzieć szczerze: te dodatkowe składki nie powinny być zaskoczeniem, ten budżet korygujący nie powinien być zaskakujący ani dla Parlamentu, ani dla państw członkowskich. Od dawna już wiadomo, że budżet unijny jest chronicznie niedofinansowany, chronicznie brakuje w nim pieniędzy na zaciągane zobowiązania, coraz większe zadania, ambicje i działania Unii Europejskiej, które wymagają nakładów, nie mogą być finansowane z coraz skromniejszych składek państw członkowskich. Ten rozdźwięk pomiędzy wielkimi ambicjami a zbyt małą ilością środków jest coraz bardziej widoczny. W Parlamencie Europejskim staramy się rozwiązać na bieżąco najpilniejsze problemy, tak aby utrzymać płynność w budżecie unijnym. Będziemy musieli nadal sprostać problemowi pozostałych blisko 4 miliardów euro brakujących w unijnej kasie.
Mam nadzieję, że uda się nam jak najszybciej znaleźć to porozumienie. Trzeba sobie też jasno powiedzieć, że cały czas nie mamy oficjalnego stanowiska Rady dotyczącego budżetu poprawkowego nr 8 i nr 9, i cała nadzwyczajna procedura, której musimy tutaj sprostać – a będziemy się starali i doprowadzimy dzisiaj do przyjęcia – jest spowodowana tym, że Rada wysłała nam swoje stanowisko dopiero w poniedziałek popołudniu. To wszystko – i to radzenie sobie – pokazuje, że budżet unijny wymaga tak naprawdę pogłębionej reformy.
Göran Färm, on behalf of the S&D Group. – Madam President, colleagues, Commissioner, Mr Minister, there was a heated debate in the Budget Committee this week regarding Amending Budget No 6. Let me, however, emphasise that nobody objected to the contents, which are merely a technical update of the figures for 2013 own resources, BNI contributions, rebates, etc.
The debate instead concerned the procedure, the very sudden adoption by the Council and the equally sudden proposal from the Commission that this must be introduced on this week’s agenda. The background is, of course, the Commission’s acute cash-flow problem and the inability to pay outstanding bills. This has, unfortunately, been caused not by the Commission, as suggested by some conservative members of the Budget Committee, but by the Member States and their constant under-budgeting of payments.
Amending Budget No 6, however, has nothing to do with a lack of payment appropriations. It is only an update of the figures for revenue to be paid by the Member States, but it has an effect on cash-flow. To avoid any suspicion that the Council in this situation would take the adoption of Amending Budget No 6 as an argument for delaying and not adopting Amending Budget No 8, my Group has tabled an amendment in order to link the adoption of Amending Budget No 6 with Amending Budget No 8. The wording needs a minor adjustment, which I will introduce as an oral amedment at the vote.
For this reason, to avoid further misunderstandings, I thank the Presidency and especially Minister Rimkūnas for having made things clear here and for having confirmed that the Council will, as one of the remaining conditions, adopt Amending Budget No 8 in time for this Parliament to give its consent to the MFF in November, thereby preventing another budget crisis. I hope now that nothing can change that promise.
Jan Mulder, namens de ALDE-Fractie. – Ieder parlementslid hier in dit huis is zich bewust van het feit dat overal in Europa bezuinigd moet worden. De lidstaten worden door de Commissie gedwongen hun boeken in orde te brengen en zo veel mogelijk een balanced budget te hebben.
Het is daarom vreemd – en dat is de houding van de Liberale Fractie – dat de lidstaten de Commissie zouden dwingen in een omgekeerde positie, dus wij hebben als grondhouding: als er een verplichting is aangegaan en er rekeningen binnenkomen, dan moeten die rekeningen betaald worden. Welnu, wij hebben vanochtend gepraat over het ontwerp van gewijzigde begroting nr. 6 om een en ander te kunnen betalen; er is namelijk een tekort in de eigen middelen van de Europese Unie. Het is misschien ook goed voor de lidstaten om zich te realiseren dat het stelsel van eigen middelen dat wij nu hebben, duidelijk aan verandering toe is. De gebeurtenissen van de laatste maanden van dit begrotingsjaar zijn daar een aanwijzing voor.
De Liberale Fractie zal vóór het ontwerp van gewijzigde begroting nr. 6 stemmen, mits het amendement van de Socialistische Fractie wordt aangenomen.
Maar voordat wij kunnen overgaan tot de goedkeuring van het meerjarig financieel kader – en dan kan ik alleen maar herhalen wat vele anderen ook al gezegd hebben – is de Liberale Fractie ook van mening dat die 3,9 miljard, het ontwerp van gewijzigde begroting nr. 8, er moet komen. Dat is een strikte voorwaarde en dat geldt ook voor de andere voorwaarden die in de resolutie van juli van dit jaar gesteld zijn. Over de werkgroep voor de eigen middelen moet duidelijkheid komen, vóórdat wij gaan stemmen. Wat is de samenstelling ervan, wie gaat de groep voorzitten en al dat soort zaken, dat zijn geen zaken die ná de stemming kunnen worden opgelost, wij moeten dat vóór die tijd weten. Hetzelfde geldt natuurlijk ook voor de wetgevende arbeid die nog moet gebeuren.
Ik denk dat uit het debat van vanmorgen blijkt – ik heb dat overigens al gezegd – dat wij een nieuw stelsel van eigen middelen nodig hebben en ik hoop dat door de snelle afwerking van deze begroting de Raad zich realiseert dat hij moet meewerken aan een nieuw stelsel van eigen middelen.
Rebecca Harms, im Namen der Verts/ALE-Fraktion. – Frau Präsidentin, Herr Kommissar, sehr geehrter Vertreter der Ratspräsidentschaft, sehr geehrte Kollegen! Ich bin sehr irritiert über den Verlauf der Diskussion, weil in diesem Parlament noch vor einigen Monaten eine große Übereinstimmung geherrscht hat darüber, dass wir uns auf keinen Fall in eine Defizitsituation der Europäischen Union hineinarbeiten wollen. Wir sind der Auffassung, dass das, was für öffentliche Haushalte in den Krisenländern gilt und für die Europäische Union grundsätzlich feststeht, dass man nämlich nicht mehr ausgeben kann, als man einnimmt, auch in dieser Situation gelten sollte.
Selbst wenn man jetzt, wenn ich dieser Debatte so folge, vom Optimum ausgeht, dass beide Nachtragshaushalte, also Nr. 6 und Nr. 8, kommen, ist dieser Grundsatz, dass wir nicht eine Defizitunion sein wollen, nicht durchzuhalten. Wir wissen, dass uns auch mit den Nachtragshaushalten etliche Milliarden fehlen werden. Wir werden mit Geldern des Haushalts 2014 Schulden aus dem Jahr 2013 zahlen müssen. Wir wissen, dass uns 2014 durch den schwachen Abschluss im mittelfristigen Finanzrahmen sowieso Gelder fehlen. Also gehen wir vollbewusst in ein Defizit von ungefähr 20 Milliarden. Schütteln Sie nicht den Kopf, Herr Kommissar, das Missmanagement der Kommission in dieser Auseinandersetzung hat uns auch in diese Drucksituation um die Nachtragshaushalte hineingebracht.
Meine Fraktion hat immer gesagt, dass wir das nicht mitmachen. Wir sind der Auffassung, dass heute über diesen Nachtragshaushalt auf keinen Fall abgestimmt werden sollte. Wir wollen kein Flickwerk in dieser für die Europäische Union grundsätzlich wichtigen Zukunftsauseinandersetzung. Wir haben gestern vorgeschlagen, dass wir, auch wenn der Zeitplan eingehalten werden muss, den Sie uns seit einigen Tagen vortragen, der Auffassung sind, dass man in einer Sondersitzung des Europäischen Parlaments über die gesamte Schieflage debattieren kann. Diese Sondersitzung kann mit ausreichend Zeit einberufen werden. Wir könnten dann auch mal dem eigenen Anspruch gerecht werden, diese ganze klamme Situation den Bürgerinnen und Bürgern der Europäischen Union besser zu erklären. Denn das ist doch das, was gar keiner mehr versteht: Wir spielen hier mit Milliarden, wir arbeiten mit den Überschriften von Nachtragshaushalten, aber wo das Geld fehlen wird, warum das Geld überhaupt so knapp ist in Europa, das wird überhaupt nicht mehr deutlich. Zusätzlich haben wir das Problem, dass die meisten Bürger in der Europäischen Union bis heute denken, dass wir hier aus dem Vollen schöpfen, dass wir mit gigantischen Haushalten immer schlechte Politik machen.
Auch Sie, Herr Lewandowski, sind doch im Verdacht, permanent das Geld zum Fenster rauszuwerfen. Kein Mensch in Europa, auch nicht in Deutschland, hat bis heute verstanden, dass ein mittelfristiger Finanzrahmen über sieben Jahre für die Europäische Union weniger Geld hat als ein Jahr öffentlicher Haushalte in Deutschland. Kein Mensch hat verstanden, dass aus diesem Weniger auch noch das meiste immer noch direkt an die Mitgliedstaaten zurückfließt, und dass wir hier wirklich nicht über unsere Verhältnisse leben, sondern dass wir in vielen Bereichen, gerade im sozialen Bereich, den Mangel verwalten.
Ich plädiere deshalb nochmals dafür: Lassen Sie sich nicht ein auf dieses Flickwerk mit den Nachtragshaushalten! Unterstützen Sie uns in diesem Anliegen auf eine Sondersitzung, damit wir mal über Klarheit und Wahrheit des europäischen Haushalts reden können!
Richard Ashworth, on behalf of the ECR Group. – Madam President, it seems to me that this debate should be more a question of procedure than a question of substance. It is obvious that, in the short term, we have to find a solution to avert this crisis and avert the risk of shutdown. I am satisfied that the Council has taken the right, appropriate and responsible decisions, and I am confident this House will do so too.
In the longer term, however, we need to think hard about measures we can take to reduce the risk of finding ourselves in this position once again. It seems obvious to me that, because we are working within the constraints of a smaller budget; because we have considerably increased the spending on Heading 1A – something which I welcome and fully support; and because we have not at the same time radically altered spending on other headings, we will find ourselves forced to operate within much tighter budget margins in the future. The likelihood of finding ourselves back in difficulty would thus increase.
Can I take this opportunity, therefore, to encourage the Commission to review the way that information is communicated to the other institutions? Certainly this House, as a responsible scrutiny body, needs better-quality information, and that information needs to be more readily accessible to the Members.
As a last thought, I suggest that it is time to review the architecture of the budget. Take the example of the ongoing liability of the outstanding commitments which we are building up. In the long term, this is an unsustainable liability. Is it not time that we looked at it again?
Gabriele Zimmer, im Namen der GUE/NGL-Fraktion. – Frau Präsidentin! Meine Fraktion betrachtet nach wie vor den Berichtigungshaushaltsplan Nr. 6 und auch den Berichtigungshaushaltsplan Nr. 8 als ein Paket. Wir sind nicht bereit, der Logik der Kommission zu folgen und zu sagen: Machen wir das eine unabhängig vom anderen. Es gibt diesen konkreten Zusammenhang, und auf diesem Zusammenhang bestehen wir. Wir wollen nach wie vor die entsprechende Garantie haben.
Das heißt, der Änderungsantrag, der von der S&D-Fraktion eingebracht worden ist, ist für uns das Allermindeste, was vom Rat zu akzeptieren ist. Ich akzeptiere z. B. die Aussage nicht, dass der Rat verantwortungsbewusst gehandelt hätte. Das hat der Rat überhaupt nicht! Die Finanzminister haben sich über lange Zeit geweigert, ihren Verpflichtungen nachzukommen, und es gibt für uns über die Logik DAB 6 und DAB 8 selbstverständlich die Verbindung zum Haushalt 2014 und Mehrjähriger Finanzrahmen.
Wir wissen doch schon jetzt, dass der Haushalt 2014 mit 18 Milliarden unterfinanziert ist. Wir wissen, dass 52 % des Haushalts 2014 für die Endfinanzierung der Programme aus dem alten Mehrjährigen Finanzrahmen gebunden sind. Wir wissen, dass durch das Frontloading der Handlungsspielraum von den verbleibenden 48 % noch mehr eingeschränkt wird. Was soll denn überhaupt noch mit dem Haushalt 2014 finanziert werden? Das sind doch die Fragen, die gestellt werden müssen. Und die 3,7 Milliarden sind wirklich das Allerletzte, das kleine Krümelchen, was hier noch zugeschoben werden soll. Und dann wird uns erklärt, letztendlich sollten wir dankbar dafür sein, wenn der Rat am 30. Oktober beschließt, dass er das endlich machen wird. Was ist denn das für eine Show, die hier abgezogen wird?
Das Vertrauen zwischen Rat und Europäischem Parlament ist meines Erachtens am dem Tiefpunkt angelangt. Und es kann doch nicht verwundern, wenn wir hier klare Garantien fordern und sagen, wir lassen nicht mehr Katz und Maus mit uns spielen. Das sollte der Rat auch auf die nächsten Ratstagungen mitnehmen, und selbstverständlich stehen wir für den Änderungsantrag. Meine Fraktion wird sich unterschiedlich entscheiden, auch zur Frage der Abstimmung insgesamt. Aber wir brauchen eine Gesamtdiskussion über die Haushaltsstruktur.
Claudio Morganti, a nome del gruppo EFD. – Signor Presidente, Commissario Lewandowski, onorevoli colleghi, è scandaloso che siano ancora gli Stati membri, ovvero i cittadini, a dover riparare ai vostri errori. Mi chiedo, infatti, come la Commissione abbia potuto sbagliare malamente i suoi conti e per di più non si è neanche assunta la responsabilità di tutto questo.
Le mancate entrate non sono dovute solo alla crisi economica, ma anche al mancato controllo sui grandi porti del Nord Europa, dove entra di tutto e di più senza il pagamento delle dovute tasse e dazi.
Mi chiedo se non sarebbe stato più logico utilizzare altre risorse già previste. Ogni anno, ad esempio, versiamo alla Turchia centinaia di milioni di euro per i fondi di preadesione. Non si potevano congelare questi soldi? Nel prossimo quadro finanziario abbiamo già previsto di destinare ad Ankara e soci diversi miliardi. Rivediamoli subito questi regali.
Questo è solo un esempio ma, signor Commissario, se vuole le mando un'e-mail con l'elenco degli sprechi su cui intervenire, invece di far pagare i vostri errori ai cittadini. Lei e il suo gruppo di burocrati nominati dovreste avere il buon senso di dimettervi per manifesta incapacità gestionale.
Lucas Hartong (NI). - Jaar in jaar uit gaf de Commissie veel te veel uit aan onnodige projecten. Dit Parlement vond het allemaal wel best en deed er vaak nog een schepje bovenop. Het was toch maar geld van de hard werkende belastingbetaler.
Met bakken geld tegelijk verdween het geld in de bodemloze putten.
Opeens kwamen er echter nogal wat onbetaalde rekeningen bij de Commissie tevoorschijn, en wel zó veel dat er geld bij moest voor het jaar 2013. De rekening werd neergelegd bij de lidstaten, bij de hard werkende burger dus. De Raad is terecht boos over al die aanvullende rekeningen. Maar collega La Via legt de schuld niet bij de Commissie, maar bij de Raad. Die heeft veel te weinig geld beschikbaar gesteld. Voorzitter, dit is de omgekeerde wereld! Degene die het geld uitgeeft eist steeds meer omdat hij te weinig krijgt. Werkelijk te gek voor woorden!
Dit Parlement zal ongetwijfeld het verslag La Via goedkeuren. De Socialisten, Christen-democraten en Liberalen zullen buigen voor de eis van de Commissie. De rekening gaat naar de burger: nóg minder geld in de portemonnee, nóg meer feest bij de eurokliek. Voorzitter, zie daar de economische crisis in haar volle omvang, veroorzaakt én in stand gehouden door deze EU.
Janusz Lewandowski, Member of the Commission. − Madam President, thank you for the constructive spirit prevailing in this House. I think the management of budgets, both at national level and at EU level, is now the management of crises and of shortage. I can understand the problems of the national states: 16 of them are in the excessive deficit procedure. Some of them are under special programmes. But they should also understand – and I find that there is understanding of – the logic of the European budget. This is the logic of multiannual programmes. At the end of a financial perspective, we find that problems have accumulated due to under-budgeting in the previous years.
We need to cope with this. At the initiative of Parliament, we have now become very transparent. Also at the initiative of Parliament, we were presenting – and this was in September – an overview. I have to say that Ms Harms is right: we need an additional 3.9, which is the minimum minimorum to cover all the outstanding bills until the end of October. Then the bills coming at the end of December will probably not be covered by the resources of this year’s budget.
This is better controlled, I have to say, than some public expenditure in the Member States, because it is controlled twice: at European level and at national level. But now we must not play the blame game; today we have to find a solution. I find it very encouraging that the spirit of finding a solution in order to overcome the bottleneck in the 2013 budget is so prevalent in this House. Thank you for your spirit, which gives us hope for overall agreement.
Algimantas Rimkūnas, President-in-Office of the Council. − Mr President, I have participated with interest in the debate today and I understand the concerns expressed by many of you. As the budgetary authority, the European Parliament and the Council are equally responsible for the orderly implementation of the EU budget.
We all know at this stage that Draft Amending Budget No 6 is urgently needed and should therefore be adopted without delay. Any other outcome would cause us major problems and would be extremely difficult to explain to EU citizens. I very much hope that the vote will be positive, and I would like to thank you.
Giovanni La Via, relatore. − Signora Presidente, onorevoli colleghi, in primo luogo vorrei ringraziare la Presidenza del Consiglio per le assicurazioni fornite sul bilancio rettificativo n. 9. Naturalmente, restiamo in attesa dei fatti, perché solo nel momento in cui avremo l'approvazione formale e finale potremo essere maggiormente tranquilli e, di conseguenza, decideremo anche per quella che è la nostra responsabilità sul quadro finanziario pluriennale.
La soluzione dell'approvazione del DAB 6 non è sicuramente la migliore delle soluzioni, e mi permetterò di raffrontarla e presentarla a quest'Aula con un esempio figurato. Ogni autovettura ha quattro ruote, tutte e quattro con lo stesso diametro. Mi sembra che la nostra autovettura, che è quella del bilancio europeo, ha avuto bisogno della sostituzione di una ruota. Ma questa ruota non aveva il diametro necessario, bensì più piccolo. La macchina continuerà a camminare, signor Commissario, ma sicuramente non andrà alla velocità alla quale Lei avrebbe voluto spingerla, ma arriveremo alla fine dell'anno.
Questo esempio mi è servito semplicemente per dire che i 2,7 miliardi sono meno dei 3,9, la ruota è più piccola. Ci serviva qualcosa in più e probabilmente ci servivano tutti e due entro quest'anno. Ma non li avremo. Andremo avanti non a velocità di crociera, ma spostando quei pagamenti che, come ben sa il Commissario, è possibile spostare al nuovo anno.
Questo però non è il modo più giusto per gestire il bilancio e le istituzioni europee. Se in futuro dovessimo continuare così, sicuramente non realizzeremo quell'Europa che i padri fondatori avevano sognato e che tutti noi ci stiamo sforzando di portare avanti.
Invito quindi il Consiglio a ricordare che quando si prendono gli impegni bisogna far seguire i pagamenti e chiedo alla Commissione di eseguire, ovviamente secondo le prescrizioni e i ritmi previsti, tutti i programmi comunitari.
Sonia Alfano (ALDE). - Signora Presidente, onorevoli colleghi, mi scuso con Lei e i colleghi tutti perché il mio intervento non ha attinenza con l'argomento, però chiedo che venga messo a verbale.
Questa mattina, l'auto che trasportava me e la mia assistente è stata assalita dai manifestanti e dai tassisti, circondata da venti persone che vi hanno gettato sopra delle uova. L'auto è tornata indietro due volte, cercando di arrivare al Parlamento. La polizia era lì, ferma a guardare. La seconda volta l'autista, molto spaventato, ci ha invitato a continuare a piedi perché sarebbe stato pericoloso proseguire con la macchina. Abbiamo percorso più di un chilometro e mezzo a piedi, con il cordone di tassisti che ci guardava e temendo di essere riconosciute ed essere oggetto di ulteriori aggressioni.
Adesso il servizio degli autisti e la polizia francese hanno detto al mio ufficio che sarebbe preferibile che io andassi via ora per evitare ulteriori aggressioni perché, a quanto pare, la votazione prevista per più tardi potrebbe essere un problema visto che i tassisti ce l'hanno con gli europarlamentari.
Mi chiedo se questa è civiltà e mi chiedo in base a quale regolamento la Francia voglia mantenere la doppia sede – ci vuole mantenere qui – se non è neanche in grado di difenderci e se la polizia sta a guardare davanti alle aggressioni. Non posso votare, non posso restare qui perché altrimenti rischio un'aggressione.
Chiedo che ciò venga messo a verbale e soprattutto che la polizia francese e le autorità francesi rispondano di questo atteggiamento gravissimo.
La Présidente. - Nous prenons note de votre intervention, Madame Alfano.
Le débat est clos.
Le vote aura lieu à midi.
(La séance, suspendue à 11 h 45, est reprise à 12 heures)
VORSITZ: RAINER WIELAND Vizepräsident
10. Iepriekšējās sēdes protokola apstiprināšana (sk. protokolu)
Der Präsident. − Als nächster Punkt der Tagesordnung folgt die Abstimmungsstunde.
– Vor der Abstimmung:
Albert Deß (PPE). - Herr Präsident! Ich möchte zur Geschäftsordnung anmerken: Wir hatten einmal eine Abstimmung über zweieinhalb Stunden, wo unser Kollege Georgios Papastamkos zusammengebrochen ist. Es ist damals versprochen worden, dass es nie wieder eine so lange Abstimmung geben wird. Gestern war die Abstimmung genauso lang. Ich habe in Erfahrung gebracht, dass es einen Planungsstab gibt, der für diese Abstimmungen verantwortlich ist. Man sollte entweder diese Mitglieder fristlos entlassen oder zum Fensterputzen einsetzen.
(Beifall)
Wir haben heute 100 Abstimmungen und gestern Hunderte. Wir hätten heute um 11.30 Uhr beginnen können, und wenn die Leute unfähig sind, sollen das in Zukunft andere machen.
(Beifall)
Michael Cashman (S&D). - Mr President, in relation to the statement made about the staff who work for Parliament: parliamentarians accept responsibility for this House, and we should never shift it to members of staff who cannot defend themselves.
Der Präsident. − Liebe Kolleginnen und Kollegen! Was ich seit gestern Nachmittag gehört habe, lässt mich sicher davon ausgehen, dass wir uns in den Gremien des Hauses darüber auch noch einmal unterhalten werden. Ich weise allerdings auch darauf hin, dass Frau Kollegin Durant gestern darauf hingewiesen hat, dass wir heute wenige Abstimmungen haben. Und sie hat angeboten, dass ein Teil der Abstimmungen verschoben wird. Das Haus hat das mit Mehrheit abgelehnt und wollte gestern weiter abstimmen.
William (The Earl of) Dartmouth (EFD). - Mr President, on a point of order, in light of Mr Cashman’s comments, could I request that a member of staff come to the bar of the House and explain what happened yesterday?
Der Präsident. − Ich sage Ihnen zu, dass wir uns nochmals damit beschäftigen und schlage Ihnen vor, dass wir jetzt zu den Abstimmungen über den Entwurf des Berichtigungshaushaltsplans Nr. 6 aus 2013 kommen.
12.1. Budžeta grozījuma Nr. 6/2013 projekts (A7-0347/2013 - Giovanni La Via) (balsošana)
– Vor der Abstimmung über Änderungsantrag 1:
Göran Färm (S&D). - Mr President, on behalf of the S&D Group, I have a small oral amendment. We need to delete the words ‘in full’ twice in this text to avoid misunderstanding, as there may be a minor technical correction of the figures. So the oral amendment is to delete the words ‘in full’ both in the middle of the amendment and at the end.
(Der mündliche Änderungsantrag wird übernommen.)
12.2. Vispārējā Savienības vides rīcības programma līdz 2020. gadam (A7-0166/2013 - Gaston Franco) (balsošana)
12.3. Jonizējošā starojuma radītie draudi (A7-0303/2013 - Thomas Ulmer) (balsošana)
12.4. Padomes ikgadējais ziņojums Eiropas Parlamentam par kopējo ārpolitiku un drošības politiku 2012. gadā (A7-0330/2013 - Elmar Brok) (balsošana)
– Vor der Abstimmung über Ziffer 12:
José Ignacio Salafranca Sánchez-Neyra (PPE). - Señor Presidente, el ponente, señor Brok, al parecer, ha negociado con los distintos grupos políticos una enmienda oral que tienen en la lista de votación y que voy a leer rápidamente:
"calls, as a contribution to this debate, for the European Council in December to further elaborate on the European Global Strategy initiative."
Der Präsident. − Als nächster Punkt folgen die Erklärungen zur Abstimmung.
13.1. Eiropas Savienības visprējais budžets - 2014. finanšu gads
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
John Bufton (EFD), in writing. − Against. While I ardently support a single seat for the European Parliament, I am against the suggested EUR 50 million additional payment this report suggests.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − Tradicionalmente, a Comissão e o Parlamento, por um lado, e o Conselho, por outro, apresentam visões diferentes quanto àquilo que consideram que deve ser o orçamento da União Europeia. Os primeiros costumam advogar maiores recursos enquanto o segundo, muitas vezes condicionado pelas opiniões públicas, tende a preferir a sua limitação ou mesmo a sua redução. Face aos constrangimentos orçamentais e financeiros por demais conhecidos na União Europeia, é natural que o seu orçamento não possa sofrer acréscimos desrazoáveis nem comprometer-se com despesas incomportáveis. Não obstante, não se pode impedir a União de exercer as suas competências e de as exercer de um modo capaz. Julgo ter havido um esforço sério de contenção que deve merecer como contrapartida uma atribuição de verbas justa e equilibrada, adequada e proporcional aos desafios que uma União a 28 hoje enfrenta. Não estou seguro que os cortes propostos pelo Conselho tenham isso em conta.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − As alterações agora introduzidas pela maioria à proposta de orçamento para 2014 não foram muito além do restabelecimento dos montantes inicialmente propostos pela Comissão Europeia. As (más) prioridades políticas são confirmadas. Veja-se o exemplo do combate ao desemprego entre os jovens. A maioria do Parlamento afirmava e afirma, demagogicamente, que se trata de uma prioridade. Os deputados do PCP apresentaram uma proposta de alteração à Iniciativa para o Emprego dos Jovens, no âmbito do Fundo Social Europeu (FSE), defendendo o aumento desta rubrica em mais de 1 500 milhões de euros. A proposta definia como objetivo central o financiamento específico da criação de emprego com direitos para os jovens e que estas verbas não poderiam em caso algum financiar empresas públicas ou privadas, ou mesmo serviços públicos, no estabelecimento de contratos precários, estágios não remunerados e a substituição de trabalhadores com vínculo permanente por outros com vínculo precário ou por estágios profissionais. A maioria votou contra. Na retórica, defendem o combate ao desemprego juvenil mas, na prática, rejeitam a mobilização de mais fundos para atenuar a verdadeira chaga social que é hoje o desemprego dos jovens.
Willy Meyer (GUE/NGL), por escrito. − He votado en contra de este proyecto de presupuesto, porque supone la implementación de la política de austeridad a nivel de las instituciones europeas. En un contexto de crisis, y ante la evidencia de la política de austeridad implementada en los países del sur de Europa, la política de austeridad está siendo el mecanismo para la destrucción del estado del bienestar; el capital financiero es el único beneficiado de esta destrucción. El presupuesto votado acepta los recortes propuestos por el Consejo excepto algunas partidas que incluso incrementan, entre ellas la partida para dedicar más fondos a FRONTEX. El Parlamento aprueba más fondos para los muros de Europa Fortaleza y menos para su interior. Se trata del "austericidio" de la economía europea en nombre de los intereses financieros. Por ello he votado en contra de este proyecto de presupuesto.
Kay Swinburne (ECR), in writing. − Many of our constituents have had to practise sensible, careful long-term management of their finances in the wake of Europe’s financial crisis. Yet, despite the votes here in Parliament today, agreement on a large proportion of the European Union’s budgeting, including our crucial long-term budget for 2014-2020, is still pending. We must prove to our constituents that Parliament can use the opportunity it has to negotiate annual and long-term budgets in order to secure smart and targeted spending of taxpayers’ money, to deliver on growth and job creation.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. − Apresentámos uma proposta para aumentar as rubricas do orçamento destinadas à coesão económica e social – no mínimo, a sua duplicação relativamente aos valores actuais. As contribuições para este aumento deviam resultar do aumento das comparticipações dos Estados-Membros com maior RNB e maior rendimento per capita. A maioria rejeitou esta proposta. Defendemos que o aumento do orçamento deveria promover o fortalecimento e a modernização dos sistemas produtivos dos Estados-Membros, em particular dos que enfrentam maiores dificuldades económicas, como é o caso do nosso país, prestando um apoio especial às micro, pequenas e médias empresas, ao setor cooperativo e aos programas das autoridades locais. E que estes programas deveriam combater o desemprego e criar empregos com direitos, garantindo a manutenção dos empregos existentes, promovendo a educação e a formação, o reforço dos serviços públicos e das infraestruturas essenciais para os países em geral. A maioria votou contra. Defendemos ainda a urgência de lançar as bases de um programa global da UE para apoiar a economia dos países com maiores dificuldades económicas. Mais uma vez, a maioria votou contra. Os atos contam mais do que as palavras.
13.2. Eiropas Savienības 2014. finanšu gada vispārējā budžeta projekts - visas iedaļas (A7-0328/2013 - Monika Hohlmeier, Anne E. Jensen)
Peter Jahr (PPE). - Herr Präsident! Ich habe dem Bericht zugestimmt, möchte aber trotzdem meinem Unmut ein klein wenig freien Lauf lassen. Ich bin lange genug in der Politik und ich weiss, dass man auch hart verhandeln muss, dass man Kompromisse machen muss und dass ein gegenseiter Abwägungsprozess stattfinden muss. Das gilt insbesondere auch für Haushaltsberatungen, und ich möchte insbesondere die Kommission, aber ganz besonders auch den Rat auffordern, sich endlich auch an die geschlossenen Kompromisse, an die geschlossenen Vereinbarungen, die im Haushalt stehen, zu halten. So wie wir jetzt die Finanzperiode zu Ende bringen, können wir nicht weitermachen. Das, was beschlossen ist, muss gelten. Ansonsten fällt irgendwann die Geschäftsgrundlage weg, und wir können uns die Haushaltsberatungen letztendlich sparen. Also bitte, lieber Rat, haltet Euch an das, was wir gemeinsam vereinbart haben, und haltet Euch an das, was im Bericht steht!
Seán Kelly (PPE). - A Uachtaráin, ar dtús ba mhaith liom a rá go raibh mé i bhfabhar na tuarascála seo agus vótáil leis an ngrúpa mionlach i mbeagnach gach aon leasú. Ach an pointe is tábhachtaí – inné dúirt ceannaire mo ghrúpa féin, EPP, Joseph Daul, go raibh locht mór ar an gComhairle sa tslí agus go bhfuil siad ag iompar maidir leis an gCoimisiún agus maidir leis an bParlaimint agus nach bhfuil sé féaráilte in aon chor de bheith ag ligint orthu go bhfuil siad ag tabhairt airgid do thionscnaimh agus ansin nach mbíonn an t-airgead ar fáil. Ar deireadh báire, bíonn na tionscnaimh sin críochnaithe agus ní fhaigheann siad aon íocaíocht. Ní féidir é sin a cheadú agus caithfimid gach brú is féidir linn a chur ar an gComhairle a bheith macánta agus an t-airgead atá geallta a thabhairt dúinn chomh luath agus is féidir.
Bernd Posselt (PPE). - Herr Präsident! Sie haben vorhin die Kollegin Šuica aufgerufen. Die ist erstens neu, weil sie aus Kroatien ist, und zweitens war der Name nicht ganz korrekt zu verstehen. Ich würde darum bitten, ihr das Wort zu erteilen, sie ist da.
Der Präsident. − Das werde ich am Ende der Stimmerklärungen tun. Ich hätte sie noch gefragt.
Filip Kaczmarek (PPE). - Panie Przewodniczący! Głosowałem za przyjęciem budżetu na rok 2014. Jestem zadowolony, że poprawki w sprawie projektów pilotażowych w Afryce zostały poparte podczas głosowania. Dzięki temu możliwe będzie przeznaczenie środków na wdrażanie konkretnych projektów pilotażowych. Jeden z nich dotyczy budowania i umacniania lokalnego partnerstwa w celu rozwoju gospodarki społecznej i tworzenia przedsiębiorstw społecznych w Afryce Wschodniej. Działania te mają na celu wsparcie strategii Unii Europejskiej w zakresie zwalczania ubóstwa poprzez generowanie wzrostu gospodarczego. Obejmują one także świadczenia bezstronnej i niezależnej pomocy humanitarnej dla osób szczególnie narażonych. Kolejny projekt jest związany z aktywnym zarządzaniem dzikimi pastwiskami w Kenii, Ugandzie i Tanzanii. Podjęte w ramach ich realizacji działania mają skupić się na pomocy dla pasterstwa – sektora, który odgrywa w tym regionie niezwykle ważną rolę. Ostatni projekt dotyczy umocnienia usług weterynaryjnych w krajach rozwijających się. Jest to również bardzo ważne dla zwiększenia ich bezpieczeństwa żywnościowego.
Bernd Posselt (PPE). - Herr Präsident! Ich habe im Prinzip für den Bericht gestimmt, obwohl er einen schweren Fehler enthält. Es wird nämlich dazu aufgefordert, das Europäische Parlament auf dem Weg zu einem einzigen Sitz zu unterstützen. Diesen einen einzigen Sitz gibt es längst, das ist Straßburg. Wir müssten diesen Sitz nur entsprechend nutzen, dann würden wir riesige Summen sparen und könnten ohne Vertragsänderung den Wanderzirkus weitgehend beenden, der nämlich nicht durch Straßburg, sondern durch Brüssel entsteht.
Dubravka Šuica (PPE). – Gospodine predsjedniče, ne znam kako je došlo do ovog sporazuma. U svakom slučaju želim još jedanput objasniti svoje stajalište i stajalište naše delegacije oko budžeta 2014. godine.
Dobro je da je Parlament usvojio budžet za 2014. godinu, a ono što želim posebno naglasiti je da su nakon pristupanja Hrvatske u prvoj godini velika sredstva omogućena za zapošljavanje mladih, pa i onaj poseban program koji se odnosi na garanciju za mlade. Također, što je prepoznato malo i srednje poduzetništvo kao jedna vrlo važna karika u gospodarstvu i rješavanju krize i isto tako pozdravljam veća sredstva za obrazovanje koja su predviđena u ovom proračunu.
