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Procedure : 2013/0436(COD)
Document stages in plenary
Document selected : A8-0060/2014

Texts tabled :

A8-0060/2014

Debates :

PV 27/04/2015 - 20
CRE 27/04/2015 - 20

Votes :

PV 28/04/2015 - 7.9
Explanations of votes

Texts adopted :

P8_TA(2015)0105

Verbatim report of proceedings
Monday, 27 April 2015 - Strasbourg Revised edition

20. Landing obligation (debate)
Video of the speeches
Minutes
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  Die Präsidentin. – Als nächster Punkt der Tagesordnung folgt die Aussprache über den Bericht von Alain Cadec im Namen des Fischereiausschusses zu dem Vorschlag für eine Verordnung des Europäischen Parlaments und des Rates zur Änderung der Verordnungen (EG) Nr. 850/98, (EG) Nr. 2187/2005, (EG) Nr. 1967/2006, (EG) Nr. 1098/2007, (EG) Nr. 254/2002, (EG) Nr. 2347/2002 und (EG) Nr. 1224/2009 des Rates und zur Aufhebung der Verordnung (EG) Nr. 1434/98 des Rates hinsichtlich der Anlandeverpflichtung (COM(2013)0889 - C7-0465/2013 - 2013/0436(COD)) (A8-0060/2014).

 
  
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  Alain Cadec, rapporteur. Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous avons négocié durant deux mois les mesures que les pêcheurs et les autorités nationales devront mettre en œuvre pour appliquer cette réforme, qui bouleverse, il faut bien le dire, les règles de la politique commune de la pêche. Je l'ai toujours dit, et je le répète aujourd'hui, l'obligation de débarquement sera extrêmement difficile à mettre en œuvre, notamment pour les pêcheries multispécifiques et pour la pêche artisanale.

De grâce, Monsieur le Commissaire, quand vos services sont amenés à faire des propositions législatives, vous devez en mesurer les impacts sociaux, environnementaux et économiques. La mesure qui consiste à obliger les pêcheurs à débarquer toutes les prises réalisées au cours d'une sortie de pêche est une idée généreuse, en soi, car elle a pour finalité d'inciter les professionnels à plus de sélectivité, et c'est ce que nous voulons.

Cependant comme je le disais, nous voyons concrètement que cette mise en œuvre sera difficile. Notre souci commun est évidemment de préserver la ressource tout en maintenant une activité économique viable, mais je reste convaincu que nous devons porter nos efforts sur la sélectivité des engins. L'accord que nous avons trouvé en trilogue permet heureusement d'en atténuer les effets négatifs.

Premièrement, la Commission devra publier chaque année des rapports de mise en œuvre qui permettront d'évaluer les problèmes rencontrés par les pêcheurs et d'y trouver des solutions. Ces rapports seront préparés grâce aux données transmises par les États membres. Les sanctions pour non-respect de l'obligation de débarquement n'entreront en vigueur qu'à partir du 1er janvier 2017, ce qui laissera le temps aux pêcheurs de s'y adapter. Des mesures pour prévenir la création de marchés parallèles de capture sous taille devront être mises en place par les organisations de producteurs. Par ailleurs, des mesures pour faciliter le stockage et les débouchés des juvéniles débarqués devront être mises en place par les États membres. Les conditions de stockage pour les captures indésirées, à bord, ont été assouplies par rapport à la proposition de la Commission – c'était nécessaire – et, enfin, la vidéosurveillance pour le contrôle ne sera pas obligatoire.

Vous avez abordé, lors du débat précédent, le plan de gestion pluriannuel en mer Baltique. Ce plan est très important, chacun l'a dit. Il est le premier élaboré dans le cadre de la nouvelle politique commune de la pêche. Il servira ainsi, comme l'a dit notre collègue Affonte et comme vous l'avez dit vous-même, cher Commissaire Vella, de modèle pour tous les autres plans.

À propos de ce plan de gestion, je suis par ailleurs très préoccupé par l'attitude de certains États membres qui, au Conseil, tentent de passer outre les prérogatives du Parlement. Malgré le récent arrêt de la Cour de justice dans l'affaire du Venezuela, qui a donné raison au Parlement, ces États membres continuent de contester la procédure de codécision pour les plans pluriannuels. Une déclaration commune de la France et de l'Espagne souligne, je cite: "l'inadéquation de la procédure législative ordinaire". Ces États membres estiment également que les conclusions de la task force sur les plans pluriannuels n'ont pas été endossées par le Conseil – ben voyons! – et n'ont aucun statut interinstitutionnel. Ces conclusions ont pourtant bel et bien un statut, celui de la confiance mutuelle entre le Parlement et le Conseil. Or, la France et l'Espagne veulent briser cette confiance.

