6.10. Schimbul automat obligatoriu de informații în domeniul fiscal (A8-0306/2015 - Markus Ferber)
A szavazáshoz fűzött írásbeli indokolások
William (The Earl of) Dartmouth (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Clara Eugenia Aguilera García (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe debido a que supone una mejora objetiva de las obligaciones de intercambio de información en el campo impositivo. Pese a que este informe continúa permitiendo el recurso a los paraísos fiscales por parte de los evasores europeos, supone una innegable mejora. El informe reconoce el perjuicio generado a las pymes por parte de las grandes empresas que localizan sus beneficios en este tipo de paraísos. Desde nuestro punto de vista el intercambio de información es una condición necesaria pero no suficiente en la corrección de los abusos fiscales que se producen en Europa. Sin embargo, reconocemos el valor de este pequeño paso adelante y es por esto por lo que he decidido votar a favor del presente informe.
Martina Anderson (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this report, which contained a number of important, progressive provisions. This report emerged from the Luxleaks scandal. The aim is to ensure the mandatory automatic exchange of information between tax administrations regarding advance cross-border rulings and advance pricing arrangements and to strengthen existing EU legislation. Furthermore, the GUE/NGL rapporteur managed to further strengthen the Commission proposal in a number of key areas including strengthening reporting requirements – i.e. immediate exchange of information.
My Group tabled an alternative compromise stating that all rulings should be publicly available and not only stored somewhere in a central Commission database in an aggregated form. The Greens and EFDD supported GUE/NGL on this issue, but unfortunately it was rejected in committee.
Nevertheless, given that the report was still an improvement compared to the Commission proposal and especially compared to the Council position which was adopted even before the ECON vote took place, I voted in favour of this report.
Νίκος Ανδρουλάκης (S&D), γραπτώς. ‒ Ψήφισα υπέρ της συγκεκριμένης έκθεσης καθώς θεωρώ πως η υποχρεωτική αυτόματη ανταλλαγή πληροφοριών στον τομέα της φορολογίας θα βοηθήσει σημαντικά στην ενίσχυση της διαφάνειας των χρηματοοικοονομικών συναλλαγών και θα εμποδίσει την ύπαρξη φορολογικών παραδείσων που δημιουργούνται από εταιρείες ελείψει διαφάνειας και γνώσης φορολογικων κανονισμών που ισχύουν στο κάθε κράτος μέλος.
Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ L'idée de ce rapport est d'obtenir une transparence sur des pratiques qui ont abouti à des scandales tels que les Luxleaks. Cela passe par l'instauration d'un échange automatique entre les administrations des États membres, afin que les grandes entreprises soient découragées d'avoir recours à des pratiques souvent légales mais peu éthiques ("dumping fiscal").
Le rapport Ferber renforce certains éléments du texte de la Commission.
J'ai donc voté en faveur de ce texte.
Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport visant à lutter contre la fraude fiscale.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šį pasiūlymą, kurio tikslas˗ automatinis apsikeitimas informacija apie mokestinius sprendimus ES valstybėse. Pagal naujas taisykles ES valstybės privalės keistis informacija dėl mokestinių sprendimų ir lengvatų, suteikiamų tarptautinėms bendrovėms. Šis pasiūlymas pateiktas reaguojant į 2014 m. "Luxleaks" skandalą, kuomet tiriamosios žurnalistikos pagalba buvo atskleista Liuksemburgo mokestinių lengvatų suteikimo tarptautinėms korporacijoms praktika. Manau, kad naująsias taisykles reikėtų taikyti ne tik tarpvalstybiniams sprendimams, nes ir nacionaliniai mokestiniai sprendimai gali turėti įtakos kitoms ES valstybėms.
Gerard Batten (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui, pour l'essentiel, demande aux États membres de communiquer à leurs partenaires européens les changements dans leurs réglementations fiscales. Cet échange d'informations participe de la logique collaboration entre pays voisins et alliés.
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ J’étais, pour le groupe socialiste, responsable de ce dossier qui va organiser l’échange automatique d’informations en matière de fiscalité. L'objectif est de garantir un échange automatique d’informations sur les décisions fiscales anticipées prises à l'égard de montages fiscaux, les "tax rulings".
Ce rapport appelle à élargir le champ d'application et les conditions de l'échange automatique et obligatoire d'informations, mais il stipule également que toutes les décisions fiscales anticipées, même avant l'entrée en vigueur de cette directive, doivent être dévoilées, et aussi qu'en cas d'omission et de refus d'échange d'informations, des sanctions sont mises en place.
J’ai également appelé à la mise en place d'une identification fiscale harmonisée au niveau européen, c'est-à-dire faire en sorte que chaque entreprise ait un numéro fiscal européen afin que l'on puisse la retrouver plus facilement.
J’espère que nous parviendrons à convaincre les États de l’importance de s’attaquer à l’évasion fiscale des multinationales. En effet, dans ce système, hormis quelques pays et les multinationales elles-mêmes, personne n’est gagnant et les États membres perdent des moyens publics considérables, et la redistribution des richesses ne peut donc avoir lieu.
Je souhaite ardemment que la Commission, qui enquête sur les multinationales, puisse continuer à mener ses enquêtes sur des pratiques qui ne doivent plus exister.
Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ Je me suis positionnée en faveur de ce texte qui vise à renforcer la proposition de directive sur l'échange automatique entre administrations des rescrits fiscaux ou mesures assimilées des États membres.
Après le scandale des LuxLeaks, en effet, la commission ECON du Parlement européen souhaitait aller plus loin dans la transparence pour lutter contre le dumping fiscal. Le rapport Ferber propose notamment que l'échange se fasse de manière rétroactive, jusqu'à dix ans en arrière pour les rescrits.
Malheureusement, l'avis du Parlement n'a ici que peu de poids face au Conseil Ecofin qui, réuni le 6 octobre dernier, a pris une orientation beaucoup plus légère en termes de contraintes sur ce sujet. Les ministres de l'économie et des finances des États membres ont ainsi enterré ce principe de rétroactivité, laissant la possibilité aux États ayant les pratiques les plus opaques dans ce domaine, comme le Luxembourg, de faire le ménage.
Quoi qu'il en soit, ce rapport a le mérite de chercher à assainir la compétition fiscale au sein de l'Union et c'est pourquoi j'ai voté pour.
Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ Nonostante questa direttiva non ponga fine al problema dell'evasione fiscale all'interno dell'Unione europea, la considero un contributo positivo nella direzione di un più proficuo scambio di informazioni tra i paesi membri. Per questo ho votato a favore.
Malin Björk (GUE/NGL), skriftlig. ‒ Jag har röstat ja till betänkandet.
I en tidigare uträkning som kommissionen låtit göra bedömdes de årliga förlusterna i skatteflykt i EU:s medlemsländer att uppgå till 9 000 miljarder kronor. Det är i synnerhet storföretag som står för merparten av skatteflykten. 9 000 miljarder är att jämföra med EU-ländernas samlade budgetunderskott år 2012 på cirka 4 600 miljarder kronor, alltså bara hälften av vad skattesvinnet kostar.
Det är därför bra att kommissionen avser att skärpa lagstiftningen och det obligatoriska automatiska utbytet av upplysningar i frågor om beskattning. EU-landet Luxemburg har under flera år utmärkt sig särskilt med att ha organiserat sin skattelagstiftning så att den ska hjälpa storföretagen att smita undan skatt i andra EU-länder.
Jag noterar att Luxemburgs premiärminister, under den tid landet skräddarsydde skatteflyktslagar åt storföretagen, hette Jean-Claude Juncker. I dag är han EU-kommissionens ordförande och ska således agera mot just sådant agerande som han själv sysslade med för några år sedan. Det blir därför viktigt att hålla ett vakande öga på kommissionen.
Jag har i omröstningen om betänkandet röstat för förslag som innebär att medlemsstaterna ska sända information till kommissionen och andra medlemsländer om nya egna lagförslag gällande beskattning. Syftet med detta informationsutbyte ska vara ett enda; att försvåra, och helst omöjliggöra, storföretagens skatteflykt.
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pranešimo, nes juo Parlamentas pateikė savo poziciją, kuria iš dalies keičia Tarybos direktyvą dėl privalomų automatinių apmokestinimo srities informacijos mainų. Tarpvalstybinio masto mokesčių vengimo, agresyvaus mokesčių planavimo ir žalingos mokesčių konkurencijos keliama problema labai išaugo ir kelia didelį susirūpinimą Sąjungoje ir pasauliniu lygmeniu. Taikant šiuo metu galiojančias teisės normas − Direktyvą 2011/16/ES dėl administracinio bendradarbiavimo − valstybės narės labai menkai tarpusavyje dalijasi informacija apie savo sprendimus dėl mokesčių. Tuo, kad trūksta skaidrumo sprendimų dėl mokesčių srityje, tam tikros bendrovės naudojasi, kad dirbtinai sumažintų savo mokestines įmokas.
Franc Bogovič (PPE), pisno. ‒ Predlagano poročilo o obvezni izmenjavi podatkov na področju obdavčenja sem podprl, saj ocenjujem, da so ukrepi na tem področju dobrodošli in potrebni.
Avtomatična izmenjava podatkov med državami članicami mora postati obvezna, saj je agresivne davčne optimizacije, katere se poslužujejo predvsem največje multinacionalke, čedalje več.
Afera Lux-leaks je razgalila številne anomalije v nadzornih mehanizmih držav članic na področju obdavčenja in brutalne prakse, ki se jih pri izogibanju plačila davkov poslužujejo multinacinalke. Zato so potrebni ukrepi za izboljšanje medsebojne izmenjave podatkov, ki bodo pripomogli k zmanjšanju davčnih utaj ter večji preglednosti transakcij, ki nastajajo pri poslovanju podjetij.
Izogibanje plačilom davkov namreč povzroča širšo družbeno škodo in negativno vpliva na blaginjo ljudi, saj številne države zaradi izpada prihodkov iz naslova davčnih utaj ne morejo zagotavljati javnih storitev v takšni meri, kot bi jih lahko. Pri čemer si na drugi strani velika podjetja tudi na račun tovrstnih nečednih ravnanj povečujejo dobičke in nagrajujejo lastnike. S tem seveda ni nič narobe, v kolikor je to doseženo na pošten in pravičen način.
Seveda s sprejetjem tega poročila ne bomo čudežno rešili vseh težav na področju izogibanja davkov. Je pa to poročilo dobra popotnica za nadaljnje delo, cilj katerega mora biti popolna odprava davčnih utaj.
Simona Bonafè (S&D), per iscritto. ‒ Chiarezza e trasparenza sono due importanti principi che devono guidare la disciplina fiscale a livello europeo. A distanza di un anno dallo scandalo Luxleaks è un segnale positivo che si voti un atto legislativo concreto che affronti questo tema. La relazione, che sostengo, prevede l'estensione di questi principi attraverso un allargamento dello scambio d'informazioni. Vengono tenuti in considerazione tutti i ruling fiscali validi, si richiede che lo scambio di informazioni avvenga immediatamente e non con cadenza trimestrale e, in ultimo, che possano essere richieste informazioni supplementari da parte degli Stati. Queste disposizioni sono indice di un impegno reale e nella giusta direzione per assicurare una maggiore limpidità, che va a beneficio degli Stati membri come dei cittadini europei.
Lynn Boylan (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this report, which contained a number of important, progressive provisions. This report emerged from the Luxleaks scandal. The aim is to ensure the mandatory automatic exchange of information between tax administrations regarding advance cross-border rulings and advance pricing arrangements and to strengthen existing EU legislation. Furthermore, the GUE/NGL rapporteur managed to further strengthen the Commission proposal in a number of key areas including strengthening reporting requirements – i.e. immediate exchange of information.
My Group tabled an alternative compromise stating that all rulings should be publicly available and not only stored somewhere in a central Commission database in an aggregated form. The Greens and EFDD supported GUE/NGL on this issue, but unfortunately it was rejected in committee.
Nevertheless, given that the report was still an improvement compared to the Commission proposal and especially compared to the Council position which was adopted even before the ECON vote took place, I voted in favour of this report.
Mercedes Bresso (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore di questo documento perché sono fermamente convinta che l'introduzione dell'obbligo di scambio automatico di informazioni nel settore fiscale rappresenti un passo importante nella lotta all'evasione ed all'elusione fiscali aumentando il coordinamento tra le amministrazioni dei vari Stati membri.
Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Le scandale du LuxLeaks a révélé que de nombreuses multinationales ont bénéficié d'accords fiscaux ultra-avantageux au Luxembourg par l'intermédiaire de cabinets d'audit, grassement rémunérés. Le dumping fiscal auquel ont recours notamment le Luxembourg, la Suisse ou encore l'Irlande a privé de nombreux États membres de recettes fiscales non négligeables. C'est pourquoi la Commission a introduit une proposition de directive qui vise à instaurer l'échange automatique d'informations entre les administrations fiscales nationales. Cette proposition a pour but de décourager les grands groupes d'avoir recours à ces procédés.
Ce texte va une nouvelle fois dans le bon sens. Néanmoins, nous regrettons que le Conseil Ecofin ait abandonné l'idée de la rétroactivité dans les échanges de données. Par ailleurs l'entrée en vigueur de ce texte a été repoussée, donnant ainsi la possibilité aux services juridiques des firmes multinationales d'adapter leurs méthodes d'optimisation fiscale à la nouvelle législation européenne. Pour finir, bien qu'elle contribue à intensifier les échanges d'informations entre les États membres, cette directive n'encadre pas mieux les pratiques fiscales de ces entreprises sans scrupules.
J'ai voté en faveur de ce texte.
Daniel Buda (PPE), în scris. ‒ Proiectul de rezoluție legislativă a Parlamentului European referitor la schimbul automat obligatoriu de informații în domeniul fiscal are în vedere stabilirea domeniului de aplicare și a condițiilor pentru schimbul automat obligatoriu de informații cu privire la deciziile fiscale transfrontaliere.
Problema fraudei și a evaziunii fiscale a reprezentat întotdeauna o provocare pentru Uniunea Europeană, fiind necesare acțiuni conjugate orientate spre comunicarea eficientă a statelor membre în legătură cu deciziile lor fiscale. În momentul actual, cooperarea administrativă în domeniul fiscal este una deficitară, statele membre neglijând responsabilitatea transmiterii deciziilor fiscale, acest lucru având un impact negativ asupra luptei Uniunii împotriva fraudei fiscale.
Consider că transparența la nivelul deciziilor fiscale asumate de statele membre ar trebui să ghideze lupta împotriva evaziunii fiscale, fiind necesar un schimb permanent, prompt și transparent de informații între statele membre, motiv pentru care m-am exprimat în favoarea proiectului de rezoluție legislativă referitor la schimbul automat obligatoriu de informații în domeniul fiscal, considerându-l unul oportun având în vedere provocările actuale.
Gianluca Buonanno (ENF), per iscritto. ‒ Voto positivo. Il provvedimento nasce dal cosiddetto scandalo Luxleaks e tra i suoi scopi vi è quello di combattere gli effetti della frode e dell'evasione, nonché il proliferare di paradisi fiscali anche all'interno della UE. Ho scelto di promuovere lo scambio di informazioni tra gli Stati membri.
Soledad Cabezón Ruiz (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ Les récents scandales fiscaux en Europe ont révélé de nombreuses failles dans la fiscalité européenne. Le manque de transparence dans le domaine a conduit à de la concurrence déloyale et constitue un frein à l'achèvement d'un marché unique efficace. Les premières victimes sont les citoyens européens et les PME.
Il était temps d'œuvrer vers davantage de coopération et de transparence en matière fiscale. L'échange obligatoire et automatique d'informations sur les rescrits fiscaux transfrontaliers constitue en ce sens une première étape. Grâce à cet accord, les États membres seront moins enclins à pratiquer de la concurrence déloyale dans le domaine fiscal.