Nadam se da će doći do konzultacija između Vijeća i Parlamenta i da će se ova naša pozicija Parlamenta potvrditi i da ćemo svi na kraju biti zadovoljni.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. − Aprovo o presente Relatório, ainda que precisemos de saber se a Comissão calculou o impacto da inclusão acordada de recursos específicos que constam do acordo sobre o QFP, do aumento proposto nas taxas de cofinanciamento para aqueles Estados-Membros que experimentam ou estão ameaçados por graves dificuldades no que respeita à sua estabilidade financeira e o impacto do alargamento por um ano do período automático de não pagamento para alguns Estados-Membros. A meu ver, estes elementos são essenciais para o futuro Quadro. Lamento, ainda, que a Comissão tenha tomado como base para o pré-financiamento o nível que foi acordado pelo Conselho Europeu em fevereiro de 2013, uma questão que está sujeita às negociações setoriais institucionais em curso, em que o Parlamento Europeu tem direito de codecisão, correndo assim o risco de prejudicar o resultado dessas negociações. Acabo por relembrar que o pré-financiamento é essencial uma vez que os Estados-¬Membros e as regiões precisam de financiamentos suficientes no início do período para investir em projetos que contribuirão para os esforços tendentes a superar a atual crise económica e financeira. A este propósito, reitero a posição da Comissão do Desenvolvimento Regional de optar pelas mesmas taxas de pré-financiamento que no período atual.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), raštu. − Balsavau už rezoliuciją dėl Europos Sąjungos 2014 finansinių metų bendrojo biudžeto projekto. Reikia pabrėžti, kad 2014 m. biudžeto prioritetai yra tvarus augimas, konkurencingumas, darbo vietų kūrimas ir kova su jaunimo nedarbu, taip pat ES vaidmuo pasaulyje. Mes, Europos Parlamento nariai, nepritariame Europos Sąjungos Tarybos siūlymui sumažinti 2014 metų ES biudžeto išlaidas moksliniams tyrimams, užimtumui, skaitmeninei darbotvarkei, kadangi šios sritys yra labai svarbios ekonomikos augimui užtikrinti ir siūlome šioms sritims skirti papildomai 34 mln. eurų. Nepritariame ir ES Tarybos siūlymui 250 mln. eurų sumažinti paramą Artimiesiems Rytams ir pabėgėliams, nes taikos ir politinio stabilumo užtikrinimas Artimuosiuose Rytuose yra svarbi ES užsienio politikos dalis. Taip pat siūlome, kad būtų padidintos lėšos biudžete ES išorės sienų valdymo agentūrai FRONTEX, nes būtini pakankami ištekliai, reikalingi sistemos EUROSUR, kaip visos Europos sienų stebėjimo sistemos, taikymui. Šios sistemos pagalba galima sumažinti nelegalių migrantų, patenkančių į ES, ir jūroje žūstančių nelegalių migrantų skaičių. Taip pat tai padės užkirsti kelią tarptautinei nusikalstamai veikai. Lyginant su 2013 m. ES biudžetu, įsipareigojimams siūlome skirti 8,1 mlrd. eurų mažiau, o mokėjimams – 4,3 mlrd. eurų mažiau. Be to, manau, kad Europos Parlamentas ir Taryba siekdami užtikrinti ilgalaikį biudžeto taupymą turi parengti perėjimo prie vienos būstinės (single seat) planą.
Roberta Angelilli (PPE), per iscritto. − Ribadisco oggi la mia posizione decisa a tagliare i costi e gli sprechi relativi alla doppia sede di Bruxelles e Strasburgo. E' del tutto irrazionale questo ''doppione'' che viene pagato sia a livello economico che in termini di organizzazione del lavoro. I costi stimati per la doppia sede ammontano a circa 180 milioni di euro con emissioni di CO2 tra 11.000 e 19.000 tonnellate ogni anno. Accolgo con favore quindi la posizione espressa di recente in commissione AFCO: bisogna trovare, infatti, il modo di eliminare gli sprechi e razionalizzare la gestione delle risorse. E' arrivato il momento di riconsiderare questo spreco di risorse inspiegabili soprattutto in un periodo di crisi, iniziando un processo di revisione dei Trattati. Ritengo importante anche che i deputati, in situazione di crisi finanziaria, siano assoggettati a un contributo di solidarietà sugli emolumenti, al pari di tutti i funzionari.
Sophie Auconie (PPE), par écrit. – J’ai voté pour ce rapport qui envoie un message clair au Conseil au sujet du projet de budget général de l’Union Européenne pour l’année 2014. Il s’agissait de rappeler au Conseil quelles sont nos priorités pour le budget 2014, et notamment une croissance économique durable, la création d’emploi ou encore la lutte contre le chômage des jeunes, mais aussi de parvenir à ce qu’un budget de niveau suffisant et réaliste soit établi.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. − Pritariau šiai rezoliucijai. Tarybos pozicija dėl 2014 m. biudžeto neatitinka politinio susitarimo dėl 2014–2020 m. daugiametės finansinės perspektyvos bei Europos Parlamento prioritetų. Europos Parlamentas savo ankstesnėse rezoliucijos yra išreiškęs nuomonę, jog 2014 m. biudžeto prioritetai yra ekonomikos ir tvarus augimas, konkurencingumas, darbo vietų kūrimas ir kova su jaunimo nedarbu. Taryba turi susitarti dėl ateinančių metų biudžeto ir užtikrinti jog įsipareigojimai ir mokėjimai atitiktų realybę ir finansavimo poreikius, kad būtų galima laiku pradėti įgyvendinti numatytas programas. Pritariu, jog Tarybos siūlomas biudžetas negalės užtikrinti pakankamo ir tinkamo mokėjimų lygio 2014 m.
Erik Bánki (PPE), írásban − Az Európai Parlament plenáris ülése a mai napon elfogadta a 2014. évi uniós költségvetés parlamenti olvasatát. A képviselők a 2014–2020-as időszak első költségvetésének kötelezettségvállalási szintjét 142,6 milliárd euróban, a kifizetési előirányzatokat pedig 136,1 milliárd euróban határoznák meg. Ezzel az Európai Parlament a Tanács álláspontjához képest mintegy 1,1 milliárd euróval költene többet a közösségi programokra. A jelentést a fenti okoknál fogva szavazatommal támogattam.
Jean-Luc Bennahmias (ALDE), par écrit. – Alors que le cadre financier pluriannuel n'est pas encore finalisé, nous avons donné notre avis sur le budget 2014. J'ai voté pour ce rapport qui rétablit une partie des crédits (tels que proposés par la Commission mais que le Conseil a coupé) : sur le programme de financement des PMEs (COSME), la garantie jeunesse ou le programme d'aide aux plus démunis. Je m'associe à ce rapport qui déplore les coupes effectuées par le Conseil. Quelle est la cohérence entre les discours des conseils européens et la réalité des négociations budgétaires durant lesquelles chaque Etat membre cherche à "payer moins"? Même si les crédits sont rétablis au final, ce projet reste un budget d'austérité qui ne permettra pas de faire face aux défis. Avec un budget représentant 1% du PIB européen, comment peut-on penser que l'Union remplira ses objectifs, notamment en termes de croissance, d'emploi et de transition énergétique? Nous avons besoin d'un budget basé sur des ressources propres qui promeuve une harmonisation sociale et fiscale progressive.
Mara Bizzotto (EFD), per iscritto. − La relazione indica un'incapacità di gestione della spesa dell'Unione europea e per questo motivo non ho votato a favore del testo.
John Bufton (EFD), in writing. − I voted against the report on the draft general budget of the European Union for the financial year 2014 - all sections.
My party is against the vast majority of measures this report outlines, including allocating more money to the European Social Fund, the European Regional Development Fund, Intelligent Energy Europe Programme II and action on climate change. We are completely against allocating an additional EUR 1 billion for sustainable rural development, an extra EUR 2 million for Frontex, an extra EUR 34 million for the Common European Asylum System, an additional EUR 40 million for the asylum and migration fund, a further EUR 80 million for sustainable energy and an additional EUR 100 million for the EU Globalisation Adjustment Fund. In short, we are against all increases in payments and the increased commitment of the UK to the EU that these payments represent.
Alain Cadec (PPE), par écrit. – J'ai soutenu l'adoption du rapport Jensen et Hohlmeier concernant l’approbation par le Parlement du budget 2014 de l'Union européenne, tel que proposée par la Commission européenne. Le budget est de 142,467 milliards d'euros en crédits d'engagement et de 136,065 milliards d'euros en crédits de paiement. Il reflète les contraintes budgétaires pesant sur les finances des États membres. Pour autant, alors même que ce budget est en baisse de 6% par rapport au budget 2013, les actions prioritaires de l'Union européenne n'ont pas été sacrifiées. Ainsi, le budget 2014 accordera une importance particulière sur les mesures à déployer pour l'emploi des jeunes, notamment sur le nouveau programme de financement de la recherche et de l'innovation pour la période 2014-2020 (horizon 2020) et sur le programme pour la compétitivité des entreprises(COSME).
Maria Da Graça Carvalho (PPE), por escrito. − Congratulo-me com o orçamento da União Europeia para 2014, hoje aprovado, que reverte os cortes feitos pelo Conselho em áreas que considero vitais para a recuperação económica, como a agenda digital, a inovação, o empreendedorismo e o emprego jovem. O Parlamento Europeu propõe um orçamento de 142,6 mil milhões de euros em autorizações e de 136,1 mil milhões de euros em pagamentos para 2014. Os montantes propostos pelo Conselho de Ministros da UE são 141,8 mil milhões de euros em autorizações e 134,8 mil milhões em pagamentos (uma redução de, respetivamente, 240 milhões e de 1,06 mil milhões de euros em relação ao projeto de orçamento apresentado pela Comissão Europeia para 2014). Temos agora 21 dias de conciliação para negociar um acordo com o Conselho.
Ole Christensen, Dan Jørgensen, Christel Schaldemose, Britta Thomsen og Emilie Turunen (S&D), skriftlig. − Vi, de danske socialdemokrater i Europa-Parlamentet, stemte imod ændringsforslag 66 til beslutningsforslaget om budgetforslaget for regnskabsåret 2014. Vi er fuldstændig enige i ændringsforslagets budskab om, at der skal føres streng kontrol med godtgørelsen for generelle udgifter (General Expenditure Allowance), og at denne udelukkende skal gå til lovlige formål. Vi er dog bekymrede for det store bureaukratiske kaos, som en revision internt i Parlamentet af alle udgifter uden loft ville medføre. I stedet opfordrer vi til, at medlemmerne sørger for revisionen af midlerne, og at dette sker på årlig basis, da det er strengt nødvendigt, at midlerne går til lovlige formål som fastlagt i Parlamentets regler.
Minodora Cliveti (S&D), în scris. − Proiectul de buget pe 2014, care prevede credite de angajament în valoare de 142,01 miliarde de euro și credite de plată în valoare de 135,9 miliarde de euro, este cu 6% mai mic decât bugetul din 2013. Fondurile disponibile în Cadrul Financiar Multianual pentru Inițiativa privind ocuparea forței de muncă în rândul tinerilor vor fi concentrate anticipat în primii 2 ani pentru a combate șomajul în rândul tinerilor. Statele membre trebuie să absoarbă eficient și rapid fondurile disponibile pentru acest instrument și să vină cu programe nebirocratice de combatere a șomajului în rândul tinerilor, cât mai curând posibil. Comisia trebuie să clarifice modul în care vor fi utilizate creditele destinate combaterii șomajului în rândul tinerilor, care vor fi sumele destinate direct garanției pentru tineret și ce metodă va fi folosită pentru marjele anuale în acest scop. De asemenea, ţinând cont de creșterea abruptă a șomajului în rândul tinerilor, avem nevoie de noi credite pentru acțiunea pregătitoare „Tineretul în mișcare”. Totodata, trebuie acordat un sprijin sporit pentru axa EURES, cu scopul de a facilita accesul tinerilor șomeri la locurile de muncă disponibile în alte țări și de a oferi consultanță lucrătorilor mobili și angajatorilor prin intermediul parteneriatelor transfrontaliere.
Lara Comi (PPE), per iscritto. − Questo progetto di bilancio segue le forti critiche da parte del Parlamento alle modifiche che il Consiglio ha cercato di proporre: è normale che, in tempi di crisi soprattutto per le finanze pubbliche, gli Stati Membri cerchino di risparmiare ovunque possibile, ma alcuni tagli erano, per noi, inaccettabili. Non si può pensare di non onorare gli impegni presi, o di smettere di investire sullo sviluppo. Io ho votato con convinzione per affermare la linea del Parlamento, pur nella consapevolezza che tutti dobbiamo stringere la cinghia.
Ricardo Cortés Lastra (S&D), in writing. − The European Parliament has adopted a responsible budget for 2014 that honours our values of solidarity and our commitments to developing countries. With its adopted position, the European Parliament has strongly rejected the radical cuts proposed by the Conservative majority of the Members States and the European Commission. We have ensured sufficient funding levels for the Development Cooperation Instrument, the humanitarian aid budget lines and the Emergency Aid Reserve, as well as for the EIDHR, which supports our increasingly human rights-based approach to development cooperation. An increase of EUR 200 million in respect of last year's budget for the external action of the European Union, especially as regards development cooperation and humanitarian aid, is not a waste of resources, but an investment in the world's future. We will be able to help more than 150 million people in Syria, Haiti, Egypt, Latin America, Africa and Asia. The European Parliament will keep fighting for a progressive Europe, the one I believe in, the Europe that we all pursue, a Europe that does not turn its back on those in greatest need and on the challenges of eradicating poverty and inequality.
Emer Costello (S&D), in writing. − The Commission’s draft budget for 2014 proposed an initial amount of EUR 250 million in funding to the United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees for 2014 under the budget line ‘financial assistance to Palestine, the peace process and UNRWA’. As an average since 2006, the budget line reaches a minimum of EUR 350 million per year. UNRWA has been under increased pressure of late due to the conflict in Syria and its impact on Palestinian refugees in Palestine, Lebanon and Jordan. The organisation has had to stretch its resources even further due to the impact in Gaza of the Egyptian crisis and developments in the West Bank. Consequently, I strongly supported the proposal by Parliament’s committees to increase this amount by EUR 50 million. However, the proposal to put the additional EUR 50 million in reserve ‘pending the positive outcome of a Commission report on the sound management of EU funds by the Palestinian authorities’ would have seriously threatened the provision of EU support to Palestinians in general, and in particular to refugees, at a crucial time when UNRWA faces multiple challenges. As Chair of the Delegation for relations with the Palestinian Legislative Council, I am acutely aware of the sterling work done by UNRWA, and I welcome the outcome of the vote.
Rachida Dati (PPE), par écrit. – En votant ce texte, le Parlement affirme clairement sa position: nous refusons d'amputer la croissance et l'emploi en Europe en 2014, le budget européen doit être rétabli sans les coupes contre-productives que cherchent à imposer les États membres. Je suis confiante que le Parlement et les États membres, qui vont désormais entamer la conciliation sur ce projet de budget, parviendront à trouver un compromis pour le bénéfice de tous les Européens.
Diane Dodds (NI), in writing. − Mr President, in the context of what is a more restrained budget – albeit a budget that is still vast and still offers opportunities to reduce wasteful spending – it is welcome to see the priority given in sections of the budget to measures that can be of real benefit to our constituents in this time of economic difficulty. At a time when unemployment – particularly among our youth – is a massive challenge, the task of government, whether at Member State level or here in the EU institutions, ought to be to direct resources towards job creation, growth, innovation and driving our economy, through further research and development.
I also welcome moves to increase transparency in how money is spent, including our own budgets as MEPs, and I was supportive of those amendments. When we are entrusted with public money, we have a responsibility to spend it wisely and appropriately.
Jill Evans (Verts/ALE), in writing. − I abstained on this draft general budget for 2014 as it is an austerity budget, even though headway has been made in certain areas. Wales benefits a great deal from European funding, and any budget cuts would only have a detrimental effect on that funding coming to Wales.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − O orçamento de 2014 deve procurar responder aos desafios que se apresentam à União Europeia nesta fase preocupante em que enfrenta uma grave crise económica e financeira que ameaça agravar as diferenças entre o centro e as periferias. São conhecidos os fracos resultados da estratégia de Lisboa e o modo como, apesar das proclamações, a União não se transformou numa economia pujante, alicerçada no conhecimento. As principais prioridades de hoje são, seguramente, o crescimento e o emprego, sem os quais nada será possível. É importante não descurar o problema de inversão da pirâmide demográfica que ameaça pôr em causa os nossos sistemas sociais e a capacidade orçamental dos Estados-Membros e da própria União. Um orçamento para a Europa deve atentar nestas questões e procurar usar o dinheiro que é dos cidadãos de forma rigorosa e razoável. Todas as instituições europeias devem agir construtivamente e em estreita cooperação para que assim seja. Lamento que o Conselho não demonstre maior compreensão para as necessidades concretas de operacionalidade da União Europeia e pretenda cortar, excessivamente, o orçamento comunitário.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. − O orçamento de 2014 é o primeiro do Quadro Financeiro Plurianual (QFP) 2014/2020 e, neste sentido, devia estar de acordo com a sua orientação. Este orçamento pretende o crescimento económico sustentável, a competitividade, a criação de emprego e a luta contra o desemprego dos jovens, bem como o papel da UE no mundo. Insisto no apoio às políticas que contribuam para o combate ao desemprego dos jovens, a investigação, o desenvolvimento e a inovação, a agenda digital, a competitividade, as pequenas e médias empresas (PME). Lamento a decisão do Conselho que consiste em introduzir cortes horizontais no projeto de orçamento, tendo em vista reduzir artificialmente o nível de recursos da União para 2014 num montante total de 240 milhões de euros (-0,2%) em dotações para autorizações e de 1 061 milhões de euros (-0,8%) em dotações para pagamentos em comparação com o projeto de orçamento, o que se traduz, portanto, numa descida significativa relativamente ao orçamento de 2013 (incluindo os orçamentos retificativos n.ºs 1 a 5), tanto em autorizações (-6%) como em pagamentos (-6,6%). O PE propõe fixar o nível global das dotações para 2014 em 142 625 milhões de euros e 136 077 milhões de euros em autorizações e pagamentos, respetivamente.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − A crise dá razão aos que, como nós, têm afirmado que a solidariedade é um conceito estranho à UE. A demonstrá-lo aqui está o processo do orçamento da UE. Apresentámos uma proposta para aumentar as rubricas do orçamento destinadas à coesão económica e social – no mínimo, a sua duplicação relativamente aos valores atuais. As contribuições para este aumento deviam resultar do aumento das comparticipações dos Estados-Membros com maior RNB e maior rendimento per capita. A maioria rejeitou esta proposta. Defendemos que o aumento do orçamento deveria promover o fortalecimento e a modernização dos sistemas produtivos dos Estados-Membros, em particular dos que enfrentam maiores dificuldades económicas, como é o caso do nosso país, prestando um apoio especial às micro, pequenas e médias empresas, ao setor cooperativo e aos programas das autoridades locais. E que estes programas deveriam combater o desemprego e criar empregos com direitos, garantindo a manutenção dos empregos existentes, promovendo a educação e a formação, o reforço dos serviços públicos e das infraestruturas essenciais para os países em geral. A maioria votou contra. Defendemos ainda a urgência de lançar as bases de um programa global da UE para apoiar a economia dos países com maiores dificuldades económicas. Mais uma vez, a maioria votou contra.
Carlo Fidanza (PPE), per iscritto. − Accolgo con favore questa proposta di risoluzione della commissione per i bilanci per l'esercizio 2014. Ci tengo a sottolineare l´importanza del voto favorevole al paragrafo 90, una presa di posizione netta contro lo la doppia sede parlamentare, causa di un inutile e ingiusto spreco di denaro dei contribuenti e di tempo. Già con la decisione, poi rigettata dalla Corte di Lussemburgo per l'anno 2013, di accorpare due sessioni in una sola avevamo dato una dimostrazione della nostra volontà; è assurdo però che il Parlamento non abbia il potere di decidere sulla propria organizzazione, ovvero dove riunirsi e quando. Inoltre, la doppia sede ha anche un impatto a livello ambientale, minando gli obiettivi e la credibilità dell´Europa sulla questione climatica.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. − Za priority rozpočtového roku 2014 možno považovať hospodársky a udržateľný rast, konkurencieschopnosť, tvorbu pracovných miest, č boj proti nezamestnanosti mladých. Rada zaviedla škrty vo viazaných rozpočtových prostriedkoch aj v platobných rozpočtových prostriedkoch vo všetkých okruhoch, čo je však v rozpore s politickou dohodou o VFR o vyčlenení rozpočtových prostriedkov na úvod obdobia čerpania. Európsky parlament teda stanovil celkovú výšku rozpočtových prostriedkov na rok 2014 na 142 625 mil. EUR vo viazaných rozpočtových prostriedkoch a na 136 077 mil. EUR v platobných rozpočtových prostriedkoch. Je dôležité, aby bolo vynaložené patričné úsilie o efektívne využitie rozpočtu a všetky oblasti z neho financovane mali zrejmú európsku pridanú hodnotu.
Ildikó Gáll-Pelcz (PPE), írásban − Üdvözlöm az Európai Unió 2014-es pénzügyi évre vonatkozó általános költségvetés-tervezetéről szóló BUDG-jelentést. Mint az IMCO szakbizottság rapportőre örülök annak, hogy javaslatainkat szinte teljes egészében sikerült beépíteni e jelentésbe. Gratulálok Jenssen és Hohlmeier asszonynak nagyszerű koordinációs munkájukért. Összességében úgy vélem, hogy számunkra nem maradt vitás pont.
Elisabetta Gardini (PPE), per iscritto. − Con il voto di oggi, il Parlamento ha respinto i tagli effettuati dal Consiglio al progetto di bilancio generale dell´Unione per il 2014 proposto dalla Commissione europea. Per quanto riguarda l´agenda digitale, la ricerca, l´imprenditorialità e le misure per l´occupazione giovanile, gli stanziamenti proposti dalla Commissione sono stati reintrodotti nel progetto, prevedendo un supplemento di 34 milioni di euro. Lo stesso è avvenuto in materia di aiuti al Medio Oriente e ai rifugiati, laddove il Parlamento ha deciso per un supplemento di 50 miliardi. Gli emendamenti apportati sono frutto di un approccio responsabile del Parlamento al bilancio per l´esercizio 2014: si è tenuto debito conto delle difficoltà finanziarie che gli Stati membri stanno attraversando. Il bilancio per il 2014, così emendato, vedrà, in ogni caso, una riduzione del 6% degli stanziamenti rispetto al 2013. Il mio auspicio è che nel corso del processo di conciliazione tra Consiglio e Parlamento, destinato a concludersi il 13 novembre, si raggiunga una posizione condivisa e non un compromesso al ribasso rispetto alla proposta votata oggi.
Robert Goebbels (S&D), par écrit. – Je me suis abstenu lors du vote sur les recettes du budget 2014 pour protester contre la politique irresponsable du Conseil des ministres, qui semble s'inspirer du "Tea party" américain pour empêcher un fonctionnement normal des institutions européennes. Tant le budget pour 2014 que les perspectives financières jusqu'en 2020 constituent une régression des politiques européennes. L'Union européenne est en voie de renationalisation, alors que les États nationaux comptent de moins en moins au niveau mondial.
Nathalie Griesbeck (ALDE), par écrit. – Si le budget est en recul, ce que je déplore, il conserve néanmoins des objectifs ambitieux en termes de politiques de croissance, notamment via le financement du prometteur agenda numérique et du programme COSME dédié aux PME. Je me félicite tout particulièrement du vote de la garantie jeunesse, arme permettant de lutter contre le chômage des jeunes, et du vote sur le programme d'aide aux plus démunis, essentiel en ces temps de crise où les plus pauvres sont particulièrement exposés. J'ai enfin soutenu une nouvelle fois le siège de Strasbourg qui, n'en déplaise à certains, est le siège officiel du Parlement européen.
Marian Harkin (ALDE), in writing. − I voted to support this report on the budget for 2014. In particular, I voted against subsidies for tobacco growing. In the light of Parliament’s recent vote on tobacco it would not have been reasonable to support subsidies to growers. I also supported funding for combating violence against young people and women. I was delighted to support the European Globalisation Adjustment Fund. Now that trialogues have finished, I hope we can get full parliamentary support for the fund.
Anna Hedh, Olle Ludvigsson, Jens Nilsson och Marita Ulvskog (S&D), skriftlig. − Vi anser att landsbygdsutveckling är en mycket viktig del av EU:s budget. Vi är dock övertygade om att man måste minska på både jordbruks- och exportstödet till förmån för områden som kan skapa tillväxt och arbetstillfällen, såsom forsknings- och utvecklingsprogram, Erasmus och socialfonden. Vi ser även gärna en minskad finansiering av ITER och liknande energiprogram för att bättre kunna bekämpa ungdomsarbetslöshet samt bekosta humanitärt bistånd till krisdrabbade länder.
Vidare anser vi det viktigt att effektivisera och reducera EU:s administrativa utgifter, av vilken anledning vi välkomnar de budgetar för EU:s institutioner som håller sig under inflationstakten. I detta sammanhang välkomnar vi även kravet på ett enda säte för Europaparlamentet, Bryssel eller Strasbourg, vilket på sikt skulle ge avsevärda besparingar jämfört med idag. Slutligen vill vi understryka att arbetet med att göra ytterligare besparingar i EU:s budget måste fortsätta.
Eduard-Raul Hellvig (ALDE), în scris. − Uniunea Europeană este adesea criticată pentru că nu face destul pentru cetățenii săi și nu aduce răspunsuri adecvate pentru criza economica și alte probleme care constituie preocupările principale ale europenilor. În ultima perioadă, am lucrat împreuna la o serie de programe multianuale cu caracter strategic și cu măsuri ambițioase prin care să readucem UE pe calea creșterii economice și pentru a reda industriei europene competitivitatea de care are nevoie pe piața mondială. Mă refer aici în special la programe precum COSME, dedicat IMM-urilor sau la „Orizont 2020”, program care va sprijini cercetarea și inovarea.
La nivel politic, există un consens asupra necesitații acestor programe. Nu putem însă, pe de o parte să ne fixam niște obiective, iar pe de altă parte să tăiem creditele necesare bunei funcționări a acestor programe, așa cum reiese din poziția Consiliului asupra bugetului 2014. Același lucru poate fi spus și în ce privește bugetul FRONTEX, agenție care are nevoie de bani pentru a-și îndeplini rolul. Cred că e nevoie de seriozitate și consecvență în această privință, fapt pentru care nu pot decât să susțin propunerea Comisiei pentru Bugete de a reveni la sumele propuse de către Comisia Europeană pentru liniile bugetare respective.
Jim Higgins (PPE), in writing. − Our budget needs to strike a balance between allowing the Members of the House to carry out their work – in their languages – and the need to make savings and show restraint at this time of global economic crisis. The best savings are those which can be implemented without employing additional administrative staff, such as our work towards a paperless Parliament, our buildings policy and the internalisation of the EP security staff.
I welcome the commitment appropriations and the mobilisation of the Flexibility Instrument, bringing fresh money (EUR 50 million) for humanitarian aid and for Heading 1b (EUR 223 million) for the Fund for European Aid to the Most Deprived (FEAD), as well as the additional allocation under the Structural Funds for Cyprus. It is extremely important that the EU should accept its responsibility as a global power and therefore as a global provider of humanitarian aid.
Brice Hortefeux (PPE), par écrit. – Le Parlement européen a adopté le projet de budget 2014 de l'Union européenne revu à la baisse afin de tenir compte des impératifs budgétaires nationaux. Cependant, toute baisse ne doit pas tourner à l'obsession, voire à la déraison. Nous avons frôlé la cessation de paiement pour l'exercice 2013. Je ne pense pas que les citoyens rejettent les institutions au point d'accepter une telle situation qui menace concrètement les activités des entreprises, des régions, des centres de recherche, des organisations qui ne peuvent, de ce fait, plus financer leurs projets et les emplois qui en dépendent. Je déplore par ailleurs, qu'une nouvelle fois, un amendement sur le siège unique du Parlement européen ait été déposé et approuvé par 75% des votants sans tenir compte des décisions de la Cour de Justice de l'Union européenne et des Traités qui les engagent. Si les députés européens les premiers ne se conforment pas aux Traités, à qui donc peut-on en demander le respect?
Juozas Imbrasas (EFD), raštu. − Nepritariau balsuodamas dėl ES Tarybos siūlymo sumažinti 2014 m. ES biudžeto išlaidas moksliniams tyrimams ir užimtumui. Parlamentas pasiūlė, kad 2014 m. ES biudžeto įsipareigojimai sudarytų 142,6 mlrd. eurų (ES Taryba siūlė 141,8 mlrd. eurų), o mokėjimai – 136,1 mlrd. eurų (ES Taryba siūlė 134,8 mlrd. eurų). Palyginti su šių metų ES biudžetu, įsipareigojimams siūloma skirti 8,1 mlrd. eurų mažiau, o mokėjimams – 4,3 mlrd. eurų mažiau. Tokiose srityse kaip skaitmeninė darbotvarkė, moksliniai tyrimai, verslumas ir jaunimo užimtumas, kurios prisideda prie ekonomikos augimo, nepritariau ES Tarybos siūlymui sumažinti finansavimą 629 mln. eurų. Manau, kad reikia skirti šioms sritims papildomų lėšų. Taip pat esu įsitikinęs, kad šių metų ES biudžeto deficitas neturi būti perkeltas į kitus metus. Po šio balsavimo plenarinėje sesijoje Europos Parlamentas ir ES Taryba turi per tris savaites susitarti dėl būsimo biudžeto.
Kent Johansson, Marit Paulsen, Olle Schmidt och Cecilia Wikström (ALDE), skriftlig. − Vi är självklart helt överens med rådet om att EU:s utgifter ska hållas under strikt kontroll och att pengarna ska användas med sparsamhet och på bästa sätt. Vi har därför röstat för en ökad insyn i hur Europaparlamentets medel används samt för minskade representationskostnader för Europaparlamentet och EU-kommissionen, eftersom det är viktigt att städa framför egen dörr. Vi har även – som vanligt – röstat emot tobaksstödet samt exportbidragen för levande djur, och håller med om att ytterligare nedskärningar i budgeten kan göras i den omfattning som rådet nu kräver. Men vi menar att dessa nerskärningar måste ske mer strategiskt än vad rådet uppenbarligen har politiskt mod till att göra. Rådets modell med att använda ”osthyvel istället för tårtspade” medför i praktiken samma nedskärningar på områden som är viktiga för Europas utveckling, såsom satsningar på forskning och företagande, som inom t ex jordbruksstödet. Det är inte att använda EU:s medel på bästa sätt. För att tvinga fram tydligare prioriteringar i nedskärningarna har vi därför, som en förhandlingsposition inför den slutliga omröstningen i december, valt att inte rösta emot Europaparlamentets resolution denna gång. Istället valde vi att avstå i slutändan.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. – J'ai fait le choix de m'abstenir sur le vote de ce rapport. En votant ce rapport et en tenant compte du projet de cadre financier pluriannuel 2014-2020, le Parlement européen a adopté un budget général de l'Union pour l'exercice 2014 en baisse de 6% par rapport à 2013. Cette baisse aura un impact sur l'ensemble des domaines d'action de l'Union et il est urgent de prendre des mesures pour soutenir l'emploi des jeunes, les PME, la recherche et l'éducation. En adoptant le rapport avec 480 voix pour, 119 contre et 86 abstentions, le Parlement européen s'est prononcé en faveur d'un montant de 142,6 milliards d'euros en crédits d'engagements et 136,1 milliards d'euros en crédits de paiements en rétablissant notamment les financements supprimés par le Conseil en faveur de l'emploi, de la recherche et en ajoutant des fonds pour l'agence Frontex. Toutefois, le financement de Frontex, qui peut assurer des frontières stables de l'Union européenne, n'est pas suffisant. Ce vote ouvre une période de conciliation avec le Conseil qui doit s'achever le 13 novembre et permettre de voter le budget pour 2014-2020 lors de la prochaine session plénière (novembre 2013). Le Parlement doit rester vigilant.
Béla Kovács (NI), írásban − Az uniós költségvetés a neoliberális gazdaságpolitika gyöngyszeme, amely a válságot úgy igyekszik kezelni, hogy mindenből lefarag, aminek értelme volna, már csak a példamutatás kedvéért is.
A jelentés szinte minden bekezdése arról szól, hogy a Tanács csökkentette az adott terület támogatását, méghozzá egyes esetekben viszonylag nagy mértékben, például a gazdasági, társadalmi és területi kohézió költségvetése közel tíz százalékkal került csökkentésre.
Valójában a 2013-as költségvetéshez képest semmit sem spóroltak, ez az összeg az uniós GDP egy-tízezrelékénél is kevesebb, messze a GDP mérhetőségének hibahatára alatti, ugyanakkor az a pénz egyes programoknál nagyon is hiányozhat. A jelentés joggal kritizálja a költségvetést, így számos értelmes módosító javaslat mellett annak egészét is megszavaztam.
Agnès Le Brun (PPE), par écrit. – Le Parlement européen a adopté mercredi 22 octobre le budget de l'Union européenne pour 2014, en baisse de 6% par rapport à 2013. Nous avons néanmoins rétabli le budget au niveau de la proposition initiale de la Commission européenne et nous avons refusé les diverses coupes introduites par les États membres. Nous avons rétabli des crédits très importants, en faveur notamment de l'aide aux plus démunis ainsi que de la recherche et de l'innovation. Malgré le manque d'ambition de ce budget de 142,625 milliards d'euros en crédits d'engagements et 136,077 milliards d'euros en crédits de paiement, j'ai voté en faveur de ce texte afin de parvenir à un accord entre le Parlement européen et les États membres avant le 13 novembre, faute de quoi les nouveaux programmes et fonds européens ne pourront pas être mis en œuvre début 2014.
Bogusław Liberadzki (S&D), na piśmie. − Głosowaliśmy dzisiaj nad projektem rezolucji Parlamentu Europejskiego dotyczącej stanowiska Rady w sprawie projektu budżetu ogólnego Unii Europejskiej na rok budżetowy 2014. Jako członek Grupy Socjalistów i Demokratów opowiedziałem się za przywróceniem funduszy na rozwój gospodarczy oraz tworzenie nowych miejsc pracy, które wcześniej Rada ucięła z unijnego projektu budżetu na rok 2014. Nie można wyleczyć braku wzrostu gospodarczego oszczędnościami i cięciami finansowymi, uderzającymi np. w tworzenie nowych miejsc pracy. Pamiętajmy, że blisko 6 milionów młodych Europejczyków jest obecnie bezrobotnych. Proponowaliśmy więc zapewnienie stosownych środków na rok kolejny. Budżet na odpowiednim poziomie powinien w czasach kryzysu zwiększyć solidarność zarówno między obywatelami Unii Europejskiej, jak i między państwami członkowskimi. Sądzę również, że dodatkowe 50 milionów euro na pomoc dla Palestyny, pomoc dla uchodźców na Bliskim Wchodzie, o których dyskutowaliśmy, jest niezbędne w pokojowym rozwiązaniu problemów Bliskiego Wschodu.
George Lyon (ALDE), in writing. − Today I voted in favour of Parliament’s position on the 2014 budget. I feel this is a reasonable budget position that takes account of the difficult economic situation across the continent. It represents a 5% cut compared with 2013, and despite it being an election year we have managed to ensure a real-terms freeze in Parliament’s budget.
Ivana Maletić (PPE), napisan. − Proračun Europske unije važan je instrument provođenja zajedničkih politika. Dvije financijski najizdašnije jesu poljoprivredna i kohezijska politika kroz koje se izvršava preko 70 % europskog proračuna. Upravo ove dvije politike od posebnog su značaja za Republiku Hrvatsku kojoj je u financijskoj omotnici za razdoblje 2014. – 2020. dodijeljeno preko 8,5 milijardi eura iz kohezijske politike te dodatne 3,3 milijarde eura iz poljoprivredne politike. Izglasavanjem proračuna za 2014. omogućava se kontinuitet u izvršavanju obveza iz financijske perspektive 2007. – 2013. i čak 52 % isplata planiranih u 2014. odnosi se na raniju perspektivu. Proračun 2014. manji je za 6 % od proračuna 2013. u dijelu mogućih preuzimanja obveza, a vezano uz plan isplata smanjenje u odnosu na 2013. iznosi 6,6 %. Najmanje su se postotno smanjila izdvajanja za kohezijsku politiku, što je važno za sve države članice čiji je BDP ispod 75 % prosjeka BDP-a država članica, pa tako i za Republiku Hrvatsku. Najveće smanjenje bilježe stavke programa konkurentnosti, pa su tako sredstva za HORIZON smanjena za 13,6 %, COSME 20,6 %, a Erasmus + za 0,8 %. Erasmus + usmjeren je ispunjavanju važnih ciljeva vezano uz obrazovanje i mobilnost mladih te je pozitivno da se iznosi izdvajanja sredstava za ovaj program nisu značajno smanjili.
