Puhemies. – Esityslistalla on seuraavana neuvoston ja komission julkilausumat G20-huippukokouksen tuloksista (2016/2769(RSP)).
Pierre Moscovici,membre de la Commission. – Madame la Vice-présidente, Mesdames et Messieurs les députés, je suis heureux d'être ici au nom du Président Juncker, qui s'adressera à vous demain, pour vous donner mon sentiment sur le résultat du sommet du G20, qui a eu lieu les 4 et 5 septembre à Hangzhou en Chine.
L'Union européenne était représentée comme toujours par le Président Juncker et par le président du Conseil, Donald Tusk, que j'ai eu le plaisir d'accompagner, compte tenu de l'agenda fortement économique du sommet et du fait que le commissaire aux affaires économiques et financières accompagne toujours le président de la Commission au sommet du G20.
Ce fut l'occasion pour la Chine de faire preuve, d'abord, d'un très grand sens de l'organisation – on n’en doutait pas – mais aussi d'une responsabilité globale qu'elle assume dorénavant en tant qu'acteur clé de l'économie mondiale.
Pour le G20 dans son ensemble, ça a été l'occasion de démontrer, après des années de crise, que nous pouvons prendre des décisions politiques plus offensives pour assurer une croissance durable à long terme et rétablir la confiance. Je pense que, dans un contexte de questions, ce défi était important, et il a été relevé.
Nous avons présenté une série de dossiers sur lesquels l'Union européenne est à la pointe. Je pense à tout ce qui va dans le sens d'une stratégie de croissance globale, dans l'idée de poursuivre les réformes structurelles, mais aussi de se positionner comme un exemple dans le domaine de la fiscalité, de la lutte contre l'évasion fiscale et d’être un promoteur du commerce international et un défenseur de l'investissement.
Ces thèmes étaient d'ailleurs les priorités pour les principaux dirigeants mondiaux.
Notre stratégie a été de montrer que notre triangle européen – investissement, réformes structurelles, finances publiques responsables – fonctionne, mais nous devons poursuivre sur cette voie pour garantir un changement qui soit durable et positif à long terme.
Vous pourriez m'accuser de complaisance pour ces propos. Non, il y a pas de quoi faire preuve de complaisance, ça a été dit et redit lors de la plupart des interventions au cours de nos deux jours à Hangzhou comme un appel à agir d'urgence pour fournir des résultats tangibles pour nos citoyens qui les attendent.
Nos grandes économies sont très étroitement liées, et la croissance mondiale qui est lente fait face, on le sait, à de multiples obstacles. Le risque d'un cercle vicieux était bien identifié: faible croissance de la productivité, inégalités allant également croissant, le tout provoquant une réponse populiste – nous n'en avons pas le privilège – qui à son tour freine les réformes et, par conséquent, ralentit encore plus la croissance et ainsi de suite.
Le G20 a donc décidé d'utiliser tous les outils politiques – outils monétaires, outils budgétaires ou outils structurels – pour stimuler la croissance et privilégier les efforts pour mettre en place les réformes. Une coopération a également été lancée sur l'innovation et sur l'économie numérique pour augmenter la productivité et la croissance à long terme.
En outre, les dirigeants réunis au G20 ont délivré un message fort: après une période de longue crise, il faut penser à l'avenir; les bénéfices de la croissance, de la mondialisation, de l'innovation doivent être appréciés par tous, pas seulement par un groupe de quelques privilégiés.
Pour la première fois, et cela fait maintenant un certain nombre d'années que je participe à ces sommets, un concept a fait irruption dans le débat public, et c'est heureux. Il s’agit du concept d'inclusion, principe fondamental qui devrait être observé en mettant davantage l'accent sur les compétences, sur la protection sociale, mais aussi sur la définition des politiques budgétaires commerciales et autres qui doivent prendre en compte ce paramètre de croissance inclusive.
Les priorités de cette Commission, comme celles du G20 sont, vous le savez, déjà tournées vers la justice sociale.
Le commerce était aussi à l'ordre du jour. Le commerce international est un moteur pour les emplois, la croissance et le développement. C'est la raison pour laquelle nous sommes préoccupés par la croissance atone du commerce mondial et c'est aussi la raison pour laquelle nous continuons à défendre vigoureusement le libre-échange contre les tentations protectionnistes qui se font jour.
Mais la Commission a aussi beaucoup insisté sur le fait que le libre-échange doit être équitable pour avoir le soutien de nos peuples et de ce Parlement. Être favorable au libre-échange, ce n’est pas être favorable au libre-échange quelles qu’en soient les conditions, quels qu’en soient les termes, sans réserve ni régulation.
Le G20 joue un rôle essentiel dans le soutien à un système de commerce multilatéral qui soit solide et fondé sur le respect des règles. Nous avons largement insisté sur cet aspect dans nos discussions au G20 et le président de la Commission s'est personnellement engagé dans un combat qui, je le sais, tient à cœur à ce Parlement: la défense des intérêts de l'industrie européenne de l'acier et des travailleurs touchés par un contexte de surcapacité mondiale et, disons-le aussi, de surcapacités chinoises.
C'est d’ailleurs une question sur laquelle un pas important a été fait, à Hangzhou, avec l’accord G20, pour former un forum mondial sur la capacité de l'acier avec l'appui de l'OCDE et bien sûr l’approbation de la présidence chinoise.
Une fiscalité internationale équitable, voilà une autre condition essentielle pour restaurer la confiance de nos citoyens dans l’économie mondiale et pour permettre aussi au gouvernement de fournir les investissements et les services qui sont si nécessaires à nos économies.
Toutes les entreprises, je ne cesse de le dire ici, en ma capacité de commissaire chargé de la fiscalité, doivent payer leur juste part d'impôts dans les pays où elles réalisent leurs profits. Vous savez que l'Union européenne est à la pointe de ces efforts et qu'elle a déjà adopté l'an dernier plusieurs propositions très ambitieuses.
Nous avons été encouragés de voir l'ensemble des pays du G20 à nouveau fermement et fortement engagés non seulement à mettre en œuvre les accords passés, mais aussi à aller plus loin dans le sillage de l’affaire des Panama Papers, qui continue, c'est vrai, de peser sur les esprits. Le G20 a donc convenu de mettre en place une liste des juridictions non coopératives pour le prochain sommet de 2017 et d'envisager des mesures défensives en cas de non-conformité. Cette liste internationale du G20 est complémentaire de la liste que l'Union européenne, elle-même, s'apprête à lancer et qui doit également être opérationnelle en 2017, avec les problématiques qui sont complémentaires et qui, je crois, s’emboîtent bien.
En ce qui concerne la lutte contre le financement du terrorisme, le G20 continuera à diriger les travaux du GAFI. Les dirigeants ont appelé à une mise en œuvre rapide et résolue de sa nouvelle stratégie contre le financement du terrorisme et pour le renforcement de la coordination avec ceux qui ne participent pas à la task force, et particulièrement les pays vulnérables.
La réunion de Hangzhou a également permis de discuter de la réforme de la régulation financière, qui, je le rappelle, a été une initiative phare du G20. L'accent est maintenant mis sur la mise en œuvre cohérente des réformes convenues, tels que le cadre de Bâle III et sa finalisation pour la fin de 2016.
La présidence chinoise a aussi renforcé les discussions sur l'architecture financière internationale. Nous savons qu'il y a risque continu pour l’économie mondiale. L'accord unanime de maintenir un FMI fort avec des ressources suffisantes constitue un résultat appréciable.
L'an dernier à Antalya, nous avions appelé le G20 à reconnaître la crise des réfugiés pour ce qu'elle est: un défi mondial qui exige une réponse mondiale. Avec l'aide de ce Parlement, l'Union européenne a mis en place un ensemble complet de mesures pour gérer cette crise, mais nous ne pouvons relever ce défi que si la communauté internationale dans son ensemble fait des efforts coordonnés.
Nous avons tenu un message clair à l’égard de nos partenaires du G20, à savoir que nous souhaitons que le niveau de solidarité entre les nations nécessaire pour résoudre ce problème, qui est toujours manquant, fasse maintenant son émergence. La réponse suscite un optimisme résolu mais aussi prudent. Les membres du G20 ont déclaré qu'ils étaient prêts à partager le fardeau de la crise des réfugiés, appelant spécifiquement à une aide financière accrue et à la réinstallation des réfugiés.
La coopération du G20 pour soutenir le développement, la sécurité alimentaire, en particulier en Afrique, est aussi importante du point de vue du contrôle des flux migratoires.
Le sommet a aussi été l'occasion pour le G20 de réaffirmer son engagement envers l'accord de Paris. Le rythme des ratifications est bon et il est maintenant très probable que le seuil de l'entrée en vigueur de l'accord – je parle de la COP 21 – sera atteint cette année.
Le principal message de l'Union européenne aux membres du G20 à cet égard est qu'ils doivent agir maintenant tout aussi rapidement pour mettre en œuvre cet accord.
Bien sûr, vous vous en doutez, de nombreux dirigeants présents au sommet voulaient entendre la réponse des européens au référendum du Royaume-Uni.
Le Président Juncker a tenu à les rassurer, leur disant que nous étions prêts à y faire face, une fois que le gouvernement britannique aura communiqué ses intentions. Vous savez que la Commission a nommé son négociateur, mon compatriote, prédécesseur au poste de commissaire français, Michel Barnier. Nous souhaitons construire un nouveau partenariat avec la Grande-Bretagne qui fonctionne pour tout le monde. Une formule me vient toujours à l'esprit, et elle est d’ailleurs partagée avec le gouvernement britannique: la Grande-Bretagne, c'est son choix, ne sera plus, après cette négociation, un pays membre de l’Union européenne mais elle restera une nation européenne tout à fait décisive pour toute une série de politiques que nous avons à mener ensemble.
Dans le même temps, le président a souligné qu'il y avait beaucoup de choses que l’Union européenne des 27 pourrait réaliser ensemble. C'est cela notre objectif pour l'avenir et c'est dans cet esprit que le Président s’adressera ici à l'Assemblée, demain, pour son discours sur l'état de l'Union, parlant à la fois de l'Europe des 28, qui est la nôtre, de l'Europe des 27, qui est notre avenir, et de l'Europe des 19, celle de la zone euro, qui est le cœur battant de l'Europe.
Mais je ne veux pas anticiper sur ce qu'il vous dira, je pense que ce sera un moment important pour la Commission, pour le Parlement, pour l'Union européenne, avant la réunion des dirigeants des 27, qui se tiendra à Bratislava le 16 septembre.
Voilà les quelques éléments que je voulais vous présenter. Je ne voudrais pas être plus long, je pourrai revenir plus tard sur cette réunion du G20, qui a été je crois, encore une fois organisée d’une manière impressionnante par la Chine, très bien conduite par le président chinois, avec des résultats, nombreux, qui vont tout à fait dans le sens de ce que l'Union européenne pouvait en attendre.
Françoise Grossetête, au nom du groupe PPE. – Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, il est regrettable que le Conseil soit absent pour parler de ce dernier sommet du G20, qui a été riche en déclarations de principe, mais qui n'a pas convaincu sur le plan des faits.
On peut se réjouir – M. le commissaire nous l'a expliqué – que l'Europe soit parvenue à imposer son agenda en matière économique. La feuille de route adoptée au sommet recoupe en effet une grande partie des priorités qui sont proposées par notre groupe du Parti populaire européen et qui guident notre travail depuis des mois, c'est-à-dire la justice, l'équité fiscale, pour lutter contre les inégalités – vous en avez parlé –, la promotion des échanges commerciaux dans le cadre d'une mondialisation régulée et une stratégie de croissance basée sur la relance de l'investissement et les réformes structurelles.
On pourrait dire aussi qu'il y a une petite victoire sur la question de la surproduction d'acier au niveau mondial, puisqu'elle a pu être enfin mise sur la table et qu'il n'est pas anodin que ce sujet ait été discuté en Chine, pays dont les subventions alimentent un dumping insupportable, qui accable l'industrie sidérurgique européenne.
Malgré ces avancées, je regrette que beaucoup d'autres sujets cruciaux n'aient été abordés qu'à demi-mot, voire pas du tout. Parmi ceux-là, la crise des réfugiés. Vous en avez parlé, Monsieur Moscovici, mais, s'il faut être optimiste, je crois que cela reste quand même très limité. Le changement climatique: bien sûr, il y a eu annonce sur la ratification de l'accord de Paris de la part des États-Unis et de la Chine. Néanmoins, nous attendons les faits. Il y a aussi la guerre en Syrie. Je citerai également un autre sujet, évoqué en quelques lignes dans le communiqué final. Il s'agit de la lutte conte l'antibiorésistance: aucun engagement concret n'a été pris, alors qu'il s'agit là d'un des plus grands fléaux de santé publique de notre siècle.
Face à des enjeux qui appellent une réponse d'envergure, on retient finalement peu de choses de ce sommet. Même la volonté affichée de lutter contre les populismes, si elle est positive, ne parvient pas à nous rassurer entièrement.
Les promesses n'engagent que ceux qui les croient, dit-on. Espérons néanmoins que ces promesses formulées à ce G20 engagent aussi ceux qui les ont faites, sans quoi ce sommet n'aura servi qu'à une chose: démontrer une fois de plus la puissance de la Chine, qui s'impose pour le meilleur et pour le pire, comme un acteur international incontournable.
Ivan Korčok,President-in-Office of the Council. – Madam President, I am grateful for the invitation to discuss the outcome of the G20 Summit which took place last week in China and where the European Union was represented by President Tusk and President Juncker.
G20 leaders discussed various topics of global importance and, crucially, issues on which the G20 should provide leadership. I will focus on issues which I find are of particular relevance from the point of view of the Council, including migration, the global economy, trade, taxation and climate.
Let me start with an issue which is very high on our agenda, namely the management of migration. I consider the G20’s recognition of the current crisis as an issue of global concern to be a very positive signal. The EU has stated in international forums on various occasions that migration requires efficient and coordinated action and it calls for all stakeholders to take responsibility in a spirit of partnership and burden sharing. The EU and its Member States are fully assuming their responsibilities, but expect other partners, namely our G20 partners, also to do their part.
The communiqué by G20 leaders is a step in the right direction, as it calls for scaled-up support to refugees and host communities. The EU will certainly use the opportunity of the forthcoming New York summit on refugees and migration, which you will discuss with High Representative Mogherini later today, to take the G20 conclusions forward and pursue more equitable sharing of responsibility for what is clearly a global challenge.
My second point is the global economy. G20 leaders in China pointed to the progressing global economic recovery, while recognising that growth was still weaker than desirable and that downside risks remained. Challenges originating from geopolitical developments were also mentioned. Accordingly, leaders declared their determination to use all policy tools –monetary, fiscal and structural – individually and collectively to achieve the intended growth. Importantly, there was the recognition that growth needs to be inclusive in order to ensure that it serves the needs of everyone and benefits all countries and people so that no one is left behind. This is recognised in the Hangzhou Action Plan, which summarises the main commitments by G20 members.
The G20 summit also made a strong case for international trade as a driver of global economic recovery. To this end, G20 leaders committed to strengthening an open world economy by working towards trade and investment facilitation and liberalisation. The establishment of the G20 Trade and Investment Working Group is an important step in this regard. The G20 reaffirmed its commitment to the multilateral trading system, with the WTO at its core, and to advancing the post—Nairobi work in the WTO, including the outstanding issues of the Doha Development Round, with a view to achieving positive outcomes at the next WTO Ministerial Conference in 2017.
I also welcome the G20 commitment to ratifying the Trade Facilitation Agreement by the end of this year and its call for other WTO members to do the same. The EU, for its part, has already ratified. However, we need to recognise that anti-globalisation sentiment and opposition to trade are increasing. The G20 therefore emphasised the need to communicate the benefits of trade and open markets more effectively and to ensure that the benefits of trade are spread more widely. It also recognised the structural problems caused by excess capacity in some industries, most notably in the steel sector, and agreed that this required a collective response. G20 leaders therefore agreed to establish a global forum on steel access capacity, which should report to the relevant G20 Ministers in 2017.
Let me mention two more issues. Taxation is another priority that the EU shares with the G20. I particularly welcome the establishment of the G20/OECD Inclusive Framework for the implementation of the Base Erosion and Profit Shifting initiative (BEPS) as well as its first meeting in Kyoto. The EU has pioneered BEPS implementation with the recent adoption of the Anti-Tax Avoidance Directive (ATAD), but timely, consistent and widespread implementation of the BEPS package at global level remains critical in order to establish an international level playing field and avoid further loopholes.
I am also satisfied with the endorsement of the proposal for objective criteria to identify non-cooperative jurisdictions with respect to tax transparency and with the objective to prepare, by July 2017, a list of jurisdictions that have not yet sufficiently progressed towards a satisfactory level of implementation, as well as to consider defensive measures against them.
Following the adoption of conclusions on taxation last May, the Council has already started to determine, on the basis of a first screening by the Commission, non-cooperative third country jurisdictions with which dialogues should begin during the course of next year. The objective is to establish an EU list of such jurisdictions and explore defensive measures at EU level, in the tax as well as in the non-tax area, to be endorsed by the Council by the end of this year.
Finally, the G20 Summit reaffirmed the commitment of its members to sustainable development and strong and effective action to tackle climate change. The G20 leaders are committed to countries’ ratifying and implementing in a timely fashion all aspects of the Paris climate agreement, including financial assistance for developing countries. In particular, the G20 supported efforts to enable the Paris Agreement to enter into force by the end of 2016.
Alessia Maria Mosca, a nome del gruppo S&D. – Signora Presidente, onorevoli colleghi, riglobalizzazione, condivisione delle regole e inclusione: sono queste le parole chiave del G20, che vanno ora però implementate per non restare parole vuote.
Riglobalizzazione, perché abbiamo il dovere, come Unione europea, prima di tutto, di dare vita a una nuova globalizzazione che valuti l'impatto dei fenomeni globali, gli accordi commerciali, la rivoluzione digitale, i flussi migratori e introduca correttivi adeguati per non lasciare nessuno ai margini. Condivisione, perché abbiamo bisogno di regole e di fiducia tra i partner. L'istituzione di un forum che controlli gli eccessi di capacità, a partire dall'acciaio, è un primo segnale positivo. Infine inclusione, perché tutti ne siano parte e facciano la propria parte. Significativamente per la prima volta questo vertice riconosce l'importanza dell'inclusione delle donne come driver di crescita.
Davanti ai fallimenti della vecchia globalizzazione offrire una risposta protezionistica è tanto facile quanto dannoso. Sta a noi avanzare una proposta nuova, che tenga il mondo connesso senza lasciare nessuno indietro.
Sander Loones, namens de ECR-Fractie. – In het communiqué van de G-20-leiders lezen we dat de wereldeconomie zich herstelt. Al kan je tussen de lijnen lezen dat men daar toch wat aan twijfelt. Men vraagt tegelijk om meer overheidsinvesteringen en als ik dan de weekendkranten lees, dan staat daar: “Eindelijk, het beleid van besparingen heeft gefaald. Het is tijd om iets anders te proberen.” Dat was trouwens ook de lijn van de zes Zuid-Europese landen die vrijdag op de koffie zijn geweest bij meneer Tsipras in Athene. Met alle respect, maar de waarheid heeft haar rechten. De globale schulden zijn sinds 2008 niet gedaald. Integendeel, de schulden zijn toegenomen bij de bedrijven, bij de banken, bij de huishoudens en zeker ook bij de overheden. De totale schuld in de wereld bedraagt momenteel 200 biljoen euro. Dat is meer dan drie keer de totale wereldeconomie. Laat ons alsjeblieft dus geen blaasjes wijsmaken. Meer investeringen oké, maar dan zullen we ook eerst moeten besparen om die investeringen mogelijk te maken.
Pavel Telička, on behalf of the ALDE Group. – Madam President, thank you for the debriefing that we received. I do not want to reiterate what has been said, and I think there are a number of important points. The reconfirmed commitment to growth, innovation, facilitation of investment and liberalisation of free trade is, of course, highly relevant. I also appreciate that China committed itself to free trade and to fight protectionism, and of course the decision to set up a global monitoring entity for the over-production of steel is highly relevant, especially nowadays for Europe.
In this respect it would be interesting to know from the Commissioner what will precede the work at multilateral level, how we are going to perceive it and whether the Commission has already considered the technicalities.
I would like a bit more information on two points. On refugees, to which the Minister devoted some time, I think that the recognition of the problem might not be entirely sufficient. Secondly, we know that Putin met Obama on the sidelines of the summit and that a deal has been brokered on a ceasefire but I wonder why we do not have anything in the conclusions from the G20 summit. I think that, both on the refugee crisis and on this, this does not send the best signal.
However, my main point is the following: while there is a recommitment to free trade, I wonder how credible the EU is in reconfirming this with its international partners if, at the same time, while on the one hand we are talking multilateral liberalisation, bilateral agreements and so on, we have, on the other, voices in Germany, France and elsewhere in Europe saying that the Transatlantic Trade and Investment Partnership – an important free trade agreement – is basically dead.
We know what the Commission had to say but I wonder how the Council, and how the Presidency, will react on the issue, because this is definitely a hit to the credibility of the European Union.
Δημήτριος Παπαδημούλης, εξ ονόματος της ομάδας GUE/NGL. – Κύριε Moscovici, κύριε εκπρόσωπε του Συμβουλίου, στην Κίνα είδαμε ενδιαφέρουσες διακηρύξεις στο τέλος της συνάντησης του G20. Αλλά οι πολίτες ζητούν έργα χειροπιαστά όχι λόγια. Μετρήσιμο αποτέλεσμα και όχι απλά μια ανούσια ρητορική. Για παράδειγμα, στο θέμα της φοροδιαφυγής: ήταν σωστή η απόφαση της Επιτροπής για την φορολόγηση της Αpple, για την εκτεταμένη της φοροδιαφυγή στην Ιρλανδία. Έργα χρειαζόμαστε. Σωστά επισημάνατε, κύριε Moscovici, ότι χρειάζεται παγκόσμια συνεργασία στο προσφυγικό. Αλλά μπορεί η Ευρώπη να δίνει το παράδειγμα σε αυτό το θέμα, όταν η ίδια η ευρωπαϊκή συνεργασία δεν υλοποιείται, και έχουμε κράτη μέλη που αρνούνται να δεχθούν και να εφαρμόσουν τις αποφάσεις για αναλογική κατανομή των προσφύγων; Όταν ακόμη από τους 400 ειδικούς έχουν σταλεί λιγότεροι από 40 στη χώρα μου, την Ελλάδα, που σηκώνει ένα τεράστιο βάρος, για να βοηθήσουν στις διαδικασίες καταγραφής των προσφύγων;
Επιπλέον, όσον αφορά τις επενδύσεις και τη φοροδιαφυγή: η φοροδιαφυγή μόνο στην Ευρωπαϊκή Ένωση είναι 7 φορές μεγαλύτερη από τον ευρωπαϊκό προϋπολογισμό για το 2016, ανερχόμενη σε 1 τρισεκατομμύριο ευρώ τον χρόνο. Χρειαζόμαστε λοιπόν αποτελεσματικά έργα και όχι απλώς λόγια και περιμένω από τον εκπρόσωπο του Συμβουλίου να μας εξηγήσει στη δευτερολογία του, μαζί με όσα θα μας πει, γιατί σε μια τόσο σημαντική συνάντηση άργησε να έρθει.