Il faudra bien entendu être particulièrement vigilant quant au respect de cette législation par les États membres. J'ai voté en faveur de ce texte.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione sulla proposta di direttiva del Consiglio recante modifica della direttiva 2011/16/UE per quanto riguarda lo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale.
La globalizzazione e la crescente mobilità dei contribuenti possono rendere difficile il corretto accertamento della base imponibile di privati e imprese da parte degli Stati membri, favorendo pratiche di elusione ed evasione fiscali e compromettendo così il funzionamento del mercato interno.
Questo problema potrà essere affrontato efficacemente soltanto se gli Stati membri decideranno di agire di concerto, prevedendo un efficace sistema di cooperazione tra le amministrazioni fiscali nazionali. La direttiva 2011/16/UE del Consiglio è stata adottata per rispondere alla necessità degli Stati membri di potenziare la cooperazione amministrativa nel settore della fiscalità. La proposta di modifica vuole rendere questo dialogo tra agenzie fiscali ancora più efficace ed esaustivo, mediante l'istituzione di uno scambio automatico obbligatorio di informazioni sui ruling preventivi transfrontalieri e sugli accordi preventivi sui prezzi di trasferimento.
Ad oggi, questo scambio di informazioni rimane ancora molto limitato e pertanto, anche al fine di potenziarlo, ho deciso di votare a favore del testo.
Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this report, which contained a number of important, progressive provisions. This report emerged from the Luxleaks scandal. The aim is to ensure the mandatory automatic exchange of information between tax administrations regarding advance cross-border rulings and advance pricing arrangements and to strengthen existing EU legislation. Furthermore, the GUE/NGL rapporteur managed to further strengthen the Commission proposal in a number of key areas including strengthening reporting requirements – i.e. immediate exchange of information.
My Group tabled an alternative compromise stating that all rulings should be publicly available and not only stored somewhere in a central Commission database in an aggregated form. The Greens and EFDD supported GUE/NGL on this issue, but unfortunately it was rejected in committee.
Nevertheless, given that the report was still an improvement compared to the Commission proposal and especially compared to the Council position which was adopted even before the ECON vote took place, I voted in favour of this report.
James Carver (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
David Casa (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of the resolution because I support the exchange of information between different tax administrations in order to ensure transparency and eliminate tax avoidance. Greater cross-border cooperation will help us tackle such problems more efficiently and with better results.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ In commissione ECON abbiamo sostenuto diversi compromessi che andavano nella direzione di migliorare uno scambio automatico, rapido ed efficace di informazioni in questo ambito. Purtroppo avremmo gradito una maggiore trasparenza, garantita dal fatto di avere un registro pubblico accessibile a tutti, nel quale fossero obbligatoriamente inseriti i dati relativi agli accordi fiscali sottoscritti. Avevamo proposto quindi un compromesso alternativo ma è stato bocciato. Il voto della delegazione M5S oggi è quindi negativo, pur ammettendo alcuni miglioramenti apportati rispetto alla situazione attuale.
Λευτέρης Χριστοφόρου (PPE), γραπτώς. ‒ Σχετικά με την πρόταση οδηγίας του Συμβουλίου που αφορά την τροποποίηση της οδηγίας 2011/16/ΕΕ όσον αφορά την υποχρεωτική αυτόματη ανταλλαγή πληροφοριών στον τομέα της φορολογίας, το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο έχοντας υπόψη την Έκθεση της Επιτροπής Οικονομικής και Νομισματικής Πολιτικής και τη Γνωμοδότηση της Επιτροπής Νομικών Θεμάτων εγκρίνει την πρόταση της Επιτροπής όπως τροποποιήθηκε.
Salvatore Cicu (PPE), per iscritto. ‒ Ho ritenuto di votare a favore della modifica alla direttiva 2011/16/UE, attuata dalla direttiva 2014/107/UE. La precedente disciplina, che definiva il quadro giuridico relativo alla cooperazione amministrativa in merito allo scambio di informazioni, imponeva lo scambio di una quantità estremamente ridotta di informazioni sui ruling fiscali.
La direttiva 2014/107/UE si ispira ai principi della risoluzione del 21 maggio 2013, con cui il Parlamento ha sottolineato il ruolo guida che l'UE dovrebbe assumere nella lotta contro le pratiche fiscali scorrette. Introduce un nuovo articolo, definendo il campo di applicazione e le condizioni per lo scambio automatico obbligatorio di informazioni sui tipi di ruling fiscali transfrontalieri e di accordi sui prezzi di trasferimento. Tale obbligo è esteso ai ruling emanati nei dieci anni precedenti la data in cui prende effetto la direttiva proposta e che sono ancora validi alla data dell'entrata in vigore della direttiva. La direttiva proposta prevede anche la possibilità da parte della Commissione di istituire un repertorio centrale sicuro in cui è possibile registrare le informazioni comunicate nel quadro della direttiva.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ In paesi come l'Italia, la pressione fiscale ha raggiunto livelli insopportabili. Non è tanto questione di quanto si paghi in rapporto al reddito, ma di ciò che si riceve in cambio: servizi spesso di scarsa qualità, un'amministrazione pubblica generalmente inefficiente, una zavorra per le imprese invece che un sostegno. Tuttavia, l'evasione e l'elusione non sono una soluzione: per far funzionare meglio ciò che c'è bisogna fare degli investimenti, e per questo servono risorse. Ho votato a favore di questa direttiva perché ritengo che tutti debbano partecipare, entro limiti ragionevoli, a risanare le finanze del proprio paese e che i tentativi per arginare la cosiddetta "ottimizzazione fiscale" siano legittimi.
David Coburn (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Jane Collins and Mike Hookem (EFDD),in writing. – UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Lara Comi (PPE), per iscritto. ‒ I fenomeni di elusione fiscale transfrontaliera, di pianificazione fiscale aggressiva e concorrenza fiscale dannosa rappresentano una grave problematica europea e globale. La relazione propone una modifica della direttiva 2011/16/UE sullo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale allo scopo di promuovere la condivisione di dati rilevanti attraverso la cooperazione amministrativa tra gli Stati membri.
Ho votato a favore della relazione perché credo sia necessario rafforzare gli strumenti e i meccanismi stabiliti dalla direttiva, definendo le condizioni e il campo di applicazione per lo scambio automatico obbligatorio di informazioni riguardo ad alcuni tipi di ruling fiscali transfrontalieri e agli accordi sui prezzi di trasferimento.
L'obiettivo della modifica della direttiva è quello di garantire una maggior trasparenza in materia fiscale e conferire più chiarezza ed efficacia alle procedure dei trasferimenti fiscali.
Ignazio Corrao (EFDD), per iscritto. ‒ La direttiva 2011/16/UE del Consiglio, adottata in sostituzione di una direttiva precedente (77/779/CEE), aveva l'obiettivo di rispondere alla necessità degli Stati membri di potenziare la cooperazione amministrativa nel settore della fiscalità attraverso uno scambio automatico obbligatorio di informazioni sui ruling preventivi (transfrontalieri) e sugli accordi preventivi sui prezzi di riferimento.
L'obiettivo del Parlamento europeo era di eliminare qualsiasi riferimento contenuto nella direttiva riguardo alla dimensione transfrontaliera dei ruling per ridurre i tempi di comunicazione. Nella direttiva non è stata inclusa l'adozione di un registro pubblico accessibile a tutti nel quale fossero inseriti tutti i dati relativi agli accordi sottoscritti, che avrebbe garantito una maggiore trasparenza.
Per tali ragioni, voto negativamente riguardo alla linea prevalsa finora e ritengo che se venissero adottate misure trasparenti e venissero applicate in maniera corretta si potrebbe effettivamente risolvere il problema dell'elusione e dell'evasione fiscale.
Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe debido a que supone una mejora objetiva de las obligaciones de intercambio de información en el campo impositivo. Pese a que este informe continúa permitiendo el recurso a los paraísos fiscales por parte de los evasores europeos, supone una innegable mejora. El informe reconoce el perjuicio generado a las pymes por parte de las grandes empresas que localizan sus beneficios en este tipo de paraísos. Desde nuestro punto de vista el intercambio de información es una condición necesaria pero no suficiente en la corrección de los abusos fiscales que se producen en Europa. Sin embargo, reconocemos el valor de este pequeño paso adelante y es por esto por lo que he decidido votar a favor del presente informe.
Andrea Cozzolino (S&D), per iscritto. ‒ Lo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale tra autorità fiscali nazionali migliora la trasparenza amministrativa, riduce le pratiche dannose per la concorrenza e trasmette una certezza giuridica sia ai contribuenti che agli attori economici. Ho votato in favore della risoluzione del Parlamento che accoglie positivamente la proposta della Commissione e ne aumenta l'ambizione estendendo il campo di applicazione anche alle decisioni fiscali nazionali.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of the Commission proposal and the legislative resolution to have automatic exchange of information. Transparency on taxation matters is important. I voted against two amendments which call for public disclosure of advance rulings and advance pricing arrangements in an online public central directory.
Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Susțin propunerea raportorului privind un schimb eficient de informații și prelucrarea eficientă a informațiilor fiscale între statele membre, dar există încă o serie de dificultăți practice importante, cum ar fi marja de apreciere de care dispune statul membru emitent pentru a decide care alte state membre ar trebui informate.
În plus, sistemul de monitorizare nu este suficient de eficient, motiv pentru care se îngreunează sarcina Comisiei de a identifica orice încălcare a cerinței privind schimbul de informații privind deciziile transfrontaliere în avans și acordurile de preț în avans.
Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport propose l'avis défavorable du Parlement européen à la décision du Conseil des ministres de maintenir un faible niveau de transparence en matière fiscal. Cette décision s'applique notamment au rescrit fiscal, qui est une procédure permettant aux citoyens et aux entreprises d'obtenir de l'administration leur situation au regard du droit fiscal.
Le Conseil des ministres restreint le champ d'application du texte aux rescrits transfrontaliers et limite le pouvoir de contrôle de la Commission européenne. Le Parlement souhaite au contraire rendre automatique et obligatoire l'échange d'informations sur les "rescrits fiscaux transfrontaliers" qu'ils délivrent aux entreprises multinationales.
Considérant que cette décision est une occasion manquée de renforcer la lutte contre l'évasion fiscale entre le États membres, j'ai soutenu ce rapport.
Rachida Dati (PPE),par écrit. – J'ai voté en faveur de ce texte qui vise à garantir un échange automatique d'informations sur les décisions fiscales anticipées prises à l'égard de montages fiscaux. Il est important que l'Union européenne prenne des mesures fortes pour renforcer sa lutte contre la fraude et l'évasion fiscale. Je suis notamment favorable à ce que la Commission européenne puisse mettre en place des sanctions en cas de non-respect de cette législation.
Philippe De Backer (ALDE),in writing. – I voted in favour of this report as part of the response to the Luxleaks schandal and my determination not to tolerate tax fraud and illegal tax avoidance. I am an advocate for a fair distribution of the tax burden between citizens and companies. I am happy to see a swift implementation of the information exchange. Another important point is that the Commission will develop a secure central directory so that sensitive data can be protected. The Commission should publish to the public a summary of the main tax rulings agreed in the previous year, based on information contained in the secure central directory but in compliance with the confidentiality provisions.
Mireille D'Ornano (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport cherchait à permettre l'instauration d'un échange automatique de données fiscales entre administrations des États membres. En incitant, par cette transparence, les États à ne pas utiliser abusivement des procédures créant un écart de compétitivité fiscale, ce rapport va dans le bon sens.
Bien qu'une version plus édulcorée primera sûrement (ce rapport du Parlement ne valant que pour avis), il est important de lutter contre toutes les formes de fraude fiscale ou para-légale, et ce rapport en est un bon exemple.
Attachée à une plus grande honnêteté des contribuables et des entreprises, j'ai voté en faveur de ce rapport.
Ian Duncan (ECR), in writing. ‒ I voted against this report as although I am in favour of aiding tax authorities in quickly identifying tax illegalities, I cannot support the extension of the scope of the EP to all rulings that does not take into account the rules governing data protection and commercially—sensitive information.
Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ В качеството си на докладчик по становището на комисията по правни въпроси по това досие, с колегите положихме усилия да ограничим обхвата на директивата, за да не създадем една система за обмен на информация, която вместо да улесни държавните администрации, да ги затрупа с документация за обработване.
За съжаление, приетите от нас изменения не намериха своето отражение в приетия доклад на колегите от комисията по икономически и парични въпроси. Поради тази причина и поради факта, че не смятам, че финалният компромисен вариант ще постигне заложените цели, гласувах против доклада.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Το συγκεκριμένο σχέδιο μέσα σε τέσσερα χρόνια θα κοστίσει στους ευρωπαίους φορολογούμενους 2,1 δισεκατομμύρια ευρώ. Τα αποτελέσματα όμως δεν είναι εγγυημένα.
Bill Etheridge (EFDD),in writing. – UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ A proposta, que obriga os Estados-Membros à troca automática de informações sobre decisões fiscais antecipadas transfronteiras, faz parte de uma série de iniciativas destinadas a prevenir a elisão fiscal por parte das empresas.
As novas regras deverão ser aplicadas a partir de 1 de janeiro de 2017. A verdade é que os Estados-Membros partilham muito pouca informação entre si sobre os seus acordos fiscais, ficando ao seu critério decidir se um acordo fiscal pode ser relevante para outro país da UE. A falta de transparência sobre os acordos fiscais é explorada por certas empresas para reduzirem artificialmente a sua contribuição fiscal.
No entanto, poderia ter ido mais longe, nomeadamente no aumento da transparência. A diretiva exige que os Estados-Membros procedam à troca automática de informações sobre as decisões fiscais antecipadas "transfronteiras", deixando de fora as puramente nacionais.
Jonás Fernández (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva de 2011 sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad para con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuando se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados tax rulings que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.).
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ O objetivo da alteração da diretiva 2011/16/UE é que a mesma contemple a troca automática de informações no campo da fiscalidade. Neste sentido, pretende-se que fique estabelecida uma cooperação administrativa entre as autoridades tributárias (AT) dos Estados—Membros, no que à obrigatoriedade da troca automática de informações em matéria de acordos fiscais prévios transfronteiras e de acordos prévios de preços de transferência diz respeito.
A proposta prevê ainda que os Estados-Membros que recebem informações possam requerer informações suplementares mais pormenorizadas.
Importa referir que os acordos prévios entre as AT e as empresas – como os que estão na base do escândalo conhecido no Luxemburgo (“Luxleaks”), no qual o atual presidente da Comissão Europeia esteve diretamente implicado – são uma prática generalizada, a par de fenómenos de erosão da base tributável e da transferência de lucros.
Esta proposta pode colocar alguns grãos numa engrenagem que priva Estados soberanos e os seus povos de largos milhões de euros de recursos que lhes eram devidos pelas multinacionais, na hora do pagamento de impostos sobre lucros. Recursos que são esbulhados aos trabalhadores e suas famílias através de uma insuportável carga fiscal.
Ficam por abordar questões candentes, como a dos paraísos fiscais, esses autênticos sumidoiros de recursos públicos, autênticos paraísos do crime e do branqueamento de capitais.
Luke Ming Flanagan (GUE/NGL), in writing. ‒ As usual when it comes to anything to do with finance, this doesn’t go as far as I’d like to see it go. I would have preferred more transparency, that all rulings should be available to the public, not buried somewhere in a central Commission database in an aggregated form. Nevertheless, it is a major improvement on the existing situation, making mandatory and automatic what had been optional, the exchange of information on tax matters, notably with regard to advance tax rulings for companies.