David Martin (S&D), in writing. − I voted against this report because I do not think an increase to the European Parliament’s budget is the response to the current crisis. I believe that money is not always well spent within the budget and we should be focusing on jobs and growth. There is scope to make the European Parliament’s budget more efficient, and this should be looked at more closely by the Parliament.
Véronique Mathieu Houillon (PPE), par écrit. – J’ai soutenu le siège du Parlement européen à Strasbourg en votant contre le paragraphe 90 concernant une feuille de route pour un siège unique du Parlement. J’ai voté en faveur du projet de budget général de l’Union européenne pour l’exercice 2014. Cette position, qui tient compte d’une diminution du budget par rapport à 2013, refuse les coupes supplémentaires voulues par les États membres. Ainsi, pour que l’Union soit un véritable levier pour conduire à une sortie de crise, il est impératif de maintenir un investissement en faveur de la croissance et de l’emploi. Nous souhaitons par ailleurs le maintien d’un financement de l’aide européenne aux plus démunis pour l’année 2014 et les années suivantes.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. – Ce rapport rejette la proposition du Conseil de budget 2014 pour l'Union. La position du Conseil est dictée par l'austérité qui s'applique dans toute l'Union en vertu du traité TSCG. Signe d'impasse, le budget 2014 est discuté alors même que le plan budgétaire pluriannuel 2014-2020, pourtant obligatoire, n'a pas été adopté par le Parlement. Concrètement, le budget proposé par le Conseil prévoit une baisse de 6 % des crédits par rapport à 2013. Tous les programmes seraient concernés: fonds pour la recherche, investissements et aides régionales, fonds sociaux dont ceux pour les plus démunis etc. Les moyens budgétaires nouveaux annoncés par M. Hollande et Mme Merkel pour 2014 en faveur des jeunes sont inexistants. Les retards de paiements 2007-2013 sont considérables: 52 % des crédits du budget 2014 couvriraient des impayés de la période 2007-2013 ! Austérité rime ainsi avec mauvaise gestion. Cette résolution a le mérite de rejeter la position désastreuse du Conseil. Mais les rapporteurs s'alignent de fait sur la proposition de budget initialement proposée par la Commission, qui est insuffisante. Le Parlement européen devrait porter une toute autre ambition d'intérêt général pour la relance de l'activité et la planification écologique en Europe. Je m'abstiens pour ne pas participer à cette décision.
Nuno Melo (PPE), por escrito. − Com a votação deste orçamento, reforçamos o apoio a áreas como o emprego, a inovação e a ajuda humanitária aos refugiados. Espero que tais reforços sejam agora ratificados pelo Conselho nas negociações que se vão seguir. Está aqui em causa um orçamento de 142,6 mil milhões de euros em autorizações e de 136,1 mil milhões de euros em pagamentos para 2014, sendo de registar que em relação ao orçamento deste ano, significa uma redução de 8,1 mil milhões de euros em autorizações e de 4,3 mil milhões de euros em pagamentos. Apesar de haver divergências com o proposto pela Comissão, julgo que este orçamento é equilibrado e vai receber a aceitação do Conselho. É importante a aposta do Parlamento em áreas vitais para a recuperação económica, como a agenda digital, a inovação, o empreendedorismo e o emprego jovem. Daí o meu voto favorável.
Willy Meyer (GUE/NGL), por escrito. − He votado en contra de este informe debido a que aprueba el proyecto de presupuesto para el ejercicio de 2014 que provocará una grave reducción de programas y proyectos fundamentales para fomentar el crecimiento en el continente. El informe recoge todas las opiniones que las diferentes comisiones del Parlamento han emitido para evaluar el presupuesto, opiniones muy favorables en general, donde los partidos mayoritarios del Parlamento han mostrado su compromiso a obedecer todo aquello que el Consejo de la Unión Europea exija a los grupos parlamentarios mayoritarios. Grupos políticos que participan en la mayoría de los Gobiernos que forman el Consejo y cuyas divergencias son meramente temporales. Por ello he votado de nuevo en contra del "austericio" que recoge este informe.
Louis Michel (ALDE), par écrit. – Je me réjouis tout d’abord que le Parlement européen ait obtenu une clause de flexibilité permettant de reporter la somme non-utilisée sur le budget annuel suivant ou encore d'une rubrique à une autre. Cette souplesse permettra à l’Union européenne de mieux adapter ses dépenses en fonction des besoins européens. Toutefois, je ne peux que regretter le refus des Etats membres d’augmenter la part des ressources allouées. Les défis s’accumulent alors que les Européens sortent progressivement de la crise. Il devient ainsi essentiel de mener des politiques de relance équilibrées pour retrouver le chemin vers la croissance. Or cette reprise ne pourra prendre place sans apport majeur du niveau européen. Comment peut-on investir dans l’avenir sans disposer de moyens appropriés? Le budget européen ne représente qu'1% du PIB européen. A titre de comparaison, le gouvernement fédéral des Etats-Unis dispose quant à lui de plus de 30% du PIB américain. La réticence des gouvernements nationaux et les négociations périlleuses entre le Parlement européen et les Etats membres soulignent la limite du système actuel. Sans un réel budget et des ressources propres, l’Union européenne sera dans l’incapacité de répondre de manière appropriée aux attentes des citoyens européens.
Miroslav Mikolášik (PPE), písomne. − Oživenie hospodárskeho rastu vo všetkých regiónoch EÚ si vyžaduje investične zameraný rozpočet podporujúci rast, zamestnanosť a konkurencieschopnosť. Rozdiely medzi regiónmi musia byť naďalej systematicky prekonávané za účelom dosiahnutia hospodárskej, sociálnej a územnej súdržnosti. Rozpočet na rok 2014 musí zohľadňovať rozpočtové očakávania regiónov a taktiež reflektovať zmeny vyplývajúce z viacročného finančného rámca na roky 2014 – 2020. Úspešné ukončenie programov predpokladá taktiež zabezpečenie financovania prijatých záväzkov za predošlé obdobie. Vo svojom hlasovaní o rozpočte na rok 2014 som podporil dostatočné pridelenie rozpočtových prostriedkov pre štrukturálne fondy a vyčlenenie dodatočných prostriedkov na iniciatívu na podporu nezamestnanosti mladých ľudí, ako aj na Fond európskej pomoci pre najodkázanejšie osoby.
Alexander Mirsky (S&D), in writing. − The level of the Parliament’s budget for 2014 was set at EUR 1 783 976 098, which represents (1) an increase of 1.9% over the 2013 budget; (2) a reduction of EUR 24.16 million compared to the estimates of 25 March 2013; and (3) a reduction of EUR 9.66 million compared to the draft budget adopted by the Commission (a freeze on salary adjustment was applied, which in the case of the EP created a saving of EUR 14.5 million). I agree and I voted in favour.
Andreas Mölzer (NI), schriftlich. − Der Haushalt der EU für 2014 soll etwa 142 Milliarden Euro umfassen – rund sechs Prozent weniger als 2013. Nicht vergessen werden sollte indes, dass der Nachtragshaushalt für 2013 gut 4 Milliarden ausmacht. Gerade in unserer von der Finanzkrise gebeutelten Zeit muss die EU mit gutem Beispiel vorangehen und unnütze Ausgaben sparen. In diesem Sinne sind die Sparbemühungen in der Verwaltung durchaus ein Schritt in die richtige Richtung. Wobei natürlich das tatsächliche Sparpotential um einiges höher ist. Schließlich würden allein die Schließung eines der drei Parlamentsstandorte und eine Durchforstung des EU-Agenturendschungels Milliarden einsparen. Und in vielen Bereichen ist eine Renationalisierung sinnvoll. Ich habe in diesem Sinne abgestimmt.
Elisabeth Morin-Chartier (PPE), par écrit. – Le rétablissement des crédits en faveur du Fonds européen d’aide aux plus démunis dans le projet de budget général de l'Union européenne pour l'exercice 2014 – toutes sections est une bonne nouvelle pour toutes les associations qui luttent contre la grande pauvreté. Cette décision a conditionné mon vote en faveur du budget. Sur la proposition de sa commission des budgets, qui a suivi l’amendement que j’avais proposé, le Parlement européen a voté le rétablissement à 500 millions d'euros annuels les crédits du fonds européen d'aide aux plus démunis que les gouvernements voulaient réduire à 365 millions à partir de 2014. Je resterai intransigeante sur ce montant dans tout compromis final sur le budget 2014. Je ne lâcherai pas d’un pouce ce programme ! Trop de nos concitoyens l’attendent pour vivre… Et tant pis pour les petits arrangements entre amis des chefs d’État! Le Parlement européen est là pour défendre la lutte contre la pauvreté.
Tiziano Motti (PPE), per iscritto. − Votando questo testo lungo e complesso, ho voluto ribadire il mio sostegno a favore dei programmi dell'Unione nei settori della ricerca, della competitività, dell'imprenditorialità, dell'innovazione e dell'integrazione sociale, che sono al centro della strategia Europa 2020; vanno ripristinate tutte le linee interessate dai tagli del Consiglio onde evitare di indebolire ulteriormente la ricerca nella UE. Chiedo alla Commissione di anticipare gli stanziamenti per un determinato numero di linee in alcuni settori prioritari, quali Orizzonte 2020, COSME ed Erasmus+ – il che non costituisce, in realtà, un aumento poiché la dotazione complessiva di questi programmi nel QFP per il periodo 2014-2020 rimane invariata – e di potenziare gli stanziamenti per l'agenda digitale, la politica dei trasporti, il dialogo sociale, EURES, lo strumento di microfinanziamento Progress e l'imprenditoria sociale, eventi annuali speciali e la qualità delle statistiche europee. Ci tengo ai giovani che iniziano a vivere l’Europa unita tramite quella meravigliosa esperienza che si chiama Erasmus, e che a più riprese il Consiglio ha cercato di tagliare. Il programma Erasmus+ deve poter godere di un livello adeguato di trasparenza per le azioni a favore dei giovani e si dovrà dunque procedere ad uno storno di bilancio pari all'11,5% della dotazione iniziale di Erasmus+ a favore della linea destinata ai giovani.
Katarína Neveďalová (S&D), písomne. − Rozpočet na rok 2014 musí byť za každých okolností dostatočne silný na to, aby bol schopný pokryť záväzky Európskej únie. Škrty v investíciách do výskumu a do tvorby pracovných miest, ako aj v oblasti humanitárnej pomoci by boli nezodpovedné a z veľkej časti neospravedlniteľné, ak chce Európa napredovať. Ekonomiku EÚ nie je možné posilniť bez adekvátnych investícií do výskumu, malých a stredných podnikov a podporných opatrení pre mladých ľudí. Nezhody medzi Radou a Európskym parlamentom vo výške investícií nesmú slúžiť ako živná pôda na okresávanie financií a ako brzda pri vytváraní pracovných miest. Našou úlohou je konať zodpovedne a neprenášať deficit do budúceho roka. Len v takom prípade sme schopní zaistiť podporu pre 5,5 milióna mladých ľudí, ktorí bojujú s nezamestnanosťou v členských štátoch EÚ. Z týchto dôvodov musí byť rozpočet EÚ na rok 2014 jednoznačne orientovaný na podporu rastu a zamestnanosti. Ak sa chceme priblížiť k naplneniu cieľov stratégie EU 2020, je taktiež nevyhnutné pokryť výdavky v oblastiach, ako je veda a výskum, infraštruktúra a klimatické zmeny.
Siiri Oviir (ALDE), kirjalikult. − Toetasin Euroopa Parlamendi resolutsiooni, millega lükati tagasi nõukogu ettepanekud vähendada tööhõivele ja teadusuuringutele tehtavaid kulutusi 2014. aastal, kuna see on vastuolus tuleva aasta eelarve prioriteetidega, nagu jätkusuutlik majanduskasv, noorte tööpuuduse vastane võitlus, konkurentsivõime, ELi roll maailmas ja töökohtade loomine.
Nimetatud kärped on ka otseses vastuolus mitmeaastast finantsraamistikku käsitleva poliitilise kokkuleppega, mis puudutab assigneeringute koondamist perioodi algusesse. Lahendus pole lihtviisil aritmeetiline kärpimine, süvenemata sisusse ja mõtlemata tagajärgedele. Mõistagi tuleb ELi eelarvevahendeid kasutada tõhusalt, et igal ELi eelarvest rahastataval tegevusel oleks selge lisaväärtus. Raha tuleks kokku hoida hoopis erinevate tegevuste dubleerimiselt, mitte ELi prioriteetide arvelt. Liikmesriigid peaksid tegema rohkem koostööd ning eelkõige leidma võimaluse ülesanded omavahel ära jagada.
Antigoni Papadopoulou (S&D), in writing. − The EU budget for the financial year 2014 will be the first one under the new Multiannual Financial Framework 2014-2020. It is understandable that the difficult economic and budgetary conditions in many Member States have led EU leaders to propose a series of budgetary cuts. However, it is vital that in areas which play an important role in boosting the economy, such as the digital agenda, research, entrepreneurship and employment, the recommendations of the Committee on Budgets are seriously taken into consideration so as to reverse the proposed payment cuts. While the concern to comply with the Multiannual Financial Framework limitations is understandable, it is also essential that budget allocations are sufficient and realistic. It is very important that the European Parliament, which is the only European institution that represents the 500 million EU citizens, underlines the promotion of growth and jobs and ways to tackle youth unemployment as its key priorities.
Maria do Céu Patrão Neves (PPE), por escrito. − Votei favoravelmente a proposta de resolução do Parlamento Europeu sobre a posição do Conselho sobre o projeto de orçamento geral da União Europeia para o exercício de 2014, da qual destaco a criação de novas rubricas orçamentais específicas para a assistência técnica relativa ao Fundo Europeu Agrícola de Desenvolvimento Rural e ao Fundo Europeu dos Assuntos Marítimos e da Pesca, por estar de acordo com o apelo à Comissão e aos Estados-Membros para que envidem todos os esforços a fim de garantir que o orçamento da UE seja gasto de forma eficiente e que tudo o que for financiado por este tenha um claro valor acrescentado europeu, devendo os Estados-Membros, em particular, partilhar tarefas sempre que possível e reforçar a cooperação mútua.
Raül Romeva i Rueda (Verts/ALE), por escrito. − Abstención. El Parlamento propone un presupuesto de la UE para 2014 de 142 600 millones de euros en créditos de compromiso (gastos programados) y 136 100 millones en créditos de pago (gastos efectivos). Estas cantidades suponen una reducción de 8 100 millones y 4 300 millones respectivamente con respecto al presupuesto de este año. El Consejo había propuesto unas cifras totales de 141 800 millones en créditos de compromiso y 134 800 millones en créditos de pago, lo que supone una diferencia con el proyecto de presupuesto de la Comisión de 240 millones y 1 060 millones respectivamente.
Los diputados al Parlamento Europeo han seguido las recomendaciones de la Comisión de Presupuestos de frenar los recortes en áreas cruciales para el crecimiento, como la investigación, el desempleo (incluido el juvenil), el emprendimiento y la Agenda Digital. El Consejo sugirió en julio reducir estas partidas en 629 millones, mientras que los diputados proponemos incrementarlas en 34 millones. No obstante, se han adoptado no pocas enmiendas preocupantes, como el fortalecimiento de Frontex, por ejemplo.
Licia Ronzulli (PPE), per iscritto. − Respingendo i tagli proposti dal Consiglio per il 2014 sulle spese per ricerca e occupazione abbiamo voluto dare un messaggio forte e chiaro su quali devono essere le nuove priorità sul bilancio UE. Allo stesso modo, abbiamo voluto cancellare la riduzione degli stanziamenti destinati alla politica internazionale, come ad esempio gli aiuti umanitari per il Medio Oriente e per i rifugiati siriani, incrementando invece quelli per l'agenzia di controllo delle frontiere esterne Frontex. La crisi economica non deve diventare la scusa per effettuare tagli scriteriati agli interessi reali più importanti per i cittadini europei.
Marie-Thérèse Sanchez-Schmid (PPE), par écrit. – Tenant compte des nouvelles perspectives financières pour les années 2014 - 2020 et de la crise des finances publiques, j'ai voté en faveur de ce budget en baisse de 6% par rapport à 2013. Le budget s'élèvera donc à 142 milliards d'euros pour 500 millions de citoyens (soit environ 280 euros par personnes), représentant 1% du PIB européen. Sur ces 142 milliards, 94% seront redistribués aux États membres pour le développement régional, la politique agricole, l'emploi des jeunes, Erasmus, la recherche et l'innovation... Malgré un budget en baisse, les États demandent toujours plus à l'UE - contrôler les frontières, investir pour la croissance, aider les plus démunis - sans lui donner les moyens d'y parvenir pour, finalement, critiquer son inaction comme ce fut le cas lors du drame de Lampedusa. Malheureusement, cette incohérence sème la confusion et le désordre et nourrit chaque jour un peu plus l'euroscepticisme.
Francisco Sosa Wagner (NI), por escrito. − Enmienda 47: voto en contra porque lo que se propone no son «cambios radicales» en la PAC y en la PPC sino justamente sus fines esenciales actuales. Enmienda 48: voto en contra por estar muy poco matizada la redacción de la enmienda. Enmienda 53: estoy de acuerdo con que «este tipo de sucesos [los recientes de Lampedusa] son absolutamente inaceptables», pero no se puede decir que la financiación comunitaria de programas como Frontex y el Fondo Europeo para el Retorno intensifican la incidencia y magnitud de estas desgracias y catástrofes. Enmienda 15: voto en contra porque la preocupación que expresa la enmienda ya está recogida en muchos otros puntos de este presupuesto. Enmienda 66: ya he expresado en otras explicaciones de voto mi preocupación por este asunto y mi deseo de que los gastos generales se sometan a una mayor transparencia y a una rendición de cuentas más estricta.
Γεώργιος Σταυρακάκης (S&D), γραπτώς. – Υπερψήφισα τον Γενικό Προϋπολογισμό της ΕΕ για το 2014. Για άλλη μια χρονιά, η Επιτροπή Προϋπολογισμών του ΕΚ υιοθέτησε μια υπεύθυνη στάση απορρίπτοντας τις οριζόντιες περικοπές του Συμβουλίου που δεν συνάδουν με τις πραγματικές ανάγκες της ΕΕ, ούτε αντικατοπτρίζουν την έκβαση των διαπραγματεύσεων για το ΠΔΠ, καθώς, αντί της εμπροσθοβαρούς κατανομής των πόρων για τα προγράμματα Ορίζοντας 2020, Erasmus+ και COSME το 2014, το Συμβούλιο περιέκοψε την πρόταση της Επιτροπής για τα προγράμματα αυτά που συνεισφέρουν στην καταπολέμηση της ανεργίας των νέων. Όσον αφορά την Πολιτική Συνοχής που αποτελεί το κύριο και πιο κατάλληλο επενδυτικό μέσο που μπορεί να οδηγήσει την ΕΕ στην ανάκαμψη από τη κρίση, την ανάπτυξη και την δημιουργία θέσεων απασχόλησης, αντιμετωπίζοντας με ακρίβεια τις επενδυτικές ανάγκες των περιφερειών, θεωρώ απαράδεκτη την μείωση των πόρων από το Συμβούλιο, τη στιγμή μάλιστα που οι πρόσφατες διαθέσιμες εκτιμήσεις φαίνεται να δείχνουν ότι περίπου 20 δις ευρώ σε λογαριασμούς θα παραμείνουν απλήρωτα στο τέλος του 2013 και θα πρέπει να μεταφερθούν στον Προϋπολογισμό του 2014. Ως Ευρωβουλευτές, οφείλουμε, και αυτό κάνουμε, να διασφαλίσουμε την επαρκή χρηματοδότηση των διαφόρων πολιτικών της ΕΕ και ιδιαίτερα εκείνων οι οποίες, όπως η Πολιτική Συνοχής, έχουν ως αποτέλεσμα την ανάπτυξη και τη δημιουργία θέσεων απασχόλησης.
Catherine Stihler (S&D), in writing. − I voted against the 2014 budget as I believe it fails to redirect spending into projects to boost employment and infrastructure.
Michèle Striffler (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport sur le " Projet général de l'Union européenne pour l'exercice 2014 - toutes sections " Lors de ce vote, je me suis toutefois opposée aux subventions accordées aux agriculteurs qui élèvent des taureaux dont le seul but est d'en faire un spectacle. Selon moi, donner de l'argent public pour des élevages de taureaux qui ne serviront qu'à la course de taureaux ou à la corrida n'est pas acceptable. Ces spectacles sanguinaires qui ne font plaisir qu'à une petite partie de la population ne devraient pas pouvoir profiter de subventions européennes. En tant que Vice-Présidente de l'intergroupe sur le bien-être animal, je milite pour que la corrida et, de manière générale, tous les actes de cruauté commis envers les animaux soient totalement interdits.Les partisans de la corrida estiment que cette pratique fait partie de la culture et du patrimoine européen ! Alors, pourquoi financer cette pratique odieuse avec de l'argent dédié à l'agriculture ? Par ailleurs, au sein de ce rapport j'ai voté pour rétablir à 500 millions d'Euros les crédits destinés au Fonds européens d'Aide aux plus démunis que les gouvernements voulaient réduire à 365 millions pour les années 2014-2020.
Kay Swinburne (ECR), in writing. − The need for reduced EU spending remains clear and I am disappointed that this report on the European Parliament’s position, voted upon today, does not recognise this. However what is also desperately needed at European level is better spending! As MEP for Wales, I recognise the importance of the European Union’s cohesion policy and its structural funding. Yet, these funds will not deliver the growth that they need to, unless they are invested wisely. I hope that in Wales (and across the Member States of the EU) better spending will be the guiding principle going forwards and that new envelopes of EU funding for 2014 and beyond, will focus on investing the money where it is most needed and where it can generate real results.
József Szájer (PPE), írásban − „Chief Whip”-ként az én tisztem a néppárti képviselőcsoport szavazási fegyelmének biztosítása, amely abban nyilvánul meg, hogy a plenáris szavazások során a teljes néppárti képviselőcsoport számára én mutatom a követendő álláspontot. A Néppárt célja egy, a közös európai értékeken, hagyományokon és kultúrán alapuló, meghatározó politikai súllyal rendelkező európai egység megteremtése.
Azonban a magyar néppárti képviselőcsoport aktívan dolgozik hazánk érdekeinek előmozdításán, az Európai Parlamentben is saját nemzeti érdekeinket képviseljük, így előfordul, hogy a magyar Fidesz-KDNP delegáció álláspontja eltér a néppárti állásponttól.
Annak érdekében, hogy alelnöki tisztségemből fakadó kötelezettségem miatt ne kerüljek önellentmondásba, azokban az esetekben, amikor a névszerinti, gombnyomásos szavazások során a frakció másképpen szavaz, mint a magyar képviselők, akkor közvetlenül nem veszek részt a szavazásban. Vagyis nem nyomom meg a szavazógombot, de feltett kézzel jelzem a néppárti frakciónak a korábban közösen eldöntött szavazási álláspontot.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce budget. Plus particulièrement, je tiens à dire qu'en ce qui concerne l'agriculture, des mesures nécessaires pour parvenir à maîtriser le volume d'engagements restant à liquider sont indispensables pour que la nouvelle période de programmation 2014-2020 s'ouvre dans de bonnes conditions, notamment eu égard à la réduction des crédits de paiement affectés au développement rural prévue dans le PB 2014. J'observe que, bien qu'une augmentation de 0,3 % par rapport à 2013 soit prévue en 2014 pour les crédits consacrés aux paiements directs et aux mesures de marché au titre du Fonds européen agricole de garantie, pour les engagements comme pour les paiements, il faut que la Commission décrive avec précision les mesures pratiques nécessaires pour répondre aux besoins accrus liés à l'introduction progressive des paiements directs chez les douze et à la création du fonds pour les crises agricoles. Je déplore cependant la mise en œuvre du mécanisme de "discipline financière", qui conduira un grand nombre d'agriculteurs dans l'Union à subir une réduction de près de 5 % des paiements directs versés au titre de l'exercice 2014.
Nuno Teixeira (PPE), por escrito. − A União Europeia tem definido como prioridades para o orçamento de 2014 o crescimento económico sustentável, a competitividade, a criação de emprego e a luta contra o desemprego dos jovens, bem como o papel da UE no mundo. Voto favoravelmente o presente relatório que visa assegurar políticas que contribuam para solucionar o desemprego entre os jovens, promover a investigação, o desenvolvimento e a inovação, as pequenas e médias empresas (PME) e o empreendedorismo. No entanto, lamento que o Conselho não tenha em linha de conta o acordo sobre o QFP no que diz respeito à disponibilização antecipada dos fundos para os programas Erasmus +, COSME e Horizonte 2020, como também tenha efetuado cortes tanto nas dotações para autorizações como nas dotações para pagamentos em todas as categorias. Gostaria de sublinhar a importância de se evitarem atrasos na implementação do orçamento de 2014, bem como garantir a conclusão bem-sucedida da negociação do Quadro Financeiro Plurianual 2014-2020.
Frank Vanhecke (EFD), schriftelijk. − De wijze waarop dit Parlement jaar na jaar meer middelen eist voor de Europese instellingen stoot me bijzonder tegen de borst. Wat reeds onaanvaardbaar was vóór de crisis, is het vandaag des te meer. Onze supranationale instellingen zijn ware belastingparadijzen, bemand door Europese mandarijnen die voor zichzelf niet de regels toepassen die zij anderen opleggen. In alle Europese instellingen wordt belastinggeld met bakken uit het raam gegooid. Vorstelijke lonen, veel te hoge onkostenvergoedingen, nutteloze prestigeprojecten, campagnes die niemand snapt en die nergens voor nodig zijn. We zouden al bij al beschaamd moeten zijn een dergelijke begroting voor te stellen.
Geoffrey Van Orden (ECR), in writing. − We fully support the British Prime Minister’s efforts to cut the EU budget. It should be cut even further as there is enormous scope for cutting the costs of the European institutions, as revealed by the study by the think-tank New Direction. In this regard, I did not support the amendment referring to the European Parliament’s external offices in Member States as it was not strong enough. I believe that all of these offices should be cut.
Derek Vaughan (S&D), in writing. − I supported measures in the EU budget that provide vital funding for jobs and growth, research and innovation and the Structural Funds. Making sure that Wales and other UK regions have access to these funds is crucial if we are to reverse some of the damage that has been done by austerity policies. I was disappointed to see that Coalition and UKIP MEPs opposed minimum standards for jobs funded under the Youth Jobs Guarantee. We need to make sure that young people are given all the help possible to find jobs and apprenticeships – this will help to reduce the large numbers of young people currently out of work.
There were aspects of Parliament’s position that made it impossible for me to give my full support. These included spending on harmful export refunds in the agriculture sector, subsidies for tobacco and bullfighting and above-inflation increases for some European institutions.
Marie-Christine Vergiat (GUE/NGL), par écrit. – Par cette résolution, le Parlement européen cherche à justifier son soi-disant bras de fer avec le Conseil sur les questions budgétaires et notamment sur le budget 2014. Dans ce texte, le Parlement européen tente le grand écart entre la défense des mesures d'austérité et la défense d'un budget qui permette de continuer à mener les différentes politiques communautaires. Le Parlement européen affirme qu'il "ne peut accepter la décision du Conseil de réduire les crédits d'engagement et les crédits de paiement". C'est une affirmation positive à laquelle on ne peut que souscrire. On peut cependant y voir une certaine hypocrisie de la part d'un Parlement européen dont la majorité des membres vote le 6 pack, le 2 pack le semestre européen etc c'est-à-dire tous les éléments de l'arsenal juridique européen visant à imposer des coupes budgétaires et des ''réformes structurelles''. Dans ce rapport, le Parlement européen s'embourbe dans ses contradictions. J'ai donc préféré m'abstenir.
Angelika Werthmann (ALDE), in writing. − I voted in favour of this report, and therefore in favour of the Draft General Budget of the European Union for 2014. It delivers a structured and clear ‘big picture’ of the EU budget and it takes into consideration all the negotiations and the political agreements made retrospectively, bearing in mind the proposals and opinions of all the EU institutions, and attempting to cover all ‘weaknesses’ of an EU economy struggling with a financial crisis. Voting in favour of the Draft General Budget means supporting all EU member countries in areas like economic and sustainable growth, competitiveness, unemployment (especially youth unemployment), infrastructure projects, research and innovation, and education (directly linked to youth initiatives and youth unemployment). All EU institutions (especially the Council) should understand that, in order to ‘revitalize’ the current economic situation, we – the European Union – should act efficiently and with ‘financial responsibility’. The current budget (as proposed by the EP) reflects a balance between commitments and payments. There should be no repeat of the situation of the EU being unable to meet its legal obligations.
Iva Zanicchi (PPE), per iscritto. − È arrivato il momento di invertire la rotta, anche perché la situazione in alcuni paesi di questa Europa che viaggia a due velocità è oramai critica.
Il rilancio del comparto industriale, una maggiore competitività, gli investimenti nella tecnologia e nell'innovazione devono essere la base per ripartire e soprattutto per restituire ai cittadini europei, e in particolar modo ai giovani, la fiducia nel futuro.
Per queste ragioni ho espresso il mio voto favorevole al progetto di bilancio votato quest'oggi auspicando fortemente che possa indicare la direzione che le politiche europee dovranno seguire nei prossimi anni per uscire dalla crisi.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. − As alterações agora introduzidas pela maioria à proposta de orçamento para 2014 não foram muito além do restabelecimento dos montantes inicialmente propostos pela Comissão Europeia. As (más) prioridades políticas são confirmadas. Veja-se o exemplo do combate ao desemprego entre os jovens. A maioria do Parlamento afirmava e afirma, demagogicamente, que se trata de uma prioridade. Os deputados do PCP apresentaram uma proposta de alteração à Iniciativa para o Emprego dos Jovens, no âmbito do Fundo Social Europeu (FSE), defendendo o aumento desta rubrica em mais de 1 500 milhões de euros. A proposta definia como objetivo central o financiamento específico da criação de emprego com direitos para os jovens e que estas verbas não poderiam em caso algum financiar empresas públicas ou privadas, ou mesmo serviços públicos, no estabelecimento de contratos precários, estágios não remunerados e a substituição de trabalhadores com vínculo permanente por outros com vínculo precário ou por estágios profissionais. A maioria votou contra. Na retórica, defendem o combate ao desemprego juvenil mas, na prática, rejeitam a mobilização de mais fundos para atenuar a verdadeira chaga social que é hoje o desemprego dos jovens.
13.3. Zināšanas par jūru 2020. gada perspektīvā (A7-0295/2013 - Maria do Céu Patrão Neves)
Seán Kelly (PPE). - A Uachtaráin, is dóigh liom go bhfuil an t-ábhar seo an-tábachtach go háirithe i dtaobh comhluadair atá ag brath ar an bhfarraige dá ngairm bheatha. Tá a lán díobh siúd i mo cheantar féin.
Dá bhrí sin, tá sé an-tábhachtach go mbeadh eolas cinnte againn bunaithe ar eolaíocht agus taighde; go mbeadh muid in ann acmhainní na farraige a úsáid i gceart; agus go háirithe cosaint a thabhairt do na héisc agus don áit ina bhfuil siad á mbreith i dtreo agus nach gcuirfimid isteach orthu. Is é atá i gceist leis seo ná mapa a dhéanamh de leaba na farraige, agus caithfear é sin a dhéanamh ar dtús sular féidir linn dul ar aghaidh agus na hacmhainní atá faoi bhun na farraige a úsáid.
Tá an-seans go deo againn jabanna a chruthú trasna na hEorpa ar fad agus feictear é sin sna tuarascálacha go léir atá againn. Ach sular féidir é sin a dhéanamh, caithfimid a bheith cinnte faoi cad a tharlóidh do na héisc agus don chomhshaol nuair a thugaimid faoin obair seo.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. − Aprovo o presente Relatório, tendo em consideração o Livro Verde sobre o Conhecimento do Meio Marinho 2020 – Da cartografia dos fundos marinhos à previsão oceanográfica, integrado na promoção, desenvolvimento e expansão da Economia Azul. Esta iniciativa serve os propósitos da Estratégia Europa 2020 no respeitante ao mar, ao associar o conhecimento e a inovação tecnológica, a utilização sustentável dos recursos, a competitividade e a criação de emprego, em prol de um crescimento inteligente, sustentável e inclusivo. Para a prossecução deste objetivo, pretende elaborar-se um mapa digital multirresoluções contínuo dos fundos marinhos europeus até 2020. Sem subestimar a importância de uma visão holística dos oceanos, mas sendo impossível abarcar todas as temáticas do Livro Verde devido à sua abrangência e multidisciplinaridade, o presente relatório opta por analisar como o setor das pescas poderá ser integrado neste novo contexto, como poderá contribuir e como poderá beneficiar do Conhecimento do Meio Marinho 2020.
Elena Oana Antonescu (PPE), în scris. − Impulsionarea procesului de cercetare ştiinţifică a arealului marin, respectiv oceanic, poate oferi decidenţilor naţionali şi europeni datele necesare pentru consolidarea „economiei albastre”. Aceasta este elementul esenţial al atingerii obiectivelor statuate de dimensiunea maritimă a Strategiei „Europa 2020”. Totodată, aceste informaţii, pe care procesul de cercetare şi de cunoaştere le poate releva, sunt utile pentru fundamentarea unor politici capabile să creeze premisele dezvoltării durabile a economiilor şi societăţilor europene, care depind de spaţiul marin – ca resursă economică, ca mijloc de transport şi de comerţ internaţional, ca sursă importantă în alimentaţia publică. În acelaşi timp, colectarea de date cu privire la acest areal este extrem de importantă pentru industria pescuitului, o industrie de care depinde atât viabilitatea economiilor regionale europene, cât şi prezervarea modului de viaţă al comunităţilor costiere din UE. O cunoaştere mai profundă a mediului marin poate oferi argumente pentru dezvoltarea industriei pescuitului, precum şi pentru conservarea eficientă a biosferei şi a biodiversităţii.
Sophie Auconie (PPE), par écrit. – Ce rapport constitue l'aboutissement du livre vert de la Commission européenne appelant à renforcer notre connaissance du milieu marin d'ici 2020. Le but est ici de profiter au maximum des nouvelles technologies disponibles afin de dresser l'état des lieux le plus exhaustif des ressources naturelles et du milieu marin dans son ensemble. J'ai voté en faveur de rapport, persuadée que c'est en étant mieux informés que nous pourrons mieux protéger le milieu marin.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. − Balsavau už šį siūlymą. Komisija 2012 m. pateikė Žaliąją knygą „Žinios apie jūrą 2020 m. – nuo jūros dugno kartografavimo iki procesų vandenynuose numatymo“, kuria siekiama prisidėti prie „mėlynosios ekonomikos“ skatinimo, vystymo ir plėtros. Mėlynoji ekonomika“ yra labai svarbi įgyvendinant strategijoje „Europa 2020“ nustatytus tikslus su jūra susijusiose srityse, ypač derinant žinias ir technologines naujoves, tvarų išteklių naudojimą, konkurencingumą ir darbo vietų kūrimą siekiant pažangaus, tvaraus ir integracinio augimo. Iki 2020 m. būtų parengtas vientisas kintamosios skiriamosios gebos skaitmeninis Europos vandenų jūros dugno žemėlapis, kuriuo informacija, susijusi su vandenynais, būtų prieinama įvairioms suinteresuotosioms šalims. Pritariu EP pozicijai, jog labai svarbu užtikrinti visų su šiuo tikslu susijusių duomenų surinkimą, apdorojimą bei saugojimą, bei užtikrinti duomenų patikimumą standartizuojant jų kokybę bei nustatant duomenų rinkimo ir apdorojimo procedūras ir formatą.
