7.14. Objeción de conformidad con el artículo 105, apartado 4, del Reglamento: Garantía de la UE frente a las pérdidas del Banco Europeo de Inversiones en lo que se refiere a Bielorrusia (B8-0869/2016, B8-0870/2016)
Written explanations of vote
Isabella Adinolfi (EFDD), per iscritto. ‒ Con decisione n. 466\2014\UE, il Parlamento europeo e il Consiglio hanno concesso una forma di garanzia a favore della Banca europea per gli investimenti, per eventuali perdite dovute ad operazioni di sostegno a progetti d’investimento extraeuropei, per quanto riguarda la Bielorussia. Considerando però fattori quali, il carattere autocratico del governo bielorusso, le continue violazioni dei diritti umani e la limitata libertà di stampa, non può di certo avallarsi una modifica di simili accordi, dovendo gli stessi essere giustificati da valutazioni economiche, sociali ed ambientali. Per queste ragioni, ritenendo i valori democratici e i diritti umani condizioni indispensabili anche in ambito economico, ho espresso voto favorevole alle obiezioni contenute nella risoluzione.
Tim Aker (EFDD),in writing. – This Motion for a Resolution calls on the Commission to act, potentially interfering in a third country’s energy policy, UKIP is against such neo-colonialism and accordingly voted against.
Marina Albiol Guzmán (GUE/NGL), por escrito. ‒ El pasado mes de febrero el Consejo Europeo tomó la decisión de rebajar las sanciones que la Unión Europea impone a Bielorrusia. Como consecuencia, la Comisión presentó un acto delegado para que Bielorrusia pudiera beneficiarse de la financiación del Banco Europeo de Inversiones.
Algunos grupos políticos han decidido presentar en la Comisión de Presupuestos una objeción al acto delegado. Dado que la aprobación de esta objeción hubiera retrasado el levantamiento parcial de sanciones contra Bielorrusia, sanciones que rechazo por principios, he votado en contra de la objeción al acto delegado que pretende hacer efectivo este levantamiento parcial.
Louis Aliot (ENF), par écrit. ‒ Deux objections ont été émises à l'encontre de la décision de la Commission d'accorder une garantie de l'Union à la BEI (Banque européenne d'investissement) dans le cadre de ses investissements en Biélorussie.
Les motifs sont habituels: absence de démocratie dans ce pays, corruption des élites, etc. Ceci est juste. Et l'on peut comprendre que ces groupes politiques (EFDD, ALDE, Verts, etc.) rechignent à faire entrer la Biélorussie dans la liste des pays éligibles aux garanties financières de l'Union. Le risque est élevé pour les fonds de l'Union. Pour autant, les investissements de la BEI concernent le secteur privé, donc proche de la société civile.
Doit-on faire payer aux populations locales les errements de leurs gouvernants?
Peut-on se permettre d'utiliser l'argent du contribuable européen pour garantir des investissements dans un pays aussi corrompu?
J'ai donc décidé de m'abstenir sur ces objections.
Martina Anderson (GUE/NGL), in writing. ‒ I abstained on these two resolutions objecting to an EU guarantee on European Investment Bank loans to Belarus. The resolutions raised concerns over human rights abuses in Belarus, and I certainly share these concerns.
However, I supported an alternative resolution that does not object to the guarantee of loans on the grounds that Belarus has taken steps to improve the situation, in particular by the release of all political prisoners in August last year, which is an important first step. (This alternative resolution was not voted on).
If this improvement in the human rights situation does not continue then I believe the European institutions should reassess the loans guarantee.
Eric Andrieu (S&D), par écrit. ‒ J'ai décidé de ne pas suivre cette résolution. Nous devons éviter de nous impliquer dans des considérations de politiques intérieures des États membres riverains de la Biélorussie. Par ailleurs, il me paraît important de ne pas entraver la nouvelle stratégie d'"engagement critique" suivie par la Commission envers la Biélorussie.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), raštu. ‒ Apgailestauju, kad šis parlamentas nepritarė rezoliucijai, kuria buvo siekiama nesuteikti nei politinės, nei finansinės paramos Baltarusijos režimui prieš rugsėjo 11 d. rengiamus parlamento rinkimus. ES garantijų Europos investicijų bankui (EIB) ir jo finansuojamiems projektams nusipelno tos už ES ribų esančios valstybės, kurios laikosi elementarių tarptautinių standartų, visų pirma demokratijos, žmogaus teisių, aplinkosaugos srityse.
Europos Parlamentas būtų elgęsis nuosekliai, jei kolegų pateiktai rezoliucijai šiandien būtume pritarę ir atidėję ES garantijų EIB veiklai Baltarusijoje klausimo svarstymą ir balsavimą dėl rezoliucijos po rugsėjo mėnesio, prieš tai įvertinę, ar rinkimai Baltarusijoje buvo laisvi ir demokratiški, ar buvo laikomasi ESBO reikalavimų ir rekomendacijų, ar Baltarusija vykdo kitas tarptautines sutartis ir konvencijas, prie kurių yra prisijungusi.
Sankcijų Baltarusijai panaikinimas šių metų vasario mėnesį suteikė vilties, kad ES kaimynystėje esančios Baltarusijos valdžia įvertins šio sprendimo reikšmę. Deja, apgailestaudama turiu pasakyti, kad Baltarusija nebendradarbiauja su ES ir jos valstybėmis narėmis, tęsia Rusijos finansuojamos Astravo atominės jėgainės statybas, pažeisdama Espo ir Orhuso konvencijas.
Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ Ces deux objections visent à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. Il s'agit donc de faire entrer ce pays dans la liste de ceux éligibles à la garantie de l'Union contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI. J'ai donc voté contre cette résolution.
Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ I voted in favour of the EFDD resolution as I believe that these matters should be properly considered by the full Parliament.
Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ Cette objection vise à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union à la Banque européenne d'investissements (BEI) en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie.
Les arguments invoqués sont l'absence de liberté de la presse en Biélorussie, les scores suspects du président Loukachenko lors de l'élection présidentielle de 2015, etc.
Même si l'on ne peut nier ces faits, il faut se rappeler que des garanties de ce type ont été octroyées pour des pays n'étant pas connus pour être des modèles démocratiques comme le Qatar. Il est de plus absurde de punir les peuples pour la corruption de leurs dirigeants, en ce que la BEI ne réalise que des financements d'entreprises privées. Je me suis donc opposé à cette objection.
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ J'ai approuvé cette objection à la décision de la Commission d'octroyer la garantie de l'Union à la BEI pour des opérations de financement en Biélorussie. Cette dernière n'a pas rencontré les principales attentes en matière des droits de l'homme ces derniers mois et les élections générales prévues le 11 septembre prochain seront un test décisif en la matière.
Il est donc prématuré d'accorder la garantie de l'Union à ce stade
Brando Benifei (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore dell'obiezione alla concessione di una garanzia dell'Unione alla BEI in caso di perdite nei confronti della Bielorussia. Vista il perdurare di una situazione di grave violazione dei diritti umani e dello Stato di diritto, ho ritenuto opportuno sostenere il testo che solleva una obiezione legittima alla Commissione. Non sarà possibile garantire gli investimenti BEI nel paese finché non saranno stati fatti passi avanti significativi in termini economici, sociali, ambientali e politici e in particolare per quanto riguarda la democrazia in Bielorussia.
Xabier Benito Ziluaga (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de estas resoluciones, mediante las cuáles se objeta a la decisión de la Comisión de aportar una garantía a las inversiones del Banco Europeo de Inversiones en Bielorrusia. Según los tratados, el respeto a los derechos humanos es una condición para conceder este tipo de inversiones. Sin embargo, es claro que existen en Bielorrusia violaciones sistemáticas de los derechos humanos, baste recordar que se trata del único país europeo en el que se sigue aplicando la pena de muerte. Por ello considero pertinentes las objeciones.
Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ Les deux objections présentées visent à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie.
On veut ainsi faire entrer la Biélorussie dans la liste des pays éligibles à la garantie de l'Union contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI.
Les arguments avancés consistent à indiquer que la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale (ce qui est certes vrai, mais que pouvons-nous dire alors de la démocratie au sein de l'UE?), mais, pourtant, je considère qu'il ne faut pas pénaliser les peuples pour les comportements de ses dirigeants, d'autant que la BEI ne réalise que des financements d'entreprises privées. J'ai donc voté contre.
Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ La risoluzione oggetto di voto presenta alcuni passaggi che non con condivido pienamente, non ho quindi inteso sostenerla col mio voto.
Malin Björk (GUE/NGL), skriftlig. ‒ Jag har lagt ner rösten
Resolutionen vill stoppa kommissionens delegerade beslut om en EU-garanti till Europeiska investeringsbanken mot förluster vid lån och lånegarantier till projekt utanför EU, vad gäller Vitryssland. Det är mycket viktigt att resolutionen uttrycker en stor oro över Vitrysslands brist på respekt för de mänskliga rättigheterna, rättsstatsprincipen och de demokratiska principerna. Men genom att lätta på delar av sanktionerna och öppna upp för en parlamentarisk dialog kan man i detta läge förhoppningsvis bidra till ökad demokratisering och bättre politisk och ekonomisk utveckling för landets invånare. Sammantaget väljer jag därför att lägga ner min röst.
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ El 15 de febrero de 2016, el Consejo decidió que la Unión no continuaría aplicando las importantes medidas restrictivas, en concreto aquellas que aplicaba a 170 personas y tres compañías en Bielorrusia, a raíz de la puesta en libertad de todos los prisioneros políticos que seguían encarcelados, tal y como solicitó la Unión. Sin embargo, desde que se tomó la decisión de levantar las sanciones, la situación general de los derechos humanos en el país ha mejorado solo de forma muy limitada y, hasta la fecha, las autoridades bielorrusas han ignorado todas las expectativas principales de la mencionada reunión del Consejo.
