10.16. Semestre européen pour la coordination des politiques économiques: emploi et aspects sociaux dans le cadre de l'examen annuel de la croissance 2015 (A8-0043/2015 - Sergio Gutiérrez Prieto)
Written explanations of vote
Clara Eugenia Aguilera García (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra del presente informe debido a que no supone cambio alguno en la orientación neoliberal del marco de la gobernanza económica. El Estudio Prospectivo Anual es el estudio económico de la Comisión Europea que da inicio a todo el proceso del Semestre Europeo. Este informe trata de incluir indicadores sociales y relativos al empleo en el Estudio para mejorar su calidad. Sin embargo, esta inclusión es de carácter superficial y no vincula dichos indicadores con las recomendaciones; se trata de una mera decoración que no reformará en absoluto el marco de la gobernanza económica. Una verdadera revisión en este sentido debería vincular y obligar a la Comisión a reformular sus recomendaciones y a apostar por objetivos sociales de carácter vinculante, superando la lógica monetarista de sus políticas. Por esto he decidido votar en contra del presente informe.
Νίκος Ανδρουλάκης (S&D), γραπτώς. ‒ Η Έκθεση της Επιτροπής Απασχόλησης αναφέρεται στις κοινωνικές πτυχές της Ετήσιας Έκθεσης για την Ανάπτυξη που παρουσίασε η Ευρωπαϊκή Επιτροπή. Καλεί για την εφαρμογή πολιτικών πιο φιλικών προς την ανάπτυξη, που στόχο θα έχουν την δημιουργία ποιοτικών θέσεων εργασίας. Καλεί επίσης για την εγκαθίδρυση ενός πανευρωπαϊκού συστήματος ελάχιστου εισοδήματος και ζητά την υιοθέτηση πολιτικών για την επίτευξη των στόχων της Στρατηγικής Ευρώπη 2020.
Τέλος, ζητά την συμμετοχή του Κοινοβουλίου κατά τη διαδικασία συγγραφής αλλά και έγκρισης της Ετήσιας Έκθεσης για την Ανάπτυξη, αλλά και των Συστάσεων της Ευρωπαϊκής Επιτροπής σχετικά με τις οικονομικές πολιτικές και την Αγορά Εργασίας.
Για όλους τους παραπάνω λόγους ψήφισα υπέρ της έκθεσης της Επιτροπής Απασχόλησης με τίτλο "Ευρωπαϊκό εξάμηνο για τον συντονισμό των οικονομικών πολιτικών: απασχόληση και κοινωνικές πτυχές στην ετήσια επισκόπηση της ανάπτυξης 2015".
Marie-Christine Arnautu (NI), par écrit. ‒ Les objectifs supranationaux du Semestre européen sont ici déclinés en propositions de réformes structurelles qui renvoient à deux écueils de la politique européenne en matière d'emploi et d'aspects sociaux: la recherche d'une flexibilité accrue sur le marché du travail dans un contexte de libre circulation des travailleurs et une tendance de fond vers l'harmonisation des règles de protection de l'emploi. La convergence des économies et des systèmes d'encadrement du marché du travail ne repose par ailleurs sur aucune légitimité ni sur une éventuelle faisabilité de ces propositions. Le texte soumis au Parlement européen est donc incantatoire et davantage fondé sur des considérations politiques que sur des besoins réels.
Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ I do not believe that the European Semester process is sufficiently democratic, and in any event as a UKIP MEP I should vote against for reasons of principle. In terms of economic and social aspects, I am concerned that many suggestions – however laudable – should fall within the remit of the Member States.
Janice Atkinson (EFDD), in writing. ‒ UKIP abstained on paragraph 29, split 1, because, while we cannot support calls for the EU to interfere in the tax and criminal law of Member States, we of course do not oppose cracking down on tax fraud and illegal activity.
Guillaume Balas (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de la résolution finale concernant l'emploi et les aspects sociaux dans le cadre de l'examen annuel de la croissance, document publié en novembre 2014 par la Commission européenne qui vise à assurer la coordination des politiques économiques au sein de l'Union. Il dresse en effet une analyse lucide des conséquences désastreuses des politiques d'austérité ayant sévi dans les pays périphériques de l'Union mais aussi des mesures accélérées de consolidation budgétaire qui ont cassé la mécanique de la reprise dans les autres États de l'Union européenne.
La qualité des recommandations contenues dans cette résolution doit beaucoup à l'excellent travail réalisé par le rapporteur socialiste Sergio Gutiérrez Prieto, qui a su convaincre une majorité de députés européens de soutenir notamment un plan de lutte contre le dumping et la fraude fiscale et de demander la mise en place d'une taxe ambitieuse sur les transactions financières.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šį siūlymą dėl Europos ekonominės politikos koordinavimo semestro. Pagal šių metų Europos ekonominio augimo prognozes toliau išliks didelis nedarbo lygis. Tai rodo, kad sunkiai kelią skinasi esminės struktūrinės reformos ekonominėje ir socialinėje srityse. Palaikau Komisijos pirmininko pateiktą investicijų skatinimo planą, tačiau jis neturėtų būti laikomas būtinų reformų alternatyva, o papildoma priemone, kuri leistų skirti lėšas europinę bei ekonominę ir socialinę grąžą nešantiems projektams. Būtina sparčiau kurti bendrąją energetikos rinką ir skatinti ES šalių energetinę nepriklausomybę. Labai svarbus energijos sąjungos sukūrimas, ją sukūrus valstybės narės taptų konkurencingesnės ir atsparesnės politiniam trečiųjų šalių spaudimui.
Nicolas Bay (NI), par écrit. ‒ J'ai voté contre ce rapport car je suis opposé au "Semestre européen pour la coordination des politiques économiques", qui s'avère contraire au droit fondamental de chaque État membre et de sa population à décider de leurs politiques en fonction de leur situation économique et sociale, ainsi que de leurs droits et aspirations.
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ Ce rapport insiste sur la nécessité de lutter pour des emplois décents et contre le chômage des jeunes. Il insiste aussi sur le fait que la mobilité professionnelle doit être volontaire et non soumise à la pression économique. Il rappelle la nécessité d'introduire un revenu minimum partout en Europe afin de limiter le dumping social que nous connaissons aujourd'hui.
En matière de fiscalité, l'accent est mis sur le passage d'une fiscalité du travail vers une fiscalité du capital.
Ces principes me semblent essentiels à respecter au vu de la crise économique que l'Europe traverse actuellement, et c'est d'ailleurs pour cela que je me suis positionné en faveur de ce rapport.
Izaskun Bilbao Barandica (ALDE), por escrito. ‒ Creo que la nueva Comisión debe dejar claro desde el principio de su mandato que ha venido para cambiar el signo de las políticas que hemos aplicado hasta la fecha frente a la crisis. El centro de la acción política son las personas. El objetivo de la Estrategia 2020 y el medio para crecer de manera inteligente, sostenible y cohesionada, son las personas. Por eso apoyo la exigencia de poner en marcha un programa de renta mínima a nivel europeo. Lo recoge el programa de la Comisión Juncker. He visto como ha servido en mi país, el País Vasco, desde hace 27 años para evitar la exclusión. Es momento de rescatar a las personas de la pobreza con más empeño que el dedicado al rescate del sistema financiero y seguro que con mucho menos coste. Necesitamos una Comisión con más recursos y más poder y capacidad para liderar inversiones productivas y movilizar el capital privado a favor de la economía real penalizando la especulación. Eso es para mí una Europa social y federal. La Europa de las personas.
Dominique Bilde (NI),par écrit. – Ce deuxième rapport sur le Semestre européen pour la coordination des politiques économiques porte plus particulièrement sur l’emploi et les aspects sociaux. Les politiques d’austérité de l’Union européenne et la baisse des dépenses d’investissement empêchent et empêcheront toute reprise de la croissance et baisse du chômage. La baisse du prix de l’euro (dont les dirigeants européens se félicitent alors qu’ils n’en voulaient pas auparavant) doit permettre la reprise. Malheureusement, cette situation risque de ne pas durer, comme pour la baisse du prix du pétrole – baisse qui n’améliore presque en rien le pouvoir d’achat des ménages puisque les prix à la pompe n’ont baissé que légèrement.
Il devient urgent que l’Union cesse cette politique d’austérité et de fuite en avant en s’acharnant à sauver une monnaie unique qui n’est pas adaptée. J’ai donc voté contre ce texte.
Mara Bizzotto (NI), per iscritto. ‒ Ho votato contro questa relazione che celebra la pratica tanto inutile quanto dannosa del Semestre europeo.
Inutile perché il coordinamento delle politiche economiche, a parte dimostrare che l'Europa ci ha tolto anche la possibilità di decidere come spendere i nostri soldi, non ha risolto nessun problema. Dannoso perché attraverso questo processo l'Europa ha tartassato di austerity e di provvedimenti assurdi gli stati membri che non rispondevano ai diktat di Berlino, mettendo in ginocchio intere economie.
Un esempio su tutti, il Veneto! Qui le "Eurofollie" hanno mandato in fumo ben centomila posti di lavoro facendo chiudere, nel solo 2014, almeno tremila imprese. Se questi sono i meravigliosi risultati del semestre europeo allora cancelliamolo! Basta proclami, basta propaganda, basta bugie!
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šį pranešimą, kadangi Europos Sąjunga turi ir toliau gerinti savo ekonominę ir socialinę politiką, kurią įgyvendinant siekiama strategijos „Europa 2020“ tikslų, ir kartu stengtis išvengti ilgalaikio sąstingio rizikos ir defliacijos. Svarbu atkreipti dėmesį į tai, jog Europos investicijų planas yra būtinas siekiant papildyti pastangas skatinti tvarų ekonomikos augimą ir darbo vietų kūrimą, ir kad norint, jog jis būtų sėkmingas, jį reikia remti privačiais ir valstybės ištekliais. Be to, mažos ir vidutinės įmonės (MVĮ) yra darbo vietų kūrimo Europos Sąjungoje pagrindas. Jos, siekdamos gauti finansavimą, ir toliau susiduria su dideliais sunkumais ir yra bauginamai įsiskolinusios, todėl Europos Parlamentas palankiai vertina naująsias Komisijos rekomendacijas dėl MVĮ galimybių gauti finansavimą, į kurias įtrauktas naujas požiūris į nemokumą ir verslo žlugimą. Teigiamai turėtume vertinti ir tai, kad 2015 m. metinėje augimo apžvalgoje Komisija ragina valstybes nares apsaugoti arba skatinti ilgalaikes investicijas į švietimą, mokslinius tyrimus ir inovacijas. Taip pat reikia pažymėti, kad sumažėjo jaunimo nedarbo lygis, tačiau Parlamentas ir toliau ragina Komisiją pasiūlyti Europos sistemą, pagal kurią būtų nustatyti būtiniausi Jaunimo garantijų iniciatyvos minimalieji įgyvendinimo standartai ir konkrečios visuomenės informuotumo didinimo priemonės.
Biljana Borzan (S&D), napisan. ‒ Posljednje zabilježene brojke, i to one za 2013., pokazuju da je dugoročna nezaposlenost na povijesno visokoj razini od 5,1 % radne snage u zemljama EU-28.
Podržavam integrirani pristup Komisije rastu koji se temeljni na tri glavna stupa: Planu ulaganja za Europu, strukturnim reformama i fiskalnoj odgovornosti.
Izvješće poziva na ambiciozne gospodarske politike za rast, stvaranje kvalitetnih radnih mjesta i borbu protiv deflacije.
Steeve Briois (NI), par écrit. ‒ Ce rapport d’initiative sur le semestre européen traduit une véritable schizophrénie. Il dénonce le tarissement des investissements publics tout en appelant à la poursuite des politiques d'austérité. Ces politiques pro-cycliques témoignent d'une véritable impéritie économique. On pourrait penser que la Commission européenne cherche à contenir les investissements publics des États membres pour soutenir le plan Juncker au niveau européen. Le contraste avec la vitalité économique américaine est, à ce titre, saisissant. Il convient de noter que le PIB en zone euro est inférieur de 2 points de pourcentage à son niveau de 2008, alors que celui des pays hors zone euro est supérieur de 4,5 points. Concernant le chômage, le constat est similaire. Il atteint 11,5 % en zone euro et seulement 7,3 % hors zone euro. Cela démontre donc l’échec patent des politiques européennes et anti-démocratiques menées par la Commission de Bruxelles. J’ai voté contre ce texte.
Gianluca Buonanno (NI), per iscritto. ‒ Ho votato contro. La relazione critica l'impatto negativo sull'occupazione dell'austerità ma solo perché è talmente evidente da non poter essere negato. Il testo ribadisce il favore all'approccio della Commissione basato su tre pilastri, rilancio degli investimenti, riforme e austerità. Soluzioni sbagliate.
Soledad Cabezón Ruiz (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport sur l'emploi et les aspects sociaux dans le cadre de l'examen annuel de la croissance 2015 du semestre européen pour la coordination des politiques économiques. L'un des constats de la crise a été la nécessité de coordonner les politiques économiques des États membres. Il est vrai que les économies européennes, interdépendantes, ont une incidence les unes sur les autres. Nous devons à présent nous rendre compte de la nécessité de faire de même au niveau social. La crise a eu des conséquences sociales dévastatrices. Le taux de chômage ne cesse d'augmenter. Cela est le plus souvent dû à un manque de courage politique de certains gouvernements qui ne mettent pas en place les réformes structurelles appropriées pour redresser l'économie de leur pays. Si nous voulons créer de la croissance et de l'emploi, nous devons faire preuve de réalisme politique. Ce rapport a été également l'occasion pour moi de réitérer mes positions en faveur d'une lutte acharnée contre le dumping social et fiscal, ainsi que pour l'instauration de salaires minimums adaptés à la situation de chaque État membre.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione sul Semestre europeo per il coordinamento delle politiche economiche riguardante gli aspetti occupazionali e sociali nell'analisi annuale della crescita 2015.
