Andrejs Mamikins (S&D).– Priekšsēdētāja kungs! Eiropas Savienības un Baltkrievijas attiecības pēdējā laikā uzlabojas. Es gribētu atzīmēt divus pozitīvus aspektus — tie ir atspoguļoti rezolūcijā.
Tie ir pēdējo politieslodzīto atbrīvošana un Baltkrievijas konstruktīvā pozīcija konfliktā Austrumukrainā. Ceru, ka attiecību uzlabošanās šoreiz būs noturīgāka nekā iepriekšējās reizēs.
ES attiecības ar Baltkrieviju atgādina gadalaiku maiņu aiz polārā loka. Ilga ziema mainās ar neilgu vasaru, kura, diemžēl, ir ļoti līdzīga vēlam rudenim. Pašlaik Eiropas Savienības un Baltkrievijas attiecībās iestājies kārtējais atkusnis, bet es ļoti baidos, ka to kārtējo reizi nomainīs ziema.
Manuprāt, abas puses vēlas, lai situācija kardināli uzlabotos un abas puses gribētu ilgstošu pozitīvas sadarbības uzplaukumu.
Protams, daudz kas ir atkarīgs no Baltkrievijas varas iestāžu attieksmes. Bet paskatīsimies, kolēģi, ko varam izdarīt mēs — Eiropas Savienība — no savas puses! Jo Eiropas Savienībai un Baltkrievijai manā skatījumā ir spilgta nākotne.
Daniel Hannan (ECR).– Mr President, the truth is that Belarus has decided to go in a different direction. As in Ukraine, as in Russia, there is – if I may borrow 19th century terminology – an internal dispute between Slavophiles and Westernisers and the Westernisers are not in the ascendancy. Belarus is a sovereign country and, sadly, it has made a decision to go in the direction of autocracy and central control, rather than of freedom and personal autonomy, but once again we should accept the limits of our ability to influence things. Beyond holding up a better model there is not really very much we can do.
Marian Harkin (ALDE).– Mr President, I supported this resolution on Belarus, but I specifically want to explain my vote on Amendment 1. This amendment expressed concern at the decision to build a nuclear plant in Ostrovets, and called on Belarus to stop its construction until a fully independent environmental impact assessment is carried out.
I fully subscribe to the idea that all countries have an absolute right to decide on their energy sources. However, there are two important issues here. First of all, we are not asking them to stop, full stop. We are only asking them to carry out a full independent assessment. Secondly, the building of a nuclear reactor has global implications. It is not like erecting a few wind turbines or building a hydroelectric station. Nuclear reactors have the potential to impact way outside of their borders, and that is why I asked for this caution.
Explicații scrise privind votul
Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ No he podido dar mi voto favorable a esta resolución sobre Bielorrusa que no estaba prevista en esta sesión plenaria y que ha sido introducida justo al comienzo de la misma a petición del Grupo Popular Europeo. Esto está motivado, sin ninguna duda, ante la cercanía de las elecciones en el país, que se celebrarán el 11 de octubre, con el claro objetivo de intentar interferir desde el exterior en el proceso.
Puesto que el texto acordado por los demás grupos políticos respalda la política de sanciones contra Bielorrusia, que en mi opinión es claramente contraproducente, y que a día de hoy implica que el Parlamento Europeo no mantenga relaciones con el Parlamento Bielorruso y se inscribe en una política de injerencia, llamando a la Comisión Europea para que apoye con medios financieros y políticos a la oposición bielorrusa, no he votado a favor de la resolución presentada.
Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ Le rapport dénonce la violation des droits de l'homme qui aurait lieu en Biélorussie. La liberté d'expression et certaines libertés individuelles seraient bafouées par le gouvernement en place. Ce pays n'aurait pas organisé d'élections libres depuis 1994. Ce rapport invite donc la Biélorussie à organiser des scrutins équitables, à cesser l'application de la peine de mort et à supprimer le travail forcé.
Même si nous reconnaissons que la Biélorussie n'est pas respectueuse des droits de l'homme, nous nous opposons à toute condamnation morale et nous estimons qu'il n'est ni de notre devoir ni de notre responsabilité d'obliger un pays souverain à se soumettre à notre définition de la démocratie. Par ailleurs, il est tout à fait surprenant de voir les instances européennes s'indigner devant cette situation alors qu'elles agissent à l'encontre des peuples sans se soucier de leur volonté.
Je me suis donc opposée à ce texte.
Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ This resolution was not the subject of a roll-call vote, but I believe that my constituents have a right to know how I voted. In this case, I abstained on the resolution as a whole.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šią rezoliuciją dėl padėties Baltarusijoje. Sveikintina, kad Baltarusijos valdžia paleido likusius politinius kalinius, tačiau nerima kelia tai, kad panašūs veiksmai buvo ir anksčiau, tačiau tai tebuvo simbolinis gestas ir jais nebuvo prisidėta nei prie Baltarusijos visuomenės padėties gerinimo, nei prie geresnių santykių su ES. Pritariu raginimams Baltarusijai ateinančius prezidento rinkimus surengti pagal tarptautiniu mastu pripažintus standartus, suteikti opozicijai netrukdomą prieigą prie visų vyriausybės kontroliuojamų žiniasklaidos priemonių. Baltarusijos valdžios institucijos turi užtikrinti, kad bet kokiomis aplinkybėmis būtų laikomasi demokratijos principų bei paisoma žmogaus teisių.
Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ Si l'on ne peut que regretter de voir l'Union européenne camper sur ses positions d'hostilité systématique à la Fédération de Russie, il faut se réjouir de l'amélioration de nos rapports avec la Biélorussie.
Il en était temps ! Surtout après les efforts de Minsk pour obtenir un cessez-le-feu durable en Ukraine.
Oui, rapprochons-nous du Bélarus mais ne cherchons pas à l'éloigner de son voisin russe ! Le Bélarus peut et doit remplir le rôle qui était celui de l'Ukraine avant la crise: un pont, un trait d'union entre la Fédération de Russie et les nations européennes !
En effet, à l'heure où l'Europe doit relever l'immense défi que constitue le déferlement de millions de soi-disant réfugiés sur notre sol, il est primordial que l'ensemble de notre continent cesse enfin de s'entre-déchirer. La réalité de ce déferlement dépasse la fiction imaginée par Jean Raspail dans son prophétique Camp des Saints. Alors cessons de nous diviser ou c'est tout le Vieux Continent qui sombrera dans le chaos.
Voilà pourquoi j'ai voté contre cette résolution qui remet de l'huile sur le feu et prétend notamment imposer à la Biélorussie des "médias indépendants".
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ J'ai soutenu cette résolution commune où le Parlement rappelle qu'il demeure profondément préoccupé par la situation des droits de l'homme et des libertés fondamentales en Biélorussie, ainsi que par les manquements relevés lors des précédentes élections par les observateurs internationaux indépendants et la persécution active des dirigeants de l'opposition après les élections;
S'il se félicite de la libération récente des derniers prisonniers politiques et pourrait y voir un premier pas vers une amélioration des relations entre l'Union européenne et la Biélorussie, le Parlement demande toutefois que le pays dépasse les gestes symboliques.