Reinhard Bütikofer, im Namen der Verts/ALE-Fraktion. – Frau Präsidentin, sehr geehrter Vertreter des Rates, Herr Kommissar, liebe Kolleginnen und Kollegen! Ich bin dem Vertreter des Rates ausdrücklich dankbar dafür, dass er zu spät gekommen ist, weil uns das die Gelegenheit geboten hat, zu Beginn in voller Schönheit zur Kenntnis zu nehmen, wie Herr Kommissar Moscovici beim Bullshit-Bingo brilliert. Herr Moscovici hat gesagt, man hat sich erfolgreich darauf verständigt, dass man langfristig nachhaltiges Wachstum gewährleisten werde. Er hat gesagt, Europa habe eine Spitzenposition beim Wachstum. Er hat gesagt, die Kommission habe völlig zu Recht und erfolgreich auf die Priorität des Sozialen gesetzt. Herr Moscovici, Sie haben völlig Recht, wenn Sie sagen, man kann nicht der Meinung sein, Sie wären selbstgefällig. Sie sind nicht selbstgefällig, Sie berichten aus einem Paralleluniversum!
Sie haben gesagt, die Ergebnisse des Gipfels in Hangzhou würden den Erwartungen der EU vollständig gerecht. Das ist das Erbärmlichste, was man sagen kann, denn das heißt, business as usual ist für die EU gut genug. Wenn man von einigen kleinen Fortschritten absieht, wie zum Beispiel dem Stahlforum für Überkapazitäten, auf das schon hingewiesen worden ist, oder dass man jedenfalls die Kooperation beim Thema Green Finance nicht beerdigt hat, hat dieses Treffen in Hangzhou wenig Substanzielles gebracht.
Was es aber gebracht hat, ist die Einsicht, dass Europa bei einem solchen globalen Ereignis nur noch die zweite Geige spielt. Im Vorfeld dieses Gipfels ist viel darüber schwadroniert worden, wenn China die Entscheidung des UNCLOS Arbitration Panel nicht anerkenne, würde China als internationaler Paria behandelt. Es ist viel darüber geredet worden, dass Russland in die Ecke gestellt werden solle wegen der Rolle, die es zum Beispiel leider in der Ukraine und auf der Krim spielt. Fakt ist: Davon konnte beim Gipfel überhaupt nicht die Rede sein. China und Russland standen im Zentrum des Geschehens, während die EU auf der zweiten Bank saß. Und ich glaube, wir müssen anfangen, aufzuhören mit der Selbstzufriedenheit, dass business as usual für uns gut genug wäre, wenn wir daran etwas ändern wollen.
Die EU hat es nicht geschafft, das Klimaabkommen zu ratifizieren. Die Amerikaner und die Chinesen haben einen großen act daraus gemacht in Hangzhou. Das zeigt, wie sehr wir hinterherrudern, und Sie, Herr Kommissar, bringen genau die Geisteshaltung zum Ausdruck, die dafür sorgt, dass es nicht besser wird.
David Borrelli, a nome del gruppo EFDD. – Signora Presidente, onorevoli colleghi, l'ultimo G20 tenutosi in Cina non ha prodotto quei risultati che tutti noi avremmo diritto di aspettarci da un tale incontro di vertice, né quelle decisioni che la gravità della situazione mondiale richiederebbe. Tuttavia, delle posizioni utili a camminare verso un progresso più vero e più condiviso sono emerse e in qualche caso si sono affermate.
Voglio sottolineare i pochi fattori positivi, anziché richiamare quelli problematici, che pur ci sono, soprattutto in termini di omissioni. Ritengo infatti che una realtà come l'Unione europea debba dimostrare una sua capacità progettuale e concreta per essere credibile nel mondo e quindi influire su esso. Vi è in primo luogo il sostegno alla lotta dei cambiamenti climatici. Ora, dopo le ratifiche dell'accordo di Parigi da parte dei principali inquinatori mondiali – penso agli Stati Uniti e alla Cina – l'Unione europea deve fare in modo che non solo tutti gli Stati membri provvedano rapidamente a tale atto ma influire affinché anche i paesi terzi coinvolti facciano lo stesso.
In quest'ottica va anche valutata l'iniziativa sulla green finance e la proposta di incanalare verso soluzioni energetiche pulite una quota significativa dei fondi oggi diretti ai combustibili fossili. In questo senso, ci aspettiamo che la Commissione dia concretezza al progetto di economia circolare. Anche la dichiarazione di costruire un sistema finanziario aperto e resistente che punti su una cooperazione internazionale sul piano della tassazione e della trasparenza finanziaria è un elemento da non lasciar cadere, occorre però che gli si dia concretezza con grande rapidità. Mi auguro che questo Parlamento voglia affrontare questi temi e che la Commissione lo faccia sin da subito con il piano di lavoro 2017.
Janice Atkinson, on behalf of the ENF Group. – Madam President, at the recent G20 meeting my Prime Minister, Theresa May, expressed the UK’s determination to once again be a global leader in free trade. Now that the UK will soon unshackle itself from the EU, it will be able to reach out to its Commonwealth partners, which it could not do before, because of EU restrictions. Africa kept in poverty by aid from this place will instead be able to trade freely again with the UK. India and Australia, representing major markets, have already shown their interest in a free trade deal. China, another huge market, is equally ready to look into a free trade deal with my country. If even a tiny country such as Switzerland has a trade deal with China, then surely the UK can have one as well. And it will. All the while the EU has no trade deal with major markets around the world. You exclude Russia because of your stupid sanctions. I hope my country reopens trade negotiations with Russia and we will continue to have a good relationship with it.
The EU dictates the trade policies of European countries and, unsurprisingly, with meagre results, unless you believe that the few deals that it has managed to negotiate with countries such as Morocco, Papua New Guinea and Algeria are game changers. Of course you do have your secret TTIP negotiations – and how is that going, by the way? Your friend Obama tries to push through TTIP, and that mostly serves the interests of multinationals. It does not serve the people. TTIP will end up in the bin, as the French and German Ministers have already publicly announced that it is dead in the water.
I am not gloating over these failures, but I do want to point out that the EU has a bad track record and has failed the peoples of the EU. Member States have their hands tied behind their backs because an unelected Commission is deciding for you. I bet the UK will have a trade deal with all major economies across the globe before the EU and yes, even with the USA. Obama will soon leave office and a new US government will be more than happy to sign a trade deal with the UK, just like the rest of the world.
Bruno Gollnisch (NI). – Madame la Présidente, que retenir du sommet du G20 en Chine? Il y avait pourtant beaucoup à dire dans le pays des excédents d'acier, des textiles à bas prix qui inondent les marchés mondiaux, avec les conséquences que l'on connaît ici en matière de suppressions d'emplois.
Le président chinois s'est élevé contre toute idée de protectionnisme ou de barrières commerciales. Il défend ses intérêts, mais nous défendons mal les nôtres.
Sur le plan écologique, on a fait grand cas de la signature de l'accord de Paris par les États-Unis et la Chine, mais on apprenait dans le même temps que la Turquie programmait la construction de 80 centrales à charbon et la Chine ne renonce pas à son plan de construction de centrales thermiques jusqu'en 2030.
La situation en Syrie n'a guère progressé, malgré le très fragile et très partiel cessez-le-feu qui est intervenu.
Au G20, on aura beaucoup communiqué, occupé le terrain. On a parlé morale, la main sur le cœur, on a voulu faire avancer la croissance et surtout lutter contre les populismes, comme Mme Grossetête s'en est, à l'instant, félicitée. Le problème, c'est que lutter contre les populismes, c'est de plus en plus lutter contre les peuples.
Daniel Caspary (PPE). – Frau Präsidentin! Es ist schon interessant, zum einen das G20—Abschlussdokument zu lesen und zum anderen die Ausführungen von Rat und Kommission zu hören und sie mit der Realität in Einklang bringen zu wollen. Ich möchte dies nur an vier Beispielen aufzeigen: Seit Jahren wird in der G20 über die Frage von Steuergleichheit und Steuerfairness gesprochen. In der Europäischen Union kommen wir überhaupt nicht voran, und wenn wir nicht wenigstens eine Wettbewerbskommissarin hätten, die jetzt versucht, die Notbremse zu ziehen, weil die Mitgliedstaaten diesen unfairen Steuerwettbewerb immer noch nicht stoppen, dann wären wir auch in Europa noch keinen einzigen Schritt weiter. Von daher ist das, was Kommissarin Vestager macht, aus meiner Sicht zumindest ein kleines gutes Zeichen am Horizont.
Das zweite – Innovationen: Wir sprechen darüber, dass man Innovationen stärken soll. Wenn man sich dann in der Praxis aber anschaut, was wir in Europa machen: Wir sprechen über eine Stärkung von Innovationen zur Finanzierung des Juncker—Plans, nehmen dann Mittel aus dem Breitbandausbau in Europa raus und hängen damit die Räume, für die es besonders wichtig ist europäische Förderung zu bekommen, um nicht von der Zukunft abgehängt zu werden – nämlich unsere ländlichen Regionen – von der Entwicklung ab.
Das dritte, Strukturreformen: auch da viele, viele Erklärungen. Da ist es schade, dass in meinem Land etliche Strukturreformen, die vor zehn, fünfzehn Jahren gemacht wurden, zurückgenommen wurden, aber wenn ich mir andere Staaten anschaue – Frankreich und Italien –, ist zumindest mein Eindruck von außen, dass dort überhaupt keine Strukturreformen vorankommen, sondern faktisch Stillstand herrscht.
Und zum Thema Handel: Da sprechen wir über trade facilitation agreements, wir sprechen darüber, dass wir den Handel verbessern wollen, und sehen dann im Prinzip zeitgleich zu den G20—Gesprächen in China, wie unsere Mitgliedstaaten es schaffen, das gute Handelsabkommen zwischen der Europäischen Union und Kanada wirklich zu beschädigen, indem man es durch die Europäische Kommission zu einem gemischten Abkommen erklären lässt und überhaupt nicht vorankommt, dieses Abkommen weiter zu verhandeln, sondern ganz im Gegenteil; es wird von der Kommission hintertrieben.
Ich wünsche mir, dass nicht nur Erklärungen abgegeben werden, sondern dass versucht wird, diese Erklärungen wirklich in die Tat umzusetzen; hierbei versagt der Rat aus meiner Sicht vollkommen und die Kommission leider in vielen Bereichen.
Victor Boştinaru (S&D). – Madam President, the G20 summit in Hangzhou was a successful one, and I would like to say a few words to congratulate China for the way it was organised and presided over.
The S&D Group certainly welcomes the decisions in key sectors such as fair taxation, the refugee crisis and terrorism, and also the commitments to solve the problem of over- production, especially in the steel sector. But, as we know, it is one thing taking a decision and a totally different one putting it into practice.
We are very happy about the stance taken by the Commission against Apple in Ireland because, for the S&D Group, fair taxation is a key element in a wealthy and competitive economy. It is evident, however, that, alongside the measures to be taken at EU level, we need to act globally in order to make sure that the rules are binding for all. This is where Europe should assume its own responsibility as an important actor in the international community.
One key message, deriving from the G20 summit and more generally from the global economic situation, is that we need more growth, and that we cannot expect only developing countries to be the ones leading the process. The EU needs to do more in order to re-launch growth in the economy and to create more jobs, with more flexibility and more investment.
The G20 was also an occasion for the US and China to ratify jointly – and I would underline the symbolic importance of that ‘jointly’ – the Paris Agreement on climate change. This is an area in which Europe had always taken the lead but, at least this time, the United States and China got there first. They are the two biggest world polluters, so maybe this is equally a sign of world change. Europe should draw its own lessons because no EU Member State has ratified the Paris Agreement, and this is once again the difference between nice speeches and the action which is so necessary for European citizens and for the survival of the European project.
Νότης Μαριάς (ECR). – Κυρία Πρόεδρε, το κυριότερο συμπέρασμα από τη σύνοδο των G20 είναι ότι οι παγκόσμιοι ηγέτες απέφυγαν να αντιμετωπίσουν την αναγκαιότητα για δίκαιη κατανομή του παραγόμενου πλούτου και για καταπολέμηση της φτώχειας και της ανεργίας που πλήττει τον πλανήτη. Η καταπολέμηση της παγκόσμιας φτώχειας γίνεται επιτακτική, όχι μόνο για λόγους ηθικής τάξεως, αλλά επίσης επειδή το χτύπημα της φτώχειας θα ενισχύσει σε τεράστιο βαθμό την ενεργό ζήτηση. Επιπλέον, πρέπει να αντιμετωπιστεί το φορολογικό ντάμπινγκ, η φοροδιαφυγή και η φοροαποφυγή των πολυεθνικών, καθώς επίσης και το παγκόσμιο χρέος, το οποίο έχει εκτοξευθεί στα ύψη. Οι G20 παρέπεμψαν στις καλένδες τα μέτρα για την προσφυγική κρίση και για την αντιμετώπιση των προβλημάτων της ευρωπαϊκής χαλυβουργίας. Για το προσφυγικό, το μόνο που έκαναν οι G20 ήταν να εκφράσουν απλά ευχολόγια, χωρίς όμως να αναλάβουν συγκεκριμένες δεσμεύσεις και να επωμιστούν το αντίστοιχο βάρος. Τέλος, αντί να λάβουν μέτρα για την προστασία της ευρωπαϊκής χαλυβουργίας και των εργαζομένων της, αποφάσισαν απλά τη δημιουργία ενός φόρου, και το ζήτημα της λήψης μέτρων κατά της Κίνας, η οποία δημιουργεί το πρόβλημα στην παγκόσμια χαλυβουργία, απλά παραπέμφθηκε στο μέλλον.
Jasenko Selimovic (ALDE). – Fru talman! G20-toppmötet hade en väldigt ambitiös rubrik: På väg mot en innovativ, vital, sammankopplad och inkluderande världsekonomi. Jag var glad över att globala ledare förstod att dagens omfattande utmaningar kräver en sådan ambition.
Dessvärre stannade det goda vid rubriken. Slutdeklarationen innehåller inte ett enda bindande åtagande och är snarare ett bevis på att de 20 mäktigaste ekonomierna inte vet hur de ska komma överens om hur de ska lösa dagens utmaningar. För hur ska man annars tolka följande mening:
“We support efforts to promote voluntary knowledge diffusion and technology transfer on mutually agreed terms and conditions.”
Allvarligt talat! Inte ett enda ordöverhuvudtaget om vem, när, hur, med vilka. Vi lever i en tid av enorm populism. Vi behöver desperat tillväxt för att röra oss från den främlingsfientliga fläck som vi har fastnat i. Vi behöver hantera flyktingkrisen, Syrien, Ryssland, klimatet, epidemier, rasism – och det enda som de 20 mäktigaste ekonomierna kommer överens om är voluntary knowledge diffusion. Seriöst!
Kolleger, G20-mötet demonstrerar avsaknaden av gemensamma nämnare och visar att EU- och G20-ledarna inte är vuxna uppdraget. Då är det inte så konstigt att väljarna röstar på populister som lovar guld och gröna skogar. Vi behöver konkreta åtgärder, mätbara resultat, rimliga och genomtänka svar på dagens utmaningar och beslutsamhet att bemöta dem. Det är bara så man kan vinna väljarnas förtroende.
Miguel Viegas (GUE/NGL). – Senhora Presidente, esta reunião do G20 – mais uma –representa um verdadeiro hino à hipocrisia. Perplexos perante os resultados desastrosos das suas políticas, os países do G20, representando mais de 80 % da riqueza mundial, propõem-nos mais uma tentativa para resolver a quadratura do círculo.
Desta forma, procura-se conciliar o crescimento económico, a desregulamentação do comércio internacional e as questões climáticas, tudo devidamente embrulhado com justiça social. Naturalmente estas piedosas declarações poderão iludir muita gente durante algum tempo, mas não poderão enganar toda a gente para todo o sempre.
A instabilidade financeira, a corrupção, as desigualdades sociais e o próprio aquecimento do planeta representam outras tantas faces das políticas neoliberais ao serviço do grande capital internacional.
Não serão dois ou três ou até vinte países ricos a resolver os problemas da humanidade, serão os povos em luta na construção de uma alternativa progressista e anticapitalista, capaz de dar resposta aos graves problemas do planeta em benefício dos trabalhadores e dos povos e não em favor de um punhado reduzido de multimilionários.
Patrick O'Flynn (EFDD). – Madam President, it is good that countries meet to talk things through. It is even good that the EU – for so long as it exists – tags along for the ride. But let us be clear: summits in China are not going to solve the key problems facing Europe, namely economic stagnation and the social disruption caused by uncontrolled, irregular and large—scale immigration from Africa and Asia.
So long as the euro remains, growth across its members will be weak. We have had 15 years to find this out and every year provides us with more evidence. On migration, Mrs Merkel seems to expect all the Schengen countries to clear up her mess, and Mr Juncker thinks national borders should be abolished altogether. The EU’s representatives will keep going to G20 summits but every year they will be pushed a little further out to the fringes in the family photograph. The awkward truth is that, with every passing year, the failing EU and its members count for less in the world.
Mr Moscovici is right to say that the UK will remain a decisive European country in the years ahead. I very much hope that it can be a beacon for Europe, encouraging other European countries to take back control of their politics at a national level and make good use of the extra social solidarity that the nation-state provides. Only by harnessing this can European voices command the influence in the world that our great continent deserves.
Barbara Kappel (ENF). – Frau Präsidentin, Herr Kommissar, geschätzter Vertreter des Rates! Am 4. und 5. September fand das 11. Treffen der Regierungschefs der Gruppe der 20 wichtigsten Industrie- und Schwellenländer in Hangzhou in China statt. Im Zentrum der Beratungen stand der Aufbau einer innovativen, gestärkten, vernetzten und inklusiven Weltwirtschaft. Gefordert wurde ein Aktionsplan zur Ankurbelung der schwachen Weltwirtschaft. Dieser Aktionsplan wird dringend notwendig sein, wenn wir sehen, dass in Europa die Investitionen immer noch nicht das Vorkrisenniveau erreicht haben, wir allein in Europa eine Investitionslücke von 400 Milliarden Euro haben und Eurostat das europäische Wachstum jetzt für das erste Halbjahr 2016 wieder zurückstufen musste.
Mittels des sogenannten Hangzhou-Konsenses soll nun ein inklusiveres Wachstum basierend auf besserer makroökonomischer Koordinierung, offenem Handel und Innovation erreicht werden. Ein Schwerpunkt liegt auf der Digitalisierung. Ja, das sind die richtigen Schwerpunkte. Konkreter scheint mir aber die Einrichtung des weltweiten Stahlforums, das beschlossen wurde und das bereits im kommenden Jahr ganz konkrete Maßnahmen vorlegen soll.
Ebenso hat sich die Konferenz zur Umsetzung der Klimaschutzziele verpflichtet. China und die Vereinigten Staaten haben hier sicher das Highlight gesetzt, indem sie sich dazu verpflichtet haben, die Klimaschutzziele von Paris zu vereinbaren. Das ist das Highlight, da hat man den Europäern die Show gestohlen. Das ist aber auch wichtig. Positiv ist auch die Einschätzung der Green Finance, der Kampf gegen die Steuerflucht und insbesondere gegen intransparente Steueroasen. Eine Liste soll es nächstes Jahr beim G20-Gipfel geben. Ich hoffe, man schafft diese Liste; bisher ist es nicht gelungen. Schauen wir, was die Zukunft bringt.
Ελευθέριος Συναδινός (NI). – Κυρία Πρόεδρε, η σύνοδος κορυφής των ηγετών των 20 ανεπτυγμένων χωρών πραγματοποιήθηκε στον απόηχο τριών σημαντικών γεγονότων: του «Brexit», της προσέγγισης Ρωσίας-ΗΠΑ και του αποτυχημένου πραξικοπήματος στην Τουρκία. Η Ρωσία, οι ΗΠΑ, η Αυστραλία και η Κίνα εξέφρασαν την πρόθεσή τους για οικονομική και εμπορική συνεργασία με τη Βρετανία. Ως Ευρωπαϊκή Ένωση, πρέπει να προσέξουμε, και απευθύνομαι κυρίως στη διαπραγματευτική ομάδα: αν η Ένωση τηρήσει εκδικητική στάση στις διαπραγματεύσεις – και αναφέρομαι κυρίως στη Γερμανία – τότε θα περάσει αρνητικό μήνυμα στις υπόλοιπες χώρες της Ένωσης και, κυρίως, στον υπόλοιπο κόσμο.
Οι ΗΠΑ και η Ρωσία προχωρούν σε συνεργασία για την καταπολέμηση της τρομοκρατίας, ενώ ο Πούτιν και η βρετανίδα Πρωθυπουργός May συμφώνησαν σε ανάπτυξη των διμερών εμπορικών και στρατηγικών σχέσεων. Είναι λοιπόν καιρός να καταργηθεί το καθεστώς κυρώσεων στη Ρωσία, το οποίο μόνο προβλήματα δημιουργεί στις εξασθενημένες οικονομικά χώρες της Ένωσης. Τέλος, όσον αφορά την Τουρκία, πρέπει πλέον να της επιβληθούν αυστηρές κυρώσεις, ιδίως μάλιστα μετά από τις απειλές του Ερντογάν να απελευθερώσει ροές λαθρομεταναστών και προσφύγων. Ο Πρόεδρος του Ευρωπαϊκού Συμβουλίου, κύριος Tusk, δήλωσε ότι η Ευρώπη δεν έχει άλλες δυνατότητες να υποδεχθεί νέα κύματα μεταναστών. Είναι εκβιασμός λοιπόν να ζητάει ο Ερντογάν όλο και περισσότερα από την Ένωση, αλλά είναι κυρίως ανοησία οι Ευρωπαίοι ηγέτες να υπομένουν τέτοιο εξευτελισμό επιδεικνύοντας υποχωρητικότητα.
Gunnar Hökmark (PPE). – Madam President, the G20 meeting was held at a time that is more uncertain and more risk-laden than we have seen for decades. It could have been an important meeting in this perspective, but very little came out of it. And what came out of it did so because all the crucial problems that the global world order is facing were avoided. Nothing was really said about Syria, with its global impact not only on refugees but also on stability and security. Nothing was said about Ukraine, with the breaking of international law and international agreement that is undermining the rules underpinning world stability. Nothing was said about the need to fulfil Western sanctions against Russia, which is breaking international rules.
