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Διαδικασία : 2014/2205(INI)
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Διαδρομή του εγγράφου : A8-0043/2016

Κείμενα που κατατέθηκαν :

A8-0043/2016

Συζήτηση :

PV 14/04/2016 - 5
CRE 14/04/2016 - 5

Ψηφοφορία :

PV 14/04/2016 - 7.13
Αιτιολογήσεις ψήφου

Κείμενα που εγκρίθηκαν :

P8_TA(2016)0137

Πληρη πρακτικα των συζητησεων
Πέμπτη 14 Απριλίου 2016 - Στρασβούργο

8.10. Ιδιωτικός τομέας και ανάπτυξη (A8-0043/2016 - Nirj Deva)
  

Kirjalliset äänestysselitykset

 
  
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  Isabella Adinolfi (EFDD), per iscritto. ‒ La relazione in oggetto affronta uno dei gangli nevralgici delle politiche di sviluppo: il ruolo del settore privato nel quadro delle suddette politiche. Questa relazione è, a nostro avviso, estremamente sbilanciata a favore del settore privato e dell'utile d'impresa, descritto come la panacea di tutti i mali. Questa visione dell'economia tocca anche settori come i servizi pubblici essenziali. Per l'incompatibilità di queste posizioni con il nostro programma politico avrei deciso di votare contro.

 
  
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  Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra de este informe sobre el sector privado y el desarrollo. Entre otros puntos que rechazamos, el informe pide a la Comisión Europea que apoye y financie políticas de cooperación al desarrollo que otorgan al sector privado un rol predominante a través de las conocidas como alianzas público-privadas.

Estamos una vez más ante una defensa de la privatización de las políticas para el desarrollo utilizando los fondos que la UE destina a cooperación como instrumentos para posibilitar nuevos campos de negocio al sector privado con dinero público.

A pesar de que el informe recoge algunas enmiendas presentadas por nuestro grupo político exigiendo la participación y consulta de las organizaciones de la sociedad civil o la necesidad de que los Estados miembros implementen en su planes nacionales los Principios Rectores de la ONU sobre Derechos Humanos y Empresas, rechazamos frontalmente que la cooperación al desarrollo se oriente a la consecución de beneficios por parte del sector privado.

 
  
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  Louis Aliot (ENF), par écrit. ‒ Je me suis prononcé contre cette proposition de résolution sur le secteur privé et le développement.

Je suis en effet profondément opposé au partenariat public-privé dans le cadre du développement. Je considère qu'il existe dans cette configuration un niveau élevé de corruption et par conséquent que ces apports ne constituent pas une aide à la population bénéficiaire. Ce texte est de plus complètement déconnecté des réalités puisque, en plus de vouloir augmenter considérablement les fonds qui sont déjà élevés, la vision est ici de plaquer le schéma économique européen dans les pays en développement alors qu'on connaît le faible niveau de résultats de celui-ci.

En outre, le texte omet de parler des principaux problèmes de développement comme les ressources naturelles, qui sont un enjeu de taille dans ce cadre, l'expropriation financière, la souveraineté des États concernés. Je me suis donc opposé à ce texte.

 
  
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  Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ Whilst I support the principle of international development and recognise the role which the private sector can play in creating progress, this report leans far too heavily on the Commission to achieve this goal and I therefore voted against the final resolution. However, I supported some amendments, specifically those respecting the sovereign rights of nations and the amendment on the need to improve the financial sector in developing nations.

 
  
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  Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport, car j'estime que le rôle du secteur privé dans le développement doit être réévalué. Il est important d'intégrer les entreprises dans l'aide au développement, car la croissance démographique et l'augmentation des revenus dans les pays concernés devraient entraîner une forte croissance de la classe moyenne mondiale et de fait, une hausse significative du niveau de consommation.

 
  
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  Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už šį siūlymą dėl privačiojo sektoriaus ir vystymosi. Besivystančiose šalyse gyventojų skaičius ir pajamų didėjimas turėtų paskatinti pasaulinį vidurinio sluoksnio gyventojų skaičiaus augimą, kuris, kaip manoma, iki 2030 metų turėtų pasiekti 5 milijardus gyventojų, ir dėl to žymiai išaugs vartojimo lygis. Prognozuojama, kad 2030 metais maisto, vandens ir energijos poreikis išaugs atitinkamai 50 proc., 40 proc. ir 30 procentų. Vienas svarbiausių ES pridėtinės vertės aspektų privačiojo sektoriaus darbotvarkės atžvilgiu yra jos politinis svoris ir gerą reputaciją turinčios dialogo galimybės su šalių partnerių vyriausybėmis ir vietos valdžios institucijomis. Nors komunikacija vis dar yra neaiški įsipareigojimų, kuriuos ketinama prisiimti, lygmenyje, tačiau šalies strategijos dokumentai, nacionalinės orientacinės programos ir parama biudžetui gali būti vertingiausiomis priemonėmis inicijuojant verslo aplinkos reformas šalyse partnerėse.

 
  
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  Gerard Batten (EFDD), in writing. ‒ This report is something UKIP supports in essence and would advocate on a national level. The increase in the private sector in developing nations has led to positive results for the poorest nations and people. Unfortunately, due to a matter of principle we cannot support this report because of the heavy inclusion of the Commission and the EU which UKIP are principally against.

 
  
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  Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ Je me suis opposé à ce rapport qui enjoint aux États membres de l'Union européenne de débourser plus de deux milliards de dollars d'aides pour développer le secteur privé en Afrique, dont le rôle dans le développement est jugé crucial. Outre le poids de cette aide pour les contribuables européens, le rapport est axé sur un concept de croissance illimitée dont nous sommes bien placés pour savoir qu'il n'est qu'un leurre. De plus, le rapport ne prévoit rien pour répondre aux aléas engendrés par une croissance économique conséquente, telle l'augmentation des demandes en eau ou en énergie. Enfin, rien n'est dit des problèmes particuliers à l'Afrique, comme l'expropriation foncière ou la corruption. Ce texte, tentative d'ingérence vis-à-vis des États africains, ne vise qu'à plaquer sur ces pays en voie de développement le schéma économique occidental, à l'heure où l'Occident en perçoit les limites.

 
  
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  Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui souligne que les investissements du secteur privé dans le développement peuvent contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies. Mais le rapport estime également qu'à cet effet, le secteur privé devrait prendre des engagements au regard de la bonne gouvernance, de la réduction de la pauvreté et de la création de richesses par des investissements durables, de la réduction des inégalités ainsi que de l'action en faveur des droits de l'homme, des normes environnementales et de l'autonomisation des économies locales.

Le rapport souligne par ailleurs l'importance de soutenir le secteur privé local des pays en développement grâce, par exemple, à l'accès au financement et à l'action en faveur de l'entrepreneuriat.

 
  
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  Brando Benifei (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione Deva sul settore privato e sviluppo. Si tratta di un testo importante che sottolinea efficacemente il forte e positivo legame che esiste tra investimenti pubblici, investimenti privati e sviluppo in molti contesti internazionali. La piena realizzazione dei nuovi Obiettivi di sviluppo sostenibile, presentati dalla Nazioni Unite nel 2015, costituisce un banco di prova importante per dimostrare come una collaborazione virtuosa tra realtà pubbliche e private possa garantire una riduzione dell'indice di povertà e una crescita positiva delle piccole e medie imprese. L'Unione europea può fare molto in questo contesto grazie all'esperienza maturata negli anni nel sostegno al mondo imprenditoriale. Il lancio di partenariati tra settore pubblico e privato a livello locale e regionale nel settore agroalimentare, nei programmi di formazione e in quelli di assistenza sanitaria professionale può essere un modello per molti paesi poveri che si avviano nella strada dello sviluppo. Attraverso le sue esperienza l'UE può svolgere in molti contesti un ruolo fondamentale di facilitazione e mediazione, predisponendo opportune piattaforme settoriali e multilaterali che, coinvolgendo ONG, governi, imprese e società civile, possano superare le difficoltà involontarie che possono generarsi nella collaborazione tra le diverse realtà.

 
  
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  Xabier Benito Ziluaga (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado EN CONTRA de este Informe por diversos motivos. El informe da la bienvenida a la iniciativa de la Comisión que aprueba que el sector privado se convierta en un socio importante en el logro del desarrollo, mientras que reconoce que la inversión del sector privado en los países en desarrollo puede contribuir a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas (ODS).

Por otra parte, el informe pide a la Comisión que promueva el apoyo y la financiación del mecanismo de desarrollo orientada al sector privado, mezclando a éste con el sector público, con el fin de aprovechar los flujos privados con dinero público. Estos mecanismos están orientados al beneficio, no alineados con los principios de eficacia del desarrollo y no inciden en la reducción de la pobreza y en la consecución de los ODS.

 
  
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  Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport est basé sur le rôle du secteur privé dans le développement des pays d'Afrique, notamment, et il estime que les aides nécessaires devraient être supérieures à plus de 2 milliards de dollars des États-Unis provenant potentiellement des caisses de nos États, sauf si l'on développe davantage les partenariats public-privé.

L'option principale proposée est une croissance sans frein alors que la situation économique ou écologique rend cela impossible et qu'une courbe continuellement ascendante n'est guère probable. On pense que les secteurs de développement propices au développement sont principalement l'énergie, l'électricité ou le transport. Le texte insiste aussi sur les problèmes de bureaucratie ou sur des questions importantes comme le développement durable, or ce dernier ne suffit pas au développement des pays concernés bien évidemment.

Ce texte cherche en réalité à calquer un modèle de gouvernance mondialisé et des politiques qui n'ont pas fonctionné à d'autres pays (quid de la souveraineté des États?) mais oublie par exemple de traiter des problèmes de corruption ou des ressources naturelles. J'ai donc voté contre.

 
  
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  Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ La relazione sul settore privato e lo sviluppo, pur risultando in alcun passaggi del tutto condivisibile, risulta nel complesso poco trasparente. Mancano, infatti, tutti i dettagli su ruoli, competenze e poteri dei diversi attori chiave nei progetti di interesse per i nostri territori. Per questo e altri passi poco chiari ho preferito astenermi dal voto.

 
  
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  Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pranešimo, kuriame nagrinėjamas privatusis sektorius ir vystymasis. Besivystančiose šalyse gyventojų skaičius ir pajamų didėjimas turėtų paskatinti pasaulinį vidurinio sluoksnio gyventojų skaičiaus augimą, kuris, kaip manoma, iki 2030 metų turėtų pasiekti 5 milijardus gyventojų, ir dėl to žymiai išaugs vartojimo lygis. Prognozuojama, kad 2030 metais maisto, vandens ir energijos poreikis išaugs atitinkamai 50 proc., 40 proc. ir 30 procentų. Šiame sektoriuje bendra vertė vis dažniau yra laikoma ne filantropijos išraiška, bet būdu susilaukti ekonominės sėkmės. Numatoma, kad besivystančiose šalyse privačiojo sektoriaus investicijos energetikos, elektros energijos ir transporto projektuose dažniausiai generuos dviženklį pelną.

Mažos, vidutinės ir labai mažos įmonės besivystančiose šalyse susiduria su daug griežtesne nei ES reguliavimo naštą, dažnai veikia šešėlinėje ekonomikoje ir joms trūksta teisinės apsaugos. Remiantis 2014 m. Pasaulio banko ataskaita „Verslas“, skurdžiausiose šalyse yra didžiausia reguliavimo našta. Siekiant, kad įmonės klestėtų, pirmenybė turėtų būti skiriama ne tik biurokratijos mažinimui ir bendros verslo aplinkos gerinimui, bet taip pat ir privačioms iniciatyvoms palankios aplinkos sukūrimui, mažų, vidutinių ir labai mažų įmonių įtraukimui ir išlaikymui oficialiojoje ekonomikoje.

 
  
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  Andrea Bocskor (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban. Ezért szavazatommal támogattam a jelentés elfogadását.

 
  
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  Franc Bogovič (PPE), pisno. ‒ Podprl sem tudi Poročilo o zasebnem sektorju in razvoju, ki ga je pripravil Odbor za razvoj.

Zasebni sektor zagotavlja približno 90 % delovnih mest v državah v razvoju. Zato je pomemben partner v boju proti revščini. S potrebnimi inovacijami na področju nizkoogljičnih rešitev, ki gospodarno in trajnostno izkoriščajo vire, bo odigral pomembno vlogo pri trajnostni rasti zelenega gospodarstva v državah v razvoju.