En ma qualité de président de la commission de la pêche, je condamne fermement cette tentative de violation des traités. J'appelle donc le Conseil – il n'est pas là, c'est dommage – dans toute sa sagesse, à adopter une position raisonnable. Je n'hésiterai pas à aller jusqu'au bout de la défense des prérogatives du Parlement, si le Conseil fait le choix du conflit interinstitutionnel.

 
  
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  Karmenu Vella, Member of the Commission. Madam President, the landing obligation is a vital element of the reformed CFP. It aims to end the wasteful practice of discarding fish back into the sea. Discarding casts a negative image on the industry, has a harmful impact on sustainable stock exploitation and marine ecosystems and affects the financial viability of fisheries. The omnibus proposal you are discussing today, and voting for on Monday, is an important step and will bring legal clarity and create a level playing field for the industry in implementing the landing obligation.

I want to specifically thank Mr Alain Cadec and the shadow-rapporteurs for their very hard work and their commitment to find compromises. I am delighted that we have, in the end, reached an agreement that is acceptable to all parties. The compromise text agreed fully respects the basic elements and underlying principles of our initial proposal: to ensure legal clarity, to remove inconsistencies with the landing obligation from existing legal instruments, and to enable proper implementation of the landing obligation. But the next phase regarding demersal fisheries in the north-western waters, the south-western waters and the North Sea is approaching fast, so we absolutely need the kind of legal certainty that the omnibus will now provide.

I am happy to report that the development of discard plans for these fisheries is progressing very well. Member States’ cooperation has evolved, learning from the first experiences with the pelagic discard plans for the 2015 landing obligation. Work with the advisory councils has intensified along the way and the Member State groups are now bringing them more on board in the preparation of joint recommendations. Interaction between the Commission and Member States is also smooth and we are well on track to having plans in place before the start of next year.

What about implementation so far? This is a very important element and here I have to say that we are in close contact with industry and national authorities and stand ready to assist with the policy instruments already available in our toolbox. We have also been in discussion with the Pelagic Advisory Council to set up a Committee with a hands-on assignment to closely monitor the introduction of the landing obligation. Even in the absence of the omnibus regulation entering into law, we have not heard of any major problems since the start of the year.

We have received and replied to a few requests for clarification from Member States and the Advisory Councils, but these have all been relatively minor issues. Cooperation seems to be good between the inspectors of the different Member States regionally, and by and large our information suggests that fishermen are complying with the rules.

In conclusion let me say that we are very appreciative of the responsible attitude shown by the Member States and the industry so far. We hope that this will continue to be the case in the future.

 
  
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  Gabriel Mato, en nombre del Grupo PPE. Señora Presidenta, querido Comisario, la reforma de la PPC abre una nueva etapa para el sector en Europa, y tenemos que aprender a adaptarnos a una situación nueva: la obligación de desembarcar todas las capturas es un buen ejemplo de ello. A unos les gustará más; a otros les gustará menos, pero esta obligación es ya una realidad que tenemos que asumir.

El objetivo que nos hemos marcado es avanzar hacia una pesca sostenible, pero, para conseguirlo, hemos de saber también que es preciso articular medidas que hagan asumibles los cambios que proponemos. Hemos de ser por lo tanto flexibles a la hora de que nuestros pescadores se adapten a las nuevas circunstancias y, por eso, creo que ha sido un gran paso el acuerdo alcanzado en el Parlamento sobre la propuesta de que haya un período de adaptación a la nueva obligación antes de que se apliquen sanciones, así como la necesidad de presentar estudios o análisis anuales sobre el funcionamiento de esta medida.

Hemos llegado a un acuerdo, a un buen acuerdo sobre el «ómnibus», para aclarar un poco las reglas que hay que aplicar. Y digo «un poco» porque el proceso de cambio —que es de 180 grados— iniciado con la política pesquera común acaba de empezar y queda mucho camino por delante en el que tendremos que adoptar medidas que requieren el compromiso de todos.

En efecto, la obligación de desembarque es, al final ―como dice la Comisión― un marco legal de transición. Se tendrán que hacer cambios en el contexto de la revisión del Reglamento de medidas técnicas, así como en el contexto de los deseados planes regionales, para afrontar la nueva situación.

Lo que ahora urge es que políticos, empresarios, administraciones, pescadores, científicos y otros interlocutores nos reunamos y discutamos cómo aplicar esta obligación en términos prácticos mientras se espera un enfoque más claro con una legislación más homogénea que integre la experiencia adquirida desde los primeros meses de su aplicación.

Confío en la buena voluntad y el compromiso de todos los que estamos implicados en este proceso para lograr que esta nueva regulación sea buena para nuestro medio marino y, sobre todo, para el futuro de una actividad ―la pesquera― que sigue siendo clave para la economía, el empleo y el futuro de Europa.