La relazione ha evidenziato che il contesto economico e sociale nell'UE continua a far registrare dati allarmanti. Il tasso di disoccupazione rimane a livelli storicamente elevati, con quasi 25 milioni di disoccupati nell'UE e con una situazione del mercato del lavoro particolarmente critica per i giovani.
È quindi essenziale che venga fissato un quadro europeo per assicurare che tutti gli investimenti nell'ambito del piano di investimenti per l'Europa abbiano un impatto significativo in termini di creazione di posti di lavoro. L'impatto economico e sociale degli investimenti in termini reali dovrà essere attentamente valutato dalla Commissione.
Infine, noto che le PMI, che costituiscano la spina dorsale della creazione di posti di lavoro nell'UE, continuano ad affrontare gravi difficoltà nell'accedere ai finanziamenti e si trovano in preoccupanti condizioni di eccessivo indebitamento. La Commissione e gli Stati membri dovrebbero quindi ripristinare la capacita del sistema economico di concedere prestiti, consentendo quindi alle PMI di investire e creare posti di lavoro.
Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted against this report as it is futile to discuss the proposed aims for the European Semester in 2015 when the European Commission unremittingly refuses to acknowledge the underlying structural and economic problems which the two-pack and six-pack reforms pose, specifically failing to address the need for wide-scale investment in employment and social investment.
In the light of the aims of the European Commission for the 2015 European semester, the focus is supposedly on avoiding economic boom-and-bust cycles and restoring economic growth to the EU.
However, there is no mention of equitable growth and poverty reduction. It shows a clear disconnect between European bureaucrats and the reality that is facing millions of struggling working families in Ireland and right across the EU.
The primary aim of reforms concerning the European semester seems to be just to ensure that Member States do not deviate from the economic neo-liberal ideology that is being pushed. It does not leave Member States with flexibility to implement alternative policies, which would be pro-investment, pro-growth and pro-jobs. In effect it is working to deny both Irish and other EU citizens real political choices when electing their governments and is further eroding sovereignty and reducing economic independence.
David Casa (PPE), in writing. ‒ The report places strong emphasis on elements aimed at boosting sustainable economic growth, job creation in all age groups and fostering social progress, whilst respecting the European social model. Inter alia it lists various measures announced by the Commission to boost job creation in SMEs. Whilst SMEs are widely acknowledged to be the backbone of the Union's economy, they are still burdened by unnecessary administration and bureaucracy. On the other hand, these ambitious economic policies need to be pursued in parallel with fiscal consolidation and the use of a degree of flexibility within the rules of the Stability and Growth Pact, particularly in terms of social investment in people. The report calls on Member States to implement these measures in a quick and faithful way. It also focuses on the importance of the fight against youth and long-term unemployment, calling for urgent solutions to be found in order to allow a balance between work and family life and to encourage training and learning. I voted in favour of this report.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ La relazione in esame é un buon testo sotto il profilo generale, ma non si può prescindere dai paragrafi che richiamano, ancora una volta, la necessità di introdurre riforme strutturali, nonché il richiamo alla responsabilità fiscale. Nell'attuale congiuntura economica, che vede la disoccupazione dilagante unita ad una pericolosa deflazione, gli investimenti (in particolare nell'ambito delle piccole e medie imprese) e misure occupazionali dovrebbero essere la priorità. Ho quindi deciso di esprimere un voto negativo.
Aymeric Chauprade (NI), par écrit. ‒ Parce que je m'oppose à la tutelle de la Commission européenne sur les États membres, notamment dans le cadre de leur politique économique, j'ai voté contre ce rapport qui concerne le Semestre européen pour la coordination des politiques économiques.
D'autant plus que ce rapport est un constat d'échec du diktat économique et budgétaire imposé par Bruxelles. En effet, le rapporteur reconnaît que la situation économique et sociale de la zone euro ne cesse de se dégrader.
Les solutions préconisées sont par ailleurs à l'opposé de ce qu'il faudrait faire pour redynamiser l'emploi: on attend du plan Junker qu'il soit la solution providentielle, alors même que l'impact social est exclu de la stratégie du plan.
Enfin, les récentes réformes imposées par Bruxelles ont – ne l'oublions pas – conduit à une augmentation du travail précaire, ce qui est à l'opposé d'une stratégie durable pour l'emploi et la croissance.
Caterina Chinnici (S&D), per iscritto. ‒ Numerosi indicatori mostrano un miglioramento della situazione occupazionale, ma il tasso di disoccupazione è ancora troppo alto, con picchi drammatici nelle aree più deboli. Un ruolo fondamentale può essere svolto dalle raccomandazioni della Commissione agli Stati membri in fatto di consolidamento e riforme strutturali, ma soprattutto in fatto di politiche economiche e sociali che favoriscano una crescita intelligente e sostenibile, mediante la creazione di posti di lavoro di qualità ed il sostegno a quelle PMI che sono attualmente escluse dal gioco concorrenziale globale a causa delle eccessive ed indebite difficoltà nell'accesso ai finanziamenti.
Altrettanto importante è la previsione di un maggiore impegno di tutte le istituzioni europee nell'incentivare l'iniziativa degli Stati e dei vari enti territoriali per il pieno ed efficace utilizzo dei finanziamenti europei, spesso usati poco o male. Solo così si potrà riavvicinare la realtà agli obiettivi fissati nella Strategia Europa 2020. La relazione spinge in questa direzione e perciò ho votato a favore.
Ole Christensen (S&D), skriftlig. ‒ Som det fremgår af betragtningerne i nærværende betænkning, henhører fastsættelse af lønninger under medlemsstaternes kompetence. En europæisk mindsteløn er ikke i overensstemmelse med den danske arbejdsmarkedsmodel, og vi forholder os på den baggrund kritisk til alle tiltag og opfordringer, som potentielt kan fremme EU's indflydelse på fastsættelsen af lønninger i Danmark.
Salvatore Cicu (PPE), per iscritto. ‒ Il provvedimento fa riferimento all'analisi annuale della crescita 2015 della Commissione, che ha lavorato in particolar modo sugli aspetti occupazionali e sociali, basandosi su tre aspetti principali: rilancio degli investimenti, risanamento di un bilancio responsabile e riforme strutturali. Il semestre europeo fornisce dettagliatamente riforme di bilancio macroeconomiche e strutturali degli Stati membri dell'EU. Ritengo il provvedimento soddisfacente e ho votato favorevolmente.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Ritengo positivo il semestre europeo per il coordinamento delle politiche economiche perché fornisce un'analisi dettagliata dei piani di riforme di bilancio, macroeconomiche e strutturali degli Stati membri dell'UE.
In riferimento all'analisi annuale della crescita 2015 della Commissione, che si adopera in particolare degli aspetti occupazionali e sociali, sono favorevole all'approccio basato su tre pilastri principali (rilancio degli investimenti, accelerazione delle riforme strutturali e perseguimento di un risanamento di bilancio responsabile).
Per questi presupposti ho votato a favore della risoluzione.
Lara Comi (PPE), per iscritto. ‒ Ho espresso il mio voto favorevole riguardo alla relazione sul semestre europeo per il coordinamento delle politiche economiche che si occupa dell'analisi annuale degli aspetti occupazionali e sociali per il 2015, per le ragioni di seguito esposte.
La crescita economica in Europa rimane fragile nonostante le stime al rialzo che danno un tasso di crescita per il 2015 pari al 1,1 % rispetto allo 0,8 del 2014. Il cammino intrapreso al fine di consolidare i conti pubblici ha impedito agli Stati membri di raggiungere gli obbiettivi fissati all'interno della strategia Europa 2020 dimostrando ancora una volta come le politiche fiscali non possano seguire un approccio universale, ma debbano tener conto delle microeconomie e dello stato di salute dei conti pubblici dei vari Stati membri. La progressiva complementarità dell'economia europea rispetto alle oramai principali economie statunitensi ed asiatiche, e la contemporanea debolezza del mercato interno, hanno determinato un tasso di disoccupazione del 21,2 % di cui il 75 % è costituito da giovani al di sotto dei 35 anni. La strategia comunitaria basata sull'aggiustamento fiscale, sulle riforme strutturali e sul rafforzamento degli investimenti per la crescita appare in linea con l'esigenza di rilancio della macroeconomia europea, che tuttavia, non potrà prescindere dagli investimenti dei privati.
Therese Comodini Cachia (PPE), in writing. ‒ I welcome the fact that this year, for the first time, the draft Joint Employment Report annexed to the Annual Growth Survey includes a scoreboard for employment and social policies, which will help to strengthen the monitoring of employment and social developments. The EU needs more adaptive and dynamic labour markets, able to adjust to disruptions in the economic situation without causing redundancies and excessive adjustments in salaries. Measures for tackling youth unemployment are of the utmost importance. I voted in favour.
Ignazio Corrao (EFDD), per iscritto. ‒ A proposito delle dichiarazioni del Consiglio e della Commissione sul Semestre europeo per il coordinamento delle politiche economiche: analisi annuale della crescita 2015, voto negativamente perché, a seguito delle lunghe e difficili negoziazioni con il relatore, il testo ne è uscito leggermente modificato ma non a tal punto da renderlo accettabile.
In particolare, il testo si compiace troppo delle misure adottate dopo la crisi e non riconosce che le misure di austerità hanno strozzato la crescita. Il testo, a nostro avviso si basa su un approccio ottimistico circa le prospettive di crescita future e sul valore aggiunto che potrà apportare il FEIS. Nessun emendamento proposto dal gruppo EFDD è stato incluso nei compromessi.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report which focuses on the employment and social aspects of the Annual Growth Survey. However, I voted against the inclusion of part of a paragraph which calls for the adoption at Council level of an ambitious financial transaction tax. I believe that tax issues should remain a Member State competence.
Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Consider că este necesară identificarea dezechilibrelor macroeconomice și a celor macrosociale importante din cadrul economiilor UE și ale celor din zona euro și formularea pe această bază a recomandărilor specifice fiecărei țări pregătite în cadrul Semestrului european, inclusiv a măsurilor vizând o convergență a standardelor de muncă și a celor sociale, precum și coordonarea stabilirii salariilor.
Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Le présent rapport porte sur les aspects sociaux et l’emploi dans le cadre de l'examen annuel de la croissance 2015 et appelle à la mise en place de politiques économiques ambitieuses et responsables pour la croissance, la création d'emplois de qualité et la lutte contre la déflation. Le rapport appelle notamment la Commission européenne à prendre des mesures urgentes pour lutter contre le dumping fiscal, la fraude fiscale et l'évasion fiscale et demande l'adoption, au niveau du Conseil, d'une taxe ambitieuse sur les transactions financières. Considérant tous ces aspects, j'ai voté en faveur de ce texte.
Rachida Dati (PPE),par écrit. – J’ai voté en faveur de ce rapport, qui portait sur les aspects sociaux du Semestre européen, qui est un cycle annuel de coordination des politiques économiques. À travers ce Semestre, la Commission européenne doit pouvoir analyser les plans de réformes budgétaires, économiques et structurelles des États membres, pour leur adresser par la suite ses recommandations sur leur trajectoire économique. J’ai notamment souhaité soutenir un considérant qui protégeait nos petites et moyennes entreprises des délocalisations, ainsi qu’un paragraphe pour mettre en place rapidement une taxe sur les transactions financières et lutter contre la fraude fiscale.
Philippe De Backer (ALDE),in writing. – The European Semester - AGS Growth Survey 2015 is extremely important for Europe as a tool for economic policy coordination and governance. I abstained from voting on the EMPL opinion because it weakens the focus of the report and has some fundamental flaws in some of its assumptions. Like EMPL I am opposed to any form of tax evasion or dumping. However, it is inappropriate to suggest implementing a tax on financial transactions in order to finance public investment for growth and quality jobs. The suggestion to exclude productive investments in education, research and development from the deficit targets increases the scope of 'flexibility' rules. It is also incorrect to suggest that minimum wages at European level will lead to a recovering and productive economy. In fact, some Member States need lower minimum wages as a competitive advantage, as without that there is no growth in production.
Marielle de Sarnez (ALDE), par écrit. ‒ Le semestre européen encadre les politiques économiques et budgétaires des États membres. Il est un outil de gouvernance commune économique, et constitue à ce titre un pas supplémentaire vers une plus grande intégration de la zone euro. Cette coordination au niveau européen doit donner la priorité à la croissance et à l'emploi, à la cohesion et aux investissements, et assurer un rééquilibrage macroéconomique de la zone euro. Pour mieux faire vivre ce processus, il convient bien sûr que le Parlement européen y soit davantage impliqué, mais aussi nos parlements nationaux.
Dans cette résolution, le Parlement européen a demandé à la Commission d'étudier l'instauration de salaires minimums dans les États membres pour réduire les inégalités salariales, et d'organiser à cet effet une conférence sur un cadre européen fixant des salaires minimums. Cette initiative va dans le sens d'une convergence fiscale et sociale, que nous appelons de nos vœux depuis longtemps, et qui est le seul moyen de lutter contre les concurrences déloyales entre pays européens.
