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Ausführliche Sitzungsberichte
Montag, 18. November 2013 - Straßburg Überprüfte Ausgabe

14. Arbeitsplan
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  Der Präsident. − Der endgültige Entwurf der Tagesordnung dieser Tagung, wie er in der Konferenz der Präsidenten in ihrer Sitzung vom Mittwoch, dem 13. November 2013 gemäß Artikel 137 der Geschäftsordnung festgelegt wurde, ist verteilt worden. Zu diesem Entwurf wurden folgende Änderungen beantragt:

Montag:

Die Verts/ALE-Fraktion hat mir mitgeteilt, dass sie einen Antrag zu einer Erklärung der Kommission in Sachen TDIP stellen möchte.

 
  
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  Daniel Cohn-Bendit (Verts/ALE). - Herr Präsident! Etwas zum Prozedere zur Abstimmung über den MFF. Das sind zwei verschiedene Dinge. Ich wollte Ihnen nur sagen, dass wir uns da angemeldet haben.

 
  
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  Der Präsident. − Dazu kommen wir, wenn ich den Mittwoch aufrufe. Herr Cohn-Bendit, es ist Ihrer geschätzten Aufmerksamkeit möglicherweise entgangen, dass ich den Montag aufgerufen hatte und mir mitgeteilt worden war, dass Sie als Fraktion für Montag einen Antrag zu einer Erklärung der Kommission stellen wollen.

 
  
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  Yannick Jadot, au nom du groupe Verts/ALE. – Monsieur le Président, chers collègues, vous le savez, en juillet, nous avons adopté une résolution sur les négociations de libre-échange transatlantique et, déjà, le scandale de la NSA avait éclaté.

Depuis, nous en savons beaucoup plus, et nous savons que ce scandale est encore plus inacceptable. Ce sont des millions de citoyens européens qui sont bafoués dans leurs libertés fondamentales et, alors qu'on ne doute pas de votre soutien au processus de négociations transatlantiques, même vous, Monsieur le Président, dans une interview accordée à un grand journal français, Le Monde, avez demandé une pause dans ces négociations. Les indignations, tantôt factices, tantôt sincères, de nos dirigeants n'ont entraîné aucune réaction sérieuse des États-Unis, pour nous expliquer quelle est la réalité de cet espionnage et, surtout, pour s'engager à ne plus espionner les citoyens européens.

La demande du groupe des Verts est claire: nous considérons que c'est au Parlement européen d'assumer sa responsabilité en termes de protection des libertés fondamentales, pilier de la démocratie européenne, et nous demandons à ce qu'il y ait effectivement une déclaration de la Commission. On ne peut pas faire comme s'il ne se passait rien. Je souhaite qu'il y ait une réponse des présidents de groupe et que nous puissions enfin évoquer la question de la suspension des négociations de libre-échange, qui serait le seul signal entendu par l'administration américaine. Évidemment, sur ce point, nous demandons un vote de rappel.

 
  
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  Gabriele Zimmer, im Namen der GUE/NGL-Fraktion. – Herr Präsident, meine Damen und Herren! Die Fraktion der GUE/NGL unterstützt diesen Antrag, der eben von den Grünen gestellt worden ist. Wir sind ebenfalls der Meinung, dass wir genau zu dem gegenwärtigen Verhandlungsstand und auch zu der Frage der Auswirkung des NSA-Skandals auf die TDIP-Verhandlung seitens der Kommission eine klare Ansage haben wollen. Und wir wollen uns dazu ebenfalls hier im Parlament äußern. Wo, wenn nicht hier im Parlament, sollte klar und deutlich nochmals angesprochen werden, worum es bei diesem ganzen Skandal eigentlich geht? Und wenn jemand auf Augenhöhe miteinander diskutieren will, dann muss das Parlament eingebunden werden.

