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Förfarande : 2013/0443(COD)
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Dokumentgång : A8-0249/2015

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A8-0249/2015

Debatter :

PV 28/10/2015 - 6
CRE 28/10/2015 - 6
PV 23/11/2016 - 7
CRE 23/11/2016 - 7

Omröstningar :

PV 28/10/2015 - 7.7
CRE 28/10/2015 - 7.7
Röstförklaringar
Röstförklaringar
PV 23/11/2016 - 10.3
Röstförklaringar

Antagna texter :

P8_TA(2015)0381
P8_TA(2016)0438

Fullständigt förhandlingsreferat
Onsdagen den 28 oktober 2015 - Strasbourg Reviderad upplaga

8.7. Utsläpp av vissa luftföroreningar (A8-0249/2015 - Julie Girling)
  

Dichiarazioni di voto scritte

 
  
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  Lars Adaktusson (PPE), skriftlig. ‒ När Europaparlamentet i dag röstade om det så kallade takdirektivet rörande nationella utsläppstak för svavel, kväve och andra brännbara gaser röstade jag för kommissionens förslag. Detta förslag innebär en minskning av utsläppen med 70 procent av vad som är tekniskt möjligt fram till år 2030. Detta kommer att innebära en bättre luftkvalitet, vilket kommer att ha positiv betydelse för såväl människors hälsa som för miljön. Jag röstade emot de yrkanden som önskade gå längre än kommissionen eftersom dessa till skillnad från kommissionens förslag saknar konsekvensbedömning.

 
  
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  Clara Eugenia Aguilera García (S&D), por escrito. ‒ Los socialistas respaldamos los planes de la Comisión Europea para imponer límites más estrictos y vinculantes a las emisiones de contaminantes atmosféricos, los cuales deberán alcanzarse entre 2020 y 2030. La contaminación del aire tiene unos costes humanos, medioambientales y económicos enormes; así, alrededor de 400 000 personas fallecen prematuramente en la UE cada año por esta causa.

En torno al 62 % del territorio comunitario está sometido a eutrofización, incluidos el 71 % de los ecosistemas Natura 2000. Los costes totales se cifran entre 330 000 y 940 000 millones de euros al año, incluyendo un daño económico directo de 15 000 millones de días de trabajo perdidos, 4 000 millones en servicios sanitarios, 3 000 por pérdida de cosechas y 1 000 por daños a los edificios, según datos de la Comisión Europea.

 
  
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  Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ La propuesta de Directiva NEC revisada sustituye al actual régimen de la Unión en la nivelación anual de las emisiones nacionales de los contaminantes del aire, según la definición establecida en la Directiva 2001/81/CE, para cuatro contaminantes atmosféricos, a saber, el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx), los compuestos orgánicos volátiles distintos del metano (COVNM) y el amoníaco (NH3), hasta 2020.

La Directiva NEC revisada establece los controles sobre los diferentes tipos de contaminación del aire en cada Estado miembro. Su objetivo es reducir a la mitad de aquí a 2030 el número de muertes prematuras —estimado en 400 000 al año en la UE— causadas por la contaminación del aire.

La revisión propuesta establece nuevos compromisos nacionales de reducción de emisiones aplicables a partir de 2020 y 2030 para los cuatro contaminantes mencionados y también para las partículas finas (PM2,5) y el metano (CH4).

A pesar de que hay puntos importantes que no se consiguieron aprobar (elimina objetivos vinculantes para el metano), he votado a favor de este informe ya que considero que es más exigente que la propuesta de la Comisión y que, por tanto, la mejora.

 
  
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  Éric Andrieu (S&D), par écrit. ‒ La Commission nous propose d'intégrer le méthane dans les plafonds d'émission de polluants nationaux et la législation portant sur la qualité de l'air. Pour l'agriculture, cela signifie l'intégration du méthane résultant de l'ingestion de l'herbe par les ruminants consommée en particulier dans les zones d'élevages traditionnels et extensifs situées très souvent sur des territoires peu prospères. Je m'oppose à cette idée car ces élevages disposent d'un très faible potentiel d'atténuation des émissions, en raison notamment de l'absence de solution technique efficace permettant d'empêcher les vaches de rejeter du méthane dit entérique. Il est difficile d'aller contre la nature.

Vouloir intégrer ce méthane dans les obligations de la directive conduirait à une réduction des cheptels voire à un abandon des systèmes d'élevage herbagers. Cela reviendrait à favoriser des modèles d'élevages intensifs moins favorables à l'environnement et aux territoires fragiles. Je me réjouis que notre assemblée ait tenu compte de la réalité de l'agriculture sans pour autant négliger les enjeux de santé publique et de l'environnement. Elle permettra de lever bien des inquiétudes dans le monde de l'élevage actuellement secoué par les crises.

 
  
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  Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté contre la proposition de la Commission. En effet, la directive qu'elle souhaite mettre en place inclut le méthane et l'ammoniac parmi les polluants qu'il faut réguler. La Commission propose à cet effet la mise en place de seuils jusqu'en 2030. Ces régulations risquent en effet d'être très contraignantes pour les agriculteurs et éleveurs français.

 
  
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  Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ The implementation costs of this resolution are estimated to be in the order of EUR 3 billion per year. I oppose the inclusion of methane in this directive, although I note that various deletion amendments were passed.

 
  
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  Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ A quelques semaines de la COP21 à Paris, le Parlement européen exprime sa volonté d'endiguer les dommages causés à la couche d'ozone. Je partage cet objectif vital pour la planète, mais j'ai estimé nécessaire de m'opposer à la mesure visant à introduire des plafonds d'émission pour le méthane en particulier celui dit "entérique" qui est produit par les bovins. Dans un contexte économique difficile, cette nouvelle norme aurait porté préjudice aux éleveurs de bovins et notamment aux producteurs de lait qui ont fait le choix d'un mode de culture extensive. Je fais confiance aux éleveurs qui ont déjà mis en œuvre de nouvelles pratiques répondant aux impératifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La PAC fait l'objet de "verdissement". Il convient d'éviter la "double peine" du fait de nouvelles normes. J'ai donc soutenu et voté un amendement visant à exclure les émissions de méthane entérique de cette directive. Je me réjouis de son adoption et j'espère que cette décision sera soutenue par le Conseil européen lors des prochaines négociations. Dans un contexte de mondialisation, nous devons être conscients que l'air ignore les frontières et que l'édiction de normes en Europe ne doit pas avoir pour conséquence de pousser les producteurs à se délocaliser.

 
  
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  Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pasiūlymo dėl tam tikrų į atmosferą išmetamų teršalų. Oro teršalai yra svarbi žmogaus sveikatai ir aplinkai tarpvalstybinė problema, kuri daro milžinišką poveikį visiems ES piliečiams ir reikalauja nedelsiant imtis veiksmų. Prasta oro kokybė prisideda prie per ankstyvų mirčių, nedarbingumo dėl ligos bei didelių sveikatos priežiūros išlaidų. Europoje su sveikata susijusios bendros išorinės išlaidos dėl oro taršos visuomenei apytiksliai per metus kainuoja nuo 330 iki 940 mlrd. EUR. Be to, pateikiama vis daugiau įrodymų, kad dėl atmosferos azoto nuosėdų kinta natūrali aplinka, pvz., dėl eutrofikacijos ir rūgštėjimo sumažėja žemės paviršiaus augalijos įvairovė, sulėtėja augalų augimas ir atsiranda nesubalansuota mityba. Visoje Sąjungoje dedamos pastangos oro taršai mažinti, tačiau dauguma valstybių narių neatitinka sutartų standartų. Komisijos pasiūlyme panaikinama ir pakeičiama esama Išmetimo nacionalinių ribų (INR) direktyva, 2020 m. ir 2030 m. nustatant naujus išmetamo sieros dioksido, azoto oksidų, amoniako ir nemetaninių lakiųjų organinių junginių kiekio apribojimus.

 
  
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  Gerard Batten (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ Sachant que 90 % des Européens vivant en ville sont exposés à des niveaux de pollution dommageables pour la santé humaine, j'ai soutenu cette résolution qui est favorable à des objectifs stricts et contraignants de limitation d'émissions toxiques pour 2025 et 2030. Les propositions incluent notamment la limitation de 6 polluants toxiques, le secteur agricole étant également concerné.

 
  
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  Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ Cette directive de la Commission proposée au Parlement européen poursuit l’œuvre de la directive PEN de 2001 sur les plafonds d’émissions de certains polluants atmosphériques pour le dioxyde de souffre, l’oxyde d’azote, l’ammoniac et les composés organiques volatiles non méthaniques (NMVOC) jusqu’en 2020. La nouvelle directive propose de nouveaux seuils jusqu’en 2030 en ajoutant le méthane (gaz polluant provenant en grande partie des activités agricoles et de bétails) et les particules fines.

Le rapporteur proposait une échéance plus contraignante en 2025 mais refuse l'inclusion du méthane (cf. agriculture). Les élus FN en Commission ont soutenu la position contre l'inclusion du méthane et contre la mention de l'ammoniac afin de limiter le poids réglementaire sur l'agriculture et certaines industries. J'ai donc voté contre.

 
  
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  Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ Ritengo la relazione Girling poco obiettiva ed equilibrata nella valutazione delle soglie limite di emissione di determinati inquinanti, in particolare quelle relative al metano, che avrebbe ripercussioni negative rispetto al settore agricolo già duramente colpito dalla crisi, per questi motivi non ho inteso sostenerla col mio voto.

 
  
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  José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ La contaminación atmosférica es responsable de la muerte prematura de más de 400 000 personas cada año y su coste económico para el sistema sanitario se estima entre 300 000 y 900 000 millones de euros anualmente. Aproximadamente el 90 % de los europeos que viven en ciudades están expuestos a un nivel de contaminación atmosférica perjudicial para la salud humana. Además, los grupos sociodemográficos vulnerables, en particular las mujeres embarazadas, los niños y las personas mayores, así como aquellos colectivos de bajos ingresos, están particularmente afectados.

La propuesta de Directiva sobre techos nacionales de emisión reemplaza el actual régimen de límites de emisiones nacionales de ciertos contaminantes atmosféricos, en particular sulfuro (SO2), nitrógeno (NOx), compuestos orgánicos volátiles (NMVOC) y amoníaco (NH3) hasta 2020. Incluye el establecimiento de nuevos compromisos de reducción de emisiones nacionales aplicables para 2020 y 2030 para los contaminantes atmosféricos arriba mencionados, así como para partículas finas (PM2,5) y metano (CH4). Además, los Estados Miembros redactarán programas nacionales de control de contaminación atmosférica.

Por estas razones, he votado a favor de esta propuesta legislativa imprescindible para mejorar la calidad del aire en Europa. Además, con el objetivo de ayudar al sector agrícola, he apoyado la exclusión del metano del ámbito de aplicación de la Directiva.

 
  
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  Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pranešimo, nes juo Parlamentas išsakė savo poziciją dėl tam tikrų valstybėse narėse išmetamų teršalų mažinimo direktyvos. Pastaruoju metu oro tarša politinėje darbotvarkėje iškilo kaip pagrindinė visuomenės sveikatos problema. Prasta oro kokybė prisideda prie per ankstyvų mirčių, nedarbingumo dėl ligos, didelių sveikatos priežiūros išlaidų, prarasto produktyvumo, prarastų pasėlių ir žalos pastatams. Europoje su sveikata susijusios bendros išorinės išlaidos dėl oro taršos visuomenei apytiksliai per metus kainuoja nuo 330 iki 940 mlrd. EUR. Be to, pateikiama vis daugiau įrodymų, kad dėl atmosferos azoto nuosėdų kinta natūrali aplinka, pvz., dėl eutrofikacijos ir rūgštėjimo sumažėja žemės paviršiaus augalijos įvairovė, sulėtėja augalų augimas ir atsiranda nesubalansuota mityba. Visoje Sąjungoje dedamos pastangos oro taršai mažinti, tačiau dauguma valstybių narių neatitinka sutartų standartų. Sudėtingiausia pasiūlymo dalis yra tikslai dėl 2030 m., nes nustatomi skirtingi apribojimai kiekvienai valstybei narei ir kiekvienam teršalui. Komisija nustatė apribojimus atskiroms valstybėms narėms pagal tai, kur, jos vertinimu, galima imtis ekonomiškai naudingiausių priemonių.

 
  
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  Franc Bogovič (PPE), pisno. ‒ Predlagano direktivo s sprejetimi razumnimi kompromisnimi amandmaji sem podprl, saj podpiram prehod EU v nizkoogljično družbo. Ob razumnih in realnih pogojih seveda. Prehod ne sme biti v škodo kmetijstva in industrije kot dveh največjih onesnaževalcev.

Veseli me, da so bili zavrnjeni predlogi odbora ENVI, ki je postavil nerealno visoke cilje. Njihovo uresničevanje bi na primer med vsemi državami članicami EU največ stalo Slovenijo. Veseli me tudi, da je iz predloga direktive izločen metan, za amonjak pa je predlagana prilagoditvena shema. Tako je po mojem mnenju zagotovljena konkurenčnost industrije in kmetijstva.

 
  
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  David Borrelli (EFDD), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione Girling sull'emissione di alcuni inquinanti atmosferici perché, nonostante ci fossero le condizioni per fare di più, complessivamente la valutazione è positiva.

I limiti degli inquinanti si sono abbassati rispetto alla proposta della commissione ENVI, ma si è riusciti a mantenere nell'ambito di applicazione della direttiva l'ammoniaca e il metano (con l'esclusione delle emissioni enteriche). Il mercurio purtroppo è rimasto escluso, ma quantomeno è passata la richiesta alla Commissione europea per uno studio di impatto che sarà seguito da una proposta legislativa. La situazione dell'inquinamento atmosferico è grave, l'aria che respiriamo ogni giorno è sempre più inquinata ed è, a mio modo di vedere, fondamentale avere una direttiva NEC forte che possa fare da traino a politiche per la qualità dell'aria ambiziose in tutti i settori.

 
  
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  Biljana Borzan (S&D), napisan. ‒ Svake godine preuranjeno umre 400 000 Europljana zbog onečišćenja zraka. Loša kvaliteta zraka uzrokuje najrazličitije bolesti, smanjuje kvalitetu života i dovodi do pretjerane upotrebe lijekova, povećanog prijema u bolnicama i milijuna izgubljenih radnih dana.

Onečišćenje zraka također utječe na europsku prirodu i bioraznolikost, poljoprivredni prinos i vegetaciju. Gubici u prinosima u poljoprivredi procjenjuju se na oko 3 milijarde eura u 2010. godini. Upravo zato podržavam ambiciozne ciljeve koje je predložila Europska komisija, ali uz ogradu kako je bilo potrebno dodati izuzeća za male poljoprivrednike.

 
  
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  Marie-Christine Boutonnet (ENF), par écrit. ‒ Le rapporteur refusait l'inclusion du méthane, ce qui avait été soutenu par les élus FN en commission afin de limiter le poids règlementaire sur l’agriculture et certaines industries. La directive, elle, ajoute le méthane et j'ai donc voté contre.

 
  
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  Renata Briano (S&D), per iscritto. ‒ Giusta è la proposta della Commissione UE di fissare limiti nazionali più elevati circa le emissioni dei principali agenti inquinanti. L'inquinamento dell'aria causa ogni anno nell'UE circa 400.000 morti premature. Le nuove regole potrebbero far risparmiare entro, il 2030, fino a 40 miliardi di euro per combattere l'inquinamento ambientale. L'Europa vuole porsi obiettivi ambiziosi, anche in vista della COP21 di Parigi. I nuovi limiti nazionali alle emissioni (NEC) riguardano: biossido di zolfo (SO2), ossidi d'azoto (NOx), composti organici non metanici (COVNM), metano (CH4), ammoniaca (NH3) e particolato (fino a PM 2.5 micrometri). Inoltre le nuove regole concorreranno anche a ridurre le emissioni di mercurio (HG). È giusto escludere dalla direttiva il metano prodotto naturalmente dalle mucche. Ora però è necessario proseguire la lotta contro gli sprechi alimentari, anche per ridurre l’inquinamento e il consumo di suolo. Circa un terzo della produzione mondiale di cibo destinata al consumo umano, infatti, si perde o si spreca lungo la filiera alimentare. Tale quantitativo corrisponde a uno spreco di circa 1,6 miliardi di tonnellate di alimenti. E non dobbiamo dimenticare che in molti paesi nel mondo si consuma troppa carne rispetto al reale bisogno nella nostra dieta.

 
  
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  Gianluca Buonanno (ENF), per iscritto. ‒ Voto contrario. Revisione della direttiva qualità dell'aria, che fissa le nuove soglie di emissione nazionali (National Emission Ceilings, NEC) dal 2020 al 2030. Rispetto alla proposta della Commissione, ENVI: - rende obbligatorie le soglie intermedie al 2025; - estende il campo di applicazione ad altri gas (metano CH4, ammoniaca NH3, mercurio HG). Tutti siamo a conoscenza delle estreme difficoltà che gli enti locali hanno a rispettare i limiti attuali, soprattutto in determinate aree geografiche sfavorevoli come la Padania. Perciò, riteniamo inutilmente gravoso fissare soglie di riduzione obbligatorie anche in fase intermedia, al 2025. Particolarmente controversa l'aggiunta di metano e ammoniaca, che ha un impatto rilevante sul settore agricolo (allevamento). Ma è l'aggiunta del metano a essere la discriminante per il nostro voto finale. Essendo un gas a effetto serra, interpretiamo la sua inclusione in questa direttiva come un (ennesimo) tentativo capzioso di mischiare la normativa antinquinamento con quella legata alle politiche climatiche (come si suol dire: le pere con le mele).

 
  
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  Soledad Cabezón Ruiz (S&D), por escrito. ‒ Los socialistas respaldamos los planes de la Comisión Europea para imponer límites más estrictos y vinculantes a las emisiones de contaminantes atmosféricos, los cuales deberán alcanzarse entre 2020 y 2030. La contaminación del aire tiene unos costes humanos, medioambientales y económicos enormes; así, alrededor de 400 000 personas fallecen prematuramente en la UE cada año por esta causa.

En torno al 62 % del territorio comunitario está sometido a eutrofización, incluidos el 71 % de los ecosistemas Natura 2000. Los costes totales se cifran entre 330 000 y 940 000 millones de euros al año, incluyendo un daño económico directo de 15 000 millones de días de trabajo perdidos, 4 000 millones en servicios sanitarios, 3 000 por pérdida de cosechas y 1 000 por daños a los edificios, según datos de la Comisión Europea.

 
  
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  Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ La directive sur la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques fait partie du paquet législatif proposé par la Commission sur la qualité de l'air. Ce texte propose la mise en place d'objectifs très ambitieux de réduction de certains gaz polluants. Il est très important d'augmenter la qualité de l'air dans la mesure où la pollution est responsable de nombreux décès chaque année. Cependant, il faut tâcher de rester réalistes et de mettre en place des objectifs contraignants qui ne mettent pas en péril la compétitivité économique de l'Union européenne. L'exemple de l'objectif de réduction du méthane est particulièrement parlant. Les émissions de méthane proviennent principalement du secteur agricole car les ruminants en sont les principaux responsables. Le secteur agricole connait actuellement des heures particulièrement difficiles. Imposer cette mesure à nos agriculteurs ne ferait qu'aggraver leur situation. J'ai donc voté en faveur de ce texte à la condition que les émissions de méthane entérique soient exclues du champ d'application de la législation.

 
  
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  Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione sulla proposta di direttiva del Parlamento europeo e del Consiglio concernente la riduzione delle emissioni nazionali di determinati inquinanti atmosferici e che modifica la direttiva 2003/35/CE. Credo infatti che una migliore qualità dell'aria sul territorio comunitario debba essere un obiettivo prioritario per le istituzioni europee. Con il voto di oggi il Parlamento ha fatto la sua parte approvando un testo in grado di ridurre in maniera significativa l'inquinamento atmosferico e di migliorare la qualità dell'aria nonché di salvare la vita delle persone, in quanto l'inquinamento in Europa provoca centinaia di migliaia di morti incidendo negativamente sul PIL degli Stati membri con costi altissimi collegati alla salute.

Ma il Parlamento da solo non può cambiare le cose, abbiamo bisogno di uno sforzo condiviso di Commissione, Stati membri e settori produttivi per raggiungere gli enormi benefici, sia a livello di salute pubblica che a livello economico, che un'aria più pulita può portare.