Karima Delli (Verts/ALE), par écrit. ‒ Le Parlement européen a voté, ce 11 mars 2015, le rapport Guttierez sur le volet emploi du semestre 2015. J'apporte mon soutien à ce rapport qui émet plusieurs propositions importantes destinées à souligner et à renforcer la dimension sociale du semestre européen. Il insiste notamment sur la lutte contre la fraude fiscale et le besoin d'une taxe sur les transactions financières à la hauteur des besoins. Il invite la Commission européenne à organiser une conférence sur un cadre européen permettant de fixer des salaires minimums. Il demande à la Commission de déposer une proposition législative sur le revenu minimum, et demande une hausse du budget suffisante pour la mise en œuvre de la garantie pour la jeunesse, notamment lors de sa révision à mi-parcours. Enfin, ce rapport condamne les politiques d'austérité, donc il regrette les conséquences néfastes sur la cohésion sociale. Il permet globalement d'affirmer le besoin, en lieu et place de l'austérité inefficace et destructrice des solidarités, de former une union sociale en contrepoids à l'union économique et monétaire existante.
Martina Dlabajová (ALDE),in writing. – As much as I wished that I could, I could not support the Annual Growth Survey 2015 report adopted by the European Parliament.
The focus of such reports should be economic and budgetary policy coordination, in line with the Member States' commitments under the Stability and Growth Pact.
Anneliese Dodds (S&D), in writing. ‒ Amendment no.2
I voted for this amendment because I believe it is essential that the European Parliament take every opportunity possible to highlight the need to combat precarious work. This includes combating the scourge of zero-hours contracts and short-hours work, which is making forward planning all but impossible for many working people in the UK.
Mireille D'Ornano (NI), par écrit. ‒ Les objectifs supranationaux du semestre européen sont ici déclinés en propositions de réformes structurelles qui renvoient à deux écueils de la politique européenne en matière d'emploi et d'aspects sociaux. Il s'agit tout d'abord d'une recherche de flexibilité accrue sur le marché du travail dans un contexte de libre circulation des travailleurs, ainsi que d'une tendance de fond vers l'harmonisation des règles de protection de l'emploi. La convergence des économies et des systèmes d'encadrement du marché du travail ne reposent par ailleurs sur aucune légitimité ni sur une éventuelle faisabilité de ces propositions. Le texte soumis au Parlement européen est donc incantatoire et davantage fondé sur des considérations politiques que sur des besoins réels.
Ian Duncan (ECR), in writing. ‒ The 2015 AGS is accompanied by the draft Joint Employment Report (JER). The JER takes stock of employment reforms in Member States, expands on the key employment messages contained in the AGS and includes for the first time the findings of the "Social and Employment Scoreboard", which was introduced last year to strengthen the social dimension of the EMU. While the AGS does not in itself have any regulatory implications, this own-initiative report seeks to build on the JER. While it is quite balanced in places and contains a number of key ECR priorities, it also calls for a number of initiatives at EU level that the ECR cannot support, including: a European framework for minimum wages; a proposal for a European minimum income; a European framework for introducing minimum standards for the implementation of youth guarantees; the introduction of an EU child guarantee against poverty; a Green Paper on automatic stabilisers in the EMU (EU unemployment benefit scheme); and making the "social and employment scoreboard" binding.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Καταψήφισα την Έκθεση γιατί προωθεί την οικονομική πολιτική που οδήγησε στην καταστροφή της χώρας μου. Η Ένωση χρειάζεται μια ριζική μεταβολή της οικονομικής της θεώρησης, διαφορετικά θα αντιμετωπίσει δομικά προβλήματα.
Jill Evans (Verts/ALE), in writing. ‒ I voted in favour of this report because I believe that employment and social considerations should be on a par with macroeconomic ones in terms of EU economic policy coordination. In-work poverty persists in Wales and low wages are a serious problem. We need to create good-quality, well paid and sustainable jobs. We also need security at work and an end to exploitative contracts and practises, as well as an end to discrimination. The report recognises these issues. Plaid Cymru has the policies to address these problems to revitalise the Welsh economy and ensure social protection for all workers.
Eleonora Evi (EFDD), per iscritto. ‒ Considerando che gli ultimi dati disponibili per il 2013 ci mostrano un'Europa in ginocchio, nella quale ben il 25% dei cittadini è a rischio povertà ed emarginazione sociale, possiamo ben capire quanto le misure di austerità promosse dalla Commissione e portate avanti negli Stati membri attraverso i singoli piani nazionali di riforme strutturali, siano fallimentari ed anzi acuiscano una crisi socioeconomica e cui noi crediamo si possa mettere un freno solo con provvedimenti che mirino all'istituzione di un regime dei salari minimi in tutta l'Unione.
Siamo dinnanzi ad un'Europa in cui, per ulteriore esempio, nel 2012 solo la metà degli uomini tra i 55 e i 65 anni aveva un'occupazione, parrebbe quindi necessario garantire un reddito minimo anche nell'ottica di raggiungimento degli obiettivi di riduzione della povertà che ci si è posti nella strategia Europa 2020; purtroppo però questa necessità non viene percepita come tale e quindi accolta in questo testo, pur buono per molti aspetti, motivo per il quale mi trovo ad esprimere il mio voto contrario.
José Inácio Faria (ALDE), por escrito. ‒ O processo do Semestre Europeu é um instrumento valioso na coordenação das políticas económicas e sociais dos Estados Membros. Há que defender, neste âmbito, um maior relevo e uma melhor integração da dimensão económica, social e do emprego, num instrumento que tem tido, até agora, um enfoque excessivo na dimensão macroeconómica e monetária da União Europeia. A Resolução realça que as considerações sociais e em matéria de emprego devem ser colocadas em pé de igualdade com as considerações de ordem macroeconómica no processo do Semestre Europeu.
Por outro lado, manifesta preocupação em relação aos indicadores sociais e de emprego que são utilizados que não entram em linha de conta com a qualidade ou a sustentabilidade do emprego criado. Salienta que quando são analisadas as taxas de desemprego, não é dada a devida atenção a fatores tais como o aumento das taxas de pessoas inativas e de migração;
Há que empreender reformas que promovam o capital humano por meio de políticas de educação adequadas às necessidades do mercado, para tornar a Europa um local mais atrativo para o investimento, nomeadamente naquelas áreas com maior valor acrescentado. O Semestre Europeu deve ser instrumental neste diagnóstico e na definição de novas políticas.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ A Europa tem de estar comprometida com um modelo da economia social de mercado que assegure o crescimento sustentável, a fim de proporcionar empregos em vez de dívidas à próxima geração. Segundo o que é abordado pelo relatório, não obstante as taxas de crescimento negativas na área do euro nos dois últimos anos, o crescimento na área do euro deverá atingir 0,8 % em 2014 e 1,1 % em 2015. Por outro lado, o défice global previsto na UE-28, não obstante o facto ter sido reduzido para 3 % em 2014, permanece elevado em alguns Estados-Membros, o que demonstra a necessidade de uma maior consolidação orçamental compatível com crescimento e criação de emprego sustentáveis.
A descida acentuada dos preços do petróleo pode dar um impulso adicional à economia de muitos Estados-Membros, especialmente se se traduzir rapidamente em custos mais baixos da energia para as famílias e as empresas. Para isso, a UE necessita de continuar a melhorar as suas políticas económicas e sociais, a fim de alcançar os objetivos da Estratégia Europa 2020 e envidar esforços para promover investimento e reformas estruturais que aumentem a competitividade económica de forma socialmente responsável.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ Este é um dos três relatórios relativos ao procedimento do Semestre Europeu, abordando os aspetos sociais e relativos ao emprego.
O relatório reconhece o aumento do desemprego, o crescimento da pobreza e da exclusão social e considera que estas são consequências, mais ou menos inevitáveis e necessárias, ainda que indesejáveis, da “consolidação orçamental”.
Estamos por conseguinte perante uma certa hipocrisia e mesmo um certo cinismo.
O relatório continua a defender medidas que têm sido integradas nas políticas ditas de “consolidação orçamental”, as “reformas estruturais”, ou seja as medidas que levaram aos problemas que o próprio relatório diagnostica. Redução dos salários, lay-offs, cortes no investimento público contrários ao crescimento económico e, portanto, responsáveis pelo aumento da taxa de desemprego. O relatório recomenda, por exemplo, a “flexigurança”, o alinhamento dos salários com a produtividade, o aumento da idade de reforma, a promoção da mobilidade como forma de diminuir o desemprego em alguns países. Enfim, a estafada cartilha neoliberal, partilhada tanto pela direita como pela social-democracia.
Obviamente, votámos contra.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne ‒ Solidarita je hlavnou hodnotou, na ktorej je postavená Európska únia. Preto aj v prípade podpory hospodárskych politík je dôležité, aby sa členské štáty nezameriavali iba na fiškálnu konsolidáciu, ale aj na štrukturálne reformy sociálne vyváženým a hospodársky efektívnym spôsobom. Štrukturálne reformy v členských štátoch musia byť späté nielen s rastom, ale aj s tvorbou dôstojných pracovných miest a do týchto reforiem dôležitých pre trh práce musia členské štáty vniesť flexibilitu a bezpečnosť, ktoré sú potrebné na zabezpečenie dôstojných miezd. Pokiaľ ide o zníženie makroekonomickej nerovnováhy charakteristickej pre väčšinu členských štátov, podporujeme odporúčanie, že ústrednou prioritou by malo byť zvýšenie mieru rastu, zamestnanosti a zníženie miery chudoby.
Lorenzo Fontana (NI), per iscritto. ‒ Voto contrario con convinzione all'ennesima relazione redatta dalla Commissione Mercato Interno che è favorevole all'approccio della Commissione per le politiche commerciali che sono per noi invece fallimentari.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω την έκθεση σχετικά με το Ευρωπαϊκό εξάμηνο για τον συντονισμό των οικονομικών πολιτικών: Απασχόληση και κοινωνικές πτυχές στην ετήσια επισκόπηση της ανάπτυξης 2015, διότι η έκθεση προωθεί την οικονομική πολιτική που οδήγησε στην καταστροφή της χώρας μας. Η Ένωση χρειάζεται μια ριζική μεταβολή της οικονομικής της θεώρησης, διαφορετικά θα αντιμετωπίσει δομικά προβλήματα.
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ This report focuses on the employment and social aspects of the Annual Growth Survey. It calls for the European Union to shift its policies in this area towards growth-led policies which focus on the creation of quality jobs in Europe in sustainable industries. It also highlights numerous S&D key points in this area, such as the need to have a refocusing of policies so as to achieve the Europe 2020 targets, the fight against inequality, the need to move away from jobless growth, combating youth unemployment, giving SMEs adequate tools with which to operate, voluntary mobility and shifting taxation from labour to capital.
The report also makes reference to the need to introduce a minimum income scheme throughout the EU and stresses that the employment and social considerations in the European Semester should be put on a par with macroeconomic ones.
We also call for a larger role for the European Parliament in drafting and approval of the AGS and the Economic and Employment Guidelines. Accordingly, I supported adoption of this report in plenary.
Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ Europa es, y debe continuar siendo, una economía social de mercado, que garantice un crecimiento sostenible, con el fin de ofrecer puestos de trabajo y bienestar a sus ciudadanos. Por lo tanto, la necesidad de saneamiento presupuestario debe ser compatible con el crecimiento y el empleo de calidad y sostenible. No podemos olvidar que el 25,1 % de la población de la UE se encuentra actualmente en riesgo de pobreza o exclusión social; debemos actuar mediante las políticas públicas para ayudar a las familias a alcanzar un nivel de renta que les permita vivir dignamente, reduciendo al mismo tiempo las diferencias entre los que más y menos tienen. Debemos recuperar los conceptos de solidaridad y esfuerzo para volver a encauzar Europa por la senda de un crecimiento sostenible y ecuánime.
Iratxe García Pérez (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Eider Gardiazabal Rubial (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Nathan Gill (EFDD), in writing. ‒ UKIP abstained on paragraph 29, split 1, because, while we cannot support calls for the EU to interfere in the tax and criminal law of Member States, we of course do not oppose cracking down on tax fraud and illegal activity.
Michela Giuffrida (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore di questa relazione e ringrazio il collega Prieto, perché a fronte di un diffuso ottimismo da parte delle istituzioni comunitarie, che continuano a dirci che la crescita ci sarà, in molti Stati membri la ripresa ancora non si registra.
Quello a cui assistiamo sono piuttosto tassi di crescita negativi, livelli di disoccupazione ancora molto elevati, un'alta percentuale di popolazione dell' unione a rischio povertà. Si è aggravato il divario fra centro e periferia dell' Unione, segnando il fallimento della politica di coesione, politica europea più importante per risorse impiegate e per significato politico.
Condivido la ricetta proposta dal collega. Per far fronte all'attuale situazione socio economica bisogna intervenire sul mercato del lavoro per espandere il capitale umano. C'è bisogno di piani di investimento di lungo periodo e in settori strategici. E soprattutto, non ci stancheremo mai di dirlo, bisogna scorporare questi investimenti dal calcolo del deficit.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra del informe ya que, si bien plantea y reconoce aspectos importantes a tener en cuenta de cara a la consolidación de una Unión Europea que tenga en cuenta los aspectos sociales y la lucha contra las altas tasas de desempleo, como son tener en cuenta el aspecto de género, tener más en cuenta a los sectores más vulnerables y con mayores riesgos de exclusión, o mejorar las condiciones de acceso al crédito de las pymes, propone medidas que, desde nuestro punto de vista, no son más que perjudiciales para dicha situación que se quiere mejorar. Propone la movilidad de los trabajadores como forma de lucha contra el desempleo, el aumento de la edad de jubilación, seguir ahondando en las reformas estructurales o alinear los salarios con la productividad. Estas no son sino las medidas que nos han traído hasta esta situación y sabemos que aplicar las mismas medidas antisociales no nos va a llevar a resultados diferentes.