Слави Бинев (EFD), в писмена форма. − Приветствам доклада на г-жа Невеш за подобряване на картографирането на морското дъно за целите на рибарството с презумпцията, че за постигането на целите на „Стратегия –Европа 2020“ познанията за морската среда са от съществено значение, а основен фактор за реализацията на стратегията е развитието на „синята икономика”. Според мен, чрез този амбициозен и широкообхватен проект може да се постигне значително подобрение в области свързани с морето, като същевременно се съчетаят доста други приоритети за развитието на „синята икономика”, чиито предимства и ползи за ЕС са неоспорим факт.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. − Balsavau dėl šio pranešimo, kadangi žinios apie jūrų aplinką nepaprastai svarbios norint skatinti, vystyti ir plėsti „mėlynąją ekonomiką“ – strategijos „Europa 2020“ jūrinį aspektą, siejantį technines inovacijas, tausų išteklių naudojimą, konkurencingumą ir darbo vietų kūrimą. Svarbu yra užtikrinti, kad būtų prieinamos didelės turimų duomenų apie jūrų aplinką Europoje atsargos ir kad šiuos duomenis būtų lengva gauti, siekiant užtikrinti kuo didesnius išteklius ir skatinti vystymąsi, inovacijas ir darbo vietų kūrimą jūrų ir laivybos sektoriuose. Žuvininkystė – viena iš pagrindinių jūrų aplinkoje žmogaus vykdomos veiklos sričių, kurios pagalba apsirūpinama maisto prekėmis ir kuri be galo svarbi, ypač kai kurioms pakrančių bendruomenėms, ir todėl tai esminis integruotos jūrų politikos elementas, tačiau kartu tai yra ir sektorius, kurį labiausiai paveikė daugybė naudojimosi jūrų aplinka būdų ir įvairi joje vykdoma veikla, todėl užtikrinus didesnį informacijos apie žvejybos veiklą prieinamumą gali būti paskatinta verstis ne tik aplinkos, bet ir ekonominiu ir socialiniu aspektais tausesne žvejybos praktika. Būtent iniciatyva „Žinios apie jūrą 2020 m.“ leido pradėti keistis idėjomis šiuo klausimu ir surengti viešas konsultacijas, skirtas nuomonėms dėl galimybių ir iššūkių, susijusių su prieiga prie informacijos apie jūrų stebėseną Europoje.
John Bufton (EFD), in writing. − I voted against this report as my party believes that the potential merits of seabed mapping are far outweighed by the negative effects associated with the EU gaining more control over the sea and seabed.
Alain Cadec (PPE), par écrit. – J’ai voté en faveur du rapport d’initiative Patrão Neves exposant la nécessité d’institutionnaliser un réseau européen d’observation et de transmission des données du milieu marin (EMODNET). A l’échelon européen, parvenir à une cartographie numérique des fonds marins habiliterait une meilleure gestion des ressources halieutiques. Par une collaboration étroite entre les Etat-membres de l’Union, et donc par une diffusion large de la connaissance sur le milieu marin, ce rapport se situe dans la droite ligne des objectifs fixés par la nouvelle politique commune de la pêche, et de son volet financer, le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche.
Maria Da Graça Carvalho (PPE), por escrito. − Congratulo-me com o relatório hoje aprovado sobre o Fundo Europeu dos Assuntos Marítimos e da Pesca (FEAMP) para 2014-2020com um orçamento de 6,5 mil milhões de euros. Este fundo permitirá ajudar os pescadores a cumprir as regras da nova Política Comum das Pescas. O FEAMP deverá financiar medidas para melhorar a segurança e as condições de trabalho, a formação profissional, a inovação, a recolha de dados, as infraestruturas dos portos e apoiar o desenvolvimento da pesca costeira e de pequena escala. O fundo prevê também incentivos para os jovens pescadores.
Lara Comi (PPE), per iscritto. − "Conosci te stesso", diceva Socrate. Su questo principio è basata la relazione d'iniziativa per la quale ho espresso il mio voto a favore. Una maggiore e migliore conoscenza degli oceani non può che portarci a sfruttarne meglio le risorse, nel senso di proteggere quanto c'è di scarso e di utilizzare ciò che invece scarseggia sulle terre emerse. La storia dell'uomo ha fatto progressi grazie alla conoscenza, e aggiungerne non può che farci bene.
Vasilica Viorica Dăncilă (S&D), în scris. − Consider că trebuie elaborată, până în 2020, o hartă digitală multi-rezoluție continuă a fundului mărilor și oceanelor europene, pentru îndeplinirea obiectivelor Strategiei Europa 2020.
Rachida Dati (PPE), par écrit. – Pour s'impliquer dans l'établissement d'une pêche durable, il faut mieux récolter, transmettre et autant que possible centraliser les données sur les fonds marins d'ici 2020. Actuellement détenues par un grand nombre de parties prenantes, il est essentiel d'en avoir une maîtrise globale et d'en faciliter l'accès au public. L'objectif, c'est de faire concorder deux piliers fondamentaux de notre action: la sensibilisation des Européens et la protection de notre environnement marin, au bénéfice de l'économie, des Européens, des pêcheurs et de l'environnement.
Christine De Veyrac (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce texte qui permettra de stimuler le projet ambitieux, proposé par la Commission européenne, qu'est l'élaboration d'une cartographie numérique accessible et durable des fonds marins européens. Il est important de collaborer avec les États membres pour recenser les moyens et les mécanismes disponibles afin de développer notre connaissance du milieu marin dans l'intérêt de l'industrie, des pouvoirs publics, des chercheurs et de la société. Renforcer notre connaissance du milieu marin constitue une avancée dans le projet de l'Union européenne consistant à favoriser la croissance d'une "économie bleue" durable et génératrice d'emplois dans les secteurs marin et maritime. Ceci renforcera notre compétitivité et l'efficacité de notre industrie dans ces domaines.
Diane Dodds (NI), in writing. − The Agri-food and Biosciences Institute (AFBI) has been working extensively on mapping the seabed around Northern Ireland and today has some of the most detailed maps available anywhere. Around two years ago AFBI was approached by representatives of the Northern Ireland fishing industry who were conscious that, with the onset of a variety of challenges most notably in respect of marine spatial planning, marine protected areas and offshore renewable energy projects, there was a need to assimilate all the available information to create a database or map that could visually demonstrate the importance of the marine environment to fishermen. This joint project has already had positive results for fishermen, one of them being to demonstrate the importance of key fishing habitats and zones where proposals for the development of offshore energy projects are being pursued. When fishermen can visually demonstrate the impacts of various offshore projects and marine policies in terms of the displacement of their activities, as well as the effects on the environment on which they depend, this kind of collaboration becomes an important tool.
Jill Evans (Verts/ALE), in writing. − I voted in favour of this report that focuses on the importance of incorporating fisheries data into the Marine Knowledge seabed mapping and ocean forecasting green paper. It is very important for the Welsh fishing industry that accurate data, directly sourced from these industries, are used when creating marine policy.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − Assim como há já muitos séculos se descobriram, percorreram e cartografaram os caminhos da superfície marítima, também hoje se demonstra a necessidade de realizar esforço semelhante quanto ao meio marinho e de melhorar e enriquecer o mapeamento já existente. Ao contrário desses tempos em que os navegadores se regiam primeiramente por lealdades nacionais e promoviam políticas de segredo, o tempo que hoje vivemos aconselha não apenas a partilha de informações como o trabalho profundo de parceria entre os principais atores e interessados. A sustentabilidade do setor pesqueiro beneficiará amplamente desse estímulo integrador de conhecimentos. A sua participação neste processo é essencial para que sejam efetivamente coligidos dados que se encontram dispersos e detetadas potencialidades e ameaças que impendem sobre o meio marinho e a própria atividade piscatória. Saúdo a Colega Maria do Céu Patrão Neves pela qualidade do seu relatório.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − Este relatório surge na sequência de um Livro Verde da Comissão Europeia sobre a temática do conhecimento do meio marinho. Discordamos dos objetivos que inspiram muitos destes documentos – de promoção da proclamada economia azul. Todavia, este relatório avança com questões, preocupações e recomendações pertinentes, que na generalidade subscrevemos. A preocupação geral é a da necessidade de melhoria do conhecimento sobre o meio marinho. A relatora centra-se preferencialmente no domínio das pescas, abordando questões como o tipo de dados e de fontes, o papel das organizações internacionais e do setor, incluindo os segmentos da pesca de pequena escala, a disponibilidade dos dados, o financiamento da recolha destes dados, o papel das autoridades nacionais e da cooperação internacional. Em geral, a abordagem da relatora parece-nos correta e pertinente, para além de suficientemente abrangente. O relatório é um contributo útil para o aprofundamento da discussão de uma temática que carece de avanços na discussão e na concretização de medidas que permitam superar as evidentes lacunas hoje existentes. Votámos favoravelmente.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. − Európska komisia v auguste minulého roka predstavia Zelenú knihu: Poznatky o mori 2020 – od mapovania morského dna k oceánskym prognózam ako súčasť propagácie, rozvoja a rozširovania modrého hospodárstva. Jedným z hlavných zámerov je vytvorenie digitálnej mapy morského dna európskych mori s viacúrovňovým rozlíšením do roku 2020. Množstvu záujemcov tak bude možné sprístupniť rozsiahle údaje spadajúce pod problematiku poznatkov o mori. EU poskytne pomoc prostredníctvom spoločného strategického rámca na štrukturálne financovanie, vrátané Európskeho fondu pre námorné otázky a rybné hospodárstvo. Na to, aby vytýčený ciel v rámci danej problematiky mohol byt skutočne naplnený, je ale dôležité a potrebne úsilie členských štátov i súkromného sektora.
Elisabetta Gardini (PPE), per iscritto. − Partiamo dal presupposto che tutto ciò che può portare dei benefici al comparto della pesca è ben accetto. La Commissione Europea si è fatta promotrice di una serie di iniziative volte a incentivare l´innovazione tecnologica, l´utilizzo sostenibile delle risorse, la competitività e la creazione di occupazione nell´ambito dell´"economia blu". In questo contesto è stata giustamente prevista la predisposizione, entro il 2020, di una mappa digitale multirisoluzione continua dei fondali marini delle acque europee. Questo permetterà di rendere disponibili tutta una serie di dati a una grande varietà di stakeholders pubblici e privati. Un ottimo segnale da parte dell’Europa.
Marian Harkin (ALDE), in writing. − This is a very good report which explores the possibilities and the potential of the blue economy. The context of this is the digital mapping of the seabed of European waters, the results of which will be produced by 2020. We are expecting a policy paper from the Commission in early 2014 on the blue economy, and once we have the knowledge we can then use the seabed maps to tap the potential of the oceans in a sustainable way.
The report also looks at all of this potential with a view to promoting sustainable fisheries and, in the context of our vote on the Common Fisheries Policy, it is a visionary report. It offers the potential to do everything from protecting spawning grounds to indicating the best type of gear with which to fish.
Jim Higgins (PPE), i scríbhinn. − Vótáil mé ar son na tuarascála seo mar feictear domsa go bhfuil sé an-tábhachtach i gcomhthéacs Straitéis Mhuirí 2020. Tá eolaíocht, teicneolaíocht agus nuálaíocht ríthábhachtach maidir lenár ndul chun cinn geilleagrach agus sóisialta.
I saol atá ag éirí níos domhandaithe, aithnítear go bhfuil leibhéil arda infheistíochta sa taighde agus sa nuálaíocht ríthábhachtach le haghaidh acmhainn iomaíochta gheilleagrach agus nuálaíochtaí a tháirgeadh i réimsí ar nós cúram sláinte agus teicneolaíochtaí comhshaoil a chuireann feabhas inláimhsithe ar chaighdeán ár mbeatha.
Is féidir linn dul chun cinn a dhéanamh trí pháirtnéireachtaí láidre idir tionscal agus taighde, trí fhórsa oibre oilte agus trí chumas straitéiseach a fhreagraíonn do mhargaí agus don teicneolaíocht. Tá obair iontach déanta ag Bean Patrão Neves, agus ba mhaith liom mo bhuíochas a chur in iúl di.
Juozas Imbrasas (EFD), raštu. − Pritariau pasiūlymui, nes yra būtina skirti pakankamą dėmesį duomenų apie žuvininkystę telkimo, kartografavimo ir sklaidos svarbai bei šių duomenų naudingumui ir praktiniam pritaikymui. Reikia skatinti galimybę kaupti duomenis ir suteikti galimybę jais naudotis, užtikrinti veiksmingą duomenų kaupimą ir telkimą bei neabejotinai gauti naudos iš šių duomenų apdorojimo ir aiškinimo. Iki 2020 m. turėtų būti parengtas vientisas kintamosios skiriamosios gebos skaitmeninis Europos vandenų jūros dugno žemėlapis. Skaitmeninis žemėlapis apims įvairias sritis, įskaitant informaciją apie jūros dugno topografiją, geologiją, buveines ir ekosistemas bei žmogaus veiklą. Jūros kartografavimas yra būtinas bet kokių išteklių saugiai gavybai. Nors Lietuvos akvatorija nėra didelė, jos kartografinis ištirtumas yra menkas – atliktas kartografavimas 1:200 000 masteliu ir tik akvatorijos dalis tarp Klaipėdos ir Šventosios kartografuota 1:50 000 masteliu. Čia sudaryti akvatorijos valstybiniai geologiniai žemėlapiai yra skirti panaudoti sprendžiant pajūrio bei įjūrio industrijos problemas, tenkinant krašto ekonominės zonos apsaugos, žuvininkystės, laivavedybos bei kitas gamtosaugos ir gamtonaudos reikmes. Dėl lėšų stokos, deja, kartografavimas yra nutrūkęs. Taigi, tikėtina kad pateiktas pranešimas paskatins tokių darbų plėtrą. Beje, galimas postūmis ir angliavandenilių darbų sektoriuje, tam reikės išsamaus poveikio aplinkai vertinimo, o tai savo ruožtu galima padaryti tik turint kartografavimo duomenis.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport de ma collègue Mario do Ceu Patrao Neves, qui indique de quelle manière le secteur de la pêche pourrait contribuer et profiter du projet de carte sous-marine digitale européenne devant être réalisé d'ici 2020. Le rapport se concentre sur l'importance de mettre en commun les informations et de les disséminer, tout en s'assurant de la validité des sources et de la bonne disponibilité des données. Je me félicite de l'adoption de ce rapport.
Giovanni La Via (PPE), per iscritto. − Conoscere l'ambiente marino è di fondamentale importanza per promuovere e sviluppare l'"economia blu" e ampliare le conoscenze oceanografiche favorendo, inoltre, il conseguimento degli obiettivi della "strategia Europa 2020" per quanto riguarda il mare. Il miglioramento della conoscenza oceanografica, attraverso l’ottenimento di una mappa digitale multirisoluzione continua dei fondali marini europei favorirà l'utilizzo delle risorse per una crescita sostenibile, mirata e inclusiva per tutti gli attori quali enti pubblici e il settore industriale, di istruzione e di ricerca.
Agnès Le Brun (PPE), par écrit. – Le Parlement européen a adopté un rapport en réponse au projet de la Commission européenne de mettre en place une Carte digitale des fonds marins européens d'ici à 2020. Le rapport souligne l'importance de rassembler et de diffuser des données sur les fonds marins, qui sont actuellement détenues par une multitude d'instituts, de façon dispersée et fragmentée. L'Union européenne doit permettre à un large public d'accéder à ces données afin d'encourager la préservation des ressources, l'innovation et la création d'emplois dans les secteurs marins et maritimes. Cette carte contiendra des informations relatives aux activités de pêche, notamment les zones sujettes à une plus grande intensité de pêche, les espèces pêchées et les volumes des captures. J'ai voté en faveur de ce texte car je considère que l'obtention d'informations plus précises sur les fonds marins nous permettra de mieux gérer les ressources halieutiques et de mieux préserver les écosystèmes marins fragilisés.
Véronique Mathieu Houillon (PPE), par écrit. – J’ai voté en faveur du rapport sur la connaissance du milieu marin 2020 suite à la communication de la Commission européenne qui souligne la nécessité de libérer le potentiel économique des observations du milieu marin afin de favoriser une croissance économique durable et génératrice d’emplois. La question du traitement des données et de leur utilisation est importante pour élaborer un outil efficace, les données devraient être standardisées et contrôlées pour une utilisation efficace.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. – Ce rapport propose de créer une cartographie des fonds marins européens en regroupant des données jusqu’ici éclatées et des disciplines qui n’échangent pas ou peu. Cela permettra une meilleure connaissance des milieux marins et de la ressource halieutique, nécessaire pour une meilleure protection de l’écosystème en général et des zones vulnérables en particulier. Cette cartographie sera publique. L’apport considérable d’internet dans la diffusion et le partage des connaissances n’est plus à démontrer. La collecte, la synthèse et la mise en réseau des données scientifiques et de pêche que promeut ce rapport est une démarche que je soutiens. Cependant, comme souvent avec la Commission, il y a loin de la coupe aux lèvres entre les intentions et les applications. Pour l’heure, l’urgence est à la constitution d’un fichier européen des navires de pêche et à l’amélioration du contrôle des déclarations de capture de chaque État membre. Sans quoi, les pêcheurs des États qui respectent les déclarations seront pénalisées au profit des pêcheurs et des États qui dissimulent leurs prélèvements. Cette réserve ne m'empêche pas de voter pour ce qui restera une avancée de la connaissance.
Nuno Melo (PPE), por escrito. − Este relatório vem defender a disponibilização de dados da pesca para serem integrados num mapa digital multirresoluções dos fundos marinhos até 2020, e que o mesmo deve ser devidamente incentivada e apoiada pela UE. A criação de um mapa digital multirresoluções contínuo dos fundos marinhos europeus até 2020 visa disponibilizar informação sobre os oceanos a uma multiplicidade de interessados das entidades públicas, da indústria, do ensino, da investigação e da sociedade civil. O conhecimento do meio marinho é fundamental para a promoção, desenvolvimento e expansão da Economia Azul, que representa a dimensão marítima da Estratégia Europa 2020, ao associar o conhecimento e a inovação tecnológica, a utilização sustentável dos recursos, a competitividade e a criação de emprego em prol de um crescimento inteligente, sustentável e inclusivo. Daí o meu voto favorável
Roberta Metsola (PPE), in writing. − I have voted in favour of this report as I recognise the importance and usefulness of pooling, mapping, and disseminating fisheries data, which is essential for the fisheries sector to continue to grow.
Willy Meyer (GUE/NGL), por escrito. − He votado a favor del presente informe debido a que trata de afrontar una histórica escasez de datos comparables en el sector, que permitan analizar la realidad del sector en los diferentes Estados miembros. El informe incluye aspectos indispensables para la correcta recolección y puesta en común de los datos; también trata de involucrar a los pequeños pescadores en la toma de datos. De esta forma se reconoce la multifuncionalidad de la actividad pesquera y se impulsa la financiación de actividades que sirvan para la recolección de datos. El informe insta a la responsabilidad de los Estados miembros en tomar de forma adecuada datos e información sobre sus recursos pesqueros y someterlos a protocolos que permitan comparar esos datos con los de los demás Estados miembros. Por ello he votado a favor del presente informe.
Louis Michel (ALDE), par écrit. – Suite à la proposition de la commission sur les milieux marins, le rapport Neves a mis en avant la cartographie du milieu marin au profit de la pêche. C’est en effet un instrument essentiel si l’on veut faire du secteur de la pêche un secteur durable, profitable et écologique. Il est dès lors important d’utiliser et exploiter, grâce à l’échange, la collecte de données. Beaucoup d’organismes privés et publics détiennent des données concernant la pêche qui devraient être insérés dans ces cartographies grâce à des mécanismes de compatibilité et d’interopérabilité. Il est dès lors crucial de favoriser la coordination et la coopération au sein de l’Union. Il faudra toutefois rester attentif à ce que la confidentialité de ces données et la protection des intérêts commerciaux soient garanties.
Alexander Mirsky (S&D), in writing. − This report is focused on the importance and usefulness of pooling, mapping and disseminating fisheries data within the wider ‘Marine Knowledge 2020’ initiative, with particular reference to the following key points: information sources and types of data; how to achieve data availability; how to compile and pool data effectively; and how to benefit from the processing and interpretation of data. I agree with the rapporteurʼs line and call for the identification and establishment of fish recovery areas and marine protected areas in order to ensure vulnerable marine ecosystems are protected. I have confidence in the importance of the precautionary approach and the need to have aggregated data publicly available. I am in favour.
Andreas Mölzer (NI), schriftlich. − Von 2000 bis 2010 haben 2.700 Wissenschaftler aus 80 Nationen eine Untersuchung der Meere, den „Census of Marine Life“ vorgenommen. In dieser Art „Volkszählung“ in den Ozeanen identifizierten sie 120.000 verschiedene Arten, darunter 1.200 bis dato unbekannte. Die Wissenschaftler schätzten das Vorhandensein von etwa einer Million höherer Lebensformen und einer Milliarde Mikrobenarten. Eine Kartierung des Meeresbodens würde vermutlich einen schweren Eingriff für dieses über Jahrtausende gewachsene Ökosystem bedeuten, dessen Erhaltung, auch in Hinblick auf das Weltklima, es unbedingt zu fördern gilt. Da zu befürchten steht, dass die Kartierung auch der Erkundung von Rohstoffen wie Erdgas oder Erdöl dient und dies dann eine Förderung nach sich ziehen könnte, ist es fraglich, ob die Kartierung nicht der erste Schritt für die sukzessive Zerstörung dieses Lebensraumes bedeuten würde. Da in dem Bericht darauf überhaupt nicht eingegangen wird, habe ich mich meiner Stimme enthalten.
Tiziano Motti (PPE), per iscritto. − La conoscenza dell'ambiente marino è fondamentale per promuovere, sviluppare e ampliare l'«economia blu», che rappresenta la componente marittima della strategia “Europa 2020”, associando conoscenze e innovazione tecnologica, utilizzo sostenibile delle risorse, competitività e creazione di posti di lavoro per una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva. Può essere una risorsa, ma anche un ostacolo, la molteplicità di enti pubblici e privati in possesso di dati sull'attività alieutica nell'UE. Questi dati possono essere integrati nella mappa digitale multirisoluzione dei fondali marini, a disposizione del pubblico. Un'iniziativa ambiziosa come «Conoscenze oceanografiche 2020», caratterizzata da un'ampia portata e da un carattere multidisciplinare, integrata da informazioni alieutiche nella forma desiderata, implica certamente l'esigenza di un piano di azione specifico che definisca obiettivi per il medio e il lungo termine, nell'ambito di uno sforzo concertato da parte dell'UE e degli Stati membri.
Rareş-Lucian Niculescu (PPE), în scris. − Am votat în favoarea raportului, însă consider că transpunerea în practică a ideilor cuprinse în acesta face necesară o mai bună cooperare cu statele terțe. Or, în acest domeniu, activitatea Comisiei este deficitară, în domeniul pescuitului existând multe tensiuni.
Antigoni Papadopoulou (S&D), in writing. − National data do not tell us all we need to know about the seas as a global system connected by shifting winds, seasonal currents and migrating species. Consequently, integrating different national and local systems into a coherent whole, at European level, is essential. Marine Knowledge 2020 brings together marine data from different sources with the aim of improving our understanding of how the seas behave. By helping public authorities and researchers to find the data and make more effective use of it, the industry will be able to develop new products and services. At the same time, we need to ensure vulnerable marine ecosystems are protected by establishing fish recovery and marine protected areas.
Γεώργιος Παπανικολάου (PPE), γραπτώς. – Η παρούσα έκθεση ιδίας πρωτοβουλίας, την οποία και υπερψήφισα, αποτελεί συνέχεια της Πράσινης Βίβλου με τίτλο «Γνώσεις για τη θάλασσα το 2020: από τη χαρτογράφηση του βυθού στις ωκεάνιες προβλέψεις» που εξέδωσε η Επιτροπή πριν ένα περίπου χρόνο. Αποσκοπεί στην κατάθεση προτάσεων για την χαρτογράφηση και την διάδοση δεδομένων σχετικά με την αλιευτική δραστηριότητα στην Ευρώπη. Η Ελλάδα, χώρα ναυτική με αυξημένη αλιευτική δραστηριότητα, ενδιαφέρεται ιδιαίτερα για την όσο το δυνατόν γρηγορότερη υλοποίηση του στόχου δημιουργίας ψηφιακού χάρτη του θαλάσσιου βυθού των ευρωπαϊκών υδάτων, που πρέπει να έχει ολοκληρωθεί έως το 2020. Πρόκειται για φιλόδοξο εγχείρημα, το οποίο εξαρτάται από πολλούς παράγοντες (ινστιτούτα, ακαδημαϊκή έρευνα, χρήση υψηλής τεχνολογίας) και αυξημένους πόρους, και του οποίου τα αποτελέσματα θα προσφέρουν πολύτιμες πληροφορίες για τον θαλάσσιο πλούτο και της χώρας μας (επάρκεια αλιευτικών αποθεμάτων κτλ).
Aldo Patriciello (PPE), in writing. − In order to promote the ‘blue economyʼ in Europe, the Commission submitted the Green Paper on ‘Marine Knowledge 2020: from seabed mapping to ocean forecastingʼ. This forms part of the action to meet the targets of the Europe 2020 Strategy, particularly in combining knowledge and technological innovation, sustainable use of resources, competitiveness and job creation to achieve smart, sustainable, and inclusive growth in the marine and fisheries sector. In view of the importance of the fisheries data in the Marine Knowledge 2020 initiative, I voted in favour of this proposal.
Crescenzio Rivellini (PPE), per iscritto. − Oggi è stata votata in plenaria la relazione della collega Neves sulle conoscenze oceanografiche.
Risulta importante, anche sulla scia del Libro verde presentato dalla Commissione dal titolo "Conoscenze oceanografiche 2020: dalla mappatura dei fondali marini alle previsioni oceanografiche", contribuire a conseguire gli obiettivi della "strategia Europa 2020" per quanto riguarda il mare, associando conoscenze e innovazione tecnologica, utilizzo sostenibile delle risorse, competitività e creazione di occupazione per una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva.
A tal fine concordo con la relatrice sul fatto che occorre predisporre entro il 2020 una mappa digitale che possa dare una risoluzione continua dei fondali marini delle acque europee. Tale ampio ed ambizioso progetto multidisciplinare è volto a divulgare le informazioni a numerosi attori interessati dai dati oceanografici, anche relativamente all'attività alieutica riservando particolare attenzione a tematiche fondamentali quali fonti di informazione e tipologie di dati; promozione della raccolta e della disponibilità dei dati; garanzia dell'efficace elaborazione e messa in rete dei dati; analisi del vantaggio tratto dall'elaborazione e dall'interpretazione dei dati.
Raül Romeva i Rueda (Verts/ALE), in writing. − In favour. In August 2012 the Commission submitted the Green Paper on ‘Marine Knowledge 2020: from seabed mapping to ocean forecasting’, as part of the action being taken to promote, develop, and expand the ‘blue economy’. The blue economy will serve to meet the Europe 2020 Strategyʼs targets as regards the sea, combining knowledge and technological innovation, sustainable use of resources, competitiveness and job creation to achieve smart, sustainable, and inclusive growth. With that end in view, a seamless multi-resolution digital seabed map of European waters is to be produced by 2020. This is an ambitious, wide-ranging, multidisciplinary project intended to make information available to a wide variety of stakeholders interested in ocean data, whether representing public bodies, industry, education, research or civil society. Digital mapping of this kind encompasses several areas, including information on seabed topography, geology, habitats and ecosystems, and on human activities. Data will record the physical, chemical and biological state of the overlying water column, and oceanographic forecasts will be made.
Sergio Paolo Francesco Silvestris (PPE), per iscritto. − Nel mese di agosto 2012, la Commissione europea ha presentato il Libro verde dal titolo "Conoscenze oceanografiche 2020: dalla mappatura dei fondali marini alle previsioni oceanografiche", nell'ambito degli interventi adottati al fine di promuovere, sviluppare e ampliare "l'economia blu". L'economia blu è un modello di business a livello globale dedicato alla creazione di un ecosistema sostenibile, il cui obiettivo principale è lo sviluppo sostenibile, una forma di sviluppo che non ostacola le possibilità di crescita delle generazioni future, avendo cura del patrimonio e delle riserve naturali esauribili. Non si tratta quindi di un blocco della crescita, bensì della crescita economica rispettosa dell'ambiente e dei suoi limiti; esso sarà parte integrante della "strategia Europa 2020" per quanto riguarda il mare, associando conoscenze e innovazione tecnologica, utilizzo sostenibile delle risorse, competitività e creazione di occupazione per una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva. Per raggiungere quest'obiettivo occorre predisporre entro il 2020 una mappa digitale multi risoluzione continua dei fondali marini delle acque europee. Esprimo il mio voto favorevole alla realizzazione di una mappatura digitale dei fondali marini, in modo da creare un sistema d'informazioni coerente e accessibile a tutti.
Dubravka Šuica (PPE), napisan. − Dovoljno je pogledati kartu Europe da bismo postali svjesni enormnog potencijala mora i oceana koji oplakuju naš kontinent. Taj potencijal nije u dovoljnoj mjeri iskorišten, stoga je Komisija u Zelenoj knjizi naslova „Znanje o moru 2020.” predstavila viziju realizacije „plavog gospodarstva” koje će se temeljiti na racionalnoj upotrebi resursa. „Plavo gospodarstvo” je komplementarno ciljevima strategije „Europa 2020.” jer se bazira na znanju, tehnološkim inovacijama, adekvatnom korištenju resursa i stvaranju novih radnih mjesta. Da bi spomenuta vizija u potpunosti zaživjela, potrebno je izraditi višerezolucijsku digitalnu kartu morskog dna. Riječ je o vrlo kompleksnom projektu koji bi pružio informacije širokom spektru zainteresiranih skupina. Kartiranje morskog dna će odrediti osjetljive biogeografske zone i uspostaviti zone zaštićenih morskih područja kako bi se osigurala zaštita ugroženih ekosustava. Stoga je potrebno uspostaviti mehanizam kojim bi se olakšao pristup podacima o ribarstvu. Dio podataka su već sada dužne prikupljati zemlje članice u okviru obveza prema EU, međutim velika baza podataka se nalazi kod ribarskih flota opremljenih sustavima za nadzor plovila. Potrebno je štititi povjerljivost podataka koji su povezani s interesima tržišta ili znanstvenim interesima, kao i štititi privatnost vlasnika brodova koji su prikupili podatke.
Kay Swinburne (ECR), in writing. − I am really pleased to see this report stressing the importance of the need to better understand our seabeds. It is vital that the potential of such knowledge is not underestimated. By improving our knowledge of our seabeds we can not only strengthen the effectiveness of measures to protect our marine environments, but we can also unlock great potential for innovation and job creation in our fisheries sector. This must comprise an important element of EU marine policy going forwards and it will be vital in achieving the commitment to support sustainable and competitive fishing industries, which we have outlined in the reform of the common fisheries policy.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. – Au mois d'août 2012, la Commission européenne a présenté un Livre vert intitulé "Connaissance du milieu marin 2020: de la cartographie des fonds marins à la prévision océanographique", intégré à la promotion, au développement et à l'expansion de "l'économie bleue". Celle-ci sert les objectifs de la "Stratégie Europe 2020" pour ce qui concerne la mer, en associant la connaissance et l'innovation technologique, l'utilisation durable des ressources, la compétitivité et la création d'emplois en faveur d'une croissance intelligente, durable et inclusive. À cet effet, il est prévu d'élaborer une carte numérique multirésolution continue des fonds marins européens jusqu'en 2020. Il s'agit d'un projet ambitieux, vaste et pluridisciplinaire, qui vise à diffuser les informations à une multitude d'acteurs intéressés par les données sur les océans au niveau des organismes publics, de l'industrie, de l'enseignement et de la recherche, ainsi que de la société civile. Cette cartographie numérique couvre divers domaines, notamment des informations sur la topographie, la géologie, les habitats et les écosystèmes des fonds marins et les activités humaines. Elle fournit des données sur les paramètres physiques, chimiques et biologiques de la colonne d'eau surjacente et procède à des prévisions océanographiques.
Nuno Teixeira (PPE), por escrito. − O presente relatório centra-se na relevância e na utilidade da integração, mapeamento e disponibilização de dados sobre a atividade da pesca no âmbito da iniciativa Conhecimento do Meio Marinho 2020. Para tal, o documento tem em conta a importância das várias fontes de informação e tipos de dados, bem como as questões de promover a obtenção e disponibilização de dados, garantir uma eficaz compilação e articulação de dados e beneficiar do processamento e interpretação dos dados. Pelos motivos expostos, votei a favor do documento.
Angelika Werthmann (ALDE), schriftlich. − Unter Einhaltung der Vertraulichkeit sensibler Karten ist der Kartierung des Meeresbodens zuzustimmen. Jedoch sollte geklärt werden, welche Daten von der Öffentlichkeit finanziert und aus diesem Grund dieser auch zugänglich gemacht werden sollten. Eine genaue Zusammenstellung und Verknüpfung der Daten ist wichtig, um die gewünschten Erfolge zu erzielen.
Jacek Włosowicz (EFD), na piśmie. − Wiedza o morzu stanowi jeden z instrumentów przekrojowych zintegrowanej polityki morskiej UE, wpisuje się w cele strategii Europa 2020 oraz w priorytety polityki morskiej Polski. Pozyskanie danych morskich, stworzenie ich baz, jak również zwiększenie dostępności informacji wychodzi naprzeciw potrzebom: przedsiębiorców, organów publicznych, świata nauki i społeczeństwa. Sprzyja wzrostowi innowacyjności i konkurencyjności, co przełoży się na wartość dodaną płynącą z szeroko rozumianego sektora gospodarki morskiej. Tekst Zielonej Księgi "Wiedza o morzu 2020: od mapowania dna morskiego do prognozowania oceanicznego" dostępny jest w serwisie internetowym Komisji Europejskiej pod adresem: http://ec.europa.eu/maritimeaffairs/policy/marine_knowledge_2020/documents/com_2012_473_pl.pdf
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. − Este relatório surge na sequência de um Livro Verde da Comissão Europeia sobre a temática do conhecimento do meio marinho. Discordamos dos objetivos que inspiram muitos destes documentos – de promoção da proclamada economia azul. Todavia, este relatório avança com questões, preocupações e recomendações pertinentes, que na generalidade subscrevemos. Em geral, a abordagem da relatora parece-nos correta e pertinente, para além de suficientemente abrangente. O relatório é um contributo útil para o aprofundamento da discussão de uma temática que carece de avanços na discussão e na concretização de medidas que permitam superar as evidentes lacunas hoje existentes. Votámos favoravelmente.
13.4. Starptautiskās tirdzniecības noteikumu piemērošana un izpilde (A7-0308/2013 - Niccolò Rinaldi)
Adam Bielan (ECR). - Panie Przewodniczący! Z pewnością brak uwarunkowań prawnych dotyczących egzekwowania korzyści wynikających z postanowień WTO oraz szeregu umów handlowych nie służy polityce gospodarczej Unii. Mam nadzieję, że proponowane regulacje wpłyną na poprawę tej sytuacji, czym umocnią wiarygodność Brukseli jako partnera handlowego.
Zgadzam się z podejściem, że stosowanie działań odwetowych powinno być ostatecznością, co nie zmienia faktu, że należy takim instrumentem dysponować. Podzielam ponadto stanowisko dotyczące konieczności rozszerzenia środków zaradczych w ramach polityki handlowej również na sektor usługowy.