The conflicts on the islands in the South China Sea were also avoided, as were, in reality, the issues about obligations for the countries to fulfil to combat climate change. Nothing was said, either, about the need to enhance legal certainty for investments in the global order. We are today facing the undermining of respect for international rules. We see this very much in Russia and in China, who say they will not follow international court decisions. The next time there is a G20 meeting it will be important for the European Union to take the lead in restoring legal certainty and respect for international rules, because otherwise these meetings have no real meaning.
(The speaker agreed to take a blue-card question under Rule 162(8))
Ангел Джамбазки (ECR), въпрос, зададен чрез вдигане на синя карта. – Г-жо Председател, уважаеми колега, не смятате ли, че на тази среща трябваше да се обърне повече внимание на ролята на диктаторския режим в Турция в имигрантската криза? И не смятате ли, че трябваше да се обърне повече и време, и да се постави въпросът за санкции за Турция, която така, както Русия анексира част от Украйна, за втори път анексира територии от суверенна държава? Напомням: анексът на Кипър и сегашното нахлуване на въоръжените сили на Турция в Сирия.
Gunnar Hökmark (PPE), blue-card answer. – I think it could have been a good idea also to mention what has happened in Turkey in two ways: first of all, to strongly react against any sort of attempt to have a coup d'état, because what could have followed that would have been a civil war with a real disaster, even more than the disaster we are facing. Secondly, I think the importance of Turkey coming back to full respect for civil society and independence could have been stressed. I think both things should have been said, but the G20 avoided things that were crucial and I do not think that, in the time we are living in, we can avoid the complicated issues. We need to deal with them, hopefully together, but at least together with democratic nations.
Tibor Szanyi (S&D). – Elnök Asszony, szeretnék köszönetet mondani Tusk elnök úrnak, amiért fölhívta a G20 résztvevőinek figyelmét a tevőleges szolidaritás igényére. Hiszen az Európára nehezedő migrációs nyomás okai globálisak, és ennélfogva a megoldásoknak is globálisaknak kell lenniük. Bár azért nehéz dolgunk van, hiszen magán az Európai Unión belül is vannak olyan tagországok, amelyek nem nagyon akarják kivenni a részüket ennek a problémának a kezeléséből, illetve a megoldásából. A másik köszönet Juncker elnök úrnak jár, hiszen nagyon elokvens módon figyelmeztette a résztvevőket, pontosabban a kínai vendéglátókat, az EU tagállamaiba irányuló kínai acélexport visszásságai kapcsán. Úgy gondolom, hogy az európai munkahelyek védelmében nagyon jó szolgálatot tett.
Végezetül pedig szeretném azt is fölvetni, hogy bár pont a tanácskozás idejére vagy a köré esett Kínának a csatlakozása a párizsi klímamegállapodásokhoz, az elkövetkezendő G20-ak alkalmával – úgy gondolom – nagyobb, még nagyobb és folyamatos figyelmet kell biztosítani annak érdekében, hogy az európai akaratokat – miszerint a fosszilis energiahordozókat, hacsak lehet a föld alatt hagyjuk – képviselni tudjuk.
Bernd Lucke (ECR). – Frau Präsidentin, meine Damen und Herren! Dieser Gipfel hat in mehrfacher Hinsicht zu kurz gegriffen. Einiges ist schon erwähnt worden: Er greift zu kurz im Bereich des Freihandels, wenn nicht auch darüber geredet wird, dass der Freihandel gerade auch von vielen europäischen Politikern nicht etwa verteidigt, sondern immer wieder in Frage gestellt wird. Er greift zu kurz, wenn mehr Staatsausgaben gefordert werden, ohne darauf hinzuweisen, dass wir große Probleme dabei haben, die Überschuldung der Staaten zu bekämpfen, die diese Staatsausgaben finanzieren sollen.
Er greift aber auch zu kurz, wenn über den Terror und die Bekämpfung des Terrors geredet wird, ohne über die geistigen Grundlagen des Terrors zu reden und darüber, dass es dringend erforderlich wäre, die Ausbreitung radikalen gewaltbereiten islamistischen Gedankengutes stark zu bekämpfen – in allen Ländern der Welt und insbesondere in muslimischen Ländern der Welt, die dem zum Teil wehrlos ausgesetzt sind, die dem Angriff dieser salafistischen und wahhabitischen und fundamentalistischen und den Taliban oder dem IS nahestehenden Richtungen des Islam nichts entgegenzusetzen haben – nichts entgegenzusetzen haben in den sozialen Medien, nichts entgegenzusetzen haben in der Sozialarbeit, die von diesen radikalen Organisationen zum Teil vorbildlich betrieben wird.
Hier muss deutlich gemacht werden, dass der Westen auch eine Antwort hat für gläubige Menschen, die ein konservatives Weltbild haben, die aber nicht gewaltbereit sein wollen und die sich diesen Angriffen auf ihre Religion verschließen wollen.
Νικόλαος Χουντής (GUE/NGL). – Κυρία Πρόεδρε, στα συμπεράσματα της συνόδου κορυφής των G20 επαναλαμβάνονται η πίστη στα δόγματα της νεοφιλελεύθερης παγκοσμιοποίησης και η υπόσχεση - τα ευχολόγια - ότι αυτή η παγκοσμιοποίηση θα λειτουργήσει σε όφελος όλων των λαών, όλων των χωρών. Γίνεται μια απεγνωσμένη προσπάθεια να αποκρυφτούν οι ευθύνες για την προσφυγική κρίση, για την αστάθεια στη Μέση Ανατολή, για τα οικονομικά προβλήματα, για τη φτώχεια, για τη φτώχεια σε πλούσιες και φτωχές χώρες, για την περιβαλλοντική κρίση.
Κύριε Moscovici, τα μεγάλα προβλήματα της παγκόσμιας οικονομικής κρίσης είναι κυρίως ευρωπαϊκά προβλήματα. Αιτία γι’ αυτό είναι οι δικές σας πολιτικές: οι πολιτικές της λιτότητας, της δημοσιονομικής πειθαρχίας, της περικοπής των δημόσιων επενδύσεων και των δημόσιων δαπανών, της αναπαραγωγής της ανεργίας και της διαρροής εγκεφάλων από τις φτωχές χώρες προς τις πλουσιότερες. Αυτή είναι η πολιτική την οποίαν εισπράττει και η Ελλάδα των μνημονίων, με χαρακτηριστικότερο παράδειγμα τις μνημονιακές πολιτικές που οδηγούν σε αυτά τα αποτελέσματα. Τα ευχολόγια λοιπόν των G20 και της Ευρωπαϊκής Ένωσης, κύριε Moscovici, περί εξανθρωπισμού του καπιταλισμού δεν πείθουν πια κανέναν.
Udo Voigt (NI). – Frau Präsidentin! Werte Kolleginnen und Kollegen, wir haben hier einen tollen Bericht gehört, der alles schöngefärbt hat. Es wird gesprochen von gerechtem Freihandel, gerechtem Wachstum für alle; niemand soll künftig mehr auf der Strecke bleiben. Werte Kolleginnen und Kollegen, wenn niemand mehr auf der Strecke bleibt, haben wir ja alles gelöst. Dann haben wir auch kein Migrationsproblem mehr, und dann haben wir ja gerechten Handel, gerechtes Wachstum für alle.
Sie fordern, dass in der Flüchtlingskrise mehr Solidarität kommt. Wo ist denn diese Solidarität? Auf der einen Seite wird Frontex statt zur Grenzschutzagentur zum Fährdienst für Migranten umformiert, und auf der anderen Seite macht Australien genau das Gegenteil: Sie retten die Migranten und bringen sie zum entsprechenden Ausgangspunkt zurück. Haben Sie denn auch mit den USA gesprochen, die verantwortlich sind für diese ganzen Migrationsströme? Wie viele Millionen Flüchtlinge nehmen denn die Vereinigten Staaten von Amerika auf?
Cristian Dan Preda (PPE). – Madame la Présidente, je souhaiterais tout d'abord saluer les conclusions du dernier sommet du G20, car l'accent a été mis sur plusieurs éléments qui sont d'une importance stratégique pour l'Union.
Je voudrais insister tout d'abord sur la question du développement et la nécessité de mettre en œuvre efficacement les objectifs de l'agenda 2030. Comme je suis le rapporteur du Parlement sur la cohérence des politiques au service du développement, j'ai été ravi de voir que la question de la cohérence politique pour un développement soutenable a été mentionnée dans les conclusions. Je crois que l'Union a un rôle-clé à jouer pour promouvoir ce concept de la CPD, de la cohérence des politiques au service du développement, et ce forum a été une belle opportunité.
Un autre point est la question des réfugiés. Nous avons été frappés plus durement que d'autres par la crise des réfugiés, et quand il s'agit de cette question, il faut s'efforcer de travailler avec les autres partenaires pour déterminer les causes profondes de la crise, et les causes profondes sont aussi des causes politiques. Il ne faut pas oublier que les réfugiés viennent de régimes qui ne sont pas démocratiques et qui sont très loin de l'état de droit, et la coopération doit donc s'engager sur ce point.
Dans ce contexte, il est un peu triste de voir que la Russie est de retour sur la scène internationale. Elle est acceptée comme un partenaire normal, même si, comme on le sait, la Crimée est toujours occupée. La Russie continue à violer ouvertement le droit international, et on en voit les effets. Les séparatistes sont encouragés. En Transnistrie, il y a trois jours, le chef de la prétendue république de Transnistrie vient de demander l'adhésion de la Transnistrie à la Russie sur la base d'un référendum tenu il y a dix ans. Nos actes ont toujours des conséquences et il importe de rappeler que la Russie est un très mauvais partenaire du point de vue du droit international et, effectivement, de l'état de droit.
Agnes Jongerius (S&D). – Ik denk dat je kunt zeggen dat de uitkomst van de G-20 enerzijds bemoedigend was, maar anderzijds ook zeer teleurstellend. Want ja, het ging heel veel over groei en banen, maar de oplossingen in de verklaringen van de G-20 zijn toch heel veel “business as usual”: supply-side economics, een strikt budgettair beleid en heel veel nadruk op hervormingen, terwijl de wereld wanhopig zit te wachten op het tegenovergestelde, namelijk vraag, vraag en nog eens vraag. De wereldeconomie kampt met een vraagtekort. De lage rentes en de grote tegoeden bij overheden en bij bedrijven dienen daarom ingezet te worden om de echte economie te stimuleren. Het is zo enorm jammer dat dat vorige week over het hoofd gezien is. Investeringen, zowel publiek als privaat, en ruimte voor loonstijging zijn heel hard nodig. Ik hoop dan ook van harte dat aanstaande vrijdag in Bratislava daar wel een open oog voor is.
Zoltán Balczó (NI). – Elnök Asszony, az Európát sújtó népvándorlás megállítása nem lehet csupán európai feladat, ahogyan a létrejöttében is súlyos felelőssége van a globális szereplőknek – mindenek előtt az Egyesült Államoknak. Ezt kellett volna érvényesíteni az EU-nak a G20-ak találkozóján. Idézek a Tanács és a Bizottság elnökének közös leveléből: „felhívást fogunk intézni a részt vevő felekhez a humanitárius támogatások növelése, a migránsok áttelepítésének fokozása érdekében”. Ugyanakkor Donald Tusk kijelentette: „Európa lassan eléri kapacitásának határát a menekültek befogadása terén”. Nos, a valósághoz ez az állítás áll közelebb. Ideje lenne annak, hogy az európai országok vezetői, élükön Angela Merkellel, kiemeljék a fejüket a homokból, és szembenézzenek a lakosság többségi akaratával. Meg akarjuk védeni európai identitásunkat és európai kultúránkat!
Milan Zver (PPE). – V zanimivi razpravi smo slišali, da je bil vrh skupine G20 le deloma uspešen.
Voditelji so se sicer dogovorili glede novih ukrepov v boju proti utaji davkov, Združene države Amerike in Kitajska sta se sporazumeli o ratifikaciji pariškega sporazuma o podnebnih spremembah, voditelji so pokazali rumeni karton kitajskemu dampingu v jeklarski industriji, ponovno so pokazali zavezanost svetovni trgovini in prostotrgovinskim sporazumom. Kaže tudi, da sta ZDA in Rusija dokončno prevzeli odgovornost za premirje v Siriji.
Zagotovo pa vrh ni bil posebno uspešen za novo premierko Združenega kraljestva. Na njem je namreč ameriški predsednik Obama novi britanski premierki Mayevi ponovno sporočil, da Velika Britanija ne bo imela privilegijev pri pogajanjih za nov trgovinski sporazum z ZDA, niti ZDA ne nameravajo spreminjati svojih tradicionalnih zunanjepolitičnih prioritet. Poudaril je, da je ena glavnih prioritet Amerike čezatlantsko partnerstvo z Evropsko unijo.
Kmalu potem je celo japonska vlada predala Mayevi študijo, v kateri ugotavljajo, da bodo številna japonska podjetja prisiljena seliti svoje sedeže iz Združenega kraljestva v druge članice Evropske unije, v kolikor Britanci ne ostanejo člani enotnega trga.
No, kljub temu pa je G20 prinesel nekaj morda manj vidnih sporočil. To je močnejšo zavezanost dvajseterice k prosti trgovini in s tem v zvezi boj proti različnim oblikam protekcionizma. To se zagotovo nanaša na Kitajsko in zveni tudi kot svarilo morebitni spremembi kursa po volitvah v ZDA.
Nov gospodarski zagon mora temeljiti na inovativnosti in pravičnosti, gospodarska rast pa naj bo inkluzivna. Ta sporočila vrha G20 so dobra.
Upam, da bodo rezultati tega vrha spodbudili Evropsko unijo, da pospeši sprejemanje prostotrgovinskih sporazumov s Kanado in ZDA.
Hugues Bayet (S&D). – Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, même le G20 s'éloigne un peu plus maintenant du dogme de l'austérité et appelle à recourir à l’investissement public pour relancer la croissance.
L'Europe a en effet un besoin criant d'investissements publics puisqu’ils n’ont plus été aussi faibles depuis des décennies, alors même que les taux d'intérêts sont historiquement bas. Je pense que c'est un combat important, car l'investissement public, c'est un gage d'emplois de qualité et de progrès social pour tous, mais c'est aussi un soutien indispensable à l'économie réelle.
C'est aussi parfois un palliatif à la fuite, voire à la lâche désertion du secteur privé. Le dernier exemple en date, c'est le brutal licenciement boursier de Caterpillar à Gosselies en Belgique, où plus de 5 000 emplois ont été perdus en quelques minutes. Il n’y a rien d'économique là-dedans, c'est juste quelques milliers de familles qui sont sacrifiées pour remplir les poches de quelques nantis avec de plantureux dividendes. Ajoutons au passage que, depuis 15 ans, Caterpillar prive les recettes publiques belges de plusieurs millions d'euros en rapatriant ses bénéfices en Suisse. Pourtant le G20 demande aussi de lutter efficacement contre les paradis fiscaux.
Caterpillar est donc devenu un peu le symbole de ce qui ne va pas en Europe, et, si l'Europe n'est pas capable dans l'urgence d'évoluer vers plus de justice sociale et fiscale, ses citoyens lui tourneront définitivement le dos, et je pense qu'ils auront raison.
Josef Weidenholzer (S&D). – Frau Präsidentin! Solche Gipfel wie der G20-Gipfel sind eigentlich grundsätzlich problematisch. Es werden im Vorfeld große Erwartungen genährt, die dann nicht erfüllt werden können, und sie zeigen auch, dass vieles von dem, was wir in Europa als vorrangig betrachten, auf globaler Ebene nicht als wirklich wichtig erachtet wird, vor allem dann, wenn man sich vorher selber schwächt wie beim Referendum über den Brexit.
Aus europäischer Sicht gibt es neben der sehr oberflächlichen und keineswegs innovativen Behandlung der wirtschaftlichen Rahmenbedingungen vor allem drei Mängel: Migration wurde nur vage andiskutiert; vor allem mangelt es an gemeinsamen Absichten, die Flüchtlingskrise zu lösen. Ähnliches trifft auf die Bekämpfung des Terrorismus zu, wo Maßnahmen gegen Geldwäsche und illegalen Waffenhandel vorrangig wären. Wenn das nicht gelingt, dann gleicht unsere Arbeit der des Sisyphus. Und schließlich wurde ein Bereich, der zu den Stärken der EU zählt, der digitale Sektor, fast vollständig ausgespart. Nachhaltiges Wachstum muss sich vor allem dieser Thematik zuwenden.
Francisco Assis (S&D). – Senhora Presidente, Senhor Comissário, mesmo que destas cimeiras não saiam soluções, no imediato, de que o mundo precisa, é já importante que as grandes potências consigam, pelo menos, consensualizar um diagnóstico acertado dos principais problemas que se colocam ao mundo.
Nesta cimeira, os líderes do G20 perceberam que o mundo enfrenta o regresso dos discursos nacionalista e protecionista. Seduzidas por tais discursos, as populações de diversos países estão a apontar a globalização como o principal culpado das dificuldades laborais e sociais que as afetam. Ora, no seu comunicado final, os líderes do G20 dispõem-se a lutar contra o protecionismo e a eliminar obstáculos ao comércio e ao investimento internacional, reconhecendo, no entanto, o que é importante, que a globalização não é um fenómeno homogéneo.
Nos países em desenvolvimento e nas economias emergentes, a globalização está ligada, nos últimos anos, a progressos no campo da redução da pobreza, do aumento da esperança média de vida e da redução da mortalidade infantil, entre outros. Mas nos países desenvolvidos, tem tido alguns efeitos adversos ao nível, por exemplo, da precarização do trabalho e da evasão fiscal.
O comunicado final reconhece os benefícios da globalização e que estes têm de ser amplamente partilhados. Mas um comunicado não substitui um plano, e faltou um compromisso claro em torno das medidas de regulação global capazes de neutralizar as dificuldades que a globalização também tem provocado e relançar o crescimento.
Sergio Gaetano Cofferati (S&D). – Signora Presidente, onorevoli colleghi, signor Commissario, Le confesso che mi sarei aspettato conclusioni migliori da parte della discussione del G20. Va bene dire che bisogna far crescere l'economia e prendere atto che, senza una crescita diffusa e uniforme, i problemi drammatici di carattere sociale ed economico che il mondo sta attraversando non si risolverebbero, però bisogna fare anche proposte che siano coerenti con l'assunto e queste proposte non ci sono.
Per avere una crescita sostenibile, bisogna avere norme ambientali rigide da rispettare. Queste non ci sono, e il rispetto delle norme esistenti, con Lei sa, è molto lasco. In secondo luogo, bisogna avere una politica economica fondata su una comune politica fiscale. Riguardo alle cose di cui Lei si occupa, io apprezzo molto il Suo lavoro, però bisogna dire che nel mondo l'attenzione alle politiche fiscali è molto bassa. La competizione tra la qualità dei prodotti e i sistemi produttivi è stata sostituita dalla competizione basata sul non far pagare tasse.
Credo che occorra cambiare radicalmente questa direzione e l'Europa può dare il buon esempio risolvendo i problemi dei quali Lei si sta occupando.
Elly Schlein (S&D). – Signora Presidente, onorevoli colleghi, le conclusioni del G20 in materia di immigrazione sembrano una semplice presa d'atto della gravità della crisi e un inutile esercizio retorico. Si è preferito rinviare invece di intervenire con soluzioni concrete.
È assurdo che al tema dell'immigrazione sia stato dedicato solo 1 paragrafo su 48 (c'è da chiedersi in che mondo vivano i leader del G20!), un paragrafo che molti, tra cui Amnesty, hanno definito ipocrita perché la richiesta di una condivisione maggiore degli oneri da parte di paesi che non si assumono per primi le proprie responsabilità suona come un appello vuoto e ridicolo.
Attualmente solo 27 paesi nel mondo hanno programmi regolari per il reinsediamento dei rifugiati e appena 9 di questi fanno parte del G20. E non mi convince nemmeno Tusk, che dice che l'Europa sta arrivando al limite: l'86% delle persone sfollate si trova nei paesi in via di sviluppo. Ma di cosa stiamo parlando? Saremmo più credibili nel chiedere un maggiore sforzo di condivisione globale se intanto dessimo l'esempio facendolo al nostro interno.
Monika Flašíková Beňová (S&D) – Stretnutie lídrov G20 v Číne bolo plné dôležitých tém a dobrou správou je, že lídri sa na mnohých veciach dohodli. Za ekonomickými a obchodnými témami aj napriek tomu, že išlo o stretnutie najvýznamnejších svetových politikov, však musí byť vidieť zlepšenie života ľudí nielen v ekonomicky vyspelých krajinách, ale na celom svete, pretože práve zlepšovanie sociálnych podmienok a kvality života má významný dopad aj na globálne témy, ktorými sú napríklad už spomínaná migrácia či udržateľnosť svetového hospodárstva a globálneho obchodu. Za veľmi dôležitú oblasť tiež považujem boj proti daňovým únikom, ktoré ožobračujú naše štátne rozpočty o množstvá miliárd eur, ale aj riešenie naliehavých diplomatických otázok najmä vo vzťahu k Turecku, ktoré je pre Európsku úniu veľmi dôležité aj z pohľadu riešenia migračnej krízy. Napriek niektorým všeobecným deklaráciám a dohodám však aj po tomto samite ostáva akýsi zvláštny pocit, ako keby každý z lídrov hovoril viac individuálne za svoju krajinu ako za celé Spoločenstvo.
Catherine Stihler (S&D). – Madam President, the recent G20 Summit in Hangzhou saw several notable outcomes in steel dumping, tax avoidance and the refugee crisis. However, it was the comments made to my own country, the United Kingdom, which were chilling. With the focus of the meeting on economic growth, trade and investment, and with the UK’s decision to exit the EU, until that exit is concluded, uncertainty will exist in all of these areas. We do not even know, almost three months on since the referendum result, whether the UK’s negotiating position will prioritise access to the EU single market, a single market critical to the health of the British economy, critical to British jobs and, I would say, critical to Britain’s national interest.
And then there were the comments made by President Obama that a trade deal between the US and the EU will be a priority over any trade deal with the UK, followed by the warning from the Japanese that their firms could pull out of the UK if there was no single market access. I urge the British Government to listen, to take action, and to ensure that Britain can maintain what it has in accessing 500 million consumers in 27 different countries with one single set of rules, ensuring certainty for business and the highest standards for consumers.
Georgi Pirinski (S&D). – Thank you Madam President. By all accounts, this year’s G20 summit was dominated by a new and overriding awareness. The rising anger of people at the ravages that present-day neoliberal globalisation has caused in their lives. Media reports have claimed that Australian Prime Minister Turnbull actually called on leaders to ‘civilise capitalism.’
Some of this awareness has found its way in the final communiqué, which states: ‘quality employment is at the centre of the G20’s domestic and global agenda, together with reducing inequalities and promoting inclusive labour force participation.’ These precisely are the Big Issues (in capital letters) that President Junker and his Commission must directly tackle with the utmost urgency and full priority, or see the European project disintegrate under the tidal wave of widespread and completely justified popular protest.