Nathalie Griesbeck (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport relatif aux aspects sociaux dans le cadre de l'examen annuel de la croissance 2015. En premier lieu, il est essentiel que le Semestre européen, qui coordonne les politiques économiques et budgétaires des États au sein de l'Union européenne prennent également en compte la "dimension sociale": la création d'emplois, l'éducation et les politiques actives du marché du travail pour accroître le capital humain, le chômage des jeunes, la mobilité de la main—d'œuvre, etc.
Plus particulièrement, j'ai soutenu le paragraphe qui demande et insiste sur la mise en place d'une taxe ambitieuse sur les transactions financières, que nous appelons de nos vœux depuis plusieurs années déjà. J'ai également soutenu les paragraphes demandant un revenu minimum européen. En effet, dans la perspective d'une vraie Europe sociale, nous souhaitons lancer de vraies discussions sur la création d’un véritable SMIC européen. En revanche, j'ai voté contre un paragraphe qui proposait de revenir sur les objectifs budgétaires de "déficit public" qui ont été fixés par l'Union européenne dans le cadre du pacte de stabilité et de croissance, car la réduction des dettes et déficits, qui ont atteint en Europe des sommes inégalées, doit rester un objectif de premier plan.
Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ I supported this report as it calls for the EU to focus on growth-led policies, the creation of quality jobs, support for SMEs and tackling inequality.
Ian Hudghton (Verts/ALE), in writing. ‒ This report highlights the need for structural reforms in Member States and, as a Member from the United Kingdom, I fully support that call. The structures of the UK should be dismantled so that the people of Scotland can choose the government they want at every election. The Westminster system is broken and full powers must be returned to the people of Scotland.
Pablo Iglesias (GUE/NGL),por escrito. – Hemos votado en contra del informe ya que, si bien plantea y reconoce aspectos importantes a tener en cuenta de cara a la consolidación de una Unión Europea que tenga en cuenta los aspectos sociales y la lucha contra las altas tasas de desempleo, como son tener en cuenta el aspecto de género, tener más en cuenta a los sectores más vulnerables y con mayores riesgos de exclusión, o mejorar las condiciones de acceso al crédito de las pymes, propone medidas que, desde nuestro punto de vista, no son más que perjudiciales para dicha situación que se quiere mejorar. Propone la movilidad de los trabajadores como forma de luchar contra el desempleo, el aumento de la edad de jubilación, seguir ahondando en las reformas estructurales o alinear los salarios a la productividad. Estas no son sino las medidas que nos han traído hasta esta situación y sabemos que aplicar las mismas medidas antisociales no va a producir resultados diferentes.
Cătălin Sorin Ivan (S&D), in writing. ‒ The report focuses on the employment and social aspects of the Annual Growth Survey. The report has some good points, such as the need to have a refocusing of policies so as to achieve the Europe 2020 targets, the fight against inequality, the need to move away from jobless growth and combating youth unemployment. It also stresses that the employment and social considerations in the European Semester should be on a par with macroeconomic ones. I voted in favour of this report.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasovao sam za prijedlog rezolucije Europskog parlamenta o Europskom semestru za usklađivanje ekonomskih politika: aspekti zapošljavanja i socijalne politike u Godišnjem pregledu rasta 2015. imajući na umu veliku potrebu poticanja zapošljavanja i unaprijeđenja socijalnih politika. Podržavam integrirani pristup rastu Europske komisije koji predviđa plan ulaganja za Europu, strukturne reforme i fiskalne reforme. Trenutačni trend pada ulaganja treba promijeniti zajedničkim poticajima za održivo i konkurentno gospodarstvo, koje podrazumijeva popratne mjere poput uklanjanja nepotrebne administracije i birokracije. Instrumenti kohezijske politike imaju ključnu ulogu u smanjenju nejednakosti unutar pojedinih europskih regija kada je riječ o otvaranju novih radnih mjesta. U navedenom kontekstu, slažem se s prijedlogom Parlamenta da su potrebni dodatni poticaji za otvaranje novih radnih mjesta za dugoročno nezaposlene, koji predviđaju i smanjenje stope nezaposlenosti mladih. Globalni socioekonomski izazovi bit će veliki čimbenici pri ostvarivanju učinkovitijih socijalnih politika čiji je cilj osigurati održivi rast i konkurentnost europskog gospodarstva.
Jean-François Jalkh (NI), par écrit. ‒ Les réformes proposées dans ce rapport, inscrites dans le cadre du semestre européen et de ses objectifs supranationaux, rencontrent deux écueils: la politique de l'Union pour l'emploi et ses aspects sociaux. La recherche de flexibilité grâce à la libre circulation des personnes, sur fond d'harmonisation des règles de protection de l'emploi, permet la convergence des économies et des législations du travail sans que ce processus ne soit légitime et sans que l'on soit sûr qu'il fût faisable.
Le texte soumis au Parlement européen est donc incantatoire et davantage fondé sur des considérations politiques que sur des besoins réels.
Diane James (EFDD), in writing. ‒ UKIP abstained on paragraph 29, split 1, because, while we cannot support calls for the EU to interfere in the tax and criminal law of Member States, we, of course, do not oppose cracking down on tax fraud and illegal activity.
Danuta Jazłowiecka (PPE), na piśmie. ‒ Od kilku lat Komisja Europejska i państwa członkowskie podejmują działania mające poprawić sytuację na unijnym rynku pracy, także poprzez rekomendacje i działania w ramach europejskiego semestru. Dlatego też w głosowaniu poparłam wszystkie trzy sprawozdania odnoszące się do kwestii gospodarczych, rynku pracy oraz rynku wewnętrznego. W przypadku sprawozdania autorstwa Sergio Gutiérreza Priety zagłosowałam jednak przeciwko kilku zapisom, między innymi propozycjom, aby wydatki inwestycyjne nie podlegały procedurze nadmiernego deficytu oraz aby wskaźniki społeczne były traktowane na równi ze wskaźnikami gospodarczymi. Uważam, że wzmożona kontrola nad finansami publicznymi powinna być nadal priorytetem, aby nie dopuścić do powtórki błędów z przeszłości.
Ponadto chciałabym zwrócić uwagę na zapisy w sprawozdaniu pana Priety dotyczące tzw. dumpingu społecznego. Określenie „dumping społeczny” zaczęło populistycznie pojawiać się w debacie na poziomie unijnym już parę lat temu. Jest to zjawisko niezdefiniowane i używane niepoprawnie w odniesieniu do konkurencyjności opartej na niższych kosztach pracy, wynikających z przepisów obowiązującego unijnego prawa. Podtrzymywanie takiego wyrażenia w unijnych dokumentach prawnych jest więc niestosowne.
Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport de mon collègue Sergio Gutiérrez Prieto sur les aspects sociaux de l'examen annuel de la croissance dans le cadre du Semestre européen pour la coordination des politiques économiques. À travers ce Semestre, la Commission européenne fait l'analyse des plans de réformes budgétaires, économiques et structurelles des États membres, puis leur adresse des recommandations pour la prochaine année. Ce rapport porte sur les aspects sociaux du Semestre européen et signale les États membres nécessitant une analyse plus approfondie pour déterminer si de réels déséquilibres existent.
Le rapport a été adopté à une large majorité de 477 voix pour, 203 voix contre et 23 abstentions.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai soutenu ce rapport sur les aspects sociaux du Semestre européen. Ce rapport appelle principalement à mettre en œuvre des politiques économiques ambitieuses pour la croissance et la création d'emplois, à soutenir les PME, à encourager une utilisation plus rationnelle des Fonds européens et à lutter contre le chômage, la pauvreté et l'exclusion sociale.
Barbara Kappel (NI), schriftlich. ‒ Obwohl der Bericht einige gute Vorschläge macht, beispielsweise den Mitgliedstaaten mehr Freiheiten bei der Gestaltung ihrer Sozialpolitik zu gewähren, geht er weiterhin davon aus, dass die Öffentliche Hand Hauptmotor sein soll, um Wirtschaftswachstum zu generieren und Arbeitsplätze zu schaffen. Er verkennt, dass das Problem eigentlich an den wirtschaftlichen Rahmenbedingungen liegt, die von Überregulierung geprägt sind und der Privatwirtschaft kaum Anreize bieten, zu expandieren. Der Bericht hält daran fest, dass der öffentliche Sektor ausgebaut gehört und ein europäischer Mindestlohn eingeführt werden muss. Aus diesen Gründen lehne ich den vorgelegten Bericht ab.
Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I supported the report as it calls for the EU to shift its policies towards growth-led policies focusing on the creation of quality jobs in Europe. It also highlights numerous key points, such as the need to have a refocusing of policies so as to fight against inequality, the need to move away from jobless growth, combating youth unemployment, giving SMEs adequate tools with which to operate, voluntary mobility and shifting taxation from labour to capital.
Jeppe Kofod (S&D), skriftlig. ‒ Som det fremgår af betragtningerne i nærværende betænkning, henhører fastsættelse af lønninger under medlemsstaternes kompetence. En europæisk mindsteløn er ikke i overensstemmelse med den danske arbejdsmarkedsmodel, og vi forholder os på den baggrund kritisk til alle tiltag og opfordringer, som potentielt kan fremme EU's indflydelse på fastsættelsen af lønninger i Danmark.
Ádám Kósa (PPE), írásban. ‒ Nagyon örülök, hogy most már az EP többsége számára is nyilvánvalóvá kell, hogy váljon: a magyar kormányzat politikája egyre inkább követendő. Különösen a 80. szakaszban kiemelt (iskolai) gyermekétkeztetés állami támogatása egy olyan jó példa és gyakorlat, amit Magyarország kifejezetten folytat a gyermekszegénység elleni küzdelemben, felismerve annak fontosságát. Az általam beadott és az EMPL többsége által elfogadott módosító javaslatok egyértelműen a magyar kormány megközelítését fogadták el. Ennek háttere az, hogy Magyarország az elmúlt 3 évben megduplázta az erre vonatkozó költségvetési keretet (29 milliárdról) és immáron 60 milliárd forintnál is többet költ a magyar kormányzat ebben az évben. 2016-tól kezdődően már 100%-ban le lesznek fedve a szegénységi kockázatnak kitett bölcsődések és óvodások.
Ez annál is érdekesebb, mert míg 2009–2010-ben a baloldali kormányzat 2/3-dal kívánta eredetileg csökkenteni a gyermekétkeztetésre fordított összegeket, mondván, hogy „nincs lényegi plusz forrásra igény”, addig a jobboldali-polgári kormányzat tett konkrétabb erőfeszítéseket mind a gyermekszegénység elleni küzdelemben, mind a devizahitelesek megsegítése, vagy akár a rezsiárak csökkentése érdekében, a magyar családok millióit segítve.
Béla Kovács (NI),írásban. – A javaslat erényei közé tartozik a foglalkoztatási és a szociális szempontok hangsúlyossága, emberközpontúság, a bérszabályozás harmonizálása és a megszorításokkal szembeni kritikusság. Nem a javaslat hibáztatható a liberális piacgazdasági elmélet fenntarthatatlanságáért és az ebből fakadó gyakorlat embertelenségért, társadalom-ellenességéért. Mert milyen világ az, ahol a népesség 1%-a birtokolja a javak 48%-át? Milyen világ, ahol háborúkat indítanak profithajhászás miatt? Meddig járható ez az út? Nincs még egy Földünk, mire mennek a gazdagok a vagyonukkal, ha ezt a bolygót tönkreteszik?
Giovanni La Via (PPE),per iscritto. – Voto a favore della relazione dell'on. Sergio Gutiérrez Prieto in quanto contiene delle linee guida utile per applicare una politica degli investimenti responsabile in grado di garantire al contempo crescita occupazionale. L'Unione europea deve impegnarsi nel favorire un modello di economia sociale di mercato che possa garantire una crescita sostenibile, nonché assicurare la creazione di posti di lavoro per i cittadini europei e soprattutto per i nostri giovani.
Jérôme Lavrilleux (PPE), par écrit. ‒ Comme j'avais déjà eu l'occasion de le faire en commission de l'emploi et des affaires sociales, j'ai voté en faveur du rapport GUTIERREZ PRIETO sur la coordination des politiques économiques dans le cadre du semestre européen.
Ce rapport se concentre sur les enjeux sociaux qui doivent orienter la politique annuelle de l'Union et des États membres en matière de croissance et d'emploi. Il met notamment en avant la nécessité de prendre en compte les indicateurs sociaux et de favoriser la création d'emplois décents dans le cadre d'une croissance durable et solide.
Je regrette cependant qu'il n'insiste pas d'avantage sur l'absolue nécessité de mettre en œuvre les réformes structurelles pourtant cruciales pour atteindre les objectifs fixés en matière économique et sociale.
Patrick Le Hyaric (GUE/NGL), par écrit. ‒ Ce rapport fait sien le système de supervision budgétaire qui permet à la Commission, non seulement d'ausculter les budgets et de demander des modifications avant même qu'ils ne soient adoptés par les parlements nationaux, mais aussi de pousser pour des coupes supplémentaires ou des réformes si les budgets proposés ne lui conviennent pas.