Dobrym prognostykiem jest uwzględnienie postulatu, aby Komisja współuczestniczyła w pracach parlamentarnej Komisji Handlu Zagranicznego w tym zakresie. Pozwoli to na dokładniejsze omawianie kwestii sporów handlowych czy też działań pozostających w obszarze zainteresowania europejskich przedsiębiorców.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. − Aprovo o presente relatório, tomando em consideração que a União Europeia não dispõe atualmente de um quadro legislativo horizontal para fazer cumprir os seus direitos ao abrigo da OMC e de outros acordos de comércio internacionais. Num contexto global em que é crescente o número de medidas de retaliação, o instrumento proposto é legitimamente concebido para fazer cumprir os direitos comerciais da União Europeia, para consolidar a credibilidade da União Europeia em última análise, para convencer os nossos parceiros comerciais a respeitarem as regras do jogo estabelecidas nos acordos de comércio. A presente proposta é também parte integrante da estratégia de abertura de novos mercados para a União Europeia e alinha os procedimentos de tomada de decisão com o Tratado de Lisboa.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), raštu. − Balsavau už šią rezoliuciją. Šiuo metu ES neturi horizontalios teisės aktų sistemos savo teisių pagal Pasaulio prekybos organizacijos (PPO) ir kitus tarptautinius prekybos susitarimus vykdymui užtikrinti. Pritariu pranešėjo nuomonei, kad privalu geriau užtikrinti Europos Sąjungos prekybos teisių vykdymą, sustiprinti ES patikimumą ir galiausiai įtikinti mūsų prekybos partnerius laikytis prekybos susitarimuose nustatytų vykdomos veiklos taisyklių. Manau, kad reikia išplėsti Europos Sąjungos disponuojamų prekybos politikos priemonių spektrą, kad jis apimtų bent jau paslaugų sektorių, kadangi paslaugų sektorius yra sparčiai auganti ekonomikos sritis. Taip pat turi būti užtikrintas sisteminis ir struktūrinis keitimasis informacija tarp Parlamento ir Komisijos, išvengiant gaišinančio sprendimų priėmimo proceso.
Roberta Angelilli (PPE), per iscritto. − Al momento l'Unione Europea non dispone di una normativa comune per far rispettare i suoi diritti nel quadro dell'OMC e nell'ambito di altri accordi commerciali internazionali. Risulta dunque sempre più evidente l'esigenza dell'Unione di essere in grado di esercitare efficacemente il diritto di sospendere o revocare concessioni, in risposta alle violazioni di norme commerciali internazionali da parte di un Paese terzo. Sostengo quindi con convinzione la proposta di Regolamento del Parlamento e del Consiglio, necessaria per assicurare una rapida azione a tutela dei diritti dell'Unione - nel contesto degli accordi commerciali internazionali - e per garantire credibilità e leva negoziale all'Unione Europea, sia nel quadro dell'accordo GPA che negli accordi commerciali bilaterali.
Elena Oana Antonescu (PPE), în scris. − Uniunea Europeană reprezintă în acest moment cel mai important actor economic şi cel mai important actor comercial la nivel global. Atât sub raportul comerţului extern dezvoltat de statele Uniunii, cât şi sub aspectul dinamicii în continuă creştere a legăturilor comerciale dintre statele membre, putem spune, fără riscul de a exagera, că problematica regulilor şi a reglementărilor comerciale este una de maximă importanţă pentru Uniunea Europeană. Abordarea acestei problematici, însă, trebuie făcută cu moderaţie şi cu eficienţă. Este adevărat că Uniunea promovează principiile de drept şi este adepta susţinerii libertăţilor comerciale. În acelaşi timp însă, trebuie să avem în vedere şi impactul social al modificărilor propuse, precum şi necesitatea satisfacerii cât mai complete a aşteptărilor consumatorilor europeni.
Sophie Auconie (PPE), par écrit. – Cette proposition de règlement permettra à l'Union européenne de faire appliquer ses droits lorsque des mesures commerciales injustes ou illégales sont prises dans un pays tiers. Avec ce texte, l’Union européenne pourra réagir beaucoup plus vite et plus fort. Vu l'importance de ce texte j'ai soutenu le rapporteur, y compris sur sa demande de lancer immédiatement la négociation avec le Conseil des ministres de l’Union afin qu'un accord puisse être trouvé dans les plus brefs délais et que la politique commerciale de l’Union soit rapidement renforcée.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. − Balsavau už šį siūlymą dėl Europos Sąjungos teisių taikyti tarptautines prekybos taisykles ir užtikrinti šių taisyklių vykdymą. ES nėra bendros teisinės sistemos Sąjungos teisėms pagal tarptautinius prekybos susitarimus užtikrinti. Reglamento projekto tikslas – nustatyti taisykles ir tvarką, kuriomis būtų užtikrinta, kad trečiajai šaliai pažeidus tarptautines prekybos taisykles Sąjunga galėtų veiksmingai pasinaudoti savo teisėmis sustabdyti nuolaidų taikymą šalims, siekiant surasti tenkinantį sprendimą, jas koreguoti ir koreguoti kitus prekybos su trečiosiomis šalimis santykių įsipareigojimus. Pritariu pranešėjo siūlymams imtis atsakomųjų veiksmų tik kraštutiniu atveju. Taip pat svarbu užtikrinti sisteminį keitimąsi informacija tarp Komisijos ir Parlamento, be gaišinančio sprendimų priėmimo proceso.
Слави Бинев (EFD), в писмена форма. − Подкрепям доклада относно предложението за регламент за упражняване правата на Съюза за прилагане и осигуряване на съблюдаването на международните търговски права, тъй като понастоящем ЕС не разполага с хоризонтална законодателна рамка за осигуряване на съблюдаването на своите права в рамките на СТО и по други международни търговски споразумения.
Предложеният регламент има за цел да даде възможност на Съюза да установи цялостна и ефективна рамка, която да позволи да се вземат незабавни мерки за ефективното упражняване на правата на Съюза по международните търговски споразумения, с цел да бъдат защитени икономическите му интереси. Основните идеи, залегнали в този доклад, са най-вече с цел да се предостави структуриран и систематичен обмен на информация между Комисията и Парламента без забавяния в процеса на вземане на решения.
Sebastian Valentin Bodu (PPE), în scris. − Deoarece UE nu dispune la ora actuală de un cadru legislativ orizontal pentru a asigura exercitarea drepturilor sale în temeiul OMC şi al altor acorduri comerciale internaţionale, sunt de părere că instrumentul propus este menit să consolideze exercitarea drepturilor comerciale ale UE şi credibilitatea UE şi să îi convingă pe partenerii noştri economici să respecte regulile jocului stabilite în acordurile comerciale, cu scopul de a deschide noi pieţe pentru UE.
Vito Bonsignore (PPE), per iscritto. − È un dato di fatto che nell'attuale scenario globale gli episodi di ritorsione non siano infrequenti e che anzi siano ricorrenti i rischi di una guerra commerciale in piena regola, per esempio tra USA e Cina, in relazione alla nuova piattaforma commerciale Asia-Pacifico e al braccio di ferro sull'apprezzamento della valuta cinese.
Il relatore si fa laicamente carico di tale consapevolezza e raccomanda uno strumento in assenza del quale l'Unione si trova disarmata anche di fronte a violazioni commerciali reiterate, comunque in posizione di relativa debolezza quando si tratti di confrontarsi con interessi altrui nei mercati emergenti.
Concordo sul fatto che la disponibilità di uno strumento orizzontale, facile da maneggiare nei tempi utili, possa pesare positivamente su questo piano, fermo restando l'impegno dell'Unione sui principi di libero commercio. Sottoscrivo altresì l'applicabilità delle misure al settore dei servizi, che secondo la Banca mondiale ormai esprime dal 50% al 60% del PIL dei paesi dell'Unione, area nella quale gli scambi commerciali con partner extra UE sono ormai un dato strutturale e sono essenziali anche in ambiti di stretto interesse pubblico, come la sicurezza, le reti, i sistemi sanitari. Esprimo pertanto un voto favorevole.
John Bufton (EFD), in writing. − Abstain. I abstained from voting as while my Party supports international trade rules, we are against the EU.
Antonio Cancian (PPE), per iscritto. − Ho votato a favore della proposta del collega on. Rinaldi perché ritengo utile un regolamento che garantisca all’UE uno strumento legislativo efficace nella difesa dei propri diritti in ambito di commercio internazionale. In particolare, porre in essere una procedura decisionale standard rapida in caso di infrazione e limitare le procedure ad hoc fino ad oggi seguite. Questo passo rafforza il ruolo dell’Unione europea nella difesa dei propri diritti e scoraggia Paesi poco virtuosi a praticare misure di concorrenza sleale. Ritengo di importanza cruciale l’applicazione anche nel campo degli appalti pubblici, nonché degli accordi internazionali nel contesto dell’Organizzazione mondiale del Commercio e dell’Unione doganale.
Maria Da Graça Carvalho (PPE), por escrito. − Concordo com a proposta de criação de legislação que trate de forma sistemática casos de incumprimento das regras de comércio internacionais. Estas medidas são fundamentais para o bom funcionamento da economia e dos acordos comerciais entre a UE e países terceiros.
George Sabin Cutaş (S&D), în scris. − Am votat în favoarea Regulamentului referitor la aplicarea și respectarea normelor comerțului internațional. Consider că este necesară includerea sectorului serviciilor în cadrul ariilor de aplicare a măsurilor de suspendare a concesiilor, așa cum prevede Organizația mondială a comerțului. Totodată, este necesară informarea Parlamentului European cu privire la litigiile comerciale.
Marielle de Sarnez (ALDE), par écrit. – L'Union européenne doit disposer d'une politique commerciale plus réactive, plus cohérente et qui défende mieux les intérêts des entreprises européennes, en particulier des PME. La réciprocité devrait être la règle dans les relations commerciales. Alors que l’OMC constate une recrudescence des mesures restrictives au commerce de la plupart des partenaires commerciaux de l’Union, notamment les émergents, il est impératif que l’Europe ait, elle aussi, des moyens de recours pour faire respecter ses droits. Jusqu’à présent l’Union n’avait pas toujours eu la capacité de prendre les mesures de rééquilibrage auxquelles elle avait pourtant accès en vertu d’accords commerciaux internationaux. Cet instrument lui permettra de mieux faire respecter ses droits, à travers un recours plus systématique au mécanisme de règlement des différends de l’OMC et la possibilité de contrer des pratiques commerciales déloyales. Utilisé à bon escient, il doit contribuer à ce que les relations commerciales de l’Union avec ces partenaires soient plus équilibrées.
Christine De Veyrac (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce texte car il me semble indispensable de s'assurer du respect des droits de l'Union européenne au titre des accords commerciaux internationaux. Un instrument législatif efficace apparaît légitime pour répondre aux exigences du traité de Lisbonne, qui préconise la mise en place d'un cadre européen de mise en œuvre de la politique commerciale commune. La réciprocité doit être un préalable non négociable à tout accord conclu entre l'Union européenne et un pays tiers. Il n'est pas acceptable que nos entreprises européennes puissent être pénalisées de quelque manière que ce soit par la conclusion d'accord commerciaux internationaux.
Diane Dodds (NI), in writing. − Trade – whether international or within the EU – should adhere to standardised rules, many of which emanate from this place. One of the more positive aspects of the European Union is the importance of the single market for free trade between Member States. Unfortunately for the UK, and in particular for milk producers in Northern Ireland, we have a situation pertaining whereby the Republic of Ireland is complicit in a campaign which restricts milk entering their market, a purely protectionist measure. Through the use of the National Dairy Council logo, which guarantees milk is produced in the Irish Republic for the Irish domestic retail market, milk processors and farmers from Northern Ireland are being excluded. At the very least this is against the spirit of the single market if not illegal, therefore I would urge the Commission to investigate this practice as a matter of urgency. Furthermore, I would call on the ROI Government and those who support the NDC campaign to recognise that, if Harvest 2020 targets are to be achieved, this protectionist policy against the UK must stop. Forget at your peril that an agri-food sector which is highly dependable on exports cannot afford to be protectionist.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − A UE não dispõe atualmente de um quadro legislativo horizontal para fazer cumprir os seus direitos ao abrigo da OMC e de outros acordos de comércio internacionais. Concordo, por isso, com os objetivos da Comissão Europeia, tal como descritos no Considerando 2 da proposta; é essencial que a União disponha de ferramentas adequadas para assegurar o exercício efetivo dos direitos da União ao abrigo de acordos de comércio internacionais, a fim de salvaguardar os seus interesses económicos. (...) A União deverá estar em condições de reagir rapidamente e de forma flexível no contexto dos procedimentos e prazos estabelecidos pelos acordos de comércio internacionais por ela celebrados. A União deve, pois, adotar legislação que defina o quadro para o exercício dos direitos da União em certas situações específicas.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. − A concretização de um quadro legislativo horizontal para regular as relações comerciais da União Europeia com países terceiros assume-se como uma necessidade premente, capaz de garantir maior segurança, credibilidade e equidade. Com esta proposta de regulamentação, que o presente relatório vem consumar, melhorando e reforçando a amplitude do documento apresentado pela Comissão, designadamente incluindo áreas importantes nas relações comerciais internacionais, como são os serviços, a União Europeia passará a dispor de meios para se defender rapidamente perante países e parceiros que não cumprem as suas obrigações. A criação deste quadro legislativo, dotando a Comissão de intervenção efetiva e em tempo oportuno perante situações adversas e de violação de acordos, até mesmo no âmbito da Organização Mundial do Comércio, vem assegurar condições para fazer cumprir os direitos comerciais da União Europeia e dos seus Estados-Membros, consolidar a credibilidade externa da UE e reforçar a pressão sobre os parceiros comerciais no respeito das regras e acordos celebrados.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − Esta proposta estabelece regras e procedimentos para garantir o exercício efetivo dos direitos da UE de suspender e retirar concessões ou outras obrigações nos acordos de comércio internacionais. Na elucidativa retórica belicista dos arautos do livre comércio, trata-se de estabelecer medidas de retaliação defensiva. Esta proposta abrange quatro tipos de situação: medidas de retaliação após a adjudicação de disputas comerciais no âmbito da OMC; medidas de retaliação após a adjudicação de disputas comerciais no âmbito de outros acordos internacionais, medidas de reequilíbrio quando um terceiro país adota uma salvaguarda sem adequada medidas de reequilíbrio e medidas de reequilíbrio nos casos em que um terceiro modifica as suas concessões tarifárias. O relator alerta que a ideia é não usar o mecanismo agora criado. A sua simples existência, diz, gerará um “efeito dissuasor” que tornará desnecessária a sua utilização. É a União Europeia a querer impor os seus desígnios e a acautelar os seus interesses, incitando os países terceiros a respeitar as regras de comércio internacionais (passe o oxímoro, já que regras não existem senão a única e singela regra de que regras não pode haver, ou seja, a lei do mais forte). Caso contrário, adotam-se as medidas de retaliação defensiva.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. − Jednou z priorít EU je účinné presadzovanie jej obchodných práv. V súčasnosti však nedisponuje spoločným legislatívnym rámcom, aby obchodne práva mohli byt presadzovane podľa dohôd o medzinárodnom obchode. Aktuálne je teda v návrhu nariadenia navrhovane, aby sa v súlade s Lisabonskou zmluvou takýto spoločný legislatívny rámec vytvoril. Časový rámec na prijatie opatrenia ma prvoradý význam. Pred Lisabonskou zmluvou EU využívala prístup od prípadu k prípadu, pokiaľ ide o odvetne obchodne opatrenia proti tretej krajine v rámci Dohovoru WTO o pravidlách a postupoch pri urovnávaní sporov a obnovenie rovnováhy v rámci Dohody WTO o ochranných opatreniach. I v zaujme možného posilnenia predkladaného návrhu, čo sa rozsahu týka, je veľmi dôležité, aby EU vytvorila tento horizontálny nástroj čo najskôr.
Lorenzo Fontana (EFD), per iscritto. − Il contenuto di questa relazione riguarda la tutela degli interessi commerciali per contrastare le ritorsioni o comportamenti di Paesi Terzi, che violano le regole dell’Organizzazione Mondiale del Commercio. Il testo è senza dubbio valido in quanto servirà - grazie al fatto stesso della sua attuazione - per dissuadere taluni Paesi Terzi a non rispettare le norme dell’OMC. Il mio voto è favorevole in quanto il Paese che sarà danneggiato avrà maggiori tutele.
Elisabetta Gardini (PPE), per iscritto. − E’ importante dotarsi di un unico strumento legislativo che consenta di difendere gli interessi dell´Unione in modo più rapido ed efficace. L´Unione europea, infatti, non ha avuto fino a questo momento un quadro legislativo unico per far valere i propri diritti nell´ambito dei vari accordi commerciali internazionali. Ciò significa che le misure di ritorsione nei confronti dei Paesi terzi non rispettosi degli accordi sono state adottate singolarmente mediante regolamenti del Consiglio, seguendo un approccio "caso per caso". Penso che il relatore abbia migliorato la proposta, introducendo ad esempio uno scambio di informazioni sistematico tra la Commissione e il Parlamento.
Eduard-Raul Hellvig (ALDE), în scris. − Am crezut și cred în continuare într-o piața deschisă și în valoarea adăugată din punct de vedere economic a comerțului internațional. UE este probabil una dintre cele mai deschise piețe din lume cu o politică comercială liberală. A avea o piață deschisă nu înseamnă totuși absența oricăror reguli. O piață deschisă nu înseamnă nici naivitate și pasivitate atunci când partenerii noștri comerciali nu-și respectă angajamentele luate și regulile jocului stabilite la nivelul Organizației Mondiale a Comerțului, unde UE este membră. De aceea, pentru a ne apăra interesele comerciale în mod eficient și pentru a ne asigura credibilitatea în fața partenerilor noștri, nu pot decât să susțin instrumentul propus de către Comisie.
Pentru a putea reacționa rapid la eventualele măsuri comerciale restrictive impuse de către partenerii comerciali ai Uniunii, avem nevoie de un cadru clar, iar propunerea adoptată de Parlament răspunde acestei exigențe. În mod evident, adoptarea acestui cadru nu înseamnă că va trebui să folosim represaliile în mod sistematic sau mai des decât până acum. Cred în continuare că interesele comerciale ale Uniunii trebuie apărate într-o prima fază prin negociere și doar când aceasta eșuează să trecem la măsuri restrictive.
Jim Higgins (PPE), in writing. − This report is badly needed. Until now the EU did not have a specific legislative framework for enforcing its rights in the field of trade policy. We need to move away from the previous case-by-case approach to something more concrete. The EU needs to be able to enforce and defend its rights in the event of unfair or illegal trade actions taken in a third country. The effectiveness of EU action is dependent on a timely defence of our trade rules. With all this in mind, the initiative intends to provide the EU with a single legislative instrument enabling it to defend its interests in a rapid, effective and flexible way, in order to encourage offending countries to put an end to illegal behaviour.
Juozas Imbrasas (EFD), raštu. − Balsuodamas pritariau komiteto pasiūlymui, kadangi siūlomos priemonės tikslas – geriau užtikrinti ES prekybos teisių vykdymą, sustiprinti ES patikimumą ir galiausiai įtikinti mūsų prekybos partnerius laikytis prekybos susitarimuose nustatytų vykdomos veiklos taisyklių. Šis pasiūlymas taip pat yra strategijos, kuria Europos Sąjungai siekiama atverti naujas rinkas, dalis, be to, juo sprendimų priėmimo procesas suderinamas su Lisabonos sutarties nuostatomis.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. – J'ai soutenu ce rapport. La Commission a présenté une proposition de règlement visant à établir des règles régissant la manière dont l'Union européenne appliquerait et défendrait ses droits en cas de mesures commerciales injustes ou illégales prises dans un pays tiers. Pour faire appliquer ses droits, l'UE suit une approche au cas par cas, grâce à des règlements adoptés par le Conseil sur la base d'une proposition de la Commission. Afin de respecter le traité de Lisbonne, ces règlements suivent la procédure législative ordinaire et l'action de l'Union pourrait perdre en efficacité et crédibilité. L'initiative vise donc à doter l'Union d'un instrument législatif unique lui permettant de défendre ses intérêts de manière rapide, efficace et flexible afin d'encourager les pays en infraction à mettre un terme au comportement illégal. Le rapport a été adopté avec 573 voix pour, 25 contre et 79 abstentions. Je m'en félicite.
Béla Kovács (NI), írásban − Szomorú tapasztalatunk, hogy a Bizottság tevékenysége gyakorta az új tagországok gyarmatosítását és a régiek piacszerzését segíti elő. A rendelet azt javasolja, hogy a Bizottságot fel kellene jogosítani arra, hogy az EUMSZ 291. cikkének megfelelően végrehajtási aktusokat fogadjon el az e rendelettervezet által meghatározott hatályon és korlátokon belül, az egyértelműen előírt kritériumok szerint. A megható indoklás mindezt az Unió kereskedelmi érdekeivel magyarázza. Nekem pedig elsődlegesek Magyarország érdekei, melyekre eddig a Bizottság nem volt figyelemmel, így a javaslatot leszavaztam.
Giovanni La Via (PPE), per iscritto. − La presente relazione, che ha ottenuto una larga maggioranza sia in Aula sia in Commissione, garantirà un confronto con il Consiglio in fase di trilogo più spedito ed efficace. In particolare, voglio sottolineare la novità che il Parlamento europeo ha proposto in tema di applicazione e rispetto delle norme commerciali internazionali e cioè la possibilità, da parte della Commissione, di colpire le merci provenienti da un Paese membro che non ottempera ai suoi obblighi derivanti da una decisione degli organi specializzati dell’organizzazione e di colpire, altresì, i servizi del Paese che commette l’infrazione.
David Martin (S&D), in writing. − I voted in favour of this report because I agree that there is a need for broadening the scope of a Commission proposal designed to establish a horizontal instrument. This instrument would enable the EU to conduct swift trade retaliation in the event that a trading partner does not respect international trade rulings delivered pursuant to the WTO or FTAs.
Véronique Mathieu Houillon (PPE), par écrit. – J’ai voté en faveur du rapport sur l’application et le respect des règles du commerce international, qui établit des règles permettant à l’Union européenne de se défendre face à des mesures commerciales injustes ou illégales prises dans un pays tiers. Il est important que l’Union se dote d’un tel instrument juridique afin de décourager les pays en infraction de poursuivre leurs pratiques.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. – Ce projet de règlement illustre l'hypocrisie de l'"Europe qui protège". Officiellement, il s'agit de faciliter la procédure permettant à l'Union européenne de prendre des mesures de rétorsion commerciale. Mettre fin au laissez-faire coupable des libéraux européens serait en effet urgent. Mais l'esprit du texte est seulement de contrer les États qui ne respectent pas les accords de libre-échange en renforçant l'autonomie de la Commission pour décider des rétorsions. Connaissant l'ultralibéralisme de la Commission, le doute est permis sur le sens de cette initiative. On peut y voir un moyen d’empêcher les États de se protéger selon leurs propres intérêts. Comme à propos du CO2 émis par les véhicules, ou l'industrie des panneaux solaires, la Commission sera à la remorque du plus influent: l'Allemagne. Les arguments du rapporteur trahissent la pensée des eurocrates: "la simple existence de ce règlement constitue d'ores et déjà une menace crédible et il est à espérer qu'il dissuadera nos partenaires commerciaux d'enfreindre les règles du jeu", afin de ne pas avoir "la moindre finalité protectionniste"! Nous voulons construire un protectionnisme solidaire pour que le libre-échange soit remplacé par la coopération et la relocalisation. Ce texte s'inscrit dans un projet totalement inverse. Je vote contre.
Roberta Metsola (PPE), in writing. − The EU has not yet had a specific legislative framework for enforcing its rights in the field of trade policy and has instead been following a case-by-case approach. This initiative intends to provide the EU with a single legislative instrument enabling it to defend its interests in a rapid, effective and flexible way, in order to encourage offending countries to put an end to illegal behaviour. The EU must lay down rules governing how the European Union would enforce and defend its rights in the event of unfair or illegal trade actions taken in a third country. I have therefore voted in favour of this dossier.
Nuno Melo (PPE), por escrito. − Não existe atualmente, na UE, um quadro legislativo horizontal para fazer cumprir os seus direitos ao abrigo da OMC e de outros acordos de comércio internacionais. Num contexto global em que é crescente o número de medidas de retaliação, o instrumento proposto é legitimamente concebido para fazer cumprir os direitos comerciais da UE, para consolidar a credibilidade da UE e, em última análise, para convencer os nossos parceiros comerciais a respeitarem as regras do jogo estabelecidas nos acordos de comércio. A presente proposta é também parte integrante da estratégia de abertura de novos mercados para a UE e alinha os procedimentos de tomada de decisão com o Tratado de Lisboa. Este regulamento pode, por si só, constituir uma ameaça credível que se espera que sirva para dissuadir os nossos parceiros comerciais de desrespeitarem as regras do jogo.
Willy Meyer (GUE/NGL), por escrito. − He votado en contra de este informe debido a que no pone en cuestión las normas comerciales internacionales impuestas por la Organización Mundial del Comercio. Pese a que el informe propone normas de funcionamiento que permitan defender los intereses de los Estados miembros ante una eventual acción unilateral, no podemos compartir un sistema de regulación del comercio internacional que es ilegitimo. Las actuales normas que regulan el comercio internacional están impuestas por los grandes países que pueden condicionar las políticas comerciales de los más pequeños. Vivimos en un sistema comercial internacional heredero del imperialismo donde el primer mundo continúa importando los recursos naturales de los países empobrecidos sin ofrecer nada a cambio. Por ello he votado en contra de este informe.
Alexander Mirsky (S&D), in writing. − The EU currently does not have a legislative framework to streamline and effectively enforce its rights under the WTO and other international trade agreements. This proposal will create a legal framework for the EU to do this, so that we can exercise our rights in a timely and effective manner. I voted in favour.
Andreas Mölzer (NI), schriftlich. − Es gilt die Durchsetzung der Handelsrechte der EU zu stärken, die Glaubwürdigkeit der EU zu erhöhen und dafür zu sorgen, dass die Handelspartner sich an die in Handelsübereinkünften niedergelegten Spielregeln halten. Immer wieder muss die EU sich entweder vor der WTO verteidigen oder die WTO in Handelsstreitigkeiten bemühen. In diesem Sinne scheinen ein paar Anpassungen des bestehenden Regelwerks sinnvoll, wobei natürlich die Anzahl der Streitbeilegungen keinesfalls dadurch negativ beeinflusst werden sollte. Retorsion als letztes und befristetes Mittel gegen ein Land, das gegen die Vorschriften verstößt, hat sich in der Vergangenheit als durchaus wirkungsvoll erwiesen, wobei diese Maßnahme natürlich nur sparsam eingesetzt werden darf. Experten sind übrigens der Meinung, dass die handelspolitischen Maßnahmen der EU auch für den Dienstleistungssektor gelten sollten. Die diesbezügliche Argumentation ist überzeugend, sodass ich für den Bericht gestimmt habe.
Radvilė Morkūnaitė-Mikulėnienė (PPE), raštu. − Besikeičiančiame daugiapoliame pasaulyje, kur vienos valstybės išgyvena ekonominius sunkumus, o kitos įgauna naujų ekonominių bruožų, kur nuolat kyla įvairaus pobūdžio iššūkiai saugumui, turi būti tvirtai ginamos tokios pamatinės vertybės kaip demokratija, teisinė valstybė ir žmogaus teisės, socialinis teisingumas ir kova su skurdu. ES turi užtikrinti šių vertybių bei savo piliečių teisių visame pasaulyje apsaugą. Tam reikia darnaus bendradarbiavimo tarp šalių narių, tarp valstybių ir ES institucijų, ir vieningo veikimo daugiašaliuose tarptautiniuose formatuose, bei kalbėjimo vienu balsu su trečiosiomis šalimis. Manau, kad ES ne tik turi stiprinti savo vieningumą ir veiksmingumą, BUSP bei ESGP instrumentus, bet ir tęsti veiksmus įgyvendinant ES strateginius tikslus, pradedant transatlantine partneryste, ekonomine ir politine plėtra rytinėse ir pietinėse kaimyninėse šalyse, Artimųjų Rytų taikos procesu.
Tiziano Motti (PPE), per iscritto. − La presente proposta di regolamento del Parlamento europeo e del Consiglio riflette l'obiettivo prioritario dell'Unione di far valere efficacemente i diritti commerciali in essere. Tale obiettivo è stato illustrato nella comunicazione della Commissione "Commercio, crescita e affari mondiali" ed approvato nelle conclusioni del Consiglio del 21 dicembre 2010. L'Unione non dispone attualmente di un quadro legislativo comune per far valere i suoi diritti derivanti da accordi commerciali internazionali. La presente proposta intende quindi rimediare a questa situazione e l’accogliamo con favore.
Franz Obermayr (NI), schriftlich. − Derzeit fehlt es an klaren Durchsetzungsmechanismen der EU für Handelsübereinkünfte – auch solchen, welche durch die WTO getroffen wurden. Dieser Umstand sorgt dafür, dass gelegentlich notwendige wirtschaftliche Abschreckungs- oder Vergeltungsmaßnahmen von EU-Staaten gegenüber Drittstaaten viel zu langwierig im Beschluss sind. Der Bericht unterstützt eine Vorgehensweise, mit der solche horizontalen Maßnahmen schneller durchgeführt werden können, allerdings wird darauf verweisen, dass dies nach wie vor als letztes Mittel angesehen werden muss. Meines Erachtens sind glaubwürdige, weil durchführbare Drohungen wichtig, um eine funktionierende Abschreckung schadhafter Handelspraktiken anderer Staaten sicherzustellen. Das soll nicht heißen, dass Abschreckungs- oder Vergeltungsmaßnahmen häufiger durchgeführt werden sollten, aber die offen bekannte Möglichkeit, es machen zu können, stärkt die Verhandlungsmacht der EU-Mitgliedstaaten, um ihren Forderungen Nachdruck zu verleihen, bevor es zu besagter ultima Ratio kommen muss. Im Hinblick auf die steigende Wirtschaftsmacht Chinas und der BRICS-Staaten sind solche Möglichkeiten wichtiger denn je. Infolgedessen habe ich für den Bericht und seine Empfehlungen gestimmt.
Maria do Céu Patrão Neves (PPE), por escrito. − A UE não dispõe atualmente de um quadro legislativo horizontal para fazer cumprir os seus direitos ao abrigo da OMC e de outros acordos de comércio internacionais. Num contexto global em que é crescente o número de medidas de retaliação, o instrumento proposto é legitimamente concebido para fazer cumprir os direitos comerciais da UE, para consolidar a credibilidade da UE e, em última análise, para convencer os nossos parceiros comerciais a respeitarem as regras do jogo estabelecidas nos acordos de comércio. A presente proposta é também parte integrante da estratégia de abertura de novos mercados para a UE e alinha os procedimentos de tomada de decisão com o Tratado de Lisboa. Votei favoravelmente a presente proposta que apenas peca por ser pouco ambiciosa. No entanto, a existência do regulamento, por si só, constitui um instrumento credível que se espera que sirva para dissuadir os nossos parceiros comerciais de desrespeitarem o quadro normativo da União.
Crescenzio Rivellini (PPE), per iscritto. − In mattinata il Parlamento europeo, convocato in seduta plenaria, ha votato una relazione dell'onorevole Rinaldi concernente la proposta di regolamento del Parlamento europeo e del Consiglio relativo all'esercizio dei diritti dell'Unione per l'applicazione e il rispetto delle norme commerciali internazionali.
La risoluzione persegue il fine legittimo di far valere i diritti commerciali dell'UE, consolidare la sua credibilità nonché convincere i nostri partner commerciali al rispetto delle regole del gioco come previsto dagli accordi internazionali, in un contesto globale dove le ritorsioni commerciali sono all'ordine del giorno.
Inoltre, ampiamente condivisibile è il parere, proposto dal relatore, secondo cui la gamma di misure di politica commerciale a disposizione dell'UE dovrebbe essere estesa, includendo il settore dei servizi. La proposta di regolamento stabilisce, infine, una concreta cooperazione tra la Commissione e il Parlamento, senza ritardare il processo decisionale.
Per i motivi suddetti, non posso fare a meno di appoggiare un regolamento che, per il semplice fatto di esistere, costituisce una minaccia credibile per i nostri partner commerciali inclini al mancato rispetto delle regole del gioco.
Sergio Paolo Francesco Silvestris (PPE), per iscritto. − Il commercio mondiale riguarda tutti noi, sebbene la politica commerciale sembri un argomento tecnico, in realtà essa influisce sulla vita di tutti i cittadini. Con la globalizzazione un numero crescente di Paesi partecipa all’economia mondiale. L'UE è fortemente interessata a creare le condizioni necessarie per un’espansione degli scambi e la sua posizione implica talune responsabilità nei confronti del resto del mondo. Nonostante tutto questo, L'UE non dispone attualmente di un quadro legislativo orizzontale per far valere i suoi diritti nel quadro dell'OMC e nell'ambito di altri accordi commerciali internazionali. Esprimo il mio voto favorevole affinché l'Europa si doti di uno strumento concepito per il fine legittimo di far valere i diritti commerciali dell'UE, consolidare la sua credibilità e, in definitiva, convincere i nostri partner commerciali a rispettare le regole del gioco come previsto dagli accordi commerciali.
Catherine Stihler (S&D), in writing. − I voted in favour of the application and enforcement of international trade rules as I aim to discourage the unfair trading practices between trading partners within the EU.
Kay Swinburne (ECR), in writing. − I voted in favour of this report on the proposal to strengthen the enforcement of the EU’s trade rights in trade agreements and I am pleased that this report facilitates a role for the European Parliament’s International Trade Committee, via the holding of regular exchanges of views with the European Commission on matters relating to trade dispute management.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce texte. L'Union européenne ne dispose actuellement d'aucun cadre législatif horizontal pour faire appliquer ses droits découlant de l'accord sur l'OMC et d'autres accords commerciaux internationaux. Dans un contexte mondial où le nombre de mesures de rétorsion augmente, l'instrument proposé est légitimement conçu pour renforcer l'application des droits commerciaux de l'Union, asseoir la crédibilité de celle-ci et, in fine, convaincre nos partenaires commerciaux de respecter les règles du jeu énoncées dans les accords commerciaux. La proposition à l'examen s'inscrit également dans une stratégie visant à élargir les débouchés de l'Union et aligne le processus de décision sur le traité de Lisbonne.
Nuno Teixeira (PPE), por escrito. − Numa era de globalização permanente, mostra-se essencial para a União Europeia a existência de um quadro legislativo horizontal que faça cumprir os seus direitos ao abrigo da Organização Mundial do Comércio e de outros acordos de comércio internacionais. Esta salvaguarda legislativa não vem só garantir o cumprimento dos direitos comerciais da UE mas também vem consolidar a sua credibilidade, fazendo ver aos futuros parceiros comerciais quais são as regras estabelecidas nos diversos acordos de comércio. O relatório propõe também regras para a resolução de litígios multilaterais, regionais e bilaterais como, por exemplo, medidas de retaliação defensiva temporária contra o país em situação de infração.
Derek Vaughan (S&D), in writing. − I voted for the exercise of the Union’s rights in the application and enforcement of international trade rules. I did so because I believe that there is a need to create a legal framework for the EU to enforce its rights in international trade disputes and conciliation. With common commercial policy being an exclusive competence of the EU, and the number of global trade disputes rising, I think that there is a need for this framework to be implemented. This is because this framework will allow fast and effective decision-making, in relation to retaliatory measures the Union could take in response to any unfair trading practices from our trading partners.
Angelika Werthmann (ALDE), in writing. − I voted in favour of the report because Europe’s economy must be given a chance to restart; we have to enforce and at the same time protect the EU’s trade rights. Because, generally I believe that ‘trade’ is a key element in one’s country’s economic development. Maybe the current legislative framework for the EU’s trade rights will not be the direct solution for decreasing the current unemployment rate across Europe’s countries, but it can be a general answer and a starting solution for the EU’s economies. Openness to new markets can be translated into new business opportunities for least developed EU countries that struggle to make their local business stronger and boost competiveness, by facilitating and promoting the growth of small and medium-sized enterprises. But at the same time we have to convince our trading partners that certain rules, trade agreements, must be followed.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. − Esta proposta estabelece regras e procedimentos para garantir o exercício efetivo dos direitos da UE de suspender e retirar concessões ou outras obrigações nos acordos de comércio internacionais. Esta proposta abrange quatro tipos de situação: medidas de retaliação após a adjudicação de disputas comerciais no âmbito da OMC, medidas de retaliação após a adjudicação de disputas comerciais no âmbito de outros acordos internacionais, medidas de reequilíbrio quando um terceiro país adota uma salvaguarda sem adequadas medidas de reequilíbrio e medidas de reequilíbrio nos casos em que um terceiro modifica as suas concessões tarifárias. O relator alerta que a ideia é não usar o mecanismo agora criado. A sua simples existência, diz, gerará um efeito dissuasor que tornará desnecessária a sua utilização. É a União Europeia a querer impor os seus desígnios e a acautelar os seus interesses, incitando os países terceiros a respeitar as regras de comércio internacionais.