(Beifall)

 
  
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  Weber, Manfred, im Namen der PPE-Fraktion. – Herr Präsident, liebe Kolleginnen und Kollegen! Das Europäische Parlament hat sich mit dieser Frage beschäftigt und einen Beschluss dazu gefasst. Mit einer großen Mehrheit hat das Europäische Parlament zum Ausdruck gebracht, dass wir gegenüber den amerikanischen Freunden deutlich machen müssen, wo unsere Positionen sind. Und wir haben auch deutlich gemacht, dass wir die Verhandlungen weiterführen wollen. Insofern sehen wir keinen neuen Sachverhalt. Wir sind deswegen gegen diesen neuen Antrag. Ich möchte aber ausdrücklich sagen, dass der Sachverhalt als solches – die NSA-Problematik – auf unserer Agenda bleiben muss.

Wir als EVP-Fraktion haben für diese Woche beantragt – und leider Gottes war es aus Zeitgründen nicht möglich –, über die Safe-Harbor-Abkommen zu diskutieren, wo eigentlich die Datenschutzfragen für unsere Bürger diskutiert werden, und das auf den Prüfstein zu stellen, wie es auch die Kommission bereits angedeutet hat. Ich würde uns wünschen, dass wir im Dezember Gelegenheit bekommen, noch einmal ausführlich über diese Fragen zu diskutieren und Safe-Harbor entsprechend auf den Prüfstand zu stellen.

 
  
 

(Das Parlament lehnt den Antrag ab.)

Dienstag:

(Es wird keine Änderung vorgeschlagen)

Mittwoch:

 
  
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  Der Präsident. − Herr Cohn-Bendit hat einen Antrag zu Abstimmung gestellt.

 
  
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  Daniel Cohn-Bendit, im Namen der Verts/ALE-Fraktion. – Herr Präsident! Sie haben in der letzten Konferenz der Präsidenten mitgeteilt, dass die Abstimmung über die mittelfristige Finanzplanung so stattfinden wird, dass zuerst en bloc über die Kompromissvorschläge abgestimmt werden soll und erst danach, wenn es nötig ist, über die einzelnen Änderungsanträge.

Monsieur le Président, cette méthode est un scandale, pour le dire tout simplement, car vous savez très bien que dans l'ordre de vote, en fait, la direction est décidée.

Nous avons déjà connu cela lors de la réforme de la PAC: selon l'ordre dans lequel nous avons voté, des tas d'amendements n'ont pas pu être votés. Je crois que six mois avant les élections, les jeunes qui doivent apprendre quelque chose sur la démocratie. Je crois que tous les groupes, toutes les commissions – par exemple, la commission de l'emploi et des affaires sociales – ont proposé des amendements sur toute la réforme de la PAC. Or, c'est le texte du Conseil que nous allons voter. Rien d'autre!

Je trouve qu'il serait normal que d'abord, nous votions les amendements déposés par les commissions ou les groupes. Il y en a 119 pour 29 rapports, c'est-à-dire trois à quatre amendements par rapport: ce n'est pas beaucoup et ce serait un signe de démocratie. Sinon pourquoi ne proposez-vous pas, avec le président de la Commission et le président du Conseil, de nommer le président du Conseil avant les élections européennes, en bloc? Pourquoi embêter les citoyens européens avec ce genre de questions? Ce serait beaucoup plus facile de procéder de la sorte.

Monsieur le Président, je vous demande de revenir sur votre décision et de faire voter d'abord les amendements. Je sais que vous avez le droit d'en décider – oui, vous pouvez, en tant que Président, décider de l'ordre de vote. Le groupe des Verts/ALE n'a pas voté pour vous pour voir ce genre de pratique.

 
  
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  Pervenche Berès, au nom de la commission de l'emploi et des affaires sociales. Monsieur le Président, en tant que présidente de la commission de l'emploi et des affaires sociales, nous avons redéposé un amendement car le texte adopté au sein de la commission du développement régional concernant le Fonds social européen, et déposé en plénière, n'est pas un accord au sens de l'article 70, paragraphe 5, du règlement ainsi que du code de conduite sur la codécision et sur la déclaration conjointe.