Je refuse ce processus visant à accentuer la réduction des salaires et des pensions, à repousser l'âge de départ à la retraite et à poursuivre les privatisations et libéralisations avec pour seul résultat de mettre en pièce les services publics et les droits sociaux. C'est d'ailleurs dans le cadre du semestre européen que la Commission dénonce régulièrement le CDI et les monopoles de la SNCF ou d'EDF en France.
Si j'ai soutenu les propositions qui peuvent améliorer la dimension sociale, je ne reste pas moins très critique sur cet outil qui permet aux institutions européennes de dicter leurs politiques aux États au mépris des souverainetés populaires.
En conséquence, j'ai voté contre ces trois rapports.
Marine Le Pen (NI), par écrit. ‒ Les objectifs supranationaux du semestre européen sont ici déclinés en propositions de réformes structurelles qui renvoient à deux écueils de la politique européenne en matière d'emploi et d'aspects sociaux. Il s'agit tout d'abord d'une recherche de flexibilité accrue sur le marché du travail dans un contexte de libre circulation des travailleurs, ainsi que d'une tendance de fond vers l'harmonisation des règles de protection de l'emploi. La convergence des économies et des systèmes d'encadrement du marché du travail ne reposent par ailleurs sur aucune légitimité ni sur une éventuelle faisabilité de ces propositions. Le texte soumis au Parlement européen est donc incantatoire et davantage fondé sur des considérations politiques que sur des besoins réels.
Javi López (S&D), por escrito. ‒ Se planteó un informe basado en 4 partes: 1) políticas económicas ambiciosas para el crecimiento, la creación de empleo de calidad y la lucha contra la deflación; 2) reformas del mercado laboral para aumentar el potencial de crecimiento, el capital humano y la productividad; 3) una petición decisiva de convergencia y dimensión social de la UE; y 4) refuerzo de la legitimidad democrática del Semestre Europeo. El ponente de la delegación socialista española ha logrado mantener la mayor parte de sus propuestas iniciales, y prioridades del Grupo como: 1) que la política de austeridad llevada hasta ahora por la UE ha impedido los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE; 2) que el 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias; 3) que el plan de inversiones de Juncker no es suficiente para estimular el crecimiento; y 4) que los salarios decentes y suficientes son imprescindibles para la cohesión social.
Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra del presente informe debido a que no supone cambio alguno en la orientación neoliberal del marco de la gobernanza económica. El Estudio Prospectivo Anual es el estudio económico de la Comisión Europea que da inicio a todo el proceso del Semestre Europeo. Este informe trata de incluir indicadores sociales y relativos al empleo en el Estudio para mejorar su calidad. Sin embargo, esta inclusión es de carácter superficial y no vincula dichos indicadores con las recomendaciones; se trata de una mera decoración que no reformará en absoluto el marco de la gobernanza económica. Una verdadera revisión en este sentido debería vincular y obligar a la Comisión a reformular sus recomendaciones y a apostar por objetivos sociales de carácter vinculante, superando la lógica monetarista de sus políticas. Por esto he decidido votar en contra del presente informe.
Thomas Mann (PPE), schriftlich. ‒ Mit dem Jahreswachstumsbericht für 2015 beweisen wir: Die Europäische Union ist handlungsfähig mit konkreten Maßnahmen für alle, die von der Finanzkrise besonders betroffen sind: ausgegrenzt, arbeitslos, hoffnungslos.
Der Berichtsentwurf Prieto war von Pessimismus geprägt; die wirtschaftliche und soziale Lage wurde als trostlos dargestellt. Das gilt für einige, keineswegs für alle EU-Mitgliedstaaten. Um die notwendige Balance zu schaffen, habe ich 33 Änderungsanträge eingebracht, die fast alle übernommen oder in Kompromisse integriert wurden.
Einige Behauptungen stehen im Bericht, die von der EVP nicht geteilt werden können, etwa die Einführung von sozialen Stabilisatoren, durch die indirekt eine europaweite Arbeitslosenversicherung gefordert wird. Was nach Solidarität klingt, ist in Wahrheit ein Milliardentransfer. Tarifverhandlungen werden nach wie vor durch Sozialpartner in Mitgliedstaaten geführt, nicht auf europäischer Ebene! Auch stimmt nicht, dass die von der EU auferlegten Sparmaßnahmen in ganz Europa zu einer Verschlechterung der Beschäftigungsbedingungen und der sozialen Lage geführt hätten. Unsere Mitgliedstaaten haben unterschiedliche Erfahrungen gemacht! Dort, wo Reformen stattgefunden haben – in Spanien, Portugal, Irland – herrscht wieder berechtigte Aussicht auf Wachstum und Zukunftsfähigkeit.
Νότης Μαριάς (ECR), γραπτώς. ‒ Ψηφίζω κατά της έκθεσης, διότι το ευρωπαϊκό εξάμηνο αποτελεί έναν θεσμικό τρόπο περιορισμού της εθνικής κυριαρχίας των κρατών μελών της Ευρωζώνης. Τα κοινοβούλια των χωρών της Ευρωζώνης στερούνται πλέον κυριαρχικών δικαιωμάτων στη διαμόρφωση των εθνικών προϋπολογισμών, καθώς το Eurogroup, ένα μη εκλεγμένο όργανο, τους έχει γίνει στενός κορσές επιβάλλοντας τη μερκελική λιτότητα.
Το κυριαρχικό στοιχείο σήμερα σε σχέση με το ευρωπαϊκό εξάμηνο είναι το τεράστιο δημοκρατικό έλλειμμα που έχει δημιουργήσει στο όνομα του περιορισμού των δημοσιονομικών ελλειμμάτων. Έτσι, μέσα από ένα αντιδημοκρατικό θεσμικό πλαίσιο, ο παλιός πολιτικός κόσμος της Ευρώπης επιχειρεί να αλυσοδέσει του λαούς και να τους επιβάλει την πολιτική της μερκελικής λιτότητας, της φτωχοποίησης και του κοινωνικού αποκλεισμού. Και αυτά, εκφράζονται με ιδιαίτερη σαφήνεια στην εν λόγω έκθεση την οποία και καταψήφισα.
Dominique Martin (NI), par écrit. ‒ Dominique Martin a voté contre ce rapport, comme il l’avait déjà fait en commission EMPL. Le principe même du semestre européen va à l’encontre de la souveraineté des États membres en leur imposant des recommandations impossibles/difficiles à mettre en place et une surveillance permanente de Bruxelles sur la façon dont ils gèrent leurs affaires. Nous nous opposons à cette ingérence dans les affaires nationales des États membres.
David Martin (S&D), in writing. ‒ I voted for this report which welcomes the fact that the new policy mix adds investment to the previous priorities of fiscal consolidation and structural reforms. It considers, nevertheless, that the Annual Growth Survey (AGS) should pay greater concern to aggregate demand and its connection to wage increases and social inequalities. It underlines that the top priority when it comes to reducing macro-imbalances should not be to increase current account surpluses, but rather to raise the growth, investment and employment rates, and to reduce the poverty rate.
Fulvio Martusciello (PPE), per iscritto. ‒ Concordo con la relazione sul semestre europeo per il coordinamento delle politiche economiche, aspetti occupazionali e sociali nell'analisi annuale della crescita 2015.
Dato che la ripresa economica europea rimane fragile al momento, un consolidamento di bilancio compatibile con la crescita rimane di estrema importanza. Un lavoro impegnato per migliorare politiche sociali ed economiche può portare a molteplici risultati positivi: sia un avvicinamento agli obiettivi di Europa 2020, sia ad un allontanamento da rischi di stagnazione e deflazione a lungo termine.
È necessario intervenire con impegno anche sul dato del 25.1% della popolazione dell'UE che si trova attualmente a rischio di povertà ed esclusione sociale. Serve uno sviluppo e delle politiche che sostengano l'economia al meglio e permettano un rilancio generale, un aumento della produttività e una riconquista della fiducia.
Barbara Matera (PPE), per iscritto. ‒ L'Unione europea deve impegnarsi con lo scopo di implementare un modello di economia sociale, e di mercato, in grado di garantire una crescita sostenibile.
Ho ritenuto opportuno sostenere, con voto favorevole, la relazione Gutiérrez Prieto, poiché ritengo che essa contenga le giuste linee guida per una politica sugli investimenti responsabile.
Georg Mayer (NI), schriftlich. ‒ Bezüglich der beschäftigungs- und sozialpolitischen Aspekte im Jahreswachstumsbericht 2015 stimmte ich gegen den Entwurf der Entschließung zum Europäischen Semester für die Koordinierung der Wirtschaftspolitik. Trotz einiger guter Vorschläge des Berichts, wie zum Beispiel den Mitgliedstaaten mehr Freiheiten bei der Umsetzung ihrer Sozialpolitik zu überlassen, entspricht der Bericht als Ganzes nicht meinen Vorstellungen. Der Staat kann nicht Hauptmotor für die Bekämpfung der Arbeitslosigkeit sein, da die Schaffung von hochwertigen Arbeitsplätzen, die Bekämpfung der Deflation und die Steigerung des Wachstumspotenzials nicht einzig und allein vom Staat abhängen.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ Le rapport fait le constat d'une situation alarmante sur le front de l'emploi avec 25 millions de personnes sans emploi dans l'Union. Il pose donc les recommandations du Parlement européen sur "l'emploi et les aspects sociaux". Comme d'habitude, le rapport nous incite à poursuivre l'assainissement budgétaire et les réformes structurelles. Il s'agit de réduire la charge fiscale du travail, d'augmenter l'âge de départ à la retraite, d'aligner les salaires sur la productivité... et autres litanies libérales ayant fait la preuve de leur échec. Je vote contre.
Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ A recessão na área do euro chegou ao fim, em termos numéricos, no segundo trimestre de 2013, mas o crescimento anual na área do euro permanece frágil em 2014, e o desemprego continua a situar-se num nível muito elevado. O crescimento sustentável precisa de ser significativamente reforçado para poder ser visto como uma recuperação a longo prazo suscetível de imprimir o ritmo necessário à mitigação dos desafios socioeconómicos da EU.
Só com capacidade de investimento será possível proceder a incentivos para o crescimento económico. Só o excedente orçamental e o equilíbrio orçamental dos EM permitirá libertar os fundos necessários para os investimentos que levarão a um crescimento sustentado da zona euro, bem como o combate ao desemprego principalmente o dos jovens.
Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ This report expressed the need for increased democratic legitimacy of the European Semester. If the EU is to have effective governance of the Single Market, it would be beneficial for national parliaments as well as social partners and civil society organisations to be able to play a role in the formulation, monitoring and implementation of economic and social priorities in the European Semester. Therefore I voted in favour of this report.
Louis Michel (ALDE),par écrit. – Une éducation de qualité conduit à une main—d’œuvre européenne qualifiée pour faire face à la concurrence internationale. Les jeunes sont les actifs les plus mobiles dans l’Union européenne. Il faut veiller à leur intégration au sein du marché du travail en vue de leur assurer un avenir à la hauteur de leurs attentes. Relever ce défi nécessite plus d’investissements au titre des budgets consacrés à l’éducation et à la formation (1/5 des 20-24 ans n’ont pas terminé leurs études secondaires supérieures), ainsi qu’une meilleure circulation de l’information en synergie avec le monde du travail.
Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ The employment and social aspects of the European Semester and Annual Growth Survey are fundamental in order to put Europe back on track. We need to ensure that they are given adequate importance, moving forward. Therefore I voted in favour of the European Semester for economic policy coordination: employment and social aspects in the Annual Growth Survey 2015. However, I did not support the paragraphs calling for adoption of a more ambitious financial transaction tax.
Sorin Moisă (S&D), in writing. ‒ The European Semester has become, in a relatively short period of time, part of Europe's institutional culture and, moreover, is increasingly part of national policy-making culture. The previous open method of coordination, one of the most direct ancestors of the European Semester, was treated more or less as a joke; it was an exercise for academics more than practitioners. Now we can see how very powerful Member States - whether they like it or not - take the European Semester seriously and explain and defend their choices. Even when they try to obtain exceptions from the rules, they still explain themselves in relation to those rules, which are thus confirmed and strengthened. We now have an enriched process, with a clearer social dimension (Juncker's 'social triple A' is a great metaphor and, it is to be hoped, much more than that) and decent flexibility with the 'Moscovici package'. It is almost mystical how Europe, painfully, finds resources to fix itself after crises.
Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ Meggyőződésem szerint munkahelyeket a beruházásokon kívül az oktatás és képzés teremt: a tőketulajdonosok ott fektetnek be és hoznak létre új munkahelyeket, ahol megfelelő tömegű, magasan képzett, jó minőségű, magas hozzáadott-érték előállítására alkalmas munkaerő áll rendelkezésre. Rendkívül fontosnak tartom ezért a humántőke fejlesztését az oktatás, a képzés, az aktív munkaerő-piaci politika révén, a kis- és középvállalkozások finanszírozási gondjainak megoldását, az aggasztóan magas ifjúsági munkanélküliség kezelését, továbbá a kutatás, a fejlesztés és az innováció támogatását a termelékenység növelése érdekében.
Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ O Semestre Europeu deve assumir um posicionamento estratégico determinante para alavancar o investimento, a criação de emprego e novos períodos de crescimento económico na União Europeia.
Votei favoravelmente o presente relatório por reconhecer que os Estados-Membros que implementaram reformas estruturais foram capazes de recuperar a sua competitividade no mercado global, bem como por considerar importante dinamizar o investimento privado e facilitar o acesso ao financiamento por parte das PME.