Las próximas elecciones generales del 11 de septiembre, ofrecen una oportunidad a Bielorrusia para poner fin a sus arraigadas prácticas de elecciones fraudulentas y constituyen una prueba decisiva para comprobar la auténtica voluntad de las autoridades de reconciliarse con sus propios ciudadanos y de cooperar de forma constructiva con la Unión.
Aunque es importante garantizar las inversiones del BEI frente a posibles pérdidas en operaciones de financiación de proyectos en terceros países, no parece muy oportuno, en estos momentos, conceder una garantía de tal tipo para el caso de Bielorrusia, por lo que me he abstenido en este voto.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šios rezoliucijos, kuria Europos Parlamentas siekia užblokuoti Europos investicinio banko (EIB) ir Baltarusijos bendradarbiavimą laikotarpyje prieš rinkimus Baltarusijoje, nes tai būtų netinkama ES žinia, kurią išnaudotų režimas. 2016 m. rugsėjo 11 d. numatyti visuotiniai rinkimai suteikia galimybę Baltarusijai nutraukti ilgametę nesąžiningų rinkimų praktiką ir šie rinkimai gali tapti lemtingu patikrinimu, ar Baltarusijos valdžios institucijos tikrai nori susitaikyti su savo piliečiais ir konstruktyviai bendradarbiauti su Europos Sąjunga.
Rezoliucijoje atkreipiamas dėmesys į tai, kad, priešingai nei buvo tikėtasi, tvirtinant Tarybos išvadas dėl Baltarusijos, kuriomis buvo panaikinta didžioji dauguma sankcijų režimui, Minskas nepadarė jokių sisteminių reformų, t. y. ignoruoja ODIHR rekomendacijas ateinantiems rinkimams, nereabilitavo politinių kalinių, nebendradarbiauja su JT specialiuoju pranešėju, nepaskelbė moratoriumo mirties bausmei ir, priešingai, šiemet jau atliko arba priėmė teismuose tris mirties nuosprendžius. Taip pat Minskas nebendradarbiauja su ES ir jos valstybėmis ir toliau tęsia Astravo AE statybas, pažeidžiant Espo ir Orhuso konvencijas ir finansuojant Rusijai. Parlamentas ragina Komisiją užtikrinti, kad Astravo branduolinė elektrinė negalėtų būti finansuojama Europos investicijų bankui suteikiamos ES garantijos lėšomis ir prašo įvertinti, ar tokia garantija yra suderinama su ES sankcijomis Rusijos Federacijai.
Marie-Christine Boutonnet (ENF), par écrit. ‒ S'il est vrai que la Biélorussie ne constitue pas un exemple de démocratie, la BEI ne finance des prêts qu'à des entreprises privées. Par conséquent, ne pas les garantir revient à punir ce peuple opprimé une seconde fois.
Je me suis donc abstenue sur cette objection.
Lynn Boylan (GUE/NGL),in writing. – I abstained on these two resolutions objecting to an EU guarantee on European Investment Bank loans to Belarus. The resolutions raised concerns over human rights abuses in Belarus, and I certainly share these concerns.
However, I supported an alternative resolution that does not object to the guarantee of loans on the grounds that Belarus has taken steps to improve the situation, in particular by the release of all political prisoners in August last year, which is an important first step. (This alternative resolution was not voted on.)
If this improvement in the human rights situation does not continue then I believe the European institutions should reassess the loans guarantee.
Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Cette objection vise à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement (BEI) en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. La Commission souhaitait, en effet, que la Biélorussie entre dans la liste des pays éligibles à la garantie de l'Union contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI. Les partisans de cette objection ne désirent pas accorder de garantie à des pays dans lesquels la démocratie n'est pas toujours respectée et dans lesquels les droits de l'homme sont régulièrement bafoués.
Si je ne conteste pas les critiques émises à l'égard du gouvernement biélorusse en matière de respect de la démocratie, j'ai tout de même voté contre cette objection, dans la mesure où la BEI n'investit que dans des sociétés privées. Or, je considère que notre conception de la démocratie ne doit pas interférer dans les relations économiques qui nous lient à la Biélorussie.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Dopo attenta riflessione e discussione in aula ho dato il mio voto positivo alla proposta di risoluzione relativa alla Banca europea per gli investimenti in caso di perdite relative a operazioni di finanziamento a sostegno di progetti di investimento al di fuori dell'Unione, per quanto riguarda la Bielorussia, sulla scorta delle seguenti considerazioni della proposta, che faccio mie:
- la Bielorussia è tuttora uno Stato centralizzato e autocratico sotto stretto controllo del Presidente;
- le violazioni dei diritti umani sono ancora diffuse e sistematiche;
- i difensori dei diritti umani e i giornalisti sono monitorati e spesso molestati
- i giornalisti sono spesso detenuti, oggetto di persecuzioni e sanzionati;
- ritengo che la decisione delegata non tenga adeguatamente conto di tutti gli aspetti relativi al rispetto dei diritti umani, delle libertà fondamentali e della democrazia in Bielorussia;
- rammento l'importanza che attribuisce ai miglioramenti in materia di rispetto dei diritti umani, della democrazia e dello Stato di diritto in Bielorussia.
Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I abstained on these two resolutions objecting to an EU guarantee on European Investment Bank loans to Belarus. The resolutions raised concerns over human rights abuses in Belarus, and I certainly share these concerns.
However, I supported an alternative resolution that does not object to the guarantee of loans on the grounds that Belarus has taken steps to improve the situation, in particular by the release of all political prisoners in August last year, which is an important first step. (This alternative resolution was not voted on.)
If this improvement in the human rights situation does not continue then I believe the European institutions should reassess the loans guarantee.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ La decisione delegata della Commissione europea del 15 aprile 2016 modifica la decisione 466/2014/UE del Parlamento europeo e del Consiglio sulla concessione di una garanzia dell'Unione alla Banca europea per gli investimenti in caso di perdite in operazioni di finanziamento di progetti di investimento al di fuori dell'Unione, nel caso della Bielorussia. Conformemente all'articolo 105 paragrafo 4 del regolamento del Parlamento europeo, i colleghi Marco Zanni e Marco Valli hanno presentato una proposta di risoluzione intesa a sollevare delle obiezioni alla decisione delegata della Commissione poiché essa non tiene adeguatamente conto di tutti gli aspetti relativi al non rispetto dei diritti umani, delle libertà fondamentali e della democrazia in Bielorussia. Ho quindi votato a favore delle due risoluzioni presentate.
Λευτέρης Χριστοφόρου (PPE),γραπτώς. – Στηρίζουμε την έκθεση, καθώς θεωρούμε ότι η χορήγηση εγγύησης της ΕΕ στην παρούσα φάση θα ήταν άκαιρη και πρόωρη.
Κώστας Χρυσόγονος (GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Η ένσταση, σύμφωνα με το άρθρο 105 παρ. 4 για τη χορήγηση εγγύησης της ΕΕ στην Ευρωπαϊκή Τράπεζα Επενδύσεων για την κάλυψη ζημιών όσον αφορά τη Λευκορωσία, αποτέλεσε μια προσπάθεια συντηρητικών ομάδων που συνεχίζουν να θεωρούν πως η επιβολή μέτρων λιτότητας στους πολίτες, αποτελεί ένα αποτελεσματικό μέτρο συμμόρφωσης των κρατών. Η λογική αυτή πρέπει να σταματήσει και για αυτό το λόγο ψήφισα αρνητικά ως προς την ένσταση.
Salvatore Cicu (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato negativamente l’obiezione sulla “concessione di una garanzia dell'Unione alla Banca europea per gli investimenti in caso di perdite nei confronti della Bielorussia” perché ritengo che l’obiezione non sia sostenibile, mentre mi sono astenuto sull’altro provvedimento che riporta la stessa dicitura perché ritengo che la tematica richieda un ulteriore approfondimento.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato contro questa risoluzione poiché mi trovo in forte disaccordo con essa. Infatti, nel testo della risoluzione vengono solo citati gli aspetti negativi del paese, senza considerare però gli enormi sforzi compiuti dalla Bielorussia per far cessare le violazioni dei diritti umani e stabilire una giusta democrazia. Io personalmente sono stato diverse volte in Bielorussia negli ultimi anni e ho potuto notare con piacere che sono stati fatti dei grandi passi in avanti in materia di rispetto dei diritti umani e sono stati inoltre rilasciati numerosi oppositori politici. Pertanto sono convinto che l'Unione non debba smettere di aiutare la Bielorussia proprio ora che ha le potenzialità e la volontà di ristabilire l'ordine nel paese e di avvicinarsi al modello europeo. Sono convinto che l'aiuto dell'Unione possa giovare notevolmente al paese e di conseguenza garantire la sicurezza dei cittadini che risiedono lì. Per questi motivi ho deciso di votare contro questa risoluzione.
Deirdre Clune (PPE), in writing. ‒ I supported this and noted no objections.
Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ El pasado mes de febrero el Consejo Europeo tomó la decisión de rebajar las sanciones que la Unión Europea impone a Bielorrusia. Como consecuencia, la Comisión presentó un acto delegado para que Bielorrusia pudiera beneficiarse de la financiación del Banco Europeo de Inversiones.
Algunos grupos políticos han decidido presentar en la Comisión de Presupuestos una objeción al acto delegado. Dado que la aprobación de esta objeción hubiera retrasado el levantamiento parcial de sanciones contra Bielorrusia, sanciones que rechazo por principios, he votado en contra de la objeción al acto delegado que pretende hacer efectivo este levantamiento parcial.