Par conséquent, les règles de vote pour les accords ne peuvent pas et ne doivent pas être appliquées. Le vote sur les amendements déposés devrait être admis, les prérogatives de la commission de l'emploi et des affaires sociales, en tant que commission associée, ont été Méconnus par la commission du développement régional sur la question des 25 % depuis qu'un accord sur ce point a été trouvé au sein de la commission du développement régional, avec le Conseil. Les 25 % représentant encore à ce jour la position officielle de la plénière du Parlement européen, ce qui a été confirmé par un vote au sein de la commission de l'emploi et des affaires sociales.

En conséquence, l'accord conclu au sein de la commission du développement régional avait été formellement rejeté par la commission de l'emploi et des affaires sociales. L'amendement de la commission de l'emploi et des affaires sociales n'a jamais été mis au vote au sein de la commission du développement régional. Ne pas admettre le vote sur un amendement de la commission de l'emploi et des affaires sociales en plénière constituerait donc une ultérieure violation de l'article 50 et viderait de tout son sens cet article.

(Applaudissements)

 
  
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  Gabriele Zimmer, im Namen der GUE/NGL-Fraktion. – Herr Präsident! Ich möchte Sie wirklich auch im Namen meiner Fraktion noch einmal bitten, die Prozedur für die Abstimmung zum MFF zu verändern. Ich möchte Sie daran erinnern, dass wir bereits im vergangenen Juni/Juli das Problem hatten, dass mit dem Deal, der zu dem Kompromiss geschlossen worden ist, längst nicht alle Fraktionen einbezogen und auch nicht einverstanden waren. Und wenn jetzt hinzukommt, dass wir auch praktisch zu den Änderungsanträgen, insbesondere auch zu der Common Provisions Regulation, nicht noch abstimmen dürfen, dann glaube ich, leidet auch das Vertrauen in die Arbeit des Parlaments insgesamt darunter.

Wir haben – beispielsweise was den Änderungsantrag betrifft, der sich auf die makroökonomischen Bedingungen, die Konditionalitäten bezieht – bisher eine generell andere Meinung hier im Parlament gehabt. Wenn wir darüber nicht abstimmen können, geben wir als Parlament das Recht ab, nochmals deutlich zu sagen, dass wir Veränderungen hier für notwendig halten. Und warum dürfen wir keine Kompromisse kommentieren und verändern, wenn gleichzeitig im Rat gegenwärtig die Diskussion läuft, wordings zu diesem Kompromiss zu ändern beispielsweise hinsichtlich des persistent – also der ständigen Schwierigkeiten in den Staaten – hin zu dem Wort ganz besonders schwierige, wenn also aus der Dauerhaftigkeit plötzlich etwas Schwerwiegendes wird. Das kann nicht sein! Wir bestehen darauf, dass wir hier wirklich über die einzelnen Anträge noch einmal abstimmen!

Ich möchte auch darauf verweisen, dass Ihnen Artikel 20 der Geschäftsordnung das Recht gibt, wenn unverhältnismäßig viele Anträge vorliegen, zu entscheiden, dass das abgelehnt und zurückgewiesen wird. Aber, bitteschön, diese ein und ein Drittel Seite sind keine unverhältnismäßige Anzahl an Abstimmungen. Bitte korrigieren Sie sich!

 
  
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  Der Präsident. − Ich habe jetzt zwei Wortmeldungen, die nehme ich noch, danach würde ich Ihnen gerne meine Erklärung und auch die Entscheidung zum Verfahren, die ich in der Konferenz der Präsidenten ja mitgeteilt habe und gegen die in der Konferenz der Präsidenten kein Einspruch eingelegt wurde, hier mitteilen.

 
  
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  Guy Verhofstadt, au nom du groupe ALDE. – Monsieur le Président, je voudrais tout d'abord exprimer mon soutien à la demande formulée par M. Cohn-Bendit et par Mme Berès pour permettre, en effet, de discuter et de voter sur les amendements.