13.5. Eiropas Jūrlietu un zivsaimniecības fonds (A7-0282/2013 - Alain Cadec)
Rosa Estaràs Ferragut (PPE). - Señor Presidente, tal como ya dije en mi intervención, es muy importante para la delegación española el mantenimiento de las ayudas destinadas a ajustar la capacidad pesquera de la flota y a compensar el coste económico en situaciones críticas como la finalización de un acuerdo pesquero.
Y defendimos en aquel momento, y seguimos defendiendo, que las ayudas a las paralizaciones temporales y definitivas deberían mantenerse, máxime cuando se ha decidido no aplicar un régimen de cuotas transferibles. Una vez descartado este régimen de cuotas transferibles, es necesario dotar al nuevo Fondo de líneas de ayuda que faciliten su aplicación a la flota.
Seán Kelly (PPE). - A Uachtaráin, is dóigh liom gur tuarascáil an-mhaith é seo mar go mbaineann sé leis an bhfarraige agus go háirithe le hiascairí agus caithfidh mé a rá go bhfuil moladh mór ag dul don Aire Éireannach Simon Coveney as ucht an dea-obair a rinne sé chun an comhbheartas iascaireachta a thabhairt thar an líne. Dá bhrí sin, is dócha go bhfuil gach duine sásta go bhfuil dul chun cinn maith déanta againn. Ach ag an am céanna, caithfimid a smaoineamh go bhfuil 80% de na héisc a ithimid san Eoraip á iompórtáil agus níl aon chiall leis sin. Dá bhrí sin, caithfimid tacaíocht a thabhairt do na hiascairí chun níos mó iasc a bheith ar an margadh agus chun seans go háirithe a thabhairt do dhaoine óga dul isteach sa ghairm bheatha sin. Agus tá mé ag caint faoi bhuachaillí agus cailíní agus is ceart tacaíocht agus oideachas a thabhairt dóibh maidir le gach rud a bhaineann le hiascaireacht agus leis an bhfarraige agus is dóigh liom gur tuarascáil an-mhaith é seo agus molaimid an tUasal Cadec, an Coimisinéir agus gach duine.
Mitro Repo (S&D). - Arvoisa puhemies, on selvää, ettei meri voi tarjota meille määräänsä enempää, siksi ylikalastusta tulee torjua. Jo 88 % Välimeren kalakannoista on ylikalastettuja. Siirrettävien kalastusoikeuksien käyttöönotto ei kuitenkaan ole ratkaisu, päinvastoin. Se johtaisi kalastusoikeuksien muuttumiseen kauppatavaraksi. Olisikin vastuutonta vaarantaa pienimuotoinen kalastus ja rannikkokalastus tällä tavoin. Asialla on merkittävä sosiaalinen ulottuvuus, jota ei saa sivuuttaa.
Ohjaamalla rahastosta tukia oikeisiin toimenpiteisiin voidaan luoda moninaisia työpaikkoja alalla ja parantaa työllisyysastetta. Taloudellisesta ja sosiaalisesta kriisistä nousemiseksi on jo pitkään peräänkuulutettu starttiyritysten puskemista liikkeelle. Tässä meillä on tarjolla konkreettinen keino alkaa toimia puheittemme mukaisesti.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. − Trata-se de um importante relatório para os pescadores açorianos, na medida em que contempla medidas que são decisivas para a sua subsistência e, consequentemente, para a economia açoriana, onde o setor das pescas desempenha um papel fundamental. Desde logo, o regulamento passa justamente a incluir uma atenção especial às regiões ultraperiféricas, na definição das Prioridades da União, nos objetivos do FEAMP. Muito importante foi a aprovação da minha proposta de atribuição nas taxas de cofinanciamento de mais 10 pontos percentuais, acrescidos ao limite máximo na participação do FEAMP, sempre que sejam financiadas pelo FEAMP operações nas ilhas gregas periféricas e nas regiões ultraperiféricas que, devido à distância, se encontram numa situação de desvantagem. Para além disso, trata-se de um futuro regulamento que incluirá apoios à cessação temporária, durante períodos de defeso biológico. Por outro lado, serão financiados estudos no âmbito da proteção das nossas zonas biogeograficamente sensíveis, para a identificação e classificação destas zonas. Serão também apoiados o investimento em equipamentos e artes de pesca que permitam uma melhor seletividade das espécies e gestão dos recursos, assim como os custos operacionais relacionados com o controlo, inspeção, monitorização e rastreabilidade da atividade da pesca e dos recursos haliêuticos.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), raštu. − Balsavau už rezoliuciją dėl Europos jūrų reikalų ir žuvininkystės fondo, kurioje iškeltas ambicingas siekis nutraukti žuvų išteklių pereikvojimą ir Europos žuvininkystės sektorių nukreipti tvaraus ir pelningo verslo keliu. Manau ypatingai svarbu pabrėžti tai, kad būtina teikti didesnę paramą duomenų rinkimui ir kontrolės vystymui bei nustoti skatinti žvejybos pajėgumų augimą. Visų pirma, atsižvelgiant į tai, kad šiuo metu Europos Sąjungos metinės subsidijos žvejybos sektoriuje sudaro apie 836 mln. eurų už struktūrines priemones ir 156 mln. eurų už žuvininkystės partnerystės susitarimus, tik 50 mln. eurų yra skiriama moksliniams tyrimams, duomenų rinkimui, valdymo ir kontrolės priemonių užtikrinimui. Efektyvus duomenų rinkimas ir kontrolės užtikrinimas yra esminiai veiksniai lemiantys žuvininkystės valdymą, todėl turi būti du kartus padidinta suma skirta duomenų rinkimui ir kontrolei. Visų antra – ES vandenyse yra paplitusi pernelyg intensyvi žvejyba. Kai kuriuose regionuose perteklinis ES žvejybos pajėgumo lygis viršijamas net du ar tris kartus. Šiuo metu net 39 proc. įvertintų išteklių Atlanto vandenyne ir 88 proc. Viduržemio jūroje yra pereikvoti. Reikia turėti omenyje tai, kad tokia žuvies išteklių būklė gali kainuoti daugiau nei 3 mlrd. eurų kasmet dėl prarandamų laimikių. Todėl mes, Europos Parlamento nariai, pasisakome prieš paramą laivyno atnaujinimui ir priemones, skirtas išlaikyti ar net padidinti perteklinius žvejybos pajėgumus.
Roberta Angelilli (PPE), per iscritto. − La Commissione europea ha approvato, il 2 dicembre 2011, la proposta di regolamento per il nuovo Fondo europeo per gli affari marittimi e la pesca, che dovrà sostituire l'attuale FEP. La transizione verso la sostenibilità impone infatti di modificare radicalmente il modo in cui peschiamo: il Fondo offrirà agli operatori gli incentivi necessari per ridurre l'impatto delle loro attività sugli ecosistemi marini, porre fine all'eccessivo sfruttamento delle risorse e arrestare il declino degli stock ittici, priorità non secondarie rispetto al rilievo economico del settore pesca in Europa. Mi auguro che il bilancio proposto permetterà di raggiungere gli obiettivi previsti dalla riforma della Politica comune della pesca (PCP), ma anche gli obiettivi della Politica marittima integrata.
Sophie Auconie (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce rapport sur le Fonds européen des affaires maritimes et de la pêche (FEAMP). Doté d'un budget de 6,5 milliards d'euros, ce fonds constitue le volet financier de la réforme de la politique commune de la pêche pour 2014-2020. Compte tenu de l'épuisement des ressources du milieu marin, il était important que les moyens financiers européens ne soutiennent pas les modes de pêche non durables. Ainsi, je me suis opposée au financement du renouvellement de la flotte et j'ai soutenu les initiatives qui viseront à améliorer la collecte de données. Cet ensemble législatif permettra d'orienter l'Union européenne vers une pêche durable en corrélation avec les ressources tout en offrant les possibilités nécessaires aux pêcheurs d'adapter leur activité.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. − Balsavau už šį siūlymą dėl Europos jūrų reikalų ir žuvininkystės fondo. Siūlymo tikslas – naujas ES jūrų politikai ir žuvininkystės politikai skirtas fondas. Komisija siūlo 2014–2020 m. laikotarpiui įsteigti naują Europos jūrų reikalų ir žuvininkystės fondą (EJRŽF). Fondo lėšomis būtų finansuojami projektai, kuriais kuriamos naujos darbo vietos ir gerinama gyvenimo Europos pakrančių teritorijose kokybė. Šis fondas pakeistų dabartinį Europos žuvininkystės fondą (EŽF) ir įvairias kitas priemones. Siūlomas 2014–2020 m. laikotarpio finansinis paketas – 6,5 mlrd. eurų. Pritariu siūlymams naujojo fondo lėšomis remti novatoriškus projektus, pavyzdžiui, žvejybos tinklų keitimą selektyvesniais žvejybos įrankiais, kad atgal į jūrą žuvų būtų išmetama mažiau, ir žvejybos bei žuvivaisos poveikį aplinkai padedančių mažinti naujų technologijų kūrimą. Kartu EJRŽF turėtų skirti pakankamai lėšų duomenų rinkimui, stebėsenai ir kontrolei. Pritariu S&D frakcijos pozicijai, kuria siekiama atnaujinti ES žuvininkystės politiką, užtikrinti tvarią žuvininkystę ir žuvų išteklių atkūrimą.
Erik Bánki (PPE), írásban − Az Európai Parlament mai ülésén szavazott az uniós halászati alap új, 2014–2020 közötti költségvetési időszakban érvényes szabályairól. Jelentős magyar siker született az Európai Parlamentben, hiszen sikerült megakadályozni a magyar halászat fejlődését, jövőjét veszélyeztető javaslatok elfogadását. Az eredeti jelentés szerint ugyanis nem lehetett volna uniós támogatást adni az ún. egzotikus halfajokkal kapcsolatos, ill. Natura 2000 területen végrehajtandó beruházásra. Ezek a javaslatok szakmailag hibásak, tudományosan megalapozatlanok és ellentétesek a magyar érdekekkel. Halastavaink jelentős része Natura 2000 területen fekszik. Ezek a halgazdaságok azonban semmilyen veszélyt nem jelentenek ezen területek természeti értékeire. Éppen ellenkezőleg: sok esetben a halastavak által létrehozott, ill. megőrzött egyedi vizes élőhelyi társulásoknak köszönhetik ilyen minőségüket. A magyar halgazdaságok fejlesztései révén legalább 200 új munkahely, és közel 12 milliárd forintnyi új beruházás jöhet létre a következő 7 évben.
Слави Бинев (EFD), в писмена форма. − Смятам, че докладът относно измененото предложение за регламент на Европейския парламент и на Съвета относно Европейския фонд за морско дело и рибарство е ясен и целесъобразен. Измененията са добри и включват няколко основни аспекта, които касаят пряко и България.
Гласувах в подкрепа за гарантиране на условия на равнопоставеност на организациите на производителите в целия Европейски съюз, както и това финансирането на разработването на планове за производство и предлагане на пазара да става пряко. Приветствам и предложенията за устойчиво и солидарно териториално развитие на районите, зависими от риболова. Съгласен съм, че ЕФМДР следва да подкрепя развитието, конкурентоспособността и устойчивостта на риболова.
Biljana Borzan (S&D), napisan. − Stanje podmorja i ribljeg fonda na istočnoj, hrvatskoj strani Jadrana je prema svim pokazateljima bolje nego na njegovoj zapadnoj strani. Novi propisi koji bi takvo stanje održali ili popravili su dobro došli. No, neke odredbe i amandmani na prijedlog Europskog fonda za pomorstvo i ribarstvo imali bi direktne negativne posljedice na sektor morske i slatkovodne akvakulture u Hrvatskoj i zato ih ne mogu podržati. Akvakutura je jedan od načina za zadovoljavanje potreba za ribom bez povećavanja izlova i daljnjeg osiromašenja ribljeg fonda. Taj sektor doživljava stalan rast i zapošljava sve veći broj ljudi te značajno pridonosi hrvatskom i europskom izvozu. Definicije intenzivne akvakulture i egzotičnih vrsta su dvosmislene i nejasne, a mogu velik dio hrvatskih uzgajališta ostaviti bez potpore iz Europskog fonda za pomorstvo i ribarstvo. To bi ih dovelo u podređen položaj u odnosu na konkurenciju iz Europske unije i izvan nje te zaprijetilo gašenjem ove važne grane gospodarstva.
John Bufton (EFD), in writing. − I voted against this report is it demonstrates yet another attempt by the EU to seize taxpayers’ money to plunder people’s fisheries.
Alain Cadec (PPE), par écrit. – En adoptant mon rapport, le Parlement donne un avenir à notre modèle de pêche. Le FEAMP ne sera pas un instrument de reconversion des pêcheurs hors de la pêche comme le proposait la Commission européenne. Au contraire, il favorisera l'accès des jeunes aux métiers de la pêche par une aide à l'installation. Il permettra également sous certaines conditions le remplacement des moteurs pour une moindre consommation et moins d'émissions de CO2. Le FEAMP tel qu'adopté par le Parlement donne aux pêcheurs les moyens de mettre en œuvre la réforme de la politique commune de la pêche dans le cadre d'une pêche durable. Mon rapport octroie des moyens financiers pour renforcer la sélectivité des engins de pêche. Il permet de financer des périodes de repos biologiques de soutenir les arrêts temporaires en cas de mesures de préservation ou encore d'augmenter les moyens alloués au contrôle et à la collecte des données. L'adoption de mon rapport est un succès indiscutable pour la préservation des ressources halieutiques et pour la compétitivité du secteur. Je défendrai ces principes lors des négociations avec le Conseil.
Maria Da Graça Carvalho (PPE), por escrito. − Concordo com a proposta do relator para implementação deste fundo, fundamental para conceder ajudas estruturais ao setor das pescas para reforçar a sua competitividade e sustentabilidade. O apoio à diversificação das atividades de pesca noutros setores contraria este objetivo. Importa, pelo contrário, incentivar a criação de empresas no setor das pescas.
Françoise Castex (S&D), par écrit. – Ce fonds doit permettre aux pêcheurs européens de faire face à la concurrence mondiale, concurrence déloyale sur le plan économique et social et qui conduit aujourd'hui à importer plus de 60% des produits de la mer que nous consommons. Pourtant, malgré ces avancées, il reste un regret. On ne peut pas exiger des mutations de la pêche sans renouveler l'outil de travail, c'est à dire le navire. Et l'on peut tout à fait renouveler la flotte sans augmenter la capacité de pêche. Pour améliorer la rentabilité économique, la sécurité, la sélectivité pour éviter les rejets, pour équiper les navires de systèmes de propulsion moins polluants, des aides publiques sont nécessaires. Jusqu'à preuve du contraire, le libre marché mondialisé n'est pas un outil de mise en œuvre des politiques européennes, et encore moins d'une politique alimentaire. Les forces du marché n'aideront pas les navires vétustes à devenir des parangons de sélectivité. Je suis favorable aux aides publiques lorsqu'elles participent de la prospérité de l'Europe et non à son déclin. Je continuerais à me battre pour que l'Union européenne aide cette activité à se renouveler et à se préserver.
Lara Comi (PPE), per iscritto. − L'Istituzione del Fondo Europeo per gli Affari marittimi e la pesca (FEAMP), con una dotazione di circa 6,3 miliardi di euro, costituisce uno strumento importante per la riforma della politica comune della pesca. Ho espresso dunque il mio voto favorevole a questa proposta di risoluzione che introduce una serie d'importanti novità. In primo luogo, si garantisce un maggiore sostegno alle piccole imprese e alla pesca artigianale che creano posti di lavoro e reddito per migliaia di famiglie in Italia e in Europa. In secondo luogo, la proposta prevede l'attuazione di programmi per la formazione professionale dei giovani e agevolazione per il loro ingresso nel settore. Infine, attraverso il rafforzamento delle conoscenze scientifiche, l'utilizzo di dati e analisi approfondite e il costante dialogo con rappresentati del settore, questa risoluzione si orienta verso una politica comune della pesca più efficace, a tutela della biodiversità marina e dei lavoratori che operano in questo settore.
Ricardo Cortés Lastra (S&D), por escrito. − En mi región, Cantabria, el sector pesquero tiene un peso muy importante, ya no solo desde el punto de vista económico, también en lo que afecta al tejido social, y de este Fondo depende en gran parte su eficacia y su competitividad en los próximos seis años. Los socialistas españoles hemos propuesto en este informe un Fondo Europeo Marítimo y de Pesca para el período 2014-2020 fuerte y útil y hemos pedido que se añadan 900 millones de euros a la cifra propuesta por el Consejo, alcanzando así los 6 500 millones. Con ellos queremos asegurar más ayudas a la formación para promover el empleo juvenil en el sector, la igualdad y el relevo generacional. Hemos mostrado un claro apoyo a la pesca artesanal y a la mejora de las condiciones de trabajo de quienes se dedican a este sector, de acuerdo con las normas de la OIT.
Emer Costello (S&D), in writing. − Earlier this year, the EP and the Council reached agreement on an ambitious reform of the common fisheries policy, with the aim of ensuring a sustainable future or fishing communities, enabling fish stocks to recover, the progressive elimination of discards, and minimising the impact of fisheries on the marine environment. The amendments now approved by the EP to the 2014-20 European Maritime and Fisheries Fund would give us the means to achieve these aims. I welcome the emphasis on improved data collection, monitoring and inspections, on reducing subsidies that encourage over-fishing, on boosting employment, especially among younger fishermen, and on introducing more selective fishing gear to cut discards. I also very much welcome the amendments seeking to disallow applications for support, for a certain period, from operators also found guilty of serious breaches of legislation concerning pay and employment conditions, health and safety, and human or drug trafficking. The fishing industry accounts for less than 0.2% of the EU workforce yet 7% of all workplace fatalities. Fishing jobs must be safe jobs. I would urge the Council to now work with the EP so that the new EMFF can commence operations by 1 January 2014.
Rachida Dati (PPE), par écrit. – Le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche est un outil clef pour financer la politique commune de la pêche, et les propositions du rapporteur allaient dans le bon sens, celui d'une pêche durable et qui soutient les pêcheurs européens, surtout ceux travaillant dans des petites structures. Je me félicite de ce que des mesures visant à améliorer la collecte des données aient été adoptées: elles nous permettront de mieux connaître l'état de la ressource pour adapter au mieux nos actions.
Marielle de Sarnez (ALDE), par écrit. – Aujourd'hui, plus de 88% des stocks de poissons en Europe sont surpêchés. Le fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche doit contribuer à mettre fin à ce problème et permettre au secteur d'évoluer vers une pêche durable et respectueuse des ressources que les océans lui offrent. Il est crucial, pour l'équilibre des mers et pour l'équilibre même de la pêche (en particulier pour la pêche à petite échelle, artisanale et côtière) de permettre le renouvellement des ressources. Celles-ci sont un bien commun que chacun se doit de préserver. L'argent des contribuables européens ne doit pas servir à financer le renouvellement des bateaux ce qui irait dans le sens de la surpêche et de l'épuisement des stocks. Cette stratégie suppose aussi de se donner les moyens d’en contrôler sa mise en oeuvre. Il fallait donc des financements adéquats pour permettre aux autorités publiques de lutter plus efficacement contre la pêche illégale, qui représente jusqu'à 40% des débarquements. Les pêcheurs des régions ultrapériphériques, qui font face à des réalités géographiques radicalement différentes de celles de l’Europe continentale, n’ont pas été oubliés par cette réforme. Le nouveau FEAMP double leur dotation pour la pêche et permettra d'accompagner les pêcheurs dans leurs stratégies de développement locales.
Christine De Veyrac (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce texte car j'estime qu'il est important de doter l'Union européenne d'un Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP) donnant lieu à une politique réaliste de la pêche. Celle-ci passe par la réduction des capacités de pêche, tout en garantissant l'activité de nos pêcheurs. J'approuve notamment la volonté européenne d'apporter un soutien aux jeunes pêcheurs.
Robert Dušek (S&D), písemně. − Zpráva o evropském a rybářském fondu je součástí reformy rybářské politiky EU a dokládá spor mezi dvěma stranami. Jedna strana usiluje o zachování rybolovných zdrojů a mořské biodiverzity pro budoucí generace. Oproti tomu řada států, které mají z rybolovu výrazné zisky, prosazuje provozování komerčního rybolovu stejným způsobem jako doposud. Já jsem pro udržitelný rybolov a zachování odvětví jako obživy i pro budoucnost a proti pokračování masového výlovu moří a oceánů. Až bude totiž vyloveno, rybáři ztratí svoji obživu navždy. Komerční rybolov navíc prospívá zejména bohatým koncernům, které ochrana rybolovných zdrojů i další pravidla o zakázání výmětů z lovu nezajímá. Jde jim v první řadě o zisky. Absolutně nesouhlasím s tvrzením zpravodaje, že nadměrná kapacita loďstva je diskutabilní. Prosazuji snížení počtu loďstva a zároveň snížení možné míry odlovu, a to co nejdříve. Zatímco diskutujeme, rabují se oceány a moře nadále a nikdo s tím nic nedělá. Rybářské společnosti ve sladkovodních zónách přispívají a starají se o své chovy ryb, které pak mají právo odlovit. Rybářské společnosti působící na mořích a oceánech se oproti tomu na udržení stavu rybích populací podepisují značně záporně. Zprávu jako celek vítám. Hlasoval jsem pro pozměňovací návrhy, které pomáhají udržet rybolov jako odvětví i do budoucna.
Ioan Enciu (S&D), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport établissant le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche pour la période 2014-2020, et je me félicite de son adoption. Le texte adopté a largement pris en compte un grand nombre de demandes issues du groupe Socialiste et Démocrate visant notamment à la création de nouveaux emplois au lieu d'utiliser les fonds disponibles pour financer l'achat de nouveaux bateaux sans stratégie économique durable. Le Fonds pour la pêche fournira 6 milliards d'euros afin de financer près de 60% des subventions accordées en soutien aux pécheurs pendant leurs périodes d'inactivité forcée, pour encourager une réduction progressive de la flotte de bateaux de pêche en activité, ainsi que dans l'objectif de construire des bateaux plus sûrs et respectueux de l'environnement. Ce vote est un pas important dans le développement d'une pêche européenne socialement et écologiquement durable, qui permettra également une meilleure distribution des fonds européens, ainsi qu'un contrôle plus strict de leur utilisation. Enfin, c'est un texte fondamental pour permettre de préserver les stocks de poissons qui ont été sévèrement impactés par la croissance de la "surpêche", ce qui représente un bon signal donné par l'Union européenne.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − A questão da capacidade pesqueira da União Europeia surge recorrentemente no debate político cavando uma divergência já costumeira entre os chamados amigos da pesca e os amigos do peixe. Creio ter tido já a oportunidade de manifestar o meu desacordo perante esta dicotomia. Em meu entender, esta não só é falsa como se arrisca a enquistar um debate, que se deseja fluido mas rigoroso, em torno de posições maximalistas que, de tão irredutíveis, em nada contribuem para a busca de soluções concretas para os problemas concretos. Assisti com pesar ao desmantelamento das frotas pesqueiras de diversos países, entre os quais o meu, e lamento o modo como esta retração da atividade afetou negativamente as comunidades pesqueiras da União. De igual modo, não ignoro os riscos e os efeitos da sobrepesca que ameaçam ter naquelas um impacto ainda mais devastador, a médio e longo prazo. É neste quadro da busca de equilíbrios complexos num tema difícil que entendo o compromisso alcançado.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. − O mar tem de ser uma prioridade concreta, com um grande potencial de impacto positivo e promotor da dinamização da economia e da criação de emprego. A União Europeia deve concentrar esforços no aproveitamento e na rentabilização dos recursos disponíveis desta área, através de uma estratégia que garanta a sustentabilidade ambiental e económica das atividades ligadas ao mar. A defesa da biodiversidade é seguramente uma prioridade que deve conciliar os interesses de todos os agentes envolvidos neste setor. Impõe-se uma estratégia comum, capaz de uma gestão concertada e integrada na utilização dos recursos, mas que assegure uma resposta cabal e eficaz às especificidades de cada região nesta área. Saliento a importância da pesca artesanal para a defesa da biodiversidade, dinamização económica e estabilidade social de zonas e regiões específicas do espaço europeu, razão pela qual a UE deve garantir fundos para apoiar a sua atividade, tanto ao nível da renovação de frota e equipamentos como de segurança e desassoreamento. No setor do mar e das pescas, a investigação deve ter um papel primordial na definição de novas estratégias de desenvolvimento do setor.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − O resultado desta votação em plenário confirma, no essencial, a votação ocorrida na comissão das pescas. Valorizamos que a votação tenha confirmado a inclusão na proposta de regulamento de importantes propostas que fizemos, como seja: - a possibilidade de o FEAMP apoiar financeiramente a cessação temporária das atividades de pesca durante períodos de defeso biológico – o apoio às chamadas paragens biológicas, uma reivindicação de há muito do setor e uma medida com impacto positivo significativo para pescadores e armadores e para a própria sustentabilidade dos recursos, - o aumento do cofinanciamento comunitário na recolha e gestão de dados biológicos, dos atuais 50% para 80% (taxa máxima), o que se reveste da maior importância para uma gestão sustentável das pescarias, assente no conhecimento científico, - a majoração do cofinanciamento de projetos ligados à pesca de pequena escala em 30 pontos percentuais. Persistem, todavia, muitas lacunas e insuficiências no regulamento, que motivaram a nossa abstenção. Lamentamos, além disso, a rejeição de propostas relativas a uma definição mais realista para a pesca de pequena escala; ao apoio do FEAMP à construção de novos portos, locais de desembarque e lotas; ao apoio do FEAMP, sob rígidas condições, à substituição de motores por razões de segurança a bordo e à renovação da frota, entre outras.
Christofer Fjellner (PPE), skriftlig. − Vi betonar vikten av att EU:s subventioner till fiskeindustrin minskar och på sikt försvinner. Syftet med det nya allmänna regelverket för fisket är att bestånden på sikt ska återuppbyggas, vilket ökar lönsamheten för fiskesektorn. Det ökar trycket att avskaffa subventionerna till fisket. Vi beklagar att Europaparlamentet ställde sig bakom kapacitetsökande stöd för bland annat motorbyten, tillfälligt stillestånd, uppstartsstöd och lagerstöd. Då stöden för datainsamling och kontrollåtgärder fördubblas och stöden för nybyggnation röstades ut ur förslaget valde vi dock att ställa oss bakom reformen. Vår grundläggande position är dock att skattebetalarnas pengar inte ska gå till den här typen av industrisubventioner.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. − V oznámení Komisie Európskemu parlamentu, Rade, Európskemu hospodárskemu a sociálnemu výboru a Výboru regiónov s názvom Reforma spoločnej rybárskej politiky (SRP) sa sformulovali možné úlohy, ciele a zameranie SRP po roku 2013. Na základe diskusie o tomto oznámení by sa SRP mala reformovať s účinnosťou od 1. 1. 2014. Rozsah pôsobnosti Európskeho fondu pre námorníctvo a rybárstvo by mal obsahovať aj podporu SRP v zmysle ochrany, riadenia a využívania morských biologických zdrojov, sladkovodných biologických zdrojov a akvakultúry. Cieľom je zabezpečiť, aby činnosti rybolovu a akvakultúry prispievali k dlhodobo udržateľným environmentálnym podmienkam žiaducim pre hospodársky a sociálny rozvoj.
Elisabetta Gardini (PPE), per iscritto. − Ho appoggiato la relazione sul Fondo europeo per gli affari marittimi e la pesca (FEAMP), il nuovo strumento destinato a finanziare la Politica comune per la pesca per il periodo 2014-2020. Ritengo che i compromessi raggiunti possano contribuire a una politica europea per la pesca realistica. Da un lato si è tenuto conto dell´esigenza di procedere a una riduzione graduale della capacità di pesca a livello dell´Unione. Riduzione che non deve derivare tanto da un taglio del numero di navi, quanto da un più rigido controllo sul rispetto dei tetti fissati alle quantità di pescato e da una politica di rinnovo e di ammodernamento della flotta e sostituzione dei motori, che garantisca navi più economiche sul piano energetico, più selettive e meno potenti. Dall´altro lato si è cercato di garantire la sostenibilità e la rimuneratività delle attività di pesca, attraverso il sostegno alla diversificazione, alla formazione professionale e all´ingresso dei giovani nel settore della pesca e allo sviluppo dell´acquacultura. Il ruolo del FEAMP dovrebbe essere quello di incoraggiare la creazione di imprese nel settore della pesca e sostenere, in particolare, la competitività e la sostenibilità della pesca artigianale e costiera, così importante per la vitalità degli spazi costieri.
Catherine Grèze (Verts/ALE), par écrit. – Nous votions le programme de financement pour la pêche européenne sur la période 2014-2020. Ce fonds (FEAMP) constitue le volet financier de la PCP. Cet instrument est essentiel pour qu’une pêche européenne durable soit enfin mise en place efficacement. Je n’ai pas soutenu la proposition de M. Cadec car il met en péril la possibilité d’une pêche réellement durable ! Certaines de nos propositions, comme l’augmentation des fonds attribués à la recherche et au contrôle ou encore le fait de ne pas réintroduire de subventions pour le renouvellement des flottes, ont été acceptées. Mais la réforme ambitieuse de la PCP récemment adoptée par le PE risque d’être compromise. Au lieu de mettre fin à la surpêche, la majorité des députés a préféré attribuer ces fonds à des pratiques en conflit avec la durabilité de la PCP. Ils ont notamment réintroduit des fonds directs encourageant de nouvelles capacités de pêches, en clair : on augmente la capacité de capture (ex. moteurs plus performants), qu’il faudrait pourtant réduire et sans créer d’emploi. Ce fonds devait assurer une pêche européenne responsable, la protection de la biodiversité marine ainsi que l’avenir des pêcheurs, ce ne sera peut-être pas le cas.
Nathalie Griesbeck (ALDE), par écrit. – Nous le savons, les stocks de poissons dans nos mers se raréfient, menaçant la subsistance de certaines espèces et l'activité de nos pêcheurs. Le fonds européen que nous venons de valider a pour ambition de faire évoluer notre pêche vers un modèle qui soit plus durable et respectueux des ressources de la mer et je m'en félicite. Nous avions acté il y a peu le principe d'une pêche côtière, artisanale et de petite échelle. Ce fond valide cette vision en permettant de lutter plus efficacement contre la pêche illégale, en favorisant le renouvellement d'une flotte qui soit plus durable et en permettant aux pêcheurs de mieux respecter l'interdiction de rejets en mer. Enfin, le fond favorisera l'installation des jeunes pêcheurs à conditions qu'ils achètent un navire de pêche artisanale ou côtière. Il s'agit ici d'une mesure pour construire l'avenir que je salue.
Françoise Grossetête (PPE), par écrit. – Soucieuse de la défense d’une pêche artisanale, j’ai voté en faveur de ce rapport, qui permet de préserver les stocks de poissons tout en assurant l'avenir de nos pêcheurs. Ce Fonds européen dégagera 6,3 milliards d'euros en faveur d'une nouvelle politique commune de la pêche. Il devrait notamment aider au financement de moteurs plus modernes pour la flotte de pêche, pour des bateaux plus sûrs et moins polluants. En conditionnant l'aide apportée à une limitation des capacités des bateaux, il contribuera à garantir le renouvellement des stocks de poisson. Le FEAMP prévoit également davantage de soutien pour la collecte des données, une aide à l'installation des jeunes pêcheurs engagés dans une pêche durable, et un volet social ambitieux qui doit permettre d'améliorer les conditions de vie et de travail des pêcheurs.
Sylvie Guillaume (S&D), par écrit. – Bien qu'il ne soit pas totalement satisfaisant, je me suis exprimée en faveur du FEAMP en considérant que ce fond doit d'abord permettre aux pêcheurs européens de faire face à une concurrence mondiale, déloyale sur la plan économique et social, et qui nous conduit aujourd'hui à importer plus de 60% des produits de la mer que nous consommons. C'est ainsi que j'ai soutenu les aides publiques en faveur du renouvellement des navires car elles sont indispensables pour favoriser des mutations de la pêche imposées au niveau européen. Ces aides doivent donc permettre d'améliorer la rentabilité économique, la sécurité, la sélectivité pour éviter les rejets, et équiper les navires de systèmes de propulsion moins polluants. J'ai enfin soutenu une approche qui, à la différence des propositions de la Commission qui incitaient plus la profession à se reconvertir, invite davantage les pêcheurs à envisager l'avenir avec confiance.
Marian Harkin (ALDE), in writing. − I was very pleased that the European Parliament voted not to approve subsidies for fleet renewal. These subsidies were discontinued before the last agreement on the common fisheries policy and to restore them would have been a retrograde step and would have undermined all our good work in the common fisheries policy 2014 to 2020. I am pleased that my group, ALDE, were the difference in this vote. We want sustainable fisheries and we want to support fishermen and women in the future. In this report we said yes to support for Produce Associations, yes to training of young fisherpersons, yes to Maximum Sustainable Yield, yes to money for data collection and yes to gear change but no to subsidies for fleet renewal.
Jim Higgins (PPE), i scríbhinn. − Cuirim fáilte roimh an tuarascáil seo, agus tá a fhios agam go bhfuil an-chuid oibre déanta ag oifig Alain Cadec.
Tá an-chuid rudaí sa tuarascáil seo, ach ba mhaith liom díriú ar an tábhacht a bhaineann leis na cabhlaigh chósta ar mhionscála maidir le pobail chósta. I measc na mbeart sin tá comhairle ghairmiúil faoi straitéisí gnó agus margaíochta.
Cuirfidh CEMI comhtháthú sóisialta agus cruthú post chun cinn i bpobail a bhíonn ag brath ar an iascach trí luach breise a chur leis an iascach agus trí éagsúlú chun gabháil d’earnálacha eile muirí. Tacófar leis an gcur chuige faoi stiúir an phobail maidir le forbairt inbhuanaithe na limistéar iascaigh.
Aithníonn CEMI den chéad uair an ról a imríonn céilí – ar mná iad den chuid is mó – i ngnólacht iascaireachta an teaghlaigh, agus gan aon aitheantas dlíthiúil acu i mórán cásanna.
Brice Hortefeux (PPE), par écrit. – Je me réjouis de l'adoption du rapport de mon collègue Alain Cadec sur le Fonds européen des Affaires Maritimes et de la Pêche. Après 18 mois de négociations difficiles, ce rapport reflète un bon équilibre entre la volonté d'assurer la survie de tout un secteur affaibli par la crise et la nécessité de garantir une pêche durable dans le respect des écosystèmes. Pour aider les pêcheurs à se maintenir dans ce secteur très concurrentiel, l'Europe distribuera 6,5 milliards d'euros pour la période 2014-2020. Cela permettra aux pêcheurs qui exercent dans des conditions très difficiles et dont le courage mérite d'être salué, de transmettre leur savoir aux nouvelles générations grâce aux aides à l'installation. La préservation des ressources halieutiques est une autre priorité qui, au-delà de l'impératif environnemental, permettra aux pêcheurs de poursuivre leur activité dans les prochaines décennies avec le financement des périodes de repos biologiques et l'augmentation des moyens alloués au contrôle et à la collecte des données.