Evropska komisija daje poseben poudarek na krepitvi lokalnih mikro, malih in srednjih podjetij. Zagotavlja znatna nepovratna finančna sredstva za številne dejavnosti in storitve ter skrbi z ustreznimi reformami za krepitev in razvoj zasebnega sektorja.

 
  
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  Biljana Borzan (S&D), napisan. ‒ Podržavam ovo Izvješće o privatnom sektoru i razvoju. Uloga privatnog sektora u razvoju se povećava posljednjih godina, a s ciljem da dođe do rasta srednje klase u zemljama u razvoju.

U novim globalnim izazovima, kao što su klimatske promjene, privatni sektor može odigrati ključnu ulogu s obzirom da privatnici mogu donijeti stručnost, inovacije i učinkovitost u razvoju politika.

Međutim, uloga privatnog sektora je isto tako puna odgovornosti i razvojni ciljevi ne smiju biti iskrivljeni.

 
  
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  Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Je me suis prononcé contre cette proposition de résolution sur le secteur privé et le développement.

Je suis en effet profondément opposé au partenariat public-privé dans le cadre du développement. Je considère qu'il existe, dans cette configuration, un niveau élevé de corruption et par conséquent que ces apports ne constituent pas une aide à la population bénéficiaire. Ce texte est, par ailleurs, complètement déconnecté des réalités puisque, en plus de vouloir augmenter considérablement les fonds qui sont déjà élevés, la vision est ici de plaquer le schéma économique européen dans les pays en développement alors qu'on connaît le faible niveau de résultats de celui-ci.

En outre, le texte omet de parler des principaux problèmes de développement comme les ressources naturelles, qui sont un enjeu de taille, l'expropriation financière et la souveraineté des États concernés. Je me suis donc opposé à ce texte.

 
  
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  Daniel Buda (PPE), în scris. ‒ Investițiile private în sectorul public contribuie la creșterea eficienței investițiilor publice. Parteneriatele public-private în domeniul dezvoltării au contribuit cu succes la reducerea sărăciei persoanelor celor mai marginalizate.

Sprijinul acordat parteneriatelor în domeniul dezvoltării printr-o coordonare a statelor membre cu organizațiile internaționale și mediul privat constituie un imbold important asupra economiilor țărilor în curs de dezvoltare.

Microîntreprinderile pot juca un rol esențial în cadrul strategiilor de dezvoltare datorită caracteristicilor acestora de a se adapta mai ușor la nevoile pieței. Am votat în favoarea acestui raport deoarece sunt convins că promovarea inițiativelor private în țările în curs de dezvoltare creează un mediu atractiv pentru investiții.

 
  
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  Gianluca Buonanno (ENF), per iscritto. ‒ La relazione sottolinea diversi aspetti, in parte anche condivisibili, dell'importanza del settore privato all'interno delle iniziative e dei progetti di sviluppo e di cooperazione dell'UE; è sostenibile in larga parte il passaggio che riguarda il settore agricolo (con lo specifico richiamo al coinvolgimento preventivo delle popolazioni residenti) e quello sullo sviluppo dei servizi sociali; troppo "generali" l'invito e le modalità di coinvolgimento della BEI (Banca europea per gli investimenti) della cui attività effettiva non si hanno molti riscontri e l'ennesimo richiamo alla cooperazione da parte dei paesi in via di sviluppo, ancora troppo debole.

Mancando, tuttavia, il presupposto necessario sul bilancio delle attività in essere (relegato a poche righe in premessa) che possa giustificare un nuovo impulso riguardo al coinvolgimento del settore privato, mi sono astenuto.

 
  
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  Cristian-Silviu Buşoi (PPE), în scris. ‒ Este necesar să se identifice noi instrumente sustenabile și eficiente pentru a investi în creșterea și dezvoltarea oamenilor și a întreprinderilor, industrializarea reprezentând un motor al bunăstării și dezvoltării.

Susțin extinderea sectorului privat în scopul asigurării libertății individuale și a eficienței economice. Securitatea sau insecuritatea socială sunt considerate probleme sociale fundamentale. Din punct de vedere economic, securitatea indivizilor este influențată de independența financiară a acestora, cu alte cuvinte, lipsa unor venituri, starea de sărăcie atrag automat și sentimentul de nesiguranță. Este recunoscut pe scară largă faptul că a avea un loc de muncă decent este cea mai bună modalitate de a ieși din sărăcie. Sectorul privat furnizează aproximativ 90% din locurile de muncă din țările în curs de dezvoltare și este, prin urmare, un partener esențial în lupta împotriva sărăciei.

Ocuparea integrală și productivă a forței de muncă, precum și munca decentă, inclusiv punerea în aplicare a standardelor de muncă sunt esențiale pentru abordarea inegalității și a excluziunii sociale. Noua agendă ar trebui să vizeze eradicarea sărăciei în toate formele sale și să realizeze o dezvoltare durabilă într-un mod echilibrat și integrat.

 
  
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  Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione in questione per garantire un ruolo più incisivo del settore privato nella cooperazione allo sviluppo. Accolgo con favore l'iniziativa della Commissione di appoggiare il settore privato nel divenire, insieme ad altre organizzazioni di sviluppo governative e non governative e ai modelli imprenditoriali inclusivi come le imprese cooperative e sociali, un partner importante nel raggiungimento di uno sviluppo inclusivo e sostenibile nel quadro degli Obiettivi di sviluppo del Millennio delle Nazioni Unite, il che presuppone un impegno da parte del settore privato a favore del buon governo, la riduzione della povertà e la creazione di ricchezza attraverso investimenti sostenibili, nonché la riduzione delle disuguaglianze, la promozione dei diritti umani e delle norme ambientali e la responsabilizzazione delle economie locali. Sottolineo la necessità di verificare in che modo il settore privato può essere ulteriormente coinvolto nel quadro della politica europea di vicinato, per contribuire a creare crescita economica e posti di lavoro nel vicinato dell'Europa, ad esempio attraverso l'accesso al capitale. Ritengo che i settori pubblico e privato siano maggiormente efficienti quando collaborano per creare un ambiente sano per gli investimenti e l'attività delle imprese e gettano le basi della crescita economica.

 
  
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  Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Non ho potuto che essere d'accordo con il contenuto di questa relazione, soprattutto consapevole dell'importanza che il settore privato ha nei confronti dello sviluppo dei paesi terzi e che apporta numerosi vantaggi nei più disparati settori (dall'occupazione alla produzione agricola), diventando partner essenziale nella lotta contro la povertà. L'intento di questa relazione è quello di determinare un quadro d'azione tale da dare un ruolo più forte al settore privato nei paesi in via di sviluppo e per renderlo maggiormente protagonista della crescita economica e sociale di questi paesi. Sono totalmente d'accordo quindi, soprattutto quando le premesse di questo documento sono di mirare a una crescita inclusiva e di creare occupazione dignitosa. Sono dell'idea, infatti, che coinvolgere il settore imprenditoriale europeo e internazionale sia la premessa fondamentale per raggiungere uno sviluppo sostenibile.

 
  
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  Deirdre Clune (PPE), in writing. ‒ The private sector can be an engine of inclusive growth by generating decent jobs, contributing public revenue and providing affordable goods and services. If it invests in suitable innovation and business models, it can also improve poor people’s lives by boosting their productive activities. The Commission assists developing countries in their economic reforms and private sector development initiatives.

 
  
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  Jane Collins and Mike Hookem (EFDD), in writing. – This report is something UKIP supports in essence and would advocate on a national level. The increase in the private sector in developing nations has led to positive results for the poorest nations and people. Unfortunately, due to a matter of principle we cannot support this report because of the heavy inclusion of the Commission and the EU which UKIP are principally against.

 
  
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  Therese Comodini Cachia (PPE), in writing. ‒ The cooperative sector worldwide has about 800 million members in over 100 countries and is estimated to account for more than 100 million jobs around the world.

I believe that all partnerships and alliances with the private sector must focus on shared value priorities that align business goals with the EU’s development objectives. In this respect, the EU has a fundamental role as a facilitator and coordinator. We need to strengthen the role of the private sector in implementing the future Sustainable Development Goals, based on the aid effectiveness principle supported through EU added value towards achieving these same goals.

 
  
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  Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra de este informe sobre el sector privado y el desarrollo. Entre otros puntos que rechazamos, el informe pide a la Comisión Europea que apoye y financie políticas de cooperación al desarrollo que otorgan al sector privado un rol predominante a través de las conocidas como alianzas público-privadas.

Estamos una vez más ante una defensa de la privatización de las políticas para el desarrollo utilizando los fondos que la UE destina a cooperación como instrumentos para posibilitar nuevos campos de negocio al sector privado con dinero público.

A pesar de que el informe recoge algunas enmiendas presentadas por nuestro grupo político exigiendo la participación y consulta de las organizaciones de la sociedad civil o la necesidad de que los Estados miembros implementen en su planes nacionales los Principios Rectores de la ONU sobre Derechos Humanos y Empresas, rechazamos frontalmente que la cooperación al desarrollo se oriente a la consecución de beneficios por parte del sector privado.

 
  
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  Andrea Cozzolino (S&D), per iscritto. ‒ Il settore pubblico fornisce oggi una parte importante degli aiuti concessi al fine di promuovere l'economia sostenibile nei paesi in via di sviluppo. Tuttavia, in questi paesi il settore privato rappresenta il 90% dei posti di lavoro e la stessa percentuale di stipendi. Quindi, anche se gli interventi emananti dai governi rimangono un importante strumento della politica di sviluppo, sarebbe opportuno considerare ulteriormente il ruolo del settore privato. Ad esempio, in questi paesi, sarebbe utile promuovere i partenariati basati sulla cooperazione tra attori privati e pubblici. Tuttavia, sebbene gli attori privati abbiano giocato e continuino a giocare un ruolo chiave nell'economia di questi paesi, tali attori dovrebbero garantire un modello economico ecologicamente sostenibile e un modello che favorisce l'emancipazione economica delle donne. La risoluzione del Parlamento europeo sul settore privato e lo sviluppo riconosce e incoraggia, da una parte, il ruolo degli attori privati nella politica di sviluppo ma, dall'altra, determina le condizioni da rispettare per un maggior coordinamento con gli attori privati. Reputando importanti tali raccomandazioni, ho votato a favore della risoluzione sul settore privato e lo sviluppo.

 
  
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  Andi Cristea (S&D), în scris. ‒ La nivel global, nu există niciun proiect semnificativ care să nu fi fost făcut într-un parteneriat public-privat.

Am votat pentru susținerea IMM-urilor din țările în curs de dezvoltare care se confruntă cu constrângeri mai mari decât cele din interiorul Uniunii Europene. Crearea unui mediu propice, precum și menținerea acestora în economia formală, reprezintă o prioritate.

 
  
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  Edward Czesak (ECR), na piśmie. ‒ Sprawozdanie jest odpowiedzią na komunikat Komisji „Większa rola sektora prywatnego w osiąganiu trwałego wzrostu gospodarczego sprzyjającego włączeniu społecznemu w krajach rozwijających się” przyjęty w dniu 13 maja 2014 r. Dokument podkreśla zasadniczą rolę, jaką może odegrać sektor prywatny w osiąganiu celów naszej strategii rozwojowej w sytuacji, gdy szacowana wysokość środków potrzebnych rocznie w krajach rozwijających się przewyższa o 2,4 mld USD kwoty wydawane obecnie. Sektor prywatny napędza dobrobyt i wzrost gospodarczy w każdej gospodarce rynkowej oraz tworzy 90% miejsc pracy i dochodu, a także wytwarza 84% PKB w krajach rozwijających się. Sprawozdanie koncentruje się przede wszystkim na potencjalnych partnerstwach publiczno-prywatnych w dziedzinach od infrastruktury, energii i gospodarki wodnej po inne sektory, w których środki publiczne okazują się niewystarczające, takie jak opieka zdrowotna czy edukacja, na wsparciu dla lokalnego sektora prywatnego w krajach rozwijających się oraz rozszerzaniu upoważnienia Europejskiego Banku Inwestycyjnego w zakresie udzielania pożyczek państwom trzecim i łączenia unijnych instrumentów finansowania w ogóle. Mając powyższe na uwadze, poparłem w głosowaniu sprawozdanie.

 
  
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  Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Deoarece sectorul privat constituie motorul creșterii economice în toate economiile de piață, consider că este necesar să se analizeze modul în care acesta poate fi implicat într-o mai mare măsură în sectoare precum agricultura, educația, tehnologiile ecologice, cercetarea și inovarea, serviciile medicale și drepturile de proprietate, sectoare care în mare măsură rămân neexploatate.