Doors that previously had been wide open aren’t being slammed shut, as they should be, but at least they are gradually being closed. I voted in favour for what is now a much improved situation.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne ‒ Európska únia by mala mať vedúcu úlohu v globálnych rokovaniach o boji proti daňovým podvodom, vyhýbaniu sa daňovým povinnostiam a daňovým rajom, a to najmä v súvislosti s podporou výmeny informácií. Členské štáty si svoje daňové stanoviská nevymieňajú dostatočne a často nevedia o cezhraničných daňových stanoviskách vydaných v inom štáte Európskej únie, ktoré by mohli mať vplyv na ich vlastné daňové základy. Nedostatok transparentnosti v daňových otázkach je následne využívaný niektorými spoločnosťami s cieľom umelo znížiť svoje daňové príspevky. Európska komisia chce preto zaviesť nový článok do existujúcej smernice vymedzujúci rozsah a podmienky povinnej automatickej výmeny informácií o cezhraničných daňových stanoviskách a dohodách o transferovom oceňovaní. Táto povinnosť sa rozširuje na stanoviská vydané počas desiatich rokov pred dátumom nadobudnutia účinnosti navrhovanej smernice, ktoré sú v deň nadobudnutia účinnosti smernice ešte stále platné.
Lorenzo Fontana (ENF), per iscritto. ‒ Voto a favore di questa relazione. Il testo dell'Ecofin è una discreta base di partenza, sebbene come nota critica devo sottolineare il ritardo mastodontico.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω το συγκεκριμένο σχέδιο, διότι μέσα σε τέσσερα χρόνια θα κοστίσει στους ευρωπαίους φορολογούμενους 2,1 δισεκατομμύρια ευρώ και τα αποτελέσματα δεν είναι εγγυημένα.
Ashley Fox (ECR), in writing. ‒ I voted against the Mandatory automatic exchange of information on cross-border tax rulings as this strays too far into Member States’ competency in tax matters. Whilst it is right to take action against tax avoidance and aggressive tax planning it is the remit of the Member States to legislate. Once more, the Commission and Parliament call for more Europe when it is not necessary.
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ I would like to congratulate the rapporteur on the proposal for a Council directive amending Directive 2011/16/EU as regards mandatory automatic exchange of information in the field of taxation. The challenges posed by cross-border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition should be indeed one of the EUs concerns.
Therefore, I strongly support the call to increase transparency and to fight against all the earlier mentioned challenges by extending the scope of the Directive to all tax rulings and not just to the cross border ones. In order to increase effectiveness, the Commission shall develop a secure central directory where information to be communicated in the framework of this Directive must be recorded in order to satisfy the automatic and mandatory exchange of information. In case of Member States non-compliance, I welcome the proposal to introduce sanctions and establish penalties for refusal or omission of information exchange. Also, in order to increase the Directive’s efficiency, I believe that the publication of a summary containing the main tax rulings exchanged is necessary.
Iratxe García Pérez (S&D),por escrito. – He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Eider Gardiazabal Rubial (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Elena Gentile (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della risoluzione del PE concernente la proposta di direttiva del Consiglio che modifica l'attuale direttiva sullo scambio automatico obbligatorio d'informazioni nel settore fiscale, perché condivido pienamente il segnale di chiarezza e di trasparenza che il PE ha inviato al Consiglio nel campo della concorrenza fiscale.
Ritengo, inoltre, di rilevante importanza che questa risoluzione sia approvata in coincidenza di un altro importante segnale che giunge dalla Commissione parlamentare speciale TAXE sui regimi fiscali (tax ruling).
La revisione è importante, poiché, fra l'altro, impone agli Stati membri di collaborare, imponendo la comunicazione immediata di tutti gli accordi fiscali fra gli Stati membri e le multinazionali. Nondimeno, sarebbe stato opportuno attribuire alla CE la gestione di una piattaforma concepita per la raccolta centralizzata delle informazioni.
Auspico, inoltre, che si vada oltre i ruling transfrontalieri, che l'evasione e l'elusione fiscale diventino una lotta concreta all'interno degli Stati membri e che si metta fine alla concorrenza fiscale distorsiva fra Stati membri dell'UE.
In tempi in cui ai cittadini europei è stato chiesto di fare grandi sacrifici, è una questione di giustizia sociale che le multinazionali paghino le tasse laddove si producono i profitti e non nei paesi che praticano dumping fiscale.
Arne Gericke (ECR), schriftlich. ‒ Ich habe heute für den Bericht „Verpflichtung zum automatischen Austausch von Informationen im Bereich der Besteuerung“ gestimmt, da es im Sinne unserer Familien, Bürger, Steuerzahler und des Mittelstandes ist, wenn wir den milliardenschweren Steuertricks multinationaler Konzerne in Europa ein Ende bereiten. Das geht nur bei entsprechendem Austausch der Daten. Weiter so!
Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Jährlich geht der EU durch undurchsichtige Unternehmensstrukturen, die sich auf gleich mehrere Länder erstrecken, ein erheblicher Anteil an Steuern verloren. Deshalb ist es wichtig, die grenzübergreifende Zusammenarbeit zu intensivieren.
Nathan Gill (EFDD), in writing. ‒ Here we go again: more assaults on the Member States, and making us all act as a United States of Europe.
In this case, making Member States pass taxation code changes past the Commission in advance.
It is a strange sovereign nation that must ask permission first.
Neena Gill (S&D), in writing. ‒ President, I voted in favour of automatic exchange of information on tax rulings because transparency is key when it comes to cracking down on aggressive tax avoidance and tax evasion. For far too long, governments have been able to make secret agreements with companies about how much tax they’ll pay, with no scrutiny from other Member States or the public as a whole. That needs to change, and while the Commission’s proposals are welcome, we in the Parliament believe they can and should go further. Now the onus is on the Council – and the UK government – to show that they are serious when they say they want to stamp out these practices once and for all.
Juan Carlos Girauta Vidal (ALDE), por escrito. ‒ La lucha contra el fraude y la evasión fiscal es una de las prioridades de C's en Europa, ya que las rentas no declaradas y no gravadas comportan una reducción significativa de los ingresos fiscales nacionales y son una muestra de insolidaridad e irresponsabilidad. Por eso apoyo una Resolución que urge a una mayor transparencia y un mayor intercambio de información en el ámbito de la fiscalidad, de conformidad con las normas de la OCDE, y en la que el Parlamento Europeo expresa su firme determinación de no tolerar el fraude fiscal y la evasión fiscal y de abogar por una distribución equitativa de la carga contributiva entre los ciudadanos y las empresas.
Michela Giuffrida (S&D), per iscritto. ‒ Ho espresso voto favorevole alla relazione sulla proposta di scambio automatico obbligatorio d'informazioni nel settore fiscale. Il Parlamento europeo già da tempo ha assunto un ruolo guida nel dibattito sul contrasto alla frode e all'elusione fiscale. Stiamo richiedendo maggiore trasparenza in materia di ruling fiscali, ma attenzione all'ambito di applicazione. I ruling fiscali e gli accordi sulla definizione dei prezzi possono avere una dimensione transfrontaliera, anche se riguardano operazioni puramente nazionali.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe y de la Resolución legislativa en cuestión, que es uno de los resultados de los Luxleaks (filtraciones que dejaron al descubierto los acuerdos entre el Estado de Luxemburgo y multinacionales que facilitaban la elusión fiscal). Con él se establece la obligatoriedad para los Estados de transmitir los acuerdos que alcancen con multinacionales respecto a impuestos a la Comisión. Hubiéramos querido que los acuerdos fueran hechos públicos y no solo transmitidos a la Comisión, pero esto fue rechazado por los grupos mayoritarios.
Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ Along with other MEPs in the S&D group, I voted in favour of automatic exchange of information on tax rulings because transparency is absolutely vital when it comes to cracking down on tax avoidance and tax evasion. For far too long governments have been able to make secret agreements with companies about how much tax they will pay with no scrutiny from other Member States or the public as a whole. This needs to change. While the Commission's proposals are welcome, as Labour MEPs in the Parliament, we believe they can and should go further. It is over to David Cameron and the rest of the Council now to show that they are serious when they say they want to stamp out these practices once and for all.
Enrique Guerrero Salom (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Antanas Guoga (ALDE), in writing. ‒ I have voted for the report on mandatory automatic exchange of information in the field of taxation because that would help to fight the cross-border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition. Tax base erosion is considerably reducing national tax revenues, which hinders Member States in applying growth-friendly tax policies, causes distortions of competition to the detriment of undertakings – particularly SMEs – which pay the correct amounts of tax and shifts taxation towards less mobile factors such as labour and consumption.
Sergio Gutiérrez Prieto (S&D),por escrito. – He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Marian Harkin (ALDE), in writing. ‒ I support the thrust of this report and believe we need to ensure mandatory automatic exchange of information regarding cross border rulings and advance pricing arrangements, right now Member States can exchange information on tax rulings in a spontaneous way and therefore the majority of Member States do not exchange any information. This proposal will ensure quicker exchange of information and there will be a secure central directory containing this information – all steps in the right direction because citizens and SMEs need to see real action on behalf of the EU when it comes to multinationals paying their fair share of taxes.
Brian Hayes (PPE), in writing. ‒ I decided to support this report as it a positive step towards increased transparency within the EU. The report is a step in the right direction in order to tackle the challenge posed by cross—border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition.
Hans-Olaf Henkel (ECR), schriftlich. ‒ Im Bericht wird der Austausch von zwischenstaatlich relevanten Steuervorbescheiden zwischen den Verwaltungen der Mitgliedstaaten behandelt. Diese Informationen sollen in Zukunft automatisch, umfassender und schneller ausgetauscht werden.
ALFA ist für einen transparenten und damit ehrlichen Wettbewerb, sowohl zwischen Unternehmen als auch zwischen Staaten. Die im Bericht vorgeschlagenen Maßnahmen sind geeignet, die Transparenz im europäischen Steuerwettbewerb zu erhöhen und Verzerrungen in der Besteuerung unterschiedlicher Unternehmensgattungen abzubauen. Die Informationsweitergabe an die Kommission ist notwendig, damit sie ihrer Rolle als Hüterin des zwischenstaatlichen Wettbewerbs gerecht werden kann. Diese Anliegen unterstütze ich ausdrücklich und habe deshalb für den Bericht gestimmt.
Im Übrigen – und das ist mein ceterum censeo – bin ich der Meinung, dass der Einheitseuro abgeschafft werden muss. Er führt zu Zwist und Zwietracht in Europa.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasao sam za nacrt zakonodavne rezolucije Europskog parlamenta o prijedlogu direktive Vijeća o izmjeni Direktive 2011/16/EU u pogledu obvezne automatske razmjene informacija u području oporezivanja, jer smatram da je u navedenom području potrebna veća transparentnost, jasnoća i učinkovitost.
Stoga, nužna je prekogranična razmjena informacija o oporezivanju, odnosno administrativna suradnja među državama članicama kako bi se osigurao efikasan unutarnji porezni sustav, ali i onaj na razini Unije. Držim da Europska unija treba preuzeti vodeću ulogu na svjetskoj razini kada je riječ o borbi protiv utaje poreza, izbjegavanja plaćanja poreza i poreznih utočišta, te stoga podržavam ovo izvješće.
Diane James (EFDD),in writing. – I abstained on this as UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport dans un souci de transparence et d'efficacité. En effet, ce texte va permettre de mettre en place un échange automatique d'informations entre les États concernant les décisions fiscales anticipées envers des montages fiscaux qui permettent notamment d'être faiblement taxés.
Εύα Καϊλή (S&D), γραπτώς. ‒ Υπήρξε αίτημα των σοσιαλδημοκρατών για πολλά χρόνια να υπάρχει αυτόματη ανταλλαγή πληροφοριών κυρίως στον τομέα των θεμάτων που σχετίζονται με τα tax rulings και τη state aid. Υπάρχει μεγάλη απόσταση ακόμα μέχρι το Συμβούλιο να δείξει την ίδια ευαισθησία στο ζήτημα και να κινηθεί προς την κατεύθυνση που προτείνει το ΕΚ. Ωστόσο η απόφαση του ΕΚ είναι προς τη σωστή κατεύθυνση καθώς το ζήτημα της φορολογικής διαφάνειας είναι κρίσιμο μέρος σε οποιαδήποτε προσπάθεια δημοσιονομικής ενοποίησης και εξομάλυνσης των δυσαρμονιών εσωτερικού ανταγωνισμού.
Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Eine Einigung zum automatischen Informationsaustausch von Steuervorbescheiden bedeutet einen großen Schritt vorwärts zur Vermeidung aggressiver Steuerplanung und unfairen Steuerwettbewerbs. Dies führt zu mehr Transparenz, mit dem Ergebnis, dass Gewinne letztlich dort besteuert werden, wo sie erwirtschaftet werden. Dieser Ansatz geht in die richtige Richtung und daher stimme ich ihm zu.
Krišjānis Kariņš (PPE), rakstiski. ‒ Nodokļu joma Eiropas Savienībā ir bijusi ļoti aktuāls jautājums pēdējos gados un būs arī turpmāk. Tieši nodokļu sfēras sarežģītība, nozīme un 28 dalībvalstu nacionālās nodokļu politikas atšķirības ir iemesls, kādēļ šis jautājums ir kļuvis par vienu no lielākajiem ES izaicinājumiem. Es atbalstu lielāku ES dalībvalstu koordināciju nodokļu nolēmumu jautājumā, tāpēc es balsoju par šo konsultatīvā rakstura ziņojumu priekšlikumam par obligāto automātisko informācijas apmaiņu nodokļu jomā.
Tomēr uzskatu, ka ļoti svarīgi ir saglabāt dalībvalstu nodokļu likumdošanu kā ekskluzīvu nacionālo kompetenci. Tāpēc ES ir nepieciešama lielāka pārredzamība un sadarbība starp dalībvalstīm attiecībā uz nodokļu nolēmumiem ES. Nodokļu sarežģītība un dažādie nacionālie likumi rada iespēju gan starptautiskajām koorporācijām, gan mazākiem uzņēmumiem veiksmīgi izstrādāt shēmas kā maksimāli apiet nodokļu nomaksu pilnā apmērā, līdz ar to kropļojot konkurenci un veicinot nevienlīdzīgus spēles noteikumus starp dalībvalstīm. Lielāka pārredzamība un koordinācija varētu novērst to, ka vienas valsts nodokļu ieņēmumi netiek netaisnīgi samazināti citas dalībvalsts pielietotās nodokļu politikas rezultātā.
Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I supported the resolution as it calls to increase transparency and fight against aggressive tax planning.
Bernd Kölmel (ECR), schriftlich. ‒ Im Bericht wird der Austausch von zwischenstaatlich relevanten Steuervorbescheiden zwischen den Verwaltungen der Mitgliedstaaten behandelt. Diese Informationen sollen in Zukunft automatisch, umfassender und schneller ausgetauscht werden. Auch die Kommission soll zukünftig Zugriff auf diese Daten erhalten und ein zentrales Register aufbauen.
Steuervorbescheide werden verwendet um Unternehmen über die steuerliche Behandlung bestimmter unternehmerischer Aktivitäten zu informieren. Ein Steuervorbescheid ist, soweit er einem Unternehmen Planungssicherheit ermöglicht, ein sinnvolles Instrument. Allerdings wurde durch die Luxleaks-Enthüllungen deutlich, dass Steuervorbescheide auch missbräuchlich verwendet werden können. Im Ergebnis wurden in einigen Fällen mit Hilfe von Steuervorbescheiden international tätigen Unternehmen selektive Steuervorteile eingeräumt. Ausschließlich lokal und national agierende KMU erfahren dadurch einen bedeutsamen Wettbewerbsnachteil.