 
  
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  Ulrike Rodust, im Namen der S&D-Fraktion. Frau Präsidentin, liebe Kolleginnen und Kollegen! Die Anlandeverpflichtung wurde eingeführt, um den Rückwurf von unerwünschten Fischen zu unterbinden. Die unerwünschten Fische können zu klein oder nicht von der richtigen Art sein. Rückwurf ist eine Ressourcenverschwendung und hat fatale Folgen für die ökologische und biologische Vielfalt, weil viele Fische, die bisher als unerwünschter Beifang galten, größtenteils tot über Bord geworfen werden.

Mehrere Bestimmungen in bestehenden Verordnungen sind nicht mehr konsistent. Deshalb mussten wir diese ändern. Hierzu gehören Mindestreferenzgrößen, Vorschriften über die Fangzusammensetzung, die Rückwurfregelung, das Verbot von Fischerei in bestimmten Gebieten usw. In der Grundverordnung haben wir einen Kalender eingeführt, um den Fischern die Umstellung leichter zu machen. Jetzt gilt es, diesen so schnell wie möglich umzusetzen.

 
  
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  Ruža Tomašić (ECR). Gospođo predsjednice, podržavam izmjene koje predlaže izvjestitelj jer držim kako ovakva omnibus uredba mora imati jasan cilj, što bi u ovom slučaju bilo postupno usklađivanje s obvezom iskrcavanja, a ne stavljanje dodatnog tereta na leđa ribara.

Smatram da je predloženo razdoblje prilagodbe od dvije godine sasvim razuman rok koji će ribarima omogućiti da lakše podnesu promjene u ribarstvenoj politici.

Sretna sam što je Hrvatskoj odobreno izuzeće od obveze iskrcavanja pod uvjetom da je odbačeni ulov manji od 5 posto jer je takva odluka spasonosna za naše ribare. Zbog činjenice da plivarice ne omogućavaju dovoljno visoku razinu selektivnosti prilikom ribarenja, kao i evidentnog manjka objekata za zbrinjavanje neželjenog ulova, hrvatski su ribari bili dovedeni u velike probleme koji su sad značajno ublaženi.

Isti pozitivan učinak na ribare i održivi razvoj njihove djelatnosti očekujem i od ovog izvjestiteljevog prijedloga te ću ga iz tog razloga podržati na glasovanju.

 
  
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  Norica Nicolai, în numele grupului ALDE. Doamnă președinte, mulțumesc. Fără îndoială, scopul obligației de debarcare este unul generos - pescuitul sustenabil, managementul resurselor marine, scăderea mortalității în rândul acestor resurse; toate acestea constituie valori adjudecate ale noii politici de pescuit. Din păcate, însă, pachetul legislativ este adoptat la finele anului 2013, intră în vigoare în 2014 și, deși prevede o perioadă etapizată, suntem deja în întârziere cu punerea în aplicare a acestor reguli.

Textul pe care îl vom vota mâine este un text de compatibilizare, care asigură coerența regulamentului cu prevederile noii politici de pescuit. Faptul că această obligație de debarcare intră în vigoare etapizat îi dă o șansă să fie sustenabilă și aplicată corect pentru că, în opinia noastră, de obligația de debarcare, de modul în care va fi implementată, depinde, în mare măsură, și succesul politicii de pescuit.

Ceea ce dorim, însă, să remarcăm este faptul că Parlamentul a avut un comportament constructiv, a încercat să atenueze o serie de efecte pe care, în negocierile cu Consiliul, a reușit să le și promoveze. Sperăm ca acest regulament să fie unul de succes, deși avem suficient de multe îndoieli, pentru că în practică, așa cum sublinia și colegul meu, Alain Cadec, sunt din păcate o serie de state membre care nu sunt foarte fericite în legătură cu această nouă abordare. Însă, este obligația noastră și a Comisiei să o promovăm și să o susținem, fiind esențială, așa cum spuneam, pentru politica de pescuit.

 
  
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  Liadh Ní Riada, thar ceann an Ghrúpa GUE/NGL. A Uachtaráin, cuireadh an rialachán seo chun tosaigh mar go mbímid ag fáil réidh le héisc i slí nach bhfuil éifeachtach agus léiríonn sé an easpa inbhuanaitheachta timpeallachta agus an phráinn atá ann chun dul i ngleic leis an bhfadhb.

Aithnítear go forleathan go gcaithfear cosaint a thabhairt don timpeallacht ach creidimse go bhfuil sé díreach chomh tábhachtach cosaint a thabhairt dár n-iascairí beaga agus tá siad ag streachailt mar gheall ar na céadta rialacha diana atá i bhfeidhm in earnáil na hiascaireachta. Táim ag iarraidh a chinntiú nach mbeidh tionchar diúltach ag an rialachán seo orthu.