 
  
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  Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this report which sets the emission targets for certain atmospheric pollutants, including sulphur dioxide, nitrogen oxides and ammonia, until 2030. The revised Directive on the reduction of national emissions puts controls on different types of air pollution in each Member State. Its goal is to cut the number of premature deaths caused by air pollution – estimated as 400 000 a year in the EU – by half by 2030.

When voting on the proposed amendments, I bore in mind targets that could be realistically achieved by Ireland.

 
  
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  James Carver (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  David Casa (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of the report as I believe it is necessary to decrease emission levels in order to protect human health, animal welfare and the environment.

 
  
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  Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ Come saprete, l'inquinamento atmosferico rappresenta un grave problema di salute ambientale nell'Unione europea. Si stima, infatti, che la scarsa qualità dell'aria sia responsabile di oltre 400.000 morti premature ogni anno e causi malattie, ricoveri ospedalieri e milioni di giorni di lavoro persi, così come danni alla biodiversità, colture e agli edifici. Non potevo quindi che votare a favore di un testo volto a limitare le emissioni, prevedere l'accesso alle informazioni aggiornate sui progressi degli impegni nazionali di riduzione, intraprendere misure specifiche per proteggere la salute dei gruppi vulnerabili, sostenere la transizione verso investimenti in tecnologie pulite ed efficienti con incentivi fiscali, organizzare ispezioni ambientali regolari e di routine e garantire la consultazione pubblica.

 
  
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  Nessa Childers (S&D), in writing. ‒ I welcome the outcome of today’s vote to set stricter air pollutant emissions rules and ceilings, which Member State governments are bound to meet by 2030, with interim targets for 2025.

We want to control a suite of toxic pollutants that accounts for over half a million premature deaths throughout Europe. In Ireland alone, there are over three thousand premature deaths annually, by An Taisce’s estimates. Beyond the human cost, this represents a great loss to the Union in healthcare and social expenditure and productivity, and more than justifies restrictions that will spur innovation and cleaner industrial solutions. Some calculate the loss to be just short of a trillion euro, EU-wide.

Although cattle got off the hook for their belching, we have included under the rules ammonia and methane, mostly arising from agricultural use, given the vast emissions coming from this sector. Ammonia from agricultural sources is a surprisingly significant killer. It is quite regrettable; however, that Fine Gael’s parliamentary party in Europe chose to kill off the inclusion of mercury – which is churned out in dozens of tons every year – calling for a lengthy impact assessment instead. Coal pollution seems to have blinded many policymakers to the incontrovertible scientific evidence about this dangerous neurotoxin.

 
  
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  Λευτέρης Χριστοφόρου ( PPE), γραπτώς. ‒ Στην έκθεση τονίζεται ότι τα κράτη μέλη πρέπει να ενημερώνονται πλήρως σχετικά με τις επιδόσεις τους όσον αφορά τις ειδικές δεσμεύσεις τους για μείωση των εκπομπών. Όταν τα κράτη μέλη κινδυνεύουν να μην εκπληρώσουν τις υποχρεώσεις τους, θα πρέπει να προβλέπονται μέτρα για τον έγκαιρο εντοπισμό του προβλήματος, ώστε να παρέχεται στις χώρες η δυνατότητα λήψης διορθωτικών μέτρων.

 
  
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  Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione poiché tratta di una problematica importante e transfrontaliera sia per la salute umana, sia per l'ambiente, che riguarda tutti i cittadini dell'Unione e risulta ora tra le priorità strategiche. Inoltre la scarsa qualità dell'aria è causa di decessi prematuri, assenze dal lavoro per malattia, notevoli costi per l'assistenza sanitaria, perdita di produttività, diminuzione dei raccolti e danni agli edifici. Si stima che in Europa il totale dei costi sanitari esterni a carico della società e derivanti dall'inquinamento atmosferico sia compreso tra 330 e 940 miliardi di euro l'anno. Concordo quindi con il relatore che ritiene fondamentale conferire alle autorità competenti il potere di adottare i provvedimenti necessari per conformarsi alla legislazione pertinente e rispettare i limiti per il 2030. Un esempio eccellente di provvedimento sarebbe l'introduzione di zone a basse emissioni e un sistema sanzionatorio basato sull'inquinamento dovuto alla circolazione di veicoli, con l'obiettivo di ridurre le emissioni dei veicoli diesel nelle aree urbane maggiormente interessate da emissioni di ossidi di azoto e particolato.

 
  
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  David Coburn (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Jane Collins and Mike Hookem (EFDD), in writing. – Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Lara Comi (PPE), per iscritto. ‒ Preso atto che i trasporti contribuiscono a peggiorare la qualità dell'aria, ritengo che i produttori debbano ricorrere alle tecnologie pulite al fine di ridurre le emissioni di ossido di nitrogeno (NOx), particolato e altri inquinanti. A tal proposito, ritengo necessario un rafforzamento significativo dell'attuale sistema di omologazione dei veicoli dell'UE, che includa un maggiore controllo da parte dell'Unione europea stessa, in particolare per quanto riguarda la vigilanza del mercato, il coordinamento e un sistema di follow-up per i veicoli venduti nell'Unione. Inoltre, sono favorevole ad un riesame della direttiva sull'etichettatura delle automobili (1999/94/CE) al fine di migliorare la precisione delle informazioni fornite ai consumatori. È importante che i cittadini europei tornino ad avere piena fiducia nel settore automobilistico dell'UE, poiché l'Unione europea ha il dovere di salvaguardare la salute pubblica e assicurare il rispetto dei diritti dei consumatori.

 
  
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  Ignazio Corrao (EFDD), per iscritto. ‒ L'inquinamento atmosferico è un grave problema di salute ambientale nell'Unione europea. La scarsa qualità dell'aria è responsabile di oltre 400.000 morti premature ogni anno e causa malattie, ricoveri ospedalieri e milioni di giorni di lavoro persi, così come i danni alla biodiversità, colture e gli edifici. La proposta prevede tra le varie cose di avere accesso alle informazioni aggiornate sui progressi degli impegni nazionali di riduzione; rapporto costo-efficacia delle misure di riduzione delle emissioni; misure specifiche per proteggere la salute dei gruppi vulnerabili; avere livelli di qualità dell'aria raccomandati dall'Organizzazione mondiale della sanità (OMS); sostenere la transizione verso investimenti in tecnologie pulite ed efficienti con incentivi fiscali; ispezioni ambientali regolari e di routine e la sorveglianza del mercato; consultazione pubblica; fondo "aria pura" e forum europeo al fine di facilitare l'attuazione coordinata del programma "Aria pulita". Per gli ambiziosi obiettivi descritti sopra non posso che votare favorevolmente.

 
  
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  Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ La propuesta de Directiva NEC revisada sustituye al actual régimen de la Unión en la nivelación anual de las emisiones nacionales de los contaminantes del aire, según la definición establecida en la Directiva 2001/81/CE, para cuatro contaminantes atmosféricos, a saber, el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx), los compuestos orgánicos volátiles distintos del metano (COVNM) y el amoníaco (NH3), hasta 2020.

La Directiva NEC revisada establece los controles sobre los diferentes tipos de contaminación del aire en cada Estado miembro. Su objetivo es reducir a la mitad de aquí a 2030 el número de muertes prematuras —estimado en 400 000 al año en la UE— causadas por la contaminación del aire.

La revisión propuesta establece nuevos compromisos nacionales de reducción de emisiones aplicables a partir de 2020 y 2030 para los cuatro contaminantes mencionados y también para las partículas finas (PM2,5) y el metano (CH4).

A pesar de que hay puntos importantes que no se consiguieron aprobar (elimina objetivos vinculantes para el metano), he votado a favor de este informe ya que considero que es más exigente que la propuesta de la Comisión y que, por tanto, la mejora.

 
  
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  Pál Csáky (PPE), írásban. ‒ A Parlament jelentése támogatja az Európai Bizottság javaslatát a hat legfontosabb légszennyezőanyag, ezek között a nitrogén-oxidok, az ammónia és a metán esetében alkalmazandó tagállami kibocsátási határértékekről. 40 milliárd eurós gazdasági megtakarítást lehet elérni a kibocsátási határértékek tagállami tiszteletben tartásával, valamint egészségügyi szempontból is fontos a döntés, ezrek életét mentheti meg az új kibocsátási határértékek fegyelmezett követése.

 
  
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  Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ The proposal for this revised National Emission Ceilings Directive replaces the current Union regime on the annual capping of national emissions of air pollutants for SO2, NOx, NMVOCs and ammonia until 2020. This is very timely measure as the air quality in Europe is still far from achieving levels that do not result in acceptable risks to humans and the environment. Certain pollutants combine to create PM and ground-level ozone, which in turn adversely affect human health, the environment and the climate. Air pollutants are emitted from a variety of sources, including transport, electricity production, industry, heating, households, agriculture and waste. I am strongly in favour of ambitious, realistic measures to address dangerous pollutants because we must go for strong, realistic targets in order to achieve real results.

 
  
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  Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Consider că noua legislație în materie de poluare a aerului, care cauzează aproximativ 400 000 de decese premature în UE, anual, ar putea duce la economii de până la 40 miliarde de euro din costurile cu poluarea, până în anul 2030.

 
  
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  Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport législatif révise les plafonds nationaux d'émission de certains polluants afin d'améliorer la qualité de l'air et la santé humaine. Le texte introduit de nouvelles valeurs limites (dioxyde de souffre, particules ultrafines ou méthane par exemple), à partir de 2020 et 2030. Il propose également un objectif intermédiaire contraignant en 2025 pour tous les polluants excepté l'ammoniac. D'autres mesures concernent l'accès aux financements pour l'amélioration de la qualité de l'air et des programmes de contrôle des émissions. Les oppositions ont été nombreuses, tant sur le niveau d'ambition des objectifs de réduction pour 2020, 2025 et 2030, que sur l'ajout de nouveaux polluants. Considérant que nous ne disposons pas à l'heure actuelle de moyen technique ou technologique efficace pour réduire les émissions de méthane entérique (rejet des animaux d'élevage), j'ai cosigné un amendement, dont le contenu a été repris par la plénière visant à exclure ces émissions de la directive, pour ne pas pénaliser le secteur agricole. Je regrette cependant que mes amendements visant à protéger les petites exploitations et à exclure l'ammoniac n'aient pas été adoptés. Soutenant néanmoins les objectifs principaux de ce rapport, j'ai voté en faveur de l'ouverture des négociations entre le Parlement européen et le Conseil.

 
  
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  William (The Earl of) Dartmouth (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Philippe De Backer (ALDE), schriftelijk. – Ik heb het akkoord in dit dossier gesteund. Gezien de schade die het milieu én de volksgezondheid door de uitstoot van verontreinigende stoffen oplopen, vind ik het belangrijk dat dit probleem wordt aangepakt. We hebben gekozen voor een ambitieuze maar toch realistische aanpak, onder andere door te voorzien in een uitzondering voor koeien die buiten grazen.

 
  
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  Marielle de Sarnez (ALDE), par écrit. ‒ La directive européenne NEC de 2001 fixe des plafonds d’émission nationaux pour certains polluants atmosphériques: dioxyde de soufre (SO2), oxydes d’azote (NOx), composés organiques volatiles (COV) et ammoniac (NH3). Dans une nouvelle proposition révisée, la Commission introduit deux nouveaux polluants, les particules fines (PM2.5) et le méthane (CH4), et fixe de nouveaux plafonds nationaux plus contraignants pour les quatre autres polluants.

La pollution de l'air est responsable de la mort de 400 000 citoyens européens tous les ans, c'est pourquoi l'Union européenne doit se doter de plafonds d'émissions plus stricts et d'objectifs contraignants pour 2025 pour tous les polluants visés.

Il est sage de prévoir une exception pour le méthane dit entérique, c'est-à-dire issu de l'élevage produit par les éructations et les pets des vaches. La révolution écologique européenne que nous appelons de nos vœux est synonyme de la préservation d'un modèle agricole durable et respectueux du bien-être des animaux.

 
  
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  Angélique Delahaye (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté pour le rapport GIRLING, ou directive NEC, qui a pour objectif de fixer les plafonds d'émissions des États membres pour les principaux polluants. Je me suis cependant mobilisée pour l'exclusion du méthane entérique du champ d'application de la directive. En effet la réduction des émissions de méthane est certes un enjeu important en matière de santé publique mais il faut être pragmatique. C'est pourquoi, nous nous sommes battus tout au long des discussions en commissions pour rejeter l'intégration du méthane entérique dans le calcul des plafonds nationaux d'émissions. Cette inclusion aurait pu mettre à mal la compétitivité de notre agriculture à un moment où le secteur de l'élevage européen traverse une crise sans précédent. On ne peut plaider d'un côté en faveur du bien-être animal dans le secteur agricole et imposer d'un autre côté des contraintes irraisonnables à nos éleveurs. Cette directive est donc un instrument législatif crucial pour le contrôle du respect des objectifs de qualité de l'air au niveau européen. Mais si nous voulons une législation efficace, elle doit avant tout être réaliste!

 
  
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  Andor Deli (PPE), írásban. ‒ Az egyes légköri szennyezőanyagok kibocsátását szabályozó irányelv fontos lépés a légszennyezés emberi egészségre gyakorolt káros hatásainak csökkentése és az európai levegőminőség javítása felé vezető úton. A kitűzött célok eléréséhez arányosan meghatározott, reálisan teljesíthető kibocsátási határértékekre van szükség, amelyek figyelembe veszik a nemzeti stratégiákat is. Nemcsak Magyarország, de az egész Unió mezőgazdaságára rendkívül rossz hatással lenne egy olyan jogszabály elfogadása, amely ezen elvet figyelmen kívül hagyja.

Egy irreális metánkibocsátás-csökkentési határérték derékba törné a magyar kormányzat egyik legfontosabb célkitűzését, az állatállomány jelentős növelését. A metán üvegházhatású gáz, így arra nézve már létezik klímapolitikai csökkentési kötelezettség. Hasonló a helyzet az ammónia esetében is, ahol a trágyázási módszereket a kölcsönös megfeleltetés rendszerében szereplő előírások, különösen a nitrát irányelv, már szabályozzák. Ez bonyolítaná a gazdálkodók helyzetét és végrehajthatatlan előírásokat eredményezne. 2030-ra nem lehet most konkrét csökkentési célszámot meghatározni, hiszen a légszennyezést számos változó tényező befolyásolja, nincs lineáris csökkentési pálya. Végül megjegyzendő, hogy az Európai Bizottság csak 2020 után tervezte a határértékek szigorítását, tekintettel arra, hogy számos tagállam küzd még a korábbi céloknak való megfeleléssel.

A fentiek alapján a Környezetvédelmi Bizottságban elfogadott jelentéshez beadottak közül valamennyi, a metán törlésére és az ammóniával kapcsolatos előírások alapvető megváltoztatására irányuló plenáris módosító indítványt támogattam a szavazatommal.

 
  
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  Mark Demesmaeker (ECR), schriftelijk. ‒ Luchtvervuiling blijft een gigantisch probleem en vraagt om een grensoverschrijdende aanpak. Vieze lucht is nefast voor de gezondheid en het milieu en bijgevolg ook voor de maatschappij en de economie. De impact van luchtvervuiling op kwetsbare groepen, in het bijzonder kinderen, vereist onze absolute prioriteit.

De actualisering en uitbreiding van de NEC-richtlijn is een kans om deze uitdaging aan te pakken. De N-VA-delegatie deelt de analyse van de rapporteur en de Europese Commissie dat we ambitie moeten tonen, voornamelijk door de normen per lidstaat voor zes van de meest vervuilende stoffen tegen 2030 aan te scherpen, door bindende tussentijdse doelstellingen tegen 2025 te bepalen en door vervuiling bij de bron aan te pakken. Een snelle invoering van emissietesten gebaseerd op werkelijke rijomstandigheden in de automobielsector is in dit verband ook fundamenteel.

We hebben geen tijd te verliezen. Om snelle en daadwerkelijke vooruitgang mogelijk te maken, moeten onze voorstellen ook realistisch, op cijfers gebaseerd en technologisch haalbaar zijn. Schone lucht bereik je immers niet door te luchtfietsen of door luchtkastelen te bouwen. De N-VA is tevreden dat een meerderheid van het Parlement vandaag kiest voor verantwoordelijk beleid dat de beste garanties biedt in het belang van ons aller gezondheid, welzijn en welvaart.

 
  
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  Jean-Paul Denanot (S&D), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce texte qui fixe de nouveaux seuils vertueux dans la politique de réduction des émissions concernant plusieurs polluants atmosphériques. J’ai cependant apporté une réserve concernant le méthane entérique (qui résulte de l'ingestion de l'herbe par les ruminants) à travers un amendement spécifique. L'intégration de ce méthane dans les plafonds d'émission nationaux pose problème car il conduirait de fait à une réduction des cheptels voire à une reconversion vers des élevages intensifs consommant davantage de farines avec de multiples conséquences. Sur l’environnement, avec l’abandon des prairies permanentes. Sur l'emploi et la vitalité des zones d'élevages traditionnels et extensifs où les revenus sont les plus faibles et où le renouvellement des générations n'est plus assuré. Sur notre autonomie alimentaire, enfin, qui pourrait être réduite. Il faut lutter contre l’effet de serre mais sans sacrifier l’agriculture traditionnelle car celle-ci permet aussi de capter un certain nombre de gaz grâce à ses sols (véritables puits de carbone très utiles notamment dans la lutte contre le réchauffement climatique). Attentif à cette réalité, je veux aussi contribuer à lever les inquiétudes bien légitimes ressenties par de nombreux éleveurs aujourd'hui déjà touchés par une crise profonde et une dure sècheresse cette année.

 
  
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  Gérard Deprez (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur des propositions de la Commission européenne visant à fixer de nouveaux plafonds d'émission pour 6 polluants atmosphériques clés, dont le NOx, les particules et le dioxyde de soufre. J'ai par contre voté un amendement visant à retirer de cette liste le méthane entérique produit par l'élevage de ruminants. Il m'a semblé justifié de ne pas contraindre le secteur de l'agriculture, qui a déjà réalisé des progrès considérables en la matière et qui traverse une période très difficile, à respecter des objectifs qui n'étaient, de l'avis de nombreux experts, ni réalistes ni réalisables. J'ai apporté mon soutien à la grande majorité des autres propositions de la Commission car la pollution atmosphérique engendre d'énormes coûts humains et économiques. En 2010, elle a causé plus de 400 000 décès prématurés dans l'Union européenne. La pollution atmosphérique cause également des dommages à l'environnement et ne connaît pas de frontières. Le total des coûts occasionnés est de l'ordre de 330-940 milliards d'euros par an, dont 4 milliards d'euros dans le secteur des soins de santé.

 
  
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  Tamás Deutsch (PPE), írásban. – Az egyes légköri szennyezőanyagok kibocsátását szabályozó irányelv fontos lépés a légszennyezés emberi egészségre gyakorolt káros hatásainak csökkentése és az európai levegőminőség javítása felé vezető úton. A kitűzött célok eléréséhez arányosan meghatározott, reálisan teljesíthető kibocsátási határértékekre van szükség, amelyek figyelembe veszik a nemzeti stratégiákat is. Nemcsak Magyarország, de az egész Unió mezőgazdaságára rendkívül rossz hatással lenne egy olyan jogszabály elfogadása, amely ezen elvet figyelmen kívül hagyja.

Egy irreális metánkibocsátás-csökkentési határérték derékba törné a magyar kormányzat egyik legfontosabb célkitűzését, az állatállomány jelentős növelését. A metán üvegházhatású gáz, így arra nézve már létezik klímapolitikai csökkentési kötelezettség. Hasonló a helyzet az ammónia esetében is, ahol a trágyázási módszereket a kölcsönös megfeleltetés rendszerében szereplő előírások, különösen a nitrát irányelv, már szabályozzák. Ez bonyolítaná a gazdálkodók helyzetét és végrehajthatatlan előírásokat eredményezne. 2030-ra nem lehet most konkrét csökkentési célszámot meghatározni, hiszen a légszennyezést számos változó tényező befolyásolja, nincs lineáris csökkentési pálya. Végül megjegyzendő, hogy az Európai Bizottság csak 2020 után tervezte a határértékek szigorítását, tekintettel arra, hogy számos tagállam küzd még a korábbi céloknak való megfeleléssel.

A fentiek alapján a Környezetvédelmi Bizottságban elfogadott jelentéshez beadottak közül valamennyi, a metán törlésére és az ammóniával kapcsolatos előírások alapvető megváltoztatására irányuló plenáris módosító indítványt támogattam a szavazatommal.