Edward Czesak (ECR), na piśmie. ‒ W lutym 2016 roku Rada zadecydowała o przyspieszeniu wprowadzenia listy 29 środków mających na celu wzmocnienie zaangażowania Unii Europejskiej na Białorusi. Jednym z nich jest przegląd podejścia Unii do pożyczek udzielanych przez Europejski Bank Inwestycyjny. Ocena sytuacji gospodarczej, politycznej oraz dotyczącej środowiska naturalnego doprowadziła do wniosku, iż są podstawy do uznania Białorusi za kraj mogący korzystać z finansowania EBI przy gwarancjach unijnych, co też byłoby praktycznym skutkiem zastosowania aktu delegowanego. Pomimo optymistycznej oceny KE są podstawy aby stwierdzić, że białoruskie władze nie poprawiły sytuacji w dziedzinie praw człowieka i wolności politycznych, zaś zaplanowane na wrzesień 2016 roku wybory pokażą, czy można liczyć na jakiekolwiek zmiany w tym obszarze. Niemniej jednak, biorąc pod uwagę wszystkie aspekty – m.in. istniejące podstawy do uznania prawa Białorusi – zagłosowałem za.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I abstained on this resolution, as I believe that the EU should give no political message prior to the upcoming general elections in Belarus, in order not to impinge upon the election and impede the Commission’s critical engagement plan.
Gérard Deprez (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de cette objection, car il est selon moi inopportun et prématuré d'accorder la garantie de l'Union à ce stade. J'estime, en effet, qu'avant d'octroyer cette garantie à la Biélorussie, il est indispensable d'attendre les résultats des élections du 11 septembre 2016. Ces élections peuvent permettre à la Biélorussie de démontrer sa volonté de mettre un terme à sa tradition de fraude électorale. Cela pourra également permettre de mesurer la volonté réelle des autorités biélorusses de se réconcilier avec leurs citoyens et de nouer un dialogue constructif avec l'Union. Nos arguments n'ont pas convaincu et notre objection a été rejetée en plénière. Je le regrette.
Mireille D'Ornano (ENF), par écrit. ‒ Cette objection vise à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie.
Il s'agit donc de faire entrer ce pays dans la liste de ceux éligibles à la garantie de l'UE contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI. Le motif est que la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, que les droits de l'homme n'y sont pas respectés et que la liberté de la presse est inexistante.
Toutefois, la BEI ne réalisant que des financements d'entreprises privées, il n'est pas nécessaire d'infliger une double peine au peuple biélorusse déjà victime de la corruption de ses dirigeants. Aussi ai-je voté contre cette objection.
Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ Гласувах против този файл. Въпреки че има някои добри аргументи за подпомагане на Беларус и допълнително ангажиране чрез икономически и политически диалог и структурирана помощ, положението в Беларус не е толкова прогресивно, както е посочено в доклада на Комисията.
По отношение на икономическите показатели, Беларус се счита за допустима за финансиране от ЕИБ. Въпреки това, има изобилие от доказателства, които сочат, че властите не са подобрили своите стандарти в областта на правата на човека и политическите свободи. По мое мнение, само с предстоящите избори, които трябва да се проведат през септември 2016 г., нещата ще се изяснят.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Διαφωνούμε επί της αρχής με την πρακτική της χρηματοδότησης τρίτων χωρών από την ΕΕ με διάφορα από τα εργαλεία τα οποία κατέχει.
Η επιλεκτική ευαισθησία για τυχών παραβιάσεις ανθρωπίνων δικαιωμάτων δεν μπορεί παρά να εξυπηρετεί πολιτικές σκοπιμότητες που εξυπηρετούν συμφέροντα συγκεκριμένων κρατών μελών, αλλά και υπερατλαντικών «συμμάχων»
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ A Bielorrússia é um Estado centralizado e autocrático, submetido a um controlo rigoroso pelo seu Presidente e, não obstante algumas medidas positivas adotadas desde agosto de 2015, continuam a cometer-se violações dos direitos humanos de uma forma generalizada e sistemática. Os defensores dos direitos humanos e os jornalistas são controlados e frequentemente assediados, itens que esta decisão não toma devidamente em consideração e que, por isso, merece o meu voto desfavorável.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ Estamos perante o conhecido rosário de argumentos contra a soberania da Bielorrússia e as escolhas do seu povo.
Esta resolução repete todo o manual de ingerência da UE, disputando com a Rússia, os EUA e a NATO a influência sobre este país.
Desta feita, objeta-se um ato delegado da Comissão Europeia que concede uma garantia da UE ao Banco Europeu de Investimento em caso de perdas resultantes de operações de financiamento a favor de projetos de investimento.
Considera-se que a proposta da Comissão Europeia não toma devidamente em consideração todos os aspetos relativos ao respeito dos direitos humanos, das liberdades fundamentais e da democracia na Bielorrússia, mesmo depois do Conselho, em 15 de Fevereiro de 2016, ter decidido que a UE deixaria de aplicar as principais medidas restritivas.
Apesar das diferenças que, obviamente, nos separam do governo de Minsk, não apoiamos esta resolução, que não só não reconhece a soberania do povo bielorrusso na escolha do poder político que governa o país e as suas opções económicas, sociais e culturais, como apoia a ingerência direta nos seus assuntos internos, violando um dos princípios básicos do Direito Internacional.
Cabe a cada povo definir, sem ingerências, o sistema político, económico e social que melhor satisfaz os seus interesses e aspirações.
Raffaele Fitto (ECR), per iscritto. ‒ Ho espresso voto favorevole alla risoluzione inerente la concessione di una garanzia dell'Unione alla Banca europea per gli investimenti in caso di perdite relative ad operazioni di finanziamento a sostegno di progetti di investimento in favore della Bielorussia. Sul punto, ritengo che le prossime elezioni generali dell'11 settembre 2016 rappresentino un'opportunità per la Bielorussia di porre fine alla prassi interna consolidata di brogli durante le elezioni, oltre a costituire un passo importante per valutare la reale volontà delle autorità bielorusse di riconciliarsi con i propri cittadini e impegnarsi seriamente in un dialogo costruttivo con l'UE.
Luke Ming Flanagan (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Διαφωνώ επί της αρχής με την πρακτική της χρηματοδότησης τρίτων χωρών από την ΕΕ με διάφορα από τα εργαλεία τα οποία κατέχει.
Όμως, η ψήφος μου είναι αρνητική καθώς η επιλεκτική ευαισθησία για τυχών παραβιάσεις ανθρωπίνων δικαιωμάτων δεν μπορεί παρά να εξυπηρετεί πολιτικές σκοπιμότητες που εξυπηρετούν συμφέροντα συγκεκριμένων κρατών μελών αλλά και υπερατλαντικών «συμμάχων».
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ The AFET Working Group decided not to follow the submitted Resolution(s) objecting to the Commission Delegated Act so as not to get involved in domestic political considerations of Member States bordering on Belarus, on the one hand; and not to impede the new strategy of ‘critical engagement’ followed by the Commission towards Belarus, on the other hand. I followed the position of the AFET Working Group.
Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ Me he abstenido en la objeción referente a proveer la garantía de la Unión frente a las pérdidas del BEI en lo que se refiere a Bielorrusia, porque pese a ser cierto y evidente que dista mucho de ser un país homologable a la Unión, no podemos penalizar a toda una población por el mal gobierno que ella misma sufre. Recordamos que se trata de un gobierno autocrático y centralista, Tal como lo define la propia Comisión. Sin embargo, debemos tener en cuenta que Bielorrusia ha iniciado un proceso esperanzador en los últimos dos años, entre ellos su participación en la última revisión periódica de los derechos humanos de las Naciones Unidas, y lo ha hecho, en parte, gracias a su proceso de apertura hacia Europa. La Unión debe seguir ejerciendo su liderazgo en el marco del Eastern Partnership y siendo referente de los valores de paz, solidaridad y respeto por los principios humanistas que la crearon.
Elena Gentile (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore dell’Obiezione presentata a norma dell’articolo 105, paragrafo 4, del regolamento sulla decisione delegata della Commissione del 15 aprile 2016 che modifica l’allegato III della decisione n. 466/2014/UE del PE e del Consiglio sulla concessione di una garanzia dell’Unione europea alla Banca europea per gli investimenti (BEI) in caso di perdite relative ad operazioni di finanziamento a sostegno di progetti di investimento al fi fuori dell’Unione, per quanto riguarda nello specifico la Bielorussia.
In vista delle prossime elezioni politiche, infatti, risulterebbe prematura la concessione di una garanzia dell’UE alla BEI per finanziare la costruzione della centrale nucleare di Ostrovets, di fatto finanziata dalla Federazione Russa, in violazione delle convenzioni di Espoo e Aarhus delle Nazioni Unite, oltre a porre dubbi circa la conformità di tale garanzia con le sanzioni UE nei confronti della Russia.
E’ inoltre fondamentale sottolineare che, dopo la revoca delle sanzioni imposte alla Bielorussia, la situazione dei diritti umani resta precaria, avendo la Bielorussia disatteso tutte le aspettative del Consiglio europeo circa il miglioramento dei diritti civili e politici, della libertà di associazione e di riunione, l’abolizione della pena di morte e l’avvio di un processo di riconciliazione con i propri cittadini e l’UE.
Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Es gilt, den Verlauf der bevorstehenden Wahlen in Belarus am 11. September zu verfolgen. Eine Voraussetzung für die Wiederherstellung des parlamentarischen Austauschs zwischen EU und Belarus ist, dass auch der politischen Opposition der gleiche Zugang zu den parlamentarischen Wahlen ermöglicht wird. Ich erwarte eine freie, demokratische und transparente Wahl.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de estas resoluciones, mediante las cuáles se objeta a la decisión de la Comisión de aportar una garantía a las inversiones del Banco Europeo de Inversiones en Bielorrusia. Según los tratados, el respeto a los derechos humanos es una condición para conceder este tipo de inversiones. Sin embargo, es claro que existen en Bielorrusia violaciones sistemáticas de los derechos humanos, baste recordar que se trata del único país europeo en el que se sigue aplicando la pena de muerte. Por ello considero pertinentes las objeciones.
Marian Harkin (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of the above resolution. I support the report’s assertion the forthcoming general elections in Belarus on 11 September 2016 represent an opportunity for Belarus to end its long-standing practice of fraudulent elections, and constitutes a decisive test with which to measure the genuine will of the Belarusian authorities to reconcile with their own citizens and to engage constructively with the EU. I also support the call to ensure that an EU guarantee to the European Investment Bank could not be used to finance the Ostrovets nuclear power plant, and to assess whether such a guarantee is in compliance with the EU sanctions imposed on the Russian Federation.
Cătălin Sorin Ivan (S&D), în scris. ‒ Abținere, adică nu susțin rezoluția care se opune actului delegat.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasovao sam za prijedlog rezolucije podnesen u skladu s člankom 105. stavkom 4. Poslovnika o Delegiranoj odluci Komisije od 15. travnja 2016. kojom se mijenja Prilog III Odluke br. 466/2014/EU Europskog parlamenta i Vijeća kojom se dodjeljuje jamstvo EU-a Europskoj investicijskoj banci protiv gubitaka u okviru financijskih operacija kojima se podržavaju ulagački projekti izvan Unije, u pogledu Bjelarusa, s obzirom da u toj zemlji postoje još brojni nedostaci u pogledu izgradnje demokratskog društvenog sustava, poštivanja ljudskih prava, neovisnosti medija, temeljnih sloboda i vladavine prava. Stoga podržavam namjeru da delegirana odluka kojom se EIB-u dodjeljuju jamstva protiv gubitaka u okviru financijskih operacija u pogledu ulagačkih projekta u Bjelarusu, ne stupi na snagu. Prilikom takvih odluka potrebno je uzeti u obzir gospodarske i političke kao i društvene kriterije.
Jean-François Jalkh (ENF), par écrit. ‒ Ces deux objections (l'une du groupe EFDD, l'autre des groupes ECR, ALDE et Verts) visent à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. Il s'agit donc de faire entrer ce pays dans la liste de ceux éligibles à la garantie de l'UE contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI.
Les arguments avancés sont attendus: la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, les droits de l'homme n'y sont pas respectés, le président Loukachenko y a été réélu en 2015 avec 84 % des voix, la liberté de la presse est inexistante, etc.
Cependant, si l'on ne peut nier ces faits et s'il paraît surprenant d'accorder une garantie à ce type de pays (à l'instar du Qatar, par exemple), la BEI ne réalise que des financements d'entreprises privées. Il n'est probablement pas nécessaire de punir les peuples (ce qui constituerait en quelque sorte une double peine) pour la corruption de leurs dirigeants, ainsi que la BEI qui pourrait trouver en Biélorussie des possibilités d'investissement. C'est ce qui m'a fait m'abstenir lors de ce vote.
Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ Je me suis abstenu sur l'objection à la décision de la Commission sur la garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. Dans le contexte des élections à venir en Biélorussie, un fort soutien à ce texte aurait pu être interprété et instrumentalisé comme un soutien au président biélorusse Loukachenko, accusé de graves violations des droits de l'homme dans son pays.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J'ai décidé de voter contre le texte EFDD et de m'abstenir sur la proposition des Verts-ALDE-ECR concernant cette objection à la décision déléguée de la Commission d'accorder une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés hors de l'Union, en ce qui concerne la Biélorussie.
Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Der Entschließungsantrag über eine Garantieleistung der EU für etwaige Verluste der Europäischen Investitionsbank fordert, dass die EIB keine Finanzierungen für Projekte in Weißrussland zulässt. Begründet wird diese Forderung mit einer angeblich nur marginalen Verbesserung der bestehenden Menschenrechtsfragen. Es ist wirtschaftlich unvertretbar, Investitionsmöglichkeiten der EIB in Weißrussland zu untersagen, insbesondere unter Berücksichtigung der Tatsache, dass eine Aufhebung der Sanktionen bereits erfolgt ist. Daher stimme ich gegen diesen Entschließungsantrag.
Stelios Kouloglou (GUE/NGL), in writing. ‒ On 15 February 2016 the Council decided to ease the restrictive measures against Belarus. The aim is to let Belarus benefit from loans of the European Investment Bank. Since I am of the opinion that we should grant Belarus access to loans, I voted against this objection of rule.
Gilles Lebreton (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté contre cette résolution, car elle vise à punir des peuples pour la corruption de leurs dirigeants.
Marine Le Pen (ENF), par écrit. ‒ J'ai voté contre l'objection formulée en vertu de l'article 105, paragraphe 4: garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations en faveur de la Biélorussie. Il s'agit de faire entrer ce pays dans la liste de ceux éligibles à la garantie de l'UE contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI.
Les arguments avancés sont attendus: la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, les droits de l'homme n'y sont pas respectés, le président Loukachenko y a été réélu en 2015 avec 84 % des voix, la liberté de la presse est inexistante, etc.
Cependant, si l'on ne peut nier ces faits et s'il paraît cocasse d'accorder une garantie à ce type de pays, la BEI ne réalise que des financements d'entreprises privées. Il n'est probablement pas nécessaire de punir les peuples (ce qui constituerait en quelque sorte une double peine) pour la corruption de leurs dirigeants, ainsi que la BEI qui pourrait trouver en Biélorussie des possibilités d'investissement.
Philippe Loiseau (ENF), par écrit. ‒ Le texte est composé de deux objections (une du groupe EFDD et l'autre commune des groupes ECR, ALDE et Verts) et a pour objet de rejeter la décision de la Commission qui accorde des garanties de l'UE à la Banque européenne d'investissement (BEI) pour protéger ses projets en Biélorussie. Cette garantie de l'UE concerne un certain nombre de pays et rassure la BEI dans les investissements qu'elle engage.
Les objections déposées par les groupes politiques avancent que la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, que les droits de l'homme sont bafoués, que la liberté de la presse est inexistante, etc. Cependant, ces arguments peuvent être contrecarrés par le fait que des pays encore moins démocratiques, comme le Qatar, bénéficient de la garantie de l'UE.
Les peuples ne doivent pas être nécessairement punis pour leurs dirigeants et dans le cas de la Biélorussie, la BEI finance uniquement des entreprises privées.
Par conséquent, je me suis abstenu.
Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ El pasado mes de febrero el Consejo Europeo tomó la decisión de rebajar las sanciones que la Unión Europea impone a Bielorrusia. Como consecuencia, la Comisión presentó un acto delegado para que Bielorrusia pudiera beneficiarse de la financiación del Banco Europeo de Inversiones.
Algunos grupos políticos han decidido presentar en la Comisión de Presupuestos una objeción al acto delegado. Dado que la aprobación de esta objeción hubiera retrasado el levantamiento parcial de sanciones contra Bielorrusia, sanciones que rechazo por principios, he votado en contra de la objeción al acto delegado que pretende hacer efectivo este levantamiento parcial.
Petr Mach (EFDD), písemně. ‒ Hlasoval jsem pro námitku vůči poskytování záruk Evropské unie za investice Evropské investiční banky v Bělorusku. Jsem obecně proti tomu, aby daňový poplatník ručil za investice politiků.
Ivana Maletić (PPE), napisan. ‒ Bjelorusija je trenutačno jedina predsjednička država u Europi čiji je predsjednik Aleksandar Lukašenko na izborima 2015. godine osvojio svoj peti uzastopni mandat. Također, jedina je država u Europi koja provodi smrtnu kaznu. Bjeloruske vlasti do sada nisu ispunile niti jedno od glavnih očekivanja koje su dogovorile na sastanaku s Vijećem EU-a. Predstojeći nacionalni izbori trebaju se provesti u skladu s međunarodno priznatim standardima, moraju se poštovati građanska i politička prava bivših političkih zatvorenika, sloboda udruživanja i okupljanja, puna suradnja s izvjestiteljem UN-a o stanju ljudskih prava, ukidanje smrtne kazne, zadovoljavanje nuklearnih sigurnosnih standarada i slično.
S obzirom da odluka ne vodi dovoljno računa o svim aspektima povezanim s poštovanjem ljudskih prava, temeljnih sloboda i demokracije u Bjelorusiji i da se izmjene trebaju temeljiti na stvarnoj i djelotvornoj ocjeni koja uključuje gospodarske, socijalne, okolišne i političke aspekte, a posebno one koji se odnose na demokraciju, ljudska prava i temeljne slobode, nisam podržala ovu rezoluciju.
Vladimír Maňka (S&D), písomne. ‒ EP uznesením zamietol delegovaný akt Komisie, ktorým sa mali uvoľniť reštrikcie voči Bielorusku a mali sa mu poskytnúť záruky EÚ pri pôžičkách z Európskej investičnej banky. Vzhľadom na to, že Bielorusko je naďalej centralizovaným autokratickým štátom, ktorý nerešpektuje ľudské práva a slobody, naďalej v legislatíve zachováva a vykonáva trest smrti a nedostatočne plní hospodárske, sociálne a environmentálne požiadavky, podporil som návrh na zamietnutie delegovaného rozhodnutia Komisie.