Carlos Zorrinho (S&D). – Senhora Presidente, as declarações dos líderes e os comunicados oficiais da recente Cimeira do G20 indiciam um bom diagnóstico dos problemas que afetam o atual quadro de globalização desregulada. Deixam também perceber um bom entendimento sobre as soluções, reforçar a agenda de crescimento, aumentar a transparência, garantir a equidade territorial no impacto nas relações económicas, resolver as questões que multiplicam as crises de refugiados e os fluxos migratórios não sustentáveis, lutar contra o terrorismo e responder aos desafios das alterações climáticas.
Num mundo em que as desigualdades se aprofundam cada vez mais e as pessoas são cada vez mais instrumentalizadas, a agenda proclamada pelo G20 aumenta a responsabilidade de quem a subscreve. É preciso concretizá-la e, por isso, nós, na União Europeia, temos de dar o exemplo, colocando estas prioridades na nossa agenda. Aumenta assim a expectativa em relação ao discurso que amanhã será aqui proferido pelo Presidente da Comissão.
Depois de as políticas de austeridade cega terem empobrecido e enfraquecido a União, os abutres populistas e nacionalistas sobrevoam agora a sua possível presa. Mas quando olhamos para a agenda do G20, vemos que essa é uma agenda em que só uma União Europeia unida, cooperante e solidária pode vencer. O caminho é claro, comprometemo—nos com um caminho. Façamo-lo portanto, acontecer.
Pyynnöstä myönnettävät puheenvuorot
Laima Liucija Andrikienė (PPE). – Ačiū. Kolegos, galime pasidžiaugti, kad G20 susitikimas Kinijoje įvyko. Deja, tenka pastebėti, kad jis nepasižymėjo svarbiais susitarimais ir sprendimais. Kas iš tiesų galėtų džiaugtis rezultatu – tai jo šeimininkė, Kinija, kuri išnaudojo G20 formatą kaip dar vieną progą pareklamuoti Pekino ekonominį pasaulio modelį, „One belt, one road“ strategiją, deatlantizacijos strategiją. Tuo metu Kanada pasiprašė priimama į AIIB, Azijos infrastruktūros investicijų banką, ir dabar iš didžiųjų valstybių tik JAV ir Japonija nėra įsijungusios į šią Kinijos vadovaujamą kredito instituciją. Europos Sąjunga, kamuojama daugybės problemų, neskiria pakankamo dėmesio OBOR strategijai ir galimoms jos pasekmėms. Baigdama noriu pasidžiaugti, kad baigiamajame komunikate nemažai vietos skiriama ir AMR, antimikrobakterinio atsparumo problemos sprendimui, kad siekiama į sprendimą įjungti Pasaulio sveikatos organizaciją, FAO – Jungtinių tautų Maisto ir žemės ūkio organizaciją, EBPO, apskritai iškelti šią problemą iki Jungtinių Tautų lygio.
Ivan Jakovčić (ALDE). – Gospođo predsjedavajuća, mnogo je tema bilo na meniju sastanka G20 i treba jednostavno reći da su dvije teme, koje su ustvari međusobno potpuno isprepletene, a to su tema migracija i izbjegličke krize i tema ekonomskog rasta, za mene bile zaista ključne teme.
Mogu reći da, na neki način, ohrabrujuće poruke dolaze sa sastanka G20. Uostalom i sama činjenica da se G20 bavi migrantskom krizom pokazuje ozbiljnost i zrelost u ovom trenutku. S druge strane, ekonomski rast je povezan s onim što znači migrantska kriza, pogotovo kada govorimo o Africi, i potpuno jasno daje do znanja što nam treba narednih godina činiti.
Ja mislim da upravo u ovom slučaju Europska unije mora pokazati svoju snagu i jedinstvo, jer inače, ako ne bude konkretnih poteza i konkretnih rezultata, mnogo toga će ići krivim putem, a to nam sigurno ne treba.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI). – Κυρία πρόεδρε, κατά την σύνοδο κορυφής των ηγετών των είκοσι περισσότερο ανεπτυγμένων χωρών, δηλαδή των G20, αποφεύχθηκε επιμελώς η εξέταση σοβαρών προβλημάτων τα οποία αντιμετωπίζει η διεθνής κοινότητα όπως, το προσφυγικό, η παράνομη μετανάστευση, καθώς επίσης και οι συνέπειες του πολέμου της Συρίας. Πώς όμως θα ήταν δυνατόν να γίνει αυτό όταν μεταξύ των είκοσι αυτών ηγετών υπάρχουν και οι κύριοι υπεύθυνοι όλων αυτών των προβλημάτων και ανάμεσά τους, βεβαίως, και ο Πρόεδρος της Τουρκίας, χώρα η οποία, με την ανοχή όλων, αυθαιρετεί και γίνεται κίνδυνος για την ειρήνη, τουλάχιστον, στη Μέση Ανατολή. Δεν δόθηκε όμως πειστική απάντηση και σε ορισμένα οικονομικά προβλήματα όπως είναι, για παράδειγμα, η προστασία της χαλυβουργίας των ευρωπαϊκών χωρών, η φορολογία των παγκόσμιων οικονομικών κολοσσών και η αντιμετώπιση της κοινωνικής και οικονομικής ανισότητας σε όλο τον κόσμο.
Τέλος, θα ήθελα να επισημάνω στον κύριο Επίτροπο, τον κύριο Moscovici, ότι η αντιμετώπιση των γεωστρατηγικών προβλημάτων παγκοσμίως, δεν γίνεται με τη λήψη οικονομικών μέτρων αλλά με τη λήψη πολιτικών μέτρων.
αν θα είναι η πρώτη το πάμε σ ένα μάλιστα μας καμπή στην πλησίασε μέχρι σήμερα να την τυπική διότι χώρων ο Φέτελ αφού νωρίτερα υποπτεύονται σχεδίου της ουσίας έχουν φτάσει ο οποίος τον κουμπαρά αναφορά στο διαγωνισμό θα γίνει ο ο συμβούν VW κομψή και ούτε η γκόλντεν Ντεμικέλις Ζε συγκρατούν λοιπόν τη χθεσινή το όλο ο παίκτης συλλέκτης Financial στην τιμή του δείκτη Μιχάλης ποτέ του μπήκε σε ο οικονομική Financial γκρεμό ενίσχυσε η υπουργική κλειστά και η και
(Pyynnöstä myönnettävät puheenvuorot päättyvät)
Pierre Moscovici,membre de la Commission. – Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les députés, votre débat reflète à la fois l'intérêt que vous portez aux conclusions du G20 et aussi un certain nombre de frustrations, que je peux comprendre, à la fois sur le déroulement même de la réunion et sur ses conclusions.
Ce dont nous devons être tous conscients ici – je le dis à ceux qui auraient souhaité qu'on parle de tel ou tel sujet –, c'est de la nature du G20. Le G20 a été créé dans le contexte de la crise économique et financière des années 2008-2013 pour débattre avant tout des questions économiques et financières.
Évidemment, les sujets géopolitiques, stratégiques – la Syrie, par exemple –ont été présents. Évidemment, toute une discussion s'est déroulée sur le rôle de la Turquie, en présence du président Erdogan, mais l'objectif essentiel était bien de faire le point sur la politique économique suivie à l'échelle de la planète par les grands pays et de parvenir à un certain nombre d'orientations.
Je dis orientations parce que le G20 n'est pas non plus un lieu où des conclusions extrêmement opérationnelles peuvent être adoptées. Il y en a, j'ai cité celles qui concernaient la question des surcapacités, mais le G20, d'une part, définit des signaux qui sont tout à fait importants pour l'économie mondiale et, d'autre part, donne à un certain nombre d'institutions – le GAFI, l'OCDE – des missions qu'il s'agit de poursuivre.
Cette compréhension de vos frustrations étant exprimée, je crois aussi qu'il ne faut pas sous-estimer la qualité de cette réunion particulière du G20. On aurait pu en espérer plus et autre chose, comme toujours, et d'ailleurs vous en espérez plus et autre chose avec vos différences de sensibilité, ce qui est tout à fait naturel.
Je crois qu'il y a, dans ce G20, une opportunité à saisir dans la coopération mondiale et nous devons exiger de nos partenaires du G20 qu'ils utilisent cette coopération pour promouvoir d'abord ne serait-ce qu'une croissance solide et complète qui peut offrir des avantages tangibles pour nos concitoyens, et puis des relations commerciales libres et équitables, encore une fois au bénéfice de tous, et enfin des sociétés plus inclusives.
L'Union européenne apporte au débat une expérience précieuse, celle de l'intégration la plus poussée, la plus réussie à l'échelle continentale sur un grand marché intérieur, qui fait de nous, les Européens, la première puissance économique du monde, et puis aussi d'un modèle politique, d'un modèle social, d'un modèle culturel.
Nous avons fait part de cette expérience à Hangzhou, à la fois à travers le rôle du président du Conseil, celui du président de la Commission, mais aussi des pays européens qui sont présents en nombre et en force, parce que ce sont de grandes économies. Nous avons obtenu, je crois, des résultats qui renforcent un certain nombre de nos priorités, qui convergent avec elles, et j'ai parlé, par exemple, de la lutte contre l'évasion fiscale et la fraude fiscale.
Voilà un sujet sur lequel, depuis des années, le G20 est le lieu où se déploie une stratégie mise en œuvre grâce à l'OCDE avec l'initiative BEPS, et qui est convergente avec nos propres priorités et l'action que, au nom de la Commission, je m'efforce d'impulser pour une fiscalité qui soit à la fois plus transparente et plus efficace. Nous aurons l'occasion d'avoir de nombreux rendez-vous à ce sujet dans les mois qui viennent.
C'est vrai que vous avez évoqué les uns et les autres la situation de la Grande-Bretagne et du Brexit. Je ne veux pas revenir sur les propos que je cite en introduction, mais peut-être un point toutefois, qui concerne la négociation d'accords de libre-échange.
Là-dessus, la conclusion du président Juncker et la réaction de nos partenaires ont été extrêmement claires. À l'heure où nous parlons, la négociation de sortie de la Grande-Bretagne n'a pas commencé. Nous attendons que cela puisse se produire le plus tôt possible, en comprenant qu'il faille prendre un peu de temps pour se préparer, pour définir des priorités, mais pas trop de temps si nous voulons que l'incertitude ne se dissémine pas et ne finisse pas par pénaliser l'investissement et l'activité économique. Ensuite commencera la négociation.
Pendant tout ce temps – et le Parlement a auditionné hier M. King, qui est le commissaire pressenti pour représenter la Grande-Bretagne –, la Grande—Bretagne est membre de l'Union européenne et c'est donc à l'Union européenne qu'il revient de négocier les accords de libre-échange et c'est à la Commission qu'il revient de le faire pour le compte de l'Union européenne.
Donc n'ayons pas là un fonctionnement qui serait curieux temporellement, avec des négociations bilatérales, alors que la négociation entre la Grande—Bretagne et l'Union européenne n'a pas commencé et que l'Union européenne elle-même a son initiative.
Je parlais de l'Europe. N'oublions pas un facteur tout à fait important, qui est que, en décembre, c'est l'Allemagne qui va prendre la présidence du G20. C'est bien sûr l'occasion pour nous, Union européenne de travailler avec un pays de l'Union, un partenaire majeur de la communauté mondiale qui connaît, qui partage, par définition, les priorités de l'Union européenne. J'attends beaucoup du travail de M. Schäuble, en tant que ministre de l'économie et des finances allemand pendant cette présidence, au niveau des ministres de l'économie et des finances qui préparent le G20, et aussi de la Présidence allemande ensuite à l'occasion du sommet qui la conclura.
La Commission va travailler en étroite collaboration avec la Présidence allemande pour préparer le prochain sommet du G20 à Hambourg, les 7 et 8 juillet 2017. Nous espérons bien que certains des domaines prioritaires sur lesquels un accord a été cette fois atteint pourront progresser encore et, rapidement, nous travaillerons à ce qu'il y ait des priorités fortes qui soient affirmées. Il n'y a pas de temps à perdre et, encore une fois, je voulais présenter ces conclusions du G20 aussi objectivement que possible, en étant conscient des limites inhérentes à l'exercice, mais aussi de la qualité indéniable de cette réunion, et dans sa forme et dans sa substance.
Je vous remercie de votre temps et de vos observations plus que judicieuses.
Ivan Korčok,President-in-Office of the Council. – Madam President, I would like to thank Honourable Members very much for all the speeches and comments. They confirm your huge interest in the agenda that was a subject of discussion at the G20 meeting in in China. Many issues were raised: economic growth, migration, free trade, tax evasion, steel, China, the Paris agreement and many others. I tried to present how we viewed the discussion on those issues in my initial statement. I share the views expressed by Commissioner Moscovici when he spoke on behalf of the Commission.
All these items are extremely important. I dare say that we, as a union, have a clearly defined interest in those areas, but I think that the G20 Summit in China has reminded us once again that this is maybe the time for us to pull together, as a union, to work on those items in order to have an even better position when we try to protect the interests of the Union and its citizens on the global stage. We are committed as a Presidency to working intensively with you, Parliament, and the Commission on all the points mentioned so that, as I said, we can make progress and strengthen our position on the global stage.
Finally, two issues were raised which are part of our Presidency’s responsibility. Mr Telička asked about our further steps as the Presidency when it comes to TTIP. I can say that this will be very high on the agenda for the upcoming Foreign Affairs Trade Council, which will take place on 23 September in Bratislava. I believe this is the place where we Member States, together with the Commission, should assess where we stand in negotiations with the United States. This may be, I dare say, the last moment for us to consolidate our position together and look where progress is still possible in the remaining time of the Obama Administration. But we are aware that our mandate says very clearly where our offensive interests lie, and we as a Presidency will do our utmost to ensure that those interests are protected.
On the Paris agreement, which was also mentioned several times, I can assure you that we as a Presidency are currently trying to agree on a clear timetable that will allow the ratification of the Paris agreement on behalf of the European Union so as to ensure the participation of the EU at the upcoming COP 22 Marrakesh meeting on global climate change.
Finally, I should have said at the beginning – but I came late and I apologise for that – that we as a Presidency are trying to control the agenda. I found out this morning that I was not able to control the traffic in Strasbourg, but it was a very nice walk. At the last moment I had to leave my car somewhere in Germany and I apologise once again for this.
Nicola Danti (S&D), per iscritto. – Durante il summit del G20 di Hangzhou, che si è svolto il 4 e 5 settembre, l'Unione europea ha ribadito la necessità di un'azione condivisa per raggiungere obiettivi quali la lotta al terrorismo internazionale e alla corruzione, una maggiore cooperazione in ambito fiscale, combattere la sovrapproduzione nel settore dell'acciaio e risolvere finalmente la crisi migratoria e dei rifugiati. In particolar modo, meritano positiva attenzione le risposte emerse dal summit del G20 per quanto riguarda queste ultime due priorità. Finalmente emerge la consapevolezza di dover affrontare insieme gli effetti della crisi migratoria che ha colpito l'Europa, per rispondere alle esigenze di protezione dei rifugiati e alle cause profonde di una crisi che ha provocato la morte di migliaia di vite umane. Inoltre, come hanno promesso i leader del G20, servirà una risposta collettiva per combattere l'eccesso di produzione di alcuni paesi nel settore dell'acciaio, la Cina su tutti. Per questo potrebbe essere utile l'istituzione di un forum specifico per vigilare questi paesi e dunque contrastare un fenomeno che rischia di mettere a repentaglio la produzione nel settore siderurgico e i milioni di lavoratori che operano in quello che deve rimanere un comparto vitale per l'industria europea e italiana.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. – A imprensa internacional noticiou mais esta reunião do G20 salientando a tentativa que dela resulta de resolver a quadratura do círculo. Ou, dito de outra forma, o G20 quer “civilizar o capitalismo”. Debalde. Crescimento económico, desregulação do comércio internacional e da circulação de capitais, clima, justiça social: eis alguns dos ingredientes do cozinhado do G20, que procura, no fundo, curar o doente inoculando-lhe mais uma dose generosa do agente causador da doença. O resultado não pode ser diferente do que temos.
As piedosas declarações que ecoaram do G20, que não esqueçam os pungentes apelos contra o canto da sereia dos “protecionismos”, poderão iludir muita gente durante algum tempo, mas não poderão enganar toda a gente para todo o sempre. A instabilidade financeira, a corrupção, as desigualdades sociais e a degradação ambiental do planeta, representam outras tantas faces das políticas neoliberais ao serviço do grande capital internacional. Não serão dois ou três ou até 20 países ricos a resolver os problemas da humanidade. Serão os povos em luta, na construção de uma alternativa progressista e anticapitalista, capaz de responder aos graves problemas do planeta, em benefício dos trabalhadores e dos povos e não em favor de um punhado reduzido de multimilionários.
Илхан Кючюк (ALDE), в писмена форма. – Срещата на върха на Г-20 се проведе в изключителна деликатна обстановка за света и Европа. Прави силно впечатление, че обсъжданите във форума теми бяха от пряко значение за Европейския съюз и това ясно показва редицата предизвикателства, пред които всички ние сме изправени. Наред с необходимостта за по-устойчив и по-качествен икономически растеж, за наказателни мерки срещу данъчните убежища в света, нуждата от инвестиции в нови технологии и предприемане на мерки срещу глобалното затопляне, във фокуса на обсъжданията попаднаха борбата с тероризма и справянето с международната бежанска криза.
В тази връзка смятам, че срещата на Г-20 беше чудесна възможност за Европейския съюз да препотвърди предприемането на всеобхватни действия в световен мащаб, чрез които да се сподели отговорността за разрешаването на бежанската и миграционна криза и за отстраняване на нейните първопричини. Не трябва да пренебрегваме и факта, че в заключителния документ от срещата беше посочено, че резултатите от референдума във Великобритания добавят несигурност на глобалната икономика.
Също така, форумът очерта важната роля, която играят двустранните и регионални търговски споразумения и считам, че Европейският съюз трябва да работи за скорошно ратифициране на споразумение за улесняване и либерализация на международната търговия.
Marijana Petir (PPE), napisan. – Kina je odgovorna za polovicu svjetske proizvodnje čelika te zbog zasićenja tržišta uzrokuje damping cijene željeza i čelika na svjetskom tržištu, te europsko gospodarstvo cijenom ne može konkurirati Kini. Pozdravljam govor predsjednika Europske komisije, Jeana-Claudea Junckera, koji je rekao kako trebamo braniti interese europske industrije čelika, u kojoj je 10 000 radnih mjesta izgubljeno u posljednjih nekoliko godina, te podržavam njegova nastojanja u pomaganju Kini kako bi prihvatila stvaranje mehanizma za praćenje prekapacitiranosti u sektoru čelika.
Jedna od negativnih posljedica za Hrvatsku jest i nemogućnost uspješnog poslovanja željezara u Splitu i Sisku gdje je više stotina radnih mjesta nepovratno uništeno kao posljedica kretanja cijena na svjetskom tržištu, ali i drugih problema. Također želim pozdraviti dogovor EU-a i Kine o uspostavi globalnog foruma za praćenje prekapacitiranosti.
Za Europljane, samim tim i Hrvate, adekvatno rješenje ovog problema je od velike važnosti prije prihvaćanja dodjele statusa tržišnog gospodarstva Kini i odlučivanju o mjerama trgovinske zaštite na europskom tržištu. Odluke donesene na globalnoj razini utječu na sve države članice i radna mjesta, stoga sprječavanjem dampinga i uspostavom poštenih odnosa na tržištu pridonosimo zaštiti europske industrije i radnih mjesta.
3. Undersøgelse af emissionsmålinger i bilindustrien (forhandling)
Presidente. – L'ordine del giorno reca la relazione di Pablo Zalba Bidegain e Gerben-Jan Gerbrandy, a nome della commissione d'inchiesta sulla misurazione delle emissioni nel settore automobilistico, sull'inchiesta sulla misurazione delle emissioni nel settore automobilistico (2016/2090(INI)) (A8-0246/2016).
Pablo Zalba Bidegain, ponente. – Señor Presidente, hace casi un año Volkswagen confesaba, ante la Agencia de Protección Ambiental de los Estados Unidos, la utilización de mecanismos de trucaje para superar las pruebas de emisiones y lograr así la homologación de esos productos en los Estados Unidos.
La primera pregunta que creo yo que debemos hacernos es por qué no se descubrió ese escándalo en la Unión Europea; por qué en la Unión Europea no fuimos capaces de descubrir un fraude de tal magnitud. Evidentemente, la respuesta no es fácil pero sí que hay muchos factores, que me gustaría debatir hoy aquí, que lo explican. En primer lugar, obviamente, una falta de Europa. Una falta de Europa debida, sobre todo, a la insuficiente integración.
Yo no tengo ninguna duda de que si hubiéramos sido unos verdaderos Estados Unidos de Europa, este escándalo no se habría podido producir. Pero estoy seguro, sin ninguna duda, de que si hubiéramos sido los Estados Unidos de Europa, nuestros consumidores, los millones de europeos que utilizan a diario un automóvil, habrían estado más protegidos. Pero no tengo ninguna duda tampoco de que si tuviésemos un sistema judicial único, los consumidores de la Unión Europea, sin duda alguna, estarían más protegidos.
Hay otro factor que también explica por qué hemos llegado a esta situación. Sin duda alguna, una vaga legislación impulsada en tiempos del Comisario Verheugen explica también por qué no hemos sido capaces de descubrir este escándalo y —lo que es más importante— por qué este escándalo se ha podido producir. Además, yo creo que tenemos que hacer autocrítica, porque el comisario Verheugen precisamente negoció en esta casa, con algunos de nuestros colegas, una legislación que, como el tiempo ha demostrado, ha sido insuficiente.
Llegó el Comisario Tajani e intentó poner el cascabel al gato para intentar impulsar una legislación que fuera ambiciosa a la hora de reducir las emisiones de NOx. Todos éramos conscientes de las discrepancias. Esta misma casa aprobó un informe que demuestra que éramos conscientes de las discrepancias entre los tests en condiciones de conducción reales y los tests en laboratorio. La pregunta es: ¿hicimos entonces lo suficiente?
Yo creo que es momento de mirar al futuro. Lo que esperan los ciudadanos europeos de esta Comisión de investigación, sin duda alguna, es que conozcamos la verdad y, lo que es más importante, que hagamos propuestas para impulsar medidas que impidan que fraudes como este se vuelvan a producir. Y yo no tengo ninguna duda de que todos mis colegas estarán de acuerdo en que vamos a intentar llegar a este punto. Las crisis son oportunidades y esta, sin duda alguna, es la crisis que necesitaba el sector de la automoción para adaptarse a una realidad del siglo XX mucho más exigente con las emisiones, mucho más exigente en la búsqueda de nuevas fórmulas de movilidad.