Is rud thar a bheith teicniúil atá i gceist agus mar gheall air sin chuireas-sa leasuithe isteach a chinnteoidh nach mbeidh an t-ualach riaracháin chomh dian ar na hiascairí agus táim ag moladh gur de réir a chéile ba chóir an landing obligation a chur i bhfeidhm.

Tá sé chomh tábhachtach go mbeimid ag cur iascairí i lár an aonaigh sa scéal seo ar fad mar go minic bímid ag glacadh, agus an ceart againn a bheith ag glacadh le comhairle na saineolaithe eolaíochta ach mura bhfuil iascairí, iad sin atá fite fuaite leis an earnáil, ag plé an scéil, táimid ag cailliúint an scéil go huile is go hiomlán.

 
  
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  Louise Bours, on behalf of the EFDD Group. Madam President, the common fisheries policy is a bad policy. It is impractical, unsustainable and unjustifiable. The last Parliament sought so-called reform but, at best, they are making a catastrophe slightly less catastrophic. Rearranging the deckchairs on the Titanic is the maritime metaphor that seems to come to mind.

Yes, stopping discards is vital, but they are one of the worst aspects of a flawed system. Frankly, a landing obligation which is partial and limited simply does not solve the problem. What is needed is to de-collectivise the policy in a manner which stops the vast French and Spanish fleets hoovering the seas at taxpayers’ expense. Now will Mr Cadec’s proposal achieve this? No, it will not. And does the UK’s Lib-Lab-Con seek to do anything about this? No, they do not. On fishing, as in so much else, the British people need to know that they are being betrayed once again by the British political class and Mr Cadec’s tinkering at the edges does nothing to affect this fundamental truth.

 
  
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  Sylvie Goddyn (NI). Madame la Présidente, l'obligation de débarquement est inapplicable: elle obligera les pêcheurs à stocker les rejets dans leur navire, ce qui est techniquement difficile pour la pêche artisanale, et elle leur imposera un surcoût, puisqu'ils devront écourter leur temps de pêche et consommer du carburant pour effectuer des trajets supplémentaires.

De plus, quelle sera la destination finale des poissons débarqués? Auront-ils vocation à être détruits ou à être recyclés? Si cette dernière solution est retenue, au profit de quels acteurs économiques? Qui prendra réellement en charge le débarquement?

La solution la plus raisonnable serait de réduire les rejets, en améliorant la sélectivité des engins de pêche, notamment grâce à de nouveaux types de chaluts.

Toutefois, si cette proposition de règlement était malgré tout adoptée, il faudrait au moins accorder à la pêche artisanale des dérogations ou une période de transition lui permettant de s'adapter. Cette période de transition permettrait ainsi aux pêcheurs de renouveler leurs équipements, avec une prise en charge intégrale par le FEAMP, puisqu'il s'agit de répondre à une obligation réglementaire.

 
  
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  Francisco José Millán Mon (PPE). Señora Presidenta; señor Comisario, la prohibición de descartes significa un giro muy importante en la gestión de la pesca en Europa. Los pescadores, como ya se ha dicho, tendrán que hacer un esfuerzo sustancial para adaptarse técnicamente a esa nueva disposición, esfuerzo que será mayor en el caso de la flota artesanal.

El Reglamento «ómnibus» que mañana votaremos pretende eliminar las contradicciones entre la nueva prohibición de descartes y la normativa de medidas técnicas y control. Tras una intensa negociación, hemos alcanzado un acuerdo que aporta un margen de flexibilidad a la obligación de desembarcar todo el pescado capturado. Hay que tener en cuenta que las salidas comerciales para el pescado que antes se descartaba serán muy limitadas y creo que desde este Parlamento nos hemos esforzado por introducir en la propuesta inicial de la Comisión una serie de modificaciones imprescindibles para facilitar que la flota pesquera europea pudiera aplicar la nueva exigencia comunitaria.

El sector pesquero necesita tiempo para adaptarse. Lo sabemos bien en una región como Galicia, de donde yo vengo, la primera región pesquera de Europa; de ahí la importancia de la flexibilidad y de la gradualidad recogidas en el Reglamento. Desembarcar todas las capturas posiblemente implicará algunos cambios en la capacidad de los barcos y en la selectividad de las redes, y la flota, sobre todo la artesanal, podría tener dificultades prácticas que no podemos ignorar. Estudiaremos atentamente en los próximos tiempos el impacto de la nueva exigencia, y habrá que actuar en consecuencia.