ALFA ist für einen transparenten und damit ehrlichen Wettbewerb, sowohl zwischen Unternehmen als auch zwischen Staaten. Die im Bericht vorgeschlagenen Maßnahmen sind geeignet, die Transparenz im europäischen Steuerwettbewerb zu erhöhen und Verzerrungen in der Besteuerung unterschiedlicher Unternehmensgattungen abzubauen. Die Maßnahmen sind ferner geeignet, dem grundsätzlich wünschenswerten Wettbewerb zwischen den Mitgliedstaaten einen transparenteren Rahmen zu geben und ihn damit zu stärken. Die Informationsweitergabe an die Kommission ist notwendig, damit sie ihrer Rolle als Hüterin des zwischenstaatlichen Wettbewerbs gerecht werden kann. Diese Anliegen unterstütze ich ausdrücklich und habe für den Bericht gestimmt.
Stelios Kouloglou (GUE/NGL), in writing. ‒ This report is to ensure the mandatory automatic exchange of information between Member States in tax matters, after the LuxLeaks scandal. This report is an improvement in the following areas: deletion of the ‘cross-border’ element, immediate exchange of information and an improvement regarding the Council's position. This is why I voted in favour of this report.
Béla Kovács (NI),írásban. – A LuxLeaks botrányt követően, az adott jelentés révén is kifejezi eltökéltségét az Európai Parlament, hogy nem tűri meg az adócsalást és az adókikerülést, és kiáll az adóterheknek a polgárok és vállalatok közötti méltányos elosztása mellett, amivel teljes mértékben egyetértek. Korábbi állásfoglalásában az Európai Parlament hangsúlyozta, hogy az Uniónak vezető szerepet kell vállalnia az adócsalás, az adókikerülés és az adóparadicsomok elleni küzdelemben. Ennek egyik leghatékonyabb módja az információcsere javítása, különösen a tagállamok feltételes adó-megállapítási határozataival kapcsolatban.
Zdzisław Krasnodębski (ECR), na piśmie. ‒ Zaproponowane przez sprawozdawcę raportu rozszerzenie zakresu automatycznej wymiany informacji z interpretacji transgranicznych na wszystkie interpretacje podatkowe oraz sugestia wprowadzenia natychmiastowego trybu wymiany informacji w miejsce trybu okresowego będą wymagały od narodowych służb podatkowych większej pracy. Jestem świadom też, że zwiększenie się liczby wymienianych informacji będzie potrzebowało także wprowadzenia szeregu zmian w krajowych wymogach sprawozdawczych. Jednakże, jeżeli stawką jest ukrócenie procederu oszustw podatkowych czy korzystania przez niektóre podmioty – zwłaszcza duże koncerny, mające silne zaplecze w postaci globalnych firm prawniczych – z istniejących luk w systemach prawnych w celu unikania płacenia podatków w miejscu prowadzenia rzeczywistej działalności biznesowej, to jestem pewien, że uzasadnione jest oczekiwanie od administracji państwowej dostosowania swych procedur do wymogów sytuacji. Istniejące rozwiązania technologiczne i postępująca cyfryzacja pracy administracji stwarzają warunki, kiedy można i należy wymagać od urzędów państwowych znacznie bardziej operatywnej działalności niż dotychczas.
Sprawozdanie Parlamentu Europejskiego ma charakter konsultatywny wobec rozwiązań uzgodnionych już w łonie Rady. Jednakże nawet w tej sytuacji ważne jest wysłanie przez przedstawicieli społeczeństw europejskich silnego sygnału, domagającego się od Brukseli i władz narodowych bardziej zaawansowanych rozwiązań w dziedzinie walki z agresywnym unikaniem opodatkowania przez wielki kapitał.
Giovanni La Via (PPE),per iscritto. – Ho deciso di dare parere positivo alla relazione del collega Ferber. Ritengo che l'Unione europea debba fare da capofila nella lotta all'evasione fiscale e per questo è necessario potenziare il framework normativo europeo in materia. A tal fine, questa proposta intende modificare la direttiva 2011/16/UE, così da obbligare le autorità tributarie nazionali a scambiarsi informazioni sui rispettivi aggiornamenti normativi interni in termini di trasparenza fiscale con cadenza trimestrale.
Marine Le Pen (ENF), par écrit. ‒ Le rapport Ferber est relatif à la proposition de directive du Conseil modifiant la directive 2011/16/UE en ce qui concerne l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal.
Ce texte fait suite au scandale LuxLeaks sur l'évitement fiscal des grandes entreprises au Luxembourg avec l'aval des autorités luxembourgeoises (rappelons d'ailleurs que M. Juncker, actuel président de la Commission, fut ministre des finances et Premier ministre de ce pays pendant plus de 25 ans). Il vise à ce que la directive, et donc l'échange obligatoire d'informations, s'applique à l'ensemble des décisions fiscales anticipées (rulings), alors que la Commission se contente des décisions anticipées en matière transfrontalière et aux accords préalables en matière de transfert de prix.
De même, la Commission (qui, rappelons-le, a à sa tête une personne dont on a toutes les raisons de penser qu'elle était au courant de la situation luxembourgeoise…) propose que cet échange obligatoire ne soit pas rétroactif, quand le Parlement veut l'appliquer à tous les accords et rulings encore valables à ce jour.
Ce texte est un pas en avant face à la position moins-disante de la Commission et fait écho à celle de l'OCDE sur l'évasion fiscale. J'ai donc décidé de voter pour.
Gilles Lebreton (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté pour ce rapport car il instaure un échange automatique d'informations en matière fiscale. Il marque ainsi un progrès dans la lutte contre le dumping fiscal pratiqué par certains États européens, notamment le Luxembourg.
Javi López (S&D),por escrito. – He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Juan Fernando López Aguilar (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe debido a que supone una mejora objetiva de las obligaciones de intercambio de información en el campo impositivo. Pese a que este informe continúa permitiendo el recurso a los paraísos fiscales por parte de los evasores europeos, supone una innegable mejora. El informe reconoce el perjuicio generado a las pymes por parte de las grandes empresas que localizan sus beneficios en este tipo de paraísos. Desde nuestro punto de vista el intercambio de información es una condición necesaria pero no suficiente en la corrección de los abusos fiscales que se producen en Europa. Sin embargo, reconocemos el valor de este pequeño paso adelante y es por esto por lo que he decidido votar a favor del presente informe.
Bernd Lucke (ECR), schriftlich. ‒ Im Bericht wird der Austausch von zwischenstaatlich relevanten Steuervorbescheiden zwischen den Verwaltungen der Mitgliedstaaten behandelt. Diese Informationen sollen in Zukunft automatisch, umfassender und schneller ausgetauscht werden. Auch die Kommission soll zukünftig Zugriff auf diese Daten erhalten und ein zentrales Register aufbauen.
Steuervorbescheide werden verwendet, um Unternehmen über die steuerliche Behandlung bestimmter unternehmerischer Aktivitäten zu informieren. Ein Steuervorbescheid ist, soweit er einem Unternehmen Planungssicherheit ermöglicht, ein sinnvolles Instrument. Allerdings wurde durch die Luxleaks-Enthüllungen deutlich, dass Steuervorbescheide auch missbräuchlich verwendet werden können. Im Ergebnis wurden in einigen Fällen mit Hilfe von Steuervorbescheiden international tätigen Unternehmen selektive Steuervorteile eingeräumt. Ausschließlich lokal und national agierende KMU erfahren dadurch einen bedeutsamen Wettbewerbsnachteil.
ALFA ist für einen transparenten und damit ehrlichen Wettbewerb, sowohl zwischen Unternehmen als auch zwischen Staaten. Die im Bericht vorgeschlagenen Maßnahmen sind geeignet die Transparenz im europäischen Steuerwettbewerb zu erhöhen und Verzerrungen in der Besteuerung unterschiedlicher Unternehmensgattungen abzubauen. Die Maßnahmen sind ferner geeignet dem grundsätzlich wünschenswerten Wettbewerb zwischen den Mitgliedstaaten einen transparenteren Rahmen zu geben und ihn damit zu stärken. Die Informationsweitergabe an die Kommission ist notwendig, damit sie ihrer Rolle als Hüterin des zwischenstaatlichen Wettbewerbs gerecht werden kann. Diese Anliegen unterstütze ich ausdrücklich und habe für den Bericht gestimmt.
Ivana Maletić (PPE), napisan. ‒ Agresivno porezno planiranje, porezne prijevare, izbjegavanja plaćanja poreza te privilegirani porezni tretmani s prekograničnim efektom godišnje oštećuju Europsku uniju u iznosu od 1000 milijardi eura. Gubitkom ovih sredstava države članice nisu u mogućnosti usmjeriti dodatna sredstva u pokretače rasta. Pritom se dodatno opterećuje rad i proizvodnja te usporava gospodarski rast, razvoj i novo zapošljavanje.
Zakonodavni prijedlog Europske komisije o automatskoj razmjeni informacija između država članica u području oporezivanja važan je korak ka suzbijanju nepoštenih poreznih praksi te poticanju poštenog i transparentnog poreznog natjecanja u Europskoj uniji. Prijedlog Europskog parlamenta, odnosno ovo izvješće, znatno je unaprijedilo originalni prijedlog Komisije.
Podržala sam izvješće Europskog parlamenta o obveznoj automatskoj razmjeni informacija na području oporezivanja.
Vladimír Maňka (S&D), písomne ‒ Európsky parlament sa zasadzuje o boj proti daňovým podvodom, vyhýbaniu sa plneniu daňových povinností a presadzuje spravodlivé rozdelenie daňovej záťaže na všetkých občanov a podnikateľov. Významný podiel daňových únikov pritom predstavuje schovávanie finančných aktív vo finančných inštitúciách sídliacich najmä v daňových rajoch, kde je spolu s netransparentným finančným prostredím zaručená anonymita vlastníctva firiem a peňazí na účtoch. Veľké finančné kauzy spojené s daňovými únikmi sa však týkajú aj inštitúcii sídliacich v EÚ, príkladom je najväčšia švajčiarska banka Credit Suisse Wegelin, ktorá v dôsledku vysokej pokuty nakoniec zanikla. V boji s daňovými podvodmi však vlády krajín EÚ stále ťahajú za kratší koniec. To v konečnom dôsledku poškodzuje ekonomiku a hospodárstvo členských štátov a aj samotnej Únie. Navrhovaná Smernica Rady si dáva za cieľ prostredníctvom výmeny informácií v oblastí daní zintenzívniť boj proti daňovým podvodom a zaviesť transparentnejšie daňové pravidlá, ktoré posilnia právnu istotu daňovníkov a zároveň prispejú k zvýšeniu balíka prostriedkov na rast investícií a zamestnanosti.
Νότης Μαριάς (ECR), γραπτώς. ‒ Ψηφίζω υπέρ της έκθεσης σχετικά με την πρόταση οδηγίας τους Συμβουλίου που αφορά την τροποποίηση της οδηγίας 2011/16/ΕΕ όσον αφορά την υποχρεωτική ανταλλαγή πληροφοριών στον τομέα της φορολογίας, για τους λόγους που ανέφερα αναλυτικά στην ομιλία μου στην Ολομέλεια του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου στις 26/10/2015 καθώς και διότι η φοροδιαφυγή και η φοροαποφυγή αποτελούν τη σύγχρονη μάστιγα των οικονομιών της ευρωζώνης. Πρωταθλητές έχουν αναδειχθεί οι πολυεθνικές επιχειρήσεις, που μέσα από το σύστημα των ενδοομιλικών συναλλαγών αποφεύγουν την καταβολή φόρων πολλών δισ. ευρώ. Σύμμαχοί τους οι διάφοροι φορολογικοί παράδεισοι και ορισμένα κράτη μέλη της ευρωζώνης που επιδίδονται σε φορολογικό ντάμπινγκ και σε αθέμιτες πρακτικές, δίνοντας έτσι ζωτικό χώρο στις πολυεθνικές να μην καταβάλλουν φόρους πολλών δισ. ευρώ σε χώρες όπως η Ελλάδα. Το Λουξεμβούργο με τα γνωστά «Lux Leaks» αλλά και η Ολλανδία δίνουν κάλυψη σε γερμανικές και άλλες πολυεθνικές προκειμένου να φοροαποφύγουν. Και όλα αυτά τη στιγμή που ο κ. Dijsselbloem κουνάει το δάκτυλο στην Ελλάδα και απαιτεί νέο φορομπηχτικό ρεσάλτο στις τσέπες του φτωχοποιημένου ελληνικού λαού. Επιπλέον, η τρόικα στην Ελλάδα σφυρίζει αδιάφορα και συγκαλύπτει όλες τις ελληνικές κυβερνήσεις που αρνούνται να αξιοποιήσουν τη λίστα Λαγκάρντ και να φορολογήσουν τους έλληνες ολιγάρχες που έχουν παράνομες καταθέσεις στην Ελβετία.
Dominique Martin (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté pour ce texte. Il vise à mettre en place une transparence totale sur les rescrits fiscaux et mesures assimilées. Cela permettra de décourager les États et les entreprises qui y ont recours de manière excessive. L'entrée en vigueur de cette directive a été repoussée, ce qui laissera le temps à certains États (Luxembourg, Irlande, Pays-Bas) de mettre fin aux accords les plus "contestables". À terme, l'on espère que la compétition se fera de manière plus franche, sur les taux seuls.
Fulvio Martusciello (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione concernente lo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale.
L'obiettivo della relazione è l'estensione dello scambio automatico di informazioni a livello sia dell'Unione che mondiale.
Lo scambio di informazioni nel settore fiscale è uno degli strumenti per il rafforzamento della lotta alla frode ed evasione fiscale.
David Martin (S&D), in writing. ‒ I supported this proposal on mandatory automatic exchange of information in the field of taxation.
Jiří Maštálka (GUE/NGL), písemně. ‒ Zejména po skandálu LuxLeaks je Evropský parlament pevně odhodlán netolerovat daňové podvody a obcházení daňových povinností a bude se zasazovat o to, aby daňové břemeno bylo mezi občany a společnosti spravedlivě rozděleno. Problémy způsobené přeshraničním vyhýbáním se daňové povinnosti, agresivním daňovým plánováním a škodlivou daňovou soutěží výrazně narůstají a dostávají se tak do středu pozornosti EU. Vyhýbání se daňovým povinnostem snižuje příjmy členských států a narušuje rovněž hospodářskou soutěž na úkor zejména malých a středních podniků. Dnes jsme projednávali zprávu, která zakotvuje povinnou automatickou výměnu informací v daňové oblasti jako jeden z možných nástrojů, jak proti vyhýbání se daňové povinnosti bojovat. Protože byl zároveň přijat i můj pozměňovací návrh, který zaručuje, že nebude docházet k harmonizaci daňových sazeb – jsem totiž přesvědčen, že tato problematika by rozhodně měla zůstat v kompetenci jednotlivých členských států – hlasoval jsem pro přijetí zprávy.
Barbara Matera (PPE), per iscritto. ‒ Siamo innanzi ad una direttiva che porterà verso una maggiore trasparenza e chiarezza fiscale. Essa introduce un nuovo articolo alla direttiva esistente, definendo le condizioni e il campo di applicazione per lo scambio automatico e obbligatorio di informazioni su alcuni tipi di ruling fiscali.
Ho espresso quindi il mio voto favorevole, affinché questi obiettivi vengano raggiunti con l'urgenza necessaria.
Emmanuel Maurel (S&D), par écrit. ‒ En 2015, le regain de volontarisme fiscal gagne enfin les institutions européennes: en février, la commission spéciale TAXE débute ses travaux; en mars, la Commission présente une première proposition législative; en juin, une seconde, et dans le même temps, la révision de plusieurs directives phares est en cours.
Concernant l'élément central de LuxLeaks, les "rescrits fiscaux", les États n'étaient – jusqu'à présent - tenus de s'échanger ces décisions anticipées que si elles relevaient d'un pouvoir discrétionnaire. Dans les faits, les administrations ne s'échangeaient presque aucun rescrit, ce à quoi le rapport Ferber vise à mettre fin en introduisant un échange automatique d'informations fiscales.