Νότης Μαριάς (ECR), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω την πρόταση ψηφίσματος σχετικά με την κατ’ εξουσιοδότηση απόφαση της Επιτροπής, της 15ης Απριλίου 2016, για την τροποποίηση του παραρτήματος III της απόφασης αριθ. 466/2014/EE του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου και του Συμβουλίου, με την οποία χορηγείται εγγύηση της EE στην Ευρωπαϊκή Τράπεζα Επενδύσεων για την κάλυψη ζημιών από χρηματοδοτικές δραστηριότητες που υποστηρίζουν επενδυτικά έργα εκτός της Ένωσης, όσον αφορά τη Λευκορωσία, διότι δεν είναι πλήρης και τεκμηριωμένη.
Jiří Maštálka (GUE/NGL), písemně. ‒ Dnes jsme hlasovali o delegovaném aktu Komise, kterým se schvaluje přístup Běloruska na seznam států mimo členy EU, které by měly možnost čerpat finanční podporu na realizaci některých svých projektů prostřednictvím Evropské investiční banky. Osobně toto rozhodnutí vítám, domnívám se, že nám otvírá dveře pro další spolupráci a dialog. Ve společné rezoluci vyjádřilo několik frakcí námitku proti tomuto delegovanému aktu Komise. Já k těmto poslancům nepatřím, proto jsem hlasoval proti takové námitce a Komisi podpořil.
Georg Mayer (ENF), schriftlich. ‒ Der Entschließungsantrag fordert, dass keine Finanzierungen für Projekte in Weißrussland zur Verfügung gestellt werden. Angesichts dessen, dass die Sanktionen gegen Weißrussland aus gutem Grund aufgehoben wurden und die Europäische Investitionsbank (EIB) den Auftrag hat, die wirtschaftliche Situation der Bürger in den Staaten zu verbessern, ist mir der Grund für diesen Antrag nicht nachvollziehbar.
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ La résolution est relative à la décision de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie.
Les groupes Verts et EFDD s'opposent à cet acte délégué en ce qui concerne la Biélorussie du fait de la situation des droits de l'homme dans le pays. Ce prétexte paraît un peu faible au regard de l'habituelle politique de voisinage de l'UE et l'arrêt de cette garantie pénaliserait également la population. Mais ces financements sont aussi un moyen pour l'UE d'achever la rupture entre la Russie et la Biélorussie. Je m'abstiens.
Joëlle Mélin (ENF), par écrit. ‒ Ces deux objections visent à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultants d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. Il s'agit donc de faire entrer ce pays dans la liste de ceux éligibles à la garantie de l'UE contre les pertes potentielles sur les investissements de la BEI. J'ai donc voté contre cette résolution.
Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ I support this motion for a resolution, as it is essential that Belarus resolves its government’s violations of human rights, and that the Commission does not include Belarus as a beneficiary of the European Investment Bank until said violations are addressed and ameliorated.
Louis Michel (ALDE),par écrit.– La Biélorussie présente de nombreuses lacunes en matière de respect de l'État de droit, de la démocratie et des droits de l'homme, notamment en ce qui concerne la liberté d'expression, de réunion et d'association, les droits électoraux, la peine de mort et la lutte contre la torture et les mauvais traitements, les droits des personnes handicapées et la lutte contre les violences domestiques. Ainsi, il est plus que temps que les autorités biélorusses instaurent un moratoire sur la peine capitale, première étape vers son abolition complète.
Les prochaines élections législatives du 11 septembre 2016 représentent une nouvelle occasion pour la Biélorussie de mettre fin à ses pratiques non démocratiques. La résolution que nous venons de voter est appropriée à la situation actuelle en Biélorussie, étant donné qu'elle prend en compte les élections du 11 septembre 2016 avant d'évaluer la possibilité d'un nouvel acte délégué concernant la garantie de l'Union vis-à-vis de la BEI.
Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ Az Unión kívüli beruházási projekteket támogató finanszírozási műveletek veszteségeinek fedezésére az Európai Beruházási Banknak nyújtott uniós garanciáról szóló 466/2014/EU európai parlamenti és tanácsi határozat III. mellékletének Belarusz tekintetében történő módosításáról szóló, felhatalmazáson alapuló, 2016. április 15-i bizottsági határozattal szemben az EFDD önálló, az ECR, az ALDE és a Verts/ALE képviselőcsoport pedig együttes kifogást nyújtott be. Az együttes indítványt megszavaztam.
Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ A União Europeia tem tentado restabelecer as relações com a Bielorrússia, nomeadamente através de diálogos técnicos sobre temas específicos: a cooperação através da vertente multilateral da Parceria Oriental, o apoio à sociedade civil, a abertura de negociações com vista à celebração de acordos em matéria de facilitação da emissão de vistos e de readmissão e o início de negociações sobre uma parceria para a mobilidade, o diálogo sobre as reformas necessárias para a modernização da Bielorrússia e sobre as possibilidades de desenvolvimento das relações com a UE, incluindo apoio financeiro.
No entanto, existem um conjunto de entraves a uma relação mais salutar entre a UE e a Bielorrússia, nomeadamente em matéria de defesa dos direitos humanos, no que toca à liberdade de expressão e de imprensa e à defesa dos valores democráticos.
Os progressos ou retrocessos relativamente a estas questões devem servir de critério de ponderação na atribuição de qualquer apoio financeiro da UE, no caso concreto a prestação de uma garantia ao Banco Europeu de Investimento.
Neste sentido, voto no sentido favorável a presente proposta, pois considero que a UE deve promover o respeito pelos direitos fundamentais no quadro da cooperação com países terceiros.
Sophie Montel (ENF), par écrit. ‒ La Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, les droits de l'homme n'y sont pas respectés, le président Loukachenko y a été réélu en 2015 avec 84 % des voix, la liberté de la presse est inexistante. C'est pourquoi j'ai voté contre.
József Nagy (PPE), írásban. ‒ Szavazatommal nem kívántam hozzájárulni a javaslathoz, mert a szóban forgó országban nem teljesülnek azok az alapelvek, amelyek az Európai Unió alapjait jelentik. Súlyosan sérülnek az emberei jogok, máig létező intézmény a halálbüntetés. Igaz, az utóbbi években történt némi pozitív előrelépés, de úgy gondolom, hogy a demokratikus alapelvek erőteljesebb jelenlétére van szükség. Ahhoz, hogy a demokrácia működhessen, szükség lenne egy független ellenzékre, amely azonban évek óta nincs az országban.
Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ I abstained from voting on this motion for a resolution regarding the EU guarantee to the European Investment Bank against losses as regards Belarus. On 11 October following the re-election of President Lukashenko with 83.5% of the vote, a lot of significant problems were reported with regard to the counting and tabulation that might undermine the election’s integrity.
Luděk Niedermayer (PPE), písemně. ‒ Podpořil jsem vyslovení námitky, zejména z důvodu přetrvávající nevyhovující situace v oblasti lidských práv, která v Bělorusku panuje. Režim stále neobnovil občanská a politická práva bývalých politických vězňů, ani nepřijal jakékoli oficiální institucionální kroky k zajištění svobody sdružování a shromažďování, nezajistil plnou spolupráci se zvláštním zpravodajem OSN pro lidská práva v Bělorusku a nepřijal nezbytná opatření k zajištění standardů jaderné bezpečnosti na svém území, a to i v těsné blízkosti hranic s EU. Zejména v tomto kontextu se domnívám, že rozšíření finančních operací EIB na Bělorusko by nebylo vhodným krokem a může být zneužito tamním režimem pro podporu jeho, dle mého názoru nepřijatelného, fungování v řadě oblastí.
Liadh Ní Riada (GUE/NGL),in writing. – I abstained on these two resolutions objecting to an EU guarantee on European Investment Bank loans to Belarus. The resolutions raised concerns over human rights abuses in Belarus, and I certainly share these concerns.
However, I supported an alternative resolution that does not object to the guarantee of loans on the grounds that Belarus has taken steps to improve the situation, in particular by the release of all political prisoners in August last year, which is an important first step. (This alternative resolution was not voted on.)
If this improvement in the human rights situation does not continue then I believe the European institutions should reassess the loans guarantee.
Franz Obermayr (ENF), schriftlich. ‒ Die Entschließung fordert, dass die EIB keine Finanzierungen für Projekte in Weißrussland zulässt, da sich die Menschenrechtsfrage nur marginal verbessert hat, und das obwohl die Entscheidung, die Sanktionen gegenüber Weißrussland aufzuheben, nach einer Generalamnestie gegenüber politischen Gefangenen schon erfolgt ist. Da die EIB eine Bank ist, die Rendite sucht, mit dem Auftrag, die wirtschaftliche Situation der Bürger in den Staaten zu verbessern, wäre es verfehlt, hier Investitionsmöglichkeiten mit Menschenrechtsbedenken zu verbinden. Aufgrund dessen habe mich gegen diese Entschließung ausgesprochen.
Urmas Paet (ALDE), kirjalikult. ‒ Toetasin. Vastupidiselt loodetule, ei ole Valgevenes märgata mingit paranemist inimõiguste, kodanikuühiskonna, rahvusvahelise koostöö ega tuumaohutuse valdkonnas, seega arvestades lähenevaid valimisi Valgevenes oleks mõistlik ELi tagatise andmine edasi lükata.
Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ This Motion for a Resolution calls on the Commission to act, potentially interfering in a third country’s energy policy, UKIP is against such neo-colonialism and accordingly voted against.
Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Prije odobravanja jamstva EU-a Europskoj investicijskoj banci protiv gubitaka u pogledu Bjelarusa, Europska komisija i Europska služba za vanjsko djelovanje napravile su sve potrebne političke, gospodarske, socijalne i okolišne procjene te je zaključeno kako postoji dovoljno osnova za ublažavanje restriktivnog pristupa EU-a Bjelarusu te da Bjelarus ispunjava uvjete da EU dodjeli jamstva Europskoj investicijskoj banci. Kako je odluka o dodjeli jamstva donesena nakon temeljitih procjena, te je pri donošenju odluke politička situacija u zemlji uzeta u obzir, prijedloge o ulaganju prigovora na ovu odluku ne smatram opravdanima stoga ne mogu podržati prijedloge rezolucija o Delegiranoj odluci Komisije od 15. travnja 2016. kojom se mijenja Prilog III Odluke br. 466/2014/EU Europskog parlamenta i Vijeća kojom se dodjeljuje jamstvo EU-a Europskoj investicijskoj banci protiv gubitaka u okviru financijskih operacija kojima se podržavaju ulagački projekti izvan Unije, u pogledu Bjelarusa. U rujnu ove godine u Bjelarusu se održavaju opći izbori, stabilnost te zemlje nam je važna, kao i suradnja EU-a i Bjelarusa, stoga smatram kako bi bilo ishitreno i neprikladno mijenjati odluke o dodjeljivanju jamstva EU-u.
Florian Philippot (ENF), par écrit. ‒ Cette objection vise à rejeter la décision déléguée de la Commission accordant une garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations de financement en faveur de projets menés en Biélorussie. Les arguments avancés sont attendus: la Biélorussie n'est pas une démocratie libérale, les droits de l'homme n'y sont pas respectés, le président Loukachenko y a été réélu en 2015 avec 84 % des voix, la liberté de la presse est inexistante, etc.
Si l'on ne peut nier ces faits, la BEI ne réalise que des financements d'entreprises privées. Il n'est pas nécessaire de punir les peuples pour la corruption de leurs dirigeants (ce qui constituerait en quelque sorte une double peine), ainsi que la BEI qui pourrait trouver en Biélorussie des possibilités d'investissement. Je vote donc contre cette objection.
Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ 15. veljače 2016. Vijeće je odlučilo da nakon 22. kolovoza 2015., kada su na zahtjev EU-a na slobodu pušteni svi preostali politički zatvorenici, EU neće nastaviti s provedbom opsežnih mjera ograničavanja, točnije onih koje se odnose na 170 pojedinaca i na tri poduzeća u Bjelorusiji.
Vlasti Bjelorusije dosad nisu ispunile ni jedno od glavnih očekivanja Vijeća.
Predstojeći opći izbori, koji će se održati 11. rujna 2016., prilika su za Bjelorusiju da prekine s dugogodišnjom praksom namještenih izbora. Oni predstavljaju presudan test kojim će se procijeniti spremnost vlasti te države na pomirenje s vlastitim građanima i na pokretanje konstruktivne suradnje s EU-om.
U svjetlu navedenih činjenica, ali i zbog kompleksne situacije u Republici Bjelorusiji, suzdržat ću se od glasovanja.
Jiří Pospíšil (PPE), písemně. ‒ Podpořil jsem předloženou námitku, protože jsem skeptický k tomu, že v Bělorusku již je situace v oblasti demokracie a lidských práv taková, že je možné s touto zemí plně obnovit spolupráci ve všech oblastech.
Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ Je me suis abstenu pour ce vote sur l'objection portant sur la garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement (BEI) en cas de pertes résultant d'opérations en faveur de la Biélorussie.
Paulo Rangel (PPE), por escrito. ‒ A Bielorrússia é um Estado centralizado em cuja circunscrição territorial não se verifica um cumprimento escrupuloso e pontual dos princípios democráticos. O seu presidente, Lukashenko, foi reeleito, pela última vez, em 2015, com 83,5 % dos votos. Não obstante essa reeleição, na Bielorrússia continuam a ser cometidas violações dos direitos humanos de uma forma generalizada e sistemática.
É frequente o controlo e assédio por parte das autoridades aos ativistas defensores dos direitos humanos e, bem assim, aos jornalistas, sendo estes últimos, quando independentes ou estrangeiros, também alvo de detenções, ações judiciais e multas.
A Bielorrússia não só é o único país da Europa com pena de morte, como já a aplicou três vezes durante o primeiro semestre de 2016.
As referidas práticas são condenáveis. No entanto, trata-se de um país vizinho da União Europeia, que tem o potencial de ser um parceiro estratégico para a União e pode progredir nas matérias acima referidas. Por isso, abster-me-ei na presente votação.
Julia Reid (EFDD), in writing. ‒ This Motion for a Resolution calls on the Commission to act, potentially interfering in a third country’s energy policy, UKIP is against such neo-colonialism and accordingly voted against.
Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ El 15 de febrero de 2016, el Consejo decidió que la Unión no continuaría aplicando las importantes medidas restrictivas, en concreto aquellas que aplicaba a 170 personas y tres compañías en Bielorrusia, a raíz de la puesta en libertad de todos los prisioneros políticos que seguían encarcelados, tal y como solicitó la Unión. Sin embargo, desde que se tomó la decisión de levantar las sanciones, la situación general de los derechos humanos en el país ha mejorado solo de forma muy limitada y, hasta la fecha, las autoridades bielorrusas han ignorado todas las expectativas principales de la mencionada reunión del Consejo.
Las próximas elecciones generales del 11 de septiembre, ofrecen una oportunidad a Bielorrusia para poner fin a sus arraigadas prácticas de elecciones fraudulentas y constituyen una prueba decisiva para comprobar la auténtica voluntad de las autoridades de reconciliarse con sus propios ciudadanos y de cooperar de forma constructiva con la Unión.
Aunque es importante garantizar las inversiones del BEI frente a posibles pérdidas en operaciones de financiación de proyectos en terceros países, no parece muy oportuno, en estos momentos, conceder una garantía de tal tipo para el caso de Bielorrusia, por lo que me he abstenido en este voto.
Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ J'ai décidé de m'abstenir quant à l'objection formulée sur la garantie de l'Union européenne à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes résultant d'opérations en faveur de la Biélorussie. Si la Biélorussie a besoin d'investissements en infrastructures, je ne peux que regretter la trop faible amélioration de la situation en matière de droits de l'homme.
Bronis Ropė (Verts/ALE), raštu. ‒ Balsavau už šį prieštaravimą. Tenka tik apgailestauti, kad priimti šį prieštaravimą pritrūko parlamentarų balsų. Reikia pripažinti, kad Lietuvos valdžia nepadarė pakankamai siekiant užkirsti kelią Baltarusijai gauti finansavimą Astravo atominės statyboms. Nepaisant to, kad kai kas pasiekta Taryboje, buvo galima labiau sutelkti jėgas, įtikinti Baltijos regiono partnerius ir kitas šalis, taip pat informuoti apie ketinimus Lietuvos parlamentarus, kad galutinis rezultatas būtų dar geresnis. Vis dėlto, tai nebuvo padaryta, o Europos Parlamentas apie Komisijos sprendimą buvo informuotas paskutinėmis akimirkomis. Todėl per keletą dienų, net ir aktyvių pastangų dėka, nepavyko įtikinti daugiau nei pusę Europos Parlamento narių pritarti prieštaravimui; nors ir iki tikslo pasiekimo trūko labai nedaug. Tereikia tik tikėtis, kad Lietuvos valdžia ateityje prisimins, kad Europos Parlamentas turi nemažai galių, o Lietuvos parlamentarai nori ir gali prisidėti prie bendrų tikslų sprendimų.
Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de estas resoluciones, mediante las cuáles se objeta a la decisión de la Comisión de aportar una garantía a las inversiones del Banco Europeo de Inversiones en Bielorrusia. Según los tratados, el respeto a los derechos humanos es una condición para conceder este tipo de inversiones. Sin embargo, es claro que existen en Bielorrusia violaciones sistemáticas de los derechos humanos, baste recordar que se trata del único país europeo en el que se sigue aplicando la pena de muerte. Por ello considero pertinentes las objeciones.
Maria Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ El pasado mes de febrero el Consejo Europeo tomó la decisión de rebajar las sanciones que la Unión Europea impone a Bielorrusia. Como consecuencia, la Comisión presentó un acto delegado para que Bielorrusia pudiera beneficiarse de la financiación del Banco Europeo de Inversiones.
Algunos grupos políticos han decidido presentar en la Comisión de Presupuestos una objeción al acto delegado. Dado que la aprobación de esta objeción hubiera retrasado el levantamiento parcial de sanciones contra Bielorrusia, sanciones que rechazo por principios, he votado en contra de la objeción al acto delegado que pretende hacer efectivo este levantamiento parcial.
Monika Smolková (S&D), písomne. ‒ Pri hlasovaní o námietke proti rozhodnutiu Rady o udelení záruky pre Európsku investičnú banku za straty z finančných operácií na podporu projektov, najmä v Bielorusku, som sa zdržala. Obávam sa totiž, že možno nie je dnes správna doba takéto uznesenie prijímať. Je, žiaľ, faktom, že občianske a politické práva bývalých politických väzňov neboli stále obnovené, a ani sa neprijali žiadne formálne inštitucionálne opatrenia na zabezpečenie slobody združovania a zhromažďovania. Takisto krajina ešte neprijala žiadne opatrenia na zrušenie trestu smrti. Na druhej strane nadchádzajúce parlamentné voľby, ktoré sa konajú začiatkom septembra 2016, predstavujú príležitosť pre Bielorusko, aby ukončilo svoju predošlú prax sfalšovaných volieb. Dúfam preto, že tieto voľby budú rozhodujúcim kritériom na posúdenie skutočnej vôle bieloruských orgánov uzmieriť sa so svojimi vlastnými občanmi a nadviazať konštruktívne vzťahy s EÚ.