 
  
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  Mireille D'Ornano (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport Girling sur l’émission de certains polluants atmosphériques semble se diriger sur une voie plus encourageante.

En effet, il a été amendé plusieurs fois dans le bon sens, surtout en excluant le méthane du texte. Ainsi, notre agriculture ne pâtira pas outre mesure de cette réglementation, étant la première émettrice de méthane.

Satisfaite par le texte tel qu’amendé, protégeant ainsi notre économie rurale, j’ai voté pour ce rapport.

 
  
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  Γεώργιος Επιτήδειος ( NI), γραπτώς. ‒ Πρόκειται για μία πρόταση της Επιτροπής η οποία καταργεί την παλαιά οδηγία και την αντικαθιστά με νέα βελτιωμένη. Σε αυτήν προβλέπεται μία νέα νομοθετική πράξη με στόχο την βελτίωση της ποιότητας του αέρα, θεσπίζοντας αυστηρότερα πρότυπα. Είναι επιτακτική ανάγκη η εξουσιοδότηση των αρμοδίων αρχών να εξασφαλίσει τη συμμόρφωση με όλες τις νομοθετικές διατάξεις που αφορούν τα όρια του 2030. Πιο συγκεκριμένα η καθιέρωση ζωνών χαμηλών εκπομπών ρύπων καθώς και ενός συστήματος χρέωσης τελών για ρύπανση από την οδική κυκλοφορία με αντικειμενικό σκοπό τη μείωση των εκπομπών ρύπων των ντιζελοκίνητων οχημάτων κυρίως στις αστικές περιοχές. Για όλους τους παραπάνω λόγους υπερψηφίζουμε την έκθεση για την πρόταση οδηγίας του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου και του Συμβουλίου που αφορά τη μείωση των εθνικών εκπομπών ορισμένων ατμοσφαιρικών ρύπων.

 
  
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  Norbert Erdős (PPE), írásban. ‒ Az Európai Néppárt iránymutatásának megfelelően szavazatommal támogattam a levegőminőségi irányelv módosításáról szóló parlamenti álláspont elfogadását.

Ez a javaslat eredetileg óriási veszélyeket hordozott magában. A metán-kibocsátási határértékek tekintetében olyan javaslat látott napvilágot, amely az EU és Magyarország állattenyésztésére pusztító hatással lett volna. A jelenleg növekvő hazai szarvasmarha- és sertésállományt egy túlzottan szigorú metán-kibocsátási határérték megtizedelte volna, s így a magyar agrárkormányzat egyik legfontosabb céljának, az állatállomány növelésének a célkitűzését húzta volna keresztül. Komoly magyar eredmény, hogy sikerült kihúzni a metánt a parlamenti jelentésből.

Másrészt az ammóniánál is túl szigorú feltételrendszert fogalmazott meg az eredeti javaslat: nemcsak a 2030-as, de a 2020-as ammónia-kibocsátási határértékek is életszerűtlenek voltak. Itt is sikerült egy enyhítést elérni, így csak a jövőben születik döntés a végleges ammónia-kibocsátási határértékekről.

 
  
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  Bill Etheridge (EFDD), in writing. – Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Eleonora Evi (EFDD), per iscritto. – L'inquinamento atmosferico è responsabile di oltre 400.000 morti ogni anno nell'Unione Europea. L'OMS e l'OCSE hanno stimato che i costi sanitari complessivi imputabili all'inquinamento atmosferico ammonta ad oltre € 1.4 trilioni, pari a circa un decimo del PIL dell'intera Unione europea. La revisione della direttiva che stabilisce le concentrazioni massime di inquinanti è necessaria per aggiornare i livelli alle esigenze di tutela sanitaria. Il Parlamento è stato chiamato a votare il testo votato in commissione ENVI e che conteneva dei miglioramenti sostanziali tra cui l'inclusione di limiti per il mercurio e l'obbligo di tenere conto del metano provenienti dagli allevamenti bovini.

Nonostante la relatrice sia riuscita nell'intento di annacquare il testo uscito dalla commissione ENVI, siamo comunque riusciti a mantenere alcuni punti qualificanti come i livelli per l'ammoniaca e quelli per il metano di origine antropica. Per il mercurio, invece, si è dato mandato alla Commissione di studiare la possibilità di estendere anche a questo metallo tossico il campo di applicazione della direttiva. Ho votato a favore del testo emendato convinta dell'urgenza del provvedimento e del miglioramento apportato al testo iniziale che si dovrà difendere al negoziato con il Consiglio.

 
  
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  José Inácio Faria (ALDE), por escrito. ‒ Votei favoravelmente a limitação das emissões atmosféricas de substâncias poluentes acidificantes eutrofizantes, entre outras, de forma a contribuir para a consecução dos objetivos de qualidade do ar da União, minimizando assim, os impactos negativos para a saúde humana e o ambiente. A biodiversidade dos ecossistemas também beneficiará largamente do controlo destas substâncias uma vez que será diminuída a sua deposição no fundo dos lagos e do solo.

Esta diretiva é tanto mais importante uma vez que alinhará estas emissões com os objetivos da União para 2030 sobre clima e energia e enviará um sinal positivo nas vésperas da cimeira do clima em Paris, onde se espera lograr um acordo internacional que eficazmente combata as alterações climáticas produzidas pelo Homem.

Votei positivamente também nos votos-chave que se relacionavam com a introdução de valores-meta de emissões de metano e amoníaco, uma vez que uma larga fatia da poluição atmosférica provém de emissões destes gases ao nível da agropecuária. O estabelecimento de metas obrigatórias para a redução destas emissões pelos Estados-Membros até 2025 recebeu também o meu voto positivo.

 
  
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  Fredrick Federley (ALDE), skriftlig. ‒ Jag har röstat för en ambitiös luftvårdspolitik, och jag är glad att den linjen vann gehör i Europaparlamentet. De strikta gränsvärden till 2030 som antagits beräknas kunna halvera antalet förtida dödsfall som orsakas av luftföroreningar varje år, vilka i dag uppgår till ca 400 000 i EU. Luftföroreningar orsakar tio gånger fler dödsfall än trafikolyckor, och det är på tiden att EU:s medlemsländer gör mer för att ta itu med problemet.

 
  
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  José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ Esta proposta legislativa estabelece novos valores-limite nacionais de emissão de determinados poluentes atmosféricos com o objetivo é minorar as ameaças à saúde humana, ao ambiente e ao clima. Uma fraca qualidade do ar contribui para morte prematura, absentismo laboral motivado por doença, custos significativos com a saúde, perda de produtividade, perda de rendimento das colheitas e danos nos edifícios. Na Europa, os custos externos totais para a sociedade relacionados com a saúde e provocados pela poluição atmosférica estimam-se entre 330 e 940 mil milhões de euros por ano.

Segundo o relatório, os Estados-Membros devem, pelo menos, limitar as suas emissões de dióxido de enxofre (SO2), óxidos de azoto (NOx), compostos orgânicos voláteis não metânicos (NMVOC), amoníaco (NH3), partículas (PM2,5) e mercúrio (Hg). A contenção de compostos orgânicos voláteis não-metânicos (NMVOC) e de metano (CH4) deve ser inserida no contexto mais vasto da redução das emissões de gases com efeito de estufa.

 
  
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  João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ Por candentes razões ambientais e de saúde pública, a qualidade do ar diz respeito a todos. Trata-se, pela sua natureza, de uma questão transfronteiriça, que reclama ação imediata, depois de anos de negligência política.

Esta proposta revê a diretiva (2001) relativa a valores-limite nacionais de emissão de determinados poluentes atmosféricos. É parte integrante do “Pacote Ar Limpo”.

Propõe-se alterar os limites de emissão de poluentes atmosféricos, particularmente dióxido de enxofre, óxidos de azoto, amoníaco e compostos orgânicos voláteis não-metânicos, para 2020 e 2030. O mercúrio foi também adicionado a esta lista, sendo que os limites para este elemento serão só introduzidos a partir de 2020.

Além disso, o âmbito da diretiva é alargado por forma a abranger as partículas (PM2,5) a partir de 2020 e, tendo em vista uma convergência com a legislação em matéria de clima, o metano a partir de 2030.

As novas metas da proposta para 2030 constituem o elemento mais complexo, com diferentes limites para cada Estado-Membro e para cada poluente, baseando-se no cumprimento de 70% das reduções máximas tecnicamente possíveis dos impactos para a saúde, conforme definidas pela OMS.

Pese embora a existência de alguns elementos contraditórios, apoiámos este relatório. Reiteramos que a abordagem normativa deve prevalecer face às abordagens de mercado.

 
  
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  Luke Ming Flanagan (GUE/NGL), in writing. ‒ This proposal repeals and replaces the current Union regime on the annual capping of national emissions of air pollutants, as defined in Directive 2001/81/EC. It ensures that the national emission ceilings (NECs) set in Directive 2001/81/EC for 2010 onwards, for SO2, NOx, NMVOC and NH3, shall apply until 2020, and it establishes new NEC reduction commitments applicable from 2020 and 2030 for SO2, NOx, NMVOC, NH3, fine particulate matter and methane, as well as intermediate emission levels for 2025 applicable to the same pollutants.

While we have to face up to our responsibilities in this area, as an agriculture-based economy, this could entail disproportionate costs for the sector. Research work on mitigating methane emissions through changes in the diet of animals is in its early stages: this approach could offer solutions as a part of a wider strategy which must be in place to assist the agricultural sector meet necessary targets in advance of ceilings being set.

 
  
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  Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. ‒ Zlá kvalita ovzdušia je zodpovedná za viac ako 400 000 predčasných úmrtí každý rok a ekonomická hodnota pre zdravotné systémy v jednotlivých členských štátoch sa pohybuje v rozmedzí 300 – 900 miliárd každý rok. Viac ako 90 % obyvateľov, ktorí žijú v mestách na území členských štátov Európskej únie, je vystavených znečisteniu ovzdušia, ktoré poškodzuje ich zdravie. Navyše týmto negatívnym vplyvom sú vystavené aj najzraniteľnejšie skupiny obyvateľstva, ako tehotné ženy, deti a starí ľudia, a rovnako tak aj nízkopríjmové skupiny obyvateľov.

 
  
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  Λάμπρος Φουντούλης ( NI), γραπτώς. ‒ Πρόκειται για μία πρόταση της Επιτροπής η οποία καταργεί την παλαιά οδηγία και την αντικαθιστά με νέα βελτιωμένη. Σε αυτήν προβλέπεται μία νέα νομοθετική πράξη με στόχο την βελτίωση της ποιότητας του αέρα, θεσπίζοντας αυστηρότερα πρότυπα. Είναι επιτακτική ανάγκη η εξουσιοδότηση των αρμοδίων αρχών να εξασφαλίσει τη συμμόρφωση με όλες τις νομοθετικές διατάξεις που αφορούν τα όρια του 2030· πιο συγκεκριμένα, η καθιέρωση ζωνών χαμηλών εκπομπών ρύπων καθώς και ενός συστήματος χρέωσης τελών για ρύπανση από την οδική κυκλοφορία με αντικειμενικό σκοπό τη μείωση των εκπομπών ρύπων των ντιζελοκίνητων οχημάτων κυρίως στις αστικές περιοχές. Για όλους τους παραπάνω λόγους υπερψηφίζω την έκθεση με την πρόταση οδηγίας του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου και του Συμβουλίου που αφορά τη μείωση των εθνικών εκπομπών ορισμένων ατμοσφαιρικών ρύπων.

 
  
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  Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ I would like to stress the importance for Romania of the proposal for a revised National Emission Reduction Commitments Directive, in terms of its impact on many industrial sectors: energy, industry, transport, residential and agriculture. As a general position, I agree that measures to address dangerous pollutants covering all sectors are urgently needed but we need to ensure that the proposed measures will not lead, in the end, to increased costs in economic terms and will not impose undue administrative burden for the government and private sector.

The proposal for new national emission reduction commitments applicable for 2020 and 2030 specifically implies for Romania the following reduction compared to emissions in 2005: 93% for sulphur dioxide, 67% for nitrogen oxides, 64% for volatile organic compounds, 24% for ammonia, 65% for particulate matter PM2.5; and 26% for methane. These reductions will require additional efforts and costs, to prevent and control emissions, which could affect economic competitiveness.

I consider that the objectives for 2030 should better reflect national emission projections, or alternatively that they should be proposed as indicative targets.

 
  
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  Ildikó Gáll-Pelcz (PPE), írásban. ‒ A tényeken alapuló politikaalkotásnak az uniós jogi szabályozás sarokkövét kell képeznie. Noha Unió-szerte zajlik a levegőszennyezés csökkentését célzó munka, számos tagállam nem tesz eleget az elfogadott előírásoknak. Mindemellett az Unió is messze van még hosszú távú céljának, vagyis a szennyezőanyagokra vonatkozóan a WHO 2005. évi levegőminőségi iránymutatásaiban szereplő javasolt határértékeknek a teljesítésétől.

A rossz levegőminőség hozzájárul a korai halálozáshoz, a munkából való betegség miatti távolléthez, a jelentős egészségügyi költségekhez, a termelékenységcsökkenéshez, a terméshozam-kieséshez, valamint az épületek állagromlásához.

Az előadóval összhangban támogatom a Bizottság intelligensebb, ésszerűbb szabályozás, valamint a vállalkozásokra és a tagállamokra nehezedő adminisztratív terhek csökkentése iránti új keletű elkötelezettségét. Hangsúlyozandó továbbá, hogy a jelentésben foglalt céldátumokhoz tartozó felső határértékeket úgy kell meghatározni, hogy reálisak, arányosak és megvalósíthatók legyenek, tényeken alapuljanak és egyetlen ágazatot se érintsenek aránytalan mértékben.

 
  
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  Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ He votado a favor del informe para contribuir a reducir las emisiones contaminantes que representan un problema transfronterizo de gran calado. Es necesario actuar a nivel de la Unión con el objetivo de establecer un marco coherente y ambicioso que permita abordar el problema de las emisiones procedentes en gran medida de combustión incompleta de combustibles en calefacción, transporte y producción de energía.

 
  
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  Iratxe García Pérez (S&D), por escrito. – Los socialistas respaldamos los planes de la Comisión Europea para imponer límites más estrictos y vinculantes a las emisiones de contaminantes atmosféricos, los cuales deberán alcanzarse entre 2020 y 2030. La contaminación del aire tiene unos costes humanos, medioambientales y económicos enormes; así, alrededor de 400 000 personas fallecen prematuramente en la UE cada año por esta causa.

En torno al 62 % del territorio comunitario está sometido a eutrofización, incluidos el 71 % de los ecosistemas Natura 2000. Los costes totales se cifran entre 330 000 y 940 000 millones de euros al año, incluyendo un daño económico directo de 15 000 millones de días de trabajo perdidos, 4 000 millones en servicios sanitarios, 3 000 por pérdida de cosechas y 1 000 por daños a los edificios, según datos de la Comisión Europea.

 
  
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  Eider Gardiazabal Rubial (S&D), por escrito. ‒ Los socialistas respaldamos los planes de la Comisión Europea para imponer límites más estrictos y vinculantes a las emisiones de contaminantes atmosféricos, los cuales deberán alcanzarse entre 2020 y 2030. La contaminación del aire tiene unos costes humanos, medioambientales y económicos enormes; así, alrededor de 400 000 personas fallecen prematuramente en la UE cada año por esta causa.

En torno al 62 % del territorio comunitario está sometido a eutrofización, incluidos el 71 % de los ecosistemas Natura 2000. Los costes totales se cifran entre 330 000 y 940 000 millones de euros al año, incluyendo un daño económico directo de 15 000 millones de días de trabajo perdidos, 4 000 millones en servicios sanitarios, 3 000 por pérdida de cosechas y 1 000 por daños a los edificios, según datos de la Comisión Europea.

 
  
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  Elena Gentile (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore dell'accordo raggiunto fra PE e Consiglio sulla di direttiva del Parlamento europeo e del Consiglio concernente la riduzione delle emissioni nazionali di determinati inquinanti atmosferici perché ritengo doveroso che l'UE si doti di una robusta legislazione a tutela della qualità dell'aria. La qualità dell'aria che respiriamo non è solo una questione di carattere ambientale, ma un grave problema europeo: i dati ci dicono che il 90% dei cittadini nell'UE vive in luoghi inquinati e che vi sono circa 400.000 morti premature annue collegate, con un costo per i nostri sistemi sanitari di centinaia di miliardi all'anno. È necessario, dunque, un intervento forte. Approvo la previsione di limiti e soglie per le emissioni di biossido di zolfo, ossidi di azoto, ammoniaca, particolato fine, metano e COVNM: obiettivi ambiziosi, cui gli Stati dovranno impegnarsi con appositi piani, ma che danno seguito all'impegno dell'UE in tema di lotta al cambiamento climatico. Condivido, infine, la decisione di prevedere giuste dosi di flessibilità su specifici punti alla luce della situazione delle nostre aziende, e in particolare l'esclusione delle emissioni di metano prodotte dai ruminanti: la qualità dell'aria infatti può e deve coniugarsi alle caratteristiche e tradizioni della nostra agricoltura di qualità.

 
  
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  Arne Gericke (ECR), schriftlich. ‒ Ich begrüße es, dass es uns – auf Grund der von mir und meinen polnischen Fraktionskollegen gemeinsam eingebrachten Änderungsanträge – gelungen ist, Methan von der Richtlinie auszunehmen. Dies hätte verheerende Folgen für unsere Landwirtschaft gehabt und ist schlicht weltfremd. Ich erwarte von der Berichterstatterin nun eine engagierte Debatte mit dem Rat und die Verteidigung der von uns beschlossenen Positionen im Trilog.

 
  
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  Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Als Berichterstatter der EVP-Fraktion habe ich mich für einen ausgewogenen Bericht eingesetzt, mit anspruchsvollen, aber realistischen Emissionsreduktionszielen. Mit unseren Vorschlägen konnten wir uns in wesentlichen Abstimmungspunkten durchsetzen. Unsere Gesetzgebung muss auf fachlich fundierten Folgenabschätzungen basieren. Das fordern wir immer wieder, und dafür haben wir uns auch diesmal eingesetzt.

 
  
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  Neena Gill (S&D), in writing. ‒ Air pollution causes 50 000 premature deaths across the UK and 700 000 across the EU in total every year. Its economic cost for health is estimated at between EUR 300 billion and EUR 900 billion on an annual basis. That is why I voted to set ambitious measures to cut toxic emissions that contribute to air pollution. Proper results can only be achieved if the agriculture sector plays its part, just as the car industry, following the emissions test scandal. Thousands of deaths are attributable to ammonia from farms, and the setting of limits on agricultural emissions is both necessary and fair.

 
  
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  Juan Carlos Girauta Vidal (ALDE), por escrito. ‒ La contaminación del aire es un problema de salud pública. La UE está lejos de lograr el objetivo que se ha marcado a largo plazo de alcanzar niveles que no tengan un impacto negativo significativo en la salud. Por tanto, en la votación de hoy he apoyado el establecimiento de límites a las emisiones de todos los contaminantes, incluido el metano y el amoníaco, y he votado a favor de tener unos objetivos ambiciosos y vinculantes no solo para 2030, sino también para 2025.

 
  
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  Julie Girling (ECR), in writing. ‒ I voted today in favour of improved air quality standards across the EU. The new directive on national emissions reduction commitments will reduce harmful emissions and lessen the health and environmental impact on our population. It is estimated that around 400 000 people a year die prematurely across the EU from air pollution.

This is a crucial issue and action must be taken, based on robust scientific evidence, to improve life expectancy and reduce associated costs to society. Billions of pounds per year are being lost, and the public is now acutely aware of the issue. Policymakers have been concentrating on climate change to the detriment of air quality for the past decade, and it is clear there is a need for more cohesive and streamlined policymaking, with binding targets for 2025, improved reporting, and provisions on driving emissions and on access to funding to help people adapt to the new measures. I see today’s vote as an important step on the path to better air quality.

 
  
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  Sylvie Goddyn (ENF), par écrit. ‒ Le rapport Girling est une directive qui vise à fixer un maximum d'émissions de certaines émanations polluantes.

Portant plutôt sur des produits issus de l'industrie, ce texte comptait également statuer sur le méthane et l'ammoniac, gaz produits par l'agriculture.

Sous couvert écologique, l'objectif de réduction du méthane était une attaque en règle contre notre élevage avec une seule issue possible: l'industrialisation de l'élevage et l'enfermement des animaux.