Le Parlement est parvenu aux compromis les plus ambitieux sur ce texte, ce qui est capital face au Conseil dont les marges d'ambition sont amputées par l'unanimité. Le Parlement a donc réitéré son appel à la coopération la plus large: échange de tous les rescrits encore en vigueur. En outre, la Commission doit impérativement avoir accès à ces textes échangés pour mener des enquêtes s'il y a lieu. Soucieux de porter ces revendications que nous partageons au sein de la commission TAXE, j'ai voté en faveur de ce rapport.
Georg Mayer (ENF), schriftlich. ‒ Die Einrichtung eines öffentlichen Verzeichnisses, in dem alle Informationen von allen EU-Bürgern abrufbar sind, ist strikt abzulehnen. Daher fand dieser Bericht nicht meine Zustimmung.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ Les décisions fiscales anticipées sont des informations que les autorités fiscales donnent aux contribuables concernant les modalités qui seront appliquées au calcul de leurs impôts. Ces décisions sont rendues pour apporter une sécurité juridique aux contribuables, en confirmant souvent le traitement fiscal d'une opération commerciale de grande ampleur ou complexe.
C'est le manque de transparence sur ces décisions fiscales "au cas par cas" qui permet aux grandes entreprises de réduire artificiellement leur imposition, comme on l'a vu dans l'affaire LuxLeaks. Le texte propose d'y remédier en rendant obligatoire la communication de ces décisions via un rapport trimestriel à la Commission contenant des informations précises. Je déplore que ces rapports ne soient pas rendus publics et restent dans les mains de la Commission. Néanmoins cela va dans le sens d'un plus grand contrôle fiscal et je vote pour.
Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ Apresentei o meu voto favorável à proposta que obriga os Estados-Membros à troca automática de informações sobre decisões fiscais antecipadas transfronteiriças, com o objetivo de prevenir a elisão fiscal por parte das empresas.
Trata-se de uma proposta de diretiva muito importante, quando se estima que a elisão fiscal das empresas priva os orçamentos públicos dos Estados-Membros da UE de vários milhares de milhões de euros por ano.
Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of this resolution as the automatic exchange of information will increase the level of transparency and combat cross-border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition.
Miroslav Mikolášik (PPE), písomne ‒ Považujem za prirodzené, aby spoločnosti platili dane v krajinách, kde vytvárajú zisk, a rešpektovali zákony štátu, kde operujú. Celoúnijný systematický a povinný postup, akým je automatická výmena informácií v oblasti daní, má za cieľ bojovať proti daňovým podvodom a úľavám, proti daňovým rajom a má zabezpečiť vyššiu transparentnosť v tejto oblasti v celej EÚ. Komisia navrhla stanoviť harmonogram informovania o daňových stanoviskách, členské štáty by mali vydávať štvrťročné správy týkajúce sa daňových stanovísk a transferového oceňovania. Takisto navrhla vytvoriť bezpečný centrálny register, kde by sa zaznamenávali informácie. Európsky parlament predstavil mnohé pozmeňujúce návrhy, ktoré mohli tento návrh ešte viac zefektívniť a zaviesť viac transparentnosti do zdaňovania.
Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ After the Luxleaks scandal, it was obvious that lack of transparency on tax rulings is being exploited by certain companies in order to artificially reduce their tax contribution in Member states where they operate. Exchange of information of cross-border tax rulings is very limited, not mandatory and does not live up to the needs today to gather tools to create a more transparent and responsible tax regime in Europe. Therefore, with some small reservations and vote against certain amendments, I voted in favour of the mandatory automatic exchange of information on types of cross-border tax rulings and transfer pricing arrangements. In my opinion this will increase transparency and fight against aggressive tax planning.
Sorin Moisă (S&D), in writing. ‒ Yet another vote completing the legal architecture of Europe allowing the disciplining of financial transactions and limiting the scope for tax evasion and fraud.
Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ Az Európai Bizottság javaslatot intézett a Tanácshoz a közigazgatási együttműködésről szóló, a 2014/107/EU irányelvvel módosított 2011/16/EU irányelvnek az adózás területére vonatkozó kötelező automatikus információcsere tekintetében történő módosítására. A javaslat egy új cikkel egészítené ki a jelenlegi irányelvet, amely a bizonyos típusú határokon átnyúló vonatkozású feltételes adó-megállapítási határozatokra és transzferár-megállapodásokra vonatkozó információk kötelező automatikus megosztásának alkalmazási körét és feltételeit határozza meg. Ezt a kötelezettséget kiterjeszti a javasolt irányelv hatálybalépését megelőző tíz évben kiadott, az irányelv hatálybalépésekor még hatályos határozatokra is. A Tanácsnak a döntés előtt az Európai Unió működéséről szóló szerződés értelmében konzultálnia kell az Európai Parlamenttel. A Parlament Gazdasági és Monetáris Bizottsága jelentésében a Bizottság javaslatának számos módosítással történő jóváhagyását ajánlja a Parlamentnek. Az előterjesztést ennek megfelelően támogattam.
Bernard Monot (ENF), par écrit. ‒ Le scandale des Luxleaks a donné lieu à une proposition de directive visant à instaurer l'échange automatique entre administrations des États membres des rescrits fiscaux ou mesures assimilées (validation de prix de transferts, de montages divers). L'idée est d'avoir une transparence sur ces pratiques, afin de décourager les États et les entreprises d'y avoir recours de manière excessive (dumping fiscal).
Saisi pour avis, le Parlement a renforcé certains aspects du texte. L'échange se ferait de manière rétroactive, jusqu'à 10 ans en arrière pour les rescrits, et leur accès aurait été étendu. Le conseil Ecofin, réuni le 6 octobre dernier, a pris une position nettement moins-disante. C'est sa version qui primera, le Parlement n'émettant qu'un avis consultatif.
Les États ont ainsi renoncé à la rétroactivité et ont en outre repoussé l'entrée en vigueur de la directive, laissant aux membres les plus compromis (Luxembourg, Irlande, Pays-Bas) le temps de mettre fin aux accords les plus contestables et de présenter une image policée. L'échange reste un progrès dans ces pratiques souvent opaques. Il faut donc soutenir ce rapport en déplorant que l'Ecofin s'en soit à ce point écarté.
Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ O Parlamento Europeu destacou, na sua Resolução de 21 de maio de 2013, que a União Europeia deve assumir um papel de liderança nos debates a nível mundial sobre a luta contra a fraude fiscal, a evasão fiscal e os paraísos fiscais, especialmente no que se refere à promoção da troca de informações.
Atualmente, com a vigência da Diretiva 2011/16/UE relativa à cooperação administrativa, os Estados-Membros partilham muito pouca informação entre si sobre os seus acordos fiscais.
A proposta de alteração, com a redação que lhe foi dada pela Diretiva 2014/107/EU, introduz um novo artigo na diretiva, que define o âmbito de aplicação e as condições da troca automática e obrigatória de informações sobre acordos fiscais transfronteiras e acordos de preços de transferência. Esta obrigação é alargada aos acordos estabelecidos nos 10 anos anteriores à data em que a diretiva proposta produz efeitos e que ainda sejam válidos à data da entrada em vigor da diretiva.
Defendo que esta proposta da Comissão será um passo importante para aumentarmos a transparência fiscal e para continuarmos o combate à elisão fiscal transfronteiras.
Sophie Montel (ENF),par écrit. – Le rapport Ferber est relatif à la proposition de directive du Conseil modifiant la directive 2011/16/UE en ce qui concerne l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal.
Ce texte fait suite au scandale LuxLeaks sur l'évitement fiscal des grandes entreprises au Luxembourg avec l'aval des autorités luxembourgeoises (rappelons d'ailleurs que M. Juncker, actuel président de la Commission, fut ministre des finances et Premier ministre de ce pays pendant plus de 25 ans). Il vise à ce que la directive, et donc l'échange obligatoire d'informations, s'applique à l'ensemble des décisions fiscales anticipées (rulings), alors que la Commission se contente des décisions anticipées en matière transfrontalière et aux accords préalables en matière de transfert de prix. De même, la Commission (qui, rappelons-le, a à sa tête une personne dont on a toutes les raisons de penser qu'elle était au courant de la situation luxembourgeoise…) propose que cet échange obligatoire ne soit pas rétroactif, quand le Parlement veut l'appliquer à tous les accords et rulings encore valables à ce jour.
Ce texte est un pas en avant face à la position moins-disante de la Commission et fait écho à celle de l'OCDE sur l'évasion fiscale. J'ai donc décidé de voter pour.
Claude Moraes (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of automatic exchange of information on tax rulings because transparency is absolutely vital when it comes to cracking down on aggressive tax avoidance and tax evasion. For far too long, governments have been able to make secret agreements with companies about how much tax they will pay, with no scrutiny from other Member States or the public as a whole. That needs to change, and while the Commission’s proposals are welcome, we in the Parliament believe they can and should go further. It is over to David Cameron and the rest of the Council now to show that they are serious when they say they want to stamp out these practices once and for all.
Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ Approviamo questa relazione perché l'elusione fiscale transfrontaliera, la pianificazione fiscale aggressiva e la concorrenza fiscale dannosa hanno raggiunto proporzioni considerevoli.
Siamo convinti che l'UE debba assumere un ruolo guida nel dibattito mondiale sul contrasto della frode, dell'elusione e dei paradisi fiscali, in particolare per quanto concerne la promozione della prassi di uno scambio costante di informazioni e di dati sensibili. Purtroppo dobbiamo constatare che, nell'attuale quadro normativo, gli Stati membri non provvedono a scambiarsi spontaneamente i rispettivi dati fiscali. La proposta della Commissione intende definire il campo di applicazione, nonché le condizioni per uno scambio automatico.
La posizione adottata in commissione ECON va addirittura al di là, risulta ancora più ambiziosa, in quanto chiediamo che il campo di applicazione sia esteso a tutte le decisioni, non solo alle cosiddette questioni transfrontaliere; esprimiamo contrarietà ad ogni periodo di retroattività; siamo convinti della necessità di introdurre possibili sanzioni in caso di non conformità alle norme.
Tutte le decisioni fiscali dovranno essere catalogate in un repertorio centrale, a cui la Commissione avrà accesso completo ed incondizionato. Infine, una sintesi delle principali decisioni fiscali scambiate dovrebbe essere oggetto di pubblicazione. Ci auguriamo di avere anche in plenaria il sostegno di tutti i gruppi politici.
Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ The challenge posed by cross-border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition has increased considerably and has become a major focus of concern within the Union and at global level. I have voted for this report that will introduce a new Article into the existing Directive, setting out the scope and conditions for the mandatory automatic exchange of information on types of cross-border tax rulings and transfer pricing arrangements.
Norica Nicolai (ALDE), in writing. ‒ To combat tax evasion and tax avoidance, in light of the fact that legal personalities can take advantage of differences in tax rates and tax bases in different Member States, it is necessary that the Member States work together and share information. The Commission has proposed that any rulings that relate to cross-border transactions must be securely shared among the Member States, so that exploitation or other negative effects can be more easily discovered and prevented. Cross-border rulings that have occurred in the last 10 years should also be shared, so that any recent indiscretions can be duly handled. This proposal is an excellent start to limiting the manipulation of tax laws, and takes great strides to improve transparency and communication between member-states. Though there are further strides still to be taken in the fight against fraud and tax evasion, this is a definite step in the right direction for the European Union, a step that will benefit the tax revenue of each individual Member State.
Liadh Ní Riada (GUE/NGL),in writing. – I voted in favour of this report, which contained a number of important, progressive provisions. This report emerged from the Luxleaks scandal. The aim is to ensure the mandatory automatic exchange of information between tax administrations regarding advance cross-border rulings and advance pricing arrangements and to strengthen existing EU legislation. Furthermore, the GUE/NGL rapporteur managed to further strengthen the Commission proposal in a number of key areas including strengthening reporting requirements – i.e. immediate exchange of information.
My Group tabled an alternative compromise stating that all rulings should be publicly available and not only stored somewhere in a central Commission database in an aggregated form. The Greens and EFDD supported GUE/NGL on this issue, but unfortunately it was rejected in committee.
Nevertheless, given that the report was still an improvement compared to the Commission proposal and especially compared to the Council position which was adopted even before the ECON vote took place, I voted in favour of this report.
Franz Obermayr (ENF), schriftlich. ‒ Ich habe mich gegen diesen Bericht ausgesprochen, da dieser Bericht zu weit geht und der Kommission noch weitere Befugnisse eröffnet. Des Weiteren werden Exporteure und Zollbehörden zusätzlich belastet. Auch ein öffentliches Verzeichnis soll errichtet werden, in dem alle Informationen aller Bürger jederzeit abrufbar sind. Meiner Meinung nach geht dieser Bericht viel zu weit und ist für mich in dieser Form nicht tragbar.
Younous Omarjee (GUE/NGL),par écrit. – Je vote en faveur de ce rapport qui acte une avancée notable dans la lutte contre l'évasion fiscale, la fraude et les paradis fiscaux. Il propose en effet d'approuver la modification de la directive 2011/16/UE du Conseil portant sur l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal.
La nouvelle directive permettra de rendre systématique l'échange d'informations concernant les déclarations fiscales anticipées, élaborées par chaque État membre, qui peuvent avoir une conséquence directe ou indirecte sur les assiettes fiscales d'autres pays membres. Ainsi, les modifications obligeraient les États membres à donner, chaque trimestre, des informations précises concernant ces déclarations, comprenant notamment la description des critères utilisés pour fixer les prix de transfert en matière fiscale ou une identification claire des États susceptibles d'être concernés.
Urmas Paet (ALDE), kirjalikult. ‒ Toetasin. Maksupettused ja maksudest kõrvalehoidumine on nii ELis kui ka kogu maailmas suur probleem. Selle lahendamiseks on vaja suurendada teabevahetust riikide vahel. Vastav direktiiv püüabki seda küsimust adresseerida ning sätestab piiriüleste maksuotsuste kohustusliku teabevahetuse ulatuse ja tingimused. Samas tuleks kohustuslikku teabevahetust laiendada kõikidele maksuotsustele, mitte tingimata ainult piiriülese mõjuga maksuotsustele. Oluline on ka, et vastav teabevahetus oleks kiire ja toimuks turvalises keskkonnas.
Κωνσταντίνος Παπαδάκης (NI),γραπτώς. – Η οδηγία για την ανταλλαγή πληροφοριών μεταξύ των κρατών μελών σχετικά με τις ευνοϊκές φορολογικές αποφάσεις για τις επιχειρήσεις δεν πρόκειται να περιορίσει τα προκλητικά φορολογικά προνόμια των διεθνικών επιχειρηματικών ομίλων και την ασυλία των μονοπωλίων. Το τελικό κείμενο περιορίζει το, έτσι κι αλλιώς αρχικά περιορισμένο, πεδίο εφαρμογής της, μόνο σε υποθέσεις με διασυνοριακό χαρακτήρα, επεκτείνει το χρόνο στον οποίο ανταλλάσσονται οι πληροφορίες και μειώνει σε διάστημα μιας πενταετίας πριν την υποχρέωση των φορολογικών αρχών για γνωστοποίηση των σχετικών αποφάσεών τους. Όπως μάλιστα αναγνωρίζει και η ίδια η οδηγία, οι αποφάσεις των εθνικών φορολογικών αρχών που παρέχουν κάθε είδους φορολογικά προνόμια και φοροαπαλλαγές στους μεγάλους ομίλους είναι «νόμιμες», σύμφωνα με την εθνική τους νομοθεσία. Υπέρτατος νόμος κάθε καπιταλιστικού κράτους και κάθε αστικής κυβέρνησης είναι να προστατεύει με τη νομοθεσία του την καπιταλιστική ιδιοκτησία και τα κέρδη του κεφαλαίου. Η ίδια η φύση της ΕΕ, που στηρίζεται πάνω στην ελευθερία κίνησης του κεφαλαίου, νομιμοποιεί και υπηρετεί την φοροασυλία των επιχειρηματικών ομίλων, για την οποία υποκριτικά και προκλητικά χύνουν κροκοδείλια δάκρυα τα όργανα της ΕΕ. Οι λαοί μπορούν ζήσουν χωρίς μονοπώλια και χωρίς εκμετάλλευση, όταν αποφασίσουν να βάλουν τέλος στην εξουσία τους, παίρνοντας εκείνοι στα χέρια τους τον πλούτο που παράγουν.
Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Come sapete, il problema dell'elusione fiscale transfrontaliera mi sta a cuore e ritengo che una maggiore trasparenza in materia di ruling fiscali sia necessaria al fine di risolvere questo problema che tutti gli Stati membri in seno all'Unione si trovano ad affrontare. Per tale ragione ho deciso di votare favorevolmente.
Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Podržala samo ovo izvješće jer smatram kako je sustav razmjene informacija između poreznih uprava država članica važan instrument za sprječavanje utaje poreza i borbu protiv prijevara. Bankovna tajna i zaštita osobnih podataka smatra se preprekom za njegovu potpunu primjenu. Gubici u državama članicama zbog utaje poreza dosežu godišnje i tisuću milijardi eura.
U vremenu kada plaće radnika padaju, tvrtke se zatvaraju, a radnici otpuštaju, u vremenu u kojem se mirovine i socijalna davanja također smanjuju, smatram nužnim omogućiti naplatu poreza, pri tome ne uvodeći nove poreze i ne povećavajući postojeće. Razmjena informacija, iskustava i znanja između poreznih uprava država je važna, a provodit će se u svrhu jačanja u borbi protiv izbjegavanja plaćanja poreza.
Florian Philippot (ENF), par écrit. ‒ Le rapport Ferber est relatif à la proposition de directive du Conseil modifiant la directive 2011/16/UE en ce qui concerne l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal.
Ce texte fait suite au scandale LuxLeaks sur l'évitement fiscal des grandes entreprises au Luxembourg avec l'aval des autorités luxembourgeoises (rappelons d'ailleurs que M. Juncker, actuel président de la Commission, fut ministre des finances et Premier ministre de ce pays pendant plus de 25 ans). Il vise à ce que la directive, et donc l'échange obligatoire d'informations, s'applique à l'ensemble des décisions fiscales anticipées (rulings), alors que la Commission se contente des décisions anticipées en matière transfrontalière et aux accords préalables en matière de transfert de prix. De même, la Commission (qui, rappelons-le, a à sa tête une personne dont on a toutes les raisons de penser qu'elle était au courant de la situation luxembourgeoise…) propose que cet échange obligatoire ne soit pas rétroactif, quand le Parlement veut l'appliquer à tous les accords et rulings encore valables à ce jour.
Ce texte est un pas en avant face à la position moins-disante de la Commission et fait écho à celle de l'OCDE sur l'évasion fiscale. J'ai donc décidé de voter pour.
Andrej Plenković (PPE), napisan. ‒ Slažem se s izvješćem kolege Markusa Ferbera o obaveznoj automatskoj razmjeni informacija u području oporezivanja. U svojoj rezoluciji od 21. svibnja 2013. godine, Europski parlament je istaknuo da EU treba preuzeti vodeću ulogu u globalnim raspravama o borbi protiv poreznih prijevara i izbjegavanja poreza te promicati razmjenu informacija.
Države članice uglavnom ne dijele svoja porezna rješenja s drugim državama, zbog čega su često nesvjesne poreznih rješenja u susjednim državama koje bi mogle utjecati na njihove sustave. Nedostatak transparentnosti u tom području rezultira prijevarama tvrtki koje žele smanjiti svoja porezna davanja. Zbog toga je potrebno povećanje transparentnosti, kroz uvođenje novog članka u postojeću Direktivu koji navodi opseg i uvjete za obaveznu automatsku razmjenu podataka o poreznim rješenjima.
Korisno rješenje je i uvođenje strogih rokova, po kojima bi sve države članice svaka tri mjeseca trebale ostalima slati podatke o prekograničnim poreznim rješenjima. Trebalo bi nastaviti s razradom plana stvaranja središnje baze podataka od strane Komisije, gdje će biti spremljene sve informacije.
Salvatore Domenico Pogliese (PPE), per iscritto. ‒ Il contrasto della frode, dell'elusione fiscale e dei paradisi fiscali è una delle principali sfide dell'UE. Vincere questa sfida significherebbe garantire maggiore equità e tutela dei cittadini onesti. Allo stato attuale gli Stati membri si scambiano una quantità estremamente ridotta di informazioni sui ruling fiscali. In questo modo le autorità competenti di ciascuno Stato membro spesso non vengono a conoscenza dei ruling fiscali avvenuti in un altro Stato o dei ruling fiscali transfrontalieri. Tutto ciò viene sfruttato da alcune società per ridurre artificialmente il loro apporto tributario.
Il mio voto alla proposta di modifica della direttiva 2011/16/UE è favorevole perché questa proposta mira a realizzare una maggiore trasparenza in materia fiscale, definendo con precisione il campo di applicazione e le condizioni per lo scambio automatico obbligatorio di informazioni su alcuni tipi di ruling fiscali.
Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ À la suite de l'engagement de l'Union et des États membres pour le plan d'action sur l'érosion de la base d'imposition et de transfert de bénéfices au sein de l'OCDE et du G20, l'Union a décidé de mettre à jour les textes juridiques européens.
Dans ce contexte, le Parlement a adopté le texte modifiant la directive 2011/16/UE relative à l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal. J'ai voté en faveur de cette décision car j'estime qu'il est aujourd'hui primordial de mieux réguler ces échanges d'informations sensibles, à la fois dans l'intérêt des citoyens et des entreprises.
Paulo Rangel (PPE), por escrito. ‒ Votei a favor por entender que é necessário aumentar a transparência e o intercâmbio de informação em matéria fiscal para evitar, entre outras consequências, a distorção da concorrência.
Julia Reid (EFDD), in writing. ‒ UKIP is in favour of tax transparency as a means to prevent secret tax deals being done between large multi-national corporations and countries like Luxembourg. However, the report includes amendments that would force Member States to provide the information to the EU Commission (rather than simply making it public) and would have retroactive effect – for these reasons UKIP abstained.
Dominique Riquet (ALDE), par écrit. ‒ Les écarts de fiscalité entre les États membres de l'Union européenne ont, avec la libre circulation des capitaux et des personnes, favorisé le recours à l'optimisation et à la fraude fiscale par certaines firmes multinationales. Ces pratiques sont néfastes pour les finances publiques des pays de l'Union et affectent profondément la cohésion entre les États membres. Il suffit de se rappeler du scandale du "LuxLeaks" où un État de l'Union s'est vu accuser de dumping fiscal par les autres États membres, pour avoir bénéficié de ces optimisations, en mettant en place une fiscalité avantageuse.
Si ces pratiques ne sont pas toujours illégales, elles n'en restent pas moins intolérables au regard des valeurs que prône l'Union européenne et de l'esprit de coopération qui en découle.
C'est pour cette raison que je me suis prononcé en faveur d'une directive sur les rescrits fiscaux visant à rendre automatique et obligatoire l'échange d'informations dans ce domaine entre les pays de l'Union européenne. Cette mesure devrait permettre de restaurer la transparence et de renforcer la compétitivité des PME, en taxant la valeur ajoutée de chaque acteur là où elle est créée.
Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe que fija la posición del Parlamento Europeo respecto de la propuesta de modificación de la Directiva 2011/16/UE sobre cooperación administrativa, la cual tiene por finalidad incluir en su ámbito el intercambio automático de información sobre los acuerdos tributarios secretos.
El texto aprobado contiene los siguientes elementos principales:
a) No se limita el intercambio automático de información a las resoluciones consideradas «transfronterizas».
b) Plena retroactividad con los pactos opacos todavía en vigor, con independencia de cuándo se firmaron.
c) Posibilidad de sancionar a los Estados en caso de incumplimiento.
d) Almacenamiento de todas las resoluciones en una base de datos a la que tenga acceso pleno la Comisión.
e) Otorgamiento de publicidad a resúmenes de las principales resoluciones fiscales.
Espero que el Consejo lo tenga en cuenta.
Asimismo, es importante ampliar y revisar aquellos aspectos de la Directiva no relacionados con los llamados «tax rulings» que se han quedado desfasados (excepciones injustificadas para no dar la información, consideración de «secreto oficial» para lo que no debe ser más que información confidencial de acuerdo con la normativa de protección de datos, etc.)
Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ Dans la foulée du scandale LuxLeaks, ce rapport - que j'ai bien sûr soutenu - fut l'occasion, pour le Parlement européen, d'exprimer sa profonde détermination à ne pas tolérer la fraude et l'évasion fiscales ainsi qu'à prôner une répartition équitable de la charge fiscale entre les citoyens et les entreprises.
Le défi posé par le contournement de l'impôt au niveau transfrontière et la concurrence fiscale dommageable a pris une ampleur nouvelle et est devenu une source de préoccupation majeure au sein de l'Union et au niveau mondial. C'est ce que le Parlement européen soulignait déjà dans sa résolution du 21 mai 2013.
Il est aujourd'hui urgent de poursuivre les efforts et de renforcer la transparence. Pour y parvenir, il est notamment nécessaire de renforcer les outils et mécanismes créés par la directive 2011/16/UE du Conseil sur la coopération administrative, enjeu du rapport adopté.
Fernando Ruas (PPE), por escrito. ‒ O desafio representado pela elisão fiscal transfronteiriça, pelo planeamento fiscal agressivo e pela concorrência fiscal prejudicial aumentou consideravelmente e representa um motivo de preocupação para os Governos a nível europeu e mundial.
O Parlamento Europeu sempre sublinhou a necessidade de a UE assumir uma posição de líder contra a fraude, a evasão e os paraísos fiscais e, nessa medida, assume particular relevância uma maior cooperação administrativa e transparência ao nível dos acordos fiscais transfronteiriços, que permitam a troca de informações entre os Estados-Membros, evitando potenciais efeitos negativos nas respetivas bases tributárias, reduzindo ainda os impactos da elisão fiscal.
Sou favorável à aprovação deste relatório referente a um processo legislativo especial de consulta, que versa sobre a proposta de Diretiva do Conselho, que altera a Diretiva 2011/16/UE no que respeita à troca automática de informações obrigatória no domínio da fiscalidade.
Realço como aspeto positivo a introdução de um novo artigo sobre o âmbito de aplicação e as condições da troca automática e obrigatória de informações sobre acordos fiscais transfronteiriços e acordos de preços de transferência entre os Estados-Membros, destacando, como ponto negativo, a oportunidade desperdiçada de incluir também neste âmbito os acordos puramente nacionais e os acordos prévios de preços de transferência.
Tokia Saïfi (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui donne la position du Parlement européen sur l'échange automatique et obligatoire d'informations dans le domaine fiscal.
La fraude et l'évasion fiscale demeurent des phénomènes intolérables et une répartition équitable de la charge fiscale entre les citoyens et les entreprises doit être trouvée.
Malheureusement, le Conseil n'a pas attendu le Parlement européen pour se prononcer étant donné qu'un accord est déjà intervenu au Conseil début octobre; notons d'ailleurs que cet accord est moins ambitieux que la position adoptée par le Parlement européen.
À titre d'exemple, le Parlement européen souhaitait que le champ d'application de la directive s'applique à l'ensemble des rescrits fiscaux et pas uniquement aux rescrits fiscaux transfrontaliers.
Au final, le texte souligne l'importance d'échanger immédiatement les informations et appelle à améliorer la transparence vis-à-vis des citoyens en demandant à la Commission de publier une fois par an un rapport synthétisant les principaux dossiers.
Nous devons poursuivre ces efforts en matière de transparence fiscale.
Massimiliano Salini (PPE), per iscritto. ‒ Ho espresso il mio voto a favore della relazione inerente lo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale in quanto ritengo che siano necessarie una maggiore cooperazione e una maggiore armonizzazione tra Stati membri in materia fiscale.
La concorrenza fiscale deve diventare uno strumento per lo sviluppo e per la crescita globale e l'Unione europea deve adoperarsi costantemente per prevenire e contrastare l'evasione fiscale. La proposta di direttiva 2014/107/UE andrebbe a modificare la direttiva 2011/16/UE sulla cooperazione amministrativa e assicurerebbe agli Stati membri uno scambio automatico ed obbligatorio di informazioni sui ruling fiscali transfrontalieri e sugli accordi sui prezzi di trasferimento.
Matteo Salvini (ENF), per iscritto. ‒ Ho votato a favore perché il provvedimento ha tra i suoi scopi quello di combattere gli effetti della frode e dell'evasione, nonché il proliferare di paradisi fiscali anche all'interno dell'Unione.
Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe y de la Resolución legislativa en cuestión, que es uno de los resultados de los Luxleaks (filtraciones que dejaron al descubierto los acuerdos entre el Estado de Luxemburgo y multinacionales que facilitaban la elusión fiscal). Con él se establece la obligatoriedad para los Estados de transmitir los acuerdos que alcancen con multinacionales respecto a impuestos a la Comisión. Hubiéramos querido que los acuerdos fueran hechos públicos y no solo transmitidos a la Comisión, pero esto fue rechazado por los grupos mayoritarios.
Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe debido a que supone una mejora objetiva de las obligaciones de intercambio de información en el campo impositivo. Pese a que este informe continúa permitiendo el recurso a los paraísos fiscales por parte de los evasores europeos, supone una innegable mejora. El informe reconoce el perjuicio generado a las pymes por parte de las grandes empresas que localizan sus beneficios en este tipo de paraísos. Desde nuestro punto de vista el intercambio de información es una condición necesaria pero no suficiente en la corrección de los abusos fiscales que se producen en Europa. Sin embargo, reconocemos el valor de este pequeño paso adelante y es por esto por lo que he decidido votar a favor del presente informe.
Ricardo Serrão Santos (S&D), por escrito. ‒ É importante que possa prever-se a melhor forma para a partilha eficaz de informação entre as autoridades fiscais e contribuir para reforçar um comportamento fiscal íntegro por parte das grandes empresas.
A fuga fiscal produz perdas importantes, que fazem inevitavelmente sentir-se sobre os orçamentos nacionais e resultam numa sobrecarga de impostos sobre os ouros agentes económicos e, nomeadamente, sobre os trabalhadores.
Este texto contribui para impedir as perdas orçamentais decorrentes do abuso fiscal por parte das grandes empresas e, assim, para fomentar uma maior margem de conforto dos orçamentos nacionais, atualmente já sob pressão.
Jill Seymour (EFDD), in writing. ‒ I abstained on this report as although I believe nation states should be open and transparent about taxation I do not wish to see the Commission involved in how the UK manages its corporation tax.
Siôn Simon (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of automatic exchange of information on tax rulings because transparency is absolutely vital when it comes to cracking down on aggressive tax avoidance and tax evasion. For far too long, governments have been able to make secret agreements with companies about how much tax they’ll pay, with no scrutiny from other Member States or the public as a whole. That needs to change, and while the Commission’s proposals are welcome, we in Parliament believe they can and should go further. It’s over to David Cameron and the rest of the Council now to show that they are serious when they say they want to stamp out these practices once and for all.
Branislav Škripek (ECR), písomne. ‒ V prípade legislatívneho uznesenia Európskeho parlamentu o návrhu smernice Rady, ktorou sa mení smernica 2011/16/EÚ, pokiaľ ide o povinnú automatickú výmenu informácií v oblasti daní, som sa pri hlasovaní zdržal, pretože uznesenie v sebe skrýva viacero rozporuplných návrhov. Jasne odsudzujem daňové podvody a zhon za mamonou nekalými daňovými praktikami. Na druhej strane boj proti podvodom nesmie byť zámienkou na neoprávnené zasahovanie EÚ do daňovej politiky Slovenska. To je otázka subsidiarity. Každá krajina EÚ musí mať možnosť si sama určovať podmienky pre zahraničných investorov.