Juozas Imbrasas (EFD), raštu. − Pritariu komiteto siūlymui, kad būtų griežtai kontroliuojama žvejybos veikla, kad būtų galima vykdyti aplinkos ir socialiniu požiūriu tvarų valdymą. Manau, kad reikia teikti struktūrinę paramą žuvininkystės sektoriui siekiant padidinti jo konkurencingumą ir tvarumą. Taip pat reikia remti investicijas, kad būtų gerinamos darbo ir saugumo sąlygos, ribojamas energijos vartojimas, mažinama tarša ir skatinama naudoti selektyvesnius įrankius. Reikia atsižvelgti į uostų strateginį vaidmenį žvejybos veiklos ir pakrančių vietovių konkurencingumui ir tvarumui. Svarbu gilinti mokslines žinias apie išteklių kiekį ir kokybę, siekiant naudotis kokybiškomis mokslinėmis rekomendacijomis, susijusiomis su visais Sąjungoje parduodamais ištekliais. Palankiai vertinu mokslininkų ir žvejų partnerystei skiriamą dėmesį. Fondo lėšomis bus remiami verslumas, inovacijos, žmogiškasis kapitalas, aplinkos apsauga, visuomenės sveikata ir akvakultūros išteklių draudimas.
Iñaki Irazabalbeitia Fernández (Verts/ALE), por escrito. − Me he abstenido en la votación final ya que considero que la propuesta aprobada tiene aspectos positivos, como los relativos a las ayudas en el caso de modernización de la flota que impliquen una mayor seguridad para la tripulación, pero los aspectos que afectan negativamente a la flota vasca, como la definición de flota artesanal, tienen un peso importante.
Peter Jahr (PPE), schriftlich. − Die Fischerei ist ein wichtiger Wirtschaftszweig für viele Mitgliedsstaaten. In der Europäischen Union sind bereits zwei Drittel aller Fischarten überfischt. Der Europäische Maritim- und Fischereifonds (EMFF) sieht den Ausbau und die Modernisierung der Flottenbestände vor. Ich fordere deshalb die Kommission auf, dafür zu sorgen, dass die Modernisierung der Flottenbestände zu keiner Erweiterung der Fischfangkapazitäten führt. Mit dem EMFF unterstützen wir Länder mit hohen Fangquoten, und es besteht die Gefahr, dass die Überfischung der bereits gefährdeten Bestände verschlimmert wird. Erfreulich ist, dass es in dem Bericht ein deutliches Bekenntnis zu Aquakulturen gibt. Wird die Aquakultur umwelt- und tiergerecht betrieben, kann sie einen entscheidenden Beitrag leisten, die Naturfischbestände zu schützen. Ich freue mich auch, dass mit dem Fonds jungen Menschen beim Einstieg ins Fischereigewerbe geholfen wird. Dennoch müssen wir einen Weg finden, um sowohl die bereits gefährdeten Bestände, als auch das Fischereigewerbe zu schützen.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport de mon collègue Alain Cadec sur le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche, qui est le volet financier de la politique commune de la pêche. Le rapport vise à garantir une pêche durable, compétitive et sociale en mettant en place des mesures de conservation, de diversification des revenus des pêcheurs et d'obligation de respect des législations sociales. Je regrette néanmoins le rejet du seul instrument de réduction de la capacité de pêche, qui conditionnait une aide au renouvellement des navires de pêche artisanale, dans les flottes en surcapacité, à la réduction de leur capacité de pêche et de leur consommation énergétique.
Tunne Kelam (PPE), in writing. − I voted in line with the original proposal by the European Commission that aims to assure the sustainability of fish stocks now and also in the future. First, we need adequate data on the current situation concerning fish stocks and our seas. Whereas the Baltic Sea is almost 75% researched and mapped, the Black Sea on the other hand is a tabula rasa and in the Mediterranean area it is only about a quarter. Our internal seas have very fragile ecosystems which are largely not sufficiently researched; it should be our first task to complete data collection in this regard. Also, the control and enforcement of data collection has to be strengthened; Member States need to take their responsibility in this regard seriously. I am very glad that the vote was in favour of a reasonable approach and is not supporting increasing or renewing the fleet.
Béla Kovács (NI), írásban − Trianon óta nem sok babér terem nekünk a tengeri halászatban, így az adott esetben egykori nemzetrészeinket támogathatjuk csak. A jelentés a Bizottságnak a közös halászati politika reformjára irányuló javaslatát módosítja. A módosítók a kisüzemi, vagy part menti halászati vállalkozások védelmét helyezik előtérbe. Fontos, hogy a gazdálkodás környezetvédelmi és társadalmi szempontból is megvalósítható legyen. Mivel a kis halászok pozíciójának erősítését fontosnak tartom, így a jelentést megszavaztam.
Giovanni La Via (PPE), per iscritto. − Il Fondo Europeo per gli Affari Marittimi e la Pesca (FEAMP) rappresenta uno strumento dell'Unione Europea per il finanziamento della politica comune della pesca e della politica marittima integrata 2014-2020. Riunendo le due politiche in un unico strumento finanziario, la proposta della Commissione intende semplificare l’impatto amministrativo relativo alla sua implementazione. Ho, dunque, votato favorevolmente la relazione del collega on. Cadec affinché il FEAMP realizzi, tenendo conto dei cambiamenti climatici, una gestione della pesca sostenibile dal punto di vista ambientale e miri, allo stesso tempo, allo sviluppo dell'occupazione delle zone costiere, sostenendo in particolar modo gli investimenti a favore dei giovani, e al loro ingresso lavorativo nel mondo della pesca.
Agnès Le Brun (PPE), par écrit. – Le Parlement européen a approuvé un budget de 6,5 milliards d'euros pour le Fonds européen des affaires maritimes et de la pêche (FEAMP) 2014-2020, qui constitue le volet financier de la réforme de la politique commune de la pêche. J'ai voté en faveur de ce texte qui permettra le développement d'une pêche durable et compétitive. Le nouveau fonds européen soutiendra la pêche artisanale, l'innovation et la diversification des activités des pêcheurs. Une aide au remplacement des navires de plus de 35 ans sera accordée pour les navires de pêche artisanale (moins de 12 mètres de long et n'utilisant pas de chaluts). Ce remplacement doit permettre une réduction de 40% de la capacité, de l'effort de pêche et de la consommation d'énergie du navire. Nous avons également amélioré les normes sociales et accordé une aide à l'installation pour les jeunes pêcheurs. Enfin, nous avons pris des mesures pour préserver les stocks, en mettant la priorité sur l'élimination des rejets en mer et sur le renforcement de la collecte des données et des contrôles. Enfin, les règles du FEAMP ont été alignées avec celles des autres fonds européens, ce qui simplifiera la gestion du fonds et renforcera la cohérence de l'action de l'Union européenne.
Bogusław Liberadzki (S&D), na piśmie. − Głosowaliśmy dzisiaj nad projektem w sprawie Europejskiego Funduszu Morskiego i Rybackiego. Projekt ten wywołał wiele kontrowersji, w ciągu ostatnich tygodni otrzymałem wiele maili oraz listów z prośbami o ochronę polskich interesów. Zasoby ryb stanowią dobro o istotnym znaczeniu dla globalnego bezpieczeństwa żywnościowego. Sektor rybołówstwa i związana z nim działalność bardzo często są głównym, o ile nie jedynym, źródłem utrzymania obywateli w wielu europejskich regionach.
Poparłem ideę inwestycji w modernizację małych statków rybackich, które są starsze niż 35 lat. Jednym z warunków otrzymania takiej pomocy było zmniejszenie konsumpcji energii takiego statku o 40%. To samo tyczy się możliwości wymiany silnika w małych statkach. Moc nowego silnika powinna być co najmniej 40% mniejsza niż poprzedniego. Konsultowane środowiska rybaków bałtyckich z Kołobrzegu podkreślają alarmujący stan dorsza spowodowany przemysłowym odłowem szprota na paszę, co zachwiało równowagą biologiczną w wodach Bałtyku. Stąd szczególnie popieram wszystkie postanowienia dotyczące odnowy zasobów i zachowania równowagi biologicznej Morza Bałtyckiego. Ważna jest pomoc finansowa przy wymianie floty, ale jeszcze ważniejsza jest troska o to, by było co łowić.
George Lyon (ALDE), in writing. − Today I opposed fleet renewal and engine replacement as I feel they are detrimental to the fishing industry and could potentially lead to overfishing. Scotland needs a fisheries management regime that will protect our marine environment and secure the economic future of our fishing industry. The improvement in data collection for stocks fished in the EU is the vital step to ensure the environmental sustainability of the fish stocks available. To reinstate EU subsidies for building new fishing boats would on the other hand have been a crazy step backwards. We still have too many boats chasing too few fish, so to use public money to pay for building new boats would only make the problem worse.
David Martin (S&D), in writing. − I voted in favour of this report because it will help fishermen adapt to the reforms that we have already voted on the common fisheries policy. In Scotland my constituents want to see sustainable fishing, support for coastal communities to diversify their economies and for it to be easier for fishermen and their communities to access financing. This report makes moves towards this and that is why I voted in its favour.
Véronique Mathieu Houillon (PPE), par écrit. – J’ai voté en faveur du rapport sur les règles du Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche. Ce fonds de 6,5 milliards d’euros aidera les pêcheurs à mettre en œuvre la réforme de la pêche adoptée au niveau européen pour une pêche durable. L’aide européenne pourra être utilisée pour la modernisation des moteurs de bateaux qui devront être moins puissants, pour l’installation des jeunes pêcheurs, pour la collecte et la gestion des données de la pêche notamment.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. – L'amorce d'un marché européen des droits de pêche était le point noir de la réforme de la politique commune de la pêche. Ce rapport du Parlement revient sur ce point et supprime la possibilité de vendre et d'acheter des quotas de pêche (concessions de pêche transférables). C'est un point positif décisif. Pour le reste, il prévoit d'autres avancées comme la possibilité que le FEAMP apporte un soutien financier aux pêcheurs pendant les périodes de repos biologique nécessaires à la reproduction des espèces ainsi qu'un soutien aux jeunes pêcheurs pour les aider dans leur installation. C'est positif. Surtout, sur la question sensible du renouvellement de la flotte, le texte trouve un équilibre que j'approuve. Il propose de réintroduire la possibilité de financer le renouvellement. Ce sera utile aux petits pêcheurs pour réduire la consommation de carburant et améliorer les conditions de travail. Mais cela n'était acceptable qu'à condition d'être assorti d'un garde-fou contre la course au productivisme. C'est ce que fait le texte en conditionnant le financement à une réduction de l'effort de pêche. Les aides à la pêche artisanale auraient mérité d'être mieux décrites. Cependant, les points clés favorables à la ressource halieutique et aux pêcheurs y figurent. Je vote pour.
Nuno Melo (PPE), por escrito. − Fica agora aprovado o Fundo Europeu dos Assuntos Marítimos e da Pesca (FEAMP) para 2014-2020. Este comportará uma verba de 6,5 mil milhões de euros para ajudar os pescadores a cumprir as regras da nova Política Comum das Pescas, como seja a proibição das devoluções ao mar, através de investimentos em artes de pesca mais seletivas. Este fundo servirá também para o financiamento de medidas para melhorar a segurança e as condições de trabalho, a formação profissional, a inovação, a recolha de dados, as infraestruturas dos portos e apoiar o desenvolvimento da pesca costeira e de pequena escala. O fundo prevê também incentivos para os jovens pescadores. O FEAMP deve apoiar investimentos em equipamento ou a bordo, incluindo a remoção, substituição ou modernização dos motores principais ou auxiliares, desde que a potência do novo motor seja, no mínimo, 40 % inferior à do motor substituído.
Willy Meyer (GUE/NGL), por escrito. − No he podido votar a favor del presente informe porque, pese a contener diferentes medidas positivas en el funcionamiento del fondo, introduce otros aspectos que permitirán financiar a los grandes grupos pesqueros. El informe introduce una serie de modificaciones importantes para beneficiar a los pequeños pescadores, desde la financiación de las paradas biológicas a la modernización de motores en los buques artesanales, etc. Sin embargo, el informe mantiene determinados puntos que pueden ser empleados por los grandes grupos pesqueros para beneficiarse de los fondos públicos. Mantenemos nuestra apuesta por los pequeños pescadores, pero también es necesario que la legislación proteja de manera efectiva el medio ambiente ante la explotación de los mares por parte de las grandes compañías. Por ello me he abstenido en la votación de este informe.
Alexander Mirsky (S&D), in writing. − I think that the European Maritime and Fishery Fund (EMFF) objective is to assist the common fisheries policy implementation. It is based on four pillars: green fisheries, green aquaculture, sustainable and inclusive territorial development and integrated maritime policy. I voted in favour.
Elisabeth Morin-Chartier (PPE), par écrit. – J’ai voté en faveur de la proposition de mon collègue Alain Cadec sur le Fonds européen des affaires maritimes et de la pêche (FEAMP) qui constitue le volet financier de la réforme de la politique commune de la pêche. Il s’agit d'accompagner efficacement la mise en œuvre de la nouvelle politique commune de la pêche: Pour une pêche durable d'un point de vue environnemental avec la mise en place de mesures de conservation telles que des périodes de repos biologiques ou des arrêts temporaires et le gel des subventions pour les États membres qui ne respectent pas les règles de la politique commune de la pêche. Pour un secteur de la pêche compétitif par l’aide à l'installation pour les jeunes pêcheurs (moins de 35 ans), un soutien à la diversification des revenus des pêcheurs dans des activités complémentaires à la pêche, des investissements dans les infrastructures des ports de pêche, enfin un soutien à l'innovation, notamment la conception de navires plus modernes et plus respectueux de l'environnement. Pour un volet social ambitieux pour l'amélioration des conditions de santé, d'hygiène et de sécurité à bord, des actions de formation professionnelle pour les pêcheurs et des conditionnalités liées au respect des législations sociales en vigueur (pas de subvention en cas de non-respect).
Radvilė Morkūnaitė-Mikulėnienė (PPE), raštu. − ES Žuvininkystės politikos prioritetas – tvari žvejyba, grįsta visų pirma moksliniais duomenimis apie išteklius. Todėl džiaugiuosi, kad ši pozicija atsispindi ir šiandien mūsų priimtame dokumente, bei kad pavyko atsisakyti ankstesnių siūlymų didesnę paramos dalį skirti išteklių tvarumo negarantuojančioms priemonėms.
Tiziano Motti (PPE), per iscritto. − Da cittadino di una Regione, l’Emilia Romagna, che si affaccia sul mare, sono globalmente soddisfatto del testo votato oggi. La proposta della Commissione relativa al quadro finanziario pluriennale (QFP) per il 2014-2020, adottata il 29 giugno, ha delineato il quadro di bilancio e i principali orientamenti per il finanziamento della politica comune della pesca (PCP) e della politica marittima integrate. L’attuale proposta di regolamento sul Fondo europeo per gli affari marittimi e la pesca è volta a conseguire gli obiettivi delle riforme della Politica Comune Pesca e della Politica Marittima sulla base degli obiettivi seguenti, ridefiniti nell’ottica del finanziamento: promuovere attività di pesca e acquacoltura sostenibili e competitive; favorire lo sviluppo e l’attuazione della politica marittima integrata dell’Unione in modo complementare rispetto alla politica di coesione e alla PCP; promuovere uno sviluppo territoriale equilibrato e inclusivo delle zone in cui si praticano attività di pesca (inclusa l’acquacoltura e la pesca nelle acque interne); contribuire all’attuazione della Politica Comune della Pesca.
Katarína Neveďalová (S&D), písomne. − Cieľom Európskeho námorného a rybárskeho fondu je pomôcť pri implementácii spoločnej rybárskej politiky. Tento fond je založený na štyroch pilieroch: zelený rybolov, zelená akvakultúra, udržateľný a inkluzívny územný rozvoj a integrovaná námorná politika. Za priority považujem – zvýšenie finančnej podpory pre zber dát a striktnejšiu kontrolu pri využívaní fondov EÚ. Úspech budúcej spoločnej rybárskej politiky (SRP) do značnej miery závisí od toho, do akej miery budú dohodnuté opatrenia implementované. Niektoré členské štáty majú značné problémy pri dodržiavaní zberu dát, kontrolách a vynucovaní záväzkov. Avšak splnenie týchto povinností je základným predpokladom na efektívne riadenie rybolovu na európskej úrovni. Členské štáty sú právne viazané zásadami smernice pre námorné stratégie EÚ, v praxi je však realizácia bola pomalá. Predovšetkým členské štáty musia výrazne zintenzívniť svoje úsilie v oblasti zhromažďovania údajov pre ukazovatele dobrého stavu životného prostredia a vplyvu rybolovu na ekosystém. Považujem preto za potrebné v prvom rade zvýšiť objem peňazí určených pre zber údajov, kontrolu a vymáhateľnosť. Zároveň je potrebné podporiť flexibilitu pre členské štáty a to, aby mohli presunúť podporu/príspevky na takáto kontrolu alebo vymáhateľnosť.
Rareş-Lucian Niculescu (PPE), în scris. − Am votat în favoarea raportului. Cu toate acestea regret respingerea amendamentelor care ar fi contribuit semnificativ la modernizarea ambarcațiunilor de mici dimensiuni care reprezintă, de exemplu, 95% din flota românească de pescuit. Salut prevederile favorabile pescuitului de coastă și a celui la mică scară. De asemenea consider deosebit de importante prevederile referitoare la susținerea acvaculturii, în condițiile în care numai 6% din produsele de acvacultură din UE sunt produse în statele membre, restul fiind importate.
Manau, kad skirstant fondo paramą šalims narėms, visų pirma, reikia atsižvelgti į užimtumą ir gamybos lygį žuvininkystės produktų perdirbimo sektoriuje.
Siekiant ekonominio ir aplinkosauginio tvarumo, reikia labiau remti senų laivų pakeitimą naujesniais, nedidinant žvejybos pajėgumų ir galimybių. Be to, būtina užtikrinti, kad ši priemonė netaptų vien deklaratyvia, o būtų efektyviai įgyvendinta. Ypatingas dėmesys turi būti skiriamas mažų pajėgumų žvejybinių laivynų atnaujinimui.
Siekiant apsaugoti šio sektoriaus subjektus nuo finansiškai rizikingos veiklos, paramos laikotarpis turi atitikti įsipareigojimo laikotarpį. Be to, perdirbimo sektoriui taip pat turėtų būti sudarytos galimybės gauti paramą dotacijomis.
Alfredo Pallone (PPE), per iscritto. − Il Fondo europeo per la politica marittima e la pesca nell'Unione europea (FEAMP) stanzierà i fondi per gli aiuti strutturali al settore marittimo e per la pesca all'interno del nuovo quadro finanziario pluriennale 2014-2020.
Obiettivo del fondo è ovviamente crescita, occupazione, sostenibilità, ammodernamento delle strutture, valorizzazione dell'ambiente marittimo e costiero. Inoltre il fondo, che avrà una dotazione complessiva di 5,5 miliardi di euro, prevede di raggiungere gli obiettivi della politica marittima integrata e della riforma della politica comune della pesca.
Mario Pirillo (S&D), per iscritto. − Dopo una lunga gestazione finalmente si è giunti oggi al voto sul Fondo per la pesca che stanzierà le risorse finanziarie per il prossimo settennio.
Fondi necessari senza i quali difficilmente si potranno raggiungere gli obiettivi che guidano la nuova PCP, in particolare mi riferisco alla conservazione degli ecosistemi marini e al sostegno della pesca sostenibile. Mi lascia particolarmente soddisfatto la valorizzazione della piccola pesca costiera artigianale.
Ritengo altresì importante l'aver previsto misure di accompagnamento per i giovani che intendono affacciarsi a questa attività e la possibilità di rottamazione di barche per ridurre lo sforzo di pesca. Si tratta di misure fondamentali per rilanciare il settore, soprattutto se crediamo che questo settore possa essere ancora oggi un comparto foriero di occupazione e diventare attrattivo per i giovani.
Robert Rochefort (ALDE), par écrit. – Ce Fonds européen pour la pêche de 6,5 milliards d'euros clôt le volet financier de la réforme de notre Politique commune de la pêche (PCP). Grâce à notre vote, ce fonds va concrétiser les réformes ambitieuses obtenues dans le volet réglementation en matière de rendement maximal de pêche, qui témoignent de notre volonté d'assurer une transition vers une pêche durable. Notre première victoire est d'avoir contribué à lutter davantage contre la surpêche. Nous avons notamment évité qu'un renouvellement massif de la flottille de pêche se transforme en véritable catastrophe pour l'emploi et les stocks de poissons, à travers une réduction drastique de l'équipage à bord et une augmentation des capacités de pêche dans des zones côtières déjà grandement victimes de surpêche. Je suis également fier que nous ayons voté en faveur d'une augmentation des fonds alloués à la collecte de données et au contrôle du respect de la PCP, qui étaient largement insuffisants. Ces fonds permettront de calculer efficacement le rendement maximal requis par la nouvelle PCP, de façon à maintenir la taille de la population de poissons à sa productivité maximale, ainsi que de garantir le respect de la PCP, ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui.
Raül Romeva i Rueda (Verts/ALE), in writing. − Against. MEPs have today voted for a fisheries fund that is at odds with the goals of the recently-agreed reform of the common fisheries policy. Instead of voting to end the use of public funds to subsidise overfishing and the over-exploitation of fish stocks, they have voted to give EU funds to practices that are in direct conflict with the goal of more sustainable fisheries. Of particular concern are proposals to reintroduce subsidies for funding for engine replacement and grants for purchasing boats for young fishermen. This would essentially subsidise an increase in fishing capacity in the EU: a totally wrongheaded approach at a time when the CFP is looking to reduce, not increase, fishing capacity. Thankfully, MEPs at least rejected proposals to reintroduce subsidies for new fishing vessels. One important improvement is the adoption of Green proposals to increase funding for research and control and to enable oversight by the Commission on how Member States disburse these crucial funds for EU fisheries.
Licia Ronzulli (PPE), per iscritto. − Lo stanziamento supplementare di 6,5 miliardi di euro al Fondo europeo per gli affari marittimi e la pesca consentirà di aiutare i pescatori a rispettare le norme della nuova politica comune della pesca, come ad esempio il divieto di rigetto, attraverso l'acquisto di attrezzature più selettive. Sarà ora possibile migliorare la sicurezza e le condizioni di lavoro dei pescatori, adottando un nuovo modello di pesca sostenibile in grado di consentire ai pescatori di poter vivere con i proventi dalla loro professione.
Antolín Sánchez Presedo (S&D), por escrito. − Esta primera lectura del FEMP se corresponde con la reforma de la PPC y la necesidad de contar con recursos suficientes para su aplicación efectiva en aras de la sostenibilidad socioeconómica y medioambiental de las actividades acuícolas y pesqueras. Defendimos con éxito la financiación de la pesca y de la acuicultura, así como de las actividades relacionadas, la comercialización y la diversificación.
Como socialista de una región altamente dependiente de la pesca, Galicia, me complace el apoyo a nuestras propuestas relativas a la incorporación de los jóvenes para la renovación generacional, a los casos de desastres naturales y catástrofes medioambientales, así como las destinadas a paliar los efectos de los ceses temporales y permanentes. Existe un amplio margen para el acuerdo institucional con la Comisión y el Consejo, gracias al cual espero que estas prioridades se reflejen en el texto revisado, de cara a su aprobación en segunda lectura por el Parlamento. Lamento que no se hayan respaldado las ayudas para la modernización de la flota y la transferencia de buques, lo mismo que la propuesta socialista para una definición de pesca costera y artesanal más flexible y con parámetros más abiertos que los 12 metros actuales, ampliándola a las embarcaciones de hasta 15 metros y a las que faenan en mareas de hasta 24 horas.
Marie-Thérèse Sanchez-Schmid (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport de mon collègue Alain Cadec sur le Fonds européen des affaires maritimes et de la pêche (FEAMP). Doté d'un budget de 6,5 milliards d'euros, ce fonds sera le bras financier de la réforme de la politique commune de la pêche (PCP) pour la période 2014 - 2020. Ces crédits permettront aux pêcheurs de respecter l'interdiction des rejets en mer des poissons non désirés, d'améliorer les conditions de sécurité et de travail, de mieux collecter les données sur les stocks et d'adapter les infrastructures portuaires. Le texte permet également le retrait, le remplacement et la modernisation des moteurs de bateaux, à condition que la puissance du nouveau moteur soit au moins inférieur de 40% par rapport au moteur remplacé. Enfin, le rapport propose que l'UE aide les jeunes pêcheurs de moins de 35 ans par une subvention de 100 000 euros lorsqu'ils achètent un navire de pêche artisanal. Ce fonds permettra de limiter la surpêche tout en maintenant des emplois durables dans le secteur maritime.
Petri Sarvamaa (PPE), kirjallinen. − Atlantin ja muiden syvänmeren kalakantojen kehitys on jo pitkään ollut erittäin huolestuttava. Liikakalastus on tehnyt monista lajeista uhanalaisia. Nyt tarvitaan kalastuspolitiikkaa, joka turvaa niin kalakannat kuin kalastajien elinkeinon myös tulevaisuudessa. Suurten kalastusmaiden ylitehokkaan kalastuslaivaston uusimista ei pidä tukea yhteisistä varoista.
Sergio Paolo Francesco Silvestris (PPE), per iscritto. − Ho votato a favore dell’abrogazione dei regolamenti (CE) n. 1198/2006 del Consiglio,(CE) n. 861/2006 e (CE) n. XXX/2011 del Consiglio sulla politica marittima integrata. La volontà di ridurre la presunta sovraccapacità della flotta non avrebbe alcun effetto sulle quantità pescate, perché questi ultimi continuerebbero a dipendere dai TAC e dalle quote fissate ogni anno. Proporre di pescare la stessa quantità di pesce con un numero inferiore di navi, mette in pericolo numerose imprese di pesca, tra cui quelle artigianali o costiere, e quindi tanti posti di lavoro. Mentre un rigoroso controllo delle attività di pesca può portare a una gestione ambientale e sociale sostenibile. Si ricorda a tal fine l'obbligo per gli Stati membri di rispettare i limiti di capacità della propria flotta determinati nel regolamento di base.
Catherine Stihler (S&D), in writing. − I voted in favour of the European Maritime and Fisheries Fund because I believe in a more sustainable, innovative and competitive maritime and fishing industry.
Michèle Striffler (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur du rapport sur le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP) qui dote la Politique commune de la Pêche de plus de 6 milliards d'Euros pour les années 2014-2020. En Europe, les ressources halieutiques sont de plus en rares. Force est de constater que notre flotte est en surcapacité de pêche : il y a, en effet, trop de navires de pêche prélevant dans l'océan des quantités de poissons trop importantes pour reconstituer les stocks. Aussi, j'ai voté contre les dispositions prévoyant des aides publiques visant à renouveler la flotte qui étaient proposées au sein de ce rapport. Au contraire, je pense que les fonds prévus doivent servir à renforcer les contrôles contre la pêche illégale, à financer des programmes de recherches scientifiques pour une meilleure connaissance du monde marin et à financer des collectes de données efficaces qui permettront de connaitre l'évolution des stocks de poissons. En règle générale, j'ai voté en faveur du Fonds européen pour les Affaires Maritimes pour qu'il puisse permettre à l'Union européenne de réaliser sa transition vers une pêche durable et de réaliser son objectif de reconstitution des stocks halieutiques.
Kay Swinburne (ECR), in writing. − The European Maritime and Fisheries Fund must be allowed to fully support the sustainable fisheries policies that we have secured as a part of the common fisheries policy reforms. I, like many of my colleagues here, represent a constituency with a strong and vibrant small boat fishing sector and I know that the fisherman in my constituency recognise the value of a sound fisheries policy; one that supports a thriving fishing industry, protects our marine environments and promotes sustainable fishing practices. I hope that we can deliver an EMFF that fully supports our fishing communities in reaching these goals, whilst stopping the wasteful and uncompetitive application of these funds for commercial refitting of fleets with no environmental basis.
József Szájer (PPE), írásban − „Chief Whip”-ként az én tisztem a néppárti képviselőcsoport szavazási fegyelmének biztosítása, amely abban nyilvánul meg, hogy a plenáris szavazások során a teljes néppárti képviselőcsoport számára én mutatom a követendő álláspontot. A Néppárt célja egy, a közös európai értékeken, hagyományokon és kultúrán alapuló, meghatározó politikai súllyal rendelkező európai egység megteremtése.
Azonban a magyar néppárti képviselőcsoport aktívan dolgozik hazánk érdekeinek előmozdításán, az Európai Parlamentben is saját nemzeti érdekeinket képviseljük, így előfordul, hogy a magyar Fidesz-KDNP delegáció álláspontja eltér a néppárti állásponttól.
Annak érdekében, hogy alelnöki tisztségemből fakadó kötelezettségem miatt ne kerüljek önellentmondásba, azokban az esetekben, amikor a névszerinti, gombnyomásos szavazások során a frakció másképpen szavaz, mint a magyar képviselők, akkor közvetlenül nem veszek részt a szavazásban. Vagyis nem nyomom meg a szavazógombot, de feltett kézzel jelzem a néppárti frakciónak a korábban közösen eldöntött szavazási álláspontot.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. – La Commission justifie sa proposition de réforme de la PCP par l'affirmation que la flotte de pêche européenne serait en surcapacité. C'est très discutable: la Commission ne définit pas cette notion de surcapacité, de sorte qu'un éventuel excès de capacité est difficile à établir. Je constate donc que la Commission propose de pêcher la même quantité de poisson avec moins de navires, mettant ainsi en danger de nombreuses entreprises de pêche, notamment artisanales ou côtières, et donc de nombreux emplois. Nous contestons cette orientation et souhaitons qu'un contrôle strict de l'activité de pêche puisse conduire à une gestion viable d'un point de vue environnemental et social. Je rappelle à ce titre l'obligation pour les États membres de respecter les plafonds de capacité de leur flotte déterminés dans le règlement de base. Pour renforcer cette obligation, je propose que les États membres indiquent dans leur programme opérationnel du FEAMP les mesures qu'ils mettent en œuvre pour respecter ces plafonds dans le cadre du présent règlement.
Nuno Teixeira (PPE), por escrito. − A reforma da Política Comum das Pescas exige um financiamento adequado para fazer face aos objetivos futuros, o qual justifica a proposta de regulamento do FEAMP. Este documento atribui uma importância particular ao regime de compensação dos custos suplementares nas regiões ultraperiféricas, em conformidade com o artigo 349.º do TFUE, razão pela qual o FEAMP deve ter em consideração todos os custos suplementares que afetam os operadores das regiões ultraperiféricas. Além disso, tendo em conta os vários pontos abordados no relatório, como a sobrecapacidade da frota, as concessões de pesca transferíveis e a reconversão, a necessidade de se ter um plano de ação para a pesca artesanal e costeira, a renovação da frota, a vertente social do FEAMP, as cessações temporárias e os fundos mutualistas, os investimentos nos portos, os pareceres científicos e as recolhas de dados, a ajuda à armazenagem, a aquicultura, o desenvolvimento sustentável das zonas de pesca e a política marítima integrada, entre outros, votei a favor do documento.
Patrice Tirolien (S&D), par écrit. – Le vote du FEAMP représente une avancée majeure redonnant confiance aux pêcheurs dans l'avenir de leur profession. Il témoigne de la possibilité de concilier la pêche durable, sans pour autant condamner les professionnels de la pêche. En effet, ceux-ci doivent faire face à la concurrence mondiale, souvent bien trop déloyale, sur le plan économique et social. Par le vote du rapport Cadec, nous envoyons un signal fort à un secteur d'activité en crise. Je me félicite particulièrement du vote des dispositions en faveur des régions ultrapériphériques. Le FEAMP reconnait une évidence, nos pêcheurs font face à des réalités géographiques différentes de celles de leurs collègues d'Europe continentale. Ainsi, j'accueille favorablement l'augmentation de plus de 150% du budget à destination des ultramarins, ainsi que les mesures permettant l'affectation d'une partie des fonds à l'accompagnement des pêcheurs dans leurs stratégies de développement local. Enfin, je salue la mise-en-place du financement du dispositif de concentration des poissons. Cette mesure donnera une option durable aux pêcheurs antillais face à la crise du chlordéconne.
Inese Vaidere (PPE), rakstiski. − Balsojums par zivsaimniecības fondu bija izšķirīgs, lai līdz gada beigām panāktu politisku vienošanos, kas ļautu fondam sākt darbu no 2014. gada janvāra.
Atbalstu ilgtspējīgu zivju resursu pārvaldību, kas pakārtoti ļaus nodrošināt stabilitāti zivsaimniecības sektora attīstībā un nodrošinās iedzīvotāju labklājību ilgtermiņā. Tādēļ balsojumā noraidīju atbalstu kuģu būvei un atbalstīju precīzus ierobežojumus publiskā finansējuma apjomam, ko dalībvalstis var piešķirt flotēm. Uzskatu, ka līdzekļi jāpiešķir tiem projektiem, kuri veicina zivsaimniecības nozares un piekrastes kopienu ilgtspēju nākotnē, zivju krājumu atjaunošanu, zvejas ietekmes uz jūras vidi mazināšanu un pakāpenisku zivju izmešanas prakses izskaušanu.
Atbalstīju to, ka zivsaimniecības fondam ir jāpalielina ieguldījumi mazapjoma zvejā, kas būs īpaši nozīmīgi Latvijai, lai saglabātu tradicionālo zveju, senās tradīcijas un nozvejas kvalitāti, piemēram, Carnikavas nēģus, kuri, jādomā, drīz tiks iekļauti arī ES tradicionālo produktu sarakstā.
Geoffrey Van Orden (ECR), in writing. − The Common Fisheries Policy (CFP) has been a disaster for the fish and for our fishermen. Thanks to the efforts of Conservative Ministers and MEPs, along with others, some much overdue reform is now underway. Ensuring that progress is not undermined by an opaque funding mechanism is essential. I have long supported a sustainable and localised fishing industry and voted to block measures that would have seen a return to using British taxpayers’ money paying for renewal of Spanish and French fishing fleets which are already well over capacity. I want to benefit our local fishermen. I voted in support of measures that prioritise the needs of small-scale and coastal fisheries, including more emphasis on helping local, sustainable management of fish stocks. I also voted to support small-scale projects for coastal fisheries development and for simplifying the funding process for our local fishermen. The ECR Group was able to vote in favour of the report.
Derek Vaughan (S&D), in writing. − Today I, along with my fellow Labour MEPs, voted for investment in more fish, not new boats. I did so because I oppose subsidies for building new vessels, which would have been a step backwards and could potentially jeopardise the reform process. I believe that this vote represents a positive step in the introduction of stronger measures and penalties to ensure that fishermen keep to the rules of the reformed common fisheries policy. I also supported more funds for data collection, control and enforcement that will help ensure that fishing is sustainable and stocks remain healthy into the future. Although Labour would have liked to see a more ambitious outcome that ruled out all measures known to contribute to overfishing, the steps that the whole Parliament has taken to delete the most harmful subsidies are a key sign of its continued commitment to reformed rules for sustainable fishing.
Marie-Christine Vergiat (GUE/NGL), par écrit. – Ce rapport porte sur le cadre budgétaire et les orientations des financements de la politique commune de la pêche et de la politique maritime intégrée d’ici 2020 via le fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche. Des dispositions en faveur de l'amélioration des conditions de travail des pêcheurs notamment en matière de santé, de sécurité au travail et de respect des conventions collectives sont intégrées dans ce rapport. Il met aussi l’accent sur la nécessité de favoriser une pêche durable, respectueuse de l’environnement. Le groupe GUE/NGL a déposé des amendements pour augmenter les cofinancements de l'UE en matière de collecte et gestion des données biologiques ainsi que pour financer l'arrêt temporaire des activités de pêche pendant les périodes de repos biologique. Nous avons également insisté sur l’importance des cofinancements de l'UE liées à la pêche artisanale, indispensable pour le développement économique, social et écologique des communautés côtières. Je me suis prononcée en faveur du rapport, la suppression de la possibilité d'acheter ou de vendre des droits de pêche est un des points essentiels. J’ai voté pour le report du vote final en attendant l’accord sur le règlement portant dispositions communes qui réglemente les 5 fonds européens pour 2014-2020.