Il demande aussi à la Biélorussie, seul pays en Europe qui applique encore la peine capitale, de s'associer à un moratoire mondial sur l'exécution de cette peine, ce qui constituerait un premier pas vers son abolition permanente.
Dominique Bilde (ENF),par écrit. – Cette proposition de résolution sur la situation en Biélorussie est une nouvelle démonstration de l’impérialisme européiste et de son ingérence dans les affaires intérieures des États souverains. Même si la Biélorussie est la dernière "dictature communiste" en Europe, l’UE n’a pas le droit de s’ingérer dans ces politiques.
Une élection présidentielle se tiendra le 11 octobre 2015 et l’UE a mis en place tout un tas de sanctions depuis que ce pays a décidé de s’allier avec la Russie par référendum dans les années 90. Cette proposition cherche à mettre la Biélorussie dans une position pro-UE et on y trouve toute une série d’exigences comme l’abolition de la peine de mort ou le soutien aux médias indépendant par l’UE (voir leur financement). J’ai donc voté contre ce texte.
Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ Alcune passaggi di questa risoluzione risultano essere poco condivisibili e potrebbero mostrare delle criticità, per questo mi sono espressa con un voto di astensione.
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ Mediante esta resolución, que he votado favorablemente, el Parlamento remarca su profunda preocupación por la situación los derechos humanos y las libertades fundamentales en Bielorrusia, así como por las deficiencias detectadas durante las anteriores elecciones por observadores internacionales independientes y la persecución activa de los líderes de la oposición tras las elecciones.
La resolución reclama a Bielorrusia la celebración de las próximas elecciones presidenciales de conformidad con las normas reconocidas a escala internacional y que permita a la oposición acceder libremente a los medios de comunicación controlados por el Gobierno y participar en las elecciones en pie de igualdad.
Además, reclama a las autoridades bielorrusas que dejen de acosar a los medios de comunicación independientes por razones políticas y reitera su llamamiento a la Comisión Europea para que apoye, con medios financieros y políticos, los esfuerzos de la sociedad civil bielorrusa, los medios de comunicación independientes y las organizaciones no gubernamentales en Bielorrusia en favor de las aspiraciones democráticas del pueblo bielorruso.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Nepaisant Baltarusijos ir Europos Sąjungos bei Jungtinių Amerikos Valstijų ryšių suaktyvėjimo, Baltarusijoje žmogaus teisės ir toliau pažeidžiamos. Vykdomas žmogaus teisių gynėjų bauginimas, policijos reidai žmogaus teisių organizacijose, konfiskuojant jų įrangą, ir priverstiniai išsiuntimai iš Baltarusijos. Baltarusijoje pastebėti rinkimų proceso trūkumai ir aktyvus opozicijos lyderių persekiojimas po rinkimų, kuriuos užfiksavo nepriklausomi tarptautiniai stebėtojai. Dėl šių priežasčių Parlamentas ragina Baltarusiją ateinančius prezidento rinkimus surengti pagal tarptautiniu mastu pripažintus standartus, suteikti opozicijai netrukdomą prieigą prie visų vyriausybės kontroliuojamų žiniasklaidos priemonių ir sudaryti jos nariams galimybę vienodomis sąlygomis dalyvauti rinkimuose.
Biljana Borzan (S&D), napisan. ‒ Želim izraziti zabrinutost zbog sustavnog pogoršanja ljudskih prava u Bjelorusiji, nijekanja prava na slobodu izražavanja, okupljanja i udruživanja te nepravednog procesa registracije za organizacije civilnog društva. Nadalje, Bjelorusija je jedina europska zemlja koja još uvijek provodi smrtnu kaznu.
U toj zemlji se i dalje zastrašuju borci za ljudska prava, aktivisti civilnog društva te se na njih vrši pritisak te se provode policijske racije. S obzirom na sve te nedemokratske pojave i djelovanja, nadolazeći predsjednički izbori će imati lako predvidljiv i nedvojben ishod.
Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Le rapport dénonce la violation des droits de l'homme qui aurait lieu en Biélorussie. La liberté d'expression et certaines libertés individuelles seraient bafouées par le gouvernement en place. Ce pays n'aurait pas organisé d'élections libres depuis 1994. Ce rapport invite donc la Biélorussie à organiser des scrutins équitables, à cesser l'application de la peine de mort et à supprimer le travail forcé.
Même si nous reconnaissons que la Biélorussie n'est pas respectueuse des droits de l'homme, nous nous opposons à toute condamnation morale et nous estimons qu'il n'est ni de notre devoir ni de notre responsabilité d'obliger un pays souverain à se soumettre à notre définition de la démocratie. Par ailleurs, il est tout à fait surprenant de voir les instances européennes s'indigner devant cette situation alors qu'elles agissent à l'encontre des peuples sans se soucier de leur volonté.
J'ai donc voté contre ce texte.
Gianluca Buonanno (ENF), per iscritto. ‒ Voto di astensione.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della proposta di risoluzione sulla Situazione in Bielorussia. Purtroppo la Repubblica di Bielorussia rimane sotto ogni aspetto un regime autoritario nonostante i richiami della comunità internazionale. Capisco che inaspettatamente questo paese, nel corso della crisi Ucraina, ha preso una posizione più vicina all'Europa rifiutandosi di seguire Mosca nell'introduzione dell'embargo sui prodotti europei, addirittura condannando l'annessione della Crimea. Ma questo proprio non può bastare: quello bielorusso rimane l'unico parlamento in Europa che per vent'anni non ha avuto una opposizione. Le ultime elezioni, tenute nel 2010, sono state definite dall'Osce “né libere, né imparziali”. A questo si aggiunge il nodo dei prigionieri politici che rimane uno dei motivi delle più dure critiche internazionali. Insomma, a mio avviso, nonostante si debbano agevolare tentativi di dialogo, almeno per mitigare la difficile situazione politica e alleggerirne il peso sui cittadini, la Bielorussia rimane un regime autoritario e le violazioni dei diritti umani pongono problemi difficili da superare per l'UE che è una comunità di valori che si basa sul rispetto dei principi democratici, delle libertà civili e dei diritti umani.
James Carver (EFDD), in writing. ‒ I abstained on the resolution as the EU’s recent record on relations with Russia, is, to say the least, somewhat strained. With Belarus being so politically close to Russia, the EU should be mindful of the need for real diplomacy, especially during such worrying times.