 
  
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  Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport d'initiative met en place un cadre d'action pour renforcer le rôle du secteur privé dans les pays en développement, en vue de parvenir à une croissance inclusive et durable. Considérant que le secteur privé a un rôle clé dans le développement et la croissance des États, et en particulier des pays en développement, j'ai soutenu ce rapport.

 
  
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  Rachida Dati (PPE), par écrit. – J'ai voté en faveur de ce rapport sur le secteur privé et le développement car il vise, notamment, à renforcer les capacités des coopératives, des microentreprises et des PME locales et à les associer au dialogue sur les politiques à suivre. Le rapport note également l'importance de mettre en place des mesures anti-corruption, d'assurer la bonne gouvernance et l'état de droit et ainsi de permettre le développement du secteur privé.

 
  
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  Andor Deli (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ Подкрепих доклада на моя колега Дева, защото и аз като него мисля, че частната инициатива е основният двигател за развитието на една икономика. Подкрепата за него в развиващите се страни ще доведе до ускорено излизане на тези държави от списъка на развиващите се страни и влизането им в списъка на развитите страни.

Тук е отбелязан и проблемът, че почти винаги помощта се получава от големите фирми, а МСП обикновено са изложени на повече регулации и натиск, а в същото време те дават работа на повече от половината заети в тези страни, което е проблем, на който трябва да се обърне сериозно внимание. Показан е и един пример как може да се привлекат инвестиции в тези страни, а имено чрез публично-частни партньорства – начин, който е показал ефективността си. Надявам се с мерките в доклада да помогнем на тези страни.

 
  
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  Norbert Erdős (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ As micro, pequenas e médias empresas (MPME) constituem a espinha dorsal de todas as economias de mercado, mas enfrentam encargos regulamentares muito mais pesados nos países em desenvolvimento do que na União Europeia.

O setor privado é o motor da criação de riqueza e do crescimento económico em todas as economias de mercado, gerando 90 % dos postos de trabalho e dos rendimentos nos países em desenvolvimento; representa ainda 84 % do PIB dos países em desenvolvimento e tem capacidade para criar uma base sustentável para a mobilização de recursos internos, reduzindo as desigualdades.

Concordo, por isso, que o investimento privado nos países em desenvolvimento, se for devidamente regulamentado, pode contribuir para a concretização dos Objetivos de Desenvolvimento Sustentável da ONU, devendo a Comissão continuar empenhada nos debates sobre a Agenda 2030, reconhecendo simultaneamente a diversidade do setor privado e os desafios que se colocam à redução da pobreza dos mais marginalizados e dos mais difíceis de alcançar.

 
  
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  João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ No geral, o relatório evidencia maior preocupação em criar condições vantajosas para as empresas nos países em desenvolvimento do que em apoiar um desenvolvimento soberano e livre de constrangimentos da “mão estendida”.

Há também uma indisfarçável visão neocolonialista e neoliberal. As Parcerias Público-Privadas (PPP) surgem como uma inevitabilidade, afirmando-se a necessidade de as alargar a mais setores de atividade.

Ou seja, a ideia é exportar (impor?) um modelo de desenvolvimento assente nas políticas antissociais e neoliberais implementadas na União Europeia.

Pesem embora algumas melhorias introduzidas ao longo do processo de discussão do relatório, este é um relatório mau.

Eis algumas das ideias que contém:

- As PME enfrentam encargos regulamentares demasiadamente pesados nos países em desenvolvimento (acrescentamos nós: comprometendo oportunidades de negócio para as empresas europeias);

- As PPP têm estado concentradas nos setores energético, das infraestruturas e das telecomunicações, “enquanto o potencial de setores como a agricultura, a educação, as tecnologias verdes, a investigação e a inovação, os cuidados de saúde e os direitos de propriedade continua, em geral, por explorar”;

- Claro e injustificado privilégio do setor privado face ao setor público, nomeadamente no que se refere a apoios da UE,

- Defesa da “modernização” dos quadros regulamentares, criando um ambiente favorável às iniciativas privadas.

Entre outros aspetos negativos.

 
  
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  Raffaele Fitto (ECR), per iscritto. ‒ Ho espresso il mio voto favorevole all'implementazione di un ruolo più incisivo del settore privato per la crescita dei paesi in via di sviluppo. Non esiste attualmente un singolo progetto di sviluppo significativo in tutto il mondo che non si consulti e lavori con investitori privati. Inoltre, stime recenti mostrano chiaramente che gli investimenti del settore privato nei paesi in via di sviluppo spesso raggiungono elevati tassi di rendimento in energia e progetti di trasporto. In particolare, vi è un potenziale straordinario nel coinvolgere il settore privato nello sviluppo di soluzioni basate sul mercato per le sfide agricole e per la sicurezza alimentare, come ad esempio la formazione degli agricoltori locali per il miglioramento delle tecniche di coltivazione, aumentando il loro accesso ai finanziamenti. Ritengo che sostenere il settore privato sia una strategia di sviluppo vincente per l'Unione europea.

 
  
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  Luke Ming Flanagan (GUE/NGL), in writing. – I voted against as the report is neoliberal in its thinking.

 
  
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  Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne. ‒ Úloha súkromného sektora pri rozvoji sa zvýšila v posledných rokoch a postupne je jeho úloha prehodnocovaná. Populácia a rast príjmov v rozvojových krajinách je nastavený tak, že vytvára silnú svetovú populáciu strednej triedy, ktorá bude vyžadovať podstatne vyššiu úroveň spotreby. Okrem toho by v rámci naďalej klesajúcich zdrojov nových globálnych výziev, ako je zmena klímy, súkromný sektor mohol hrať kľúčovú úlohu, pretože táto vrstva môže priniesť inovácie, odbornosť a efektívnosť do rozvojovej politiky. Úlohy súkromného sektora v oblasti vývoja by mali byť jasne zadefinované tak, aby zabezpečili plnú zodpovednosť a nenarušovanie rozvojových cieľov.

 
  
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  Lorenzo Fontana (ENF), per iscritto. ‒ Mi astengo perché, nonostante alcuni punti positivi, ci sono solo deboli richiami e progetti per il futuro.

 
  
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  Λάμπρος Φουντούλης ( NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω την έκθεση σχετικά με τον ιδιωτικό τομέα και την ανάπτυξη, καθώς δεν είναι δυνατόν η Ένωση να θέλει να επιτύχει την ανάπτυξη σε τρίτες χώρες και να διαθέτει κονδύλια για αυτό, την ίδια στιγμή που κράτη-μέλη βρίσκονται κυριολεκτικά ένα βήμα πριν την καταστροφή και εκατομμύρια Ευρωπαίοι Πολίτες είναι κάτω από το όριο της φτώχειας.

 
  
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  Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ In the context of aid resources declining and new global challenges, such as climate change, the private sector will play a key role since these donors can bring innovation, expertise and effectiveness in development policy. However, the role of the private sector in development should be well-defined to ensure that there is full accountability and that development goals are not distorted.

I would like to express my satisfaction for the outcome of the negotiations; this is a very-balanced report in which the crucial role of the private sector in development is recognised and positively assessed without ignoring the need to frame their work and to ensure that poverty reduction is their main goal when involved in development.

I am especially in favour of supporting efforts to better frame the methodology and services that can be covered by public-private partnerships (PPPs), ensuring access to PPPs to firms not only from donor countries, and avoiding the risk of supporting EU companies through EU development funding.

 
  
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  Kinga Gál (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Ildikó Gáll-Pelcz (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ He votado favorablemente al informe teniendo en cuenta que pese a la complicado situación financiera que atraviesas muchos de los Estados miembros, la UE debe seguir apostando por el desarrollo y contribuir al mismo. No obstante, para lograr este alto objetivo en las actuales circunstancias, debemos valorar la importancia de incluir al sector privado en el mismo. La asociación de la ayuda privada y pública ya es un hecho en múltiples sectores económicos en los países en desarrollo, por lo que debemos de continuar legislando para garantizar la máxima transparencia y la consecución de los objetivos de desarrollo.

 
  
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  Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Der Anteil des privaten Sektors beträgt in den Entwicklungsländern etwa 80 %. Wir müssen diesen für die Entwicklung von Wohlstand, Handel, wirtschaftlicher Entwicklung und Innovationen in den Ländern stärker nutzen.

 
  
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  Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de este Informe por diversos motivos. El informe da la bienvenida a la iniciativa de la Comisión que aprueba que el sector privado se convierta en un socio importante en el logro del desarrollo, mientras que reconoce que la inversión del sector privado en los países en desarrollo puede contribuir a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas (ODS).

Por otra parte, el informe pide a la Comisión que promueva el apoyo y la financiación del mecanismo de desarrollo orientada al sector privado, mezclando a éste con el sector público, con el fin de aprovechar los flujos privados con dinero público. Estos mecanismos están orientados al beneficio, no alineados con los principios de eficacia del desarrollo y no inciden en la reducción de la pobreza y en la consecución de los ODS.

 
  
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  Maria Grapini (S&D), în scris. ‒ Sectorul privat constituie coloana vertebrală a economiei și politicile publice trebuie gândite pentru dezvoltarea sectorului privat, în mod deosebit a IMM-urilor. Conform indicelui de sărăcie umană al Programului Națiunilor Unite pentru Dezvoltare, 1,2 miliarde de persoane câștigă mai puțin de 1,25 USD pe zi și acest lucru trebuie să ne îngrijoreze pe toți. Ieșirea din sărăcie se poate face doar din dezvoltare economică și, în mod deosebit, din dezvoltarea sectorului privat.

Am votat acest raport deoarece susțin dezvoltarea sectorului privat, în mod deosebit a IMM-urilor. Salut prevederea prin care se reiterează că UE are răspunderea de a sprijini un regim fiscal mondial echitabil, instituirea unor cerințe obligatorii privind raportarea publică pentru fiecare țară în parte a corporațiilor transnaționale, care în prezent creează o concurență neloială IMM-urilor în multe cazuri. Raportul cuprinde multe propuneri care pot aduce creșterea economică și dezvoltarea IMM-urilor, creșterea locurilor de muncă și creșterea veniturilor fiecărui cetățean.

 
  
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  Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ In the context of the Sustainable Development Goals signed last year at the UN, the world has put forward an ambitious development agenda for the next 15 years with the intention of eliminating poverty and ensuring that no-one gets left behind. I voted in favour of this report because the private sector can and should play a greater role in development in order to help bridge the gap between national development aid and the needs of developing countries. The involvement must be well regulated and ensure that that poverty reduction is the main goal of private companies when involved in development.

 
  
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  András Gyürk (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Τάκης Χατζηγεωργίου ( GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Ο ρόλος του ιδιωτικού τομέα στην ανάπτυξη έχει αυξηθεί σημαντικά τα τελευταία χρόνια. Ωστόσο, τοποθετώντας την ιδιωτική χρηματοδότηση στο επίκεντρο της ατζέντας για την ανάπτυξη είναι μια σημαντική αιτία ανησυχίας, χωρίς ισότιμη έμφαση στην οικοδόμηση ισχυρού και αποτελεσματικού κανονιστικού περιβάλλοντος.

Γι αυτούς τους λόγους καταψηφίσαμε την έκθεση.

 
  
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  Marian Harkin (ALDE), in writing. ‒ The private sector generates 90 % of jobs and income in developing countries and is the engine of wealth creation and economic growth in all market economies. According to the United Nations, the private sector accounts for 84% of GDP in developing countries and has the capacity to provide a sustainable base for domestic resource mobilisation, leading to less aid dependency, as long as it is properly regulated. Private sector investment in developing countries could contribute to achieving the UN Sustainable Development Goals if properly regulated. To this effect, the private sector should commit to ensuring good governance, poverty reduction and wealth creation through sustainable investment, as well as to reducing inequalities, promoting human rights and environmental standards and empowering local economies. The EU should promote the local private sector in developing countries, e.g. through access to finance and by promoting entrepreneurship. For these reason I voted for the resolution.

 
  
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  György Hölvényi (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasao sam za Izvješće o privatnom sektoru i razvoju (2014/2205(INI)), s obzirom na činjenicu da je privatni sektor pokretač stvaranja bogatstva i gospodarskog rasta te je zaslužan za 90 % radnih mjesta i dohotka u zemljama u razvoju, a prema podacima UN-a privatni sektor zaslužan je za 84 % BDP-a u zemljama u razvoju. EU treba imati vodeću svjetsku ulogu u borbi protiv siromaštva i održivom razvoju te je uloga privatnog sektora sve važnija s obzirom na smanjenja proračuna za potporu.