Je sais qu'il a régné une certaine confusion après la Conférence des présidents; je vous ai écrit, avec plusieurs collègues, une lettre à ce sujet. Vous y avez répondu mais nous pensons néanmoins qu'il y a des raisons de réagir par l'affirmative à la demande de M. Cohn-Bendit.

Après ce premier point, le deuxième point dont je veux vous parler, à vous ainsi qu'aux collègues, est celui de l'autre condition de la résolution, à savoir la création d'un groupe de haut niveau sur les ressources propres.

Après de longs débats, nous avons reçu, le lendemain de la Conférence des présidents, une lettre de la Présidence lituanienne à cet égard. Je ne vais pas vous la lire entièrement mais la présidence est d'accord sur le principe de la création d'un groupe de travail, en employant malgré tout à chaque fois des formulations du type, en anglais: "should be available", "could take place", "possibly launched", "could take place"... Voilà les mots utilisés par la Présidence lituanienne.

Cette lettre constitue selon moi un pas dans la bonne direction mais elle n'est pas suffisante. Je vous propose donc, avant le vote final sur le CFP, de demander, au nom du Parlement, à la Présidence lituanienne – dont je pense qu'elle sera dans la salle lors du vote sur le CFP – de confirmer – ainsi que M. Lamassoure l'a dit au sein de la commission des budgets, ainsi que vous l'avez dit lors de la Conférence des présidents – qu'elle est bien d'accord avec la création de ce groupe de travail de haut niveau.

Cela ne ressort pas clairement de la lettre et je veux avoir la clarté, comme – je le pense – M. Lamassoure, comme les chefs de groupe et, en tout cas, comme les membres de la commission des budgets. Ma proposition est donc la suivante: procédons au vote après la confirmation, par la Présidence lituanienne, de la création de ce groupe de haut niveau!

 
  
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  Hannes Swoboda, im Namen der S&D-Fraktion. – Herr Präsident! Ich habe vor einiger Zeit, es ist einige Monate her, bei einer Abstimmung verlangt, dass man die Reihenfolge so macht, dass zuerst über den Kompromiss abgestimmt wird und man erst dann auf die Abänderungsanträge zurückkommt, wenn der abgelehnt wird. Das ist damals abgelehnt worden. Ich kann daher nur sagen, ich stimme mit dem grundsätzlich überein, denn das ist das, was ich verlangt habe – grundsätzlich. Ich würde nur darum bitten, dass man diese Vorgangsweise, die jetzt für das Budget gefunden worden ist, soweit ich das verstehe, auch grundsätzlich anwendet. Natürlich bin ich der Meinung, dass man vielleicht einen Antrag eines Ausschusses anders behandeln kann, weil es dann keinen Kompromiss gegeben hat. Also insofern würde ich es natürlich für opportun erachten, wenn man den Fall des Sozialausschusses anders behandelt. Aber ich akzeptiere die Entscheidung des Präsidenten voll. Die grundsätzliche Entscheidung ist genau das, was ich vor einigen Wochen verlangt habe, daher unterstütze ich das auch voll!

Nur ganz kurz noch zu dem Brief der litauischen Präsidentschaft. Herr Kollege Verhofstadt, ich habe mir das genau angeschaut. Ich kann mir auch einen besseren, stärkeren Brief vorstellen, nur: die meiste Zeit, wo es um „Schutt oder Kutt“ geht, geht es um konkrete Details – „… könnte zum Beispiel am 18. oder 19. Dezember stattfinden“. Vom Grundsatz her erachte ich diesen Brief als eine klare Zustimmung für die Einsetzung dieser Arbeitsgruppe. Das ist eigentlich auch die Voraussetzung dafür, dass wir zustimmen können. Und ich sehe nicht den Zweifel, ob es eine Zustimmung gibt, nur über die Details kann es dann verschiedene Ansichten geben. Ich glaube, dass Rat, Parlament und Kommission jetzt an einem Strang ziehen, was die Einsetzung der Arbeitsgruppe Own Resources betrifft.