David Casa (PPE), in writing. ‒ Having regard to the human rights violations in Belarus, I voted in favour of this resolution in order to urge Belarus to comply with the rule of law and fundamental rights.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ Nonostante la recente liberazione di sei detenuti politici, la situazione dei diritti umani in Bielorussia resta preoccupante e drammatica. La libertà di espressione dei media indipendenti continua a essere in grande difficoltà e proseguono le intimidazioni, tanto che molto probabilmente assisteremo all'ennesimo processo elettorale farsa. Ho pertanto votato a favore di questa risoluzione che sostiene il rispetto dei diritti umani in Bielorussia condannando la dittatura.
Λευτέρης Χριστοφόρου (PPE), γραπτώς. ‒ Εκφράζεται η υποστήριξη προς την Επιτροπή στην πολιτική της για "κριτική δέσμευση" έναντι των αρχών της Λευκορωσίας και το Ευρωκοινοβούλιο εκφράζει την προθυμία να συμβάλει και μέσω της Αντιπροσωπείας του για τις σχέσεις με τη Λευκορωσία.
Επίσης η ΕΕ πρέπει να παραμείνει προσεκτική σε ότι αφορά το πού διαθέτει τους πόρους της και να βεβαιώνεται ότι δεν συμβάλλουν στην επιδείνωση της κατάστασης που αντιμετωπίζουν η αντιπολίτευση και η κοινωνία των πολιτών.
Salvatore Cicu (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della risoluzione del Parlamento europeo sulla situazione in Bielorussia. La risoluzione rileva che la Bielorussia è l'unico Stato europeo ad applicare la pena di morte e che la situazione dei diritti umani rimane critica. È espressa soddisfazione per il rilascio, da parte del governo di Lukashenko, di alcuni oppositori politici e invita il governo bielorusso ad assicurare che le elezioni di ottobre si svolgano liberamente. Infine, è apprezzato il ruolo di mediazione avuto dalla Bielorussa nella crisi ucraina e i recenti colloqui con l'UE su alcuni temi, tra cui i diritti umani, importanti in vista di un possibile riavvicinamento futuro tra l'UE e Minsk.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore di questa risoluzione perché, nonostante l'intensificazione dei contatti fra l'Unione Europea, gli Stati Uniti e la Bielorussia stessa, nel paese continuano a verificarsi violazioni dei diritti umani, fra cui episodi di intimidazione contro i medesimi difensori di tali diritti, oltre a incursioni della polizia presso le sedi delle organizzazioni impegnate nel settore. Sono convinto che uno dei risultati principali della cooperazione tra Bielorussia e Unione europea sia consistito nel rilascio dei sei prigionieri politici, compresi gli ex candidati presidenti, dei quali per anni era stata negata persino l'esistenza. Peraltro la nuova legge, in vigore dal 2015, che disciplina tutti i mezzi di comunicazione migliora decisamente una corretta condivisione delle informazioni. Infine credo che la creazione di un'istituzione nazionale a favore dei diritti umani, della libertà di espressione, riunione e associazione, nonché per i diritti dei minori, contro la pena di morte, la tortura e i maltrattamenti sia un ulteriore passo avanti verso il rispetto dei principi democratici, in conformità con la Dichiarazione universale dei diritti dell'uomo.
Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ No he podido dar mi voto favorable a esta resolución sobre Bielorrusa que no estaba prevista en esta sesión plenaria y que ha sido introducida justo al comienzo de la misma a petición del Grupo Popular Europeo. Esto está motivado, sin ninguna duda, ante la cercanía de las elecciones en el país, que se celebrarán el 11 de octubre, con el claro objetivo de intentar interferir desde el exterior en el proceso.
Puesto que el texto acordado por los demás grupos políticos respalda la política de sanciones contra Bielorrusia, que en mi opinión es claramente contraproducente, y que a día de hoy implica que el Parlamento Europeo no mantenga relaciones con el Parlamento Bielorruso y se inscribe en una política de injerencia, llamando a la Comisión Europea para que apoye con medios financieros y políticos a la oposición bielorrusa, no he votado a favor de la resolución presentada. .
Pál Csáky (PPE), írásban. ‒ A parlament emlékeztet arra, hogy Fehéroroszországban továbbra is az emberi jogokat sértő állapotok uralkodnak.
Történtek előrelépések egyes ágazatokban, de ennek ellenére sok még a tennivaló egy demokratikus állam létrejöttéig.1994 óta nem került sor szabad, demokratikus v a nemzetközileg normáknak megfelelő választásokra.
Kiemelném, hogy az EP cselekvésre hívja a Bizottságot, hogy a fehérorosz nép demokratikus törekvéseinek támogatása érdekében pénzügyi és politikai eszközökkel támogassa a fehérorosz civil társadalom, a független média és a nem kormányzati szervezetek erőfeszítéseit.
Támogattam a jelentést.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ This motion states that while the European Parliament welcomes the recent release of political prisoners in Belarus, it remains deeply concerned by the human rights and fundamental freedoms situation in the country. It calls on the Belarusian Government to rehabilitate the released political prisoners and to fully restore their civil and political rights, while stressing that this could be a potential first step towards improving relations between the European Union and Belarus. Besides condemning the serious human rights abuses by Belarus, this resolution also presents the EU as a potential interlocutor if Belarus steps up and implements the needed reforms, hence I voted in favour of the resolution.
Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ Подкрепих резолюцията на Европейския парламент относно положението в Беларус, защото тя разглежда най-вече състоянието и степента на зачитане на правата на човека в страната.
Постигнатият напредък в областта на свободата на словото и медиите, както и в зачитането на политическите права на гражданите и на активистите на опозицията, доведе до сближаване на отношенията между ЕС и Беларус, както и до осъществяването на първото официално посещение на делегация от Европейския парламент от 2002 г. насам.
Но въпреки тези няколко положителни стъпки в правилната насока, ситуацията остава силно обезпокоителна. Налице са административни преследвания и тормоз на независими медии по политически причини, както и наказателно преследване на млади активисти.
В навечерието на президентските избори в Беларус управлението в страната трябва да предостави на опозицията безпрепятствен достъп до всички контролирани от правителството средства за комуникация и да ѝ позволи да участва в изборите на равноправна основа. Само така Беларус ще може да гарантира, че президентските избори се провеждат в съответствие с международно признатите стандарти.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Η Ένωση, για μια ακόμα φορά, φέρεται να δρα ως αυτόκλητος υπερασπιστής του Δικαίου, ενώ στην πραγματικότητα απλά προσπαθεί να επηρεάσει προς το συμφέρον της την ροή των εξελίξεων στη συγκεκριμένη χώρα η οποία επί του παρόντος βρίσκεται στη σφαίρα επιρροής της Ρωσίας.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ Desde 2010, foram executadas dez pessoas na Bielorrússia, só em 2014, foram executadas três pessoas e foi proferida uma nova condenação à morte em 18 de março de 2015. A Bielorrússia é o único país da Europa que continua a aplicar a pena capital. Os casos de violação dos direitos humanos persistem na Bielorrússia, designadamente a intimidação de defensores dos direitos humanos, as rusgas policiais e a apreensão de equipamento das organizações de direitos humanos, bem como a saída forçada da Bielorrússia, entre outros, como confirma o relatório do Relator Especial das Nações Unidas sobre a situação dos direitos humanos na Bielorrússia.