Ce genre de normes qui vise à polluer toujours moins en Europe n'est en réalité qu'un cheval de Troie. Les importations de produits industriels ou agricoles ne sont pas soumises aux mêmes dispositions contraignantes. Celles-ci deviennent alors des boulets aux pieds de notre économie. L'effet est tout à fait contre-productif: la mort de nos entreprises et de nos élevages par manque de compétitivité au profit d'acteurs non-Européens dont les préoccupations environnementales sont pourtant inférieures aux nôtres. D'autres mesures pourraient être prises pour s'attaquer aux racines de la pollution, en particulier cesser de négocier des accords de libre-échange.

Mettant en danger à la fois notre agriculture et notre industrie, ce texte ne méritait pas ma voix et j'ai voté contre.

 
  
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  Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe con el fin de regular ciertos contaminantes atmosféricos, como por ejemplo las emisiones de metano. El 40 % de las emisiones de este gas de efecto invernadero procede de la agricultura. También es un precursor importante de otro contaminante atmosférico, el ozono troposférico, que causa enfermedades respiratorias y cardiovasculares y, por cierto, también importante daños a los cultivos agrícolas, especialmente en los países mediterráneos.

 
  
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  Beata Gosiewska (ECR), na piśmie. ‒ Głosowałam przeciwko sprawozdaniu w sprawie wniosku dotyczącego dyrektywy Parlamentu Europejskiego i Rady w sprawie redukcji krajowych emisji niektórych rodzajów zanieczyszczenia atmosferycznego oraz zmiany dyrektywy 2003/35/WE, ponieważ narzuca ono zbyt wysokie zobowiązania dotyczące metanu. Jako posłanka z Polski nie mogłam poprzeć rozwiązań, które szkodzą polskim hodowcom bydła i trzody chlewnej. Ubolewam nad tym, że nie wszystkie poprawki złożone przez polską delegację Europejskich Konserwatystów i Reformatorów o usunięciu zobowiązań dotyczących metanu zostały przyjęte.

 
  
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  Γιώργος Γραμματικάκης ( S&D), γραπτώς. ‒ Σύμφωνα με έγκυρα στοιχεία, η ατμοσφαιρική ρύπανση ευθύνεται στο σύνολο της για εκατοντάδες χιλιάδες θανάτους ετησίως στην ΕΕ. Παράλληλα, η οικονομική επιβάρυνση για τα συστήματα υγείας ανέρχεται εξ αυτού του λόγου σε αρκετές εκατοντάδες δισεκατομμυρίων. Η νέα οδηγία θέτει ρεαλιστικούς αλλά και φιλόδοξους εθνικούς στόχους μείωσης ορισμένων ρύπων που επιβαρύνουν σημαντικά την ανθρώπινη υγεία. Μέσα σε αυτά τα πλαίσια, το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο προτείνει εύλογες εξαιρέσεις για ρύπους στον κλάδο της κτηνοτροφίας, που εξασφαλίζουν ότι το βάρος της μείωσης θα αφορά κυρίως στη διαχείριση απορριμμάτων και λυμάτων αλλά και στον τομέα της ενέργειας. Σε αυτούς τους τομείς, ειδικά στην Ελλάδα, παρουσιάζονται και οι μεγαλύτερες δυνατότητες περιορισμών προς χάριν της υγείας των πολιτών.

 
  
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  Nathalie Griesbeck (ALDE), par écrit. La pollution atmosphérique serait responsable de 400 000 décès prématurés par an dans l'Union européenne! À la veille de la COP 21 qui se déroulera à Paris en décembre prochain, le Parlement vient d'adopter un rapport ambitieux pour réduire les émissions des polluants atmosphériques au sein de l'Union Européenne. Je me félicite de l'adoption de ce projet de directive ambitieux mais aussi équilibré et réaliste, puisqu'il prend en compte la situation particulière du secteur de l'agriculture et de l'élevage en excluant les émissions de méthane entérique.

 
  
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  Françoise Grossetête (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport, car il constitue un instrument législatif central pour le contrôle de la pollution de l’air au niveau européen. Ce texte a en effet pour objectif de fixer les plafonds d’émissions des États membres pour les principaux polluants. C'est également un instrument important en matière de santé publique, car on estime que la mauvaise qualité de l’air cause plus de 48 000 décès prématurés en France. Mais si nous voulons une législation efficace, elle doit avant tout être réaliste! C'est pourquoi je me félicite notamment de l'exclusion du méthane du champ d'application de la directive. Son inclusion aurait pu mettre à mal la compétitivité de notre agriculture à un moment où le secteur de l'élevage européen traverse une crise sans précédent.

 
  
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  Sylvie Guillaume (S&D), par écrit. – J’ai soutenu le rapport qui qui visait à réduire les émissions de polluants atmosphériques, adopté en plénière le 28 octobre. Plusieurs groupes politiques, dont les socialistes et démocrates, se sont entendus pour y inscrire des objectifs plus élevés de réductions des polluants. Ils concernent notamment l’oxyde d’azote, les particules et le dioxyde de soufre, l’ammoniac, et le méthane, à l’exception du méthane entérique qui est émis par les ruminants. J’ai voté en faveur de ce texte car la pollution atmosphérique engendre 400 000 décès prématurés dans l'UE chaque année, et coûte très cher à notre planète et à nos sociétés. Il est par exemple estimé que jusqu'à 40 milliards d'euros d’économies pourraient être réalisées grâce à ce texte d'ici 2030. À l’approche de la COP21, alors que les députés européens vont entamer des négociations avec le Conseil pour parvenir à un accord sur les polluants atmosphériques, il faut réaffirmer qu’il est grand temps d’agir.

 
  
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  Antanas Guoga (ALDE), in writing. ‒ I voted for this report in order to support the setting of a level playing field, ensuring that installations in all Member States make a fair effort to reduce pollution. Air pollution currently causes more than 400 000 premature deaths in the EU each year.

 
  
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  Sergio Gutiérrez Prieto (S&D), por escrito. Los socialistas respaldamos los planes de la Comisión Europea para imponer límites más estrictos y vinculantes a las emisiones de contaminantes atmosféricos, los cuales deberán alcanzarse entre 2020 y 2030. La contaminación del aire tiene unos costes humanos, medioambientales y económicos enormes; así, alrededor de 400 000 personas fallecen prematuramente en la UE cada año por esta causa.

En torno al 62 % del territorio comunitario está sometido a eutrofización, incluidos el 71 % de los ecosistemas Natura 2000. Los costes totales se cifran entre 330 000 y 940 000 millones de euros al año, incluyendo un daño económico directo de 15 000 millones de días de trabajo perdidos, 4 000 millones en servicios sanitarios, 3 000 por pérdida de cosechas y 1 000 por daños a los edificios, según datos de la Comisión Europea.

 
  
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  András Gyürk (PPE), írásban. ‒ Az egyes légköri szennyezőanyagok kibocsátását szabályozó irányelv fontos lépés a légszennyezés emberi egészségre gyakorolt káros hatásainak csökkentése és az európai levegőminőség javítása felé vezető úton. A kitűzött célok eléréséhez arányosan meghatározott, reálisan teljesíthető kibocsátási határértékekre van szükség, amelyek figyelembe veszik a nemzeti stratégiákat is. Nemcsak Magyarország, de az egész Unió mezőgazdaságára rendkívül rossz hatással lenne egy olyan jogszabály elfogadása, amely ezen elvet figyelmen kívül hagyja.

Egy irreális metánkibocsátás-csökkentési határérték derékba törné a magyar kormányzat egyik legfontosabb célkitűzését, az állatállomány jelentős növelését. A metán üvegházhatású gáz, így arra nézve már létezik klímapolitikai csökkentési kötelezettség. Hasonló a helyzet az ammónia esetében is, ahol a trágyázási módszereket a kölcsönös megfeleltetés rendszerében szereplő előírások, különösen a nitrát irányelv, már szabályozzák. Ez bonyolítaná a gazdálkodók helyzetét és végrehajthatatlan előírásokat eredményezne. 2030-ra nem lehet most konkrét csökkentési célszámot meghatározni, hiszen a légszennyezést számos változó tényező befolyásolja, nincs lineáris csökkentési pálya.

Végül megjegyzendő, hogy az Európai Bizottság csak 2020 után tervezte a határértékek szigorítását, tekintettel arra, hogy számos tagállam küzd még a korábbi céloknak való megfeleléssel. A fentiek alapján a Környezetvédelmi Bizottságban elfogadott jelentéshez beadottak közül valamennyi, a metán törlésére és az ammóniával kapcsolatos előírások alapvető megváltoztatására irányuló plenáris módosító indítványt támogattam a szavazatommal.

 
  
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  Brian Hayes (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of the rapporteur’s proposal to take this file to trilogue negotiations because I believe that Parliament has come up with a good position with realistic targets that will reduce air pollution.

 
  
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  Roger Helmer (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Hans-Olaf Henkel (ECR), schriftlich. ‒ Der Vorschlag für überarbeitete nationale Emissionshöchstmengen (NEC-Richtlinie) ist Teil des Maßnahmenpakets für saubere Luft der Europäischen Kommission und ersetzt aktuelle Regelungen über die jährliche Deckelung nationaler Emissionen von Luftschadstoffen, wie z.B. Schwefeldioxid, Stickstoffoxide oder Ammoniak. Die neue Richtlinie zielt darauf ab, neue Emissionsreduktionsverpflichtungen für Mitgliedstaaten von 2020 bis 2030 einzuführen, nämlich für PM 2,5 sowie Methan. Das Parlament begeht immer denselben Fehler, indem es die vom Rat vereinbarten Zielvorgaben mal so von z. B. 27 % auf 40 % erhöht. Die Grenzwerte für manche Schadstoffe sind mal wieder willkürlich erhöht worden. Wir brauchen Obergrenzen für Schadstoffe, um Anreize für Emissionsreduktionen zu setzen, dennoch sollten diese realistisch, verhältnismäßig sowie evidenzbasiert sein und gewisse Sektoren nicht unverhältnismäßig beeinträchtigen. Es wird allerdings für einige Mitgliedstaaten schwierig sein, insbesondere diejenigen mit großen landwirtschaftlichen Sektoren. Deshalb brauchen wir Flexibilität. Das Parlament gefährdet mit seinen Praktiken den Gesetzgebungsprozess. Es sollte sich an den Entscheidungen des Rates orientieren, da diese von den Mitgliedsstaaten verhandelt werden. Deshalb habe ich gegen diesen Bericht gestimmt, weil er durch zahlreiche Änderungsanträge eine ganz andere Form angenommen hat.

Im Übrigen – und das ist mein ceterum censeo – bin ich der Meinung, dass der Einheitseuro abgeschafft werden muss. Er führt zu Zwist und Zwietracht in Europa.

 
  
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  György Hölvényi (PPE), írásban. ‒ Az egyes légköri szennyezőanyagok kibocsátását szabályozó irányelv fontos lépés a légszennyezés emberi egészségre gyakorolt káros hatásainak csökkentése és az európai levegőminőség javítása felé vezető úton. A kitűzött célok eléréséhez arányosan meghatározott, reálisan teljesíthető kibocsátási határértékekre van szükség, amelyek figyelembe veszik a nemzeti stratégiákat is. Nemcsak Magyarország, de az egész Unió mezőgazdaságára rendkívül rossz hatással lenne egy olyan jogszabály elfogadása, amely ezen elvet figyelmen kívül hagyja.

Egy irreális metánkibocsátás-csökkentési határérték derékba törné a magyar kormányzat egyik legfontosabb célkitűzését, az állatállomány jelentős növelését. A metán üvegházhatású gáz, így arra nézve már létezik klímapolitikai csökkentési kötelezettség. Hasonló a helyzet az ammónia esetében is, ahol a trágyázási módszereket a kölcsönös megfeleltetés rendszerében szereplő előírások, különösen a nitrát irányelv, már szabályozzák. Ez bonyolítaná a gazdálkodók helyzetét és végrehajthatatlan előírásokat eredményezne. 2030-ra nem lehet most konkrét csökkentési célszámot meghatározni, hiszen a légszennyezést számos, változó tényező befolyásolja, nincs lineáris csökkentési pálya. Végül megjegyzendő, hogy az Európai Bizottság csak 2020 után tervezte a határértékek szigorítását, tekintettel arra, hogy számos tagállam küzd még a korábbi céloknak való megfeleléssel.

A fentiek alapján a Környezetvédelmi Bizottságban elfogadott jelentéshez beadottak közül valamennyi, a metán törlésére és az ammóniával kapcsolatos előírások alapvető megváltoztatására irányuló plenáris módosító indítványt támogattam a szavazatommal.

 
  
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  Mary Honeyball (S&D), in writing. ‒ I was very proud to support these measures, along with my Labour Party and Socialist and Democrat Group colleagues. Poor air quality is responsible for over 400 000 deaths per year and its estimated cost to the economy is hundreds of billions of euros. In my own region, London, the number of premature deaths is estimated to be around 10 000 people per year. This of course affects vulnerable people the most: pregnant women, children, the elderly and those on the lowest incomes. This is why we urgently need measures to address dangerous pollutants across all sectors.

 
  
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  Richard Howitt (S&D), in writing. ‒ Thousands continue to die in my East of England constituency from respiratory diseases such as asthma, COPD and lung cancer, in the last year alone: more than 200 in Cambridgeshire, 300 in Suffolk, 400 in Norfolk, 500 in Hertfordshire, and 700 in Essex. Yet the British Conservative rapporteur voted against her own report at committee due to successful amendments which Labour MEPs submitted to raise the level of ambition in terms of the targets with which EU Member States have to comply.

Labour backs and the Conservatives oppose: binding EU emission targets for 2025, specific measures to protect vulnerable people, enhanced monitoring by the European Commission, and access to justice if governments fail to deliver. This would save an additional 140 000 life years each year across Europe. British Conservatives should explain why these lives are not worth saving. More than a third of the UK’s air pollution is blown over the Channel. It is yet another example where Conservatives are doing the wrong thing in Europe and would be doing the wrong thing if they took us out of Europe.

 
  
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  Jan Huitema (ALDE), schriftelijk. ‒ De VVD-delegatie is van mening dat emissieplafonds voor methaan niet thuishoren in de richtlijn betreffende nationale emissies van luchtverontreinigende stoffen. Methaan is een broeikasgas en wordt al gereguleerd in afspraken rond klimaatdoelstellingen, waaronder de beschikking inzake de verdeling van de inspanningen. Hierin wordt de lidstaten de flexibiliteit geboden om de emissies van broeikasgassen terug te dringen op basis van CO2-equivalenten. De opname van methaan in de richtlijn inzake nationale emissieplafonds beperkt deze flexibiliteit en daar is de VVD-delegatie op tegen. De VVD-delegatie verwelkomt de uitsluiting van door herkauwers veroorzaakte methaanemissies maar had liever gezien dat methaan helemaal niet was opgenomen in het standpunt van het Europees Parlement.

 
  
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  Anneli Jäätteenmäki (ALDE), kirjallinen. – Ilmanlaadun parantaminen on EU-säätelyn ydintä. Ilmansaasteet ylittävät valtioiden rajat ja aiheuttavat globaaleja ongelmia. Varaumani direktiiviehdotukseen koskee metaanipäästöjen sääntelyä. Suomalainen, suhteellisen pieniin eläinmääriin pohjautuva maataloustuotanto on suurien haasteiden edessä, jos metaanipäästöjä säädellään tiukasti ja nopeasti.

Uusien velvoitteiden sälyttäminen kannattavuusongelmien kanssa painivalle alalle ei ole kohtuullista ilman kunnollista tutkimustietoon perustuvaa suunnittelua ja riittävää taloudellista tukea. Maatalouden on tehtävä osansa päästöjen vähentämisessä, mutta alan sääntelyssä pitää tunnustaa tosiasiat: mitään yksittäistä taianomaista keinoa ei ole. Päästölähteitä on monia ja biologiset prosessit vapauttavat väistämättä kasvihuonekaasuja.

Karjataloudessa päästövähennyskokonaisuus muodostuu lukuista pienistä parannuksista esimerkiksi rehun koostumukseen ja lannankäsittelyyn. Tehokkaaksi metaanipäästöjen vähentäjäksi tiedetty biokaasutuskin vaatii ainakin satojen tuhansien eurojen investoinnit, joihin harvalla yksittäisellä tilalla on nykyoloissa varaa. Määrätietoisia toimia tarvitaan vaatimusten lisäksi.

 
  
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  Diane James (EFDD), in writing. – Today my fellow MEPs and I voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport de ma collègue Julie Girling sur les plafonds nationaux d'émissions de certains polluants atmosphériques. Cet instrument est important pour lutter contre la pollution de l'air aggravée que connaissent les grandes agglomérations. Ainsi ce sont des milliers de décès qui pourront être évités (près de 48 000 en France). Néanmoins, dans un souci de réalisme et pour ne pas étouffer le secteur agricole, qui souffre déjà énormément de l'embargo russe, le méthane entérique a été exclu du champ de cette directive.

Le rapport a été adopté, ce dont je me félicite.

 
  
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  Josu Juaristi Abaunz (GUE/NGL), in writing. ‒ In December 2013, the EC adopted a proposal-package to improve air-quality in Europe, called ‘Air quality package’, whose main piece was a proposal to revise the National Emission Ceilings Directive (NECD). The new EC considered withdrawing the directive in November 2014, but because of strong resistance from the EP and civil society the proposal was kept.

The key points of the ENVI committee NECD proposal are:

- Introduction of national ceilings for six pollutants (sulphur dioxide, nitrogen oxides, ammonia, methane, particulate matter and non-methane volatile organic compounds) by 2030

- Mercury (Hg) added to the list of pollutants as caps were introduced on mercury from 2020

- Midpoint targets for 2025 fully binding for all pollutants, with the exception of methane

- Methane targets delayed until 2030 to give the agriculture sector adaptation time

- Removal of CE proposal for flexibility allowing Member States to offset reductions in emissions from nitrogen oxides, sulphur dioxides and particulate matter from international shipping

- Public participation, transparency, access to justice and information

This EP report is stronger than the EC-proposal, at the same time that the big aim of the directive is to put controls on different types of air-pollution with the goal to cut the number of premature deaths (about 400 000/year, caused by air pollution) by half by 2030. Hence, EH Bildu has voted in favour.

 
  
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  Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui vise à renforcer le contrôle de la pollution de l'air au niveau européen en fixant des plafonds pour les principaux polluants. J'ai cependant rejeté l'inclusion de certains produits dans la liste des polluants contrôlés qui auraient entrainé une perte de compétitivité de notre agriculture déjà fortement touchée.

 
  
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  Jarosław Kalinowski (PPE), na piśmie. ‒ Kilka miesięcy temu ministrowie środowiska UE uzgodnili, że poziom zanieczyszczeń powietrza na naszym kontynencie jest zbyt wysoki (według danych KE z powodu chorób spowodowanych wdychaniem szkodliwych związków każdego roku umiera przedwcześnie około 400 tys. Europejczyków). W związku z tym postanowiono do 2030 r. ograniczyć emisje niebezpiecznych dla zdrowia związków pochodzących z przemysłu, ruchu drogowego czy elektrowni.

Jednak obok wprowadzenia limitów dla dwutlenku siarki, tlenków azotu i cząstek stałych, postanowiono ograniczyć także emisje np. metanu, czyli gazu produkowanego przez zwierzęta, głównie bydło, a takie ograniczenie może spowodować poważne zaburzenia w sektorze hodowlanym.

Wspólnie z posłami z grupy Europejskiej Partii Ludowej oraz kolegami i koleżankami z innych ugrupowań, zdecydowanie sprzeciwiamy się wprowadzeniu zapisów wprowadzających ograniczenia emisji metanu, gdyż w perspektywie długoterminowej może to zaszkodzić europejskiej produkcji rolnej.

Mam nadzieję, że pomimo niekorzystnego wyniku głosowania w PE negocjacje w Radzie będą uwzględniać głos rozsądku i nowelizacja dyrektywy o krajowych pułapach zanieczyszczeń nie zaszkodzi naszym rolnikom.

 
  
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  Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Dieser Bericht ist abzulehnen. Maßnahmen zur Reduzierung der Treibhausgas- und Luftschadstoffemissionen aus der Landwirtschaft könnten zu einem Rückgang der EU-Produktion führen und somit angesichts des Anstiegs der weltweiten Nachfrage nach Lebensmitteln die Ernährungssicherheit gefährden. Eine Festlegung von Reduktionszielen für Methan ist „nicht zielführend“. Dieses Treibhausgas wird bereits effektiv über die Lastenteilungsentscheidung geregelt. Zudem geht aus der Folgenabschätzungsstudie der EU-Kommission deutlich hervor, dass die Umsetzung mit hohen Kosten verbunden ist.