Dominique Vlasto (PPE), par écrit. – La diminution des stocks de poissons est une source de préoccupation tant pour les citoyens-consommateurs que pour les pêcheurs, qui vivent de cette activité depuis des générations. Pour répondre à ce défi, les États membres ont déterminé des règles strictes de quotas de pêche, qui rentreront en application en 2015. Si ces règles sont nécessaires, je sais aussi qu'elles constituent une contrainte économique lourde de sens pour nos pêcheurs. C'est pourquoi j'ai voté en faveur du rapport de mon collègue UMP, Alain Cadec, qui fait du Fonds européen pour la pêche et les affaires maritimes un instrument ambitieux pour accompagner nos marins pêcheurs dans la transition et la modernisation indispensables pour répondre aux défis à venir. Ce fonds aidera les pêcheurs à investir dans des bateaux efficaces en énergie et des équipements de pêche plus sélectifs, réduisant ainsi les captures indésirables et leurs rejets en mer. Au-delà des mesures de soutien en faveur d'une pêche durable, je me félicite de l'adoption de mesures de soutien, notamment pour l'installation des jeunes pêcheurs et la protection de la pêche artisanale, menacée par une pêche industrielle et intensive, comme c'est le cas dans ma région.
Angelika Werthmann (ALDE), schriftlich. − Dem Berichterstatter ist im Hinblick auf die Verdoppelung der Maßnahmen zur Datenerhebung, Kontrolle und Durchsetzung der Vorschriften unbedingt zuzustimmen. Öffentliche Mittel sollten zugunsten dieser GFP-Ziele in jedem Fall verwendet werden. Ebenso ist die Linie des Berichterstatters gegen die Änderungsanträge, die Maßnahmen für die Aufrechterhaltung und den Ausbau von Überkapazitäten (Beihilfe für den Austausch von Motoren, für zeitweilige Stilllegung und für Anlagefonds) zu unterstützen. Gegen die Meinung des Berichterstatters sollte keine Flottenerneuerung zugestimmt werden, da diese unter Umständen zu Überfischung führen könnte.
Glenis Willmott (S&D), in writing. − This report on the European Maritime and Fisheries Fund (EMFF) will determine the future funding for the common fisheries policy (CFP) and the integrated maritime policy (IMP). Earlier this year Labour MEPs supported historic reforms of the EU’s common fisheries policy that will ensure we preserve fish stocks for future generations so today we voted for an EMFF that will support, and not hamper, those reforms. The largest part of the EMFF’s EUR 6.5 billion budget will go towards supporting the CFP, with the allocation of funding to Member States reflecting the importance of each state’s fishing industry. Fishing must be sustainable, so Labour MEPs voted against subsidies for fleet renewal, which would lead to over-capacity and over-fishing. In order to support the aims of the reformed CFP, we voted to support measures that would promote sustainable fishing, such as training for fishermen, better enforcement of rules and financial aid to improve management, monitoring and control of fish stocks.
Jacek Włosowicz (EFD), na piśmie. − 10 lipca br. Komisja Rybołówstwa Parlamentu Europejskiego przeprowadziła wstępne głosowanie w sprawie nowych ram subsydiów, czyli Europejskiego Funduszu Morskiego i Rybackiego (EFMR). Poprawka 32b do EFMR zezwala na udzielenie pomocy finansowej w kwocie do 80 tys. EUR na budowę nowych jednostek połowowych. Taka pomoc umożliwia kontynuowanie błędnego koła przełowienia. W praktyce będzie to oznaczało, że na morzach i oceanach pojawi się jeszcze więcej statków, które będą docierać do ostatnich nieprzełowionych stad ryb, powodując drastyczny spadek ich liczby. Ostatnią szansą na zmianę tej sytuacji jest głosowanie na posiedzeniu plenarnym Parlamentu Europejskiego. Apeluję tym samym do posłów do PE o sprzeciwienie się takiemu wykorzystaniu pieniędzy publicznych przez następną dekadę. Jeżeli tak się nie stanie, w przyszłości nie będzie ryb, a tym samym rybaków! Doświadczenie pokazuje, że finansowanie budowy nowych jednostek przyczynia się do pogłębiania problemu przełowienia. Dlatego właśnie pomoc ta była stopniowo wycofywana od 2004 r., w wyniku reformy Wspólnej Polityki Rybackiej z 2002 r. W sytuacji, gdy dwie trzecie unijnych stad ryb jest przełowiona, co powoduje roczne straty w wysokości 2,2 mld EUR, otwarcie możliwości finansowania budowy nowych jednostek byłoby ogromnym krokiem wstecz i poważnym nadużyciem pieniędzy podatników.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. − Valorizamos no resultado da votação do relatório: - a possibilidade de o FEAMP apoiar financeiramente a cessação temporária das atividades de pesca durante períodos de defeso biológico, – o apoio às chamadas paragens biológicas, uma reivindicação de há muito do setor e uma medida com impacto positivo significativo para pescadores e armadores e para a própria sustentabilidade dos recursos, - o aumento do cofinanciamento comunitário na recolha e gestão de dados biológicos, dos atuais 50% para 80% (taxa máxima), o que se reveste da maior importância para uma gestão sustentável das pescarias, assente no conhecimento científico, - a majoração do cofinanciamento de projetos ligados à pesca de pequena escala em 30 pontos percentuais. Persistem, todavia, muitas lacunas e insuficiências no regulamento, que motivaram a nossa abstenção.
Martina Anderson (GUE/NGL). - Mr President, I voted in favour of this report. The recently-published findings of the International Panel on Climate Change (IPCC) showed that scientists are now 95 % certain that climate change is the result of human activities. Yet we still hear the false arguments of the usual naysayers, willing to disregard scientific evidence in this matter.
In November, the annual UN Climate Change Conference will take place in Warsaw, where it is hoped progress will be made towards the global climate deal that is expected to be finalised during the Paris Conference in 2015. However, the EU should not be using any possible delay as an excuse not to act itself. We are currently working on the 2030 framework for climate change, and it is essential that we step up our climate-change ambitions: not only to lower greenhouse gas emissions – important as they are – but also to create jobs from low-carbon technologies.
Adam Bielan (ECR). - Panie Przewodniczący! Mam nadzieję, że ponieważ tegoroczne forum odbywa się w Warszawie, strategiczne interesy Polski w zakresie klimatu znajdą odzwierciedlenie w podjętych na nim postanowieniach. Pytanie tylko, dlaczego konferencję organizuje się podczas najważniejszego polskiego święta narodowego?
Liczę szczególnie na zaangażowanie krajów Grupy Wyszehradzkiej, dzięki którym udało się złagodzić tekst unijnej deklaracji na listopadową konferencję. Usunięto kontrowersyjny zapis wzywający Wspólnotę do zwiększenia redukcji emisji dwutlenku węgla do trzydziestu procent już w przyszłym roku.
Tym bardziej trudne do zaakceptowania są forsowane przez niektóre ugrupowania postulaty w rodzaju jednostronnego celu redukcji aż o pięćdziesiąt procent do roku 2030. Uwzględniając obecną sytuację gospodarczą mniej zamożnych krajów członkowskich, tak rygorystyczne propozycje nie mogą uzyskać szerokiej aprobaty.
Paul Murphy (GUE/NGL). - Mr President, climate change is the most acute threat to the whole of humanity. It threatens the right to food and the right to water. It is a threat to biodiversity, and it will force more and more people to flee their homes because of rising sea levels.
None of this is news, in any sense; the opposite is the case. If anything, the scientific reports are becoming more urgent, more alarming and more shocking. As is the rhetoric of world leaders, when appropriate, and when attending climate change conferences. Big words, half-hearted promises and very few changes. It is the same procedure every year.
If it is serious about climate change, the COP 19 Conference should speed up its commitments on meaningful and binding targets for CO2 reduction; live up to its commitments on financing without taking money from that allocated to official development aid; and publicly invest in research in clean and sustainable energy.
To put it very bluntly, the people of this planet must destroy capitalism before capitalism destroys our planet. We need to build a sustainable and democratic socialist society based on the planning of our resources.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Claudette Abela Baldacchino (S&D), bil-miktub. − Teżisti rabta qawwija bejn it-tibdil fil-klima u l-iżvilupp għaliex l-aktar gruppi ta' nies vulnerabbli huma l-aktar li qed jintlaqtu ħażin minn dan it-tibdil. Għalhekk, it-tibdil fil-klima u l-faqar għandhom jitpoġġew fuq nett tal-aġenda. Tajjeb li nżommu f'moħħna lil dawk l-aktar vulnerabbli u foqra u li qed jintlaqtu ħażin bħalissa u li ser jintlaqtu ħażin fil-futur. Ikun tajjeb li nibdew nindirizzaw l-isfida li jġib miegħu t-tibdil fil-klima għall-climate refugees. Sfortunatament, it-tibdil fil-klima qiegħed ikompli jgħaffeġ fuq dawk li diġà qed isofru minn kundizzjonijiet ħżiena fil-kwalità tal-ħajja. F'dan kollu hemm bżonn ta' rieda politika qawwija.
Luís Paulo Alves (S&D), por escrito. − Aprovo a presente Proposta de Resolução, começando por realçar a importância de a União Europeia se mostrar proativa no progresso global das negociações internacionais sobre o clima, observando que a incapacidade de a União Europeia assumir um papel de primazia e as perspetivas de consecução de progressos a nível global são influenciadas pelas iniciativas climáticas que a própria UE empreende. Deste modo, saliento a necessidade de reforçar as iniciativas climáticas da União Europeia, inclusive através da adoção de um quadro ambicioso em matéria de energia e alterações climáticas para 2030, e de dissipar quaisquer dúvidas causadas, quer pela eficácia limitada do regime europeu de comércio de licenças de emissão (ETS) enquanto fonte de incentivos para a redução de emissões de gases com efeito de estufa, quer pelo adiamento da inclusão do setor da aviação no ETS. Os países desenvolvidos devem ajudar os países em desenvolvimento a diminuírem as suas emissões pois registam o vasto potencial de muitos dos países em desenvolvimento para a energia renovável e a eficiência energética.
Sophie Auconie (PPE), par écrit. – Lors des dernières conférences (Durban et Doha), la communauté internationale s’est engagée à définir d’ici 2015 un régime global, contraignant, permettant de réduire efficacement les émissions de CO₂ et applicable dès 2020. Le dernier rapport du GIEC montre à quel point il est urgent d’avancer. J’ai voté en faveur de cette résolution car elle donne une feuille de route claire et ambitieuse à la délégation de 10 parlementaires qui se rendra à la «Conférence des Parties» de Varsovie (COP19). Je suis heureuse que cette résolution rejette le principe selon lequel les pays développés devraient faire tous les efforts. En réalité, le changement climatique est l’affaire de tous. Nos partenaires internationaux prennent conscience de ses conséquences et commencent à prendre des mesures. En cas d’échec, j’estime que l’Union européenne devra prendre ses responsabilités et instaurer une taxe carbone aux frontières de l’Union européenne pour rééquilibrer la concurrence internationale avec ceux qui ne feraient pas d’efforts. Je regrette que le Parlement européen, à une voix près, ait rejeté l’amendement que j’avais déposé en ce sens et qui avait été adopté en commission parlementaire en charge de l’environnement. Je poursuis ma croisade sur ce point essentiel.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. − Pritariu šiai rezoliucijai dėl Klimato kaitos konferencijos Varšuvoje. Konferencijos tikslas – užtikrinti Durbano platformos pažangą ir pasiruošti pasaulinio teisiškai įpareigojančio susitarimo sudarymui iki 2015 metų. JT klimato kaitos konferencijoje Durbane, Pietų Afrikoje buvo pasiektas susitarimas, kuris numatė tarptautines klimato kaitos strategijas beveik 200 šalių. ES stengiasi praktiškai įgyvendinti sudarytą planą. 90 proc. pasaulio teršalų vis dar išmetama besivystančiose šalyse, kurios pagal dabartinį Kioto protokolą nėra prisiėmusios jokių taršos mažinimo įsipareigojimų. Durbane sukurtas naujas Žaliasis klimato fondas, kuris veiks kaip vienas pagrindinių kanalų dalijant 100 milijardų JAV dolerių, kuriuos iki 2020 metų išsivystęs pasaulis įsipareigojo sukaupti kasmet, kad padėtų besivystančioms šalims įgyvendinti jų klimato kaitos švelninimo planus. Pritariu išdėstytiems siūlymams, kad naujas susitarimas turėtų apimti visų teršėjų plataus užmojo ir pakankamus šiltnamio efektą sukeliančių dujų mažinimo tikslus ir atitinkamų politikos priemonių šiems tikslams pasiekti patvirtinimą.
Jean-Luc Bennahmias (ALDE), par écrit. – Le changement climatique fait aujourd'hui largement consensus au sein de la communauté scientifique. À ce titre, le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est édifiant. Qu'on se le dise, l'environnement est une clé décisive pour sortir de l'interminable crise de notre "modèle" économique. Par cette résolution, le Parlement européen envoie un signal d'alarme bienvenu même si nous aurions pu aller plus loin dans nos propositions. Pour ma part, je me suis prononcé en faveur de plusieurs amendements ambitieux et sans ambigüité contre les pétroles et les gaz de schistes qui sont une impasse environnementale et économique. Je considère enfin que l'Union européenne devrait avancer résolument vers une contribution carbone aux frontières extérieures de son espace pour ne pas pénaliser nos entreprises soumises directement au dumping écologique de nos partenaires commerciaux.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. − Balsavau dėl šios rezoliucijos, kadangi klimato kaita yra neišvengiama ir galbūt neatitaisoma grėsmė žmonių bendruomenėms, biologinei įvairovei ir planetai, ir todėl šį klausimą privalo spręsti visos šalys tarptautiniu lygmeniu. Dėl plačiai pripažįstamų su dabartiniu išmetamųjų teršalų kiekiu susijusių pasauliui gresiančių pavojų ir pasaulinių sąnaudų reikia ne tik įsipareigojimų, bet ir visų veikėjų politinės valios tuos įsipareigojimus vykdyti. Kadangi vyriausybės kolektyviai atsakingos už adekvačią reakciją į su klimato kaita susijusias problemas, kurias patiria žmonija ir planeta, labai svarbu, kad jos gautų visų atitinkamų savo šalių veikėjų, įskaitant piliečius ir verslo įmones, paramą. Klimato kaita kelia nepaprastai didelę grėsmę daugybei žmogaus teisių, įskaitant teisę į maistą, vandenį ir sanitariją, ir apskritai teisei vystytis, taigi su klimatu susijusių inovacijų taikymas energetikos ir pramonės sektoriuose būtų laikomas Europos Sąjungos pranašumu, nes ji pirmoji įžengtų į augančią tarptautinę su energija susijusių produktų ir paslaugų rinką. Tausios energetikos sektoriuje (ir gamybos, ir vartotojų lygmenimis) diegiamos inovacijos visame pasaulyje padeda kurti darbo vietas, skatinti ekonomikos augimą, didinti energetinę nepriklausomybę ir dėl jų pasaulis bus švaresnis, jame bus švelninama klimato kaita ir užtikrinamas pakankamas energijos tiekimas.
Sebastian Valentin Bodu (PPE), în scris. − Consider că UE ar trebui să se mențină în fruntea dezvoltării tehnologiilor pentru o viitoare economie ecologică, obiectivul fiind acela de reducere a emisiilor de gaze cu efect de seră cu cel puțin 50 % până în 2030. Conferința de la Varșovia (COP 19) va fi crucială pentru pregătirea unor angajamente și încheierea unui acord global obligatoriu din punct de vedere juridic până în 2015 pe acest domeniu, guvernelor revenindu-le responsabilitatea de a oferi un răspuns adecvat la provocările climatice cu care se confruntă omenirea.
Franco Bonanini (NI), per iscritto. − Esprimo il mio apprezzamento generale e una dichiarazione di voto positivo per la risoluzione presentata da numerosi colleghi della commissione ambiente.
L'obiettivo da raggiungere è certamente quello di un unico e comprensivo accordo internazionale vincolante in materia di lotta al cambiamento climatico per il post Kyoto e superare le difficoltà attuali; tale accordo dovrà necessariamente basarsi su una condivisione aggiornata di responsabilità fra le differenti aree geografiche del mondo, non più riducibili alla ormai obsoleta ripartizione tra paesi industrializzati e paesi in via di sviluppo.
Per raggiungere obiettivi ambiziosi è infatti necessario che anche le grandi economie emergenti assieme alle tradizionali realtà industrializzate facciano la propria parte sulla base di una equa ripartizione degli sforzi e sulla base del principio "responsabilità comuni ma differenziate".
Credo anche importante che, su questo tema, la UE confermi e rafforzi il suo ruolo di leadership ponendosi obiettivi ambiziosi di riduzione delle emissioni di gas ad effetto serra entro limiti temporali ambiziosi, esortando i partner internazionali ad abbracciare una logica virtuosa e dimostrando come sia possibile coniugare ambiziosi obiettivi di riduzione del cambiamento climatico con competitività, innovazione e tutela dei posti di lavoro.
John Bufton (EFD), in writing. − I voted against this report as I am opposed to the EU’s green agenda in its entirety.
Alain Cadec (PPE), par écrit. – J’ai voté pour cette résolution. En vue de la conférence de Varsovie de novembre 2013 sur le changement climatique, cette proposition de résolution a le mérite de demander un régime global abolissant toute distinction entre pays industrialisés et pays en développement. Je me félicite du rejet de l’amendement prônant une réduction de 30% des émissions de CO2 d’ici 2020, et de 50% d’ici 2050. En l’absence d’accord international, l’Union européenne ne peut s’imposer seule une telle contrainte. Je regrette cependant le rejet de la taxe carbone aux frontières de l’Union. L’instauration de cette taxe aurait permis d’éviter le dumping commercial mené par certains de nos partenaires commerciaux exportant dans l’Union.
Maria Da Graça Carvalho (PPE), por escrito. − 2015 está perto e a União Europeia deverá preparar a sua posição sobre o acordo global. Gostaria de referir alguns princípios que considero fundamentais para o novo acordo internacional: Primeiro, o acordo não deve dividir o mundo em dois grupos de países (industrializados e em desenvolvimento); é necessário um sistema em que cada país contribua para o esforço comum de acordo com as respetivas responsabilidades e capacidades. Segundo, devemos combinar as metas atribuídas às economias de diferentes países com objetivos comuns a serem adotados por setores industriais específicos sujeitos a fuga de carbono numa base global. Terceiro, o quadro deve ser muito mais flexível e deve acomodar uma maior gama de iniciativas, em particular iniciativas bottom-up, como, por exemplo, acomodar iniciativas de cidades ligadas à eficiência energética. Quarto, os mecanismos de mercado devem continuar a ser usado para regulamentar as questões de mudanças climáticas. Por último, a cooperação em matéria de investigação e desenvolvimento de tecnologias limpas deve ser um objetivo central.
Minodora Cliveti (S&D), în scris. − Schimbările climatice reprezintă o amenințare urgentă și potențial ireversibilă pentru societatea umană, biodiversitate și planetă și, din acest motiv, trebuie găsite soluții la nivel internațional.
Conferința de la Varșovia (COP 19) va juca un rol crucial în asigurarea progreselor necesare pentru a face să avanseze Platforma de la Durban, netezind calea pentru pregătirea unor angajamente și încheierea unui acord global obligatoriu din punct de vedere juridic până în 2015, cu ocazia Conferinței de la Paris. Este foarte important ca Uniunea Europeană, în calitatea sa de actor major, să aibă o poziție unitară la conferință, cu scopul de a realiza progrese în direcția unui acord internațional și să rămână unită în această privință.
Perioada actuală de criză economică demonstrează clar că numai o economie durabilă poate asigura prosperitatea pe termen lung și că protecția climei constituie unul dintre principalii piloni ai unei astfel de economii durabile. Provocările legate de schimbările climatice nu pot fi privite dintr-o perspectivă separată, ci trebuie abordate întotdeauna în contextul dezvoltării durabile, al politicii industriale și al politicii privind resursele. În această privință, consider ca fiind esențială explicarea politicilor privind schimbările climatice cetățenilor și schimbarea mentalității lor.
Lara Comi (PPE), per iscritto. − In vista della prossima Conferenza ONU sul clima, che si terrà a Varsavia, ho votato a favore di questa risoluzione che sottolinea alcuni punti chiave della lotta al cambiamento climatico. Le sfide legate alla prevenzione, alla mitigazione e all'adattamento ai cambiamenti climatici rimangono molteplici. Tuttavia, tali sfide non potranno mai essere affrontare se non attraverso un approccio integrato, che metta le problematiche legate al clima nel contesto dello sviluppo sostenibile, della politica industriale e della politica energetica. A tale riguardo, l'UE deve orientare i propri sforzi e costituire un quadro regolamentare efficace affinché l'innovazione inerente al clima nel settore industriale ed energetico, si traduca in un vantaggio comparato per l'UE, ponendola all'avanguardia nel mercato globale dei beni e dei servizi correlati all'energia (mercato dalle floride prospettive di crescita). E' infine importante che l'UE mantenga un ruolo proattivo nel corso dei futuri negoziati internazionali sul clima: bisogna ricomporre il complesso "mosaico" di accordi parziali e spesso non vincolanti ereditati dal passato e arrivare al più presto ad un accordo forte, di portata globale, che getti un ponte verso il futuro del pianeta e dell'umanità intera.
Tadeusz Cymański (EFD), na piśmie. − COP 19 jest Konferencją Stron Ramowej Konwencji Narodów Zjednoczonych. Traktat ratyfikowany przez 195 stron, określa ramy międzynarodowej współpracy dotyczącej zjawiska zmian klimatycznych na Ziemi. Głosowaliśmy nad rezolucją, która będzie prezentowanym przez Parlament Europejski stanowiskiem na COP 19. Projekt rezolucji poddanej pod głosowanie proponował uwzględnienie takich zapisów, które doprowadziłyby do gwałtownego wzrostu cen energii. Dla Polski przyjęcie takich przepisów jest bardzo niekorzystne, gdyż grozi wzrostem bezrobocia i ubóstwa energetycznego rodzin. Dlatego głosowałem za odrzuceniem projektu rezolucji. Poza tym, do samego projektu złożyłem łącznie siedem poprawek, których głównym celem było niedopuszczenie do podwyższenia celów redukcji gazów cieplarnianych. Jestem zadowolony z przyjęcia większością głosów trzech moich poprawek. Dotyczą one między innymi wycofania z rezolucji zapisu o 50% celu redukcji emisji do 2030 r. Ponadto głosowałem przeciwko poprawce 12, zgłoszonej przez frakcję lewicową, która wnosiła o całkowity zakaz wydobycia gazu łupkowego. Przyjęcie takiej poprawki byłoby niezgodne z interesem Polski, gdzie szacuje się, że złoża gazu łupkowego są największe w Europie.
Vasilica Viorica Dăncilă (S&D), în scris. − Consider că este esenţială cooperarea la nivel regional, național și internațional pentru a dezvolta o abordare coerentă privind schimbările climatice care amenință capacitatea unui număr mare de regiuni de a-și asigura cantităţile de alimentele necesare populaţiei sale. Uniunea Europeană trebuie să promoveze dezvoltarea rurală, dezvoltarea durabilă, productivitatea sistemelor agricole și siguranța alimentară, în special în țările în curs de dezvoltare, pentru a reduce dependența lor de factori de producție pentru agricultură bazați pe combustibili fosili costisitori, fapt ce va permite îmbunătățirea traiului comunităților sărace din mediul rural. Nu trebuie să uităm că, producția de agrocarburanți pe bază de semințe oleaginoase, ulei de palmier, semințe de soia, semințe de rapiță, semințe de floarea soarelui, trestie de zahăr, sfeclă de zahăr și grâu ar putea duce la o cerere foarte mare de terenuri și pune în pericol persoanele din țările sărace a căror subzistență depinde de accesul la terenuri și la resursele naturale.
Rachida Dati (PPE), par écrit. – La lutte contre le changement climatique est une ambition majeure de l'agenda européen: le Parlement européen porte haut la voix des Européens sur cette question, et c'est pourquoi il était nécessaire que nous définissions une position claire pour qu'il puisse la relayer au cours des négociations internationales qui auront bientôt lieu à Varsovie. Je me félicite de ce que cette position soit réaliste: il faut accorder les objectifs climatiques et la politique industrielle, de recherche et d'innovation, pour protéger l'emploi et la croissance sans hypothéquer l'environnement. Je déplore cependant que la proposition d'intégrer un mécanisme carbone aux frontières ait été rejetée: c'est une mesure de bon sens, pour le bénéfice de tous les Européens et de leur environnement, et je resterai engagée sur cette question.
Diogo Feio (PPE), por escrito. − É fundamental que a UE crie uma estratégia de abordagem das alterações climáticas, assumindo um compromisso sério com o desenvolvimento sustentável, procurando reduzir as suas emissões de carbono, sem que tal ponha em causa as atividades produtivas, em especial as indústrias. Qualquer política para as alterações climáticas, sobretudo num panorama de crise económica e financeira, tem que procurar a eficiência económica e a sustentabilidade, pondo a inovação e a investigação ao serviço de novas técnicas e novas soluções, mais amigas do ambiente e igualmente eficientes e competitivas. O foco deve estar numa mais eficiente utilização dos recursos naturais e um forte investimento em investigação e tecnologias mais limpas para que seja possível manter a competitividade europeia e permitir a criação de emprego num quadro de crescimento verde.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. − As alterações climáticas são um desafio à escala global cujos efeitos podem ser minimizados, mitigados, mas são incontornáveis e trarão mudanças demográficas, novas doenças, problemas para os agricultores, graves dificuldades paras as entidades de proteção civil. Tal significa que todos os Estados, todos os níveis de governação e cada cidadão são convocados para este combate. Espero compromissos alargados, uma atuação partilhada e coordenada e metas vinculativas à escala global. Espero que a Conferência de Varsóvia não seja mais uma conferência mas antes um momento-chave para um acordo global. A UE tem de dar o exemplo e continuar a ter um papel relevante e de liderança. A UE deve assumir os seus compromissos já adotados em resoluções e ainda os objetivos neste domínio e, nomeadamente, os da Estratégia Europa 2020. A crise atual não pode ser uma desculpa para se esquecerem ou diminuírem as preocupações ambientais. Pelo contrário! É que uma política ambiental, como a União Europeia tem defendido, estimula a inovação e o investimento em bens e serviços ambientais, gerando postos de trabalho e oportunidades de exportação. Diminuir as preocupações ambientais - e esquecer a sustentabilidade - seria trágico e uma falta de solidariedade para com as gerações futuras.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. − À semelhança de anteriores resoluções, concordamos com os objetivos de redução das emissões de gases com efeito de estufa com uma maior preocupação no cumprimento das metas estabelecidas e com a necessidade de outras metas mais ambiciosas (em linha com as recomendações do IPCC). Mas nesta resolução, como nas anteriores, prevalecem as ditas soluções de mercado, cujo resultado está bem à vista no funcionamento do mercado do carbono. O regime de comércio de licenças de emissão (RCLE) é um dos exemplos do fracasso inequívoco dos instrumentos de mercado. Perante o incontornável fiasco ambiental e político que representa, pretendem agora associá-lo a outros mecanismos idênticos para a criação de um mercado mundial do carbono. Estamos perante a tentativa de esconder o falhanço do RCLE Europeu, passando-o à escala mundial, à custa da geração de milhões de euros em ativos financeiros fictícios, concentrados nos maiores poluidores à escala mundial. O clima, e as políticas que o circundam, tem sido mais um bom pretexto para lucrativas oportunidades de negócio do que motivo de preocupação séria e genuína sobre o futuro do planeta.
Christofer Fjellner (PPE), skriftlig. − Vi anser att det är befogat att se över EU:s mål inom klimatområdet för perioden framåt, inte minst för att stärka utsläppshandeln. Sverige och EU har en framgångsrik klimatpolitik som successivt har minskat utsläppen av växthusgaser. Sverige släpper idag ut 20 procent mindre än 1990, och EU står för 10 procent av utsläppen i världen. Samtidigt gör stora delar av världen ingenting för att minska utsläppen. Globalt har utsläppen ökat med 50 procent sedan 1990. Om världen ska klara tvågradersmålet räcker det inte att Sverige och EU agerar, andra länder måste ta sin del av ansvaret. EU:s strategi för detta har varit ett villkorat utsläppsmål på 30 procent till 2020 om resten av världen ökar sina ambitioner. Det har inte fungerat. EU måste ställa högre krav på andra delar av världen, inte bara gå före och hoppas att andra följer efter. Ett första steg är att kräva att alla länder redovisar de senaste utsläppssiffrorna. Det bör vara ett grundläggande krav i de internationella förhandlingarna. Vi noterar med oro hur allt fler röster höjs för att införa koldioxidtullar vid EU:s gränser. Det är fel väg att gå, och skulle ha förödande konsekvenser för miljö, handel, tillväxt och utveckling.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. − V dostupných podkladoch poukazujúcich na zmenu klímy z Dauhy sú so značným znepokojením uvádzané závažné rozdiely, pokiaľ hovoríme o vplyve existujúcich záväzkov zúčastnených strán v oblasti zmierňovania dôsledkov z hľadiska celosvetových ročných emisií skleníkových plynov do roku 2020 a súhrnných scenárov celkových emisií, ktoré by mohli predstavovať šancu udržať celkový ročný priemerný nárast teploty do 2 stupňov. Prudká zmena klímy je totiž záväznou hrozbou pre ľudstvo, biodiverzitu a planétu, a i z tohto dôvodu je nutné pristupovať k riešeniu tejto otázky na medzinárodnej úrovni participáciou všetkých zainteresovaných strán.
Elisabetta Gardini (PPE), per iscritto. − La Convenzione quadro delle Nazioni Unite sul cambiamento climatico, che si propone l´adozione di un accordo globale giuridicamente vincolante sul clima entro il 2015 e la sua attuazione entro il 2020, prevede l´organizzazione di conferenze annuali tra le parti interessate, le COP, volte ad attestare i progressi raggiunti e fissare con gradualità nuovi obiettivi. Con il voto di oggi, il Parlamento ha preso posizione sulle priorità da perseguire in occasione della COP di Varsavia che si terrà tra il 18 e il 23 novembre. Molti sono i punti critici sollevati dalla relazione: dalla necessità che tutti i Paesi responsabili delle emissioni adottino obiettivi ambiziosi e sufficienti per la riduzione delle emissioni, in accordo con l´evoluzione delle responsabilità e delle capacità, alla creazione di un unico mercato globale delle emissioni, più trasparente. Altro problema centrale è quello del finanziamento ai programmi di riduzione delle emissioni: occorre precisare in che modo si intende tener fede all´impegno assunto a Copenaghen di stanziare 100 miliardi di dollari all´anno per queste politiche entro il 2020 e mobilitarsi affinché il Fondo verde per il clima sia finanziato anche dai Paesi emergenti. L´Unione Europea deve assumere una posizione forte se non vuole che le sue politiche di contrasto alle emissioni si traducano in uno sforzo isolato.
Robert Goebbels (S&D), par écrit. – Selon l'Europe, le Parlement européen devrait "donner l'exemple" en réduisant ses émissions de gaz à effet de serre. Or, celles-ci ne représentent que moins de 11 % des émissions globales. Même si l'Union européenne réduisait ses émissions de 30 % jusqu'à l'horizon 2020, cette réduction serait absorbée par les émissions supplémentaires des autres. 18 pays représentent 75 % des émissions mondiales. Parmi ces 18 pays ne figure qu'un seul pays qui croit encore au Protocole de Kyoto, l'Allemagne. Des 150 pays qui avaient signé l'accord de Kyoto, il ne reste plus que l'Union européenne, la Norvège, la Suisse et le Liechtenstein. Les Américains, les Chinois, les Indiens, les Brésiliens, les Russes et tant d'autres n'ont jamais appliqué Kyoto. Le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande, s'en sont retirés. L'Australie, qui vient de liquider son Haut commissariat au changement climatique s'apprête à le faire. Et les Européens s'adonnent à l'illusion d'être "un exemple" pour le reste du monde. J'ai voté contre.
Françoise Grossetête (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de cette proposition de résolution, car elle permettra au Parlement de porter à la conférence de Varsovie un message clair et pragmatique. Les objectifs irréalistes de réduction d'émissions de 30 à 50 % aux horizons 2020 et 2030 ont été expurgés du texte et je m'en félicite. Si la lutte contre le changement climatique doit clairement être une priorité, elle ne saurait se faire au détriment de la compétitivité de notre tissu industriel. Alors que notre industrie traverse une crise sans précédent, il serait irresponsable de toujours plus l'accabler en fixant des objectifs inatteignables, qui pèseraient lourdement sur les investissements et, en fin de compte, sur l'emploi. Ce texte est un signal fort en faveur d'une politique climatique négociée au niveau planétaire et qui ne soit pas pour autant un fardeau pour nos entreprises.
Marian Harkin (ALDE), in writing. − I supported many of the proposal in this resolution but in particular I supported Amendment 12, which noted that the EU could fulfil its vital role in reducing emissions through policies to stop the development of highly greenhouse-gas-intensive unconventional fossil fuels e.g. shale gas. I also supported the idea that we should cease public subsidies that support the development of unconventional fuels; at the very least, we should start to phase them out.
Jim Higgins (PPE), in writing. − This draft resolution comes ahead of the global conference in Warsaw in November. I particularly welcome that it highlights that many of the past COP decisions have not been acted upon. We need to learn from the failure of previous decisions to be implemented and perhaps be more realistic in our demands or expectations. This resolution, quite rightly, calls for a more comprehensible and coherent post-2020 agreement (a new ‘Climate Pact’), with each country contributing (common but differentiated responsibilities and respective capabilities). The inclusion of all countries in the planning phase is essential if we really want to have a climate impact! The resolution also calls for a climate strategy to create new jobs. This is exactly the type of joined-up thinking we need. In a time of economic crisis, when people are struggling to put food on the table, it is very difficult to sell long-term climate goals. A climate-friendly job creation strategy is an excellent idea, which will allow the EU citizens to get involved in combating climate change. I also welcome the commitment to reduce our dependency upon energy imports, so that the EU can be energy independent!
Juozas Imbrasas (EFD), raštu. − Balsavau už šį dokumentą, nes juo siekiama užtikrinti būtiną Durbano platformos pažangą, pasiruošti įsipareigojimų parengimui ir pasaulinio teisiškai įpareigojančio susitarimo sudarymui iki 2015 m. Durbane buvo pasiektas susitarimas, kuris numatė tarptautines klimato kaitos strategijas beveik 200 šalių. ES stengiasi praktiškai įgyvendinti sudarytą planą. Didžiausia dalis visų pasaulio teršalų išmetama besivystančiose šalyse, kurios pagal dabartinį Kioto protokolą nėra prisiėmusios jokių taršos mažinimo įsipareigojimų. Durbane sukurtas naujas Žaliasis klimato fondas, kuris veiks kaip vienas pagrindinių kanalų dalijant 100 milijardų JAV dolerių sumą, kurią iki 2020 metų išsivystęs pasaulis įsipareigojo sukaupti kasmet, kad padėtų besivystančioms šalims įgyvendinti jų klimato kaitos švelninimo planus. Manau, kad visiems teršėjams reikia prisiimti plataus užmojo ir pakankamus šiltnamio efektą sukeliančių dujų mažinimo tikslus ir patvirtinti atitinkamas politikos priemones šiems tikslams pasiekti.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de la résolution pour la conférence sur le changement climatique à Varsovie. Elle rappelle le soutien de l'Union européenne à une politique ambitieuse mais réaliste en faveur de la réduction des émissions des gaz à effet de serre. Je me félicite à cet égard que l'on conditionne nos engagements à l'horizon 2020 à l'adoption par les principaux pays émetteurs d'engagements similaires. Je me félicite de l'adoption de cette résolution.