Osim javnih bespovratnih ulaganja i suradnje s javnim sektorom zemalja u razvoju, potrebno je stvarati uvjete za privatna ulaganja, javno privatna partnerstva, uključiti bankarski sektor EU-a te stvarati uvjete za razvoj privatnog sektora u zemljama u razvoju te jačanje organizacija civilnog društva. Podržavam navedene korake iz izvješća koje treba poduzeti kako bi privatni sektor postao održiv partner u razvojnoj politici.

 
  
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  Jean-François Jalkh (ENF), par écrit. ‒ Le rapport est basé sur le rôle du secteur privé dans le développement de pays d'Afrique notamment. Il estime que les aides nécessaires devraient être supérieures à plus de 2 milliards de dollars, qui tous sortiraient potentiellement des caisses de nos États, à moins que l'on développe davantage les partenariats public-privé. Il est précisé que les contribuables ne seraient probablement pas enclins à payer cela… Le rapport est axé complètement sur le concept de croissance illimitée, avec, en corollaire, l'augmentation des demandes en énergie, en nourriture, en eau, sans indiquer bien sûr de recette pour répondre à ces gravissimes questions. La seule option à priori proposée est la "croissance" perpétuelle et la réussite économique, à coups d'investissements privés, le but absolu étant une croissance sans freins, alors que l'on sait que c'est impossible… J’ai naturellement voté contre ce texte.

 
  
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  Diane James (EFDD), in writing. – This report is something UKIP supports in essence and would advocate on a national level. The increase in the private sector in developing nations has led to positive results for the poorest nations and people. Unfortunately, due to a matter of principle we cannot support this report because of the heavy inclusion of the Commission and the EU which UKIP are principally against.

 
  
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  Petr Ježek (ALDE), in writing. I voted in favour of this report which calls for new innovative ways to mobilise private capital in the fight against global poverty as part of a broader approach to development. Estimates of the incremental global spending needed in developing countries reach USD 2.4 trillion per year more than what is currently being spent. I believe the private sector has a crucial role to play in helping people to lift themselves out of poverty. It is the key to sustainable growth and wealth creation. For this purpose, we have to help developing countries create an environment friendly for private initiatives by cutting red tape and improving the general business climate.

 
  
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  Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui fait suite à la communication de la Commission qui propose un cadre d'action pour renforcer le rôle du secteur privé dans les pays en développement.

Le secteur privé fournit 90 % des emplois dans les pays en développement, il constitue donc un partenaire essentiel dans la lutte contre la pauvreté. Il a également un rôle à jouer en tant qu'investisseur dans la production agricole durable afin de relever le défi de nourrir 9 milliards de personnes d'ici 2050.

 
  
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  Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Ich stimme diesem Bericht zu. Der Berichterstatter räumt den Marktkräften eine aufwertende und damit gewichtigere Rolle in der Entwicklungszusammenarbeit ein.

 
  
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  Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I supported the report. In the context of the Sustainable Development Goals signed last year at the UN, the world has put forward an ambitious development agenda for the next 15 years with the intention of eliminating poverty and ensuring that no-one gets left behind.

However, there is a gap between the amount of money that is needed in order to make this agenda a success and the amount that the public sector is able to give in the form of development aid. The private sector can and should play a greater role in development in order to help bridge the gap between national development aid and the needs of developing countries. The involvement must be well regulated and ensure that poverty reduction is the main goal of private companies when involved in development.

 
  
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  Kateřina Konečná (GUE/NGL), písemně. ‒ Je tragikomické, jak se autoři některých zpráv snaží zakrýt skutečný význam textu tím, že vynechají jedno důležité slovo. Např. Nirj Deva ve svém návrhu usnesení Evropského parlamentu o soukromém sektoru a rozvoji mluví o tom, kterak je nutné pomoci rozvojovým zemím, a to zejména podporou rozvoje podnikání. V textu to sice nikde napsáno přesně není, ale je jasné, že řeč je zejména o nadnárodních korporacích, které se však tentokrát budou chovat k místním obyvatelům a zájmům rozvojových zemí s respektem a citem. Pak, že lidé na levici věří v utopii. Nirj Deva také nezmiňuje slovo privatizace. Přečtěte si však pozorně tuto část jeho textu: „Vzhledem k tomu, že v rozvojových zemích se v současnosti partnerství veřejného a soukromého sektoru vytvářejí zatím z největší části v odvětví energetiky, infrastruktury a telekomunikací, zatímco potenciál v odvětvích jako zemědělství, vodohospodářství, hygiena, vzdělávání, zelené technologie, výzkum a inovace, zdravotní péče či vlastnická práva je i nadále z velké části nevyužit.“ Celý text na mě působí dojmem, že budeme znovu ničit přírodní bohatství rozvojových zemí a naplno využívat jejich lidské zdroje, ale tentokrát už nebudeme tak zlí a nenasytní. Ovšem stále jim budeme tvrdit, že je to pro jejich dobro. Hlasovala jsem proti usnesení.

 
  
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  Ádám Kósa (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Ilhan Kyuchyuk (ALDE), in writing. ‒ I voted for the resolution because it clearly recognises the importance of the private sector in development and the primary objective of EU development cooperation in reducing poverty. The private sector has the potential to contribute to a sustainable, efficient and long—term development, because economic development is a key to eradicating poverty. Of course, this aim could be completed only by promoting human rights and by strengthening democracy, good governance and the rule of law. The European Union should strengthen corporate social responsibility, and the public-private partnerships within the post-2015 development agenda should have a strong focus on poverty reduction.

 
  
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  Giovanni La Via (PPE), per iscritto. – Dopo aver raggiunto dei compromessi su determinati punti della risoluzione, manifesto il mio supporto sul sistema proposto dalla Commissione di valorizzare il settore privato nei paesi in via di sviluppo. Ad oggi il 90% dei lavori in questi paesi vengono offerti da privati che contribuiscono ad una crescita sostenibile del paese, fenomeno che rende così possibile la lotta contro la povertà. Per le motivazioni sopracitate, il settore privato continua a crescere creando accordi con governi, sponsor e organizzazioni non governative (ONG). A seguito dei risultati ottenuti, possiamo ritenere positivo lo sforzo fatto finora dalla Commissione e voto quindi a favore della realizzazione di nuovi progetti più strategici che contribuiscano alla creazione di posti di lavoro e alla formazione di uno sviluppo inclusivo e sostenibile.

 
  
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  Gilles Lebreton (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre ce rapport car il est obnubilé par les partenariats public-privé (PPP). Or, je suis hostile aux PPP, qui sont presque toujours des aubaines pour les grands groupes privés, au détriment d’une saine gestion des deniers publics.

 
  
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  Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra de este informe sobre el sector privado y el desarrollo. Entre otros puntos que rechazamos, el informe pide a la Comisión Europea que apoye y financie políticas de cooperación al desarrollo que otorgan al sector privado un rol predominante a través de las conocidas como alianzas público-privadas.

Estamos una vez más ante una defensa de la privatización de las políticas para el desarrollo utilizando los fondos que la UE destina a cooperación como instrumentos para posibilitar nuevos campos de negocio al sector privado con dinero público.

A pesar de que el informe recoge algunas enmiendas presentadas por nuestro grupo político exigiendo la participación y consulta de las organizaciones de la sociedad civil o la necesidad de que los Estados miembros implementen en su planes nacionales los Principios Rectores de la ONU sobre Derechos Humanos y Empresas, rechazamos frontalmente que la cooperación al desarrollo se oriente a la consecución de beneficios por parte del sector privado.

 
  
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  Antonio López-Istúriz White (PPE), por escrito. ‒ Este informe nace para crear una estrategia dirigida al sector privado. Debemos destacar que el sector privado crea el 90 % de los puestos de trabajo de los países socios, además de representar el 84 % del PIB y proporcionar una base sostenible para la movilización de los recursos internos.

De igual manera, cabe destacar que las inversiones del sector privado en los países en desarrollo han alcanzado unas tasas elevadas de rendimiento.

El informe insiste en que las asociaciones público-privadas se deberían explotar en una mayor medida en sectores como la agricultura, la educación, la asistencia sanitaria y los derechos de propiedad, entre otros.

Finalmente, pide al Banco Europeo de Inversiones y a las delegaciones de la UE que utilicen su experiencia y conocimientos en materia de colaboración con empresas privadas para lograr una política de desarrollo que cuente el compromiso del sector empresarial europeo.

Personalmente, considero que el informe debería aprobarse ya que trabajar con el sector privado resulta imprescindible para el desarrollo.

 
  
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  Ivana Maletić (PPE), napisan. ‒ Privatni sektor bitan je pokretač stvaranja nacionalnog bogatstva i gospodarskog rasta u svim tržišno orijentiranim ekonomijama. On je zaslužan za postizanje dugoročnog održivog razvoja. No, održivi razvoj nije moguće ostvariti kad postoje administrativne barijere i razne regulacije kao što je to u slučaju zemalja u razvoju. Osim prisutnih prepreka malim i srednji poduzetnicima u zemljama u razvoju nedostaje pravna zaštita koja će omogućiti njihovo nesmetano poslovanje na tržištu.

Ključno je stvaranje povoljnog poslovnog okruženja bez nepotrebnih administrativnih i regulatornih prepreka kako bi se mali i srednji poduzetnici uključili u tzv. formalni sektor ekonomije što bi potaknulo daljnji rast privatnog sektora. To se može samo učiniti uz učinkovito i dobro osmišljena javno-privatna partnerstva koja čine dostupnima privatne i javne financije. Stvaranjem javno-privatnih partnerstva lakše se odgovara na makroekonomske izazove i rizike, političke rizike i ostvaruje održivi razvoj.

Podržala sam ovo izvješće jer koje ukazuje na važnost malih i srednjih poduzetnika i njihov utjecaj na gospodarstvo. Oni čine okosnicu svih tržišnih gospodarstava prema rastu blagostanja i realizaciji održivog razvoja, stoga je uklanjanje birokratskih prepreka i sklapanje javno-privatnih partnerstva ključno za daljnji razvoj privatnog sektora u zemljama u razvoju.

 
  
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  Andrejs Mamikins (S&D), rakstiski. ‒ Tā kā privātais sektors attīstības valstīs sastāda ap 84 % no IKP, sniedzot jebkādu Eiropas Savienības atbalstu šādiem reģioniem, kopā ar pārējo jautājumu risināšanu visciešākā uzmanība jāpievērš tieši šai jomai, kurā parasti — bet ne vienmēr — tiek nodarbināts arī vairākums no visiem vietējiem strādniekiem.

MMVU (mikro-, mazie un vidējie uzņēmumi) attīstības valstīs bieži vien ir valsts ekonomikas un sabiedrības stūrakmens, jo sniedz iespēju gan apgādāt savu ģimeni, gan stiprināt sociālās saiknes un tādējādi sekmēt sabiedrisko integrāciju. Līdz ar to jautājumos par piekļuvi finansējumam (teiksim, mikrokredītiem, kas sevi lieliski apliecinājuši vairākās valstīs, īpaši Bangladešā), nodarbinātību un attiecīgi sociālās politikas reformēšanu, kā arī par banku sfēras un nodokļu politikas modernizāciju ES viennozīmīgi varētu dalīties pieredzē, kas sevi jau pozitīvi apliecinājusi vairākos gadījumos visā pasaulē.

Piekrītu, ka principiāli svarīgi ir arī veicināt pozitīvu un produktīvu privātā un publiskā sektora sadarbību. Tas pakāpeniski varēs garantēt arī efektīvas izmaiņas izglītībā, veselības aizsardzībā, kā arī lauksaimniecībā un inovācijas sfērā, kur bez šādām simbiotiskām attiecībām īsts progress nav iespējams.

Visai svarīgi, protams, ir vienmēr ņemt vērā vietējās īpatnības, kuras izmantojot kā sava veida pamatu, arī būtu iespējams sekmēt kvalitatīvu attīstību.

 
  
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  Vladimír Maňka (S&D), písomne. ‒ Súkromný sektor môže za dodržania určitých pravidiel zohrať významnú úlohu v boji proti chudobe a pri rozvoji spoločnosti.

Zvyšujúci sa počet obyvateľstva v rozvojových krajinách dosiahne v roku 2030 nárast strednej triedy na 5 miliárd obyvateľov. Zvýši sa tak tlak na stupňujúce sa nároky na spotrebu a zdroje energie, kde sa predpokladá, že dopyt po potravinách vzrastie o 50 %, vode o 40 % a energiách o 30 %. Toto všetko si bude vyžadovať hľadanie nových inovatívnych riešení. V tomto procese je potrebné využiť potenciál súkromného sektora ako zdroja osobitných skúseností a základu mobilizácie domácich zdrojov. Súkromný sektor predstavuje v súčasnosti podľa štatistík OSN v partnerských krajinách 84 % HDP a poskytuje prácu 90 % zamestnaného obyvateľstva. Preto je nutné hľadať všetky cesty na uľahčenie podnikania a vytváranie verejno-súkromných partnerstiev.