 
  
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  Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of the report, as measures to address dangerous pollutants covering all sectors are urgently needed. Poor air quality is responsible for over 400 000 premature deaths each year and its annual economic cost to health is estimated at EUR 300-900 billion. Around 90% of Europeans living in cities are exposed to levels of air pollution deemed damaging to human health. In addition, vulnerable socio-demographic groups, such as pregnant women, children and the elderly, and those from low-income groups are particularly affected.

 
  
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  Bernd Kölmel (ECR), schriftlich. ‒ Der Vorschlag für überarbeitete nationale Emissionshöchstmengen (NEC-Richtlinie) ist Teil des Maßnahmenpakets für saubere Luft der Europäischen Kommission und ersetzt aktuelle Regelungen über die jährliche Deckelung nationaler Emissionen von Luftschadstoffen, wie z. B. Schwefeldioxid, Stickstoffoxide oder Ammoniak. Die neue Richtlinie zielt darauf ab, neue Emissionsreduktionsverpflichtungen für Mitgliedstaaten von 2020 bis 2030 einzuführen, nämlich für PM 2,5 sowie Methan. Das Parlament erhöht die vom Rat vereinbarten Zielvorgaben von z. B. 27 % auf 40 %. Die Grenzwerte für manche Schadstoffe sind einmal mehr willkürlich erhöht worden. Wir brauchen Obergrenzen für Schadstoffe, um Anreize für Emissionsreduktionen zu setzen, dennoch sollten diese realistisch, verhältnismäßig sowie evidenzbasiert sein und gewisse Sektoren nicht unverhältnismäßig beeinträchtigen. Es wird allerdings für einige Mitgliedstaaten schwierig sein, insbesondere diejenigen mit großen landwirtschaftlichen Sektoren. Deshalb brauchen wir Flexibilität. Das Parlament gefährdet mit seinen Praktiken den Gesetzgebungsprozess. Es sollte sich an den Entscheidungen des Rates orientieren, da diese von den Mitgliedsstaaten verhandelt werden. Deshalb habe ich gegen diesen Bericht gestimmt, weil er durch zahlreiche Änderungsanträge eine ganz andere Form angenommen hat.

 
  
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  Marine Le Pen (ENF), par écrit. ‒ La délégation du Front national maintient sa position contre l’inclusion du méthane et contre la mention de l’ammoniac dans la directive sur la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques, afin de limiter le poids réglementaire sur l’agriculture et certaines industries. J’étais donc prête à voter pour la résolution législative, vu que l’amendement oral de M. Andrieu proposant une exception pour le méthane entérique émis par les élevages de ruminants a été adopté. Le texte a cependant été renvoyé en commission. La délégation du Front national restera vigilante.

 
  
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  Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ La propuesta de Directiva NEC revisada sustituye al actual régimen de la Unión en la nivelación anual de las emisiones nacionales de los contaminantes del aire, según la definición establecida en la Directiva 2001/81/CE, para cuatro contaminantes atmosféricos, a saber, el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx), los compuestos orgánicos volátiles distintos del metano (COVNM) y el amoníaco (NH3), hasta 2020.

La Directiva NEC revisada establece los controles sobre los diferentes tipos de contaminación del aire en cada Estado miembro. Su objetivo es reducir a la mitad de aquí a 2030 el número de muertes prematuras —estimado en 400 000 al año en la UE— causadas por la contaminación del aire.

La revisión propuesta establece nuevos compromisos nacionales de reducción de emisiones aplicables a partir de 2020 y 2030 para los cuatro contaminantes mencionados y también para las partículas finas (PM2,5) y el metano (CH4).

A pesar de que hay puntos importantes que no se consiguieron aprobar (elimina objetivos vinculantes para el metano), he votado a favor de este informe ya que considero que es más exigente que la propuesta de la Comisión y que, por tanto, la mejora.

 
  
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  Bernd Lucke (ECR), schriftlich. ‒ Der Vorschlag für überarbeitete nationale Emissionshöchstmengen (NEC-Richtlinie) ist Teil des Maßnahmenpakets für saubere Luft der Europäischen Kommission und ersetzt aktuelle Regelungen über die jährliche Deckelung nationaler Emissionen von Luftschadstoffen, wie z. B. Schwefeldioxid, Stickstoffoxide oder Ammoniak. Die neue Richtlinie zielt darauf ab, neue Emissionsreduktionsverpflichtungen für Mitgliedstaaten von 2020 bis 2030 einzuführen, nämlich für PM 2,5 sowie Methan.

Das Parlament wollte die vom Rat vorgeschlagenen Zielvorgaben willkürlich erhöhen, was vor allem im Falle des Methans eine besonders schwere Belastung für die deutschen Milchviehhalter gewesen wäre, die zu Massenschlachtungen hätte führen müssen. Dazu hätte Deutschland viel stärkere Reduktionen erbringen müssen als andere Staaten. Deshalb habe ich gegen diesen Bericht gestimmt, weil er durch zahlreiche Änderungsanträge eine ganz andere Form angenommen hat.

Wir brauchen Obergrenzen für Schadstoffe, um Anreize für Emissionsreduktionen zu setzen, dennoch sollten diese realistisch, verhältnismäßig sowie evidenzbasiert sein und gewisse Sektoren nicht unverhältnismäßig beeinträchtigen. Zu hohe Anforderungen werden insbesondere für diejenigen Mitgliedstaaten mit großen landwirtschaftlichen Sektoren schwierig sein und Flexibilität erfordern. Das Parlament gefährdet mit seinen Praktiken den Gesetzgebungsprozess. Es sollte sich an den Entscheidungen des Rates orientieren, da diese von den Mitgliedstaaten verhandelt werden.

 
  
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  Ivana Maletić (PPE), napisan. ‒ Kvaliteta zraka je važan element za ljudsko zdravlje i okoliš, tiče se svih građana i traži hitno djelovanje. Zbog godina ignoriranja, zagađenje zraka postalo je najveći problem javnog zdravstva, a lošija kvaliteta zraka pridonijela je razvoju raznih bolesti, povećanim troškovima zdravstvene njege, izostancima s posla i smanjenju produktivnosti. Procjenjuje se da su ukupni zdravstveni troškovi uzrokovani onečišćenjem zraka u Europi između 330 i 940 milijardi eura godišnje. Komisija je 18. prosinca 2013. donijela paket mjera Čist zrak za razdoblje do 2030.

Prijedlog sadrži različita ograničenja za svaku državu članicu i svaku onečišćujuću tvar i zahtijeva od članica usvajanje nacionalnih programa kontrole onečišćenja zraka. Važno je da Komisija kontinuirano obavlja sveobuhvatan nadzor i pravovremeno pruži pomoć državama članicama u ostvarenju zacrtanog programa. Ključan korak prema cilju bit će uvođenje zona niskih emisija, namijenjenih smanjenju emisija dizelskih automobila u urbanim područjima koja su najteže pogođena zagađenjima.

Podržala sam izvješće zastupnice Julie Girling zbog zaštite zdravlja ljudi i ekosustava od štetnih utjecaja onečišćenja zraka. Hrvatska u pojedinim urbanim područjima ima drugu i treću kategoriju kvalitete zraka, što je umjereno i prekomjerno onečišćen zrak. To je i više nego dovoljan razlog da se ovoj temi da više prostora jer je cijena koju plaćamo previsoka.

 
  
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  Vladimír Maňka (S&D), písomne. ‒ Smernica predstavuje rámec na prijatie opatrení a regulácie v režimoch krajín EÚ v záujme dosiahnutia zmiernenia zmeny klímy, zlepšenia kvality ovzdušia, zdravia obyvateľov a životného prostredia, ktoré patria k dlhodobým cieľom Únie. Mnohé členské krajiny nedodržiavajú doteraz prijaté normy a záväzky, čím sa plnenie cieľov odďaľuje. To má za následok zhoršovanie zdravia obyvateľov a zvyšovanie výdavkov na ochranu zdravia.

Smernica zrušuje a nahrádza existujúcu smernicu o národných emisných stropoch, určuje opatrenia pre jednotlivé sektory a oblasti hospodárskeho života a stanovuje nové stropy emisií oxidu siričitého, oxidov dusíka, amoniaku a nemetánových prchavých organických zlúčenín na rok 2020 a 2030. Od roku 2020 sa vzťahuje aj na tuhé častice.

V záujme nezvyšovania nákladov na prijatie stanovených cieľov bude potrebné sa zamerať na nové a inovatívne spôsoby financovania znižovania emisií.

 
  
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  Νότης Μαριάς ( ECR), γραπτώς. ‒ Ψηφίζω υπέρ της αναβολής της ψηφοφορίας για την έκθεση σχετικά με την πρόταση οδηγίας του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου και του Συμβουλίου που αφορά τη μείωση των εθνικών εκπομπών ορισμένων ατμοσφαιρικών ρύπων και την τροποποίηση της οδηγίας 2003/35/ΕΚ.

 
  
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  David Martin (S&D), in writing.This report concerns the directive used to tackle cross-border pollution. As agreed with Member States, national governments commit to ceilings for the emission of certain pollutants. I supported the raising of these ceilings to more appropriate levels and the call for binding targets for 2025. Committing to binding targets is the only way we will effectively reduce pollution, and this is crucially important, as we see that 90% of people living in cities in Europe are now exposed to levels of pollutants classified as damaging to human health.

 
  
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  Georg Mayer (ENF), schriftlich. ‒ Eine Festlegung von Reduktionszielen für Methan ist „nicht zielführend“. Dieses Treibhausgas wird bereits effektiv über die Lastenteilungsentscheidung geregelt.

Zu strenge Maßnahmen im Bereich der Reduzierung der Treibhausgas- und Luftschadstoffemissionen aus der Landwirtschaft könnten zu einem Rückgang der EU-Produktion führen und somit angesichts des Anstiegs der weltweiten Nachfrage nach Lebensmitteln die Ernährungssicherheit gefährden. Daher habe ich mich meiner Stimme enthalten.

 
  
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  Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ La proposition législative vise à réviser la directive de 2001 sur les plafonds d'émission nationaux (PEN). Le rapport fixe des plafonds nationaux à atteindre d'ici 2030 pour six polluants (dioxyde de soufre, oxydes d'azote, ammoniac et composés organiques volatils non méthaniques, particules fines (PM2,5) et mercure). Des objectifs contraignants ont également été fixés à mi-parcours. Pour atteindre ces objectifs, le rapport insiste sur la nécessaire réduction des émissions du transport routier. Une certaine attention est également portée aux pollutions issues de l'agriculture. Je vote pour ce texte.

 
  
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  Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ A permissão de emissões de determinados poluentes atmosféricos deve ser alvo de compromissos de redução vinculativo. A poluição atmosférica é um sério problema de saúde pública que causa, anualmente, cerca de 430 000 mortes prematuras na UE, é fundamental que os riscos ou ameaças à saúde e ambiente sejam controlados. Neste sentido, é aprovado o relatório que estabelece novos valores-limite para a emissão de determinados poluentes atmosféricos, diferentes dos propostos pela Comissão Europeia. Partilho da posição da relatora no sentido de que seja assegurado que as medidas necessárias ao cumprimento da legislação permitam uma atuação dentro dos limites estabelecidos para 2030.

 
  
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  Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ I supported the report as it calls for measures to strengthen the monitoring mechanisms to ensure timely progress in emission reductions, including transparency in drawing up and updating the national air-pollution control programmes. The final vote on the legislative resolution was postponed to another sitting.

 
  
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  Louis Michel (ALDE), par écrit. – Je salue l'adoption par le Parlement européen du rapport relatif aux émissions de certains polluants atmosphériques visant à réviser la directive de 2003. L'Union entend ainsi s'attaquer au problème de la pollution de l'air. Le texte prévoit des plafonds d'émissions pour 6 polluants atmosphériques majeurs, parmi lesquels le dioxyde de soufre, les oxydes d'azote, l'ammoniac et le méthane. Concernant le méthane entérique (produit par les ruminants), je me suis prononcé en faveur de son retrait du champ d'application du texte afin d'éviter d'imposer une charge supplémentaire aux agriculteurs et de tenir compte des spécificités et des règles relatives au secteur ainsi que des progrès déjà accomplis.

 
  
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  Miroslav Mikolášik (PPE), písomne. ‒ Európska politika v oblasti ochrany ovzdušia má dlhú históriu a za ten čas dosiahla významné úspechy, no EÚ je stále ďaleko od svojho dlhodobého cieľa, ktorým je dodržiavať odporúčané limity znečisťujúcich látok stanovené v usmerneniach WHO pre kvalitu ovzdušia z roku 2005. Preto vítam návrh smernice Európskeho parlamentu a Rady o znížení národných emisií určitých látok znečisťujúcich ovzdušie. Naším cieľom totiž musí byť dosiahnutie takej úrovne kvality ovzdušia, ktorá nebude mať neprijateľné vplyvy a riziká vzhľadom na zdravie ľudí a životné prostredie. Dnes zlá kvalita ovzdušia prispieva k predčasným úmrtiam, absenciám v práci z dôvodu choroby, značným nákladom na zdravotnícku starostlivosť a stratám produktivity, pričom celkové externé náklady súvisiace so zdravím, ktoré spoločnosti vznikajú z dôvodu znečisťovania ovzdušia, sa odhadujú na 330 až 940 miliárd eur ročne. Navyše podľa OECD sa do roku 2050 znečistenie ovzdušia v mestách môže stať hlavnou environmentálnou príčinou úmrtnosti na celom svete.

 
  
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  Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ Az Európai Bizottság az egyes légköri szennyezőanyagok nemzeti kibocsátásainak csökkentésére és a 2003/35/EK irányelv módosítására vonatkozó európai parlamenti és tanácsi irányelv elfogadására tett javaslatot. A Bizottság javaslata hatályon kívül helyezi és felváltja a nemzeti kibocsátási határértékekről szóló jelenlegi irányelvet, és 2020-ra, illetve 2030-ra vonatkozóan új határértékeket állapít meg a kén-dioxid, a nitrogén-oxidok, az ammónia és a metántól eltérő illékony szerves vegyületek kibocsátásai tekintetében, továbbá kiterjeszti az irányelv hatályát 2020-tól a szálló porra (PM2,5), 2030-tól pedig a metánra is. A Parlament Környezetvédelmi, Közegészségügyi és Élelmiszer-biztonsági Bizottsága jelentésében a javaslathoz 118 módosító indítványt nyújtott be, ezekkel együtt azonban a javaslatot elfogadásra ajánlotta a Parlamentnek. Az előterjesztésről ennek megfelelően szavaztam.

 
  
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  Sophie Montel (ENF), par écrit. – Ce rapport Girling sur les émissions de certains polluants atmosphériques concerne la directive qui poursuit l’œuvre de la directive PEN de 2001 sur les plafonds d’émissions de certains polluants atmosphériques dont le dioxyde de souffre, l’oxyde d’azote, l’ammoniac et les composés organiques volatiles non méthaniques (NMVOC) jusqu’en 2020. La nouvelle directive propose de nouveaux seuils jusqu’en 2030 en ajoutant le méthane (gaz polluant provenant en grande partie des activités agricoles et de bétails) et les particules fines. Le rapporteur proposait une échéance plus contraignante en 2025, mais refuse l'inclusion du méthane (cf. agriculture). Les élus FN en Commission ont soutenu la position contre l'inclusion du méthane et contre la mention de l'ammoniac afin de limiter le poids réglementaire sur l'agriculture et certaines industries. J'ai donc voté contre.

 
  
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  Claude Moraes (S&D), in writing. ‒ Poor air quality is responsible for over 400 000 premature deaths each year and its economic cost for health is estimated at between EUR 300bn-900bn every year. Around 90% of Europeans living in cities are exposed to levels of air pollution deemed damaging to human health. In addition, vulnerable socio-demographic groups such as pregnant women, children, the elderly, as well as those from low income groups, are particularly affected. Measures to address dangerous pollutants covering all sectors are urgently needed.

 
  
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  Nadine Morano (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de la directive NEC, qui représente un instrument législatif crucial pour le contrôle du respect des objectifs de qualité de l’air au niveau européen. Des normes ambitieuses sont nécessaires pour lutter contre la pollution de l’air qui serait responsable de nombreux décès prématurés. Cependant, pour être efficace, la législation dans ce domaine doit être réaliste et tenir compte du rôle économique joué par les entreprises. Ainsi, je suis favorable à l’objectif de fixation de plafonds nationaux pour la protection de l’environnement et la qualité de l’air, mais je me suis en revanche opposée à l'intégration du méthane entérique (gaz issu de la fermentation qui a lieu dans la panse des ruminants) dans le calcul de ces plafonds. Cette mesure aurait représenté une contrainte déraisonnable pour les éleveurs européens dont les animaux sont élevés en plein air.

 
  
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  Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ Esprimiamo un voto favorevole sulla revisione della direttiva NEC per i nuovi e ambiziosi obiettivi proposti. Infatti, nonostante i passi in avanti, la bassa qualità dell'aria causa ogni anno più di quattrocentomila vittime e pesa sul settore sanitario con una cifra annua compresa fra i trecento e i novecento miliardi di euro. Inoltre, le fasce più esposte al rischio sanitario sono le più fragili: donne incinte, anziani e famiglie a basso reddito. Appare chiaro che, per le citate preoccupazioni e per garantire il mantenimento degli impegni assunti dall'UE a livello internazionale, sia necessaria una riforma che fissi nuovi obiettivi vincolanti per il 2025 e per il 2030. Accogliamo con favore, anche, l'introduzione di limiti, con particolare riferimento all'ammoniaca, alle emissioni del settore agricolo, responsabile del quaranta percento dell'inquinamento atmosferico. Il costo della non azione è, infatti, troppo alto e l'agricoltura, come tutti gli altri settori, deve, limitando le proprie emissioni, contribuire. La proposta s'inserisce, inoltre, nella più ampia cornice degli obiettivi a lungo termine dell'UE, con particolare riferimento alla lotta al cambiamento climatico. La revisione è, infatti, coerente con la posizione assunta dall'Unione europea in campo internazionale e, in particolare, ne rafforza il ruolo alla prossima conferenza di Parigi.

 
  
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  Renaud Muselier (PPE), par écrit. ‒ Nous avons besoin de normes ambitieuses en matière de lutte contre la pollution de l’air. Cette directive est donc un instrument législatif crucial pour le contrôle du respect des objectifs de qualité de l'air au niveau européen. Mais, si nous voulons une législation efficace, elle doit avant tout être réaliste et prendre en compte l'impact négatif que des normes trop contraignantes pourraient avoir sur l'industrie et l'agriculture et, in fine, sur l'emploi.

 
  
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  Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ I voted for this report that will led to the introduction of new ceilings on emissions for sulphur dioxide, nitrogen oxides, ammonia and non-methane volatile organic compounds for 2020 and 2030.

 
  
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  Norica Nicolai (ALDE), în scris. ‒ Am decis să votez împotriva acestui raport, deoarece consider că acesta a pornit de la o propunere a Comisiei privind reducerea poluanților din aer pe teritoriul UE, ceea ce este o temă ce trebuie dezbătută și pentru care trebuie găsite soluții viabile în vederea îndeplinirii obiectivelor, dar, prin completările aduse acestei propuneri inițiale, a implicat și agricultura mică și medie.

Prin adăugarea de prevederi privind emisiile de gaze nocive provenite din creșterea animalelor, cu numirea expresă a agriculturii mici și mijlocii, sunt implicate costuri și obligații pentru fermierii ce se află la limita sau sub limita profitabilității. O astfel de prevedere pentru agricultorii și crescătorii de animale din România, oricât de mari sau mici ar fi aceștia, ar însemna costuri suplimentare greu de suportat și ar implica falimentul multora.

În aceste condiții, m-am simțit obligată față de cetățenii din România să votez împotriva acestui raport.

 
  
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  Franz Obermayr (ENF), schriftlich. ‒ Der Bericht über den Vorschlag für eine Richtlinie des Europäischen Parlaments und des Rates über die Verringerung der nationalen Emissionen bestimmter Luftschadstoffe und zur Änderung der Richtlinie 2003/35/EG hat zum Ziel die grenzüberschreitenden Probleme der Luftverunreinigung in den Griff zu bekommen. Ich begrüße generell einen nachhaltigeren Umgang mit unserer Natur, wozu auch eine Verringerung der Luftschadstoffe zählt. Dennoch beschränken weitere Vorgaben die Wettbewerbsfähigkeit unserer Unternehmen, weswegen ich mich meiner Stimme enthalten hätte.