 
  
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  Francesco Enrico Speroni, a nome del gruppo EFD. – Signor Presidente, come il collega Cohn-Bendit, anch'io ritengo si debbano votare gli emendamenti, perché altrimenti si tratterebbe di un'espropriazione di una delle prerogative fondamentali del Parlamento, che non può essere messo di fronte a un'unica scelta: prendere o lasciare.

 
  
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  Alain Lamassoure (PPE), Président de la commission BUDG. Monsieur le Président, à la suite notamment de l'intervention du président Verhofstadt et à l'instar du président Swoboda, j'insiste pour que l'on vote demain le règlement sur le CFP.

La négociation a été très longue. Nous avons, je crois, maintenant satisfaction sur toutes les conditions précises que le Parlement avait mises à son vote dans sa résolution du 3 juillet. En ce qui concerne la condition particulière de la mise en œuvre d'un groupe de haut niveau pour réformer les ressources propres, nous avons maintenant la garantie qu'il y a une convergence de vue politique complète entre les trois institutions. En particulier, dans la lettre que Guy Verhofstadt a évoquée, il est rappelé que le Conseil admet que le travail va consister à réformer l'ensemble du système des ressources propres en reprenant la formule utilisée par le Parlement. Il est aussi précisé que la date de réunion d'installation de ce groupe de haut niveau ne sera pas ultérieure au 18 ou au 19 décembre. C'est un simple problème technique pour trouver une date convenant aux présidents des trois institutions qui installeront le groupe. J'ajoute que j'ai profité d'un entretien que m'a accordé le Président Van Rompuy, la semaine dernière, pour lui poser la question. Le Président Van Rompuy m'a fait savoir que, si le Parlement le souhaitait, il était à sa disposition pour participer à cette installation, ou préciser avec vous les modalités de travail de ce groupe de haut niveau avec le Conseil européen.

Je rejoins le Président Verhofstadt lorsqu'il indique que le texte qui nous est parvenu du Coreper comprend trop de "should" au lieu de "shall" et j'interviendrai auprès du président lituanien, qui sera là demain, pour que demain, dans son discours, les "should" deviennent des "shall".

 
  
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  Der Präsident. − Verehrte Kolleginnen und Kollegen! Ich versuche, Ihnen jetzt die Entscheidungsfindung zu erläutern, die mich geleitet hat, zu diesen Vorschlägen und zu diesem Abstimmungsmodus zu kommen. Ich habe das in der vergangenen Woche in der Konferenz der Präsidenten ausführlich getan und habe dort keinen Widerspruch erfahren, aber selbstverständlich kann das Plenum diese Vorgehensweise hinterfragen, was Sie ja getan haben.

Zunächst einmal zur Abstimmung über den mittelfristigen mehrjährigen Finanzrahmen: Das Parlament hatte in seinen mehrfachen Entschließungen zur Abstimmung über den MFR Bedingungen formuliert. Die Bedingungen lauteten im Wesentlichen: 1. Es müssen alle Nachtragshaushalte abgesichert sein. 2. Es müssen alle legislativen im Mitentscheidungsverfahren befindlichen Programmierungsrechtsgrundlagen abgeschlossen sein. Und 3. Es muss die Einsetzung der hochrangigen Arbeitsgruppe für die Eigenmittel gewährleistet sein.

Alle drei Voraussetzungen sind erfüllt. 1. Die Einsetzung der Arbeitsgruppe ist erfolgt. Ich interpretiere den Brief von Herrn Barroso und den Brief der Ratspräsidentschaft so wie Kollege Lamassoure. 2. Die Legislativprozesse sind abgeschlossen, sonst hätten wir die Debatte über die Abstimmungen hier nicht. Und 3. Die Nachtragshaushalte sind gewährleistet. Damit waren die Grundvoraussetzungen für die Abstimmung über den MFR gegeben, deshalb stimmen wir darüber auch ab.

Nun zu den Legislativberichten und der Vorgehensweise: Zunächst einmal ist jeder Änderungsantrag zulässig und wird auch hier zur Abstimmung gebracht. Über die Frage, wie und in welcher Reihenfolge abgestimmt wird, entscheidet – das haben Sie richtig gesagt, Herr Cohn-Bendit – der Präsident.