Davor Škrlec (Verts/ALE), napisan. ‒ Pozitivno sam glasao za ovo izvješće, no ovo obrazloženje glasovanja nastaje kao kritika postojećem sustavu vrednovanja rada zastupnika u Europskom parlamentu isključivo na osnovu statističkog broja parlamentarnih aktivnosti potenciranog u Hrvatskoj, a koji zapravo ne odražava stvarnu kvalitetu i količinu rada, učinkovitost te ponajviše uspjeh zastupničkog djelovanja.
Monika Smolková (S&D), písomne ‒ už pri prerokovaní výročnej správy o daniach v marci 2015 som v tomto parlamente hovorila o tom, že je potrebné harmonizovať daňovú politiku a odstrániť nesúlad medzi vnútroštátnymi predpismi. Môžem zodpovedne prehlásiť, že som naďalej tvrdým odporcom daňových únikov, daňových podvodov a vyhýbaniu sa daňovým povinnostiam. Hlasovala som za uznesenie, lebo som presvedčená, že aj na základe týchto návrhov a opatrení je možné dosiahnuť účinnú výmenu a spracovanie daňových informácii, ktoré budú mať silný odradzujúci účinok proti zavádzaniu škodlivých daňových praktík. Verím, že prijatím týchto opatrení nadviažeme na závery Európskej rady z 18. decembra 2014 a pokročíme v úsilí zameranom na boj proti vyhýbaniu sa daňovým povinnostiam a agresívnemu daňovému plánovaniu na globálnej a európskej úrovni. Od členských štátov očakávam, že v záujme efektívneho monitorovania uplatňovania automatickej výmeny informácii prijmú dostatočné opatrenia, ktoré pomôžu odstrániť akékoľvek prekážky brzdiace povinnú automatickú výmenu informácii o záväzných stanoviskách k stanoveniu metódy ocenenia.
Igor Šoltes (Verts/ALE), pisno. ‒ Število davčnih goljufij in utaj v zadnjih letih narašča in ima resne posledice za davčne prihodke držav članic. Te zaradi tega izgubijo več milijard evrov letno in so prisiljene zviševati davke.
Nedavno smo bili priča razkritju več sto primerov izkoriščanja razlik v davčnih sistemih. Komisija je pred dnevi pravilno ugotovila, da je šlo v primeru družb Starbucks in Fiat za selektivne davčne ugodnosti in posledično za nezakonito državno pomoč. EU mora po tem zgledu še naprej prevzemati vodilno vlogo v boju proti davčnim goljufijam in utajam. Te so ne le nezakonito, temveč tudi nemoralno početje, ki zelo slabo vpliva na delovanje notranjega trga.
Na koncu so mala in srednja podjetja tista, ki plačajo najvišjo ceno, saj so primorana poslovati v davčnih sistemih, ki niso pošteni in v katerih multinacionalke z manipulacijo pridobivajo neupravičeno konkurenčno prednost.
Pozdravljam predlog Komisije, saj pomeni korak v smeri večje preglednosti. Prepričan sem, da bi medsebojni nadzor držav, ki ga izpostavlja tudi poročilo, lahko imel močan odvračilni učinek pri izvajanju izkoriščevalskih davčnih praks, zato sem poročilo pri glasovanju podprl.
Renato Soru (S&D), per iscritto. ‒ Ho espresso oggi voto favorevole sul parere del Parlamento relativo alla proposta di direttiva per la condivisione automatica di informazioni fiscali tra Stati membri, proposta avanzata dalla Commissione in seguito al caso Lux Leaks per assicurare un coordinamento e una coordinazione maggiori tra gli Stati membri in materia fiscale.
Con questo testo, abbiamo criticato come Parlamento l'accordo raggiunto dal Consiglio "Economia e finanza" il 6 ottobre scorso, che riteniamo un'occasione mancata verso una vera giustizia fiscale per i cittadini europei. La posizione del Consiglio restringe, infatti, sia la portata del progetto di direttiva sullo scambio automatico, limitandolo ai soli regimi fiscali transfrontalieri, sia l'accesso della Commissione a queste informazioni, sia l'irretroattività della direttiva sui regimi fiscali già operativi.
Di fronte a una posizione così poco ambiziosa, riteniamo che le proposte avanzate dalla Commissione e dal Parlamento debbano essere prese seriamente in considerazione per garantire la massima trasparenza possibile a favore dei cittadini e delle autorità fiscali nazionali.
Ivan Štefanec (PPE), písomne. ‒ Férová hospodárska súťaž nie je možná bez transparentných informácií o daňovom zaťažení. Komisia, ako neutrálny orgán, by mala mať právo zasiahnuť v prípade podozrení zo zvýhodňovania jedného investora pred druhým. Zároveň je potrebné zachovať princíp daňovej suverenity na národnej úrovni.
Catherine Stihler (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of automatic exchange of tax rulings because transparency is absolutely vital when it comes to cracking down on aggressive tax avoidance and tax evasion. For far too long, governments have been able to make secret agreements with companies about how much tax they’ll pay, with no scrutiny from other Member States or from the public as a whole. That needs to change, and while the Commission’s proposals are welcome, we in the Parliament believe they can and should go further. It’s over to David Cameron and the rest of the Council now to show that they are serious when they say they want to stamp out these practices once and for all.
Dubravka Šuica (PPE), napisan. ‒ Nacrt direktive predlaže izmjenu Direktive 2011/16/EU o administrativnoj suradnji, kako bi se osigurala obvezna automatska razmjena informacija u području oporezivanja u pogledu prekograničnog učinka i prethodnih sporazuma o transfernim cijenama. Izazov uzrokovan prekograničnim izbjegavanjem poreza, agresivnim poreznim planiranjem te štetnim poreznim natjecanjem, posljednjih se godina znatno povećao te se smatra ozbiljnim problemom, kako u Uniji tako i na svjetskoj razini.
Konkretno, odluke o porezno motiviranim strukturama dovode do niske razine oporezivanja umjetno visokih iznosa dohotka u državi koja je izdala prethodno mišljenje, te mogu dovesti do umjetnog smanjenja iznosa oporezivog dohotka u drugim uključenim državama. Ovo izvješće u potpunosti podržavam jer predviđa povećanje transparentnosti, te bi državama članicama i Komisiji omogućilo pristup svim relevantnim informacijama kako bi mogle poduzeti mjere protiv daljnjih nezakonitih praksi u području porezne politike.
Richard Sulík (ECR), písomne ‒ návrh som nepodporil, keďže neodôvodnene zahŕňa aj rozhodnutia súdov v oblastí daní, ktoré sa žiadnym spôsobom netýkajú cezhraničných transakcií. Návrh tak zbytočne zvyšuje administratívnu záťaž a navyše predstavuje zásadné riziká v oblasti ochrany osobných údajov.
Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Glasovala sem za poročilo glede obvezne avtomatične izmenjave podatkov na področju obdavčenja. Prvič po aferi Luxleaks smo na plenarnem zasedanju razpravljali o konkretni zakonodaji na področju davkov. Kot ena izmed institucij EU moramo poslati jasen signal, da se zavzemamo za jasno, pregledno in pravično davčno zakonodajo. Pozdravljam predlog Komisije, da morajo biti davčna stališča, ki imajo čezmejni pomen, avtomatsko posredovana ustreznim državam članicam. Pri tem bi pa rada opozorila, da je potrebno striktno nadzorovati, da ne bi države članice davčnega prava zavestno uporabljale proti drugim državam članicam.
Kay Swinburne (ECR), in writing. ‒ While I support the Commission’s swift response to the challenges posed by cross-border tax avoidance, aggressive tax planning and harmful tax competition by the exchange of information for cross-border tax rulings and would like to aid tax authorities in quickly identify tax illegalities. I cannot support the EP’s change of scope to include a public exchange of all rulings through a central register. This does not take into account rules governing data protection and commercially sensitive information.
Tibor Szanyi (S&D), írásban. ‒ Szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását, amely hozzájárul az adózás területére vonatkozó kötelező automatikus információcsere rendszerének gördülékeny és folyamatos biztosításához.
Örömmel vettem a jelentés azon módosítóját, mely lefekteti, hogy az Európai Parlament nem tűri az adócsalást és az adókikerülést, és kiáll az adóteher polgárok és vállalatok közötti méltányos elosztása mellett.
Ugyancsak egyetértek azzal a kiegészítéssel, mely szerint célravezető és hatékony szankciókat kell kidolgozni arra az esetre, ha a tagállamok elmulasztják a feltételes adómegállapítási határozatok és az előzetes árképzési megállapodásokra vonatkozó határozatok, illetve megállapodások megosztását. Csak így érhető el a transzparencia biztosítása, mely alapfeltétel a jogbiztonság és az adóigazságosság növeléséhez, és ösztönzőleg hat a kis- és középvállalkozások fejlődésére, a beruházásokra és az innovációra.
A LuxLeaks botrány bebizonyította: a transzparencia hiánya komoly károkat okoz a tagállamoknak és igazságtalan adóterheket ró a tisztességes adófizetőkre, ideértve azon vállalatokat is, amelyek nem részesültek különleges bánásmódban. Azt várjuk a feltételes adómegállapításokra vonatkozó információk EU-n belüli automatikus cseréjéről, hogy véget vet az egyes tagállamok illegitim eljárásainak és hozzájárul egy stabil adórendszer kialakításához.
Adam Szejnfeld (PPE), na piśmie. ‒ Uczciwa konkurencja jest motorem rozwoju, ale aby tak było, muszą być zachowane wszystkie zasady równej rywalizacji biznesu na globalnym rynku. Jednym z kluczowych elementów jest uczciwe realizowanie obowiązku podatkowego. Współpraca państw w tym zakresie jest zatem ważna i potrzebna. Zaproponowane przez Komisję poprawki do dyrektywy 2011/16/UE w zakresie obowiązkowej wymiany informacji w dziedzinie opodatkowania są słusznym krokiem w kierunku polepszenia obecnego prawa. Zdecydowałem się zagłosować za sprawozdaniem i wierzę, że Rada podejmie w jak najszybszym czasie właściwe decyzje, co przyniesie korzyści państwom członkowskim, ale w efekcie – i samym przedsiębiorcom.
Claudia Tapardel (S&D), in writing. ‒ Increasing transparency and fighting against aggressive tax planning is one of the issues the Parliament has taken the lead on.
The current legal framework (Directive 2011/16/EU), gives Member States the discretion to decide whether a tax ruling might be relevant to another EU country.
This creates a situation where a Member State can issue tax rulings without being aware to other tax rulings issued elsewhere in the EU, which may impact their own tax bases. Moreover, as the information exchanged between the Member States is very limited and not mandatory, we are falling short from creating a more transparent and responsible tax regime.
Amending this current legal framework will increase required transparency.
The current report supports the Commission's proposal, which sets the scope and conditions for mandatory automatic exchange of information on types of cross-border tax rulings and transfer pricing arrangements.
The Parliament calls to extend the scope of the Directive to all rulings, exchange all valid tax rulings already before the entry into force of the Directive, and introduce sanctions in case of non-compliance.
The adoption of this report will prevent companies from exploiting loop holes to artificially reduce their tax contribution, therefore I voted in favour of it.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté pour le texte et je salue mon collègue, Hugues Bayet, pour son analyse pointue. La balle est maintenant clairement dans le camp des États membres dont les dernières propositions, le 6 octobre dernier, manquaient d'ambition. Et cela, alors que nous savons avec la décision de la Commission européenne que certains accords fiscaux sont non seulement immoraux mais également illégaux. Il s'agit d'aides d'État illégales qui mènent à une concurrence déloyale.
Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this report because an increase in transparency concerning tax rulings is needed. The report seeks to amend Directive 2011/16/EU on administrative cooperation, as regards mandatory automatic exchange of information in the field of taxation. The reason is that currently, Member States share very little information with one another about their tax rulings. As a result, they do not spontaneously exchange their tax rulings and are often unaware of cross-border tax rulings issued elsewhere in the EU which may impact their own tax bases. To bring more transparency, the mechanisms established by Council Directive 2011/16/EU need to be enhanced. Regarding some of the European Parliament’s amendments to the Commission proposal, it agreed that the Directive should apply to all tax rulings and not just cross border rulings and advance pricing arrangements, since purely national transactions can also have cross-border effects.
Isabelle Thomas (S&D), par écrit. ‒ À la suite du scandale LuxLeaks, Pierre Moscovici a proposé un premier paquet de mesures pour lutter contre le dumping fiscal. La principale consiste à rendre obligatoire l'échange d'informations sur les rescrits fiscaux – comprendre les cadeaux fiscaux – entre les États membres et la Commission, avec une rétroactivité de 10 ans.
Le Conseil, en première lecture, a choisi de réduire la rétroactivité à 5 ans et a refusé que la Commission accède à ces informations, la privant, de fait, de toute capacité à enquêter.
Le Parlement européen a réagi: nous proposons dans ce rapport que l'ensemble des rescrits fiscaux en vigueur soient obligatoirement et automatiquement placés sur une plateforme accessible à la Commission, sans critère de rétroactivité.
Je soutiens fermement ce rapport, car la lutte contre le dumping fiscal est pour moi une priorité. Les faveurs octroyées aux multinationales mettent en péril les finances publiques et nos standards sociaux. Mais nous devons aller plus loin en adoptant une taxe européenne sur les multinationales, seul instrument capable de mettre fin à la course au moins-disant fiscal en Europe.
Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Poročilo o predlogu direktive Sveta o spremembi Direktive 2011/16/EU glede obvezne avtomatične izmenjave podatkov na področju obdavčenja sem podprla, ker kljub temu, da je močno okrnjeno od prvotnega predloga Komisije, prinaša izboljšanje orodja in mehanizmov za povečanje preglednosti nad izogibanju davkom, agresivnim davčnim načrtovanjem in škodljivim davčnim konkurencam, s tem podjetja ne bodo več mogla izkoriščati sistema in umetno zmanjševati svojo davčno obveznost.
Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe y de la Resolución legislativa en cuestión, que es uno de los resultados de los Luxleaks (filtraciones que dejaron al descubierto los acuerdos entre el Estado de Luxemburgo y multinacionales que facilitaban la elusión fiscal). Con él se establece la obligatoriedad para los Estados de transmitir los acuerdos que alcancen con multinacionales respecto a impuestos a la Comisión. Hubiéramos querido que los acuerdos fueran hechos públicos y no solo transmitidos a la Comisión, pero esto fue rechazado por los grupos mayoritarios.
Ulrike Trebesius (ECR), schriftlich. ‒ Im Bericht wird der Austausch von zwischenstaatlich relevanten Steuervorbescheiden zwischen den Verwaltungen der Mitgliedstaaten behandelt. Diese Informationen sollen in Zukunft automatisch, umfassender und schneller ausgetauscht werden. Auch die Kommission soll zukünftig Zugriff auf diese Daten erhalten und ein zentrales Register aufbauen.
Steuervorbescheide werden verwendet, um Unternehmen über die steuerliche Behandlung bestimmter unternehmerischer Aktivitäten zu informieren. Ein Steuervorbescheid ist, soweit er einem Unternehmen Planungssicherheit ermöglicht, ein sinnvolles Instrument. Allerdings wurde durch die Luxleaks-Enthüllungen deutlich, dass Steuervorbescheide auch missbräuchlich verwendet werden können. Im Ergebnis wurden in einigen Fällen mit Hilfe von Steuervorbescheiden international tätigen Unternehmen selektive Steuervorteile eingeräumt. Ausschließlich lokal und national agierende KMU erfahren dadurch einen bedeutsamen Wettbewerbsnachteil.