Finalmente, me gustaría señalar que la prohibición de descartes pone también de relieve algunos desajustes en la política pesquera europea que, desde Galicia, se vienen denunciando desde hace tiempo. En efecto, subsiste el principio de estabilidad relativa para el reparto de cuotas entre los Estados miembros, pero este principio estaba pensado para un régimen de gestión que permitía los descartes. El cambio en materia de descartes debiera acarrear en los años venideros un reestudio, un replanteamiento del reparto actual de las posibilidades de pesca.

 
  
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  Clara Eugenia Aguilera García (S&D). Señora Presidenta, este Reglamento «ómnibus» que regula la obligación de desembarque es ―como ya se ha dicho, pero creo que es importante reconocerlo― uno de los pilares fundamentales de la nueva política pesquera comunitaria.

Ya no hay más discusión: había que acabar con los descartes y la PPC acaba con estos descartes. El Reglamento, que tenía que entrar en vigor el 1 de enero de este año, introduce esta obligación este año para el Báltico y los pelágicos.

Es un cambio normativo que es ―yo quiero dejarlo claro aquí, lo han repetido algunas personas que me han antecedido― muy importante y radical, siendo su aplicación práctica difícil en las pesquerías.

Yo tengo que decirle algo, señor Comisario, y es que yo estoy muy preocupada por la escasa información real que tiene el sector pesquero; el sector pesquero más allá de sus representantes y sus lobbies en Bruselas: las cofradías de pescadores y las asociaciones de armadores no tienen mucho conocimiento sobre esto y los Estados miembros deberían estar explicando más esta obligatoriedad.

 
  
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  James Nicholson (ECR). Madam President, the fishing industry faces a similar challenge to many other sectors throughout Europe at the present and especially in the agri—food business. It is the challenge of doing more for less, and we need to create a more sustainable and prosperous fishing industry that protects our fish stocks. But Europe can only do so much.

As other speakers have said, the reform of the common fisheries policy (CFP) in December has put an obligation on fishermen to land their catches, ending the practice of discarding. This is what was asked for, this is what was requested and this is what has now been done. Yes, it may have taken a long time but then sometimes to get things right does take time. So I hope the long-term prospects for the industry will be quite good.

I am extremely pleased that Parliament has been able to secure the much-needed flexibility which was, in my opinion, required and I welcome the transition period because it does take time to adapt to the future, and I would like to give this a fair wind and hope it succeeds and brings better times for the fishing industry.

 
  
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  Ian Hudghton (Verts/ALE). Madam President, let us not forget that the discredited common fisheries policy (CFP) has in fact been one of the principal causes of discards through its inflexibility in the past. Everyone wants an end to discarding, especially fishers themselves. They hate being forced to throw dead fish back into the sea by regulation.

I believe that the landing obligation will only succeed if it is implemented in a thoroughly regionalised and fishery-specific process. This compromise is acceptable, but it is not perfect. It will be very difficult to implement, particularly in the mixed-species white fish sector which is crucially important in Scotland and elsewhere.

I therefore welcome the allowance to give time to adapt, but there must also be support for additional methods of reducing unwanted catches in the first place. There must be flexibility to allow quota uplift to prevent the industry being paralysed by so-called ‘choke species’. The overall objective surely must be to reduce fish mortality, not just to move the problem onshore.

 
  
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  Marco Affronte (EFDD). Signora Presidente, onorevoli colleghi, l'obbligo di sbarco è un passo importante; uno degli obiettivi della politica comune della pesca è l'eliminazione graduale di tutti i rigetti.

È una specie di rivoluzione ed è per questo motivo che la discussione su questo progetto di regolamento è stata vivace e anche molto complessa. Alla fine però si è tramutata almeno in parte in un'occasione persa. Il risultato ottenuto è purtroppo inferiore alle aspettative, al punto da averne in gran parte snaturato il senso stesso e reso scarsi probabilmente i risultati che si otterranno. La gestione della pesca si basa e si baserà sempre di più su dati scientifici accurati e completi. Per questo motivo non ha senso l'eccezione che è stata inserita nel regolamento, che esclude la piccola pesca, che è l'80 per cento del totale quando le catture sono inferiori ai 50 kg.

Sono consapevole delle difficoltà che questa normativa porterà ai pescatori, in particolare ai pescatori tradizionali. Nonostante questo, preferivo un approccio magari più graduale nel tempo, ma comunque un obiettivo preciso, la totale eliminazione dei rigetti.

 
  
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  Ricardo Serrão Santos (S&D). Senhor Presidente, parece muito importante frisar que este regulamento irá marcar efetivamente a passagem da anterior política comum das pescas para a nova política comum das pescas, mais orientada para a sustentabilidade holística. Por fim, as antigas rejeições irão ser tomadas em consideração na gestão dos mananciais, o que é fundamental do ponto de vista da gestão científica e que aplaudo do ponto de vista político.