Considero ainda fundamental que exista uma utilização mais eficaz e eficiente dos recursos públicos europeus, devendo essas verbas ser canalizadas para projetos que potencializem o emprego, sobretudo o jovem, e a competitividade das empresas.
Sophie Montel (NI),par écrit. – L'assainissement budgétaire dans les pays de la zone euro est loin d’être terminé et les dirigeants de l’Union européenne continuent de promouvoir l’austérité mortifère. Celle-ci empêche donc toute reprise de la croissance et toute baisse du chômage. En effet, le multiplicateur budgétaire moyen étant supérieur à 1, toute mesure d’austérité supplémentaire réduit d’autant le PIB des États.
L’Union européenne ne compte que sur la baisse de l’euro et du prix du pétrole pour espérer entrevoir la reprise. Mais cela risque de ne pas durer.
L’initiative pour l’emploi des jeunes et la garantie pour la jeunesse ne résoudront pas ces problèmes, pas plus que ceux liés à la faible qualification des travailleurs et au déficit de formation.
Alors que le taux de chômage en zone euro atteint 11,5 % contre "seulement" 7,3 % hors zone euro, l’Union refuse toute ouverture des vrais débats à mener sur la monnaie unique et sur le protectionnisme intelligent, seuls capables de sortir les pays de la zone euro du marasme actuel.
J’ai donc décidé de voter contre ce texte.
Nadine Morano (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce texte sur les aspects sociaux du Semestre européen. Dans le cadre du Semestre européen, la Commission européenne fait l'analyse des plans de réformes budgétaires, économiques et structurelles des États membres, puis leur adresse des recommandations pour la prochaine année. Le rapport rappelle la nécessité pour les États membres de mener de vraies réformes structurelles, car elles sont la condition du retour de la compétitivité à long terme. Il attire aussi l’attention sur les difficultés de financement des PME et invite les États membres à supprimer toutes les charges administratives inutiles pesant sur ces entreprises, qui représentent plus de 90 % des emplois européens.
Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ Con questa relazione sosteniamo l'approccio integrato alla crescita adottato recentemente dalla Commissione europea e basato su tre pilastri principali, e cioè: un nuovo piano di investimenti per l'Europa, le riforme strutturali e la responsabilità fiscale. Chiediamo, infatti, una politica economica ambiziosa, che rimanga sì all'interno delle regole esistenti del Patto di stabilità e crescita, ma che sia al contempo capace di stimolare una crescita intelligente ed inclusiva e di creare posti di lavoro migliori e sostenibili. Invitiamo, inoltre, la Commissione ad intervenire con urgenza al fine di contrastare gli episodi di dumping sociale, le numerosi frodi ed a combattere l'evasione fiscale.
Manifestiamo, ancora una volta, la nostra profonda preoccupazione per il ruolo limitato che il Parlamento europeo, i parlamenti nazionali e le parti sociali e le organizzazioni della società civile svolgono nella formulazione, nel monitoraggio e nell'attuazione delle priorità economiche e sociali del Semestre europeo. Ribadiamo, quindi, il nostro invito ad un coinvolgimento maggiore e più strutturato della società civile e delle parti sociali a livello di UE e nazionale, al fine di migliorare la legittimità del processo del semestre europeo attraverso lo sviluppo di orientamenti concreti democraticamente riconosciuti.
Alessandra Mussolini (PPE), per iscritto. ‒ Nella sua relazione l'On. Gutiérrez Prieto ha espresso un giudizio positivo sull'analisi annuale della crescita che avvia il ciclo di coordinamento delle politiche economiche degli Stati membri.
L'analisi di quest'anno ha come tema centrale quello di riportare saldamente l'Europa su un percorso sostenibile di crescita economica e di creazione di posti di lavoro.
Nell'ambito di questo approccio, la relazione raccomanda alla Commissione di perseguire una politica economica e sociale basata su tre pilastri principali: 1) il rilancio degli investimenti, 2) un rinnovato impegno per le riforme strutturali e 3) il perseguimento della responsabilità di bilancio.
Alla luce di quanto sopra, ho deciso di sostenere la relazione poiché ritengo che un'ambiziosa politica economica e fiscale espansionistica, all'interno delle regole esistenti del Patto di stabilità e crescita, sia indispensabile per stimolare una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva e creare posti di lavoro migliori e sostenibili. Ritengo, inoltre, che l'approccio proposto sia la giusta via da seguire, ricordando però che è fondamentale sostenere gli sforzi degli Stati membri affinché procedano non solo al consolidamento fiscale, ma anche a riforme strutturali in modo equilibrato dal punto di vista sociale ed economicamente efficiente e sostenibile.
Victor Negrescu (S&D), în scris. ‒ Conform cifrelor înregistrate, cel mai recent în 2013, situația socioeconomică a Uniunii Europene este una destul de sensibilă. În acest context, șomajul pe termen lung la nivel UE înregistrează unul dintre cele mai ridicate niveluri și anume 5,1% din forța de muncă, în timp ce 25,1% din populația Uniunii este supusă riscului de sărăcie sau excluziunii sociale.
Am votat acest raport deoarece aduce o serie de măsuri extreme de necesare reabilitării economice, financiare și sociale post-criză. Astfel, sunt de remarcat politicile economice ambițioase pentru creștere, crearea de locuri de muncă de calitate și combaterea deflației, restabilirea finanțărilor pentru IMM-uri în vederea stimulării investițiilor private, utilizarea mai eficientă a fondurilor, implementarea de politici noi în domeniul educației, dar și al sănătății, scăderii sărăciei și excluderii sociale etc., toate aceste măsuri fiind menite să contribuie la realizarea obiectivului UE, și anume condiții decente de viață pentru toți cetățenii săi.
Norica Nicolai (ALDE), în scris. ‒ Am susținut și am votat în favoarea acestui raport, deoarece aduce în prim-plan impasul grav în care se află economia Uniunii Europene, care se traduce prin scăderi economice sau creșteri mici și nesusținute, cu efecte extrem de grave asupra ratei șomajului, a sărăciei și a excluziunii sociale. Raportul arată că decalajele economice dintre statele membre au crescut, iar numărul șomerilor la nivelul UE a atins cifra istorică de 25 de milioane de oameni. În acest sens, raportorul cere Comisiei, statelor membre și Băncii Europene de Investiții să regândească și să recalibreze fondurile alocate pentru investiții strategice.
Faptul că UE a ales să răspundă crizei și lipsei productivității prin reducerea costurilor ne-a îndepărtat de obiectivele Strategiei Europa 2020 care presupuneau construirea economiilor pe baze durabile, sustenabile, cu investiții care să creeze locuri de muncă de calitate. Este important ca aceste investiții să fie făcute în domenii în care acestea se propagă și creează locuri de muncă, iar investițiile în capitalul uman sunt, după părerea mea, cele care au cel mai mare aport atât pe termen mediu, cât mai ales pe termen lung, fiind singurele care pot asigura o creștere susținută a economiei UE.
Urmas Paet (ALDE), kirjalikult. ‒ Toetasin raportit Euroopa poolaasta ning 2015. aasta majanduskasvu analüüsi tööhõive- ja sotsiaalaspektide kohta. ELi majanduslik ja sotsiaalne seis on jätkuvalt nõrk ja majanduse taastumine endiselt ebakindel. EL peab jätkuvalt parandama majandus- ja sotsiaalpoliitikat eesmärgiga saavutada võimalikult kiiresti strateegia „Euroopa 2020” eesmärgid.
Tuleb stimuleerida arukat, jätkusuutlikku ja kaasavat majanduskasvu ning luua paremaid ja jätkusuutlikke töökohti. Solidaarsus on põhiväärtus, millele Euroopa Liit on rajatud.
Maite Pagazaurtundúa Ruiz (ALDE), por escrito. ‒ La Resolución sobre empleo y aspectos sociales del Semestre Europeo pone de relieve la necesidad de cambiar las políticas económicas para poder alcanzar los objetivos de la Estrategia Europa 2020. La crisis ha aumentado de manera preocupante los niveles de pobreza, desigualdad social y exclusión social, especialmente en los Estados en los que se han aplicado programas de asistencia financiera, como es el caso de España. Necesitamos reformas económicas y estructurales que sean capaces de integrar y de hacer frente a los desafíos sociales y en materia de empleo. Es por ello, por el enfoque holístico del texto, por lo que he decidido votar a favor de esta Resolución.
Rolandas Paksas (EFDD),raštu. – Manau, kad užimtumo ir socialiniams aspektams metinėje augimo apžvalgoje turi būti skiriama daugiau dėmesio.
Visų pirma, reikėtų nustatyti, kaip socialinis požiūris pasireikš investicijų plane bei vykdant fiskalinę atsakomybę.
Į plataus užmojo ekonomines politikos priemones, skirtas pažangiam, tvariam bei integraciniam augimui skatinti ir geresnėms tvarioms darbo vietoms kurti, turėtų būti įtraukti užimtumo ir socialiniai aspektai. Būsimos investicijos turėtų būti įvertinamos ne tik ekonominiu, bet ir socialiniu aspektu.
Būtina užtikrinti, kad visoje ES pažeidžiamiausiems visuomenės nariams būtų sudaromos galimybės patekti į darbo rinką ir gauti pakankamas pajamas. Atsižvelgiant į tai, manau, kad Komisija turėtų imtis aktyvesnių veiksmų tam, kad būtų užtikrinta didesnė socialinė valstybių narių konvergencija ir pasiekti skurdo mažinimo tikslai. ES turi būti taikomi bendri minimalaus darbo užmokesčio standartai ir nustatoma ES minimalaus darbo užmokesčio politika. Be to, būtina geriau įtraukti socialinius partnerius bei pilietinę visuomenę siekiant gerinti darbo vietų kokybę ir užtikrinti tvarią įtrauktį į darbo rinką.
Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ UKIP abstained on paragraph 29, split 1, because while we can't support calls for the EU to interfere in the tax and criminal law of Member States, we of course do not oppose cracking down on tax fraud and illegal activity.
Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Considerando che l'Europa deve impegnarsi a favore di un modello di economia sociale di mercato che garantisca la crescita sostenibile per assicurare alla generazione futura posti di lavoro anziché debiti; che il contesto economico e sociale nell'UE continua ad essere desolante e che, secondo le previsioni economiche della Commissione dell'autunno 2014, la ripresa economica resta fragile; che il ritmo sostenuto del consolidamento di bilancio imposto durante la crisi economica ha ostacolato gli Stati membri nel conseguimento degli obiettivi di Europa 2020, il che dimostra che le politiche di bilancio dovrebbero essere differenziate e adattate alla situazione di ciascuno Stato membro; sottolineando l'esigenza di riforme strutturali negli Stati membri; accogliendo con favore l'approccio integrato alla crescita adottato dalla Commissione, basato sui tre pilastri principali invitando la Commissione a garantire gli investimenti nelle regioni economicamente più deboli che soffrono di una forte disoccupazione, ho espresso il mio voto favorevole.
Florian Philippot (NI),par écrit. – L'assainissement budgétaire dans les pays de la zone euro est loin d’être terminé et les dirigeants de l’Union européenne continuent de promouvoir l’austérité mortifère. Celle-ci empêche en effet toute reprise de la croissance et toute baisse du chômage. En effet, le multiplicateur budgétaire moyen étant supérieur à 1, toute mesure d’austérité supplémentaire réduit d’autant le PIB des États.
L’Union ne compte que sur la baisse de l’euro et du prix du pétrole pour espérer entrevoir la reprise. Mais cela risque de ne pas durer.
L’initiative pour l’emploi des jeunes et la garantie pour la jeunesse ne résoudront pas ces problèmes, pas plus que ceux liés à la faible qualification des travailleurs et au déficit de formation.
Alors que le taux de chômage en zone euro atteint 11,5 % contre "seulement" 7,3 % hors zone euro, l’Union refuse toute ouverture des vrais débats à mener sur la monnaie unique et sur le protectionnisme intelligent, seuls capables de sortir les pays de la zone euro du marasme actuel.
J’ai donc décidé de voter contre ce texte.
Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ U listopadu 2014. MMF je procijenio da se mogućnost recesije u eurozoni povećala i da će do kraja godine iznositi između 35% i 40%. Stopa nezaposlenosti ostaje na povijesno visokim razinama s gotovo 25 milijuna ljudi bez posla u EU-u. Dugoročna nezaposlenost je na zabrinjavajuće visokim razinama te je 12 milijuna osoba više od jedne godine bez posla (4 % više nego prošle godine). Stope nezaposlenosti mladih se nisu znatno smanjile (smanjile su se tek za 1,9 % u usporedbi s 2013.), dostigavši prosjek EU-a od 21,2 %. 75 % dugoročno nezaposlenih u EU-u je mlađe od 35 godina.
Dodatno su se povećale socioekonomske neravnoteže među državama članicama. Razlika u nezaposlenosti između jezgre i periferije se povećala s 3,5 % u 2000. na 10 % u 2013. godini. Reformama tržišta rada u brojnim državama članicama nije se uspio smanjiti broj nesigurnih radnih mjesta , a privremena radna mjesta predstavljala su 50 % otvorenih radnih mjesta u 2014. Svi ovi podaci govore da dosadašnje ekonomske i monetarne politike nisu bile adekvatne, pogotovo kad se analizira njihov učinak na socijalne politike i politike zapošljavanja, gdje su Europi potrebne strukturne reforme kako se ne bi dogodilo da naša najobrazovanija generacija postane izgubljena generacija.