Michaela Šojdrová (PPE), písemně. ‒ Podpořila jsem námitku proti delegovanému rozhodnutí Komise rozšiřujícímu působnost finančních operací Evropské investiční banky v Bělorusku. Nesouhlasím s tím, aby EIB měla možnost podporovat projekty v Bělorusku, jak navrhuje svým aktem v přenesené pravomoci Komise. Mělo by se jednat o investice v oblasti sociální a environmentální, ve zdravotnictví nebo vzdělávání. Je pravda, že Lukašenkův diktátorský režim v poslední době ukazoval směrem k EU svou přívětivější tvář, dokonce propustil politické vězně. Domnívám se ale, že bychom neměli jít tak daleko, že zpřístupníme Bělorusku finanční potenciál naší investiční banky, alespoň ne v tuto chvíli. Na 11. září jsou v Bělorusku naplánované parlamentní volby a nepovažuji za šťastné v tuto chvíli přijímat rozhodnutí, které de facto oceňuje Lukašenkův režim. Počkejme, jestli volby proběhnou regulérně a přijměme rozhodnutí následně. Bohužel, i když měla podporu českých poslanců za PPE, námitka proti delegovanému rozhodnutí, která by zabránila jeho přijetí, nezískala potřebnou kvalifikovanou většinu všech poslanců Evropského parlamentu a rozhodnutí Komise tak vstoupí v platnost.
Ivan Štefanec (PPE), písomne. ‒ Bielorusko zostáva centralizovaným autokratickým štátom kontrolovaným prezidentom Lukašenkom. Škvrnou do nastávajúcich volieb v septembri 2016 zostáva problém pri sčítavaní a manipulácii s hlasmi voličov. Bielorusko aj napriek pokroku, ktorý dosiahlo vďaka účasti na Východnom partnerstve, je i naďalej jedinou krajinou v Európe, v ktorej sa naďalej uplatňuje trest smrti. Verím však, že Bielorusko naberie smer dodržiavania ľudských práv, základných slobôd a demokracie.
Jaromír Štětina (PPE), písemně. ‒ Podpořil jsem námitku Evropského parlamentu předloženou s ohledem na rozhodnutí Komise o rozšíření působnosti finančních operací Evropské investiční banky (EIB) na Bělorusko. Námitka směřuje proti tomuto rozšíření a proti návaznému poskytnutí záruky EU za případné ztráty EIB z finančních operací na podporu zdejších investičních projektů. Konkrétně by se jednalo o projekty v oblasti sociální, environmentální, hospodářské infrastruktury a infrastruktury v oblasti zdravotnictví a vzdělávání.
S většinou lídrů běloruské opozice jsem měl možnost asi před dvěma měsíci diskutovat na společném jednání v Bruselu. Jedním hlasem odsuzovali již přijaté zrušení sankcí EU vůči Bělorusku, které následovalo po propuštění politických vězňů. Běloruský režim sice v loňském roce politické vězně propustil, dosud jim však nebyla obnovena jejich občanská ani politická práva. Obecně se v Bělorusku situace v oblasti lidských práv, svobody shromažďování či plurality médií v podstatě nezměnila. Nebylo provedeno žádné z doporučení v oblasti volebního práva, ani nebyly zajištěny standardy v oblasti jaderné bezpečnosti. Lukašenko pouze zkušeně taktizuje.
Souhlasil jsem tedy s autory textu námitky, že s ohledem na nadcházející všeobecné volby v září t.r. a na výše uvedené není další vstřícný krok ze strany EU bohužel na místě. Diktátorům nelze věřit. Bohužel jsem byl plénem EP přehlasován.
Beatrix von Storch (EFDD), schriftlich. ‒ Ich habe für den Einwand gestimmt. Die Kommission hat kein politisches Verständnis. Sie bewertet Kooperationsabkommen nur nach strukturellen Faktoren. Die EU kann jedoch nicht Belarus ständig grober Menschenrechtsverletzungen beschuldigen und gleichzeitig Garantieleistungen gewähren.
Dubravka Šuica (PPE), napisan. ‒ Bjelorusija je i dalje centralizirana i autokratska država koja se nalazi pod strogom kontrolom predsjednika Lukašenka koji je ponovno izabran 11. listopada 2015. godine s 83,5% glasova. Legitimnost izbora dovedena je u pitanje zbog problema za vrijeme brojanja i razvrstavanja glasova.
Kršenje ljudskih prava i dalje je neobuzdano i sustavno, a novinare i branitelje ljudskih prava često se šikanira i nemoguće je osnovati neovisne udruge. Oporba je i dalje odsutna iz parlamenta, a Bjelorusija je i dalje jedina europska zemlja u kojoj se primjenjuje smrtna kazna.
Nakon duže rasprave Klub EPP-a odlučio je ostati suzdržan jer smatramo da širenje mandata Europske investicijske banke na Bjelorusiju može dovesti do potencijalnog jačanja moći predsjednika Lukašenka koji godinama sustavno krši ljudska prava u toj zemlji, pa sam sukladno odluci Grupe glasovala suzdržano.
Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Glasovala sem proti predlogu resolucije o delegiranem sklepu Komisije o spremembi Priloge k Sklepu Evropskega parlamenta in Sveta o odobritvi jamstva EU Evropski investicijski banki za izgube pri financiranju v podporo naložbenim projektom zunaj Unije, kar zadeva Belorusijo.
Podpiram delegiran sklep Komisije, saj jamstva Evropske unije niso bila prezgodnja in prenagljena. Resolucija je enostranska, saj menim, da so bili v delegiranem sklepu upoštevani vsi vidiki v zvezi z Belorusijo. Svet in Komisija tesno sodelujeta pri ocenah trenutnih političnih, gospodarskih, socialnih in okoljskih razmer v Belorusiji. Po teh ocenah obstaja dovolj razlogov za sprostitev omejevalnega pristopa EU do Belorusije, ki bi slednji omogočila dostop do financiranja EIB v sklopu jamstva EU.
Pavel Svoboda (PPE), písemně. ‒ Hlasoval jsem pro vyslovení námitky proti udělení záruk za případné ztráty Evropské investiční banky, pokud jde o Bělorusko, jelikož se domnívám, že poskytnutí této záruky a tedy zároveň podpoření investic v Bělorusku v době před konáním voleb v Bělorusku není na místě. V Bělorusku se v oblasti dodržování lidských práv změnilo velice málo a je naší povinností, abychom i nadále podporovali úsilí běloruské demokratické opozice o nastolení vlády práva a dodržování lidských práv. Otázka investic a lidských práv nesmí být oddělována a nedemokratický režim nesmí být legitimizován ani prostřednictvím podpory investic, zejména ve chvíli, kdy je této podpory možno využít pro další trvání režimu.
Ελευθέριος Συναδινός (NI), γραπτώς. ‒ Η επιλεκτική ευαισθησία για τυχόν παραβιάσεις ανθρωπίνων δικαιωμάτων δεν μπορεί παρά να εξυπηρετεί πολιτικές σκοπιμότητες που εξυπηρετούν συμφέροντα συγκεκριμένων κρατών μελών, αλλά και υπερατλαντικών «συμμάχων»
Tibor Szanyi (S&D), írásban. ‒ Szavazatommal támogatni kívántam az állásfoglalásra irányuló indítványt az Európai Beruházási Bank Belarusz tekintetében nyújtott uniós garanciáját illetően. A Bizottság a jelenlegi fehéroroszországi politikai, gazdasági, társadalmi és környezetvédelmi helyzet értékelése során arra jutott, hogy a Belarusszal szemben alkalmazott uniós korlátozó megközelítés enyhítése kellőképpen indokolt, ezért Belarusz számára lehetővé tehető az uniós garanciával fedezett EBB-finanszírozás. Egyetértek az indítvánnyal, amely ellenzi ennek a garanciának Belarusz számára történő biztosítását. Véleményem szerint a bizottsági értékelés során nagyobb hangsúlyt kellett volna tulajdonítani a ténynek, miszerint Belarusz belpolitikai szempontból továbbra is centralizált és autokratikus állam, amelyet az elnök szigorú ellenőrzése alatt tart, továbbá, hogy Európában egyetlen országként Belarusz a mai napig alkalmazza a halálbüntetést.
Ezentúl a legutóbbi választások tisztaságát ismét jelentős problémák kérdőjelezték meg, és az emberi jogok, illetve a demokrácia helyzete további súlyos aggályokra ad okot, különös tekintettel a gyülekezési és egyesülési szabadságra, valamint a szólásszabadságra és a médiaszabadságra. Ha az elmúlt két évben történtek is előrelépések, nem olyan mértékben, hogy azok túlsúlyban legyenek az említett fenntartásokkal szemben. Ráadásul, különösen szerencsétlen lenne az uniós garancia megadása a 2016. szeptember 11-én tartandó országgyűlési választások előtt.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ Nous faisons objection à la décision déléguée de la Commission: nous estimons qu’elle ne prend pas dûment en considération l'ensemble des éléments touchant au respect des droits de l'homme, des libertés fondamentales et de la démocratie en Biélorussie.
Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of the objecting resolution regarding Belarus’ eligibility for EIB loans. The Commission wanted to grant it before elections in the country. I am deeply convinced that this timing is very bad and that Belarus has been given enough at this stage as a goodwill gesture from the EU. Belarus needs now to urgently release political prisoners, and stop the death penalty in the country. Belarus is the last country in Europe to retain the death penalty.