Por isso, deve a Comissão apelar ao governo bielorusso para que dê passos concretos e firmes para melhorar consideravelmente a liberdade de expressão e a liberdade dos meios de comunicação social, o respeito pelos direitos políticos dos cidadãos e dos ativistas da oposição e o respeito pelo Estado de direito e pelos direitos fundamentais. A União Europeia deverá continuar firmemente empenhada em prosseguir a defesa dos direitos humanos na Bielorrússia, incluindo a liberdade de expressão e dos meios de comunicação social.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne ‒ Aj keď prišlo k pokroku v spolupráci s Bieloruskom v niektorých sektorových politikách, ako sú vyššie vzdelávanie, odborná príprava, digitálny trh, energetika, potravinová bezpečnosť a kultúra, napriek tomu v Bielorusku pretrváva porušovanie ľudských práv vrátane zastrašovania obhajcov ľudských práv, policajných razií proti organizáciám ľudských práv a zabavovania ich vybavenia, ako aj násilného vysťahovania z Bieloruska. Európska únia musí zabezpečiť, že jej zdroje sa nebudú využívať na potláčanie organizácií občianskej spoločnosti, obhajcov ľudských práv, novinárov na voľnej nohe a opozičných lídrov. Situácia národnostných menšín v krajine je kritická, pretože poprední predstavitelia týchto menšín sú často nahrádzaní predstaviteľmi, ktorých presadzujú štátne orgány, čím sa porušuje jedna zo základných ľudských slobôd, a to sloboda združovania. Bieloruské orgány musia dbať na to, aby zabezpečili dodržiavanie demokratických zásad, ľudských práv a základných slobôd v súlade so Všeobecnou deklaráciou ľudských práv a medzinárodnými a regionálnymi nástrojmi v oblasti ľudských práv, ktoré Bielorusko ratifikovalo.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω τις εκθέσεις για την κατάσταση στη Λευκορωσία διότι, για μια ακόμα φορά, εμφανίζεται η Ένωση να δρα ως αυτόκλητος υπερασπιστής του Δικαίου, ενώ στην πραγματικότητα απλά προσπαθεί να επηρεάσει προς το συμφέρον της την ροή των εξελίξεων στη συγκεκριμένη χώρα, χώρα που βρίσκεται προς το παρόν στη σφαίρα επιρροής της Ρωσίας.
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ I welcome the progress achieved by Belarus in the areas of higher education, vocational training, the digital market, the energy sector and food safety, among others, that will most certainly lead to increased cooperation between Belarus and Europe. However, I remain concerned by the continued prejudice to human rights and fundamental freedoms, by the serious shortcomings observed during previous elections by independent international observers in Belarus and by the lack of an effective rule of law.
I believe the Commission should support, through financial and political means, the efforts and democratic aspirations of Belarusian civil society, independent media and non-governmental organisations in Belarus who are leading the country towards more respect for democratic principles, for human right and for the rule of law.
Arne Gericke (ECR), schriftlich. ‒ Ich habe heute für den Entschließungsantrag zur Lage in Belarus gestimmt, da ich die Positionen dieses Textes teile und mir eine weitaus stärkere Rolle der EU im Demokratisierungsprozess wünsche.
Juan Carlos Girauta Vidal (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this Parliament Motion for a Resolution as it puts pressure on the Belarusian authorities in a constructive but firm way. I welcome the recent release of the six political prisoners as it shows an undeniable improvement in the way authorities there deal with its opposition activists and I sincerely hope it signals a step in the right direction concerning the right to freedom of speech and freedom of the media in Belarus. We simply must witness a genuine attempt in Belarus to engage citizens and activists in the political life of their country and ensure that candidates can conduct a genuine and fair electoral campaign.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de esta resolución. La resolución se hace cargo de las diez sentencias de muerte que van desde 2010, con tres sentencias de muerte ejecutadas en 2014 y una en Marzo del 2015. Bielorusia es en la actualidad el único país de Europa que todavía aplica la pena capital. Entendemos que una Europa de los derechos no pueden fundamentar su sistema penal en prácticas que conlleven la pena de muerte. El informe se hace igualmente cargo de la preocupación al respecto de la construcción de una planta nuclear en Ostrovets, preocupación que se basa en los insuficientes informes de impacto. Aún así entendemos que el propósito del Report no está suficientemente fundamentado como para obtener el voto a favor y que su existencia responde a agendas no aclaradas previamente.
Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ I alongside my colleagues in the European Parliamentary Labour Party voted in favour of this resolution. The release of political prisoners in Belarus is an important step forward. It is critically important that opposition parties are given equal access to media outlets in the run up to the presidential election in October of this year. It is vital that EU continues in its strategy of critical engagement with Belarus, but that the EU must not contribute by way of its actions worsen the situation of the opposition and civil society.
Pablo Iglesias (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de esta resolución. La resolución se hace cargo de las diez sentencias de muerte que van desde 2010, con tres sentencias de muerte ejecutadas en 2014 y una en Marzo del 2015. Bielorusia es en la actualidad el único país de Europa que todavía aplica la pena capital. Entendemos que una Europa de los derechos no pueden fundamentar su sistema penal en prácticas que conlleven la pena de muerte. El informe se hace igualmente cargo de la preocupación al respecto de la construcción de una planta nuclear en Ostrovets, preocupación que se basa en los insuficientes informes de impacto. Aún así entendemos que el propósito del Report no está suficientemente fundamentado como para obtener el voto a favor y que su existencia responde a agendas no aclaradas previamente.
Cătălin Sorin Ivan (S&D), in writing. ‒ Belarus has made some efforts on its path to democratization throughout the past couple of years. I also welcome the constructive role that Belarus played in forging the agreement that calls for a ceasefire in Ukraine. However, I am deeply concerned regarding the human rights situation and the harassment of media outlets in the country. Furthermore, I would like to draw attention to the fact that Belarus is the only state in Europe that still carries out capital punishment. As such, it must be recognised that Belarus, although having taken steps towards democratization, still has great lengths to cover.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasao sam za rezoluciju o stanju u Bjelorusiji budući da je potrebno poboljšati odnose suradnje između EU-a i Bjelorusije. U to smislu treba podržati napretke koji se postepeno događaju u poštivanju političkih prava, slobode govora i slobode mišljenja, slobode medija te djelovanja nevladinog sektora. Dogodila su se i poboljšanja u pogledu puštanja na slobodu nekih političkih zatvorenika.
Treba uzeti u obzir i ulogu Bjelorusije u pogledu smirivanja situacije u Ukrajini. Napreci su se dogodili i u suradnji između EU-a i Bjelorusije na gospodarskom planu. U tom smislu treba podržati Komisiju u daljnjem kritičkom sagledavanju situacije i nastavku angažmana, što bi pridonijelo daljnjem razvoju demokratskih procesa i povećanju razine poštivanja raznih aspekata ljudskih prava.