Y tenemos que ser conscientes de que los ingresos de doce millones de familias están en juego. Tenemos que ser lo suficientemente rigurosos, no solo para garantizar los ingresos de estas familias, sino sobre todo, para darles un futuro mejor. De nada sirve reconocer que deberíamos haber conocido este fraude; lo que tenemos que hacer ahora es descubrir la verdad y, sobre todo, y lo más importante, mirar al futuro.
Ha sido un placer trabajar con mi colega holandés, con el que espero seguir trabajando estos próximos meses, así como con el resto de colegas, de ponentes alternativos.
Gerben-Jan Gerbrandy, rapporteur. – Mr President, let me start by thanking my fellow rapporteur, Pablo Zalba, for the excellent work so far and I am also looking forward to working closely together in the coming months. This interim report is primarily procedural and there was a reason for it, because we only just started with our work. There is, however, one strong political point in it and that is that we call upon the Commission to better and more swiftly cooperate with the work of our committee of inquiry. That was the case when we adopted this interim report in committee. I must say that since then the Commission has considerably improved its cooperation, and I hope that we can continue that way of working.
So far, our committee of inquiry has collected a lot of, well, let us say, technical evidence. We spoke with car manufacturers, producers of emission control technologies, software experts, academics, NGOs. Most of the technical part we have done so far, and we have just begun with the political part of our inquiry. We have had hearings with a whole bunch of Commissioners starting with former Commissioners Dimas, Potočnik, Verheugen and Tajani, and yesterday evening with the current Commissioners Bieńkowska and Vella.
Very crucial also will be our focus on the Member States; I am very much looking forward to the hearings with national ministers in the coming weeks, and I sincerely call upon those ministers who have not yet confirmed their attendance to do so. European democracy also means that national ministers are accountable for their position in Europe. We will also hear the American EPA and the national type approval authorities.
What have we found so far? Well, first of all, we of course discovered that this is much more than just the Volkswagen case. We have seen that other car manufacturers are shutting down their emission abatement technology when the temperature goes below 17°C, or after 22 minutes. That comes close to the 20-minute test cycle, so we have seen that the problem is much bigger than just Volkswagen and that is something that we have to explore further on. Also we still have a lot of questions concerning the role of Member States. We do see that there has been quite a weak implementation and enforcement of European legislation and that is something that we sincerely have to discuss very closely with the national ministers.
Another question that we are still digging into is why did it take so long to develop this new real driving emission test? In 2010 the Commission work document said that it would take roughly two years for the technical exercise to develop this test; we all know that it took many many more years and that is something that we have to dig into as well.
Finally, it is one year since the scandal broke and since then we have done a lot, but there are still millions and millions of diesel cars on the European roads that do not comply with current legislation. That is something that we have discussed yesterday with Commissioner Bieńkowska and I am very happy with her strong approach now. We are awaiting, within weeks, some infringement procedures, but it is certainly something that we are still going to focus upon. Also the recall of vehicles, that is still primarily based on a voluntary approach.
I am very much looking forward to the coming months. We will conclude our report in March next year and I hope that we can draw not only conclusions about what happened in the past, but also some conclusions, some lessons for the future, because that might be the most important part of our inquiry.
Elżbieta Bieńkowska,Member of the Commission. – Mr President, this is an important debate and I am glad to be here. Firstly, I would like to thank both the rapporteurs for their work. It has been almost a year since the Volkswagen emissions scandal broke, and more than six months have passed since the Committee of Inquiry on Emission Measurements in the Automotive Sector started its work. This was, for both of us, a period of very intense work, both for Parliament and for the Commission. I can assure you that I did my best to act in full cooperation and transparency, and I am committed to continue to do so: to fully cooperate with Parliament in the months to come and until the end of the work of the inquiry committee.
I have done whatever I could to answer all of your questions. I know that you are not fully satisfied, but we tried to do our best and we will continue to do so. I am convinced that this is the best way to uncover all the facts, and to help conclude on the best way forward: for the Commission in its role as a legislator, for the Member States in their efforts to enforce the law, and for the industry to be credible, modern and environmentally conscious.
We are ready to help as much as we can, but, of course, we expect, and I also expect, Member States to be equally transparent and cooperative. The Commission has invited Member States to investigate the presence of defeat devices in the vehicles circulating on their territories and to report back to us. Until now, four Member States – the UK, Germany, France and Italy – have prepared such reports. These reports have been made available to the Commission and to the general public at the same time. The Commission recently, by the end of July, transmitted to the European Parliament a first overview on the national investigation. But unfortunately we do not have the complete picture yet. The data submitted by Member States is incomplete and there are still many outstanding questions for which additional technical information is still needed.
We, and myself personally, are disappointed with where things stand for now. We need this technical information to be able to make an independent judgement on what has happened. I have insisted with Member States that they should transmit this information to the Commission, and I will continue doing so, while of course continuing to monitor how the national investigations progress.
Let me also add one word on defeat devices. They have been prohibited in the EU for more than 18 years now. The legal provisions on defeat devices are clear. Manufacturers, and every type approval authority, never questioned these rules or how they should be implemented. If they do not honour these rules, there must be consequences because this is a law.
I am ready to help in ensuring a coherent interpretation of the rules across the Single Market. For that reason I offered, with my services, to provide practical guidance to the national authorities on how to handle emissions control systems at type approval. We are confident that this will ensure a coherent approach across all EU territory.
We all know that enforcement for now is the key problem to be urgently solved. We face the current situation because of lenient enforcement and weak market surveillance. We have proposed to change this and to enforce the current system. A new supervisory system with Commission oversight and mutual control between Member States, together with EU penalties, is crucial for overcoming the problems we are facing today. It will also be key to restore the confidence of our citizens which was very seriously harmed.
The Commission tabled its proposal in January 2016 and it is now up to the European Parliament and the Council to decide. No position has been reached yet in the Council. We would like the work on the draft report of Mr Dalton and the Internal Market Committee to proceed as quickly as possible, but also to adopt the proposal as soon as possible. The reluctance – I would even say the resistance to necessary changes – is discouraging, not to say disappointing. To succeed, we need your support to keep the level of ambition of this proposal. I particularly hope that the work of the EMIS Committee can demonstrate how important the proposed changes to our type approval system are.
I therefore call on all of you to deal with the past, but as always I would say to pave the way for the future. Otherwise, a year of very intensive work will not be satisfactory in bringing tangible change. We will continue to fully cooperate with you in the months to come, and of course I would like to say that the Commission welcomes your interim report. I wish both of us success in the forthcoming weeks and months.
Krišjānis Kariņš, PPE grupas vārdā. – Priekšsēdētāja kungs, komisāres kundze! Mēs gandrīz pusgadu esam uzklausījuši dažnedažādus lieciniekus. Tie ir nākuši no zinātnieku un pētniecības aprindām, no nevalstiskām organizācijām, no auto industrijas, tiem piegādātājiem utt., kā arī no Eiropas Komisijas.
Kas tad šajā pusgadā — ko mēs esam uzzinājuši? Pirmais ir jautājums — kā mēs vispār nokļuvām tur, kur mēs esam? Ko mēs esam uzklausījuši, ir tas, ka Eiropā mēs ideoloģisku iemeslu dēļ, es nesaku, ka nepareizi, bet ideoloģisku iemeslu dēļ, uzstādījām galveno mērķi — klimata mērķi — samazināt CO2 izmešus. Tā rezultātā veicināja, apzināti veicināja dīzeļindustrijas attīstību un pircēju ieinteresētību iegādāties dīzeļdzinējus, bet ignorēja vai pārskatīja faktu, kas jau sen bija zināms, ka, kaut dīzelim ir zemi CO2 izmeši, viņam ir augsti slāpekļa dioksīda, oksīdi dažādie, nokši saucamie, kas ir tieši kaitīgi cilvēka veselībai.
Dzenoties pakaļ vienam mērķim, tika pārskatīts tas, ka viņam ir blakusefekts, negatīvs efekts cilvēka veselībai.
Otrais. Pieņemot pēdējo regulu par auto emisijas standartiem, to Euro 5 un 6 2007. gadā, neatrisināja jau zināmo grūtību ar ceļu emisijām, ka tās ir daudz augstākas par laboratoriskām.
Un, treškārt, neatrisināja problēmu ar to, ka mums nav Eiropas līmeņa uzraudzības, viss palika dalībvalstu līmenī.
Tātad, mums vajag mācīties no ideoloģijas, tomēr vajag apsvērt visus blakusefektus, kas varētu būt. No testiem, mums ir jābūt pārbaudēm, kas ir saistīti ar ceļu emisijām, nevis tikai ar laboratoriju. Un ar uzraudzību — mums ir jāizveido Eiropas līmeņa uzraudzība, lai nav nekoordinēta dalībvalstu darbība.
Kathleen Van Brempt, on behalf of the S&D Group. – Mr President, as the Commissioner rightly said, it is now a year since the Volkswagen scandal broke, and we were all completely shocked. We were shocked because of the behaviour of one of the largest and most epic, iconic European companies, trying to increase their own profits at the expense of planet and people. But we were equally shocked because it was not our European institutions or our many type approval authorities or market surveillance bodies that discovered this fraud, but it had been discovered in the States.
So rightly we decided to install a Committee of Inquiry committee in the European Parliament – it is the first Committee of Inquiry for more than 10 years – looking at the maladministration, but also making sure that we get the truth above the waterline. This EMIS committee should also rebuild the trust in the European legislation but also in our European products. We are halfway now, and we discovered that it is not only Volkswagen, but many other companies that overstretched loopholes – the legal loopholes – by switching off emission control under a broad range of operational conditions, with the result that after 10 years we have now more emissions and our legal system is being violated. An average diesel car today emits 4 to 5 times more.
Of course, the future of RDE will solve part of the problem but, Madam Commissioner, we were very happy with your statements yesterday. We have to take into account that we also have to readjust the situation as it is today. Cars with illegal defeat strategies are entering our markets daily, letting them emit too much, and that will cause extra pollution for the years to come. In the next month we will focus on the Member States, and that will equally be very important. As the Chair of the committee, I sincerely hope that all of us, together with the Commission, with the Member States, but especially in the EMIS committee, can overcome differences between the political groups and stand as one to solve this problem.
Hans-Olaf Henkel, im Namen der ECR-Fraktion. – Herr Präsident, meine Damen und Herren! Neben dem kriminellen Fehlverhalten von Volkswagen brachte der Untersuchungsausschuss auch das Versagen der Europäischen Kommission ans Tageslicht. Selbst der ehemalige Industriekommissar Günter Verheugen – einer der Vorgänger der Kommissarin, die heute hier sitzt – hat auf meine Nachfrage zugeben müssen, dass die europäischen Richtlinien viel zu vage waren. Auch müssen wir inzwischen erkennen, dass die amerikanischen Abgasrichtlinien wesentlich anspruchsvoller sind als die europäischen und, wie bereits besprochen, es die Amerikaner waren, die diesen Skandal aufdeckten, und nicht etwa die Europäer.
Wir ziehen daraus eigentlich nur die logische Konsequenz: Wir fordern die Kommission auf, in die Verhandlungen über TTIP auch die Harmonisierung der Emissionsrichtlinien für Kraftfahrzeuge mit aufzunehmen und jeweils die höheren Standards des anderen Partners anzuerkennen. Das hat große Vorteile. Erstens: Es verbessert den Schutz von Millionen von Menschen beiderseits des Atlantiks vor gesundheitsschädlichen Emissionen. Zweitens: Die Kosten für die Entwicklung und Produktion unterschiedlicher Abgassysteme werden drastisch reduziert. Und drittens: Die Vorteile eines Freihandelsabkommens könnten so auf eindrucksvolle Art und Weise demonstriert werden. So könnte die Kommission in dieser kritischen Lage auch einen Beitrag zur Akzeptanz von TTIP leisten.
Dita Charanzová, za skupinu ALDE. – Pane předsedající, paní komisařko, občanům Evropské unie zatím nikdo nepředložil objektivní a jasné odpovědi, fakta o tom, co se přesně stalo. Mandát pro jednání Komise formuluje jasné dotazy – prošetřit údajná selhání Komise a členských států. Měla být přijata opatření pro dohled nad použitím tzv. defeat devices, tedy šidících odpojovacích zařízení, a ve skutečnosti nebyla. Mělo být zavedeno měření emisí odpovídající provozu auta – a nebýt odhalení z USA, neměli bychom ani toto. V rámci slyšení před vyšetřovacím výborem vystoupili experti, kteří tvrdí, že se jednalo o dlouho známý problém. Dieselová auta nesplňovala emisní limity v reálném provozu a mohla dokonce využívat různé prostředky, jak toho dosáhnout.
Na druhou stranu Evropská komise odmítá, že by pochybila či konala opožděně, a o možném podvodném jednání prý nevěděla. Plno dotazů, plno nevysvětlených otázek. Bez toho, abychom dali jasnou odpověď na tyto otázky, nebudeme schopni obnovit důvěru evropských spotřebitelů, a to já osobně považuji za jeden z hlavních cílů našeho snažení.
Proto bych ráda vyzvala zpravodaje, aby výsledný dokument, který vzejde z práce vyšetřovacího výboru, byl ve svých sděleních naprosto jasný a uživatelsky srozumitelný. Každému občanovi EU, který se s výsledky vyšetřování bude moci seznámit, musí být zřejmé, k jakým pochybením došlo a hlavně kdo za ně nese odpovědnost.
Výsledná zjištění by měla za celým případem udělat tlustou čáru. Měli bychom se ze závěrů vyšetřování poučit a promítnout je do další připravované legislativy v této oblasti, jako například schvalování typu vozidel či pravidla pro měření emisí. V neposlední řadě na naše výsledky čeká také evropský automobilový průmysl. Průmysl, který vytváří v Evropě více než 12 milionů pracovních míst. Průmysl, pro který další otálení může znamenat brzdu dalšího vývoje.
Poslední poznámka, vidím, že zde nemáme zástupce členských států, zástupce Rady, považuji to za velkou chybu. Myslím si, že má být snahou všech institucí dobrat se jasného výsledku pro naše občany.
Νεοκλής Συλικιώτης, εξ ονόματος της ομάδας GUE/NGL. – Αγαπητοί συνάδελφοι, η πρώτη έκθεση που υποβάλλει η εξεταστική επιτροπή περιορίζεται στην περιγραφή του προγράμματος εργασίας και δεν προβαίνει σε καμιά πολιτική εκτίμηση, καθώς η έρευνα συνεχίζεται. Αυτό όμως δεν σημαίνει πως δεν έχουν ήδη εξαχθεί τα πρώτα συμπεράσματα. Αντιθέτως, μετά από πολύωρες ακροάσεις και μελέτη εσωτερικών εγγράφων, είναι πλέον ξεκάθαρο πως υπάρχουν σοβαρές πολιτικές ευθύνες. Τόσο οι εκτιμήσεις του 2010, όσο και η μελέτη του Κοινού Ερευνητικού Κέντρου της Επιτροπής το 2013, επιβεβαίωσαν πως υπήρχε δυνατότητα αλλοίωσης των μετρήσεων. Και όμως, δεν λήφθηκε κανένα μέτρο. Η Επιτροπή γνώριζε για την δυνατότητα απάτης, αλλά δεν έπραξε τίποτε με τη δικαιολογία ότι δεν γνώριζε συγκεκριμένες περιπτώσεις. Τα κράτη μέλη, αν και είχαν ενημερωθεί, δεν έκαναν επίσης κανέναν έλεγχο. Εξάλλου, ενώ ήταν γνωστό πως οι μετρήσεις εκπομπών είναι πολύ υψηλότερες σε πραγματικές συνθήκες σε σχέση με τις τιμές που καταγράφονται στα εργαστήρια, δεν ζητήθηκε να γίνονται έλεγχοι μόνο σε πραγματικές συνθήκες δρόμου. Υπήρξαν, λοιπόν, σημαντικές παραλείψεις και από την Επιτροπή αλλά και από τα κράτη μέλη στην εφαρμογή του ενωσιακού δικαίου και στην επιβολή κυρώσεων.
Ας πούμε όμως τα πράγματα με το όνομά τους: τα κενά στη νομοθεσία, οι ισχυρές πιέσεις της αυτοκινητοβιομηχανίας και το δίχτυ προστασίας των πολυεθνικών εταιρειών οδήγησαν στο πολιτικό σκάνδαλο με τις μετρήσεις των εκπομπών. Γιατί η απάτη της Φολκσβάγκεν δεν είναι μια μεμονωμένη περίπτωση. Εμείς, αγαπητοί συνάδελφοι, θα συνεχίσουμε την έρευνα και θα ασκήσουμε περαιτέρω πιέσεις. Θα συνεργαζόμαστε πάντοτε εποικοδομητικά με τους εισηγητές και τους σκιώδεις εισηγητές για να φτάσουμε στο αποτέλεσμα. Στόχος μας είναι να τερματιστούν όλες οι πρακτικές που επιδιώκουν το αθέμιτο κέρδος σε βάρος της δημόσιας υγείας και του περιβάλλοντος.
Claude Turmes, on behalf of the Verts/ALE Group. – Mr President, one year of the VW scandal, which is in reality a scandal of the whole car industry. In April - May 2014, US authorities get detailed data showing discrepancies. They did not know anything about defeat devices. What did the US authorities do in that moment? They called in VW and asked them a very simple question: Please can you explain the discrepancy between the test in the lab and your very high emissions on the road? One meeting, a second meeting, a third and fourth meeting, a fifth meeting: VW lied and lied and lied. Fifteen months later in September 2015 US authorities say ‘It’s game over’ and VW has to admit massive fraud.
Then VW tried to carry out recall campaigns in the US. They proposed one recall campaign, a second one, a third one. The US authorities had one very simple question: please show us that your NOx emissions are fulfilling the law after the recall. VW was not able to show that, not one single recall campaign was admitted, therefore action 3 came: compensation of consumers and huge fines for not having respected the law.
So Obama and his administration were merely doing their job. You have an industry which commits fraud, and they get caught. What have we done in Europe? We had the same information as the US, years earlier. We had it in winter 2009-2010. The Commission and Member States did not once ask a manufacturer the same question that the US did: Please explain to us the discrepancy between on-road and the lab. Why still no infringement procedures? So the Commission is part of this omertá .
Second thing: it is very interesting that the same VW recall campaign which was refused by the American authorities has now been admitted and waved through by KBA; so VW is cheating against consumers, this time with the official logo of the German Government. You come here today with no single action on recall. Why do you not act on recall? You could act on recall.
And the third issue is compensation. No compensation, so recapitulation: the Juncker Commission comes here and says ‘restore confidence’. No infringement procedures, despite the facts that you know. No action to restore, no action on compensation, so with that attitude of the Juncker Commission, we will not regain the confidence of citizens and we need it.
Eleonora Evi, a nome del gruppo EFDD. – Signor Presidente, onorevoli colleghi, nonostante le deboli aspettative sull'efficacia della commissione di inchiesta, sono dell'idea che il lavoro stia portando numerosi elementi significativi utili ad individuare le mancanze, le debolezze, le opacità dell'intero sistema di omologazione dei veicoli e del controllo delle loro emissioni.
Una cosa è sicuramente certa: i defeat device sono solo la punta dell'iceberg dell'intero sistema. Non mi voglio dilungare sulla relazione, ma voglio cogliere l'occasione di questo intervento in plenaria per denunciare pubblicamente che il rapporto di indagine sulle vetture Diesel Euro 5 commercializzate in Italia, rapporto realizzato dal ministero delle Infrastrutture e dei trasporti italiano, è un insulto al lavoro della commissione di inchiesta di questo Parlamento e soprattutto è gravemente offensivo nei confronti dei cittadini europei, che meritano serietà, competenza e massima trasparenza da parte delle istituzioni.
Il rapporto è volutamente incompleto e omissivo: le indagini sulle 15 auto inizialmente citate nel rapporto seguono procedure diverse a seconda che si tratti di auto del gruppo FCA o meno; addirittura le auto Fiat sono testate nei laboratori Fiat a Torino, mentre le altre auto sono testate in altri laboratori del CNR. Si perdono completamente le tracce di alcuni modelli Fiat e Jeep, che letteralmente spariscono dai grafici e dalle tabelle del documento – guarda caso sono proprio i modelli per i quali vi sono i più forti sospetti che montino dispositivi illegali, in un caso dispositivi che pare si spengano dopo ventidue minuti, esattamente due minuti dopo la fine del ciclo di test di omologazione e, nell'altro, un modello che nel test a caldo ha dimostrato emissioni di ossidi di azoto tre volte la norma.
Siamo davanti ad un tentativo maldestro di nascondere i valori reali delle auto Fiat. Il Movimento 5 Stelle propone di rispedire al mittente questo rapporto che è un'offesa alla commissione EMIS, al Parlamento e ai cittadini italiani ed europei.
Marcus Pretzell, im Namen der ENF-Fraktion. – Herr Präsident, Frau Kommissarin! Wir haben neben der Tatsache, dass VW ganz offenkundig hier gegen Gesetze verstoßen hat, in den Anhörungen der letzten Monate mehrere Dinge erfahren können: Wir haben festgestellt, dass die Kommission offenbar unzureichende Kontrollmöglichkeiten für die Gesetzeslage hat, dass sie sich aber auch über die wenigen Kontrollmöglichkeiten, die sie hat, offenbar nicht im Klaren ist.
Frau Bieńkowska, es gibt seit vielen Jahren mehr als nur Gerüchte, dass wir nicht nur einen VW-Skandal haben, sondern möglicherweise auch noch Skandale bei anderen Automobilherstellern. Sie könnten sich die technischen Unterlagen nicht nur von VW, sondern auch von anderen Automobilherstellern spätestens jetzt vorlegen lassen. Sie haben offenbar nichts in dieser Richtung unternommen. Sie konnten uns auch nicht erklären, was Sie eigentlich gegenüber den Staaten, die Ihnen zur Auskunft verpflichtet sind, unternommen haben. Sie haben bislang keinerlei Qualitätssicherungssystem für diese Gesetzeslage vorgesehen.
Wenn wir Gesetze ernst nehmen in der Europäischen Union, wenn wir diese Dinge europäisch regeln, dann müssen wir den Anspruch erheben, auch entsprechende Qualitätssicherungssysteme einzuführen. Stattdessen vertrauen wir jetzt auf die Erkenntnisse amerikanischer Stellen. Und vielleicht spielen an dieser Stelle auch die unterschiedlichen wirtschaftlichen Interessen der USA und Europas eine Rolle. Wir sollten uns hier nicht nur vor den Karren der Amerikaner spannen lassen, sondern wir sollten unabhängig eigene Erkenntnisse entwickeln. Das muss der Anspruch der Europäischen Union sein.
Es kann nicht damit getan sein, dass VW in den USA hohe Entschädigungszahlungen in Höhe von fast 15 Milliarden Dollar zahlt. Hier sind weitere Ermittlungen auch bei anderen Herstellern vonnöten.