 
  
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  Urmas Paet (ALDE), kirjalikult. ‒ Toetasin ning loodetavasti annab triloog lõpphääletuseks hea tulemuse. Õhukvaliteet on valdkond, mis väga selgelt puudutab nii inimeste tervist kui ka meie elukeskkonda laiemalt. Õhusaaste põhjustab igal aastal sadade tuhandete inimeste enneaegset surma ELis. Seetõttu on vaja õhusaaste vähendamiseks viivitamatult tegutseda.

 
  
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  Maite Pagazaurtundúa Ruiz (ALDE), por escrito. ‒ La Directiva sobre reducción de las emisiones llega en un momento decisivo. A la creciente preocupación de los ciudadanos por cuestiones relacionadas con la salud pública, se une el escándalo Volkswagen y los incalculables e irreversibles efectos negativos causados a la salud y el medio ambiente.

Pese a los esfuerzos realizados para reducir la contaminación del aire, la Unión Europea sigue lejos de cumplir con los objetivos. El aire contaminado mata cada año de forma prematura a más de tres millones de personas en todo el mundo y se estima que los costes externos relativos a la salud para la sociedad en Europa oscilan entre los 330 000 y los 940 000 millones de euros al año, sin contar los daños medioambientales. La propuesta que hoy votamos es ambiciosa, al fijar nuevos techos de emisiones y objetivos obligatorios para 2025 en un claro compromiso con la salud de los europeos. Por ello, no puedo más que votar a favor.

 
  
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  Rolandas Paksas (EFDD), raštu. – Oro tarša kenkia žmonių sveikatai ir aplinkai. Būtina sumažinti išmetamų į atmosferą teršalų kiekį, ypač pramonės ir energetikos sektoriuose. Tačiau naujuoju reguliavimo negalima sukurti nepagrįstai didėlės finansinės ar biurokratinės naštos. Nemanau, kad metanas ir gyvsidabris turėtų būti įtraukti į šios direktyvos reguliavimo sritį.

Nustatant naujas nacionalines teršalų išmetimo ribas, skirtas svarbiausių atmosferos teršalų tipams, būtina įvertinti valstybių narių jau įdėtas pastangas. Reikia vykdyti mokslinius taikomuosius tyrimus, susijusius su taršos masto ir poveikio aplinkai įvertinimu. Be to, turi būti skatinamas aplinkai draugiškesnių technologijų bei švaresnių gamybos metodų diegimas bei efektyvesnių aplinkos apsaugos priemonių taikymas.

 
  
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  Gilles Pargneaux (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté pour ce texte. Cette directive va permettre de redéfinir les objectifs de diminution de polluants atmosphériques très dangereux pour la santé humaine. La qualité de l'air en Europe sera grandement améliorée après l'adoption de ce texte en trilogue. La position du Parlement européen est ferme et équilibrée et permettra une bonne négociation avec le Conseil, d'où mon soutien.

 
  
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  Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Pur comprendendo le difficoltà del relatore, non concordo con il risultato finale. Pertanto, mi riservo di votare favorevolmente solo se gli emendamenti proposti dal mio gruppo saranno presi in considerazione. Come ben sapete, infatti, ho a cuore il problema dell'inquinamento atmosferico e ritengo necessario continuare a collaborare al fine di risolvere questo problema di enorme rilevanza per la comunità europea e internazionale.

 
  
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  Alojz Peterle (PPE), pisno. – Poročilo sem podprl, ker Evropska zveza potrebuje zakonodajo, ki bo bolj omejevala izpuste glavnih onesnaževalcev zraka, vključno z amonijakom. Emisije vplivajo na slabše zdravje ljudi in s sprejetimi predlogi Parlamenta bodo državljani lahko uživali kvalitetnejši, bolj čist zrak.

 
  
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  Marijana Petir (PPE), napisan. Onečišćenje zraka je problem s kojim se susreću mnogi veliki gradovi Europe i svijeta, a izvori onečišćenja posljedica su razvoja civilizacije i načina života modernog čovjeka. Ovom direktivom žele se postaviti okviri smanjenja onečišćenja zraka do razina onečišćenja koje ne bi uzrokovale značajne negativne učinke za ljudsko zdravlje i okoliš, u skladu sa smjernicama o kvaliteti zraka koje je objavila Svjetska zdravstvena organizacija.

Prilikom određivanja odgovarajućih mjera i ciljeva mora se voditi računa o mogućnosti njihove provedbe te o utjecaju tih mjera na pojedine sektore. Upravo zbog toga prilikom pripreme izvješća vodila se žestoka rasprava o uvrštavanju metana i žive na popis onečišćivača zraka čije emisije treba ograničiti, te o boljem nadzoru emisija amonijaka čije bi se emisije u okoliš trebale dodatno smanjiti.

Uključivanje metana na popis onečišćivača može uzrokovati ozbiljne posljedice za poljoprivredu EU-a, pogotovo sektore koji se bave proizvodnjom mesa. Dobrobit životinja bi mogla biti ugrožena ograničavanjem emisija metana iz sektora poljoprivrede, jer bi životinje više vremena morale provoditi u zatvorenom prostoru.

Stava sam da se pitanje emisija metana iz poljoprivredne proizvodnje mora rješavati u paketu propisa povezanih s europskom politikom zaštite klime, zajedničkim naporom svih sektora koji emitiraju metan imajući na umu stvarne mogućnosti svakog sektora.

 
  
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  Florian Philippot (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport Girling sur les émissions de certains polluants atmosphériques concerne la directive qui poursuit l’œuvre de la directive PEN de 2001 sur les plafonds d’émissions de certains polluants atmosphériques dont le dioxyde de souffre, l’oxyde d’azote, l’ammoniac et les composés organiques volatiles non méthaniques (NMVOC) jusqu’en 2020. La nouvelle directive propose de nouveaux seuils jusqu’en 2030 en ajoutant le méthane (gaz polluant provenant en grande partie des activités agricoles et des bétails) et les particules fines. Le rapporteur proposait une échéance plus contraignante en 2025 mais refuse l'inclusion du méthane (cf. agriculture). Les élus FN en Commission ont soutenu la position contre l'inclusion du méthane et contre la mention de l'ammoniac afin de limiter le poids réglementaire sur l'agriculture et certaines industries. J'ai donc voté contre.

 
  
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  Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ Budući da slaba kakvoća zraka ostaje uzrok stotina tisuća preranih smrti godišnje te veliki ekološki i ekonomski problem, potrebno je snažnije integrirano djelovanje EU-a u smjeru ublažavanja utjecaja klimatskih promjena te poboljšanja sinergije zakonodavstva Unije s njenim klimatskim i energetskim politikama.

Prijedlog ove direktive uspostavlja nove obveze reduciranja nacionalnih emisija sumporovog dioksida, dušikovih oksida, amonijaka i nemetanskih hlapljivih organskih spojeva za 2020., 2025. i 2030. godinu, na temelju podrobne studije troškova i koristi za svaku državu članicu zasebno.

U opseg Direktive dodani su i metan, sitne čestice (PM2.5) te živa. Implementacija ove direktive trebala bi, uz očekivane dobitke u ekološkom i zdravstvenom smislu, dovesti i do otvaranja 40 000 novih radnih mjesta te jačanja zelene tehnologije. Predviđeno je da se u nacionalne programe kontrole onečišćenja zraka uključe mjere primjenjive na poljoprivredni sektor, industriju, cestovni prijevoz, te da države članice redovito ažuriraju svoje nacionalne programe za redukciju emisija pod nadzorom ovlaštenih tijela.

Hrvatska bi prema novom prijedlogu do 2030. trebala smanjiti emisiju SO2 za 87 %, dušikovih oksida za 70 %, a amonijaka za 29 %, a osim toga ovakve odredbe doprinijele bi poticanju odgovornijeg poljoprivredno-ekološkog uzgoja, istovremeno otvarajući pristup dodatnim subvencijama iz EU fondova kako bi se pružila podrška malim i srednjim poduzetnicima.

 
  
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  Andrej Plenković (PPE), napisan. ‒ Podržavam izvješće kolegice Julie Girling o prijedlogu direktive Europskog parlamenta i Vijeća o smanjenju nacionalnih emisija određenih atmosferskih onečišćivača i izmjeni Direktive 2003/35/EZ. Direktiva ima za cilj ograničavanje emisija određenih atmosferskih onečišćivača, čime se doprinosi dugoročnom cilju Europske unije o postizanju bolje kvalitete zraka koji ne bi uzrokovao negativne učinke na ljudsko zdravlje i okoliš, kao i ublažavanju utjecaja klimatskih promjena.

Direktiva bi trebala biti u skladu s europskim i međunarodnim akcijama u području klimatskih promjena te sveobuhvatnim obvezujućim globalnim sporazumom o klimatskim promjenama. Predlažu se još ambiciozniji ciljevi koje treba ispuniti do 2030. godine, a države članice trebaju ispuniti zahtjeve smanjenja emisija određenih onečišćivača i Komisiji dostavljati izvješća o napretku. Nacionalni programi za kontrolu onečišćenja zraka trebaju razmotriti isplativost mjera za smanjenje emisija te odrediti konkretne političke mjere s ciljem smanjenja rizika koji negativno utječu na zdravlje.

Države članice bi trebale uspostaviti sustav rutinske i nerutinske inspekcije zaštite okoliša te osigurati da su pripadnici zainteresirane javnosti konzultirani u ranoj fazi izrade nacrta. Komisija bi trebala olakšati pristup financijskim sredstvima kako bi se osigurala mogućnost poduzimanja odgovarajućih mjera u skladu s ciljevima ove Direktive, a planira se i uspostavljanje Europskog foruma za čisti zrak.

 
  
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  Salvatore Domenico Pogliese (PPE), per iscritto. ‒ L'inquinamento ambientale causa ogni anno nell'UE circa 400.000 morti premature. Le nuove regole, contenute nella proposta della Commissione potrebbero far risparmiare, entro il 2030, fino a 40 miliardi di euro in costi per combattere l'inquinamento ambientale. La proposta della Commissione abroga e sostituisce la direttiva NEC in vigore, fissando per il 2020 e il 2030 nuovi limiti per le emissioni di biossido di zolfo, ossidi di azoto, ammoniaca e composti organici volatili non metanici. Questa proposta mira, inoltre, a estendere il raggio d'azione della direttiva anche al particolato fine (PM2,5) a partire dal 2020, e al metano a partire dal 2030. Gli obiettivi per il 2020 riflettono gli impegni che sono stati sottoscritti a livello internazionale nel quadro del protocollo di Göteborg del 2012. Alla luce dei gravi rischi sanitari e degli impatti considerevoli sull'ambiente tuttora derivanti dall'inquinamento atmosferico mi auguro che, anche attraverso il mio voto favorevole, si possa quanto prima arrivare a una graduale riduzione delle emissioni nocive presenti nell'atmosfera, per il bene della salute dei cittadini europei.

 
  
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  Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ Afin de lutter efficacement contre le réchauffement climatique et d'encourager une réduction progressive des émissions de polluants atmosphériques, la Commission a mis en place la directive PEN "Plafonds d'émissions nationaux". Cet instrument vise à réguler les émissions de polluants dans l'air en fixant des plafonds d'émissions pour les États membres pour les principaux polluants. Dans ce contexte, la Commission a proposé d'adapter l'actuelle directive PEN et de fixer de nouveaux plafonds.

Le Parlement européen a adopté la proposition de la Commission, mais ne s'est pas encore accordé sur la proposition de la commission ENVI. Le vote a été reporté car la résolution ENVI fixait des plafonds beaucoup trop ambitieux voire irréalistes. Je soutiens cette position et encourage un texte réaliste et adapté aux besoins environnementaux, sociaux et économiques de nos États.

 
  
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  Julia Reid (EFDD), in writing. ‒ Today UKIP voted against the creation of a new EU legislative framework on the reduction of national emissions of certain atmospheric pollutants. We are particularly concerned that the proposal to include methane in this directive would duplicate international and domestic climate-change legislation, creating an additional regulatory burden for industry and government, without any corresponding benefit for the environment.

 
  
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  Frédérique Ries (ALDE), par écrit. J'ai voté ce midi en faveur d'une législation ambitieuse sur la qualité de l'air. Non pas parce que le sommet de Paris sur le climat se profile à l'horizon, mais bien parce que la pollution de l'air est responsable chaque année de 400 000 décès prématurés dans l'UE.

J'ai plus exactement soutenu des objectifs contraignants pour 6 gaz particulièrement nocifs pour l'environnement et/ou la santé humaine: l'ammoniac, les particules fines, le NOx, le SO2, les COV et le méthane.

Pour ce dernier gaz, mauvais pour la couche d'ozone, j'ai tenu compte de la difficulté pour le secteur agricole de se conformer aux normes les plus ambitieuses. C'est pourquoi j'ai soutenu avec force et conviction l'amendement 33, qui prévoit l'exclusion du méthane entérique du champ d'application de cette directive.

Les troupeaux de vaches pourront donc continuer à paître tranquillement en prairie. L'inverse aurait été dommageable pour l'élevage bovin qui se met au diapason des nouvelles règles fixées par la PAC: application du troisième pilier dit "de verdissement".

Il n'en demeure pas moins essentiel de faire plus contre ce tueur invisible qu'est la pollution atmosphérique, qui provoque dix fois plus de décès chaque année que les accidents de la circulation.

 
  
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  Dominique Riquet (ALDE), par écrit. ‒ La pollution atmosphérique provenant des activités humaines, allant de l’industrie à l’agriculture, serait responsable de la mort de 400 000 citoyens européens chaque année. Ce nombre est dix fois plus élevé que celui de la mortalité routière. Ainsi, il est primordial de s'attaquer aux problèmes des émissions polluantes, et ce, par l'intermédiaire d'une solution globale et européenne, la pollution ne connaissant pas de frontières.

Ainsi, ce mercredi 28 octobre, j'ai voté pour le rapport sur la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques, qui fixe plus particulièrement un plafond d’émissions à l'horizon 2030.

Sont visées ici les émissions de dioxyde de soufre, d'oxydes d'azote ou encore les particules fines. Toutefois, le Parlement européen a décidé, et je m’en félicite, de ne pas introduire de plafond d’émissions pour le méthane entérique, évitant ainsi d’imposer une double peine aux éleveurs de bovins.

En réduisant les plafonds d'émissions tolérés, cette législation pourrait améliorer les conditions de vie des citoyens européens et réduire le nombre de décès liés à la mauvaise qualité de l'air. C’est aussi un signal envoyé à nos partenaires à l’approche de la COP 21.

 
  
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  Michèle Rivasi (Verts/ALE), par écrit. ‒ Le Parlement s’est clairement prononcé pour renforcer la proposition de la Commission européenne fixant de nouvelles règles de 2020 à 2030 sur les émissions de certains polluants dangereux pour la santé.

À quelques semaines de la COP 21, le Parlement a envoyé un signal fort pour réduire les émissions de polluants nocifs. Le vote d’aujourd’hui vient renforcer la proposition de la Commission européenne qui concerne, notamment, le dioxyde de souffre, l’oxyde d’azote, les particules fines ou encore l’ammoniac, qui attaquent gravement le système respiratoire.

Les écologistes regrettent cependant que sur le mercure – puissant neurotoxique, source de déficiences neurologiques – le Parlement ait suivi la Commission en l’excluant de la régulation.

La proposition de la Commission avait pour objectif de réduire les émissions de ces polluants de 2020 à 2030 et le Parlement y a ajouté des objectifs contraignants dès 2025. La pollution de l’air est responsable de près de 480 000 morts prématurées sur le continent européen, le temps des tergiversations est maintenant révolu.

 
  
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  Robert Rochefort (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de la résolution fixant de nouveaux plafonds nationaux plus ambitieux pour les émissions des principaux polluants atmosphériques néfastes pour la santé humaine et l'environnement: les oxydes d'azote, le dioxyde de soufre, les composés organiques volatils non méthaniques, l'ammoniac, le méthane et les particules. La pollution de l'air est responsable d'environ 400 000 morts prématurées chaque année dans l'Union européenne et cause entre 300 et 900 milliards d'euros de coûts relatifs à la santé par an. Il est donc urgent de remédier à ces sérieux problèmes de qualité de l'air qui perdurent dans l'Union.

Les réductions fixées sont applicables à compter de 2020 et de 2030, avec des niveaux d'émission intermédiaires pour l'année 2025. Nous avons décidé de maintenir le méthane et l'ammoniac dans la directive, deux polluants provenant principalement de l'agriculture, tout en excluant les émissions de méthane entérique produites naturellement par les ruminants. Des négociations vont à présent pouvoir s'ouvrir avec le Conseil en vue d'aboutir à un accord de première lecture.

 
  
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  Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ La contaminación atmosférica es responsable de la muerte prematura de más de 400 000 personas cada año y su coste económico para el sistema sanitario se estima entre 300 000 y 900 000 millones de euros anualmente. Aproximadamente el 90 % de los europeos que viven en ciudades están expuestos a un nivel de contaminación atmosférica perjudicial para la salud humana. Además, los grupos sociodemográficos vulnerables, en particular las mujeres embarazadas, los niños y las personas mayores, así como aquellos colectivos de bajos ingresos, están particularmente afectados.

La propuesta de Directiva sobre techos nacionales de emisión reemplaza el actual régimen de límites de emisiones nacionales de ciertos contaminantes atmosféricos, en particular sulfuro (SO2), nitrógeno (NOx), compuestos orgánicos volátiles (NMVOC) y amoníaco (NH3) hasta 2020. Incluye el establecimiento de nuevos compromisos de reducción de emisiones nacionales aplicables para 2020 y 2030 para los contaminantes atmosféricos arriba mencionados, así como para partículas finas (PM2,5) y metano (CH4). Además, los Estados Miembros redactarán programas nacionales de control de contaminación atmosférica.

Por estas razones, he votado a favor de esta propuesta legislativa imprescindible para mejorar la calidad del aire en Europa. Además, con el objetivo de ayudar al sector agrícola, he apoyado la exclusión del metano del ámbito de aplicación de la Directiva.

 
  
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  Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ Je me réjouis du vote de ce rapport à l'issue duquel le Parlement européen s'est prononcé en faveur de plafonds d'émissions de substances polluantes qui doivent être bien plus stricts pour lutter contre la pollution de l'air. Le rapport adopté vient renforcer pour 2020-2030 les plafonds d'émissions de certains polluants dangereux pour la santé.

Pour rappel, la pollution de l'air occasionne dans l'UE annuellement quelque 400 000 décès prématurés. Si les États membres se sont bien engagés à faire face à cette situation, ils ne tiennent pas pour autant leurs engagements. C'est donc une bonne chose que le Parlement ait choisi de renforcer la proposition de la Commission européenne en resserrant les normes pour six polluants.

À la base, les plafonds doivent continuer de baisser d'ici 2030 pour le dioxyde de souffre, l'oxyde d'azote, l'ammoniac, le méthane, les composés organiques volatils autres que le méthane, les particules fines ou encore l'ammoniac. Le Parlement européen a introduit des objectifs contraignants intermédiaires à respecter d'ici 2025 et devra négocier à ce sujet avec les États membres pour dégager un accord dans les prochains mois.

 
  
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  Fernando Ruas (PPE), por escrito. ‒ Possuir uma elevada qualidade do ar é um desígnio que assume uma dimensão transfronteiriça no âmbito da saúde pública e preservação do meio ambiente.

Como tal, este projeto de resolução legislativa do Parlamento Europeu e do Conselho tem por objetivo rever a Diretiva 2003/35/CE relativa aos valores—limite nacionais de emissão de determinados poluentes atmosféricos, estabelecendo novos valores-limite de emissão para 2020 e 2030 relativamente ao dióxido de enxofre, óxidos de azoto, amoníaco e compostos orgânicos voláteis não metânicos. Esta proposta alarga ainda o âmbito da Diretiva, de forma a abranger as partículas a partir de 2020 e o metano a partir de 2030.

Aproveito para salientar, à semelhança da relatora, que as metas da proposta para 2030 estabelecem diferentes limites para cada Estado-Membro (EM) e para cada poluente, o que acaba por constituir, provavelmente, o seu elemento mais complexo.