ALFA ist für einen transparenten und damit ehrlichen Wettbewerb, sowohl zwischen Unternehmen als auch zwischen Staaten. Die im Bericht vorgeschlagenen Maßnahmen sind geeignet die Transparenz im europäischen Steuerwettbewerb zu erhöhen und Verzerrungen in der Besteuerung unterschiedlicher Unternehmensgattungen abzubauen. Die Maßnahmen sind ferner geeignet dem grundsätzlich wünschenswerten Wettbewerb zwischen den Mitgliedstaaten einen transparenteren Rahmen zu geben und ihn damit zu stärken. Die Informationsweitergabe an die Kommission ist notwendig, damit sie ihrer Rolle als Hüterin des zwischenstaatlichen Wettbewerbs gerecht werden kann. Diese Anliegen unterstütze ich ausdrücklich und habe für den Bericht gestimmt.
Mylène Troszczynski (ENF), par écrit. ‒ Le scandale des LuxLeaks a donné lieu à une proposition de directive, présentée au printemps par le commissaire Moscovici, visant à instaurer l'échange automatique d'informations, entre administrations des États membres, sur les rescrits fiscaux ou mesures assimilées qu'elles accordent (validation de prix de transferts ou de montages divers).
L'idée est d'avoir une transparence sur ces pratiques, certes le plus souvent légales, afin de décourager les États et les entreprises d'y avoir recours de manière excessive (dumping fiscal). J'ai voté pour l'adoption de ce texte.
István Ujhelyi (S&D), írásban. ‒ A határokon átnyúló adókikerülés, az agresszív adótervezés és a káros adóverseny problémája az elmúlt években egyre súlyosabb kihívásként merült fel, és az Európai Unióban és világszerte előtérbe került. 2013. május 21-i állásfoglalásában az Európai Parlament hangsúlyozta, hogy az Uniónak vezető szerepet kell vállalnia az adócsalás, az adókikerülés és az adóparadicsomok elleni küzdelemről folyó, globális szintű megbeszéléseken, mindenekelőtt az információcsere előmozdításával kapcsolatban. A jelenlegi jogi keretek között a tagállamok feltételes adómegállapítási határozataikkal kapcsolatban nagyon kevés információt osztanak meg egymással. Az irányelvtervezet új cikkel egészíti ki a jelenlegi irányelvet, amely a bizonyos típusú határokon átnyúló vonatkozású feltételes adómegállapítási határozatokra és transzferár-megállapodásokra vonatkozó információk kötelező automatikus megosztásának alkalmazási körét és feltételeit határozza meg. Szavazatommal támogattam a jelentést.
Traian Ungureanu (PPE), în scris. ‒ Propunerea de Directivă a Consiliului de modificare a Directivei 2011/16/UE în ceea ce privește schimbul automat obligatoriu de informații în domeniul fiscal prevede ca toate deciziile fiscale prealabile ale unui stat membru care au o dimensiune transfrontalieră să fie puse la dispoziția celorlalte state membre printr-un schimb automat de informații.
Raportul Parlamentului European sprijină propunerea Comisiei, aducând o serie de îmbunătățiri în ceea ce privește domeniul de aplicare al schimbului obligatoriu de informații, modalitățile de comunicare a deciziilor și transparența față de cetățeni.
Prin votul acordat, Parlamentul dorește să transmită un mesaj clar în favoarea transparenței, a clarității și a unei concurențe fiscale echitabile în Uniunea Europeană.
Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe y de la Resolución legislativa en cuestión, que es uno de los resultados de los Luxleaks (filtraciones que dejaron al descubierto los acuerdos entre el Estado de Luxemburgo y multinacionales que facilitaban la elusión fiscal). Con él se establece la obligatoriedad para los Estados de transmitir los acuerdos que alcancen con multinacionales respecto a impuestos a la Comisión. Hubiéramos querido que los acuerdos fueran hechos públicos y no solo transmitidos a la Comisión, pero esto fue rechazado por los grupos mayoritarios.
Ivo Vajgl (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this text in order to express my strong determination not to tolerate tax fraud and tax avoidance, as well as to advocate for a fair distribution of the tax burden between citizens and companies. Considering that there are different national administrative practices, I believe that advanced tax rulings facilitate the consistent and transparent application of the law and an efficient exchange and processing of tax information. Additionally, the resulting peer pressure would have a strong deterrent effect against the introduction of harmful tax practices and would allow Member States and the Commission to have all the relevant information at their disposal in order to take action against such practices. These measures definitely contribute to greater transparency and to the prevention of tax frauds.
Ramón Luis Valcárcel Siso (PPE), por escrito. ‒ Hablamos de una directiva que modifica la Directiva 2011/16/UE sobre la cooperación administrativa para asegurar un obligatorio intercambio automático de información tendente a luchar contra el reto de la evasión fiscal transfronteriza o la competencia fiscal desleal, asuntos estos de gran importancia para la Europa estos días. Por todo ello, considero necesario votar a favor de dicho informe.
Marco Valli (EFDD),per iscritto. – Ho votato contro questa relazione attraverso cui il Parlamento ha espresso la sua posizione sulla revisione della direttiva sullo scambio automatico obbligatorio di informazioni nel settore fiscale, resa necessaria per rispondere in modo più efficace alle sfide poste dal fenomeno dell'elusione fiscale delle multinazionali esploso con lo scandalo LuxLeaks.
Pur proponendo alcuni passi in avanti, questa relazione rinuncia infatti a puntare sull'unica arma disponibile veramente efficace per contrastare le pratiche di elusione fiscale aggressive, ovvero la piena trasparenza delle informazioni relative ai tax rulings, gli accordi in ambito fiscale tra multinazionali e governi che si sono sviluppati proprio grazie alla segretezza.
Noi ci siamo battuti per la creazione di un registro pubblico facilmente accessibile di tutte le informazioni e dati relativi ai tax rulings, uno strumento di semplice attuazione, fortemente sostenuto dalla società civile, ma che non ha trovato il consenso di quella parte del Parlamento più sensibile agli interessi delle multinazionali e dei poteri forti. Per questo ho votato contro questa relazione.
Ángela Vallina (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe debido a que supone una mejora objetiva de las obligaciones de intercambio de información en el campo impositivo. Pese a que este informe continúa permitiendo el recurso a los paraísos fiscales por parte de los evasores europeos, supone una innegable mejora. El informe reconoce el perjuicio generado a las pymes por parte de las grandes empresas que localizan sus beneficios en este tipo de paraísos. Desde nuestro punto de vista el intercambio de información es una condición necesaria pero no suficiente en la corrección de los abusos fiscales que se producen en Europa. Sin embargo, reconocemos el valor de este pequeño paso adelante y es por esto por lo que he decidido votar a favor del presente informe.
Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Na sequência dos escândalos fiscais Offshoreleaks, Luxleaks e Swissleak, as instituições europeias parecem estar empenhadas nesta batalha contra a fraude e a evasão fiscal.
Contudo, temos de garantir que todas as medidas e propostas em curso não sejam um mero adorno legislativo, mantendo-se tudo na mesma.
Senão vejamos:
A proposta do conselho sobre a troca automática de informações representa um claro recuo face às expetativas iniciais;
– O regulamento de troca de informações com a Suíça conta vários subterfúgios ao seu cumprimento;
– O trabalho da Comissão TAXE foi sempre dificultado. Treze governos, entre os quais os da Holanda, do Luxemburgo e do Reino Unido, negaram o acesso aos documentos do grupo "Código de conduta";
– As reservas em tornar públicos os acordos fiscais e as declarações por países das multinacionais são evidentes.
São indícios que nos levam a duvidar da real vontade política em atacar o problema. Até porque quanto mais avançamos, mais claro fica o comprometimento das principais figuras e dos partidos que apoiam as instituições da UE, a começar pelos presidentes da Comissão Europeia e do Eurogrupo.
Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Die Einrichtung eines öffentlichen Verzeichnisses, in dem alle Informationen von allen EU-Bürgern abrufbar sind, ist strikt abzulehnen. Daher fand dieser Bericht nicht meine Zustimmung.
Beatrix von Storch (ECR),schriftlich. – Die hier besprochene Richtlinie ist eine von mehreren Initiativen, vorgeblich zur Verhinderung der Steuerumgehung. Aber Unternehmen sind nur ihren Eigentümern und dem Finanzamt gegenüber verantwortlich, nicht jedoch den EU-Behörden. Nun soll der Steuerwettbewerb durch die europäische Harmonisierung der Steuerbemessungsgrundlagen abgeschafft und das „gläserne Unternehmen“ geschaffen werden. Beides lehne ich strikt ab und stimmte deswegen gegen diese Entschließung. Den Anspruch der Öffentlichkeit auf Informationen über steuerliche Angelegenheiten von Firmen verneine ich unter Verweis auf einen simplen Umstand: es handelt sich nicht um öffentliche, sondern private Einrichtungen. Börsennotierte Unternehmen müssen börsenrelevante Informationen veröffentlichen. Das reicht. Diese Entschließung des EP ist jedoch ein weiterer Schritt zur Kontrolle des Unternehmertums und zur Abschaffung des Steuerwettbewerbs zwischen den Mitgliedstaaten. Die Harmonisierung der Bemessungsgrundlage ist dabei nur der erste Schritt. Unternehmerische Freiheit wird überwacht, beispielsweise durch die geplante Errichtung eines unionsweiten Registers für wirtschaftliche Eigentümer, um mögliche Fälle von Steuervermeidung und Gewinnverlagerungen aufzuspüren. Das strategische Ziel hinter der politisch ach so korrekten Forderung nach steuerlicher Transparenz von Unternehmen ist nicht nur das „gläserne Unternehmern“, sondern der „gläserne Bürger“.
Jadwiga Wiśniewska (ECR), na piśmie. ‒ Poddany pod głosowanie dokument jest niewiążącym dla Rady stanowiskiem w odniesieniu do projektu przedstawionego przez Komisję Europejską. Dążąc do efektywnego rozwiązania transgranicznego problemu unikania opodatkowania, agresywnego planowania podatkowania oraz szkodliwej konkurencji podatkowej, Komisja złożyła propozycje nowelizacji dyrektywy 2011/16/UE w sprawie współpracy administracyjnej, co ma zwiększyć przejrzystość współpracy administracyjnej w dziedzinie opodatkowania. W odpowiedzi Parlament Europejski zaproponował objęcie zakresem dyrektywy 2011/16/UE wszystkich interpretacji podatkowych, nie ograniczając się przy tym wyłącznie do tych interpretacji, które mogą mieć skutek transgraniczny. Istnieje tym samym obawa, że znaczący wzrost obiegu informacji wymusi zmianę krajowych wymogów sprawozdawczych. Ponadto Parlament zaproponował stworzenie centralnej bazy danych gromadzącej składane sprawozdania roczne. Wobec nadmiernej skali nakładanych na państwa członkowskie obowiązków w zakresie sprawozdawczości, a także obaw dotyczących zachowania tajnego charakteru danych ujawnianych w sprawozdaniach rocznych, opowiedziałam się przeciwko stanowisku Parlamentu w tej sprawie.
Pablo Zalba Bidegain (PPE), por escrito. –La lucha contra la elusión fiscal y la planificación fiscal abusiva es una de las prioridades de la Unión Europea, tal como confirmaban las Conclusiones del Consejo Europeo de diciembre de 2014. Se trata, además, de una cuestión importante respecto de la cual se han de buscar soluciones a escala mundial.
Es esencial garantizar la obligación para las autoridades fiscales nacionales de la UE de intercambiar de manera automática información sobre los acuerdos tributarios transfronterizos y los acuerdos previos sobre precios de transferencia que formulen a las empresas; el objetivo tiene que ser aumentar la transparencia de dichos acuerdos.
Marco Zanni (EFDD), per iscritto. ‒ La direttiva 2011/16/UE del Consiglio era stata adottata in sostituzione di una precedente direttiva sull'assistenza reciproca tra gli Stati membri (direttiva 77/799/CEE del Consiglio), per rispondere alla necessità degli Stati membri di potenziare la cooperazione amministrativa nel settore della fiscalità. Scopo della proposta 2011/16/UE era quello di rafforzare una cooperazione amministrativa efficace ed esaustiva tra le amministrazioni fiscali, istituendo uno scambio automatico obbligatorio di informazioni sui ruling preventivi (transfrontalieri) e sugli accordi preventivi sui prezzi di trasferimento.
Il Parlamento europeo ha avuto come principale obiettivo, attraverso questa relazione, quello di eliminare qualsiasi riferimento in questa direttiva alla dimensione transfrontaliera dei ruling, allargandone cioè la portata, e migliorando al contempo la tempistica di comunicazione degli stessi, anche se avrei preferito un periodo di valutazione retroattiva più ampio. Avrei gradito inoltre una maggiore trasparenza, garantita dal fatto di avere un registro pubblico accessibile a tutti, nel quale fossero obbligatoriamente inseriti i dati relativi agli accordi fiscali sottoscritti. Per questo motivo il mio voto finale è stato negativo, pur ammettendo alcuni miglioramenti apportati rispetto alla situazione attuale.
Σωτήριος Ζαριανόπουλος (NI),γραπτώς. – Η οδηγία για την ανταλλαγή πληροφοριών μεταξύ των κρατών μελών σχετικά με τις ευνοϊκές φορολογικές αποφάσεις για τις επιχειρήσεις δεν πρόκειται να περιορίσει τα προκλητικά φορολογικά προνόμια των διεθνικών επιχειρηματικών ομίλων και την ασυλία των μονοπωλίων. Το τελικό κείμενο περιορίζει το, έτσι κι αλλιώς αρχικά περιορισμένο, πεδίο εφαρμογής της, μόνο σε υποθέσεις με διασυνοριακό χαρακτήρα, επεκτείνει το χρόνο στον οποίο ανταλλάσσονται οι πληροφορίες και μειώνει σε διάστημα μιας πενταετίας πριν την υποχρέωση των φορολογικών αρχών για γνωστοποίηση των σχετικών αποφάσεών τους. Όπως μάλιστα αναγνωρίζει και η ίδια η οδηγία, οι αποφάσεις των εθνικών φορολογικών αρχών που παρέχουν κάθε είδους φορολογικά προνόμια και φοροαπαλλαγές στους μεγάλους ομίλους είναι «νόμιμες», σύμφωνα με την εθνική τους νομοθεσία. Υπέρτατος νόμος κάθε καπιταλιστικού κράτους και κάθε αστικής κυβέρνησης είναι να προστατεύει με τη νομοθεσία του την καπιταλιστική ιδιοκτησία και τα κέρδη του κεφαλαίου. Η ίδια η φύση της ΕΕ, που στηρίζεται πάνω στην ελευθερία κίνησης του κεφαλαίου νομιμοποιεί και υπηρετεί την φοροασυλία των επιχειρηματικών ομίλων, για την οποία υποκριτικά και προκλητικά χύνουν κροκοδείλια δάκρυα τα όργανα της ΕΕ. Οι λαοί μπορούν ζήσουν χωρίς μονοπώλια και χωρίς εκμετάλλευση, όταν αποφασίσουν να βάλουν τέλος στην εξουσία τους, παίρνοντας εκείνοι στα χέρια τους τον πλούτο που παράγουν.
Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. ‒ O objetivo da alteração da diretiva 2011/16/UE é que a mesma contemple a troca automática de informações no campo da fiscalidade. Neste sentido, pretende-se que fique estabelecida uma cooperação administrativa entre as Autoridades Tributárias dos Estados-Membros no que à obrigatoriedade da troca automática de informações em matéria de acordos fiscais prévios transfronteiras e de acordos prévios de preços de transferência diz respeito.
Não estamos de acordo com a justificação de que a necessidade da obrigatoriedade da troca automática é essencialmente justificada para promover o bom funcionamento do mercado único. Não obstante, consideramos o objetivo positivo, pelo que votámos a favor.