Jean-François Jalkh (ENF), par écrit. ‒ Le rapport dénonce la violation des droits de l'homme qui aurait lieu en Biélorussie. La liberté d'expression et certaines libertés individuelles seraient bafouées par le gouvernement en place. Ce pays n'aurait pas organisé d'élections libres depuis 1994. Ce rapport invite donc la Biélorussie à organiser des scrutins équitables, à cesser l'application de la peine de mort et à supprimer le travail forcé.
Même si nous reconnaissons que la Biélorussie n'est pas respectueuse des droits de l'homme, nous nous opposons à toute condamnation morale et nous estimons qu'il n'est ni de notre devoir ni de notre responsabilité d'obliger un pays souverain à se soumettre à notre définition de la démocratie. Par ailleurs, il est tout à fait surprenant de voir les instances européennes s'indigner devant cette situation alors qu'elles agissent à l'encontre des peuples sans se soucier de leur volonté.
J'ai donc voté contre ce texte.
Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Der Bericht weist auf die Situation in Weißrussland hin und benennt klar die Probleme. Ich enthalte mich dennoch meiner Stimme, da er in einigen Bereichen zu unsachlich ist und ins Polemisierende abrutscht.
Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ No he podido dar mi voto favorable a esta resolución sobre Bielorrusia que no estaba prevista en esta sesión plenaria y que ha sido introducida justo al comienzo de la misma a petición del Grupo Popular Europeo. Esto está motivado, sin ninguna duda, ante la cercanía de las elecciones en el país, que se celebrarán el 11 de octubre, con el claro objetivo de intentar interferir desde el exterior en el proceso.
Puesto que el texto acordado por los demás grupos políticos respalda la política de sanciones contra Bielorrusia, que en mi opinión es claramente contraproducente, y que a día de hoy implica que el Parlamento Europeo no mantenga relaciones con el Parlamento Bielorruso y se inscribe en una política de injerencia, llamando a la Comisión Europea para que apoye con medios financieros y políticos a la oposición bielorrusa, no he votado a favor de la resolución presentada.
Vladimír Maňka (S&D),písomne – Napriek určitému pokroku v niektorých sektorových politikách, ako je vzdelanie, odborná príprava, kultúra, potravinová oblasť, energetika, patrí Bielorusko naďalej ku krajinám, v ktorých dochádza k porušovaniu zásad právneho štátu a k nedodržiavaniu základných ľudských práv a slobôd. Bielorusko doteraz nepristúpilo k slobodným a demokratickým voľbám, ktoré by pomohli situáciu riešiť. Štát zasahuje do viacerých sfér, najmä do slobody tlače, prejavu a združovania, nedemokratickými zákonmi.
Komisia musí využiť všetky diplomatické, politické a finančné prostriedky na podporu občianskej spoločnosti v Bielorusku. Finančná pomoc poskytnutá zo strany EÚ musí byť kontrolovaná tak, aby nedošlo k jej zneužitiu.
Νότης Μαριάς (ECR), γραπτώς. ‒ Η Λευκορωσία οφείλει να λάβει μέτρα για την προστασία των θεμελιωδών δικαιωμάτων και τον σεβασμό του κράτους δικαίου.
David Martin (S&D), in writing. ‒ I welcome Belarus’s cooperation with the European Union and other relevant parties in finding a solution to the conflict in Eastern Ukraine, including hosting negotiations on ceasefire agreements.
Georg Mayer (ENF), schriftlich. ‒ Die Lage in der Republik Belarus ist aus demokratischer Sicht sicherlich nicht standardgemäß und aus europäischer Sicht nicht befriedigend. Dennoch empfinde ich den Entschließungsantrag in einigen Bereichen zu unsachlich. Daher habe ich mich meiner Stimme enthalten.
Joëlle Mélin (ENF), par écrit. ‒ Le rapport dénonce la violation des droits de l'homme qui aurait lieu en Biélorussie. La liberté d'expression et certaines libertés individuelles seraient bafouées par le gouvernement en place. Ce pays n'aurait pas organisé d'élections libres depuis 1994. Ce rapport invite donc la Biélorussie à organiser des scrutins équitables, à cesser l'application de la peine de mort et à supprimer le travail forcé.
Même si nous reconnaissons que la Biélorussie n'est pas respectueuse des droits de l'homme, nous nous opposons à toute condamnation morale et nous estimons qu'il n'est ni de notre devoir ni de notre responsabilité d'obliger un pays souverain à se soumettre à notre définition de la démocratie. Par ailleurs, il est tout à fait surprenant de voir les instances européennes s'indigner devant cette situation alors qu'elles agissent à l'encontre des peuples sans se soucier de leur volonté.
J'ai donc voté contre.
Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ Apesar da considerável intensificação dos contactos entre a Bielorrússia e a UE e os Estados Unidos, os casos de violação dos direitos humanos persistem na Bielorrússia, designadamente a intimidação de defensores dos direitos humanos, as rusgas policiais e a apreensão de equipamento das organizações de direitos humanos.
Estamos todos preocupados com a situação dos direitos humanos e das liberdades fundamentais na Bielorrússia, com as lacunas verificadas por observadores internacionais independentes nas anteriores eleições e com a perseguição ativa dos líderes da oposição após as eleições.
A Bielorrússia deve voltar a respeitar os direitos humanos, sob pena de vir a sofrer sanções por parte da UE.
Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of this cross-party resolution as it encourages the Belarusian authorities to respect the international and regional human rights instruments ratified by Belarus. Through the resolution MEPs also express their support for the Commission’s policy of ‘critical engagement’ with the Belarusian authorities but also stresses the importance of vigilant monitoring of the resources allocated to Belarus in order to ensure that they do not contribute to worsening the situation of the opposition and civil society in the country.
Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ I have voted in favour of the resolution on Belarus, which expresses its concern about the human rights and fundamental freedoms situation in the country, as well as by the shortcomings observed during previous elections by independent international observers and the active persecution of the opposition leaders after the elections and calls on Belarus to conduct the upcoming presidential elections in accordance with internationally recognised standards, to give the opposition unfettered access to all government-controlled means of communication and to allow it to participate in the elections on an equal footing, in particular by creating independent election commissions and allowing an adequate representation therein on all levels and a transparent vote count.
Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ A tárgyban hét képviselőcsoport (PPE, ECR, EFDD, GUE/NGL, Verts/ALE, S&D, ALDE) nyújtott be indítványt állásfoglalásra, közülük hat, beleértve saját képviselőcsoportomat, az S&D –t, kompromisszumos javaslatra jutott. Ezt szavaztam meg.