Nun habe ich mir das sehr schwer gemacht und bin zu folgender Entscheidung gekommen: Mit dem Rat verhandeln unsere Fachausschüsse im Rahmen des Trilogs, also die Berichterstatterinnen und Berichterstatter mit ihren Kolleginnen und Kollegen in den Fachausschüssen. Das Kompromissergebnis der Ratsverhandlungen mit unseren Ausschüssen, der Trilogdelegation unserer Fachausschüsse, geht in den Ausschuss. Der Ausschuss stellt das Ergebnis fest und überweist es hier an das Plenum.

Ich lasse also hier im Plenum zunächst über den Kompromiss abstimmen, den der Fachausschuss mit dem Rat geschlossen hat. Wird er angenommen, ist das, was die Kolleginnen und Kollegen der Ausschüsse mit dem Rat verhandelt haben, angenommen. Wird dieser Beschluss abgelehnt, dann stimmen wir über andere Änderungsanträge ab und dann geht das Ganze wieder ins Verfahren.

Ich gebe Ihnen einmal ein Beispiel: Der Landwirtschaftsausschuss hat wie folgt abgestimmt: über die Berichte La Via mit 35 Ja, 6 Nein, keine Enthaltung, über den Bericht Capoulas Santos mit 35 Ja, 3 Nein, 3 Enthaltungen, über den Bericht Dantin 27 Ja, 14 Nein, keine Enthaltung, nochmals Capoulas 31 Ja, 8 Nein, 2 Enthaltungen. Das heißt, ich habe nicht einmal eine Handhabe zu sagen, das war so knapp, dass ich jetzt die Änderungsanträge vorziehe. Die Willensbildung unserer Fachausschüsse ist so eindeutig, dass ich das Kompromissergebnis der Kolleginnen und Kollegen zunächst dem Plenum vorlege. Wird das angenommen, sind alle anderen Änderungsanträge hinfällig. Wird es abgelehnt, rufe ich selbstverständlich die Änderungsanträge auf.

Im Übrigen hat das Parlament z. B. beim Climate Change Package exakt dieses Verfahren angewendet, wie bei der Staff Regulation auch. Und Herr Swoboda hatte beim Bericht des Kollegen Domenici darum gebeten, dass dieses Verfahren angewendet wird. Für Herrn Domenici wurde es nicht angewendet, mit sehr negativen Folgen, weil hier nämlich Änderungsanträge angenommen wurden, die seinen Kompromiss wieder auf den Kopf gestellt haben, obwohl die Mehrheit des Ausschusses seinen Kompromiss getragen hatte.

Ich glaube, wir haben es hier in dieser Situation nicht leicht. Ich habe mich unter anderem deshalb zu dieser Verfahrensweise entschlossen, weil wir es – und da haben Sie Recht – mit einem Kompromiss zu tun haben, der im Rat zum Teil mit qualifizierter Mehrheit, zum Teil einstimmig angenommen worden ist und bei uns – wie ich meine – in den Fachausschüssen mit überwältigenden Mehrheiten angenommen worden ist.

Das ist der Grund, warum ich mich für dieses Verfahren entschieden habe. Ich halte das auch für das Verfahren, das am sinnvollsten ist. Wenn wir nicht in eine zweite Lesung gehen, sondern in erster Lesung zu einem Kompromiss mit dem Rat kommen, ist das das eigentlich gebotene Verfahren und ich bitte um Ihr Verständnis, dass ich so verfahre!

(Beifall)

Donnerstag:

(Es wird keine Änderung vorgeschlagen)

 
  
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  Rui Tavares (Verts/ALE). - Senhor Presidente, é para um pedido de esclarecimento ao Sr. Presidente Swoboda e também um pedido de esclarecimento a si próprio, ao Sr. Presidente do Parlamento.