No entanto, esta nova aproximação terá implicações colaterais que deverão merecer uma atenção. Contextualizando, em Portugal há pescarias multiespecíficas. Nestes casos, basta ocorrer uma espécie com a quota esgotada ou quota zero para que se feche toda a pescaria. É o caso específico da pesca de peixe-espada preto, uma pescaria artesanal e centenária, que será bloqueada pela impossibilidade de capturar acessoriamente o tubarão gata-lixa, para o qual foi definida uma quota zero. As consequências terão, pois, de merecer uma atenção cuidada por parte do órgão executivo da União.

 
  
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  Julie Girling (ECR). Madam President, I am pleased finally to be in a position to endorse this report, and I thank Mr Cadec for all his hard work; I know it has been difficult.

I do regret the delay in coming forward, because it certainly would have been useful if we had had these regulations in place for the beginning of the ban at the beginning of this year. I do not think we have got off to the best of starts with the Omnibus Regulation on that basis, and I do hope that fishermen do not lose confidence in Parliament and our stance on discards simply because of that.

I am aware that this is only a ‘quick fix’ to remove inconsistencies in existing legislation until the Commission comes forward with a full overhaul of the technical conservation measures, but I am glad that we have now got that quick fix in place. Having worked on the reform of the common fisheries policy (CFP) in the last Parliament, I can say that the discard ban was one of the few EU achievements that my citizens welcomed, celebrated and do actually come and talk to me about, so I think it is incumbent on us all to make sure that we go forward, do not lose any ambition on that CFP and get it right.

 
  
 

Catch-the-eye-Verfahren

 
  
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  Jarosław Wałęsa (PPE). Szanowni Państwo! Eliminowanie odrzutów to filar reformy wspólnej polityki rybołówstwa. Szacuje się, że praktyka ta sięga 23% całkowitej wielkości połowów. Walka z odrzutami jest dla nas sprawą priorytetową i rybacy będą musieli wyładowywać na brzeg wszystkie złowione gatunki o wartości handlowej. Dobrze, że obowiązek ten dotyczy zarówno ryb poniżej minimalnego rozmiaru odniesienia do celów ochrony oraz ryb złowionych po wykorzystaniu lub przy braku kwot połowowych. Zaowocuje to bardziej wiarygodnymi danymi o stadach ryb, lepszym zarządzaniem i bardziej efektywną gospodarką zasobami, a przede wszystkim skończy z niepotrzebnym marnotrawstwem.

Gratuluję sprawozdawcy. Mam pan moje całkowite poparcie.

 
  
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  Νότης Μαριάς ( ECR). Κ. Πρόεδρε, η υποχρέωση εκφόρτωσης αποτελεί θεμελιώδη αλλαγή στην αλιευτική δραστηριότητα. Το 2015 θα είναι έτος δοκιμής για την εφαρμογή της. Η πολιτική αυτή στοχεύει στην προστασία του περιβάλλοντος διότι θέτει τέλος στις απορρίψεις αλιευμάτων στη θάλασσα. Παράλληλα όμως με τον στόχο της προστασίας του περιβάλλοντος και της διαφύλαξης των αλιευτικών αποθεμάτων, πρέπει να στηριχθεί η βιώσιμη αλιευτική δραστηριότητα. Πρέπει να ληφθούν υπόψη οι κοινωνικές και οικονομικές επιπτώσεις του κανονισμού στους μικροαλιείς των κρατών μελών, διότι εξαιτίας του αυξάνεται το κόστος λειτουργίας της μικρής κλίμακας αλιείας και των παραδοσιακών αλιέων. Επιπλέον, απαιτούνται επενδύσεις και αύξηση του εργατικού κόστους.

Για τον λόγο αυτό πρέπει να υπάρξει μια σημαντική χρονική περίοδος προσαρμογής και πρέπει να προβλεφθούν χρηματοδοτικές ενισχύσεις και εργαλεία για την προσαρμογή των μικροαλιέων στο νέο σύστημα, αφού το νέο πλαίσιο απαιτεί, πέραν των άλλων, και επενδύσεις για την αποθήκευση και επί του σκάφους.

 
  
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  Isabelle Thomas (S&D). Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, je vous présente mes excuses, j'avais un vote en commission des budgets.

Monsieur le Commissaire, chers collègues, le "zéro rejet" fut un slogan de la réforme de la politique commune de la pêche, qui se confronte, désormais, à la réalité. Et, malheureusement, cette réalité n'est pas celle du zéro rejet mais celle de l'obligation de débarquement. Nous avons déplacé à terre un problème que nous n'avons pas su traiter en mer, et je déplore que n'ayons pas toujours pris le temps d'affronter les vrais problèmes et d'y apporter les bonnes solutions en termes de sélectivité des engins de pêche et des pratiques de pêche pour éviter cette mortalité de la ressource, dans un esprit de soutien de l'Europe aux pêcheurs plutôt que dans celui d'éternelles sanctions.