Sophie Montel (ENF),par écrit. – Cette proposition de résolution sur la situation en Biélorussie est une nouvelle démonstration de l’impérialisme européiste et de son ingérence dans les affaires intérieures des États souverains. Alors que l’élection présidentielle se tiendra le 11 octobre 2015, l’UE a mis en place tout un tas de sanctions depuis que ce pays a décidé de s’allier avec la Russie par référendum dans les années 90. Cette proposition profite alors de la situation actuelle pour mettre la Biélorussie dans une politique pro-occidentale cherchant à diviser encore l’UE. On y retrouve par exemple une demande d’abolition de la peine de mort, voire un financement par l’UE des médias « indépendants » (à savoir, euroatlantistes). J’ai décidé de voter contre.
Nadine Morano (PPE),par écrit. – J’ai voté en faveur de ce rapport sur la situation en Biélorussie. Le texte salue les efforts entrepris par la Biélorussie pour parvenir à un cessez-le feu en Ukraine, ainsi que la libération récente de plusieurs prisonniers politiques. Il souligne les progrès constatés dans les domaines de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle, du marché du numérique, du secteur de l'énergie, de la sécurité des aliments et de la culture. Il affirme néanmoins que de nombreux efforts demeurent à accomplir dans le domaine de l’État de droit, de la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ I have voted for this resolution that recognises the progress that has been made in sectoral cooperation in the areas of higher education (the Bologna process), vocational training, the digital market, the energy sector, food safety and culture, among others. It also calls on the Commission to support, with financial and political means, the efforts of Belarusian civil society, independent media and non-governmental organisations in Belarus to fulfil the democratic aspirations of the Belarusian people.
Norica Nicolai (ALDE), in writing. ‒ I supported this resolution as I believe we need profoundly to engage more with Belarus and not write it off as a lost cause. When it comes to people, there should be no such approaches, and it is indeed disturbing just how alienated the EU is towards Belarus, a country on our very own doorstep. While the language is at time harsher than I would have preferred, I think Parliament is taking the necessary steps in ensuring continued scrutiny and an eventual re-engagement with this country.
Urmas Paet (ALDE), kirjalikult. ‒ Toetasin. Kuue poliitvangi vabastamine Valgevene vanglatest on hea märk Valgevene soovist parandada suhteid ELiga. Lähenevad presidendivalimised on Valgevene jaoks hea võimalus demonstreerida, et tema soov on tõsiseltvõetav. Selleks tuleb tagada meediavabadus, oponentidele kandideerimis- ja valimisvõitluses osalemise vabadus teistega võrdsetel võimalustel ning inimõiguste austamine. OSCE vaatlejatele tuleb tagada ligipääs valimisvaatlusteks. Äärmiselt oluline on, et Valgevene kaotaks viimase Euroopa riigina surmanuhtluse. Oluline on ka hinnata olukorda Valgevenes uuesti pärast oktoobrikuiseid presidendivalimisi.
Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Pur apprezzando la liberazione dei sei prigionieri politici da parte della Bielorussia, ho deciso di appoggiare la risoluzione del Parlamento europeo con la quale si invitano le autorità bielorusse a rispettare gli standard internazionali in materia di elezioni democratiche previste per il prossimo 11 ottobre e a collaborare con l'OSCE; si deplora il fatto che nel paese esista ancora la pena di morte e si incoraggia il maggior rispetto dei diritti umani, dello Stato di diritto e della democrazia.
Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Europska unija spremna je poboljšati odnose i suradnju s Bjelorusijom kada to budu dopuštali uvjeti unutar te zemlje u pogledu poštovanja demokratskih standarda, vladavine prava i poštovanja temeljnih ljudskih prava. Pozitivan znak u tome vidu je i nedavno puštanje na slobodu šest političkih zatvorenika, oporbenih aktivista.
Također, sloboda govora i medija te omogućeno sudjelovanje u političkom životu te zemlje su nužni preduvjeti za demokratski razvoj i puni potencijal suradnje s EU državama. Isto tako, EU ostaje pripravna proširiti poslovne i trgovinske veze s Bjelorusijom, a članstvo te zemlje u Euroazijskoj uniji nije nespojivo s takvim mjerama.
Pozitivan pomak su i započeti pregovori u siječnju 2014. o pojednostavljenju viznog režima u cilju poboljšanja izravnih međuljudskih kontakata i poticanja civilnog društva. Ono što je poražavajuće jest postojanje smrtne kazne, što je u suprotnosti s europskim vrijednostima te ljudskim dostojanstvom.
Florian Philippot (ENF), par écrit. ‒ Ce projet de résolution s'ingère considérablement dans les affaires intérieures de la Biélorussie et cherche à étendre l'emprise de l'Union européenne sur un État qui n'en est même pas membre. Le financement de médias prétendument indépendants mais qui seront de toute évidence inféodés à l'Union européenne me paraît inacceptable. Laissons les Biélorusses décider eux-mêmes de leur destin, comme tout peuple en a le droit. Je souhaiterais d'ailleurs que les peuples des États membres de l'UE puissent eux aussi recouvrer un jour leur liberté... Je m'oppose donc à ce rapport.
Jiří Pospíšil (PPE), písemně. ‒ Usnesení na podporu dodržování lidských práv v Bělorusku jsem podpořil, nejenom protože jsem patřil k jeho spoluautorům, ale také, protože jeho potřebnost bohužel opět dokázal Lukašenkův režim, když zadržel držitele českého politického azylu a bývalého prezidentského kandidáta Aleśe Mihaljeviče při jeho návratu do vlasti. Přeji si spolupráci s Běloruskem, ale musí to být Bělorusko, které bude dodržovat základní lidská práva.
Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ Je me suis exprimé en faveur de la résolution du Parlement européen condamnant les violations des droits de l’homme en Biélorussie. A travers cette résolution, le Parlement exhorte la Biélorussie à renouer le contact avec l’Union et la communauté internationale et à cesser les arrestations des défenseurs des droits de l’homme ou des opposants au régime. Si certains prisonniers ont récemment été libérés, le pays doit continuer sur cette voie.
Paulo Rangel (PPE), por escrito. ‒ Tendo em conta as próximas eleições presidenciais na Bielorrússia e considerando que, desde 1994, não se realizam eleições livres e justas, em conformidade com as normas reconhecidas internacionalmente, o presente projeto de resolução do Parlamento Europeu, insta a República da Bielorrússia a encorajar a participação da oposição nas mesmas. O relator toma nota do facto de que seis presos políticos foram libertados, em 22 de agosto de 2015, salientado que a reabilitação plena dos seus direitos cívicos e políticos poderia constituir um primeiro passo no sentido de uma melhoria das relações entre a UE e a Bielorrússia. Apoiei com o meu voto a presente resolução do Parlamento Europeu, na expetativa de que a Comissão saiba apoiar a sociedade civil bielorrussa nas suas aspirações democráticas.
Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ Mediante esta resolución, que he votado favorablemente, el Parlamento remarca su profunda preocupación por la situación los derechos humanos y las libertades fundamentales en Bielorrusia, así como por las deficiencias detectadas durante las anteriores elecciones por observadores internacionales independientes y la persecución activa de los líderes de la oposición tras las elecciones.