 
  
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  Νότης Μαριάς ( ECR), γραπτώς. ‒ Αντιτίθεμαι στην έκθεση για τον ιδιωτικό τομέα και την ανάπτυξη για τους λόγους που ανέφερα αναλυτικά στην ομιλία μου στην Ολομέλεια του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου στο Στρασβούργο στις 14/4/2016 καθώς και διότι η εν λόγω έκθεση δεν είναι πλήρης και τεκμηριωμένη.

 
  
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  Dominique Martin (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté contre ce texte.

Ce rapport vise à promouvoir le rôle du secteur privé dans le développement de pays les moins développés (PMA). Il souligne certains obstacles structurels, comme la bureaucratie, voire la corruption. Il prône cependant, des objectifs difficilement réalisables en termes d'aides publiques aux PMA. En outre, le projet de rapport préconise un recours accru aux organismes intergouvernementaux, ce qui n'est pas une solution appropriée.

 
  
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  Mairead McGuinness (PPE), in writing. ‒ I voted to support this report that outlines the significant role that the private sector has in providing jobs and in helping to combat poverty in developing countries.

 
  
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  Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ Le rapport part d'un constat biaisé. Le secteur privé générerait 90 % des emplois et des revenus dans les pays en développement. Mais quels emplois et à quel prix? Le rapport constate la faiblesse des ressources publiques, jugulées par les prêts du FMI. Plutôt que de favoriser de vraies politiques publiques dans ces pays, il fait donc l'apologie des partenariats public-privé. Ces contrats confient à un opérateur privé la maîtrise d'ouvrage et l'exploitation d'un équipement collectif. Derrière la nouveauté juridique, se cache un outil puissant d'expropriation des citoyens et de la puissance publique. Pire, le rapport invite le privé à participer à la conception des politiques publiques de développement. Enfin, le rapport demande aux diplomates sur place de se former, tels des VRP, pour vendre le concept aux pays africains. Au final, nous en sommes à espérer que le secteur privé réduira l'accaparement des terres. Je vote contre.

 
  
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  Joëlle Mélin (ENF), par écrit. ‒ Le rapport prévoit une aide de plus de 2 milliards d'euros pour le secteur privé des pays d'Afrique. Par ailleurs le dogme de la croissance (illimitée) est réaffirmé, lié à celui du développement durable. La croissance sans fin est un mythe libéral, notre désir infini se heurtera à la finitude de nos ressources. De plus, je crois que le développement durable est une formule incantatoire qui maquille la folie et les dégâts du projet. Enfin, le panel qui a chapeauté le programme de recherche et de développement comprend 250 multinationales, qui n'ont pas beaucoup d'autres règles que celle de faire du profit.

En conséquence, j'ai voté contre ce texte.

 
  
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  Roberta Metsola (PPE), in writing. I voted in favour of this report, which assesses the role of the private sector in development overseas. Private investment in developing countries, and support for local private sector initiatives, are crucial in the eradication of poverty and stabilising democracy.

 
  
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  Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ I have voted in favour of the report since the role of the private sector in development has increased in the last years and is progressively being debated. Population and income growth in developing countries is set to drive a growing global middle-class population who will demand significantly higher levels of consumption. Furthermore, in the context of aid resources declining and new global challenges, such as climate change, the private sector might play a key role since these donors can bring innovation, expertise and effectiveness in development policy. However, the role of the private sector role in development should be well-defined to ensure that there is full accountability and that development goals are not distorted.

 
  
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  Bernard Monot (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport estime que les aides nécessaires au développement des pays d'Afrique devraient être supérieures à 2 milliards de dollars et financées par des partenariats public-privé.

Or le développement visé est purement illusoire et aucun investissement pour résoudre les problèmes graves (nourriture, eau, énergie) n'est proposé.

Nous votons contre ce texte qui appelle à financer des projets qui ne seront profitables qu'aux multinationales, et qui ne feront qu'amplifier les problèmes d'expropriation foncière, de corruption et de perte de souveraineté des États africains.

 
  
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  Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ O principal objetivo da cooperação para o desenvolvimento da UE, ao abrigo do artigo 208.º do TFUE, consiste em erradicar a pobreza e deve ser conduzido no quadro dos princípios e dos objetivos da ação externa da União.

O Tratado da União Europeia, no seu artigo 3.º, n.º 5, dispõe que o objetivo da UE nas suas relações com o mundo exterior passa por contribuir para o desenvolvimento sustentável, a solidariedade e o respeito mútuo, o comércio livre e justo, a erradicação da pobreza e a proteção dos direitos humanos, e que o setor privado tem potencial para contribuir no sentido de um desenvolvimento sustentável e eficiente a longo prazo.

O desenvolvimento é, primeiramente, da responsabilidade do Estado, o quadro da ajuda ao desenvolvimento deve ser definido pelos governos e esta tarefa compete, sobretudo, ao setor público, mas importa sublinhar que o combate à pobreza exige políticas públicas, assim como o envolvimento do setor privado, uma vez que exerce uma influência importante na sociedade e no desenvolvimento.

Defendo o aumento do envolvimento do setor privado na política e nos projetos de desenvolvimento da UE.

 
  
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  Sophie Montel (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport est incomplet: rien sur les ressources naturelles, enjeux importants pour les pays développés et des multinationales, très peu est dit sur l’expropriation foncière ou la corruption, etc. Je vote donc contre ce texte.

 
  
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  Claude Moraes (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report because the private sector can and should play a greater role in development in order to help bridge the gap between national development aid and the needs of developing countries. The involvement must be well regulated and ensure that that poverty reduction is the main goal of private companies when involved in development.

 
  
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  Nadine Morano (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport propose des mesures afin d'associer les secteurs publics et privés dans le développement des pays en développement. J'ai voté pour.

 
  
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  Elisabeth Morin-Chartier (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur du rapport Deva sur le secteur privé et le développement. Le secteur privé fournit 90 % des emplois dans les pays en développement. Il constitue donc un partenaire essentiel dans la lutte contre la pauvreté. Il a également un rôle à jouer en tant qu'investisseur dans la production agricole durable afin de relever le défi de nourrir 9 milliards de personnes d'ici 2050.

Compte tenu de la capacité du secteur privé à générer une croissance inclusive et durable dans les pays en développement, notamment les entreprises, les associations et les organisations d'employeurs et de travailleurs jouent un rôle de plus en plus actif dans le domaine du développement, à la fois en tant que source de financement et en tant que partenaires des autorités publiques, des organisations non gouvernementales (ONG).

Une évaluation récente de l'aide de l'Union au développement du secteur privé entre 2004 et 2010 a confirmé la contribution importante de la Commission au développement du secteur privé dans les pays partenaires et a permis de recenser les moyens d'améliorer les futurs programmes et stratégies, en vue notamment de mettre l'accent sur la création d'emplois décents et d'intégrer la participation du secteur privé dans l'ensemble des activités d'appui de l'UE.

 
  
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  Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ Accogliamo con favore la relazione sul settore private e lo sviluppo. È necessario infatti che l'Unione europea sia capace di stimolare maggiormente l'investimento di fondi privati nell'economia comunitaria. Questo perché, già oggi, permane un deficit di investimenti pubblici e il coinvolgimento del settore privato appare come la soluzione più opportuna. La Commissione europea, guidata dal Presidente Juncker, ha lanciato nel 2014 un Fondo strategico per gli investimenti che, già nel 2015, è stato capace di generare un effetto leva notevole, aumentando così la quantità di investimenti operati nell'Unione. È altresì nota la capacità degli investimenti, specialmente quelli nel settore manifatturiero, nel ridurre la povertà legata al mercato, creando occupazione e benessere tra i cittadini lavoratori. Nei prossimi decenni, la crescita della popolazione globale e l'aumento del reddito nei paesi oggi in via di sviluppo genererà maggiori consumi di cibo, acqua ed energia. Per questa ragione è necessario che gli attori comunitari concentrino parte dei loro investimenti nei paesi in via di sviluppo, dove seppur permane una maggiore volatilità e incertezza, i rendimenti dei capitali sono sorprendentemente alti e garantiscono alle popolazioni indigene benessere e occupazione, soprattutto se orientati alla creazione di un benessere sostenibile.

 
  
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  Renaud Muselier (PPE), par écrit. ‒ Le secteur privé est, nous le savons, essentiel au développement. Il assure la majeure partie de l'activité économique de par son rôle d'investisseur et de créateur d'emplois. Dans les pays en développement, le secteur privé fournit près de 90 % des emplois et constitue un partenaire important des autorités publiques, des ONG et des bailleurs de fonds. J'ai donc voté en faveur de ce texte pour soutenir le travail du Parlement européen en matière d'aide au développement et permettre la mise en place du cadre stratégique proposé pour renforcer le rôle du secteur privé, et ainsi parvenir à une croissance inclusive et durable.

 
  
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  Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ I have voted for this report that will engage European and international enterprise sectors in order to achieve sustainable development in areas such as agriculture, land tenure and property rights, sustainable energy and green sectors, education, healthcare and sanitation.

 
  
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  Norica Nicolai (ALDE), în scris. ‒ Am votat în favoarea acestui raport care are ca preocupare crearea unor condiții de dezvoltare pentru sectorul privat, la nivelul statelor membre.

Mă bucur că Parlamentul European încearcă să stimuleze un sector ce joacă un rol principal în ceea ce privește creșterea economică, firmele private contribuind cu un procent de aproximativ 80% la PIB-ul țărilor membre, fiind și o sursă creatoare de locuri de muncă. În acest sens, raportul votat astăzi propune o serie de măsuri pe care Uniunea Europeană și statele membre trebuie să le promoveze cu scopul dezvoltării sectorului privat. Este primordial pentru guvernele naționale să adopte strategii de dezvoltare axate pe cooperative, IMM-uri și mici producători, aceasta fiind una din prevederile acestui document.

De asemenea, salut propunerea raportului de a încuraja la nivelul strategiilor statelor membre conceptul femeii antreprenoare, prin propunerea de programe de formare și cu scopul îmbunătățirii unui obiectiv de lungă durată al Uniunii Europene: egalitatea de gen.

 
  
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  Franz Obermayr (ENF), schriftlich. ‒ Ich habe für den Bericht gestimmt, da er tatsächlich neue Impulse für die Entwicklungszusammenarbeit setzen kann und insbesondere auch neue Finanzierungsmöglichkeiten aufzeigen kann.

 
  
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  Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ This report is something UKIP supports in essence and would advocate on a national level. The increase in the private sector in developing nations has led to positive results for the poorest nations and people. Unfortunately, due to a matter of principle we cannot support this report because of the heavy inclusion of the Commission and the EU which UKIP are principally against.

 
  
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  Aldo Patriciello (PPE), per iscritto. ‒ Considerato che la crescita della popolazione nei paesi in via di sviluppo richiederà maggiori investimenti a sostegno dello sviluppo nei prossimi anni, considerato che, secondo alcune stime, gli investimenti del settore privato nei PVS sono spesso associati a tassi di rendimento elevati, considerato, inoltre, che il coinvolgimento degli investitori privati nello sviluppo agricolo potrebbe rappresentare uno stimolo per lo sviluppo delle tecniche di coltivazione, incoraggiare l'occupazione e promuovere uno sviluppo sostenibile, considerato, infine, che una maggiore collaborazione tra pubblico e privato può rivelarsi vantaggiosa per questi paesi, vorrei votare a favore della proposta di risoluzione.

 
  
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  Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Podržavam mjere kojima bi se uveo red i poboljšalo funkcioniranje privatnog sektora. Znamo da je privatni sektor pokretač stvaranja bogatstva i gospodarskog rasta u svim tržišnim ekonomijama, isto tako, zaslužan je za 90% radnih mjesta u zemljama u razvoju. Vjerujem da pravedno i progresivno oporezivanje u kombinaciji s kriterijima blagostanja i socijalne pravde ima ključnu ulogu u smanjivanju nejednakosti preko redistribucije bogatstva od građana s višim dohotkom na potrebite u zemlji.