Paulo Rangel (PPE), por escrito. ‒ O Semestre Europeu, iniciado em 2010, define um ciclo anual de coordenação das políticas económicas com uma análise detalhada dos planos dos Estados-Membros, em termos de reformas orçamentais, macroeconómicas e estruturais.
A presente resolução diz respeito aos aspetos sociais e relativos ao emprego na Análise Anual do Crescimento para 2015, preparada pela Comissão no âmbito do Semestre Europeu, que tem como objetivo o apoio ao crescimento e ao emprego, em paralelo com a consolidação fiscal. De facto, o contexto económico e social da UE continua a inspirar preocupações, sendo que, de acordo com as previsões económicas da Comissão, do Outono de 2014, a recuperação económica permanecerá frágil. Com efeito, a taxa de desemprego permanece a um nível historicamente elevado, com quase 25 milhões de pessoas desempregadas na UE, um quarto dos europeus encontra-se em risco de pobreza e o subemprego e a precaridade atingiram máximos históricos.
A UE necessita, portanto, de continuar a melhorar as suas políticas económicas e sociais, a fim de alcançar os objetivos da Estratégia Europa 2020, promovendo o investimento e reformas estruturais que aumentem a competitividade económica de forma socialmente responsável.
Votei favoravelmente a presente resolução.
Sofia Ribeiro (PPE), por escrito. ‒ Votei favoravelmente o presente relatório, pois este defende três pilares para o Semestre Europeu: investimento, reformas estruturais e responsabilidade fiscal, suportados por um modelo de economia de mercado com fortes preocupações sociais. Só assim se garante um crescimento sustentável, de modo a transmitir à próxima geração melhores oportunidades de emprego em vez de uma pesada herança, ao responsabilizá-los por dívidas que não cometeram. Importa não esquecer que apenas ao promover investimentos reprodutivos é que estaremos a estimular uma criação sustentável de empregos, que possibilite um verdadeiro investimento no capital humano, na mobilidade profissional, na investigação e na inovação, essenciais para expandir o potencial económico da UE, trazendo assim prosperidade aos povos europeus. A Europa é uma Europa das regiões, e o projeto europeu não deve deixar ninguém para trás. Por isto, há que continuar a ter uma atenção especial às regiões ultraperiféricas, às regiões menos desenvolvidas, para que tenhamos uma verdadeira coesão social e territorial, numa Europa a apenas uma velocidade. Os Estados-Membros também têm de fazer a sua parte, eliminando os encargos administrativos desnecessários e a burocracia que desincentiva o empreendedorismo, os trabalhadores por conta própria, a criação de “start-ups”, Micro, PMEs que são as catalisadoras do crescimento económico, da inovação, do emprego e de integração social.
Liliana Rodrigues (S&D), por escrito. ‒ O relatório sobre o Semestre Europeu para a coordenação das políticas económicas demonstra que a zona euro continua ainda a debater-se com as consequências do abrandamento económico iniciado em 2008. Relativamente aos aspetos sociais e do emprego, é importante que a Comissão assegure o investimento em regiões economicamente mais desfavorecidas. O investimento deverá ter em vista a formação e a educação, o combate à pobreza, a criação de postos de trabalho e o combate ao desemprego, o apoio às PME e a investigação.
Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
Tokia Saïfi (PPE), par écrit. ‒ J'ai soutenu ce rapport qui porte sur le volet social du semestre européen.
Il est primordial que l'Europe se concentre sur la relance de la croissance et de l'emploi et poursuive ses efforts en la matière. En effet, les réformes du marché du travail menées dans de nombreux États membres n'ont pas réduit la précarité.
De ce fait et à travers ce texte, nous appelons à une plus grande flexibilité dans la mise en œuvre des réformes par les États membres en situation économique et financière difficile et ce, dans le but de faire en sorte que les mesures prises par les États membres soient compatibles avec la création d'emplois, la responsabilité sociale et la croissance.
Matteo Salvini (NI),per iscritto. – Ho deciso di votare in maniera contraria in quanto la Relazione critica l'impatto negativo sull'occupazione dell'"austerità", ma solo perché esso è talmente evidente da non poter essere più occultato. Infatti, il testo ribadisce il favore all'approccio della Commissione basato su tre pilastri (rilancio degli investimenti; riforme strutturali; austerità), che è come dire: curo l'influenza inoculando nel malato altri virus patogeni.
Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL),por escrito. – Hemos votado en contra del informe ya que, si bien plantea y reconoce aspectos importantes a tener en cuenta de cara a la consolidación de una Unión Europea que tenga en cuenta los aspectos sociales y la lucha contra las altas tasas de desempleo, como son tener en cuenta el aspecto de género, tener más en cuenta a los sectores más vulnerables y con mayores riesgos de exclusión, o mejorar las condiciones de acceso al crédito de las pymes, propone medidas que, desde nuestro punto de vista, no son más que perjudiciales para dicha situación que se quiere mejorar. Propone la movilidad de los trabajadores como forma de luchar contra el desempleo, el aumento de la edad de jubilación, seguir ahondando en las reformas estructurales o alinear los salarios a la productividad. Estas no son más que las medidas que nos han traído hasta esta situación y sabemos que aplicar las mismas medidas antisociales no va a producir resultados diferentes.
Anne Sander (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce texte portant sur le volet social du semestre européen pour la coordination des politiques économiques. Le semestre européen est un outil très important, créé en réaction à la crise économique et financière récente et à la crise de la dette souveraine, pour que jamais plus l'Europe ne se retrouve dans une situation aussi critique que celle dont elle se relève à peine.
Concrètement, le semestre européen est un cycle annuel de coordination des politiques économiques, à travers lequel la Commission européenne fait l'analyse des plans de réformes budgétaires, économiques et structurelles des États membres, puis leur adresse des recommandations pour la prochaine année. En parallèle de celui-ci, la Commission publie également son rapport sur le mécanisme d'alerte, dont le cœur est un tableau de bord composé d'indicateurs – dont des indicateurs sociaux – qui permet à la Commission de déterminer si de réels déséquilibres existent dans un État membre et de recommander les mesures et les réformes à mettre en place pour y remédier. Dans cet exercice, si le respect des règles budgétaires en vigueur est essentiel, la Commission devrait également tenir compte du contexte social des États membres en situation financière difficile.
Jean-Luc Schaffhauser (NI), par écrit. ‒ Ce rapport repose sur le fait que c'est à Bruxelles que doivent se décider les grandes orientations de politique économique. Je m'y oppose pour défendre la démocratie et les droits sociaux et politiques de nos citoyens.
Sven Schulze (PPE), schriftlich. ‒ Sehr geehrter Herr Präsident,
Frau Kommissarin,
sehr geehrte Damen und Herren,
Wirtschaftswachstum entsteht durch Unternehmen, und Unternehmen schaffen dadurch neue Arbeitsplätze:
Daher ist in Europa ein beschäftigungsfreundliches Umfeld wichtig, in dem es die Menschen toll finden, ein Unternehmen zu gründen und ihre Geschäftsidee umzusetzen. Um dies zu unterstützen, kann finanzieller Anschub zum Beispiel über Mikrokredite aus den entsprechenden EU-Programmen kommen.
Den Wandel hin zu mehr Unternehmertum können auch die Mitgliedsstaaten unterstützen: eine effiziente Verwaltung gehört genauso dazu wie einfache und schnelle Firmenanmeldungen.
Wichtig sind aber auch stabile öffentliche Finanzen. Daher müssen wir immer wieder an die Einhaltung des Stabilitäts- und Wachstumspakts erinnern. Der Stabilitäts- und Wachstumspakt verhindert übermäßiges Verschuldungsverhalten der Mitgliedsstaaten. So entstehen wieder finanzielle Spielräume in den nationalen Haushalten.
Die linke Seite des Hauses erfindet ja fast jeden Tag neue Ausnahmen, warum etwas nicht in die Berechnung der Haushaltsdefizite mit aufgenommen werden soll. Das können wir auf keinen Fall zulassen.
Ich fordere daher die Kommission auf, dass dieser Grundgedanke des Paktes als roter Faden für die späteren länderspezifischen Empfehlungen im Europäischen Semester sichtbar bleibt.
Vielen Dank !
Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra del presente informe debido a que no supone cambio alguno en la orientación neoliberal del marco de la gobernanza económica. El Estudio Prospectivo Anual es el estudio económico de la Comisión Europea que da inicio a todo el proceso del Semestre Europeo. Este informe trata de incluir indicadores sociales y relativos al empleo en el Estudio para mejorar su calidad. Sin embargo, esta inclusión es de carácter superficial y no vincula dichos indicadores con las recomendaciones; se trata de una mera decoración que no reformará en absoluto el marco de la gobernanza económica. Una verdadera revisión en este sentido debería vincular y obligar a la Comisión a reformular sus recomendaciones y a apostar por objetivos sociales de carácter vinculante, superando la lógica monetarista de sus políticas. Por esto he decidido votar en contra del presente informe.
Remo Sernagiotto (PPE), per iscritto. ‒ Dal 2011 il semestre europeo consente agli Stati membri di coordinare le politiche economiche e gli sforzi intesi a promuovere la crescita, l'occupazione e gli investimenti nell'UE. Ritengo che la relazione approvata oggi fornisca degli orientamenti chiari non solo per avviare le necessarie riforme strutturali del mercato del lavoro, ma anche per richiamare l'attenzione sull'importanza della dimensione sociale delle politiche europee per la crescita.
Affronterei tuttavia con maggiore cautela il tema dell'introduzione di un reddito minimo a cui si fa esplicito riferimento in vari punti della relazione. Nonostante raggiungere l'obiettivo della strategia Europa 2020 di ridurre entro la fine del decennio di almeno 20 milioni le persone a rischio o in situazione di povertà e di emarginazione sociale sia una priorità dell'UE, ritengo che spetti anzitutto agli Stati membri valutare con attenzione gli strumenti più opportuni per garantire ai propri cittadini un lavoro e un livello di vita dignitosi.
Penso infatti che sia indispensabile salvaguardare il principio di sussidiarietà e garantire così che nella definizione delle politiche di welfare si tengano in debito conto le specificità degli Stati membri e i rispettivi contesti socioeconomici.
Siôn Simon (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of the motion for a resolution on the European Semester for economic policy coordination: employment and social aspects in the Annual Growth Survey 2015.
The report emphasises that Europe must be committed to the model of the social market economy, ensuring sustainable growth in order to provide the next generation with jobs instead of debts.
It must also be noted that the European Social Fund, with the Youth Guarantee, and the Youth Employment Initiative have to be used fully and correctly to finance sustainable projects in order to fight unemployment, in particular youth unemployment. The share of young people not in education, employment or training (NEETs) has remained high. This is unacceptable and measures must be taken to tackle this issue.
Davor Škrlec (Verts/ALE), napisan. ‒ Građanima je potrebno osigurati dostojanstven život od njihova rada. Gotovo 25 milijuna ljudi u Europskoj uniji trenutačno je bez posla, dok je 12 milijuna osoba nezaposleno više od godine dana. Najugroženija skupina na europskom tržištu rada su mladi čija stopa nezaposlenosti iznosi 21,2 posto.
Hrvatska s više od 300 tisuća nezaposlenih, od kojih je gotovo polovica mladih, zauzima visoko mjesto na ljestvici, nakon Španjolske i Grčke. Godišnje Hrvatsku napušta 12 tisuća ljudi zbog nepostojanja kreativnih rješenja i javnih politika koje će ih zadržati i osigurati im dostojnu i sigurnu egzistenciju. Zeleni lokalni poslovi najbolji su alat za suzbijanje spomenutog negativnog trenda. Primjenom principa cirkularne ekonomije u kreiranju javnih politika otvorio bi se čitav niz novih radnih mjesta te osigurao održiv rast Hrvatske i Europske unije.
Veliki potencijal za gospodarski rast i stvaranje kvalitetnih radnih mjesta leži u prelasku na Zelenu ekonomiju koja zapošljava mlade, koji su najugroženija skupina, zbog čega je prijeko potrebno financijski usmjeriti mala i srednja poduzeća prema zelenom rastu. Kao dio integriranog pristupa Europskog semestra države članice trebaju provesti strukturne reforme te promovirati programe financijske potpore mladima i poduzećima, poput Obzor 2020 ili COSME-a, čiji se potencijal treba iskoristiti za stvaranje snažnije poduzetničke kulture u Europskoj uniji.
Monika Smolková (S&D),písomne – Podporila som správu, ktorá veľmi reálne pomenúva problémy EÚ v zamestnanosti. Takmer 25 miliónov ľudí je nezamestnaných, dlhodobá nezamestnanosť sa zvýšila o 4 %. Tiež miera nezamestnanosti mladých ľudí výrazne neklesla. Alarmujúci je aj údaj, ktorý hovorí, že až 75 % dlhodobo nezamestnaných má menej ako 35 rokov. Ako východiská z danej situácie sú ambiciózne hospodárske politiky pre rast, vytváranie kvalitných pracovných miest a boj proti deflácii. Pri investičných plánoch musí ísť o podporu udržateľného rastu, vytváranie kvalitných pracovných miest a podporu sociálneho pokroku. Finančné prostriedky z eurofondov sa musia využívať efektívnejšie na vzdelávanie a aktívne pracovné politiky, ktoré budú určené na rozvinutie ľudského kapitálu. Členské štáty musia svoje politiky zamestnanosti prispôsobiť na podporu dlhodobo nezamestnaných, mladých ľudí, starších nezamestnaných ľudí, ženy a ďalšie prioritné skupiny najviac postihnuté krízou, ako sú ľudia so zdravotným postihnutím, vrátane celoživotného vzdelávania a odbornej prípravy, ako aj na boj proti nízkej úrovni vzdelávania.