Le choix de transformer ces rejets en farines a été celui de la majorité, pas le mien. Soit. Nous ne réécrirons pas l'histoire de la politique commune de la pêche. Aujourd'hui, nous devons composer et nous devons, surtout, évaluer cette obligation, cette exigence, et nous savons à quel point elle pèsera sur le quotidien des pêcheurs et sur leur travail.

Il y va de la viabilité des entreprises de pêche et de l'activité sur le territoire côtier.

 
  
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  Ivan Jakovčić (ALDE). Gospođo predsjednice, gospodine povjereniče, htio bih istaknuti da među ribarima imam mnogo prijatelja, a jedan ribar iz Poreča, koji je mali ribar, moj je najbolji prijatelj iz djetinjstva. I oni uvijek vole reći za sebe da su skeptični, sumnjičavi i da baš ne vjeruju onima koji donose zakone. Ja ću sada, večeras, biti također mali ribar i bit ću pomalo sumnjičav jer nisam siguran kako će se ovo završiti. Naime, volio bih i ja vjerovati da je obavezno iskrcavanje jednako održivo ribarstvo. Ali, dozvolite mi da budem malo sumnjičav i da ne budem siguran da će to biti tako.

U svakom slučaju, želim istaknuti potrebu da će princip fleksibilnosti i princip tranzicijskog perioda možda odagnati moje sumnje i možda će upravo fleksibilnost i tranzicijski period omogućiti malim ribarima da se osjećaju bolje nakon nekoliko godina kada ove direktive stupe na snagu.

 
  
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  João Ferreira (GUE/NGL). Senhor Presidente, as devoluções de peixe ao mar sem possibilidade de sobrevivência é uma prática insustentável e causadora de uma justa repulsa, uma prática com causas muito diversas que vão desde a ausência de valor comercial de pescado que estaria em boas condições para ser consumido até medidas de gestão a uma gestão desadequada. O que é importante é perceber a enorme diversidade de situações que caracteriza as pescas na União Europeia e perceber que a implementação desta disposição da política comum das pescas tem exigências completamente diferentes se falarmos no caso das pescarias multiespecíficas e predominantemente artesanais ou nas pescarias monoespecíficas e predominantemente industriais do norte.

Há questões que continuam sem resposta, como ainda recentemente pudemos constatar na delegação da Comissão das Pescas aos Açores. Quem paga os custos da manutenção a bordo do pescado? Quem é responsável pela sua recolha e encaminhamento? Quem assegura os custos destas operações? Foram questões que, mais uma vez, o setor levantou. Durante a discussão aqui da reforma da política comum de pescas fizemos propostas de alteração para lhes responder. Foram inviabilizadas pela maioria, mas as perguntas, essas, continuam a ser feitas pelo setor.

 
  
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  Igor Šoltes (Verts/ALE). Torej, gre za uredbe, katerih cilj naj bi bil predvsem ekonomski, okoljski in socialni vidik, ki pa pravzaprav v tem konkretnem primeru ni tako jasno razviden, kot to trdi Komisija.

Včasih se zdi, da so ta pravila kar rahlo odmaknjena od prakse, in vprašanje, koliko realno se lahko tudi izvajajo. Obstaja tveganje, da ta pravila lahko povzročijo več škode kot same koristi na tiste bistvene elemente, zaradi katerih so tudi vzpostavljene.

In, gospod komisar, govorili ste o sodelovanju z industrijo in inšpekcijo, govorili ste o nadzoru. Vendar, treba se je pogovarjat tudi z ribiči, treba je torej opravljati analize, zbirati informacije, načrtovati na način, da bo omogočalo tudi trajnostni ribolov in zato je potreben po moje ponoven premislek o vsebini teh uredb.

 
  
 

(Ende des Catch-the-eye-Verfahrens)

 
  
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  Karmenu Vella, Member of the Commission. Madam President, I would like to thank everyone for this interesting debate. Some Members have again highlighted a number of challenges that will be faced in the implementation of the CFP reform. We all have a common interest, which is to strengthen fishing and make it a sustainable industry. So we have to take on the challenges and work together collectively to strengthen our important fishing sector. As was mentioned, the transition is from discarding to landing bycatch, but the ultimate aim is to reduce and to try and eliminate bycatch as much as possible. One way of doing this is by going for more selective gear, while the landing obligation also promotes this idea.

We have also to keep in mind that, when protecting the industry, we are doing this in the best interest – and in the interest of the long-term sustainability – of fishermen themselves. Some Members mentioned the need for flexibility. Flexibility does exist, with the de minimis provisions and quotas, which will be adjusted to take into account the discards as well. As many have mentioned, the omnibus is a temporary reform of technical measures. Other multiannual plans will follow and the review of control regulations will follow as well. We are not leaving fishermen on their own. I would like to remind you that the EMFF provides support for our fishermen as well, for example by helping them to change their gears and in the handling of catches onshore and on vessels.