La resolución reclama a Bielorrusia la celebración de las próximas elecciones presidenciales de conformidad con las normas reconocidas a escala internacional y que permita a la oposición acceder libremente a los medios de comunicación controlados por el Gobierno y participar en las elecciones en pie de igualdad.
Además, reclama a las autoridades bielorrusas que dejen de acosar a los medios de comunicación independientes por razones políticas y reitera su llamamiento a la Comisión Europea para que apoye, con medios financieros y políticos, los esfuerzos de la sociedad civil bielorrusa, los medios de comunicación independientes y las organizaciones no gubernamentales en Bielorrusia en favor de las aspiraciones democráticas del pueblo bielorruso.
Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ Tout en demeurant profondément préoccupé par la situation des droits de l'homme et des libertés fondamentales en Biélorussie, le Parlement européen, en votant cette resolution, a salué, la libération, fin août, des derniers prisonniers politiques dans ce pays.
Le texte adopté invite le gouvernement biélorusse à réhabiliter les prisonniers politiques libérés et à rétablir pleinement leurs droits civils et politiques et rappelle aussi que la Biélorussie est le dernier pays européen à appliquer la peine de mort et que 10 personnes ont été exécutées depuis 2010.
La résolution non contraignante invite la Biélorussie à mener les prochaines élections présidentielles, qui auront lieu en octobre, "dans le respect des normes reconnues sur le plan international" et de permettre à l'opposition de participer aux élections sur un pied d'égalité.
Le Parlement réitère également son appel à la Commission pour soutenir, avec des moyens financiers et politiques, les efforts de la société civile, des médias indépendants et des organisations non gouvernementales pour soutenir les aspirations démocratiques du peuple biélorusse.
Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de esta resolución. La resolución se hace cargo de las diez sentencias de muerte que van desde 2010, con tres sentencias de muerte ejecutadas en 2014 y una en Marzo del 2015. Bielorusia es en la actualidad el único país de Europa que todavía aplica la pena capital. Entendemos que una Europa de los derechos no pueden fundamentar su sistema penal en prácticas que conlleven la pena de muerte. El informe se hace igualmente cargo de la preocupación al respecto de la construcción de una planta nuclear en Ostrovets, preocupación que se basa en los insuficientes informes de impacto. Aún así entendemos que el propósito del Report no está suficientemente fundamentado como para obtener el voto a favor y que su existencia responde a agendas no aclaradas previamente.
Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ No he podido dar mi voto favorable a esta resolución sobre Bielorrusa que no estaba prevista en esta sesión plenaria y que ha sido introducida justo al comienzo de la misma a petición del Grupo Popular Europeo. Esto está motivado, sin ninguna duda, ante la cercanía de las elecciones en el país, que se celebrarán el 11 de octubre, con el claro objetivo de intentar interferir desde el exterior en el proceso.
Puesto que el texto acordado por los demás grupos políticos respalda la política de sanciones contra Bielorrusia, que en mi opinión es claramente contraproducente, y que a día de hoy implica que el Parlamento Europeo no mantenga relaciones con el Parlamento Bielorruso y se inscribe en una política de injerencia, llamando a la Comisión Europea para que apoye con medios financieros y políticos a la oposición bielorrusa, no he votado a favor de la resolución presentada.
Davor Škrlec (Verts/ALE), napisan. ‒ Ovo obrazloženje glasovanja nastaje kao kritika postojećem sustavu vrednovanja rada zastupnika u Europskom parlamentu isključivo na osnovu statističkog broja parlamentarnih aktivnosti potenciranog u Hrvatskoj, a koji zapravo ne odražava stvarnu kvalitetu i količinu rada, učinkovitost te ponajviše uspjeh zastupničkog djelovanja.
Monika Smolková (S&D), písomne. ‒ Podporila som uznesenie týkajúce sa situácie v Bielorusku. Pred blížiacimi sa prezidentskými voľbami v Bielorusku má EÚ záujem na tom, aby sa voľby konali v súlade s medzinárodne uznávanými normami, aby opozícia mala neobmedzený prístup ku všetkým komunikačným prostriedkom kontrolovaným vládou a aby sa mohla zúčastniť na voľbách za rovnakých podmienok, a aby sa zabezpečilo transparentné sčítavanie hlasov. Po rokoch stagnácie spolupráce medzi EÚ a Bieloruskom sa tohto roku uskutočnila prvá oficiálna návšteva delegácie EP pre vzťahy s Bieloruskom, ktorá sa konala v Minsku 18. a 19. júna 2015. Za pozitívne v uznesení sa považuje aj to, že Bielorusko zohralo konštruktívnu úlohu pri umožnení dohody o prímerí na Ukrajine. Pozitívne sa hodnotí aj pokrok, ktorý sa zaznamenal v sektorovej spolupráci s Bieloruskom v oblastiach vyššieho vzdelávania, odbornej prípravy, digitálneho trhu, energetiky, potravinovej bezpečnosti, kultúry a ďalších. Na druhej strane pripomíname, že Bielorusko zostáva jedinou krajinou v Európe, ktorá stále vykonáva trest smrti.
Davor Ivo Stier (PPE), napisan. ‒ Podržavam ovu rezoluciju jer je važno poticati demokratske pomake i inicijative u Bjelorusiji. Zasad su još mnoge stvari koje se događaju u Bjelorusiji nedopustive i nisu u skladu s politikom Europske unije niti s mišljenjima i stavovima europskih pučana. Primjerice, nesloboda medija, smrtna kazna koja u Europi postoji još samo u Bjelorusiji, izoliranost, ugroza za ljudska prava i slično.
Stanje u Bjelorusiji zasad nije u skladu s demokratskim načelima i može se reći da je Europa duboko zabrinuta za Bjelorusiju, osobito za ljudska i temeljna prava u zemlji, dok još treba popraviti i mnoge druge procese. Stoga s Bjelorusijom treba dalje raditi na boljitku same zemlje i njenog naroda, prepoznavati pozitivne pomake, poput nedavnog oslobađanja preostalih političkih zatvorenika, a ukazivati na negativnosti i propuste te ih zajedno s Bjelorusima sankcionirati.
Bjelorusija treba poštovati UN-ove preporuke, međunarodno pravo i nacionalne manjine, a sve u svrhu što boljeg suživota ljudi unutar same države i suživota s Europskom unijom.
Dubravka Šuica (PPE), napisan. ‒ Podržavam prijedlog rezolucije kojom se naglašava stanje temeljnih ljudskih prava u Republici Bjelorusiji u skladu s izvješćem Visoke predstavnice Unije za vanjske poslove i sigurnosnu politiku. Obzirom da ova država i dalje ostaje jedina diktatura na prostoru Europe, kao i jedina država koja još uvijek provodi smrtnu kaznu, pozdravljam rezoluciju koja potiče veći angažman država i institucija EU-a prema Bjelorusiji.