Davor Ivo Stier (PPE), napisan. ‒ Godišnji pregled rasta pruža nam uvid u ekonomsku i socijalnu situaciju u Europi te postavlja prioritetne politike i mjere za EU za cijelu predstojeću godinu. Iako smo posljednjih godina raznim mjerama postigli određena poboljšanja u ekonomskoj i socijalnoj situaciji, stopa nezaposlenosti ostaje na povijesno visokim razinama, posebice kada se radi o mladima. Siromaštvo i socijalna isključenost također su na visokoj razini. Izvješće o Europskom semestru za usklađivanje ekonomske politike izvjestitelja Prietoa podržao sam jer smatram kako je vrijeme za odgovornu gospodarsku politiku za rast, stvaranje kvalitetnih radnih mjesta i borbu protiv deflacije. Također vrijeme je za reforme čiji je cilj povećanje potencijala rasta, ljudskog kapitala i produktivnosti. EU mora nastaviti poboljšavati svoje gospodarske i društvene politike kako bi se što prije ostvarili ciljevi strategije Europa 2020.
Catherine Stihler (S&D), in writing. ‒ I supported the employment and social aspects in the Annual Growth Survey 2015 as it sets out what more can be done at EU level to help Member States return to higher growth levels. Specifically, it proposes that the process be streamlined, with a view to increasing political ownership, accountability and acceptance of the process, to strengthening its credibility and comparability across Member States and to improving the implementation of country-specific recommendations.
Dubravka Šuica (PPE),napisan. – Europa mora biti predana modelu socijalnoga tržišnoga gospodarstva, kojim se jamči održivi rast kako bi se sljedećoj generaciji umjesto dugova osigurala radna mjesta. Pozdravljam integrirani pristup Komisije rastu koji se temeljni na tri glavna stupa: planu ulaganja za Europu, strukturnim reformama i fiskalnoj odgovornosti. Pozivamo na ambicioznu, ekspanzivnu gospodarsku i fiskalnu politiku, u okviru postojećih pravila Pakta o stabilnosti i rastu, kojom će se potaknuti pametan, održiv i uključiv rast te stvaranje kvalitetnih radnih mjesta. Zato sam podržala ovo izvješće.
Richard Sulík (ECR), písomne ‒ Návrh som nepodporil, pretože predstavuje zámery, ktoré by veľmi zásadne poškodili zamestnanosť v Európskej únii. Ide napríklad o zámer vytvoriť spoločný európsky rámec pre minimálnu mzdu, návrh na zavedenie základného príjmu v EÚ, ako aj ďalšie iniciatívy.
Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Podprla sem poročilo o evropskem semestru za usklajevanje gospodarskih politik: zaposlovanje in socialni vidiki v letnem pregledu rasti za leto 2015. Evropa mora biti zavezana modelu socialnega tržnega gospodarstva, ki zagotavlja trajnostno rast, da bi prihodnjim generacijam zagotovili delovna mesta, ne pa dolgov. Strinjam se z zapisanim v poročilu, da imajo države članice glavno vlogo pri oblikovanju politik zaposlovanja, vključno s politikami zaposlovanja mladih, in je te ukrepe najbolje izvajati na nacionalni ravni. Nujno se je potrebno lotiti visoke brezposelnosti. stopnja brezposelnosti je še vedno višja kot kadar koli prej, saj je v EU brezposelnih skoraj 25 milijonov ljudi.
Ελευθέριος Συναδινός (NI), γραπτώς. ‒ Η έκθεση προωθεί μία οικονομική πολιτική που οδήγησε στην καταστροφή της χώρας μας. Η Ευρωπαϊκή Ένωση χρειάζεται μια ριζική αλλαγή της οικονομικής της θεώρησης, διότι σε διαφορετική περίπτωση θα αντιμετωπίσει δομικά προβλήματα.
Tibor Szanyi (S&D), írásban. ‒ Szavazatommal támogattam a 2015. évi éves növekedési jelentés foglalkoztatási és szociális vonatkozásairól szóló jelentést. A 2010 óta működő európai szemeszter fontos eszköz az Unió versenyképességének megtartása és bővítése érdekében, azonban jól csak akkor működhet, ha a foglalkoztatási szempontokat kellő hangsúllyal vesszük figyelembe alkalmazása során.
Nem elegendő az, hogy az esetenként elhibázott módon végrehajtott strukturális reformok kapcsán a munkahelyek védelmére koncentrálunk, hanem azt is el kell érnünk, hogy az újonnan létrejövő munkahelyek színvonalas, megfelelő megélhetést biztosító életszínvonalat garantáljanak.
A jelentés e kérdésekkel részleteiben is foglalkozik - többek közt - ezért is tudtam azt támogatni.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du texte de mon collègue Gutiérrez. Nous devons être conscients du lien entre la responsabilité budgétaire et la nécessité de renforcer les investissements et les réformes structurelles dans les États membres, dans le contexte du pacte de stabilité et de croissance.
Isabelle Thomas (S&D), par écrit. ‒ La résolution sur l'examen annuel de croissance 2015 permet au Parlement européen de se prononcer sur l'état de l'Union et faire des préconisations en termes de politiques économiques pour ses États membres.
Il est regrettable de constater que certaines propositions portées par la droite ont été intégrées au compromis final. Je peux citer entre autres:
- La demande de réduction des coûts de main—d'œuvre comme élément de compétitivité, au paragraphe 5, alors même que la déflation menace en Europe.
- Au paragraphe 13, les programmes d'austérité sont salués et les États de la zone euro sont encouragés à diminuer leurs budgets, alors même que tous les pays sous programme de la troïka ont vu leur économie plonger, leur dette exploser et leurs programmes sociaux mis à mal.
- La résolution encourage, dans son paragraphe 25, la flexibilisation du marché du travail, rengaine libérale bien connue.
Ce sont des propositions que j'estime fondamentalement injustes, destructrices, inefficaces et propices au prolongement de la crise en Europe. J'ai donc voté contre cette résolution.
Ramon Tremosa i Balcells (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this report as I think that social policies and social structural reforms are an important of the policy mix, particularly in a time of big changes in economic relations and high levels of indebtness in public finances of many Member States.
Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra del informe ya que, si bien plantea y reconoce aspectos importantes a tener en cuenta de cara a la consolidación de una Unión Europea que tenga en cuenta los aspectos sociales y la lucha contra las altas tasas de desempleo ―como son tener en cuenta el aspecto de género, tener más en cuenta a los sectores más vulnerables y con mayores riesgos de exclusión o mejorar las condiciones de acceso al crédito de las pymes―, propone medidas que, desde nuestro punto de vista, solo son perjudiciales para dicha situación que se quiere mejorar. Propone la movilidad de los trabajadores como forma de luchar contra el desempleo, el aumento de la edad de jubilación, seguir ahondando en las reformas estructurales o alinear los salarios a la productividad. Estas no son más que las medidas que nos han traído hasta esta situación y sabemos que aplicar las mismas medidas antisociales no nos va a llevar a resultados diferentes.
Ernest Urtasun (Verts/ALE), por escrito. ‒ Me he abstenido en este informe, a pesar de que contiene una gran cantidad de elementos positivos, porque comparte el «three pillars approach» (inversión, consolidación fiscal y reformas estructurales), que no comparto, ya que reformas estructurales y consolidación fiscal es una combinación que ahonda en la recesión. Además, también sostiene que cualquier política expansiva debe estar dentro de las normas existentes del Pacto de Estabilidad y Crecimiento, lo que mi Grupo no comparte.
Elena Valenciano (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque creo que las políticas de austeridad llevadas a cabo hasta ahora nos han impedido alcanzar los objetivos de crecimiento, empleo y sociales de la UE. La consolidación fiscal debe ser compatible con un crecimiento sostenible, con el empleo digno y con el mantenimiento del Estado de bienestar; por ello, creo que debemos hacer uso de toda la flexibilidad posible.
Creo también que es necesario un plan para las pymes para favorecer su acceso al crédito barato y a las políticas de innovación e investigación de la UE, y que se favorezca la reestructuración de su deuda para evitar su quiebra, puesto que las pymes son la columna vertebral de la creación de empleo en la UE.
El 50% del empleo que se crea hoy en Europa no sirve para asegurar una vida digna a las familias, por lo que hay una bolsa insoportable de pobreza laboral que se debe revertir de manera urgente, puesto que los salarios decentes son imprescindibles para la cohesión social. Por último, he votado a favor de este informe porque pide a la Comisión Europea una iniciativa para fomentar e impulsar la renta mínima en todos los Estados miembros.
o, Marco Valli (EFDD),per iscritto. – Questa risoluzione sugli aspetti occupazionali e sociali nell'analisi annuale della crescita poteva essere un'ottima opportunità per rimettere in discussione un modello di coordinamento delle politiche economiche e di gestione della crisi che si è rivelato del tutto controproducente e insostenibile, soprattutto dal punto di vista sociale. Purtroppo, al di là delle nobili dichiarazioni di intenti, questa risoluzione dimostra invece di voler supportare lo stesso approccio che ha palesemente fallito nel promuovere una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva.
Nonostante, in effetti, non manchino nella relazione punti positivi e condivisibili, come l'attenzione alle piccole medie imprese, al problema delle diseguaglianze e agli stabilizzatori sociali, è ancora troppo presente la convinzione che la strategia per portare l'Europa fuori dalla crisi debba basarsi su ricette del passato, ovvero sulla combinazione di capitali privati, riforme strutturali e consolidamento fiscale (leggi austerità). Inoltre nella risoluzione non è stata incorporata la nostra proposta di introdurre un reddito di cittadinanza europeo, che sarebbe una manovra economica straordinaria per rilanciare l'economia reale e facilitare il rinserimento professionale di milioni di persone che continuano a perdere il lavoro.
Ángela Vallina (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra del presente informe debido a que no supone cambio alguno en la orientación neoliberal del marco de la gobernanza económica. El Estudio Prospectivo Anual es el estudio económico de la Comisión Europea que da inicio a todo el proceso del Semestre Europeo. Este informe trata de incluir indicadores sociales y relativos al empleo en el Estudio para mejorar su calidad. Sin embargo, esta inclusión es de carácter superficial y no vincula dichos indicadores con las recomendaciones; se trata de una mera decoración que no reformará en absoluto el marco de la gobernanza económica. Una verdadera revisión en este sentido debería vincular y obligar a la Comisión a reformular sus recomendaciones y a apostar por objetivos sociales de carácter vinculante, superando la lógica monetarista de sus políticas. Por esto he decidido votar en contra del presente informe.
Derek Vaughan (S&D), in writing. ‒ My Socialist colleagues and I voted in favour of this report because it welcomes the Commissionʼs new approach to economic policy with focus on growth and investment. The report also insists that reforms required from Member States must be socially balanced and growth-friendly and that surplus countries must do more to relaunch growth in Europe.
Marie-Christine Vergiat (GUE/NGL), par écrit. ‒ Le semestre européen n'est rien d'autre qu'une des traductions du traité budgétaire en droit européen. Qu'il en reconnaisse les conséquences en termes de chômage et de précarité est donc la moindre des choses, mais il n’en tire aucune leçon et suggère même au contraire de continuer dans la même voie.
Symptomatique de cette hypocrisie, un paragraphe reconnaît que les États membres, dont les budgets sont amputés par l’austérité, ne sont pas en mesure de protéger et de promouvoir les secteurs pourtant primordiaux de l’éducation, de la recherche et de l’innovation. Pourtant, la majorité des parlementaires européens a refusé d'en tirer les conséquences en les excluant du calcul des déficits publics.
Idem en matière de dumping social, que l'on veut bien reconnaître à condition d'en exclure la lutte contre le dumping salarial.
Seul bémol dont on peut se féliciter, le Parlement européen a une nouvelle fois réaffirmé sa position en faveur d’une "taxe ambitieuse sur les transactions financières".
J’ai donc voté contre ce rapport.
Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Consideramos que o contexto económico e social na UE continua a ser sombrio, e que, de acordo com as previsões económicas da Comissão, do outono de 2014, a recuperação económica permanece frágil. As taxas de crescimento foram negativas na área do euro nos dois últimos anos.
Lamentamos que o Semestre Europeu não tenha objetivos sociais e de emprego e não esteja alinhado com os princípios sociais consagrados nos Tratados. Não vemos esforços mais determinados para orientar e coordenar as políticas da UE a fim de fomentar o crescimento e a criação de emprego melhor. Assim, sem novas políticas, a situação continuará a pesar sobre as famílias e os trabalhadores.
Harald Vilimsky (NI), schriftlich. ‒ Das Europäische Semester für die Koordinierung der Wirtschaftspolitik stellt meines Erachtens die Forderung nach mehr Staat und weniger privater Verantwortlichkeit dar. Es sieht fiskalische Konsolidierung auf Seiten der Mitgliedstaaten als notwendig an, will aber dafür keine Ausgabenkürzungen akzeptieren. Aufgrund dessen habe ich mich gegen diesen Bericht entschieden.
Julie Ward (S&D), in writing. ‒ My Socialist colleagues and I voted in favour of this report because it welcomes the Commission's new approach to economic policy, with focus on sustainable growth and investment. The report also insists that reforms required from Member States must be socially balanced and growth-friendly and that surplus countries must do more to relaunch growth in Europe.