Se eu puder continuar, diria ao Sr. Swoboda que nos explicasse qual é a diferença que faz entre as emendas da Comissão EMPL e as emendas da Comissão REGI, algumas delas tendo em conta, por exemplo, questões de desemprego jovem que são tão cruciais para o futuro … (discurso interrompido pelo presidente por razões técnicas)

Espero que agora esteja corretamente a funcionar a interpretação.

Sr. Swoboda e Sr. Schulz, os cidadãos podem não entender as minúcias técnicas regimentais de que os senhores aqui falaram, mas entendem que emendas sobre desemprego jovem, um tema de que o Sr. Presidente falou na semana passada em Paris, se arriscam a não ser votadas, caso a decisão do Sr. Presidente sobre o sistema de voto se mantenha. E isso é que é o mais importante na nossa responsabilidade perante os cidadãos europeus.

Eu gostaria que o Sr. Swoboda me explicasse como é que pode salvar uma emenda da Comissão EMPL e depois não ter as emendas sobre desemprego jovem que deixam de fora os países que têm mais desemprego jovem e, Sr. Presidente, diretamente lhe pergunto aqui, para terminar ... (discurso interrompido)

Se puder terminar a pergunta... (discurso interrompido)

Mas eu tenho uma pergunta direta para si, Sr. Presidente... (discurso interrompido)

O Sr. Presidente falou de relatórios que, no seu conjunto, não foram controversos no voto em Comissão, que tiveram votações muito claras, mas dou-lhe o exemplo do relatório Olbrich, o relatório enquanto tal teve uma votação muito clara mas são as emendas de que nós estamos a falar que não tiveram e as emendas sobre desemprego jovem passaram com poucos votos, ou melhor, foram rejeitadas com poucos votos, o que justifica que o plenário se pronuncie de novo sobre isso.

É ou não verdade, Sr. Presidente?

 
  
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  Pervenche Berès (S&D). - Monsieur le Président, s'agissant de l'amendement de la commission de l'emploi et des affaires sociales, pour que les choses soient claires, il s'agit de l'amendement qui demande que le Fonds social européen soit doté de 25 % des fonds consacrés à la politique de cohésion.

Cet amendement a été voté par la plénière à plusieurs reprises. Il a été revoté par la commission de l'emploi et des affaires sociales, après que la commission du développement régional ait voté en faveur du FSE à hauteur de 23,1 %. Nous considérons donc que ce que la plénière votera demain n'est pas un accord. C'est la position de la commission du développement régional. Et la commission de l'emploi et des affaires sociales n'est pas d'accord avec cette ligne.

Nous ne pensons donc pas pouvoir mettre aux voix un accord. Il n'y a pas d'accord. La commission de l'emploi et des affaires sociales n'est pas d'accord. Nous vous demandons de faire usage de l'article 161 du règlement, qui vous autorise à modifier l'ordre de vote ou à établir, selon ce qui vous semble juste, l'ordre de vote.

Je constate que cette demande a également été soutenue par d'autres, y compris certains présidents de groupe ici.

(Le président retire la parole à l'oratrice)

 
  
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  Le Président. - Merci beaucoup, Madame Berès, j'ai bien compris. Vous l'avez déjà expliqué deux fois, j'ai bien compris, pas de souci! Mais le compromis avec le Conseil a été conclu par la commission du développement régional. Il est de notoriété publique, dans cette Maison que la commission de l'emploi et des affaires sociales était tout à fait contre. Nous avons largement débattu de cette question, ici, au Parlement et dans le cadre des négociations. Comme M. Tavares l'a aussi demandé, il est de notoriété publique qu'il y a ces divergences au sein même de notre Maison. Mais la décision est le fruit d'un compromis entre la commission du développement régional et le Conseil. La position a été adoptée. Je prends note de votre amendement de la commission de l'emploi et des affaires sociales, qui est sur la liste des amendements. Je vais tout d'abord soumettre au vote le compromis de la commission du développement régional. S'il est accepté, très bien! S'il n'est pas accepté, nous voterons votre amendement. C'est la seule possibilité. Je suis désolé.

(Der Arbeitsplan ist somit angenommen.)

 
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