Ruža Tomašić (ECR), napisan. ‒ Smatram da gospodarska, politička i ekološka situacija u Bjelarusu nije prihvatljiva za financiranje od strane Europske investicijske banke pod jamstvom Europske unije. Također, držim da vlasti Bjelarusa nisu poduzele nikakve mjere glede kršenja ljudskih prava. Osim toga, postoje sumnje da će se sredstva Europske unije koristiti za financiranje ruskih projekata u Bjelorusiji koji nisu u skladu sa standardima Europske unije glede nuklearne sigurnosti. Zbog toga smatram da bi Europska unija trebala izbjeći financiranje ulagačkih projekata u Bjelarusu.
Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Glasovanja o ugovoru v skladu s členom 105(4) Poslovnika, ki se nanaša na predlog resolucije o odobritvi jamstva EU Evropski investicijski banki za izgube pri financiranju v podporo naložbenim projektom zunaj Unije, kar zadeva Belorusijo, sem se vzdržala.
Poročilo je namreč vsebovalo kar nekaj točk, ki jih nisem mogla podpreti in so zame predstavljale ključno glasovanje.
Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de estas resoluciones, mediante las cuáles se objeta a la decisión de la Comisión de aportar una garantía a las inversiones del Banco Europeo de Inversiones en Bielorrusia. Según los tratados, el respeto a los derechos humanos es una condición para conceder este tipo de inversiones. Sin embargo, es claro que existen en Bielorrusia violaciones sistemáticas de los derechos humanos, baste recordar que se trata del único país europeo en el que se sigue aplicando la pena de muerte. Por ello considero pertinentes las objeciones.
Mylène Troszczynski (ENF), par écrit. ‒ L'objection vise à rejeter la décision de la Commission accordant une garantie de l'UE à la Banque européenne d'investissement en cas de pertes sur des opérations en Biélorussie. Selon eux, le gouvernement biélorusse n'est pas démocratique et les droits de l'homme et la liberté de la presse ne sont pas respectés dans le pays.
La BEI ne réalisant dans les faits que des investissements dans le domaine privé en Biélorussie, il n'est pas nécessaire de pénaliser les entrepreneurs et le peuple Biélorusse, qui doit rester en dehors des différends politiques existants. J'ai voté contre cette objection.
Kazimierz Michał Ujazdowski (ECR), na piśmie. ‒ Stanowisko UE wobec Białorusi powinno być klarowne. Wsparcie finansowe możliwe jest tylko w przypadku respektowania wszystkich swobód politycznych, obywatelskich i praw człowieka. Bez respektowania tych ostatnich nie może być mowy o wysokich pożyczkach i aktywności Europejskiego Banku Inwestycyjnego. Dlatego poparłem sprzeciw wobec planów gwarancji finansowych UE dla Białorusi.
Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de estas resoluciones, mediante las cuáles se objeta a la decisión de la Comisión de aportar una garantía a las inversiones del Banco Europeo de Inversiones en Bielorrusia. Según los tratados, el respeto a los derechos humanos es una condición para conceder este tipo de inversiones. Sin embargo, es claro que existen en Bielorrusia violaciones sistemáticas de los derechos humanos, baste recordar que se trata del único país europeo en el que se sigue aplicando la pena de muerte. Por ello considero pertinentes las objeciones.
Ángela Vallina (GUE/NGL), por escrito. ‒ El pasado mes de febrero el Consejo Europeo tomó la decisión de rebajar las sanciones que la Unión Europea impone a Bielorrusia. Como consecuencia, la Comisión presentó un acto delegado para que Bielorrusia pudiera beneficiarse de la financiación del Banco Europeo de Inversiones.
Algunos grupos políticos han decidido presentar en la Comisión de Presupuestos una objeción al acto delegado. Dado que la aprobación de esta objeción hubiera retrasado el levantamiento parcial de sanciones contra Bielorrusia, sanciones que rechazo por principios, he votado en contra de la objeción al acto delegado que pretende hacer efectivo este levantamiento parcial.
Hilde Vautmans (ALDE), schriftelijk. ‒ Ik stemde tegen ontwerpresolutie B8-0869/2016 van EFDD. Maar ik stemde voor ontwerpresolutie B8-0870/2016, omdat de mensenrechtensituatie in Wit-Rusland sinds het besluit tot opheffing van de sancties nauwelijks is verbeterd. De Wit-Russische autoriteiten negeren nog steeds de politieke en burgerrechten van voormalige politieke gevangenen. De vrijheid van vergadering en vereniging wordt er nog steeds niet gewaarborgd. De doodstraf is nog steeds niet afgeschaft, enz. Daarom meent het Europees Parlement dat het te vroeg en te voorbarig zou zijn om reeds in dit stadium een EU-garantie te verlenen. Het maakt daarom bezwaar tegen het gedelegeerde besluit van de Commissie.
Paavo Väyrynen (ALDE), kirjallinen. ‒ Päätöslauselmaesityksessä politisoidaan Euroopan investointipankin laina Valko-Venäjälle. Valko-Venäjän ihmisoikeus- ja demokratiatilanne on huono ja heikentynyt entisestään. Kuitenkin EIP:n lainanannon kannalta poliittinen peruste esteenä lainanannolle ei ole aiemmin ollut validi syy, ellei lainan myöntämisen epäämisellä ole ollut poliittistaloudellisia perusteita esimerkiksi siten, että lainaa pyytävän maan poliittinen tilanne olisi niin hauras, että lainan takaisinsaantiin voisi liittyä riski. Tätä periaatetta noudattaen en kannattanut parlamentin vastustusta komission delegoitua päätöstä kohtaan myöntää rahoitustakuu EIP:lle.
Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Este texto repete todo o manual de ingerência da UE, disputando com a Rússia, os EUA e a NATO a influência sobre a Bielorrússia, país que, mesmo com os vários tipos de pressões tem mantido a sua independência e soberania. Desta vez objeta-se um ato delegado na Comissão que concede uma garantia da UE ao Banco Europeu de Investimento em caso de perdas resultantes de operações de financiamento a favor de projetos de investimento realizados fora da União, no que diz respeito à Bielorrússia.
Apesar das diferenças que nos separam do governo de Minsk, não apoiamos a maioria do PE, que não só não reconhece a soberania do povo bielorrusso na escolha do poder político que governa o país e as suas opções económicas, sociais e culturais, como apoia a ingerência direta nos seus assuntos internos, violando um dos princípios básicos do Direito Internacional.
Sempre defendemos e temos como como princípio fundamental a defesa da independência e soberania dos povos, cabendo a cada povo definir o sistema político, económico e social que melhor satisfaz os seus interesses e aspirações, não compactuamos mais uma vez com esta tentativa de pressão de modo a ingerir com os assuntos internos de um país.
Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Die EIB soll dem Entschließungsantrag nach keine Finanzierungen für Projekte in Weißrussland zulassen, da die Menschenrechtsfrage sich nur marginal verbessert hat, obwohl die Entscheidung, die Sanktionen gegenüber Weißrussland aufzuheben, nach einer Generalamnestie gegenüber politischen Gefangenen schon erfolgt ist. Da die EIB den Auftrag hat, die wirtschaftliche Situation der Bürger in den Staaten zu verbessern, wäre es verfehlt, hier Investitionsmöglichkeiten mit Menschenrechtsbedenken zu verbinden. Daher ist dieser Bericht abzulehnen.
Bei der zweiten Entschließung geht es um Investitionen in die Kernkraftanlage Ostrovets. Hier sollte aber angemerkt werden, dass EU-Einmischungen in nationale Entscheidungskompetenzen wie beispielsweise den Energiemix abzulehnen sind. Daher habe ich mich meiner Stimme enthalten.
Bogdan Andrzej Zdrojewski (PPE), na piśmie. ‒ W związku z uwolnieniem 22 sierpnia 2015 r. więźniów politycznych UE zniosła sankcje wobec 170 osób i trzech przedsiębiorstw z Białorusi. Jednak od tego czasu w kraju nie nastąpiła poprawa sytuacji pod względem praw człowieka. Władze nie przywróciły praw obywatelskich byłym więźniom politycznym, nie podjęły też kroków na rzecz zniesienia kary śmieci.
Misja obserwacyjna OBWE/ODIHR podczas wyborów prezydenckich w 2015 r. stwierdziła, że „Istotne problemy, szczególnie podczas liczenia i zestawiania ilości głosów, podważyły integralność procesu wyborczego.” Do tego momentu jednak władze Białorusi nie wdrożyły zaleceń określonych w sprawozdaniu końcowym misji OBWE/ODIHR.
Zbliżające się wybory parlamentarne w dniu 11 września 2016 r. stanowią decydujący test, który pokaże, czy ze strony władz rzeczywiście istnieje wola prowadzenia dialogu z obywatelami w myśl wartości demokratycznych. Dlatego dopiero po wyborach i na podstawie sprawozdania OBWE/ODIHR PE mógłby podjąć w pełni świadomą decyzję i właściwie ocenić akt delegowany.
Ten niefortunny splot terminów może mieć odwrotne do zamierzonych konsekwencje polityczne i niekorzystny wpływ na sytuację opozycji demokratycznej.
Z tego powodu poparłem rezolucję, która wyraża sprzeciw wobec udzielenia gwarancji UE dla EBI na pokrycie strat w odniesieniu do Białorusi w tym konkretnym momencie. Nie jestem przeciwnikiem uruchomienia procedury udzielenia gwarancji, natomiast powinno to nastąpić po wyborach, po uzyskaniu pewnego postępu w standardach wyborczych.