Jens Gieseke (PPE). – Herr Präsident, Frau Kommissarin Bieńkowska, liebe Kolleginnen und Kollegen! Wir haben Halbzeit bei der wichtigen Arbeit im Abgas-Untersuchungsausschuss, und wir machen eine intensive zeitaufwändige und tatsächlich manchmal auch sehr technische Arbeit. Ich bin durchaus davon überzeugt, dass wir schon einige Fortschritte gemacht haben. Wir sollten den Weg der sachlichen Aufarbeitung fortsetzen.
Natürlich ist der Reiz immer da, ein solches Thema auch politisch auszuschlachten. Es gibt immer wieder Kollegen, die behaupten, die Kommission und speziell einzelne Kommissare hätten von der Schummel-Software gewusst. Allein, der Nachweis wurde bislang nicht erbracht. Noch in der letzten Woche hörten wir diese Spekulationen: Der ehemalige Kommissar für Umwelt, Potočnik, hätte seinen Kollegen Tajani darüber sogar in einem Brief informiert. Mir liegt dieser Brief vor. Die Vorwürfe sind haltlos. Ich kann darin keinen entsprechenden Nachweis erkennen. Das wäre auch verwunderlich, denn Potočnik sagte vor dem Untersuchungsausschuss, er selbst habe keine Schummel-Software vermutet. Wie soll er einen entsprechenden Brief schreiben, wenn er selber keine Kenntnis hatte?
Vor uns liegt jetzt die zweite Halbzeit der Ausschussarbeit, und ich rege an, für die zweite Halbzeit auf diese politischen Spielchen zu verzichten und stattdessen die Gesetzgebungsprozesse tatsächlich besser, aber auch schneller zu machen. In der Kommission waren die Unterschiede bei Stickoxiden zwischen der Labormessung und im realen Fahrbetrieb seit 2005 bekannt. Tatsächlich benötigen wir für die gesetzgeberische Lösung – da schließe ich das Europäische Parlament ausdrücklich mit ein –, für die Einführung der RDE-Testverfahren, die nun hoffentlich zügig zum Abschluss gebracht werden, über zehn Jahre.
Die Abgasgesetzgebung dauert zu lang – darin waren sich alle Kommissare parteiübergreifend einig. Hier liegt die Chance unseres Ausschusses, erstens sachlich aufzuklären, zweitens auf politische Spielchen zu verzichten, und dann drittens die Gesetzgebung zukünftig so eindeutig zu formulieren, dass Betrügereien in Zukunft unterbleiben.
Seb Dance (S&D). – Mr President, as has been said, this is a time to take stock of what the committee’s work has uncovered. We have heard already that a decision was taken in the past to move in a direction that has led to higher NOx emissions, concentrating rightly – yes – on reducing CO2, but having this side effect.
It has been stated on numerous occasions that there has been a lack of knowledge and a lack of credible evidence as to the effects of diesel on public health. But, of course, part of the reason why that evidence was not forthcoming is the myriad of levels of responsibility that exist under the current frameworks, ensuring that nobody can take full responsibility for what has happened. You have Member States blaming the European Union, you have the Commission blaming the Member States, and you have the car companies in effect slipping through various loopholes, taking advantage of loopholes and slipping through the net. What we have found out so far is that there is a terrible discrepancy in the interpretation of existing legislation.
The Commissioner is absolutely correct when she says that we must use what we find out in this committee of inquiry to make sure that forthcoming legislation does not have the same mistakes, and does not contain the same loopholes and opportunities for ambiguous interpretation of what must be very clear rules.
Finally, I thank my colleagues from across the political spectrum on this. It is essential that we work together and it is essential that this does not become a political slanging match between left and right, because we owe it to European consumers and to public health throughout the European Union, to get this right.
Mark Demesmaeker (ECR). – Als ondervoorzitter van deze onderzoekscommissie steun ik het tussentijds verslag voluit. Hoewel het te vroeg is om eindconclusies te trekken, kunnen we toch al enkele belangrijke vaststellingen doen. We hebben propere wagens in het lab, maar niet op de weg. De relevante wetgeving mist dus haar doel en dat was duidelijk voor heel wat betrokkenen. De vraag van één miljoen is waarom er niet adequater en sneller werd gehandeld om de manifeste problemen te remediëren, om de regels te handhaven en om de volksgezondheid te beschermen. Er is sprake van een echte implementatiekloof, waarbij de realiteit ver afstaat van wat technisch mogelijk is. Alle technologie is er om de Euro-6-NOx-normen voor diesel vandaag te halen, ook in reële rijomstandigheden en zonder negatieve impact op de CO2-uitstoot. Hoewel de Europese wetgeving het gebruik van sjoemelsoftware verbiedt, lijken niet alle achterpoortjes gesloten. Zo worden emissiecontrolesystemen soms onrechtmatig uitgeschakeld en is het bijvoorbeeld onduidelijk vanaf welke temperatuur het uitschakelen al dan niet geoorloofd is. Wij moeten verder werken aan een sterk eindverslag in het belang van de volksgezondheid, het milieu en het consumentenvertrouwen. We zullen kritische vragen blijven stellen met deze prioriteiten: de waarheid naar boven halen, oplossingen voor de toekomst formuleren en beste praktijken, zoals uit Californië, de Verenigde Staten, in beeld brengen.
Nils Torvalds (ALDE). – Mr President, I would like to thank Commissioner Bieńkowska. I will continue to speak in Swedish for the benefit of the public back home.
Vi befinner oss i ett synnerligen intressant och, kanske, pinsamt läge. I Förenta staterna har processen varit alldeles klar och konsumenterna och medborgarna har fått, så att säga, sin belöning genom att man entydigt och klart har kunnat påvisa att Volkswagen har använt det som kallas defeat devices, dvs. manipulationsanordningar.
I Europa har vi en lite annan situation och den oroar mig ytterst mycket. Vi har nämligen inte bara defeat devices, manipulationsanordningar. Vi har även defeat performance, dvs. manipulationsverksamhet. Utskottet har inte fått den information utskottet behöver, och det pekar på att det eventuellt finns andra skyldiga än enbart Volkswagen.
För medborgarnas och konsumenternas del är det av yttersta vikt att man kan påvisa klart och entydigt att kommissionen och kommissionens ledamöter inte hade sina händer i syltburken under denna process. Om man inte kan visa det kommer kommissionen att vara skyldig till att medborgarna inte får sin ersättning för de förluster de har utsatts för, både i fråga om en sämre miljö och i fråga om en sämre produkt som de har köpt. Av den orsaken uppmanar jag nu kommissionären att med största allvar ta denna fråga och ta den rakt framifrån och sluta slingra sig. Ge oss våra uppgifter så kanske vi kan rädda konsumenten.
Merja Kyllönen (GUE/NGL). – Arvoisa puhemies, yksi syksyn merkittävimmistä kysymyksistä on liikenteen päästöjen vähentäminen. Komission kunnianhimo on korkealla, haaveillaan kokonaan päästöttömästä liikenteestä. Valitettavasti EMIS-skandaali on osoittanut, että kun ahneus hyppää auton rattiin, ralli on rajua ja kyyti kylmää. Miettikää: 400 000 ennenaikaista kuolemaa, jotka johtuvat liikenteen pienhiukkaspäästöistä, vuodessa Euroopassa – ei mikään pieni kysymys.
Ympäristönsuojelun lisäksi toinen suurista skandaalin koko kuvion selvittelytyön haasteista on kuluttajien luottamuksen palauttaminen. Meillä kaikilla on nyt näytön paikka. Eurooppalaisen autoteollisuuden on lopetettava kiertely ja tunnustettava vastuunsa. Toisaalta meidän kolmen – komission, neuvoston ja parlamentin – on työskenneltävä yhdessä, jotta tulevat pelisäännöt ovat riittävän tiukat ja huijauksille ei ole enää tilaa. Syyllisten etsiminen ei riitä. Koko ketju on käytävä lävitse, niin että virheistä opittua tietoa pystytään hyödyntämään ja tällaista ei enää tulevaisuudessa tapahdu.
Bas Eickhout (Verts/ALE). – Mr President, I would like to thank the Commissioner for being here today. I think if you just look at what we learned after half a year of the committee of inquiry, what is very important is that all the technical experts say there is no technical reason at all to switch off any abatement technology. It is technically not needed for protecting engines or anything else.
We know that a lot of, if not all, car manufacturers are using software to switch off these technologies. Only Volkswagen has been sentenced for using defeat devices, but Fiat are using it, shutting it off after 22 minutes, and other car manufacturers are turning it off below 17°C. There is no reason for that. Still, no other car manufacturer is being blamed for using defeat devices, and action by the Commission is urgently needed. More importantly, as we speak, polluting cars are still driving on our streets. When is the Commission going to coordinate a European recall to get those dirty cars off our streets?
Roger Helmer (EFDD). – Mr President, first of all I ought to congratulate colleagues because the debate, as I am hearing it, is a great deal more interesting than the interim report, although that was unanimously supported by the committee. It is a very curious report since it is almost totally devoid of content. It is an extraordinarily reflexive and self-referential document. Indeed, in paragraph 1, the committee calls on itself to fulfil its own mandate, which seems strangely tautological and redundant. It also calls on the Commission for more cooperation.
I would, however, take issue with one word in the report. With extraordinary hubris, paragraph 4 requires governments, parliaments and the competent authorities of Member States to take certain actions. It is no business of this Parliament or of its temporary committee to require sovereign governments to take any action at all. Had common courtesy prevailed, had the committee requested rather than required, we might have supported the report. As it is, I am afraid we cannot.
Jean-François Jalkh (ENF). – Monsieur le Président, chers collègues, je tiens à saluer les travaux de notre Commission qui s'emploie à révéler avec beaucoup de minutie les carences de nos industries et de nos institutions concernant le contrôle des émissions de polluants.
Je regrette cependant que nos travaux orientés sur des questions techniques négligent par trop le fait que les révélations sur Volkswagen s'inscrivent dans le contexte d'une guerre économique entre l'Europe et l'Amérique. Quand on veut tuer son berger allemand, on l'accuse d'avoir la rage !
Si le contexte n'excuse rien, il peut permettre de comprendre la logique et les implications de ce dysfonctionnement. Le contexte, c'est notamment l'hostilité croissante que suscite le dioxyde d'azote depuis quelques années, alors que l'industrie européenne excelle dans le domaine des moteurs diésels, c'est aussi la priorité accordée par la législation américaine au tout essence.
Je formule donc le vœu que la rédaction de notre rapport ne soit pas seulement technique, mais d'une tonalité plus offensive, plus politique.
Ivo Belet (PPE). – We zijn inderdaad halfweg de termijn van deze onderzoekscommissie en ik denk, beste collega's, en dat is hier ook net geïllustreerd, dat we een heel goed beeld hebben van wat er is fout gelopen, hoe dat sjoemelsoftwareschandaal is kunnen gebeuren en vooral wat we nu moeten doen om te vermijden dat dit zich in de toekomst zou herhalen. Dat de verantwoordelijkheid, mevrouw de commissaris, een gedeelde verantwoordelijkheid is, dat hebben we gisteren tijdens de hoorzitting met uzelf heel duidelijk kunnen vernemen, dat wisten we. Niemand, geen enkele instantie, ook dit Parlement niet, had voldoende in de gaten dat we veel harder moesten opletten met de trucs van de software in de dieselauto's. En met name de nationale overheden zijn tekortgeschoten in hun controletaak, ondanks wat hier een paar minuten geleden door een paar sprekers is gezegd. Precies zij zijn immers verantwoordelijk voor de uitvoering van de Europese wetgeving, die we met alle 28 lidstaten toch hebben goedgekeurd. Het komt er nu dus op aan - en mevrouw de commissaris, daarvoor rekenen we uiteraard op u - die controle zelf als het ware onder curatele te zetten en op een wat striktere manier toe te passen, zodat er eindelijk - en dat was meneer Helmers net vergeten - een gelijk speelveld ontstaat in de Europese Unie. Dat is het belang van die controle. Europa had altijd, en dit is vandaag ook nog het geval, niet alleen de beste, maar ook de meest milieuvriendelijke auto's op de markt. Dat moeten we zo houden. We moeten voortrekker blijven, ook inzake schone technologie. Vandaag zijn er al diesels op de markt, ook in Europa, die die grens van 80 milligram wel degelijk eerbiedigen. Dat bewijst dat onze aanpak goed is, dat we de autosector vooruit jagen en dat de autoconstructeurs weten dat ze inderdaad - om dat woord maar te gebruiken - in een hogere versnelling moeten gaan. De auto-industrie, of een deel daarvan, beste collega's, dat weten we allemaal, heeft ons allemaal bedrogen, heeft de consument bedrogen. En het is nu zaak - en wij moeten daar met ons verslag en met onze commissie een belangrijke rol in spelen - druk te zetten om ervoor te zorgen dat dat vertrouwen snel kan terugkomen. Dat kan alleen met ambitie en met volledige transparantie.
(De spreker gaat in op een "blauwe kaart"-vraag (artikel 162, lid 8, van het Reglement))
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), blue-card question. – In fact I welcome your speech and would like to underline the good methodology and transparency of the investigation by the committee of inquiry. At the same time, I have a question for you. How do you think that the committee of inquiry could help, as you mentioned, to restore consumer confidence and ensure that this situation will not happen again?
Ivo Belet (PPE), "blauwe kaart"-antwoord. – Twee zaken: Eerst en vooral door alles op tafel te leggen, alle informatie. De commissaris heeft gisteren van een aantal documenten die zogezegd geheim zijn of niet op tafel zouden komen, gezegd: “ik kom met die documenten”. Totale transparantie. En ten tweede, collega, door ervoor te zorgen dat wij de wetgevende voorstellen, typegoedkeuring onder andere, en de volgende voorstellen op het vlak van emissies onder reële rij-omstandigheden, want we moeten nog verdere stappen zetten, zo snel mogelijk kunnen goedkeuren, hopelijk in snel akkoord met de Raad, zodat dat wetgeving kan worden.
Christine Revault D'Allonnes Bonnefoy (S&D). – Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, qu'il est compliqué de légiférer pour faire coïncider la conduite des véhicules en préservant la santé de tous, faire respecter les conditions normales et, donc, reconnaître que la conduite en conditions normales se fait sur route, et pas sur des rouleaux dans un laboratoire de test, sans siège ni chauffage ou climatisation! Il a fallu dix ans pour arriver aux tests en conditions réelles, qui seront mis en place par paliers et avec un facteur de conformité de 2,5.
Mais il est encore plus compliqué de faire respecter, de contrôler et de sanctionner le non-respect de la législation européenne. Aujourd'hui, la situation est incompréhensible aux yeux des citoyens qui, eux, sont tenus de respecter cette législation européenne. Malheureusement, la chaîne de contrôle et de sanctions ne fonctionne pas, alors qu'il est question de santé publique. L'image de l'Europe et des institutions européennes qui en ressort est terrible et nous dessert tous.
Parce que je suis profondément européenne et convaincue que l'Union doit poursuivre sa construction politique, je crois qu'il est de notre responsabilité de tirer les conséquences du scandale qui aurait pu être évité ici même si toutes les parties prenantes avaient fait respecter la loi, rien que la loi, mais toute la loi.
Il est plus que jamais temps de rappeler nos positions et la raison d'être de cette commission d'enquête: la défense de l'intérêt général. L'enjeu n'est pas de tirer à boulets rouges sur l'industrie, pas plus qu'il n'est de couvrir des agissements qui plaçaient l'économie au-dessus de toutes les valeurs. L'enjeu est de restaurer la confiance des consommateurs et des citoyens. L'enjeu est de garantir une mobilité plus propre, dans le respect de la santé publique et de l'environnement, tout en pérennisant les emplois. L'enjeu est de favoriser le développement durable qui bénéficie à tous.
C'est ce qui motive ma mission en tant que rapporteure fictive de la commission EMIS pour le groupe des socialistes et des démocrates et c'est ce qui motive mon mandat de députée européenne.
Daniel Dalton (ECR). – Mr President, it has been a year since we discovered that motorists around the world have been cheated by Volkswagen and, since then, the question has been: how did they do it without regulators noticing, not just in Europe but throughout the world?
If a company wants to cheat, no system will be 100% secure. But the key is to make it as hard as possible to cheat, and we need to do that as soon as we can. We have new ‘real driving emissions’ (RDE) testing rules already in place, which is one key part of the answer, and we have new market surveillance proposals from the Commission, which are the second key part. We need to deal with this as soon as possible, even while the EMIS Committee is examining specific lessons with a view to reporting back to us next year. We have a type-approval system at national level with mutual recognition. It is the right system, but it needs national administrations to enforce it, as the Commissioner herself said last night.
So let us be clear: every administration in the world was fooled by Volkswagen, not just those in Europe. We need a proper peer-to-peer review system for Member States and we need proper market surveillance both at national and EU level. We need a system that works and that we can deliver. We can deliver it to protect consumers and the environment, but we need to get on with it. There is no time to delay.
José Inácio Faria (ALDE). – Senhor Presidente, Senhor Comissário, Caros Colegas, a maior parte dos países europeus estão confrontados, hoje em dia, com graves problemas de qualidade do ar, nomeadamente nas cidades onde se verifica uma maior densidade de tráfego rodoviário. É também nos centros urbanos que vivem e trabalham a maior parte dos cidadãos europeus, que ficam dessa forma expostos às nefastas consequências da poluição atmosférica, a qual constitui uma verdadeira ameaça à saúde pública.
De acordo com dados deste ano da Agência Europeia do Ambiente, mais de 70 mil pessoas morrem prematuramente na União Europeia como consequência dos elevados níveis de óxido nítrico na atmosfera. Sabemos também que o trânsito rodoviário e em especial os motores diesel são as fontes predominantes destes gases nas zonas urbanas.
Perante as dificuldades dos municípios em travar o problema da qualidade do ar, a que assistimos, nós, a nível da política europeia? Assistimos a uma Comissão Europeia que, no mínimo, se pode qualificar de omissa, inoperante e disfuncional. Esta aparece aos olhos do cidadão europeu como refém de uma pretensa e ilusória competitividade industrial que é procurada de forma desonesta e batoteira por parte de alguns grandes operadores da indústria automóvel.
Sem dúvida, a competitividade industrial é um objetivo pelo qual nos devemos bater. Mas será, sem dúvida, desta forma que a conseguiremos?
Apostemos antes na inovação tecnológica, procuremos responder às necessidades dos cidadãos de melhor qualidade de vida nas cidades, apostemos em transportes urbanos mais sustentáveis e mais eficientes, apostemos nas renováveis e na mobilidade elétrica mais limpa e mais barata, e ponhamos os olhos naquilo que outros, nossos concorrentes, estão a fazer neste momento.
É vergonhoso que não tenhamos sido capazes de detetar e atuar sobre a fraude das emissões de combustíveis e que outros o tenham feito por nós. Olhemos também para a forma expedita como os americanos assacaram responsabilidades e tomaram medidas para assegurar a defesa dos legítimos interesses dos consumidores.
Importa que a comissão de inquérito seja capaz de repor a verdade sobre todo este processo. O mínimo que se pode exigir por parte da Comissão Europeia é que seja diligente na sua cooperação com o Parlamento no apuramento da verdade.
Interessa, acima de tudo, saber o que vai mudar para assegurar de forma eficaz a fiscalização e a implementação da legislação europeia. Devemos colocar os cidadãos em primeiro lugar, mas não foi isso que vimos durante este processo. Não é esta a Europa que queremos construir.
Kateřina Konečná (GUE/NGL). – Pane předsedající, paní komisařko, ve slavném seriálu „Jistě, pane ministře“ se uvádí, že pokud nechcete, aby se pravda dostala na povrch a vše se ututlalo, založíte vyšetřovací výbor. Jsem velmi ráda, že Evropský parlament se rozhodl potenciál vyšetřovacího výboru skutečně využít. Za dobrý úmysl však často přichází trest, a tak musíme čelit nespolupracující Komisi, výmluvám automobilek, přehazování odpovědnosti, obviňování druhých apod.
Vyšetřovací výbor EMIS se snaží odhalit to, co už všichni dávno víme, že o celém skandálu se dlouhodobě vědělo, ale byl tutlán všemi zasvěcenými stranami. Narážíme však na odpor těch, kteří by měli být voláni k zodpovědnosti, a na jejich aroganci, která nás však ještě více nutí odhalit pravdu.
Děkuji moc všem svým kolegům za spolupráci a dovolte mi poděkovat především předsedkyni vyšetřovacího výboru, která svou systematičností dokazuje, že je možné, že se nám opravdu podaří dojít k zdárnému konci.
Karima Delli (Verts/ALE). – Monsieur le Président, Madame la Commissaire, il y a un an que le scandale Volkswagen a éclaté. Il est vite devenu le scandale de l'industrie automobile mondiale.
Un an après la découverte de cette fraude massive au test antipollution, rien n'a été fait, à part la création de notre commission d'enquête. Aucune mesure d'envergure n'a été prise, ni par la Commission, ni par les États membres pour faire respecter les normes européennes antipollution, pour protéger la santé des citoyens et pour rétablir la confiance des consommateurs. Depuis un an, on laisse le consommateur européen se faire arnaquer pendant que les Américains se font rembourser, on laisse des poubelles ambulantes polluer nos routes.
Vous allez lancer des mesures d'infraction contre les États qui ont homologué ces véhicules, c'est un premier pas. Mais qu'attendez-vous – lorsque je regarde le gouvernement français qui protège Renault, un des pires pollueurs en Europe – pour garantir qu'il n'y ait plus de diesel gates?
Réformons radicalement le système d'homologation, créons enfin une agence européenne indépendante pour certifier les véhicules et exiger un rappel automatique des véhicules si une fraude est contestée. Il est de votre devoir désormais d'agir.
Sven Schulze (PPE). – Herr Präsident, Frau Kommissarin, sehr geehrte Damen und Herren! Der Ausschuss läuft jetzt seit März diesen Jahres, und wir haben dort technische Experten gehört, wir haben Vertreter von NGO gehört, wir hatten Vertreter der Automobilindustrie dort und auch frühere Kommissare – und auch nochmal mein Dank an alle, die recht schnell ihr Kommen zugesagt haben. Bis auf einen Gast hat das ja auch alles sehr gut geklappt. Zu den Ergebnissen:
Erstens: Man muss aus meiner Sicht ganz klar unterscheiden zwischen illegalen Abschaltvorrichtungen und erhöhten Emissionswerten von Diesel—PKW im Straßenbetrieb. Illegale Abschaltvorrichtungen sind ganz klar, wie sie auch schon sagen, illegal. Das muss bestraft werden, und das ist auch in der Gesetzgebung so vorgesehen. Man muss auch Zweifel haben, ob Volkswagen hier alleine am Pranger stehen darf. Wenn ich mir beispielsweise anschaue, was das italienische Unternehmen Fiat im Moment so an Schlagzeilen produziert, dann muss man da auch klar nochmal sagen, dass die Behörden da ganz, ganz stark prüfen sollten.