Mr Cadec went back to the previous debate and mentioned the legal issue between Parliament and the Council. I do not know whether I should even come back on this, but allow me one comment. This was indeed one of the points of discussion in the Council, but I am happy that the Council approved the full general approach and did not exclude the point relating to the legal basis. Here, the Commission is fully committed to the conclusions of the interinstitutional taskforce.

As I underlined at the beginning, all the actors involved take their respective responsibilities seriously, and cooperation is working well. So I am certain that any outstanding problem on the ground that has been mentioned can certainly be addressed.

Commission Statement

Commission statement referring to Article 1(11) point 2 (amendment of Article 19(2) of Regulation (EC) No 850/98), Article 2(6) point 1a (amendment to Article 15(1a) of Regulation (EC) No 2187/2005) and Article 3(4) point 1b (amendment to Article 15(1b) of Regulation (EC) No 1967/2006)

The Commission interprets the provision in Article 1(11) point 2, Article 2(6) point 1a and Article 3(4) point 1b of this Regulation relating to the measures to facilitate the storage and the finding of outlets for undersized catches once they are landed, as applying only where such measures are relevant and necessary.

 
  
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  Alain Cadec, rapporteur. Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, je vous remercie pour la qualité de ce débat. Je souhaite également remercier tous ceux qui ont participé à l'élaboration de ce rapport: les rapporteurs fictifs, le secrétariat de la commission de la pêche, nos conseillers, la Commission européenne – Monsieur le Commissaire – et la présidence lettone, sans qui tout cela n'aurait pas été possible. Je souhaite également remercier mes assistants, Émilie et Vincent.

L'obligation de débarquement aura besoin de l'adhésion de tous, si nous voulons qu'elle soit correctement mise en œuvre. Il y va de la crédibilité de nos institutions et de la politique commune de la pêche. Je souhaite que la coopération entre la Commission, les États membres, le Parlement, les professionnels et les scientifiques permette une mise en œuvre pertinente de cette obligation, au bénéfice de la ressource et des pêcheurs, car je continue à penser que cela sera difficile, comme je vous l'ai dit tout à l'heure lors de mon propos liminaire.

La sélectivité reste la vraie réponse à ce problème.

 
  
  

VORSITZ: RAINER WIELAND
Vizepräsident

 
  
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  Der Präsident. – Die Aussprache ist geschlossen.

Die Abstimmung findet am Dienstag, 28. April, statt.

Schriftliche Erklärungen (Artikel 162 GO)

 
  
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  Richard Corbett (S&D), in writing. It is four years since the now famous ‘Fish Fight’ campaign against the wasteful practice of discarding fish at sea kicked off in the UK, with the backing of nearly one million Brits. Their tireless campaigning helped ensure this reform was firmly on Parliament’s agenda. Labour MEPs’ firm support for this helped secure the hard-fought-for reform of the CFP to end the practice of discarding – which was hailed as a major success, even by Greenpeace. This week we are voting on measures to bring existing laws in line with the reform, to ensure legal clarity in the implementation of the landing obligation. It is our duty to ensure that this process is done in the clearest and most coherent way, without delay.

 
  
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  Remo Sernagiotto (PPE), per iscritto. Era di grande importanza raggiungere un compromesso con il Consiglio in tempi rapidi al fine di eliminare gli ostacoli normativi all'applicazione del nuovo obbligo di sbarco e garantire la piena certezza giuridica a tutti i pescatori interessati.

Sono molto soddisfatto che il Consiglio abbia accolto le perplessità del Parlamento riguardo all'attuazione di questa disposizione. Ritengo a tale proposito che sia giusta e ampiamente condivisibile la scelta di dare ai pescatori due anni di tempo per "adeguarsi" prima che scattino eventuali sanzioni. Inoltre, la relazione annuale che la Commissione dovrà presentare sulla base delle informazioni trasmesse dagli Stati membri e dai consigli consultivi ci consentirà di rispondere in modo tempestivo alle inevitabili difficoltà che i pescatori e le autorità nazionali dovranno affrontare nel conformarsi al nuovo obbligo. Avremo così la possibilità di correggere eventualmente la regolamentazione in caso di criticità e di valutare se siamo sulla strada giusta.

Non dimentichiamoci infine che sebbene non debba essere messo in discussione l'obiettivo del divieto di rigetto, è opportuno che sia garantito all'intero comparto ittico un adeguato sostegno affinché tale pratica generatrice di sprechi possa essere progressivamente eliminata senza comportare eccessivi oneri amministrativi per i pescatori e gli organi di controllo.

 
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