No entanto, o essencial é fazer cumpri-la, tendo em conta os impactos negativos que estas emissões acarretam para a saúde e para o aumento da poluição atmosférica. De ressalvar ainda que esta proposta é mais inteligente e simplificada, reduzindo custos administrativos para as empresas e para os Estados—Membros, sendo coerente com outros pilares da política europeia, pelo que votei favoravelmente.

 
  
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  Tokia Saïfi (PPE), par écrit. ‒ J'ai soutenu ce rapport qui établit de nouveaux plafonds nationaux concernant certains polluants et permettra un contrôle du niveau de pollution de l'air dans l'Union européenne.

En effet, nous devons apporter des solutions au phénomène grave qu'est la pollution de l'air et qui provoque chaque année plus de 400 000 décès prématurés dans l'Union européenne dont plus de 48 000 en France!

En votant ce rapport, nous poursuivons l'objectif de l'amélioration de la qualité de l'air et je tiens à préciser que nous avons soutenu des objectifs réalistes en demandant notamment l'exclusion du méthane du champ d'application de la directive; en effet, sans cette exclusion, ce texte aurait pu être une véritable menace pour le secteur agricole.

 
  
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  Massimiliano Salini (PPE), per iscritto. ‒ Nonostante i miglioramenti raggiunti negli ultimi anni, l'inquinamento atmosferico in Europa rimane un problema contingente, al tempo stesso però dobbiamo garantire il giusto bilanciamento tra ambiente e politiche industriali considerando le capacità tecnologiche ed economiche dell'industria europea e la possibile perdita di posti di lavoro. Il Parlamento europeo ha approvato la proposta del relatore di rinviare la votazione sul progetto di risoluzione legislativa. La questione si considera pertanto rinviata per riesame alla commissione competente.

 
  
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  Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe con el fin de regular ciertos contaminantes atmosféricos, como por ejemplo las emisiones de metano. El 40 % de las emisiones de este gas de efecto invernadero procede de la agricultura. También es un precursor importante de otro contaminante atmosférico, el ozono troposférico, que causa enfermedades respiratorias y cardiovasculares y, por cierto, también importante daños a los cultivos agrícolas, especialmente en los países mediterráneos.

 
  
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  Tokia Saïfi (PPE), par écrit. – J'ai soutenu ce rapport qui établit de nouveaux plafonds nationaux concernant certains polluants et permettra un contrôle du niveau de pollution de l'air dans l'Union européenne. En effet, nous devons apporter des solutions au phénomène grave qu'est la pollution de l'air et qui provoque chaque année plus de 400 000 décès prématurés dans l'Union européenne dont plus de 48 000 en France! En votant ce rapport, nous poursuivons l'objectif de l'amélioration de la qualité de l'air et je tiens à préciser que nous avons soutenu des objectifs réalistes en demandant notamment l'exclusion du méthane du champ d'application de la directive; en effet, sans cette exclusion, ce texte aurait pu être une véritable menace pour le secteur agricole.

 
  
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  Daciana Octavia Sârbu (S&D), in writing. ‒ This directive on the reduction of national emissions aims to improve air quality, and that will undoubtedly have a positive impact on health. However, headline targets mean nothing if they cannot be implemented or if doing so leads to extensive job losses and increased inequality. Ambitious targets must be achievable for all Member States and should not represent a disproportionate burden for countries with fewer resources. We must strive to adopt legislation which brings environmental, health, societal and economic benefits.

 
  
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  Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ La propuesta de Directiva NEC revisada sustituye al actual régimen de la Unión en la nivelación anual de las emisiones nacionales de los contaminantes del aire, según la definición establecida en la Directiva 2001/81/CE, para cuatro contaminantes atmosféricos, a saber, el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx), los compuestos orgánicos volátiles distintos del metano (COVNM) y el amoníaco (NH3), hasta 2020.

La Directiva NEC revisada establece los controles sobre los diferentes tipos de contaminación del aire en cada Estado miembro. Su objetivo es reducir a la mitad de aquí a 2030 el número de muertes prematuras —estimado en 400 000 al año en la UE— causadas por la contaminación del aire.

La revisión propuesta establece nuevos compromisos nacionales de reducción de emisiones aplicables a partir de 2020 y 2030 para los cuatro contaminantes mencionados y también para las partículas finas (PM2,5) y el metano (CH4).

A pesar de que hay puntos importantes que no se consiguieron aprobar (elimina objetivos vinculantes para el metano), he votado a favor de este informe ya que considero que es más exigente que la propuesta de la Comisión y que, por tanto, la mejora.

 
  
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  Ricardo Serrão Santos (S&D), por escrito. ‒ Estamos perante um texto legislativo que abraça um dos maiores desafios dos nossos dias. Este desafio traduz-se em transformar o paradigma de arranque da era da industrialização que atingiu uma dimensão que não zela pelo mundo como o conhecemos hoje. Este desafio significa reavaliar as nossas noções de progresso e crescimento económico e integrar critérios como a urgência em preservar os nossos recursos, que não são infinitos.

Esta legislação constitui um incentivo à inovação tecnológica e deve ser implementada em harmonia e coordenação com outras políticas no domínio da investigação e desenvolvimento, da proteção da biodiversidade e das alterações climáticas. Tal deverá fazer-se na perspetiva de uma evolução paralela a todos estes níveis, ou, de contrário, comprometeremos a transição para uma economia hipocarbónica, a resiliência dos nossos recursos e a qualidade de vida das futuras gerações.

 
  
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  Jill Seymour (EFDD), in writing. ‒ I voted against this proposal because I do not wish to see EU regulation in this field. However, I recognise the importance of improving air quality and reducing pollutants in the air. I wish for this type of legislation to be made in our own national parliament, not the EU.

 
  
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  Siôn Simon (S&D), in writing. ‒ As other MEPs have highlighted, poor air quality is responsible for a shockingly high number of premature deaths each year, and its economic cost for health is also worryingly pronounced. Vulnerable socio-economic groups are particularly at risk from poor air quality, in particular the elderly, low-income groups, children and pregnant women. Measures are needed desperately to address these issues, and that is why I voted in favour of this report.

 
  
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  Davor Škrlec (Verts/ALE), napisan. ‒ Danas nam prijete velika onečišćenja uzrokovana plinovima kao što su sumporov dioksid, dušikov oksid, nemetanski hlapljivi organski spojevi, amonijak, fine čestice i metan. Bitno je smanjiti onečišćenje zraka i njegov štetni učinak na javno zdravlje i okoliš diljem Unije.

Obzirom kako su ciljevi izvješća ambiciozni i u skladu s ciljevima strategije Europa 2020. za pametan, uključiv i održiv razvoj, podržao sam ovu inicijativu. Njome bi se trebale potaknuti inovacije za podržavanje zelenog rasta i održavanje konkurentnosti europskoga gospodarstva, istodobno pomažući prijelaz na gospodarstvo s niskim emisijama ugljika, štiteći europski prirodni kapital i iskorištavajući vodstvo Europe u razvoju novih tehnologija.

Dodatno, obaveze smanjenja za 2030. smanjit će ukupne vanjske troškove onečišćenja zraka za 40 milijardi eura, u usporedbi s 212 milijardi eura u osnovnim vrijednostima, što je razlog više zašto se ova inicijativa treba provesti.

 
  
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  Igor Šoltes (Verts/ALE), pisno. ‒ Poročilo o predlogu direktive o zmanjšanju nacionalnih emisij za nekatera onesnaževala zraka določa zavezujoče nacionalne obveznosti za zmanjšanje emisij do leta 2020, 2025 in 2030. Cilj je omejiti emisije onesnaževal zraka in na učinkovit način prispevati k cilju EU, da doseže boljšo kakovost zraka.

Namen je zmanjšati negativne vplive na zdravje ljudi, ki jih onesnaženost zraka povzroča. Želja je izboljšati kakovost življenja državljanov EU in spodbujati prehod na zeleno gospodarstvo. Da bi se lahko dejansko zmanjšale emisije največjih onesnaževalcev zraka, bi bilo treba v nacionalne programe nadzora nad onesnaževanjem zraka vključiti ukrepe, ki bi se uporabljali v vseh ustreznih sektorjih, vključno s kmetijstvom, industrijo, cestnim prometom, celinsko plovbo in domačim pomorskim prometom, hišnim ogrevanjem in topili.

Ob upoštevanju posebnih nacionalnih okoliščin bi države članice morale imeti možnost izvajanja ukrepov, ki niso določeni v tej direktivi, a so enako okoljsko učinkoviti. Sam sem se pri glasovanju o predlogu Komisije, kot je bil spremenjen z amandmaji, vzdržal predvsem zato, ker ambiciozne zahteve o zmanjšanju emisij niso bile podprte s strani večine Evropskega parlamenta.

Sem pa podprl predlog, da se zakonodajno resolucijo prestavi z namenom, da se dovoli začetek pogajanj o poziciji prvega stališča med Evropskim parlamentom in Evropskim svetom.

 
  
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  Renato Soru (S&D), per iscritto. ‒ L'inquinamento atmosferico è responsabile della morte prematura di più di 400.000 persone ogni anno, con costi globali annuali stimati tra i 300 e i 900 miliardi di euro, secondo i dati forniti dalla Commissione europea. Oltre ai costi umani ed economici ingenti, la cattiva qualità dell'aria costituisce un grave danno all'ambiente naturale, attraverso fenomeni quale l'eutrofizzazione e le piogge acide. Per questo ho votato a favore della relazione che approva la proposta della Commissione europea di fissare limiti nazionali più elevati per le emissioni dei sei principali agenti inquinanti, inclusi il diossido di zolfo, il particolato e gli ossidi di azoto. Si tratta di misure necessarie per combattere l'inquinamento derivante da queste sostanze in tutti i settori e limitarne gli effetti su persone e ambiente; un'azione in questo senso era particolarmente necessaria con riferimento alle aree urbane, dove i cittadini europei sono esposti a livelli di inquinamento dell'aria considerati dannosi per la salute umana.

 
  
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  Joachim Starbatty (ECR), schriftlich. ‒ Der Vorschlag für überarbeitete nationale Emissionshöchstmengen (NEC-Richtlinie) ist Teil des Maßnahmenpakets für saubere Luft der Europäischen Kommission und ersetzt aktuelle Regelungen über die jährliche Deckelung nationaler Emissionen von Luftschadstoffen, wie z. B. Schwefeldioxid, Stickstoffoxide oder Ammoniak. Die neue Richtlinie zielt darauf ab, neue Emissionsreduktionsverpflichtungen für Mitgliedstaaten von 2020 bis 2030 einzuführen, nämlich für PM 2,5 sowie Methan. Das Parlament begeht immer denselben Fehler, indem es die vom Rat vereinbarten Zielvorgaben mal so von z. B. 27 % auf 40 % erhöht. Auch bei diesem Bericht mussten wir feststellen, dass die Grünen und Sozis lieber gar keine Einigung über Emissionen hätten, als eine Einigung zu erzielen. Die Grenzwerte für manche Schadstoffe sind mal wieder willkürlich erhöht worden. Wir brauchen Obergrenzen für Schadstoffe, um Anreize für Emissionsreduktionen zu setzen, dennoch sollten diese realistisch, verhältnismäßig sowie evidenzbasiert sein und gewisse Sektoren nicht unverhältnismäßig beeinträchtigen. Es wird allerdings für einige Mitgliedstaaten schwierig sein, insbesondere diejenigen mit großen landwirtschaftlichen Sektoren. Deshalb brauchen wir Flexibilität. Das Parlament gefährdet mit seinen Praktiken den Gesetzgebungsprozess. Es sollte sich an den Entscheidungen des Rates orientieren, da diese von den Mitgliedsstaaten verhandelt werden. Deshalb habe ich gegen diesen Bericht gestimmt, weil er durch zahlreiche Änderungsanträge eine ganz andere Form angenommen hat.

 
  
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  Ivan Štefanec (PPE), písomne. ‒ Právo na kvalitné ovzdušie by malo byť samozrejmosťou. Musíme však hľadať primeranú rovnováhu medzi ochranou životného prostredia a cieľom obnoviť priemyselnú výrobu, zvýšiť hospodársky rast a zvyšovať zamestnanosť.

 
  
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  Davor Ivo Stier (PPE), napisan. ‒ Podržao sam ovo izvješće jer je u Uniji u posljednjih 20 godina postignut napredak u području antropogenih emisija u zrak i kakvoće zraka zahvaljujući posebnoj politici Unije, uključujući Komunikaciju Komisije „Tematska strategija o onečišćenju zraka”. Dugoročni cilj Unije za politiku u području kakvoće zraka bi trebalo biti postizanje kakvoće zraka koje nema za posljedicu negativne utjecaje na ljudsko zdravlje i okoliš i rizike za njih.

Potrebni su pojačani napori na područjima na kojima su stanovnici i ekosustavi izloženi visokim razinama onečišćivača zraka i pojačana sinergija između zakonodavstva u području kakvoće zraka i ciljeva politike koje si je Unija postavila za promjenu klime i posebno za bioraznolikost.

Države članice trebaju pridonijeti u ostvarenju dugoročnog cilja Unije u području kakvoće zraka u skladu sa smjernicama Svjetske zdravstvene organizacije te ciljevima Unije koji se odnose na bioraznolikost i ekosustav smanjenjem razine i taloženja onečišćivača zraka koji uzrokuju zakiseljavanje, eutrofikaciju te onih koji se odnose na ozon ispod kritičnih opterećenja i razina.

 
  
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  Dubravka Šuica (PPE), napisan. Ovaj prijedlog direktive Europskog parlamenta i Vijeća o smanjenju nacionalnih emisija određenih atmosferskih onečišćivača, iako ima vrlo kvalitetnih odredbi, nije dovoljno precizan i ne podržavam ovakav prijedlog. U Europskoj uniji je u posljednjih 20 godina postignut velik napredak u području kakvoće zraka zahvaljujući posebnoj politici Unije.

Određivanje gornjih granica ukupnih godišnjih emisija koje su u primjeni od 2010. za sumporov dioksid (SO2), dušikove okside (NOx), amonijak (NH3) i nemetanske hlapljive organske spojeve (NMHOS) dovelo je do smanjenja brojnih štetnih emisija. Međutim, znatni negativni utjecaji za okoliš i ljudsko zdravlje i dalje su prisutni. Ova predložena direktiva bi zamijenila trenutnu regulativu Europske unije o gornjim granicama godišnjih nacionalnih emisija određenih atmosferskih onečišćivača i uspostavila bi nove obveze linearnog smanjenja nacionalnih emisija u razdoblju od 2020. do 2030. godine.

Ovaj prijedlog zasigurno doprinosi kvaliteti ljudskog zdravlja i okoliša, no zahtjev Europske pučke stranke je da Komisija do 2017. donese novi prijedlog za dijeljenje tereta unutar Europske unije s revidiranim obveznim smanjenjem emisije amonijaka do 2030. Uz to, EPP traži i brisanje metana. Podržala sam da se ovo izvješće vrati u matični odbor kako bi se nastavio dijalog s Vijećem.

 
  
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  Νεοκλής Συλικιώτης ( GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Η έκθεση έχει στόχο να διασφαλίσει πως τα εθνικά ανώτατα όρια εκπομπών που καθορίζονται στην οδηγία 2001/81/ΕΚ για το 2010 θα ισχύουν μέχρι το 2020 και θεσπίζει επίσης νέες εθνικές δεσμεύσεις μείωσης των εκπομπών. Υποχρεώνει τα κράτη μέλη να ενημερώνουν τακτικά τα εθνικά τους προγράμματα για έλεγχο της ρύπανσης του αέρα και καθορίζει τις διατάξεις σχετικά με τις κυρώσεις που επιβάλλονται για τις παραβάσεις των εθνικών διατάξεων που θεσπίζονται σύμφωνα με την πρόταση.

Ιδιαίτερα σημαντική είναι η εξαίρεση που έχουμε επιτύχει ως προς τον αγροτικό τομέα όσον αφορά την οδηγία για μεγαλύτερη μείωση του μεθανίου και της αμμωνίας. Ο αγροτικός τομέας, ιδιαίτερα στην Κύπρο όπως και σε άλλες χώρες της ΕΕ, αντιμετωπίζει ήδη αρκετά προβλήματα και δεν θα ήταν η καταλληλότερη χρονικά στιγμή να τον επιβαρύνουμε περισσότερο με στόχους για περαιτέρω μείωση της αμμωνίας και του μεθανίου. Για την παρούσα στιγμή τα ισχύοντα όρια, είναι ικανοποιητικά.

Για τους λόγους αυτούς αποφασίσαμε να υπερψηφίσουμε την έκθεση.

 
  
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  Ελευθέριος Συναδινός (NI), γραπτώς. ‒ Είναι επιτακτική ανάγκη η εξουσιοδότηση των αρμοδίων αρχών, ώστε να εξασφαλίσουν τη συμμόρφωση με όλες τις νομοθετικές διατάξεις που αφορούν τα όρια του 2030. Πιο συγκεκριμένα η καθιέρωση ζωνών χαμηλών εκπομπών ρύπων καθώς και ενός συστήματος χρέωσης τελών για ρύπανση από την οδική κυκλοφορία με αντικειμενικό σκοπό τη μείωση των εκπομπών ρύπων των ντιζελοκίνητων οχημάτων κυρίως στις αστικές περιοχές.

 
  
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  Tibor Szanyi (S&D), írásban. ‒ Szavazatommal támogattam a jelentést, mivel úgy gondolom, hogy a levegőszennyezettség valós probléma és a tervezet valós megoldásokat javasol a tisztább levegő megteremtése érdekében.

A levegő magas károsanyag-szintje a becslések szerint évente mintegy 400 ezer korai halálesetért felel az EU-ban, míg közvetetten káros hatása megjósolhatatlan. Úgy vélem, hogy a szennyező anyagok kibocsátásának mértékét radikálisan korlátozni kell. Éppen ezért a tervezet egy ambiciózus, azonnali csökkentést javasol minden szektort érintve ezzel az ún. nemzeti kibocsátás-csökkentési plafon irányelvvel. Az új tagállami vállalásokra vonatkozó 2020-as és 2030-as SO2, NOx, NMVOC és ammónia (NH 3), valamint a finom por (PM2,5) és a metán (CH4) beállítása komoly felelősséget jelent, de véleményem szerint lehetőséget is ad. A tagállamoknak nemzeti levegőszennyezettség-ellenőrző programot kell felállítaniuk, és kétévente ellenőrizniük, de ezzel több százezer ember életét menthetik meg. Ezáltal pénzt is megtakaríthatnak, amit nyugodtan fordíthatnak a megújuló, környezetbarát technológiák fejlesztésére.

 
  
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  Dario Tamburrano (EFDD), per iscritto. ‒ Anche se i limiti degli inquinanti sono risultati indeboliti rispetto alla proposta della commissione ENVI, è stato possibile mantenere l'ammoniaca e il metano fra le sostanze oggetto della direttiva. Mi dispiace che il mercurio sia rimasto escluso: siamo tuttavia riusciti a fare approvare la richiesta alla Commissione di fare uno studio d'impatto seguito da una proposta legislativa sul mercurio. L'inquinamento atmosferico è un grave problema di salute ambientale nell'Unione europea. La Commissione deve garantire che tutte le politiche sull'inquinamento atmosferico di origine europea, siano adatte allo scopo del raggiungimento degli obiettivi di qualità dell'aria nell'Unione. A tal fine, inoltre, la Commissione deve implementare senza nessun ritardo, la nuova proposta di regolamento Euro 6 sulle emissioni in condizioni reali di guida. La proposta ambisce agli obiettivi di riduzione delle emissioni vincolanti anche al 2025 e non solo al 2030. Complessivamente però il mio giudizio non è sfavorevole.

 
  
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  Claudia Tapardel (S&D), în scris. ‒ Dezvoltarea economică, cu ramificări în creșterea transportului, a activității industriale și a urbanizării, aduce cu sine o serie de efecte negative asupra sănătății cetățenilor europeni.

Comisia Europeană a dedicat o politică obiectivului de îmbunătățire a calității precare a aerului respirat în Europa, al cărei instrument implică plafonarea emisiilor totale anuale ale statelor membre pentru dioxid de sulf (SO2), oxizi de azot (NOx), amoniac (NH3) și compuși organici volatili nemetanici (COVnm).

În statele membre din Europa Centrală și de Est, unde în mixul energetic este folosit combustibilul solid indigen, reducerea poluanților cum sunt dioxidul de sulf și particulele în suspensie se dovedește a fi mult mai dificilă decât în alte cazuri.