Zweitens: Mit den RDE—Messungen, die jetzt kommen werden, sind illegale Abschaltvorrichtungen sinnlos. Unrealistische Labormessungen, die mit der Realität nichts zu tun haben, werden der Vergangenheit angehören. Hier hat die europäische Ebene geliefert. Hier haben wir den richtigen Weg eingeschlagen, und hier hat auch Kommissar Tajani entsprechend mitgewirkt.
Drittens: Abschaltvorrichtungen aufgrund von Bauteilschutz: Dass dies möglich war, ist nur vielen Experten bekannt gewesen, der breiten Bevölkerung jedoch eher nicht. Ich denke, hier hat auch der Ausschuss hervorgebracht, dass die Hersteller teilweise den Bogen überspannt haben. Aber ich sage als Ingenieur auch ganz klar: Wir brauchen in ganz engem Rahmen diese Abschaltmöglichkeiten, die legal sind, denn bei ganz extrem hohen oder niedrigen Temperaturen oder unter anderen Voraussetzungen muss es möglich sein, die Technik zu schützen.
Ich möchte noch eine Anmerkung zum Ausschuss generell machen. Ich hatte das Gefühl, dass viele Ausschussmitglieder eine Verschwörung zwischen Kommission und der Automobilindustrie gegen den Verbraucher und gegen Umweltinteressen nachweisen wollten. Ich glaube, der Ausschuss hat jetzt schon gezeigt, dass das nicht der Fall ist.
Massimo Paolucci (S&D). – Signor Presidente, onorevoli colleghi, i lavori della commissione d'inchiesta hanno fatto venire alla luce in modo chiaro che lo scandalo Volkswagen è solo la punta di un iceberg. Non c'è solo l'uso fraudolento di dispositivi nati per difendere i motori in condizioni particolari, c'è di più.
Già nel 2007, ma in modo ufficiale dal 2011, era noto che le auto messe in commercio su strada avevano emissioni 7-8 volte più alte di quelle testate in laboratorio in fase di omologazione. È una truffa grave ai danni degli utenti e un colpo per la qualità dell'aria delle nostre città, una truffa ancor più grave perché da tempo esistono le tecnologie per abbassare le emissioni di NOx.
Ecco perché è essenziale andare avanti con i controlli sulle emissioni reali su strada, cambiare profondamente le norme di omologazione, andare oltre a controlli affidati solo ai singoli Stati nazionali e avere norme più chiare e stringenti a tutela dei consumatori.
Kosma Złotowski (ECR). – Panie Przewodniczący! Skandal, który stał się przyczyną powołania tej komisji, poważnie nadwyrężył poziom zaufania zarówno do europejskiej branży motoryzacyjnej, jak i do organów kontrolnych, zarówno krajowych, jak i unijnych. Nie chodzi w tym wszystkim jedynie o naruszenie prawa konsumentów do otrzymywania rzetelnych informacji o specyfikacji kupowanych produktów, ale także o przyszłość sektora, który jest bardzo ważny dla europejskiej gospodarki i rynku pracy w wielu państwach członkowskich, w tym także i w moim kraju.
Niestety mimo wielu przesłuchań i ekspertyz wciąż trudno jednoznacznie stwierdzić, czy fałszowanie wyników pomiarów emisji spalin było rzeczywiście działaniem celowym i świadomym czy, po prostu, efektem niedoskonałych metod testowania nowych modeli samochodów. Mam nadzieję, że ostatni etap prac komisji EMIS przyniesie jednoznaczną odpowiedź na pytanie, kto ponosi największą odpowiedzialność i kto powinien zostać ukarany, ale nie doprowadzi do trwałej recesji w europejskim przemyśle motoryzacyjnym.
Paloma López Bermejo (GUE/NGL). – Señor Presidente, parece un exceso de prudencia demorar más la presentación de alguna conclusión política sobre el caso de los motores diésel. A estas alturas, sabemos que la existencia de dispositivos de manipulación de emisiones y la discrepancia entre la contaminación aérea y la prometida por los nuevos motores era generalmente conocida, sin que nadie actuara.
En los interrogatorios, las compañías de automóviles y la Comisión balbucean contradicciones y evasivas, pero no pueden negar que los fabricantes de coches influenciaron la definición de nuevos objetivos de emisiones y los estándares técnicos que deberían implementarlos, orientando la regulación hacia sus propios intereses.
Es probable que este caso sea tan solo la punta del iceberg de cómo los grandes oligopolios determinan la normativa europea, de cómo los beneficios privados cuentan más que la vida de las personas.
En la Unión Europea son centenares de miles las muertes prematuras al año por óxidos de nitrógeno, por eso cuesta entender tanto sigilo en este informe.
Julia Reda (Verts/ALE). – Mr President, at half-time we have seen deficits with this committee’s foundation on which its work is supposed to stand. The Commission’s reaction to our request for documents has been unsatisfactory. Time has been wasted by both the Commission and by the Joint Research Centre. Adding insult to injury, we were given the most ridiculous explanations for their non—compliance, including ‘the document was too large’ and ‘we didn’t think the documents were relevant.’
Yesterday Commissioner Bieńkowska in turn expressed her dissatisfaction with Member States’ withholding information. Commissioner Bieńkowska, it is now your moment to excel. Give us your information, give it to us in full and give it to us now. The need to strengthen Parliament’s investigatory powers was also highlighted by a former Commissioner’s refusal to even appear before the committee. Let us therefore work to introduce the Verheugen clause to Rule 198, the right to summon a witness, plain and simple.
Ivan Štefanec (PPE) – Vyšetrovací výbor EMIS bol zriadený najmä z dvoch dôvodov. Tým prvým je pravdivé popísanie príčin, ktoré viedli k tomu, že zo strany veľkých firiem mohla byť dlhodobo a hrubo obchádzaná európska legislatíva. Druhým dôvodom je téma obnovy naštrbenej dôvery európskeho spotrebiteľa.
Dôkladné vypočutie všetkých aktérov má preto viesť k tomu, že predpisy v tejto oblasti budú jasnejšie, prísnejšie a budú viac odrážať realitu. Pri procese tvorby novej legislatívy treba povedať, že sme aj dosiahli pokrok. Zhodujeme sa s Komisiou na tom, že kontrola emisií nesmie prebiehať len v laboratórnych podmienkach, ale najmä v reálnej premávke a tiež na tom, že pravidlá musia v rámci spoločného trhu platiť pre všetkých rovnako a všade rovnako. Treba ale otvorene povedať, že nie všetky členské štáty v tejto oblasti spolupracujú, čo celý proces spomaľuje a blokuje. Kauza má aj ďalší rozmer, ktorý ešte nie je uzavretý. Tisíce európskych spotrebiteľov sa stali obeťami zavádzania. V rovnakom prípade v Spojených štátoch amerických automobilka majiteľov odškodní sumou niekoľko tisíc dolárov, voči európskym zákazníkom ale takéto odškodnenie stále odmieta. Ak máme v našich občanoch obnoviť dôveru v to, že Európska únia stojí na ich strane a háji ich práva, je potrebné urobiť všetko pre to, aby aj Európania dostali spravodlivé a adekvátne odškodnenie. Našim zámerom a úlohou nie je trestať. Automobilový priemysel je pre Európu kľúčový a chceme ho podporovať, najmä čo sa týka zavádzania nových technológií a inovácií. Európska únia musí vytvárať pre automobilky stabilné prostredie. Čo ale od nich aj od každého požadujeme, je dodržiavanie dohodnutých pravidiel.
Ismail Ertug (S&D). – Herr Präsident, liebe Kolleginnen und Kollegen! Die letzten Wochen haben eindrucksvoll gezeigt, dass dieser Untersuchungsausschuss sehr, sehr erforderlich ist. Aus den bisherigen Hearings lassen sich folgende Schlüsse ziehen: Die Europäische Kommission beantwortet unsere Fragen nur ausweichend, teilweise gar nicht. Die Europäische Kommission kennt ihre eigene Gesetzgebung nicht oder will sie nicht kennen, und sie weiß auch nicht, welche Befugnisse sie hat, beziehungsweise sie will nicht wahrhaben, welche Befugnisse sie hat.
Besonders auffällig ist, wie die Mitgliedstaaten Gesetzgebung umsetzen beziehungsweise nicht umsetzen. Ich frage mich: Wie kann es sein, dass die Europäische Kommission zum Beispiel im Streit um ein Kühlmittel in Autos sofort mit Vertragsverletzungsverfahren zur Hand ist, während sie aber bei einem solch großen Thema wie der Typgenehmigungsrichtlinie 23 Mitgliedstaaten ungeschoren davonkommen lässt? Die Mitgliedstaaten tragen auch eine entscheidende Mitverantwortung, aber eines ist klar: dass die Europäische Kommission hier eine Mitschuld trägt, weil sie nämlich nicht tätig geworden ist.
Julie Girling (ECR). – Mr President, I would like to thank the rapporteurs for this interim report. It does not tell us a great deal, but it does set out where we have been going with this, and, for me, there are clearly two strands.
I came to this because of my rapporteurship on air quality, and my problems started when I was given a presentation from the Directorate-General for the Environment at the beginning of that process – that is about three years ago now – which clearly showed that they were very well aware of the disconnect between the actual standards and what they delivered on the road. I honestly can tell you that was the first time I was aware of it, and from that moment on I was determined that we should get to the bottom of why that should happen.
Now, in this particular inquiry, with these two strands, political and technical, my concern is that we make sure that, at the end of this, we know what the political lessons were; we understand clearly why the parts of the Commission that should have been working together, to make this work for citizens and their health, were not doing so quickly enough and not taking their responsibility seriously enough; and that we have in place a system that will ensure this never happens again.
Luděk Niedermayer (PPE). – Mr President, during the last year we have learnt a lot not about Volkswagen, but mostly about the enforcement of EU regulation, about how division of responsibility between the Union and the State works, and about the behaviour or ethics of some of the firms. It was very sad to learn all this, and frustrating, but we have got a chance to change things for the better. I am not afraid that industry cannot do it or that it is too expensive: industry just needs to have very clear and simple rules to follow.
I do not believe that blaming and shaming should be a key part of the committee work. We should be focused on the future: that is the most important thing. We should start with understanding the basic facts and I will try to describe some of them. Firstly, I believe that only cars complying with the rules should be allowed onto the market. That is what we must do: we have proper rules and these are the only way to avoid unnecessary health risks. We know that, by using existing technologies, even current diesel cars can be made clean. What will happen in the future is hard to tell because technology is evolving so quickly.
We were late in introducing better laboratory testing. We are now on track. We must make sure that any altering of vehicles for testing will be prohibited. Real driving tests and random sampling should be a very important component of a future better system and should be supported alongside independent testing. I believe that this general failure on our part should be turned into victory, namely into a new system that will be better for us all and that we must bring about.
Christel Schaldemose (S&D). – Hr. Formand! Skandalen om snydesoftware i millioner af biler på det europæiske marked handler ikke kun om snyd. Skandalen handler om menneskeliv. På grund af snyderiet har der været langt større mængder af de sundhedsskadelige NOX-gasser i den luft, vi indånder. I EU dør 72.000 mennesker for tidligt om året på grund af NOX, ca. det samme som dør i trafikulykker. Det er kernen i skandalen: Folk dør, og miljøet lider. I undersøgelsesudvalget er vi i fuld gang med at finde ud af, hvorfor denne skandale ikke blev opdaget noget før. Foreløbig tyder alt på en systemfejl. Ingen vidste tilsyneladende noget, og alle fralægger sig ansvaret – fra EU-Kommissionen til medlemsstaterne. EU’s måde at godkende og kontrollere biler på har slået fejl. Vi har brug for en ny måde at gøre det på. Vores kontrolsystemer skal være langt mere mistænksomme. Når noget ser mærkeligt ud, skal det undersøges til bunds, og vi skal have en entydig ansvarsfordeling. Lad os lære af denne skandale, lad os bygge et nyt system op, hvor vi først og fremmest tager hensyn til mennesker og miljø.
Evžen Tošenovský (ECR). – Pane předsedající, paní komisařko, probíhající práce vyšetřovacího výboru pro měření emisí dává skutečně celistvý obraz o technických systémech spalovacích motorů, a to hlavně dieselových. Dozvěděli jsme se ohromné množství informací, a to nejen o technických aspektech, ale i o procesech při přípravě a schvalování potřebné legislativy. Pro mne osobně je skutečně poučné, jak silný politický tlak na snižování emisí CO2, který je na hraně technických možností, vede k obrovským problémům. Tlačí výrobce k nepřijatelným postupům až k podvodům, jako u VW, a zároveň přivádí i úřední dohled do složitých situací.
Věřím, že výsledkem práce vyšetřovacího výboru bude nejen popis, co se vlastně stalo u výrobců nebo při přípravě legislativy, ale hlavně, jak k případným regulacím přistupovat do budoucna. Přijímaná legislativní regulativní opatření musí zajistit technicky dosažitelné podmínky pro kontrolu a stejné postupy při homologaci vozidel v jednotlivých zemích EU.
Francesc Gambús (PPE). – Señor Presidente, señora Comisaria, el pasado 13 de julio aprobábamos por unanimidad el informe preliminar, cumpliendo así el mandato que se nos dio tras el surgimiento del llamado «Dieselgate» en los Estados Unidos, que ha afectado a millones de vehículos en el mundo. Tras el escándalo, a los miembros a quienes se nos asignó a la comisión de investigación de este Parlamento se nos dio un mandato que cumplir. Y por ello, hoy queremos que se apruebe este informe, cuya petición primordial es dejar que la comisión de investigación pueda llegar al fondo de la cuestión. Se nos encomendó aportar luz a un caso al que no es fácil aproximarse.
Créanme, los diputados y las diputadas de esta Cámara que somos miembros, a la vez, de las Comisiones de Medio Ambiente y de Industria sabemos que debemos batallar entre intereses difíciles de encajar. Pero también sabemos que para conseguir la reindustrialización de Europa nos será necesario hallar una estrategia europea que preserve el medio ambiente y la salud pública sin dejar de apostar por la economía productiva, la investigación, la innovación y la industria.
Se nos encomendó aportar luz en un caso en el que la neblina de las normas impulsadas durante el mandato del Comisario Verheugen ha sido, en parte, causa de los hechos que nos han llevado hasta donde estamos hoy; una neblina que llegó incluso a dificultar la realización de nuestro cometido tras su rechazo inicial a comparecer ante la Comisión y la poca claridad de su posterior declaración. Debemos, cierto, mirar al futuro, ser transparentes, actuar con luz y taquígrafos. Y, por ello, con este informe emplazamos a la Comisión Europea, a los Estados miembros y a todas las autoridades competentes y actores involucrados a que cooperen y respeten el principio de leal colaboración con la comisión de investigación, para poder mejorar el trabajo hecho hasta ahora y evitar que, una vez más, donde esté hecha la ley, se pueda hallar la trampa.
Por ello, porque nuestra prioridad es la salud de nuestros ciudadanos, sus empleos y su bienestar, queremos llegar al final de la investigación y que esta sirva para aclarar responsabilidades y guiar por el camino del crecimiento a un sector que prevé la creación de unos 880 000 puestos de trabajo en Europa hasta el año 2025.
Miriam Dalli (S&D). – Għandna eluf ta' ċittadini Ewropej, eluf ta' tfal li ta' kull sena qegħdin jispiċċaw jimirdu serjament u ġieli agħar minn hekk. U l-kawża ta' dan hi t-tniġġis fl-ibliet tagħna. Ma qegħdin ngħidu xejn ġdid. Imma suppost li għandna liġijiet ċari li jipprojbixxu dan, imma sal-lum il-ġurnata, xorta waħda, sfortunatament, qiegħed jiġri bil-kontra.
Is-sitwazzjoni li għandna quddiemna m'hijiex limitata għal produttur wieħed tal-karozzi. Għandna aktar minn kumpanija waħda li qed jiġġeneraw tniġġis - f'ċertu każi, għaxar darbiet aktar mil-limitu legali. Ma jistax ikun jibqa' jkollna awtoritajiet nazzjonali li ma jieħdu l-ebda azzjoni kontra kumpaniji tal-karozzi li jabbużaw mir-regoli. Ma nistgħux naċċettaw aktar sitwazzjoni fejn min jipproduċi l-karozzi jħossu kunfidenti biżżejjed li l-awtoritajiet nazzjonali se jibqgħu jgħattulu.
L-għan tagħna huwa li naċċertaw ruħna li ħadd ma jdur mar-regoli. Għalhekk li rridu nibqgħu ninvestigaw, nistaqsu, naslu għal konklużjonijiet u nagħmlu r-rakkomandazzjonijiet tagħna, biex dawn l-affarijiet ma jerġgħux jirrepetu ruħhom.
Peter van Dalen (ECR). – De onderzoekscommissie, voorzitter, is halverwege de autorit eensgezind: het onderzoek gaat de goede kant op en er moet sneller meer informatie komen van alle betrokkenen. Die eensgezindheid op de achterbank zou wel eens kunnen verdwijnen, wanneer er straks conclusies moeten worden getrokken en er concrete maatregelen moeten komen. Om een paar hete hangijzers te noemen: Op welke manier moet de verwevenheid tussen de overheid en de auto-industrie worden aangepakt? En ook nog die duizenden lobbyisten? En hoe krijgen we echt schone lucht? Ik denk, voorzitter, dat er maar één oplossing is: zo snel mogelijk emissieloze auto's. Schone dieselauto's bestaan niet. Schone benzineauto’s bestaan ook niet. Niet met en niet zonder sjoemelsoftware. Rijden op elektriciteit en waterstof, daar zit toekomst in. Laat de Europese Unie daar alle energie op richten. Ruim baan voor de emissieloze auto.
Dariusz Rosati (PPE). – Mr President, first of all let me express my thanks to our rapporteur for the work he has done on the report. It is a good summary of our six months’ work in the EMIS Committee of Inquiry. Nevertheless, our mandate has not been fulfilled yet. There is still much work to be done. There are a lot of doubts and there are also many unanswered questions. We are all in this House looking forward to the final conclusions and results. This cannot be done without close and loyal cooperation with the Commission.
During the meetings many of us blamed the Commission for the failure to reform the emission control testing system and the type-approval procedure, but this is not the full picture. Not only was the Commission late with taking proper actions, but also Parliament lost time to finalise its first report on the real driving emission legislation. Member States did not take effective action to enforce the explicit ban on defeat devices. The final outcome was that customers lost trust in the car manufacturer and consumers suffered from increased air pollution. We expect the Commission to make sure the Volkswagen Group compensates all customers affected by its illegal practices in the EU, and we expect Member States to swiftly penalise all such practices.
Now we should focus on the legislative work and finalise the third and fourth real driving emissions packages. We have half a year to investigate all failures and submit the final report, which will serve to improve the cars emission framework. Now it is time to make sure that such maladministration will never happen again. We, as the European Parliament, are here to protect European citizens and consumers in the first place from being cheated.
Carlos Zorrinho (S&D). – Senhor Presidente, Senhora Comissária, é do interesse dos europeus, da sua indústria, dos seus centros de conhecimento e dos seus cidadãos que a União Europeia assuma um papel liderante na transição para a mobilidade inteligente.
A mobilidade inteligente poupa vidas, melhora a qualidade de vida e abre novas perspetivas de competitividade. Neste domínio, a EMIS já teve um impacto muito positivo.
Depois dela, as instituições europeias e os Estados-Membros terão de sair da sua zona de conforto, têm de assumir responsabilidades de efetiva fiscalização, têm de divulgar informação transparente e credível aos consumidores e têm de tirar partido do conhecimento existente, nomeadamente no Centro Comum de Investigação. Depois dela também, as metodologias de medição de emissões e as tecnologias associadas ao setor automóvel na União Europeia e fora dela não serão mais as mesmas.
Perante indícios de manipulações fraudulentas, as autoridades apostaram num salto tecnológico. Senhora Comissária, isso é importante, mas não basta. É preciso erradicar a cultura que permitiu a potencial fraude que está a ser avaliada – é esse o caminho que este relatório intercalar espelha e que a comissão de inquérito continua a percorrer de forma sólida.
Procedura catch-the-eye
Maria Grapini (S&D). – Domnule președinte, doamnă comisar, vreau, de la bun început, să apreciez munca Comisiei, așa, la jumătate de mandat, dar vreau să subliniez câteva lucruri. S-au spus aici foarte-foarte multe aprecieri sau comparații între Statele Unite și Europa. Eu sunt raportor din umbră din partea grupului meu pe raportul de omologare. Doamna comisar, nu cred că trebuie să grăbim acest raport Dalton privind omologarea de tip, atât timp cât nu avem rezultatul Comisiei. Ce rost mai are să avem o Comisie care lucrează la anchetă dacă noi grăbim acest raport? Asta este o problemă. A doua problemă: eu nu cred că Statele Unite sunt mai bune decât Europa, nu aici este problema. Acolo este o reglementare extrem de lejeră, însă există o conformare voluntară și eu cred că nu putem transforma Comisia în jandarmul Europei, ci autoritățile naționale trebuie să pledeze pentru respectarea unor reguli simple care să protejeze și populația, dar să nu omoare industria în favoarea industriașilor non-europeni. Eu vin din industrie, știu ce greu este când supra-reglementăm pentru cei vinovați și-i omorâm și pe cei buni. Cred că este important să urmărim respectarea legilor și nu să supra-reglementăm. Și nu sunt de acord ca în raport să apară doar numele Volkswagen, pentru că sunt și alte companii care greșesc în acest domeniu și trebuie să vorbim despre toți.
Patricija Šulin (PPE). – Preiskovalni odbor za merjenje emisij v avtomobilskem sektorju skupaj z Evropsko komisijo opravlja pomembno nalogo v tej preiskavi.
Več kot očitno je, da imamo v Evropski uniji slab tržni nadzor nad dogajanjem v avtomobilskem sektorju. Škandal, ki je bil odkrit v Volkswagnu, ni osamljen, in to ugotavljamo po tem, ko so v Evropski uniji odklopne naprave uradno prepovedane že 18 let. Dizelska vozila z neustreznimi odklopnimi napravami še vedno vozijo po naših cestah in tako onesnažujejo naše ozračje.
Znižanje emisij CO2 je pomembna naloga nas vseh, zato je potrebno na tovrstni škandal odločneje odreagirati, tudi z odkrivanjem in ustreznim sankcioniranjem odgovornih.
Evropska uredba je na tem področju preveč nejasna, saj kljub zakonski prepovedi uporabe odklopnih naprav dopušča preveč možnosti razlage glede uporabe teh naprav, zato je potrebno v najkrajšem možnem času to urediti.
Prav tako je pomembno, da v tej preiskavi poleg Evropske komisije in preiskovalnega odbora sodelujejo tudi države članice. Nenazadnje gre za zaupanje potrošnika v evropske proizvode.