Javno-privatno partnerstvo po uzoru na poslovanja razvijenih zemalja rezultiralo bi većom stopom zaposlenosti i boljim životom naših građana. Pozdravljam prijedlog o pojačanju napora oko promicanja ekonomskog osnaživanja žena te uspostavu mehanizma potpore za poduzetnice. Tim više, što pristup financijskom uključivanju žena vođen uštedama ima dokazan uspjeh.

Vjerujem da bi usklađivanjem dobrog upravljanja, vladavine prava, antikorupcijskih mjera, javnog financijskog upravljanja i učinkovitih javnih institucija zabilježili napredak u privatnom sektoru, što znači da bi građani bolje živjeli.

 
  
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  Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ Uloga javnog sektora je ključna za ostvarivanje ciljeva održivog razvoja. Privatni sektor je pokretač stvaranja bogatstva i gospodarskog rasta u svim tržišnim ekonomijama te je zaslužan za 90 % radnih mjesta i dohotka u zemljama u razvoju. Pravedno i progresivno oporezivanje u kombinaciji s kriterijima blagostanja i socijalne pravde ima ključnu ulogu u smanjivanju nejednakosti preko redistribucije bogatstva od građana s višim dohotkom na najpotrebitije u zemlji.

Potrebno je više javnih ulaganja u javne usluge dostupne svima, posebno u pogledu prometnog sektora, pristupa vodi za ljudsku potrošnju, zdravstva i obrazovanja. Pozdravljam ulogu koju ulaganje inozemnog privatnog sektora u zemlje u razvoju ima za ubrzanje domaćeg razvoja. Dodatno ističem važnost poticanja odgovornog ulaganja kojim se podupiru lokalna tržišta i pomaže smanjiti siromaštvo.

 
  
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  João Pimenta Lopes (GUE/NGL), por escrito. ‒ No geral, o relatório evidencia maior preocupação em criar condições vantajosas para as empresas nos países em desenvolvimento do que em apoiar um desenvolvimento soberano e livre de constrangimentos da “mão estendida”.

Há também uma indisfarçável visão neocolonialista e neoliberal. As Parcerias Público-Privadas (PPP) surgem como uma inevitabilidade, afirmando-se a necessidade de as alargar a mais setores de atividade.

Ou seja, a ideia é exportar (impor?) um modelo de desenvolvimento assente nas políticas antissociais e neoliberais implementadas na União Europeia.

Pesem embora algumas melhorias introduzidas ao longo do processo de discussão do relatório, este é um relatório mau.

Eis algumas das ideias que contém:

- As PME enfrentam encargos regulamentares demasiadamente pesados nos países em desenvolvimento (acrescentamos nós: comprometendo oportunidades de negócio para as empresas europeias);

- As PPP têm estado concentradas nos setores energético, das infraestruturas e das telecomunicações, “enquanto o potencial de setores como a agricultura, a educação, as tecnologias verdes, a investigação e a inovação, os cuidados de saúde e os direitos de propriedade continua, em geral, por explorar”;

- Claro e injustificado privilégio do setor privado face ao setor público, nomeadamente no que se refere a apoios da EU;

- Defesa da “modernização” dos quadros regulamentares, criando um ambiente favorável às iniciativas privadas.

Entre outros aspetos negativos.

 
  
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  Salvatore Domenico Pogliese (PPE), per iscritto. ‒ Il settore privato fornisce il 90% dei posti di lavoro nei paesi in via di sviluppo e pertanto costituisce un interlocutore fondamentale nella lotta alla povertà e alla fame. La relazione definisce un quadro strategico che garantisce che gli investimenti fatti dalle imprese private siano a beneficio di tutta la società, in particolare delle donne, dei giovani e degli indigenti. È necessario, quindi, che gli investimenti abbiano come priorità la creazione di posti di lavoro duraturi, specialmente per le fasce sociali più deboli, e che favoriscano il passaggio progressivo da un'economia informale ad una formale. Garantendo un ambiente più favorevole e sicuro per le imprese, queste potranno investire di più e in maniera più responsabile e ogni individuo potrà beneficiare delle opportunità economiche create dal settore privato. Ho votato a favore di questa relazione perché solo rendendo il settore privato partner attivo della cooperazione allo sviluppo, l'Unione europea sarà in grado di tenere fede al suo impegno per la promozione della giustizia e della pace nel mondo.

 
  
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  Stanislav Polčák (PPE), písemně. ‒ Posilování role soukromého sektoru je bezesporu důležitou aktivitou, která přispěje k rozvoji méně vyspělých zemích a podpoře udržitelného rozvoje. Partnerství se soukromým sektorem při plnohodnotném si uvědomování závazku k řádné správě ze strany soukromého sektoru může prokazatelně přispět ke snižování chudoby a nerovností, vytváření bohatství prostřednictvím udržitelných investicí a podpoře lidských práv, naplňování environmentálního prospěchu a posilování místního hospodářství. Pro posilování životní úrovně a konkurenceschopnosti a maximální podporu udržitelného rozvoje budou klíčové především soukromé investice v oblastech dopravy, přístupu k pitné vodě, zdraví a vzdělávání. Jakákoliv podpora efektivní spolupráce soukromého a veřejného sektoru je tak žádoucí a zasluhuje si plnou podporu, přičemž je třeba lpět na transparentnosti tohoto společného přístupu a naplňování rozvojových cílů Evropské unie. Do budoucna bude třeba vyvinout rovněž maximální úsilí v eliminaci veškerých překážek, se kterými se malé a střední podniky i mikropodniky bohužel neustále potýkají. Velkou obezřetnost je třeba věnovat spolupráci mezi soukromým a veřejným sektorem v oblasti zemědělství, neboť toto partnerství si bude vyžadovat kvalitní a čitelnou legislativu nastavující jasná pravidla.

 
  
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  Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui précise l'importance des acteurs du secteur privé pour le développement, et particulièrement dans des pays au-delà des frontières européennes. Précisément, les dépenses mondiales annuelles dans les pays en développement ne sont pas assez élevées et jusqu'à présent trop soutenues par le contribuable. Participer au développement dans des zones qui en ont besoin est gagnant pour tous: pour les populations et les États qui ne sont pas encore suffisamment insérés dans l'économie mondiale, mais aussi pour nos entreprises européennes qui trouveront de nouveaux leviers de croissance dans les pays en développement. Enfin, le rôle de la Banque européenne d'investissement (BEI) doit être souligné pour que celle-ci participe davantage à l'effort de financement de projets.

 
  
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  Julia Reid (EFDD), in writing. ‒ This report is something UKIP supports in essence and would advocate on a national level. The increase in the private sector in developing nations has led to positive results for the poorest nations and people. Unfortunately, due to a matter of principle we cannot support this report because of the heavy inclusion of the Commission and the EU which UKIP are principally against.

 
  
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  Sofia Ribeiro (PPE), por escrito. ‒ O setor privado é o motor da criação de riqueza e do crescimento económico em todas as economias de mercado, gerando 90% dos postos de trabalho e dos rendimentos nos países em desenvolvimento, o que representa 84% do PIB.

Este relatório reconhece que o investimento privado nos países em desenvolvimento, se for devidamente regulamentado, pode contribuir para a concretização dos Objetivos de Desenvolvimento Sustentável da ONU.

Desta forma, este relatório insta a UE e os Estados-Membros a desenvolverem uma estratégia concreta para assegurar o alinhamento do setor privado com as prioridades de desenvolvimento dos governos nacionais e da sociedade civil dos países em desenvolvimento.

O documento pede às instituições e aos órgãos europeus que estabeleçam um quadro claro, estruturado, transparente e responsável, que regule as parcerias e as alianças com o setor privado nos países em desenvolvimento.

Paralelamente, apela à criação, ao nível da UE, de plataformas setoriais e multilaterais que reúnam o setor privado, as OSC, as ONG, os grupos de reflexão, os governos parceiros, os doadores, as organizações cooperativas, as empresas sociais e outras partes interessadas para superar a falta de confiança entre parceiros e resolver os desafios que surgem das intervenções colaborativas a favor do desenvolvimento.

Dei o meu voto positivo.

 
  
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  Liliana Rodrigues (S&D), por escrito. ‒ É aqui reconhecido o papel crucial do setor privado no desenvolvimento e avaliado de forma positiva, mas sem ignorar a necessidade de enquadrar o seu trabalho e de assegurar que a redução da pobreza é o seu principal objetivo quando envolvido no desenvolvimento.

 
  
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  Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport que j'ai voté, reprend une communication de la Commission et propose un cadre d'action pour renforcer le rôle du secteur privé dans les pays en développement. Le secteur privé fournit en effet 90 % des emplois dans les pays en développement et constitue, à ce titre, un partenaire essentiel dans la lutte contre la pauvreté. Le secteur privé joue également un rôle essentiel en tant qu'investisseur dans la production agricole durable (et tenter ainsi de relever le défi de nourrir 9 milliards de personnes d'ici 2050...).

Une évaluation récente de l'aide de l'Union au développement du secteur privé entre 2004 et 2010 a confirmé la contribution importante de la Commission au développement du secteur privé dans les pays partenaires et a permis de recenser les moyens d'améliorer les futurs programmes et stratégies, en vue notamment de mettre l'accent sur la création d'emplois décents et d'intégrer la participation du secteur privé dans l'ensemble des activités d'appui de l'UE.

 
  
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  Tokia Saïfi (PPE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport qui met en évidence le lien entre le secteur privé et la politique de développement. Il est fondamental de rappeler que le secteur privé représente 84 % du PIB des pays en développement et est donc un acteur incontournable de la politique du développement et de la lutte contre la pauvreté. Ce texte recommande l'élaboration d'une stratégie de long terme avec le secteur privé, particulièrement afin de stimuler et d'augmenter les investissements. Ces partenariats avec le secteur privé devraient reposer sur des valeurs et des priorités communes, des objectifs de développement précis et être gérés en coopération avec les pays partenaires.

Un deuxième axe que développe ce rapport est le soutien au secteur privé local dans les pays en développement en appuyant les microentreprises qui sont souvent confrontées à d'importantes contraintes règlementaires.

Il s'agit d'encourager les entreprises européennes et internationales à contribuer aux objectifs de développement durable et à la mise en œuvre des normes établies au niveau international.

J'ai soutenu ce texte puisqu'il précise que les partenariats public-privé établis dans un cadre précis, structurés, transparents et assortis d'une répartition claire des responsabilités constituent d'importantes opportunités pour le développement des pays partenaires, particulièrement en termes d'emploi et d'investissement.

 
  
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  Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado EN CONTRA de este Informe por diversos motivos. El informe da la bienvenida a la iniciativa de la Comisión que aprueba que el sector privado se convierta en un socio importante en el logro del desarrollo, mientras que reconoce que la inversión del sector privado en los países en desarrollo puede contribuir a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas (ODS).

Por otra parte, el informe pide a la Comisión que promueva el apoyo y la financiación del mecanismo de desarrollo orientada al sector privado, mezclando a éste con el sector público, con el fin de aprovechar los flujos privados con dinero público. Estos mecanismos están orientados al beneficio, no alineados con los principios de eficacia del desarrollo y no inciden en la reducción de la pobreza y en la consecución de los ODS.

 
  
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  Maria Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado en contra de este informe sobre el sector privado y el desarrollo. Entre otros puntos que rechazamos, el informe pide a la Comisión Europea que apoye y financie políticas de cooperación al desarrollo que otorgan al sector privado un rol predominante a través de las conocidas como alianzas público-privadas.

Estamos una vez más ante una defensa de la privatización de las políticas para el desarrollo utilizando los fondos que la UE destina a cooperación como instrumentos para posibilitar nuevos campos de negocio al sector privado con dinero público.

A pesar de que el informe recoge algunas enmiendas presentadas por nuestro grupo político exigiendo la participación y consulta de las organizaciones de la sociedad civil o la necesidad de que los Estados miembros implementen en su planes nacionales los Principios Rectores de la ONU sobre Derechos Humanos y Empresas, rechazamos frontalmente que la cooperación al desarrollo se oriente a la consecución de beneficios por parte del sector privado.

 
  
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  Siôn Simon (S&D), in writing. ‒ In the context of the Sustainable Development Goals which were signed at the UN last year, the EU – and moreover the world – has committed itself to an ambitious development agenda for the next fifteen years, with the intention of eliminating poverty and ensuring that no-one gets left behind.

I am very much in support of this report, which echoes this commitment made at the UN, and it highlights the gap between the amount of money that is needed to make this agenda a reality and the amount of money that the public sector is actually able to give in the form of development aid.