În ciuda acestei situații, statele în chestiune sunt semnatare ale Protocolului Gothenburg, care guvernează măsurile de control și de protejare a calității aerului.

Cu toate acestea, aplicarea măsurilor propuse în acest raport prin reducerea anumitor poluanți atmosferici conduc la costuri exagerate și creează o povară administrativă disproporțională asupra sectoarelor cheie, cum sunt cel industrial, energetic, de transport și rezidențial.

În timp ce propunerea Comisiei Europene prevede un set de limite ale poluanților care pot fi impuse, raportul Parlamentului European este foarte ambițios, bazându-se pe niște ipoteze și proiecții în plan teoretic.

 
  
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  Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ L'Europe doit être au premier rang dans le combat contre le changement climatique.

Nous voulons une transition juste vers une économie durable et à faible teneur en carbone. Aujourd'hui nous dépensons l'équivalent d'une planète et demie par an de ressources. L'avenir de notre planète est en danger.

Le texte voté aujourd'hui va en ce sens et définit des limites de rejets de polluants dans l’air pour les États membres de l’Europe. On parle ici de milliers de tonnes de particules fines, d’ammoniac, de dioxyde d’azote, de souffre, etc.

Je rappelle que la mauvaise qualité de l'air est responsable de plus de 400 000 décès prématurés chaque année et son coût économique pour la santé est estimé entre € 300 et 900 milliards chaque année.

90 % des Européens vivant en ville sont exposés à un taux de pollution considéré comme dangereux. Un véritable changement de cap est indispensable!

Une remarque encore, et d'importance, je me suis prononcé en faveur de l'exclusion du méthane entérique. En effet, celui-ci est minoritaire, et, sans son exclusion, le secteur agricole devrait supporter une entrave supplémentaire dans sa mission alimentaire.

 
  
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  Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ In December 2013 the Commission presented a proposal on the directive on national emissions reduction commitments. Despite improvements in air quality in the EU in recent decades, we are still far from achieving the quality levels we need. The Commission proposed a number of annual reduction objectives for several pollutants (including the transposition of the Gothenburg Protocol, 2025 indicative targets and 2030 binding targets, aimed at achieving 70% of the ‘maximum technically feasible reduction’ identified in an impact assessment) as well as the addition of PM2,5 and methane to the list of pollutants.

While I am very much in favour of limiting air pollution, in order to protect the health of EU citizens and the environment, I am opposed to strengthening the reduction targets and making the intermediate 2025 targets binding.

I voted in favour of the deletion of methane and mercury from the scope of the directive and I voted against higher reduction targets proposed by the Committee on Environment, Public Health and Food Safety, as these could have a significant impact on EU industry. The higher targets for 2030 were voted down; the inclusion of methane and ammonia and the binding 2025 targets were approved. Therefore I decided to abstain in the final vote.

 
  
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  Isabelle Thomas (S&D), par écrit. ‒ La mauvaise qualité de l'air est responsable de plus de 400 000 décès chaque année et coûte entre 300 et 900 millions d'euros à nos systèmes de santé. 90% des citadins européens sont exposés à des niveaux de pollutions qui représentent un risque sanitaire. Il était donc nécessaire que nous légiférions pour réduire ces risques et limiter les émissions polluantes.

Le rapport présenté par Mme Girling est ambitieux, il vise à limiter les émissions des principaux polluants, notamment dans les secteurs des transports, de l’industrie, de l’énergie, du chauffage résidentiel, des services et de l’agriculture. Cette révision de la directive sur les plafonds d'émission inclut le méthane et l'ammoniac, ce qui constitue un progrès substantiel pour la qualité de l'air. Bien que je me félicite de l'ambition du texte, j'ai fait le choix de voter l’amendement qui exclut le méthane entérique, c’est à dire les pets des vaches. Les éleveurs déjà en grande difficulté ne peuvent être pénalisés pour un phénomène naturel incontournable, alors qu'ils font vivre nos territoires et préservent les prairies, qui sont elles aussi indispensables à la qualité de l'air.

 
  
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  Patrizia Toia (S&D), per iscritto. ‒ La situazione dell'inquinamento atmosferico in Europa è grave. Ogni anno l'inquinamento dell'aria è causa di oltre 400.000 morti premature nei paesi dell'Unione europea. Ictus, infezioni respiratorie, tumori ai polmoni sono in aumento anche a causa della presenza in atmosfera di inquinanti molto dannosi per la salute. L'inquinamento dell'aria ha, inoltre, un impatto grave e spesso devastante sulla natura e sulla biodiversità, sui raccolti e, non ultimo, sul nostro patrimonio artistico e culturale. Una riduzione delle emissioni è quindi necessaria, per questo ho votato a favore della proposta. Solo grazie a un impegno maggiore e al raggiungimento di obiettivi ambiziosi potremo garantire un ambiente più sano alle generazioni future.

 
  
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  Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Poročilo o predlogu direktive Evropskega parlamenta in Sveta o zmanjšanju nacionalnih emisij za nekatera onesnaževala zraka in o spremembi Direktive 2003/35/ES sem podprla, ker menim, da je kakovost zraka pomembna za človeško zdravje in okolje, trenutno stanje onesnaževal v zraku pa zahteva takojšnje, globalno in odgovorno ukrepanje.

 
  
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  Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe con el fin de regular ciertos contaminantes atmosféricos, como por ejemplo las emisiones de metano. El 40 % de las emisiones de este gas de efecto invernadero procede de la agricultura. También es un precursor importante de otro contaminante atmosférico, el ozono troposférico, que causa enfermedades respiratorias y cardiovasculares y, por cierto, también importante daños a los cultivos agrícolas, especialmente en los países mediterráneos.

 
  
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  Ulrike Trebesius (ECR), schriftlich. ‒ Der Vorschlag für überarbeitete nationale Emissionshöchstmengen (NEC-Richtlinie) ist Teil des Maßnahmenpakets für saubere Luft der Europäischen Kommission und ersetzt aktuelle Regelungen über die jährliche Deckelung nationaler Emissionen von Luftschadstoffen, wie z. B. Schwefeldioxid, Stickstoffoxide oder Ammoniak. Die neue Richtlinie zielt darauf ab, neue Emissionsreduktionsverpflichtungen für Mitgliedstaaten von 2020 bis 2030 einzuführen, nämlich für PM 2,5 sowie Methan. Das Parlament wollte die vom Rat vorgeschlagenen Zielvorgaben willkürlich erhöhen. Wir brauchen Obergrenzen für Schadstoffe, um Anreize für Emissionsreduktionen zu setzen, dennoch sollten diese realistisch, verhältnismäßig sowie evidenzbasiert sein und gewisse Sektoren nicht unverhältnismäßig beeinträchtigen. Zu hohe Anforderungen werden insbesondere für diejenigen Mitgliedstaaten mit großen landwirtschaftlichen Sektoren schwierig sein und Flexibilität erfordern. Das Parlament gefährdet mit seinen Praktiken den Gesetzgebungsprozess. Es sollte sich an den Entscheidungen des Rates orientieren, da diese von den Mitgliedstaaten verhandelt werden. Deshalb habe ich gegen diesen Bericht gestimmt, weil er durch zahlreiche Änderungsanträge eine ganz andere Form angenommen hat.

 
  
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  Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado a favor de este informe con el fin de regular ciertos contaminantes atmosféricos, como por ejemplo las emisiones de metano. El 40 % de las emisiones de este gas de efecto invernadero procede de la agricultura. También es un precursor importante de otro contaminante atmosférico, el ozono troposférico, que causa enfermedades respiratorias y cardiovasculares y, por cierto, también importante daños a los cultivos agrícolas, especialmente en los países mediterráneos.

 
  
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  Владимир Уручев (PPE), в писмена форма. ‒ Уважаеми колеги, подкрепих доклада на колегата Гърлинг за въвеждане на национални тавани за емисиите на шест основни замърсителя – серен диоксид, азотни оксиди, неметанови летливи органични съединения, амоняк, метан, и прахови частици (по-малки от 2,5 микрометра), които трябва да бъдат постигнати между 2020 и 2030 г.

Подчертавам обаче, че гласувах против текстовете за включването на метана и амоняка в рамките на това законодателство, защитавайки интересите на селскостопанските производители, които напоследък са изложени на твърде много рискове.

В крайна сметка обаче, Европейският парламент успя да изключи ограниченията за ентеричния метан, който се причинява от дегестивните процеси при селскостопанските животни. Но по същество метанът е парников газ и за него вече има ограничения в климатичното законодателство, а всяко дублиране на норми причинява хаос и нови трудности за засегнатите хора и бизнес.

Подкрепата ми за новото законодателство се дължи и на факта, че Европейският парламент не прие увеличаване на задълженията на страните членки над предложението на Европейската Комисията, което би затруднило изпълнението на целите и би струвало много милиарди евро допълнителни разходи.

Въпреки осъзнатата необходимост от ограничаване на вредните емисии, от които загиват стотици хиляди хора всяка година, законодателството трябва да е съобразено с реалните възможности и с необходимите разходи за неговото изпълнение.

 
  
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  Ángela Vallina (GUE/NGL), por escrito. ‒ La propuesta de Directiva NEC revisada sustituye al actual régimen de la Unión en la nivelación anual de las emisiones nacionales de los contaminantes del aire, según la definición establecida en la Directiva 2001/81/CE, para cuatro contaminantes atmosféricos: el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx), los compuestos orgánicos volátiles distintos del metano (COVNM) y el amoníaco (NH3), hasta 2020.

La Directiva NEC revisada establece los controles sobre los diferentes tipos de contaminación del aire en cada Estado miembro. Su objetivo es reducir a la mitad de aquí a 2030 el número de muertes prematuras —estimado en 400 000 al año en la UE— causadas por la contaminación del aire.

La revisión propuesta establece nuevos compromisos nacionales de reducción de emisiones aplicables a partir de 2020 y 2030 para los cuatro contaminantes mencionados y también para las partículas finas (PM2,5) y el metano (CH4).

A pesar de que hay puntos importantes que no se consiguieron aprobar (elimina objetivos vinculantes para el metano), he votado a favor de este informe ya que considero que es más exigente que la propuesta de la Comisión y que, por tanto, la mejora.

 
  
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  Derek Vaughan (S&D), in writing. ‒ Amending Directive 2003/35/EC could be an important step towards reducing national emissions of certain atmospheric pollutants. There were, however, some issues with the aspects of the proposed approach that we in the S&D Group attempted to address. However, that should not detract from the fact that, while overall the progress in tackling air pollution has been good, there is still a lot of work to be done to ensure that air quality in Europe improves. This is crucial, as our levels of air pollution are central to our long-term ecological wellbeing, and low levels of air pollution are also vital to our day-to-day health. We would not tolerate contamination of our water: it makes no more sense to tolerate the contamination of our air.

 
  
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  Hilde Vautmans (ALDE), schriftelijk. ‒ We mogen niet vergeten dat onze eigen landbouwers voedsel van topkwaliteit leveren in een uiterst streng gereglementeerd kader. Wanneer we daarbij de uitstootnormen voor methaan en ammoniak nog zouden verstrengen zonder wetenschappelijk onderzoek naar hoe dit mogelijk zou kunnen zijn, dwingen we onze landbouw van buiten de grenzen van de EU te werken of failliet te gaan. Ik stemde voor het overleven van de landbouw in Europa en voor schonere lucht.

 
  
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  Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ A qualidade do ar representa uma questão transfronteiriça que afeta profundamente todos os cidadãos exigindo-se uma ação imediata, depois de anos de negligência política. Em 18 de dezembro de 2013 a Comissão publicou o seu há muito aguardado Pacote Ar Limpo.

A proposta da revogação e substituição desta diretiva altera o regime da união no que diz respeito aos limites nacionais de emissão de poluentes atmosféricos para 4 novos poluentes, nomeadamente para o dióxido de enxofre, óxidos de azoto, amoníaco e compostos orgânicos voláteis não-metânicos para 2020 e 2030. O mercúrio foi também adicionado a esta lista, sendo que os limites para este elemento serão só introduzidos a partir de 2020.

Note-se finalmente que estas novas metas de emissão contidas nas normas relativas à qualidade do ar serão redundantes se não observarmos uma clara vontade política que se reflita numa redução da poluição proveniente das fontes principais.

 
  
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  Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Eine Festlegung von verbindlichen Reduktionszielen für Methan ist „nicht zielführend“. Dieses Treibhausgas wird bereits effektiv über die Lastenteilungsentscheidung geregelt.

Zu strenge Maßnahmen im Bereich der Reduzierung der Treibhausgas- und Luftschadstoffemissionen aus der Landwirtschaft könnten zu einem Rückgang der EU-Produktion führen und somit angesichts des Anstiegs der weltweiten Nachfrage nach Lebensmitteln die Ernährungssicherheit gefährden. Daher musste ich mich leider der Stimme enthalten.

 
  
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  Daniele Viotti (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della proposta perché considero l'inquinamento atmosferico problema importante, che travalica i confini nazionali e riguarda tutti i cittadini. La tutela della salute è un valore inderogabile e la sua tutela ci obbliga a mettere in campo tutti gli sforzi necessari. La questione dell'inquinamento atmosferico è stata totalmente ignorata dalla classe politica e tale incuria ha portato la questione a riemergere oggi più forte e preoccupante che mai. La scarsa qualità dell'aria è considerata causa di circa 400.000 morti premature l'anno con un conseguente aumento dei costi per l'assistenza sanitaria. Si stima che l'inquinamento atmosferico abbia un impatto economico tra i 330 e i 940 miliardi di euro l'anno. Per tali ragioni ritengo fondamentale procedere velocemente e mettere in atto un piano d'azione immediato.

 
  
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  Jadwiga Wiśniewska (ECR), na piśmie. ‒ Projekt rewizji dyrektywy 2001/81/WE o krajowych limitach emisji (dyrektywa NEC) stanowi element strategii „Program czystego powietrza dla Europy”. Obowiązujące przepisy zakładają obowiązywanie od 2010 r. krajowych limitów emisji niektórych substancji: dwutlenku siarki (SO2), tlenków azotu (NOx), niemetanowych lotnych związków organicznych (NMLZO) oraz amoniaku (NH3). Propozycja dyrektywy zakłada kontynuację tego mechanizmu w perspektywie 2020–2030 oraz obowiązki sprawozdawcze, a także rozszerza istniejący katalog ograniczeń o nowe substancje: najdrobniejsze cząstki pyłu zawieszonego (PM2,5) oraz metan (CH4). Zgodnie z wyliczeniami przeprowadzonymi na zamówienie Komisji konsekwencją wejścia tej regulacji w życie może być redukcja pogłowia bydła mięsnego w Polsce nawet o 42%, bydła mlecznego o 24%, a trzody chlewnej o 12%. W związku z tak daleko posuniętymi restrykcjami, jakimi mogłoby zostać objęte moje państwo, złożyłam razem z posłem Januszem Wojciechowskim poprawki zmierzające do pozostawienia metanu poza zakresem dyrektywy. W kształcie zaproponowanym przez posła sprawozdawcę projekt jest dla mnie nie do zaakceptowania.

 
  
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  Flavio Zanonato (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della risoluzione che propone una revisione della direttiva NECD (National Emissions Ceiling) al fine di ridurre le emissioni tossiche che contribuiscono all'inquinamento atmosferico. Trovo opportuna la previsione di limiti vincolanti per sei inquinanti tossici, che si stima provochino 690.000 morti premature ogni anno nella sola Unione europea, con un costo economico per la salute stimato tra 300 e 900 miliardi di € ogni anno. Trovo la relazione particolarmente opportuna in quanto precisa che il livello di governo locale deve giocare un ruolo nella definizione delle migliori pratiche per affrontare l'inquinamento atmosferico e sono al tempo stesso soddisfatto che sia stata trovata una formula appropriata per quanto riguarda il metano in modo da non danneggiare i nostri allevatori.

 
  
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  Tomáš Zdechovský (PPE), písemně. ‒ Tento skandál poukázal na zásadní chybu při zavádění jakýchkoli nových opatření. V tomto konkrétní případě měření emisí v automobilovém odvětví měla být hned od počátku zkoumána otázka, zda je reálné, aby tyto hodnoty byly dosaženy, a jakým způsobem mohou být popřípadě vymáhány. Hlasoval jsem pro toto usnesení, protože se domnívám, že by se Evropská komise měla více tímto skandálem zabývat a především udělat revizi současných opatření.

 
  
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  Damiano Zoffoli (S&D), per iscritto. ‒ Il Parlamento ha votato oggi una importantissima relazione che si propone di ridurre negli anni a venire le emissioni nocive provenienti da diversi inquinanti proponendosi di limitare l'impatto di dette sostanze sulla salute umana e sull'ambiente. Il prezzo da pagare a causa della cattiva qualità dell'aria è superiore in termini di vite umane a quello dovuto agli incidenti stradali, rendendola quindi la principale causa ambientale di decessi prematuri nell'UE. La cattiva qualità dell'aria ha un impatto anche sulla qualità della vita, in quanto causa asma e problemi respiratori, oltre ad incidere fortemente sulle spese sanitarie dei diversi stati membri. Alla luce di questi dati non possiamo pertanto non rallegrarci dell'importante risultato raggiunto oggi.

Mi rallegro altresì del fatto che sia stato possibile escludere dall'ambito di applicazione della direttiva il metano enterico, venendo così incontro alle forti preoccupazioni espresse dalle piccole e medie imprese agricole. Mi auguro che nei prossimi mesi il testo votato dal Parlamento non venga svuotato nei suoi contenuti essenziali poiché in primo luogo i nostri cittadini chiedono delle norme fortemente protettive della loro salute e, dall'altro, è importante che l'UE lanci un forte segnale anche in vista della conferenza Parigi 2015 sui cambiamenti climatici (COP21).

 
  
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  Carlos Zorrinho (S&D), por escrito. ‒ Votei favoravelmente o relatório sobre a proposta de Diretiva do Parlamento Europeu e do Conselho relativa à redução das emissões nacionais de determinados poluentes atmosféricos e que altera a Diretiva 2003/35/CE, por considerar que sendo a qualidade do ar uma questão de natureza transfronteiriça com significativas repercussões em matéria de saúde humana e ambiente, que afeta profundamente todos os cidadãos da União Europeia e exige uma ação imediata. Após anos de negligência política, a poluição atmosférica surge agora na agenda política como um grave problema ambiental e de saúde pública, sobretudo devido ao caso Volkswagen. Além disso, embora se tenha trabalhado no sentido de reduzir a poluição atmosférica na União, muitos Estados-Membros não atingiram ainda os padrões acordados e a própria União Europeia continua longe do seu objetivo de longo prazo. Neste sentido, a atual proposta da Comissão possui grande relevância ao substituir a diretiva existente, estabelecendo novos valores-limite de emissão para 2020 e 2030 e exigindo que os Estados-Membros adotem programas nacionais de controlo da poluição atmosférica. Contudo, embora os valores-limite definidos no relatório devam incentivar a redução de emissões, devem igualmente ser estabelecidos a um nível realista, baseado em dados concretos, e que não tenha um impacto desproporcionado em nenhum sector.

 
  
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  Inês Cristina Zuber (GUE/NGL), por escrito. ‒ A qualidade do ar é uma questão transfronteiriça que afeta todos os cidadãos.

Em 18 de dezembro de 2013, a Comissão publicou o seu há muito aguardado Pacote Ar Limpo constituído por quatro elementos: um Programa Ar Limpo para a Europa; uma proposta de decisão de ratificação da alteração de 2012 ao Protocolo de Gotemburgo, relativa à Convenção da UNECE sobre a Poluição Atmosférica Transfronteiras a Longa Distância, em nome da UE; uma proposta de uma nova Diretiva relativa à redução da poluição de instalações de combustão de médias dimensões, tais como centrais energéticas para grandes edifícios, e de pequenas instalações industriais e, por fim, a proposta legislativa na qual se baseia o presente relatório, que revê a Diretiva de 2001 relativa a valores-limite nacionais de emissão de determinados poluentes atmosféricos.

A proposta da revogação e substituição desta Diretiva altera o regime da UE no que diz respeito aos limites nacionais de emissão de poluentes atmosféricos para 4 novos poluentes, nomeadamente para o dióxido de enxofre, óxidos de azoto, amoníaco e compostos orgânicos voláteis não-metânicos para 2020 e 2030. O mercúrio foi também adicionado a esta lista, sendo que os limites para este elemento serão só introduzidos a partir de 2020. Votámos a favor.

 
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