No, bez poštovanja demokratskih načela, ljudskih prava i temeljnih sloboda, u skladu s Općom deklaracijom o ljudskim pravima, nemoguće je govoriti o napretku u odnosima s Republikom Bjelorusijom. Nadam se kako je postupak oslobađanja šest političkih zatvorenika pokazatelj želja bjeloruskih vlasti za sudjelovanje u demokratskim procesima te da takvi potezi nisu skupljanje političkih i međunarodnih simpatija, nego iskrena namjera reformiranja političkog okruženja u Bjelorusiji.
Richard Sulík (ECR), písomne ‒ Návrh som podporil, keďže súhlasím s jeho výzvami na väčšie dodržiavanie ľudských práv a demokratických zásad.
Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this resolution as it calls on the Commission to provide financial and political support to the work of civil society, independent media and non-governmental organisations to support the democratic aspirations of the Belarus people. It also reminds that Belarus is the only country in Europe that still applies the death penalty and that ten people have been executed there since 2010.
Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Podprla sem resolucijo, ki je bila predlagana, saj menim, da je veliko kršitev človekovih pravic v Belorusiji zaskrbljujočih in jih je treba odpraviti.
Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de esta resolución. La resolución se hace cargo de las diez sentencias de muerte que van desde 2010, con tres sentencias de muerte ejecutadas en 2014 y una en Marzo del 2015. Bielorusia es en la actualidad el único país de Europa que todavía aplica la pena capital. Entendemos que una Europa de los derechos no pueden fundamentar su sistema penal en prácticas que conlleven la pena de muerte. El informe se hace igualmente cargo de la preocupación al respecto de la construcción de una planta nuclear en Ostrovets, preocupación que se basa en los insuficientes informes de impacto. Aún así entendemos que el propósito del Report no está suficientemente fundamentado como para obtener el voto a favor y que su existencia responde a agendas no aclaradas previamente.
Ramon Tremosa i Balcells (ALDE), in writing. ‒ Despite a noticeable intensification of contacts between Belarus and the EU and the United States, violations of human rights persist in Belarus, and we cannot close our eyes on that. Whereas progress has been made in cooperation on some sectoral policies, the EU must make sure, however, that its resources are not used to suppress civil society organisations, human rights defenders, freelance journalists and opposition leaders.
I support any initiative that encourages the use of European values beyond our borders.
Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de esta resolución. La resolución se hace cargo de las diez sentencias de muerte que van desde 2010, con tres sentencias de muerte ejecutadas en 2014 y una en Marzo del 2015. Bielorusia es en la actualidad el único país de Europa que todavía aplica la pena capital. Entendemos que una Europa de los derechos no pueden fundamentar su sistema penal en prácticas que conlleven la pena de muerte. El informe se hace igualmente cargo de la preocupación al respecto de la construcción de una planta nuclear en Ostrovets, preocupación que se basa en los insuficientes informes de impacto. Aún así entendemos que el propósito del Report no está suficientemente fundamentado como para obtener el voto a favor y que su existencia responde a agendas no aclaradas previamente.
Ernest Urtasun (Verts/ALE), por escrito. ‒ He votado a favor de la resolución porque denuncia de forma clara la persistencia de violaciones de derechos humanos en Bielorrusia, pide que las autoridades que acaben con el acoso por razones políticas hacia medios de comunicación independientes y entre otras muchas cosas porque también expresa la preocupación hacia la detención y la persecución de 3 jóvenes activistas.
Ivo Vajgl (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this resolution on Belarus, which does recognise some positive steps taken by the Belarusian Government, such as the freeing of several political prisoners, but at the same time reiterates its concerns over the persistently worrying human rights situation in the country and the shortcoming observed during the previous elections. It is important that the resolution strongly calls for the respect of media freedom and invites the authorities to grant minorities adequate rights. It is also positive to note that the text underlines the deplorable practice of the death penalty still in use in Belarus, the only country in Europe that still foresees such an extreme and inhuman type of criminal punishment. Substantial improvements on all aspects of human rights are still to be made if our cooperation with the country is to be strengthened in the future.
Ramón Luis Valcárcel Siso (PPE), por escrito. ‒ Estimados compañeros, es importante que el Parlamento Europeo se pronuncie en estos términos ante la situación de Bielorrusia, ya que es muy importante que la democracia y el respeto de los derechos humanos progresen en este país en los próximos años. Por ello considero necesario votar a favor de esta propuesta de resolución.
Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ A mesma União Europeia que não se mostra capaz de dar uma resposta humana à crise de refugiados, vem agora mais uma vez pretender dar lições de direitos humanos a outros países terceiros, neste caso a Bielorrússia.
A mesma UE, tão lesta em dar apoio político, financeiro e militar a grupos armados destinados a espalhar a guerra na Líbia, na Síria ou no Iraque, vem aprovar uma resolução a condenar um país pelo simples facto de não vergar perante o poder hegemónico da UE, dos Estados Unidos e na NATO.
A mesma UE que despreza a democracia dentro do espaço europeu como foi o caso dos referendos em França, Holanda ou Irlanda, ou ainda mais recentemente na Grécia, autoproclama-se como guardiã dos direitos humanos e dos valores democráticos. É lamentável.
Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Die Lage in der Republik Belarus ist aus demokratischer Sicht sicherlich nicht standardgemäß und aus europäischer Sicht nicht befriedigend. Dennoch empfinde ich den Entschließungsantrag in einigen Bereichen zu unsachlich. Daher habe ich mich meiner Stimme enthalten.
Marco Zanni (EFDD), per iscritto. ‒ La Repubblica Bielorussia rimane sotto ogni aspetto un regime autoritario, con tutto ciò che questo comporta. Il paese è governato a colpi di decreti presidenziali e quello di Minsk è l'unico parlamento in Europa che per vent'anni non ha avuto opposizione e ogni volta che il presidente viene eletto ci sono repressioni violente per le strade. Le prossime presidenziali saranno a novembre di quest'anno ed è difficile immaginare uno scenario diverso. Quello dei prigionieri politici rimane uno dei motivi delle più dure critiche internazionali nonostante alcune recenti aperture, come un'amnistia concessa nel luglio 2014. Anche nel settore dei media la situazione è notevolmente peggiorata, con la creazione di continui ostacoli burocratici da parte del sistema per esercitare controllo. Non esiste, in Bielorussia, nemmeno libertà di associazione, il paese rimane inoltre l'unico Stato europeo in cui è in vigore la pena di morte: da due a nove persone condannate all'anno. Il governo bielorusso adotti misure concrete per migliorare i diritti umanitari e ponga fine alla repressione nei confronti dei dissidenti pacifici; auspicabile una riforma del sistema giudiziario nonché la garanzia del diritto illimitato alla libertà di parola e di riunione per costituire misure necessarie verso la realizzazione di una democrazia credibile.