Which is why, in lieu of comprehensive public sector involvement, I support the notion that the private sector can and should play a greater role in the development towards bridging the gap between national development aid and the needs of those countries who are still developing. This involvement needs to be extremely well regulated, to avoid misuse of money, and it needs to ensure that poverty reduction is the main goal of private companies when they are involved in development projects across the world.

 
  
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  Davor Škrlec (Verts/ALE), napisan. ‒ Odlučio sam biti suzdržan prema ovom Izvješću, a ovo obrazloženje glasovanja nastaje kao kritika postojećem sustavu vrednovanja rada zastupnika u Europskom parlamentu isključivo na osnovu statističkog broja parlamentarnih aktivnosti potenciranog u Hrvatskoj, a koji zapravo ne odražava stvarnu kvalitetu i količinu rada, učinkovitost te ponajviše uspjeh zastupničkog djelovanja.

 
  
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  Monika Smolková (S&D), písomne. ‒ Súkromný sektor považujem za kľúčový hnací motor hospodárskeho rastu a myslím si, že v čase znižovania rozpočtov zohráva v oblasti rozvoja ešte významnejšiu úlohu, pokiaľ ide o podporu politických priorít. Podporila som uznesenie, lebo verím, že prijatými opatreniami pomôžeme zabezpečiť dosahovanie trvalo udržateľného hospodárskeho rastu, znižovanie chudoby a vyššej životnej úrovne. Tento sektor by sme mali výraznejšie podporiť aj preto, že dlhodobo prispieva k udržateľnému, účinnému a dlhodobému rozvoju a vo všetkých trhových hospodárstvach a v rozvojových krajinách vytvára až 90 % pracovných miest a príjmov. Mrzí ma, že napriek tomu, že sa každoročne v rozvojových krajinách zamestná až 45 miliónov uchádzačov o pracovné miesta, až 34 % firiem v 41 krajinách priznáva, že nevedia nájsť potrebných pracovníkov. Som presvedčená, že iba silný súkromný sektor dosahujúci hospodársky rast môže zabezpečiť trvalo udržateľné rozvojové ciele, ktoré prispievajú k spoločnému pokroku. Za nevyhnutné však považujem podporiť zodpovedné investície, ktoré pomôžu stimulovať miestne trhy, kvalitnejšie pracovné miesta, vyššie mzdy a lepšie a dostupnejšie tovary a služby.

 
  
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  Igor Šoltes (Verts/ALE), pisno. ‒ Zasebni sektor predstavlja 84 % BDP-ja v državah v razvoju in ima sposobnost, da zagotovi trajnostno podlago za domačo mobilizacijo virov, kar lahko vodi k manjši odvisnosti od drugih pomoči.

Poročilo ugotavlja, da lahko naložbe zasebnega sektorja v državah v razvoju, če so ustrezno urejene, prispevajo k doseganju trajnostnih razvojnih ciljev Združenih narodov.

Potrebno je podpreti lokalni zasebni sektor v državah v razvoju, ker se lahko mikro, mala in srednje velika podjetja soočajo z veliko težjimi regulatornimi obremenitvami kot v EU ter nimajo pravne zaščite in lastninskih pravic. Preusmerja se pozornost na ureditev in uskladitev strategije zasebnega sektorja k trajnostnim razvojnim ciljem in na doseganje ciljev lastne razvojne strategije državah v razvoju.

Poročilo vsebuje več spornih odstavkov, ki so povezani z javno-zasebnimi partnerstvi, tako imenovanimi Public-Private Partnership, in vključujejo izobraževanje, kmetijstvo in druga področja ter tudi z vlogo Komisije v podporo zasebnemu sektorju v državah v razvoju. Tudi dejstvo, da se pojmuje zasebni sektor kot akter za razvoj, je lahko sporno.

Zaradi navedenega nisem na plenarnem zasedanju poročila podprl, ampak sem se vzdržal.

 
  
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  Bart Staes (Verts/ALE), schriftelijk. De toenemende druk op de publieke financiën en de nood aan extra middelen om globale uitdagingen aan te pakken zorgt ervoor dat de Europese beleidsmakers de private sector steeds meer zien als een mede-ontwikkelingsactor. In het verlengde hiervan roept dit verslag op tot meer publiek-private samenwerking en het creëren van een interessant investeringsklimaat in ontwikkelingslanden. Als Groenen geloven we echter niet blind in de private sector en het trickle-down effect van private investeringen in de ontwikkelingssector.

Private financiering kan nuttig zijn, maar mag nooit ter vervanging dienen van publieke ontwikkelingsgelden. Publieke middelen en publiek-publieke partnerschappen moeten de eerste optie blijven van de Europese Unie-inspanningen op ontwikkelingsgebied. Enkel als tweede optie en onder strikte voorwaarden mag de Commissie een beroep doen op de private sector. De inzet van private middelen moet transparant gebeuren en bijdragen aan de centrale doelstellingen van het Europese ontwikkelingsbeleid. Mensenrechtenschendingen en belastingontduiking moeten te allen tijde vermeden worden.

Dankzij een alternatieve meerderheid hebben we het pro-business discours van dit verslag aanzienlijk bijgesteld. Het houdt nu rekening met de gevaren van de private betrokkenheid en voorziet in de nodige veiligheidsmechanismen. Enkel onder deze voorwaarden zien we een rol weggelegd voor de private sector.

 
  
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  Ivan Štefanec (PPE), písomne. ‒ Dlhodobá podpora súkromného sektora je veľmi dôležitá na dosiahnutie cieľov v oblasti udržateľného rozvoja regiónov. Súkromný sektor je hybnou silou tvorby bohatstva a hospodárskeho rastu vo všetkých trhových hospodárstvach a v rozvojových krajinách vytvára 90 % pracovných miest a príjmov a predstavuje 84 % HDP. EÚ považuje súkromný a verejný sektor za najúčinnejší, keď spolupracujú v záujme vytvorenia zdravého prostredia pre investície, podnikateľskú činnosť a základy hospodárskeho rastu. EÚ zdôrazňuje, že všetky partnerstvá a zväzky so súkromným sektorom sa musia sústreďovať na priority týkajúce sa spoločnej hodnoty, v ktorých sa spájajú ciele v oblasti podnikania s cieľmi EÚ v oblasti rozvoja.

 
  
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  Richard Sulík (ECR), písomne. ‒ Návrh som podporil a plne súhlasím s významom, aký má súkromný sektor v oblasti rozvojovej pomoci.

 
  
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  Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Glasovala sem za poročilo o zasebnem sektorju in razvoju.

Zasebni sektor že igra zelo pomembno vlogo pri odpravljanju posledic krize, lahko pa igra v prihodnosti še pomembnejšo vlogo. Bistvena je ustrezno regulacijo, ki bo spodbujala vlaganja zasebnega sektorja v državah v razvoju. Tako se bo hitreje doseglo cilje trajnostnega razvoja Združenih narodov.

Kljub temu je v poročilu jasno opozorilo, da mora uradna razvojna pomoč ostati ključno sredstvo za izkoreninjanje vseh oblik revščine in za zadovoljevanje osnovnih socialnih potreb v državah v razvoju ter da je ni mogoče nadomestiti z zasebnim financiranjem.

 
  
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  József Szájer (PPE), írásban. ‒ A fejlődő országokban a munkahelyek körülbelül 90 százalékát a magánszektor biztosítja, ezért szerepe a szegénység elleni harcban alapvető fontosságú. Emellett kiemelkedő szerep jut számára a fenntartható mezőgazdasági termelés szempontjából is, különös tekintettel arra, hogy 2050-re 9 milliárd ember ellátásáról kell majd gondoskodni. Mivel a magánszektorban rejlő lehetőségek a fenntartható fejlődést ösztönzik a fejlődő országokban, a magánszektor szereplőinek feladata egyre fontosabb tényezővé válik a nemzetközi fejlesztés területén is.

Tekintve, hogy – egy, a közelmúltban a Bizottság által készített értékelés szerint – a 2004 és 2010 közötti időszakban az EU-támogatás jelentősen hozzájárult a magánszektor erősödéséhez a fejlődő országokban, a Bizottság e sikerekre alapozva egy stratégiai keretterv elfogadását javasolja, amely tovább erősítheti a magánszektor szerepét abban, hogy hozzájáruljon a fenntartható fejlődés hosszú tavú stratégiájához az említett partnerországokban.

 
  
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  Adam Szejnfeld (PPE), na piśmie. ‒ Aby rozwój lokalnych gospodarek i dalsze zmniejszenie ubóstwa były możliwe, potrzebny jest ogromny zastrzyk kapitału. Jego obecny niedobór może być wypełniony jedynie przy większym zaangażowaniu sektora prywatnego. I tu ważne jest zaangażowanie Unii Europejskiej, która powinna zapewnić techniczne wsparcie w odniesieniu do europejskich przedsiębiorstw publicznych w krajach partnerskich. Cieszę się, że sprawozdanie Parlamentu tak jednoznacznie poparło promowanie partnerstwa publiczno-prywatnego (PPP), bowiem to właśnie ten typ aktywności może doprowadzić do długoterminowego rozwoju opartego o nowe i innowacyjne technologie. Jeśli chcemy zapewnić godną pracę milionom ludzi żyjącym w ubóstwie, to musimy widzieć w tym obopólną szansę, a nie problem.

Przyjęty dokument słusznie podkreśla potrzebę ustanowienia na szczeblu unijnym wielostronnej platformy dialogu, gdzie sektor prywatny, organizacje pozarządowe, ośrodki analityczne, darczyńcy, rządy i inni interesariusze mogliby łatwiej współpracować w dziedzinie rozwoju i skuteczniej budować wzajemne zaufanie. Często zdarza się bowiem, że pomoc rozwojowa nie jest właściwie dopasowana do potrzeb bądź jest powielana przez wiele podmiotów.

Nie ulega wątpliwości, że sektor prywatny powinien odgrywać większą i ważniejszą rolę we współpracy rozwojowej i działaniach mających na celu zmniejszenie nierówności i ubóstwa. To bowiem ten sektor stanowi podstawę rozwoju każdej gospodarki, a cele biznesowe i rozwojowe nie stoją w sprzeczności, tylko wzajemnie się uzupełniają.

 
  
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  Claudia Tapardel (S&D), în scris. ‒ Ajutorul financiar oferit de Uniunea Europeană pentru dezvoltarea țărilor sărace din întreaga lume reprezintă un instrument semnificativ care a permis realizarea unor progrese remarcabile în multe domenii de interes, cum ar fi sănătatea, educația și agricultura. Totuși, asistența oferită de instituțiile europene și statele membre nu poate acoperi toate nevoile de investiții pe care le presupun țările în curs de dezvoltare.

De aceea este necesară implicarea partenerilor privați în proiectele existente, întrucât acest lucru poate genera un influx suplimentar de resurse financiare sau de altă natură. Realizarea de parteneriate public-private poate constitui o soluție pentru realizarea Obiectivelor de dezvoltare ale mileniului, însă doar în măsura în care ele respectă reglementările de transparență și răspundere existente în domeniu, evitând promovarea unor interese private care pot fi contrare atingerii obiectivelor publice de dezvoltare. Din acest punct de vedere, apreciez contribuția sectorului privat la dezvoltarea țărilor sărace ale lumii, prin expertiza de care dispune, prin spiritul de inovație și eficiență.

Consider, însă, că toate acestea trebuie puse în serviciul atingerii obiectivelor de dezvoltare asumate la nivel internațional de Uniunea Europeană, concomitent cu respectarea standardelor existente și cu evitarea subvențiilor mascate. Raportul de față este doar un prim pas în direcția bună.

 
  
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  Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ J'ai voté pour le texte. En effet, alors que nous commençons à réévaluer nos engagements à l'étranger, le rôle du secteur privé dans le développement occupe une place de plus en plus importante dans les débats. En dépit des nombreux succès remportés, on estime que les dépenses mondiales annuelles dans les pays en développement devraient être 2,4 billions d'USD plus élevées qu'elles ne le sont actuellement – une charge que le contribuable, déjà fortement sollicité, ne sera probablement pas enclin à supporter. Aussi imparfait que puisse être un partenariat public-privé, il n'existe actuellement aucun projet de développement dans le monde qui ne soit mis en œuvre en consultation et en coopération avec des investisseurs privés.

De plus, la croissance démographique et l'augmentation des revenus dans les pays en développement devraient entraîner une forte croissance de la classe moyenne mondiale, estimée à 5 milliards de personnes d'ici à 2030, entraînant une hausse significative du niveau de consommation. La demande en nourriture, en eau et en énergie devrait augmenter respectivement de 50 %, 40 % et 30 % d'ici à 2030. Il est temps d'agir.

 
  
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  Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ The role of the public sector can be fundamental to the achievement of Sustainable Development Goals (SDGs), and therefore needs to be encouraged. This is why I voted in favour of this text. The private sector generates 90% of jobs and income in developing countries. Investing in the development of the private sector can lessen dependency on aid, reduce poverty, increase tax income and create sustainable wealth. The support of local micro, small and medium-sized enterprises (SMMEs) should particularly be encouraged, to unleash their wealth creation potential. In fact, although they represent 60% of jobs in the developing countries, they are often burdened by heavy regulation, lack legal protection and frequently operate in the informal economy due their small size. However, support of the private sector must be carried out while making sure that it is properly regulated, transparent and respectful of all labour laws, and that the support is carried out without distorting local market conditions

 
  
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  Patrizia Toia (S&D), per iscritto. ‒ L'Unione europea deve adoperarsi per promuovere un'economia sostenibile nel mondo per garantire lo sviluppo di una società più equa e democratica. Occorre prestare particolare attenzione al modello cooperativo che da sempre promuove un'economia attenta e rispettosa dei territori in cui i soci fanno vivere l'impresa. Il movimento cooperativo gioca una parte attiva nei processi di cooperazione allo sviluppo e non possiamo non tenerne conto. È necessario valorizzare e sostenere uno sviluppo durevole nel rispetto degli usi e tradizioni locali nei settori del credito, alimentare, rurale, agroalimentare, della pesca, dell'ambiente, dell'acquicoltura e nel campo dei servizi sociali.

 
  
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  Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Poročilo o zasebnim sektorju in razvoju bi podprla, če bi glasovala.

Ko ponovno vrednotimo svoje čezmorske zaveze, vse bolj razpravljamo o vlogi zasebnega sektorja v razvoju. Kljub mnogim nespornim uspehom držav v razvoju te po ocenah potrebujejo za 2,4 bilijona USD/leto več sredstev, kot se sedaj porabijo na svetovni ravni – breme, ki ga že tako obremenjeni davkoplačevalci verjetno ne bodo pripravljeni prevzeti.

Čeprav je partnerstvo v obliki zasebne in javne pomoči nepopolno, na svetu ni nobenega pomembnega razvojnega projekta, ki ne bi vključeval posvetovanja in sodelovanja z zasebnimi vlagatelji.

Skupina na visoki ravni, ki svetuje generalnemu sekretarju Združenih narodov Ban Ki Munu v zvezi z razvojno agendo za obdobje po letu 2015, se je posvetovala z izvršnimi direktorji 250 podjetij iz 30 držav in sklenila, da je treba v strategije podjetij vključiti trajnost, da bi se izkoristile tržne priložnosti za trajnostno rast.

 
  
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  Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒

Hemos votado EN CONTRA de este Informe por diversos motivos. El informe da la bienvenida a la iniciativa de la Comisión que aprueba que el sector privado se convierta en un socio importante en el logro del desarrollo, mientras que reconoce que la inversión del sector privado en los países en desarrollo puede contribuir a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas (ODS).

Por otra parte, el informe pide a la Comisión que promueva el apoyo y la financiación del mecanismo de desarrollo orientada al sector privado, mezclando a éste con el sector público, con el fin de aprovechar los flujos privados con dinero público. Estos mecanismos están orientados al beneficio, no alineados con los principios de eficacia del desarrollo y no inciden en la reducción de la pobreza y en la consecución de los ODS.

 
  
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  Mylène Troszczynski (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport aborde la question de l'aide au développement de l'Afrique par le secteur privé.

Il précise que les conséquences de ces investissements devraient être une croissance pour le secteur privé. Cette croissance serait alors illimitée et c'est ce qui sous-tend tout le dossier.

La volonté du texte est en fait de copier le modèle économique européen en Afrique et je connais toutes les conséquences néfastes que cela peut entraîner.

Je suis donc la démarche de mon collègue Louis Aliot qui a voté contre en commission en votant contre à mon tour.

 
  
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  Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ Hemos votado en contra de este Informe por diversos motivos. El informe da la bienvenida a la iniciativa de la Comisión que aprueba que el sector privado se convierta en un socio importante en el logro del desarrollo, mientras que reconoce que la inversión del sector privado en los países en desarrollo puede contribuir a la consecución de los Objetivos de Desarrollo Sostenible de las Naciones Unidas (ODS).

Por otra parte, el informe pide a la Comisión que promueva el apoyo y la financiación del mecanismo de desarrollo orientada al sector privado, mezclando a éste con el sector público, con el fin de aprovechar los flujos privados con dinero público. Estos mecanismos están orientados al beneficio, no alineados con los principios de eficacia del desarrollo y no inciden en la reducción de la pobreza y en la consecución de los ODS.

 
  
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  Ramón Luis Valcárcel Siso (PPE), por escrito. ‒ El informe propone que el sector privado tome mayor protagonismo en los países en vías de desarrollo, ya que el sector privado es el responsable del 90 % de los empleos en países en vías de desarrollo y es por lo tanto un socio esencial en la lucha contra la pobreza. Es importante promover este sector en los países en vías de desarrollo por lo que considero necesario votar a favor de este informe.

 
  
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  Hilde Vautmans (ALDE), schriftelijk. ‒ Ik stemde voor dit verslag dat de doelstelling heeft om op nieuwe innovatieve manieren privaat kapitaal te mobiliseren in de strijd tegen armoede in de wereld, en dit als onderdeel van een bredere aanpak van de ontwikkeling.

 
  
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  Marie-Christine Vergiat (GUE/NGL), par écrit. ‒ La gestion de l'aide "publique" au développement (APD) est de plus en plus transférée au secteur privé en raison des sacro-saintes contraintes budgétaires. On livre de fait, de plus en plus, les politiques de développement aux intérêts d'investisseurs privés.

Bien que ce rapport demande notamment l'augmentation des investissements publics en matière d'éducation, d'accès à l'eau potable ou de santé, on pousse au développement des partenariats public-privé (PPP). On va même jusqu'à se féliciter de ces partenariats dans le domaine de l'éducation alors qu'ils doivent être "rentables" et qu'il n'est plus besoin de rappeler les dérives et les dommages de ces pratiques.

On va même jusqu'à proposer de renforcer l'aide technique publique au secteur privé pour la mise en place de ces PPP en préconisant de former les délégations de l'Union européenne sur place à cet effet.

Intégrer le secteur privé et la logique néolibérale dans la conception de l'aide publique au développement est pour le moins dangereux pour les pays bénéficiaires. Les États développés feraient mieux de remplir leurs engagements (0,7 % du RNB) vieux de 45 ans et toujours pas atteints, à de rares exceptions près.

J'ai voté contre ce rapport.

 
  
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  Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Este é mais um relatório destinado a ilibar as verdadeiras causas da pobreza e do desenvolvimento, que residem fundamentalmente na natureza do capitalismo e na sua essência predadora.

Ao fazer a apologia da iniciativa privada e das parcerias publico privadas, está no essencial a garantir a manutenção de um sistema que não é capaz de dar resposta às necessidades e aos anseios da humanidade.

Só o derrubamento deste sistema, com a sua substituição por uma economia mista, planificada e ao serviço do ser humano, ou seja, da sociedade socialista, será capaz de inverter este rumo de subdesenvolvimento, de guerra e de dependência.

 
  
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  Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Die im Bericht angestrebte Forderung und Einräumung einer wichtigeren Rolle von Marktkräften in der Entwicklungszusammenarbeit, um somit eine tatsächliche Veränderung für die Leute vor Ort zu schaffen, ist lobenswert.

 
  
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  Beatrix von Storch (EFDD), schriftlich. Die Anstrengungen des Berichterstatters zum Thema Privatsektor und Entwicklung erkenne ich an. Man erkennt durchaus sein stringentes Bemühen, den Schwerpunkt auf funktionierende Maßnahmen zu beschränken, die wirklich das Wohlergehen und den Wohlstand in den Entwicklungsländern positiv beeinflussen können. Namentlich geht es dem Berichterstatter also um private, marktwirtschaftliche und subsidiär durchgeführte Hilfsmaßnahmen.

Freilich, aber das ist dem Berichterstatter nicht vorzuwerfen, handelt es sich hierbei um ein Thema, das die EU nichts angeht. Welches soziale Verhalten wirtschaftliche Akteure an den Tag legen, sollte kein Thema für ein Parlament sein. Parlamente bestimmen den ordnungspolitischen Rahmen, innerhalb dessen sich wirtschaftliche Aktivität abspielt. Sonderregeln zum Thema Entwicklungshilfe setzen einen anderen, verschiedenen Rahmen, und den braucht es nicht. Schließlich müssen diese Regeln auch nicht durch die EU vereinheitlicht werden, sodass hier ein Verstoß gegen das Subsidiaritätsprinzip vorliegt. Es ist wirklich überflüssig, dass die Kommission hier Dinge wie eine Agenda für nachhaltige Entwicklung nach 2030 erdenkt.

 
  
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  Julie Ward (S&D), in writing. ‒ In the context of the Sustainable Development Goals signed last year at the UN, the global community has put forward an ambitious development agenda for the next 15 years with the intention of eliminating poverty and ensuring that no-one gets left behind. However, there is a gap between the amount of money that is needed in order to ensure this agenda is successful and the amount that the public sector is able to give in the form of development aid.

The private sector can and should play a greater role in development in order to help bridge the gap between national development aid and the needs of developing countries. However, the recent Panama papers revelations on the facilitation of tax avoidance practices by EU Member States have shown that there must be protections in place to stop the exploitation of developing countries by foreign investors.

Labour MEPs voted to support a report calling on greater investment from the private sector in international development but only if this investment is well regulated and serves development goals, chief amongst which is poverty reduction.

 
  
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  Anna Záborská (PPE), písomne. ‒ Vítam túto správu, pretože verím, že prosperita krajiny je výsledkom snahy jej občanov o lepší život. Európska únia má dnes nástroje, ktorými môže vo vzťahu k rozvojovým krajinám takéto snaženie ľudí významne podporiť. Vo vzájomnom dialógu ich postupne vylepšujeme, či už ide o oficiálnu rozvojovú pomoc, alebo odstraňovanie bariér v prístupe na európsky trh.

Do budúcnosti by sme však mohli venovať väčšiu pozornosť rodinnému podnikaniu. V tradičných kultúrach ide o formu ekonomickej aktivity, ktorá najviac pomáha prekonávať chudobu. Viacgeneračný rozmer rodinných podnikov je zároveň zárukou spoločenskej zodpovednosti a prispieva k trvalo udržateľnému rozvoju viac než iné formy podnikania.

 
  
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  Pablo Zalba Bidegain (PPE), por escrito. ‒ El sector privado tiene una importancia cada vez mayor en los países en desarrollo, donde ya es fuente de un 90 % de los empleos y, con ello, un pilar clave en la lucha contra la pobreza.

Por otro lado, este sector es de vital importancia para la inversión en producción agrícola sostenible, más aún si tenemos en cuenta las previsiones realizadas para 2050, cuando se espera que la población mundial alcance los 9 000 millones.

Teniendo en cuenta estos dos argumentos, confío en la vital importancia del sector privado y en que hay que potenciarlo, por lo que apoyo este informe.

 
  
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  Tomáš Zdechovský (PPE), písemně. ‒ Hlasoval jsem pro tuto zprávu, protože si jsem plně vědom potenciálu soukromého sektoru na dosahování dlouhodobě udržitelného rozvoje. Osobně se domnívám, že soukromý a veřejný sektor fungují nejefektivněji, když spolupracují na vytvoření zdravého prostředí pro investice, obchodní aktivity a budování základů pro hospodářský růst. Státy EU by měly i nadále podporovat rozvojové země při získávání vlastních zdrojů, např. prostřednictvím vnitrostátních daňových systémů, a v boji proti nezákonným finančním tokům a korupci, neboť kvůli nim tyto země přicházejí o několik set miliard EUR ročně. V tomto ohledu považuji za nezbytné ustanovení efektivních mezinárodních pravidel proti vyhýbání se daňovým povinnostem a daňovým únikům.

 
  
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  Milan Zver (PPE), pisno. ‒ Poročilo o zasebnem sektorju in razvoju, ki sem ga podprl, ugotavlja, da je vloga javnega sektorja bistvena za doseganje ciljev trajnostnega razvoja, saj ustvari kar 90 % delovnih mest.

Strinjam se s priporočilom, da je potrebno ustvariti pravni okvir in dolgoročno strategijo za ukrepe, ki dajejo večjo vlogo zasebnemu sektorju v državah v razvoju.

 
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