Νότης Μαριάς (ECR). – Κύριε πρόεδρε, το σκάνδαλο της Φολκσβάγκεν απέδειξε ότι η περίφημη ανταγωνιστικότητα των γερμανικών εταιρειών οφείλεται σχεδόν αποκλειστικά στις μίζες και στις παράνομες και βρώμικες πρακτικές που χρησιμοποιούν για να εξαπατήσουν τις ελεγκτικές αρχές και τους καταναλωτές. Σε ερώτηση που κατέθεσα στις 23 Σεπτεμβρίου του 2015, είχα ζητήσει η έρευνα που διεξήχθη στις ΗΠΑ και αποκάλυψε το σκάνδαλο της Φολκσβάγκεν να επεκταθεί και στην Ευρώπη και να καλύψει και άλλες εταιρείες του κλάδου. Όπως επισημαίνει και η επίτροπος κυρία Bieńkowska στην απάντησή της, έρευνες που διεξήχθησαν σε διάφορα άλλα κράτη μέλη απέδειξαν ότι υπήρξαν παραπτώματα και μέθοδοι καταστρατήγησης των αποτελεσμάτων και σε άλλους κατασκευαστές. Θα πρέπει συνεπώς η Ευρωπαϊκή Ένωση να λάβει άμεσα μέτρα για την αυστηροποίηση των ελέγχων στα αυτοκίνητα όλων των εταιρειών σε όλη την Ευρώπη και να επιβάλει βαρύτατες κυρώσεις σε όσους παρανομούν.
Εύχομαι η νεοσύστατη επιτροπή του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου να ρίξει άπλετο φως στις παράνομες πρακτικές της αυτοκινητοβιομηχανίας το γρηγορότερο, και να σεβαστεί αυστηρά το χρονοδιάγραμμα που έχει τεθεί. Στις 2 Μαρτίου του 2017, οι πολίτες πρέπει να γνωρίζουν!
José Blanco López (S&D). – Señor Presidente, a estas alturas podemos decir que estamos ya ante un gran fracaso colectivo. Fracaso por parte de aquellos que intentaban engañar con mecanismos de trucaje a los ciudadanos, a la Comisión y a los Estados miembros, porque se ha descubierto el fraude; fracaso de la Comisión, porque, sabiendo —como dijo un Comisario— que las normas eran flexibles y que así lo interpretaba la industria, no impulsó a tiempo nuevas normas, nueva regulación, para evitar que estas cosas volvieran a suceder; y, desde luego, fracaso de los Estados miembros, porque las autoridades nacionales tienen el deber de controlar y el deber de investigar para que este tipo de situaciones, que atentan contra el medio ambiente, que atentan contra la salud de los ciudadanos, no se produzcan.
Desde luego tenemos que tomar nota para que en el futuro, que es lo más importante, estas cosas no se repitan. Estamos hablando de nuestra salud. Estamos hablando, en definitiva, del medio ambiente, pero también estamos hablando de la industria, que crea empleos y, desde luego, este tipo de cosas, este tipo de fraudes, tampoco ayuda a la industria, porque está bajo sospecha.
Gesine Meissner (ALDE). – Herr Präsident! Der Ausschuss hat ganz offensichtlich einiges nicht zutage gebracht, aber auch andere Erkenntnisse ergeben, die ich für sinnvoll und auch gut halte. Also eine Sache zum Beispiel – ich fasse es mal in meinen Worten zusammen: VW konnte ganz offensichtlich die 80 Milligramm NOX, die in Kalifornien in den USA zugelassen sind, nur mit Dieselautos mit betrügerischer Software erreichen. Betrug ist natürlich strafbar und zu verurteilen. In Europa ist der Grenzwert wesentlich höher, und vor allen Dingen gab es ganz offensichtlich – für alle bekannt oder für alle, die es wissen wollten, bekannt – einen hohen Toleranzfaktor. Das heißt, 600 Milligramm kamen statt 180 Milligramm raus, also mehr als das Dreifache.
Deswegen scheint es auch zu sein, dass in Europa die Rechtslage für Autobesitzer eine andere ist als in den USA. Wir müssen daraus lernen, dass es wichtig ist, dass wir natürlich versuchen, Emissionen zu senken, also was jetzt greenhouse gas CO2 angeht, aber auch, zum Beispiel für saubere Luft und weniger Schadstoffe zu sorgen. Da müssen wir die Rahmenbedingungen haben, die die Industrie realistische Dinge produzieren lassen und die den Verbrauchern das Vertrauen in sozusagen gesunde Fahrzeuge ermöglichen. Und da müssen wir auch ambitioniert kontrollieren und auf die Umsetzung achten, und zwar so schnell wie möglich – inklusive der real driving emissions.
Nicola Caputo (S&D). – Signor Presidente, onorevoli colleghi, più volte abbiamo evidenziato il ruolo di leadership dell'Unione europea nella lotta all'inquinamento ambientale: basti pensare al ruolo propulsivo che ha giocato nell'accordo di Parigi sul clima o a quello che sta giocando insieme all'ICAO per un'estensione dello schema ETS a livello mondiale.
Tuttavia tale leadership comporta obblighi. La commissione d'inchiesta sul dieselgate che questo Parlamento ha istituito deve inviare un segnale forte, di grande rigore e terzietà, nella conduzione dell'inchiesta, perché il mondo non abbia a dire che è l'Europa la prima a violare quelle norme. Occorre prendere una posizione decisa, avendo il coraggio di denunciare, se necessario, anche eventuali comportamenti omissivi nell'adozione di misure appropriate per rendere effettiva l'applicazione dell'esplicito divieto di impianti di manipolazione. La credibilità dell'Unione europea dipende anche e molto da questa inchiesta.
Werner Kuhn (PPE). – Herr Präsident! Bevor wir emissionsfreie Fahrzeuge auf unseren Straßen haben – ob die elektrisch angetrieben werden oder auch mit Wasserstoffverbrennungs-Kraftmaschinen –, müssen wir uns schon mit der gegenwärtigen Situation auseinandersetzen und versuchen, technische Lösungen zu finden, damit diese Grenzwerte, was NOx betrifft, was CO2 betrifft, auch eingehalten werden können. Deshalb ist es notwendig, dass wir bei type approval, bei der Typenzulassung, in besonderer Weise Obacht darauf geben, dass die Abgasreinigungsanlagen nach Euronorm 6 auch technisch installiert werden. Und da ist es eben notwendig, unter Laborbedingungen 80 Milligramm pro Kilometer NOx hier in Deutschland auch einzuhalten, und da ist es notwendig, dass man auch auf den amerikanischen Markt reagiert. Aber der hat 70 Milligramm pro Meile; das sind 44 Milligramm pro Kilometer. Das geht nur dadurch, dass man eine solche AdBlue- oder Blue-Motion-Technologie einsetzt, wässrigen Harnstoff sozusagen, in einer Abgasreinigungsanlage, die diese Nitrosengase, dieses NOx,bindet und sie umwandelt in molekularen Stickstoff, der völlig unschädlich ist für Mensch und Wasser. Das ist das Thema, mit dem wir uns bei type approval auseinandersetzen werden, damit solche Dinge nicht mehr passieren können.
Da muss eine Marktüberwachung her, und diese Marktüberwachung muss stichprobenartig auch die neu zugelassenen Fahrzeuge testen, auch bei real driving emissions. Es ist natürlich klar, dass es einen Riesenunterschied macht, was den Abgasausstoß betrifft, ob Sie Kraftstoff verbrauchen bei 130 Stundenkilometern oder 170 Stundenkilometern oder 200 Stundenkilometern. Das muss mit neuen Technologien kompensiert werden. Nur so werden wir dieses Ziel tatsächlich erreichen. Es ist festgelegt, dass bis 2017 oder bis 2019, ich glaube, 168 Milligramm NOx ausgestoßen werden darf unter real driving emissions-Bedingungen und bis 2021 nur noch 129 Milligramm. Das muss unser Ziel sein. Ansonsten werden wir tatsächlich in unseren Innenstädten ein Klima schaffen, das absolut nicht verträglich und gesundheitsschädlich ist.
(Fine della procedura catch-the-eye)
Elżbieta Bieńkowska,Member of the Commission. – Mr President, I want to thank all the honourable Members for this exchange of views and this honest debate. There is no doubt for me that we have a common objective: that we have to uncover fully the defeat devices scandal, that we have to draw the best appropriate conclusions from it, and that we have to move forward. Our guiding principles, for all of us, must be truth and transparency.
Again, let me underline that I will do all that is necessary, and use the Commission’s mandate and power as a regulator and as a guardian of the Treaty, to restore confidence in the law and trust in the industry. However, let me be honest about it: I do not really want to play the blame game that we are seeing now. I am the last person to do this but I have to be very vocal and say loudly that I cannot, with 100% confidence, blame other car manufacturers, because I do not have the full evidence.
I am sending several letters to the Member States, and I will continue to push them, as I am doing now, but I do not have any legal power in this respect. Some of you mentioned EU recalls, and I would very much like to go ahead with EU recalls, but I do not have any legal basis right now on which to do so.
I agree it is very odd that in some Member States we are seeing mandatory recalls, in some voluntary recalls, and in some nothing. This is not appropriate and it should not go on like this. However, I believe the Member States have really started to understand that we have to break with some past practices: that they have to be transparent, and give us all the relevant information, the technical and other information, that we need; and that it is their commitment to establishing real market surveillance that will be key to future success.
I need the commitment from the Member States – as, of course, I need it from you – so that we will be able to put in place a modern, efficient coherent framework for approving cars, and I want to be very clear about it. I am not doing this against the industry, quite the contrary. I am the Commissioner responsible for industry and I will do all that it takes for the car industry to flourish, to be competitive and to be respected. However, in the interests of the industry today – and I hope that the industry also starts to understand it – I need to be tough, we need to be tough, and we need to be demanding on the industrial side.
I want to use this current crisis – and I hope this is a common goal – to put better legislation in place, to have more efficient market surveillance and structures and to move industry into a really new dimension of performance, mobility and automation. I am certain that, with your support and engagement, together, and definitely not blaming each other because that leads us nowhere, we will be able to achieve those objectives. The time is right for this. This is the momentum that we have to use for the future of our automotive industry.
Pablo Zalba Bidegain, ponente. – Señor Presidente, señora Comisaria, deseo agradecer a todos los colegas sus aportaciones y agradecer y reiterar mi agradecimiento al señor Gerbrandy por el gran trabajo que estamos haciendo, creo yo, conjuntamente, y que espero continuar en la segunda parte de este informe. Algunos colegas han lamentado la falta de contenido, incluso la falta de ambición de este informe, pero debo recordarles que acordamos que se trataba de un informe provisional y que decidimos que fuera un informe eminentemente técnico.
Ha dicho el señor Dance que no tenemos que batallar entre nosotros. Estoy de acuerdo. Los ciudadanos no esperan de nosotros que nos peleemos sin conseguir nada a cambio, sino todo lo contrario. Conjuntamente, tenemos que conseguir saber la verdad y, lo que es más importante, conjuntamente tenemos que hacer propuestas para impedir que esto vuelva a suceder en el futuro. Y no podemos permitir, queridos colegas, que esto sea un informe en contra de la industria, un informe en contra del empleo, sino todo lo contrario. Tiene que convertirse en un informe a favor del medio ambiente, en un informe a favor de la industria del automóvil y en un informe a favor del empleo.
Gerben-Jan Gerbrandy, rapporteur. – Mr President, I believe that this was a very encouraging debate, a debate that was obviously not about the interim report, because that was limited to procedures, but much more about the current state of the investigation of our inquiry committee. Why did I believe that it was so encouraging? Because I noticed a very broadly shared common understanding of the problem that did not necessarily already reach commonly shared conclusions, but will be the challenge for my dear colleague, Pablo Zalba, and myself to get Parliament behind shared conclusions in the end. But I do believe that we are on the right track. We should not forget that we are only half-way through our investigation. There is still a lot to be investigated and a lot of evidence to be found.
I would like to highlight two elements. I think it was Seb Dance who very eloquently talked about the myriad of responsibilities. He said – and many others did as well – that there seems to be nobody really responsible in the end – not the Commission, not a Member State, not national authorities, etc. That might be the core of the problem that we are facing here. I am sure that, when we dig much deeper into that, we can also draw conclusions for the future, not only reflecting the car industry, but other policy fields as well.
Finally, I think it was my colleague Ivo Belet who said that, if we look at responsibilities, a lot has to do with the inability of the Member States to take their responsibility. I believe that it is a very important thing that came today. Many talked about naming and shaming, whether to do so or not. I believe that in politics in a well-functioning democracy political accountability is crucial, and that might mean naming and shaming if that is necessary. I am not afraid of it and I am not looking for it, but it is part of a strong democracy. That is what we are still building together in Europe, so let us continue with that.
Presidente. – Grazie a tutti gli oratori, ai relatori, alla signora Commissaria per questo approfondito dibattito.
La votazione su questa relazione si svolgerà oggi.
(La seduta, sospesa alle 12.20, è ripresa alle 12.30)
VORSITZ: RAINER WIELAND Vizepräsident
Schriftliche Erklarungen (Artikel 162 GO)
Andor Deli (PPE), írásban. – Tisztelt Elnök Asszony! Üdvözlöm az EMIS vizsgálóbizottság kiegyensúlyozott, tényekhez ragaszkodó jelentését, mely nem hoz elhamarkodott döntéseket, hanem további tényfeltáráshoz köti végleges álláspontját. Abban egyetértünk, hogy fontos a típusjóváhagyás folyamatának felülvizsgálata és javítása. Úgy vélem, az egész emissziós botrányból megerősödve és egységesen kell kijönnie az európai autóiparnak. Az előállt helyzetet arra kell felhasználni, hogy új stratégiákat, fejlesztési terveket készítsünk az elkövetkező időszakra vonatkozóan, különös hangsúlyt fektetve az új, innovatív technológiákra. Hiszen mára már egyértelművé vált, hogy az autóipar nagy és mélyreható változások előtt áll.
Ez nagyon komplex folyamat, amelyben figyelembe kell venni azt a tényt, hogy jelen pillanatban az autóiparban, a hagyományos üzemanyagokra épülő technológiák és az új alternatív megoldások még évekig párhuzamos vonalakon fognak mozogni. A fokozatosság pedig azt kell, hogy segítse, hogy az európai autóipar továbbra is megőrizze helyét, mint az európai gazdaság alapköve, de egyúttal növelni tudja versenyképességét és jövőképességét.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne – Emisný škandál priniesol odhalenie viacerých svetových výrobcov automobilov o ich úmyselnom skresľovaní emisných údajov osobných a úžitkových vozidiel. Zároveň spôsobil pokles spotrebiteľskej dôvery. Európsky parlament preto v snahe o jej prinavrátenie zriadil vyšetrovací výbor. Zaoberá sa meraním emisií v automobilovom priemysle a dodržiavaním platných predpisov, či už zo strany Európskej komisie alebo príslušných orgánov v rámci členských štátov. Vyšetrovací výbor v súčasnosti zbiera a analyzuje informácie týkajúce sa používania rušiacich mechanizmov pri meraní emisií jednotlivými automobilkami. To by malo pokračovať ešte v priebehu jesene tohto roka. Dôležitá bude predovšetkým následná správa a z nej vyplývajúce odporúčania. Ich dodržiavanie by malo pomôcť, aby k podobným situáciám v takom veľkom rozsahu v budúcnosti nedochádzalo. Fungovanie automobilového priemyslu je výrazným faktorom ekonomického rastu a zamestnanosti. Emisná kauza ukázala dôležitosť ekologizácie celého odvetvia. Je potrebné zamerať sa aj na obmedzovanie využívania ťažkých kovov a iných škodlivín pri jednotlivých komponentoch a súčiastkach v automobiloch. Členské štáty sa k tomu zaviazali už v roku 2003. Napriek tomu dodnes existuje množstvo výnimiek. Viaceré z nich však vďaka moderným materiálom a pokroku už nie sú potrebné. Týka sa to napríklad využívania olova v autobatériách. Už dnes existujú overené technológie, ktoré vedia klasické olovené akumulátory plnohodnotne nahradiť.
Der Präsident. – Als nächster Punkt folgt die Abstimmungsstunde.
4.1. Samhørighedspolitik og forsknings- og innovationsstrategier for intelligent specialisering (RIS3) (A8-0159/2016 - Ramón Luis Valcárcel Siso) (afstemning)
William (The Earl of) Dartmouth (EFDD). – Mr President, I just wonder if it is in order to congratulate the former president of the Commission, Mr Barroso, on his appointment with Goldman Sachs. And also to express my concern that his pension as a former president of the Commission seemingly is not enough. Is that in order Mr President?
Der Präsident. – Zum ersten Teil Ihrer Frage: Ich habe mir die Frage nicht gestellt. Und zum zweiten Teil Ihrer Frage: Dafür gibt es Regeln.
Wir kommen nun zur Abstimmung.
4.2. Europæisk territorialt samarbejde - bedste praksis og innovative foranstaltninger (A8-0202/2016 - Iskra Mihaylova) (afstemning)
4.3. Undersøgelse af emissionsmålinger i bilindustrien (A8-0246/2016 - Pablo Zalba Bidegain, Gerben-Jan Gerbrandy) (afstemning)
4.4. Anmodning om ophævelse af István Ujhelyis immunitet (A8-0229/2016 - Tadeusz Zwiefka) (afstemning)
4.5. Anmodning om beskyttelse af Rosario Crocettas privilegier og immuniteter (A8-0230/2016 - Heidi Hautala) (afstemning)
4.6. Anmodning om ophævelse af Sotirios Zarianopoulos' immunitet (A8-0233/2016 - Gilles Lebreton) (afstemning)
4.7. Aftale mellem EU og Kina i tilslutning til Kroatiens tiltrædelse (A8-0231/2016 - Iuliu Winkler) (afstemning)
4.8. Aftale mellem EU og Uruguay i tilslutning til Kroatiens tiltrædelse (A8-0241/2016 - Pablo Zalba Bidegain) (afstemning)
4.9. Udnævnelse af et medlem af Revisionsretten - Lazaros Stavrou Lazarou (A8-0258/2016 - Igor Šoltes) (afstemning)
– Vor der Abstimmung:
Igor Šoltes (Verts/ALE). – Dovolite mi, da pred glasovanjem o današnjih kandidatih za člane Evropskega računskega sodišča izpostavim dve pomembni dejstvi.
Prvič, Pogodba o delovanju Evropske unije v 286. členu določa, da Svet po posvetovanju z Evropskim parlamentom sprejme seznam članov za Evropsko računsko sodišče, sestavljeno v skladu s predlogi držav članic.
Seveda to pomeni strogo formalno, da naj bi Parlament imel samo posvetovalno vlogo, vendar to ne pomeni, da Svet naj ne spoštuje in upošteva tudi volje Evropskega parlamenta.
Zato mislim, kar se je zgodilo v nekaterih prejšnjih primerih, da tokrat in tudi v bodoče resno Svet vidi in upošteva stališče Evropskega parlamenta pri teh kandidaturah, sicer ne vem, zakaj izvajamo ves ta postopek, če ima na koncu Svet odločilno besedo. In mislim, za dobro sodelovanje v bodoče, je to pomembna informacija.
In drugič, še večjo skrb pa vzbuja dejstvo, da so na današnjem seznamu kandidatov za nove člane Evropskega računskega sodišča ponovno zgolj kandidati moškega spola.
In Parlament že dalj časa opozarja na pomen ustreznosti ravnovesja spolov. Poročilo Parlamenta o vlogi Evropskega računskega sodišča v prihodnosti navaja, da bo Parlament zelo resno upošteval vprašanje uravnoteženosti zastopanosti spolov med člani Računskega sodišča.
In samo za informacijo: trenutno Evropsko sodišče zastopajo samo štiri članice od skupno 28 članov. In če se bo tempo nadaljeval tako, kot kaže, bo slika še bolj porazna.
Mislim pa da, v primerjavo naj dodam, da je prav ta Parlament takratnemu kandidatu Junckerju jasno povedal, da število komisark v trenutni Komisiji ne sme biti nižje od števila komisark prejšnjega kolegija.
Čas je, da uveljavimo enake standarde v vseh evropskih inštitucijah, in upam, da se bo to resno upoštevalo tudi vnaprej.
4.10. Udnævnelse af et medlem af Revisionsretten - João Figueiredo (A8-0259/2016 - Igor Šoltes) (afstemning)
4.11. Udnævnelse af et medlem af Revisionsretten - Leo Brincat (A8-0257/2016 - Igor Šoltes) (afstemning)
4.12. Statistikker over varehandelen med tredjelande (delegerede beføjelser og gennemførelsesbeføjelser) (A8-0240/2016 - Bernd Lange) (afstemning)
4.13. Statistikker over priserne på naturgas og elektricitet (A8-0184/2016 - Barbara Kappel) (afstemning)
4.14. Mod en ny udformning af energimarkedet (A8-0214/2016 - Werner Langen) (afstemning)
4.15. EU-strategi for opvarmning og køling (A8-0232/2016 - Adam Gierek) (afstemning)
Beatrix von Storch (EFDD). – Herr Präsident! Sie haben gerade mitten in der Abstimmung einen Punkt gemacht, und ich würde Sie fragen, auf welchen Punkt der Geschäftsordnung Sie sich berufen. Sie haben gesagt, Sie haben Probleme bei der Feststellung der Mehrheitsverhältnisse, weil der Whip der S&D-Fraktion nicht anzeigt. Ist für Sie der Whip, der anzeigt, maßgeblich oder die Beteiligten, die sich an der Abstimmung beteiligen?
Der Präsident. – Frau Kollegin von Storch! Ich habe nicht gesagt, dass ich Schwierigkeiten habe. Ich habe nur gesagt, dass ich mich sehr viel leichter tue. Selbstverständlich achte ich auf jeden einzelnen Kollegen sehr genau, auch auf Sie.
4.16. Styrkelse af SMV'ers konkurrenceevne (A8-0162/2016 - Rosa D'Amato) (afstemning)
4.17. EU-strategi for Alperegionen (A8-0226/2016 - Mercedes Bresso) (afstemning)
– Vor der Abstimmung über Ziffer 31:
Mercedes Bresso, autore. – Signor Presidente, onorevoli colleghi, l'emendamento orale introduce il supporto al coordinamento dei servizi di soccorso alpino.
4.18. EU's trustfond for Afrika: Konsekvenserne for udvikling og humanitær bistand (A8-0221/2016 - Ignazio Corrao) (afstemning)
– Vor der Abstimmung über Ziffer 4:
Ignazio Corrao, author. – Mr President, I would like to move the oral amendment as tabled. You can find it at the end of your voting list.
– Vor der Abstimmung über Ziffer 13:
Ignazio Corrao, author. – Mr President, again I would like to move the oral amendment as tabled. You can find it at the end of your voting list. If you want me to read it, I can read it. It is long.
– Vor der Abstimmung über Ziffer 15:
Ignazio Corrao,author. – Mr President, the oral amendment covers here the split vote with the addition of the word ‘particularly’. And then you can find the entire amendment at the end of your voting list. But, if you want, I can read it all.
– Vor der Abstimmung über Ziffer 32:
Ignazio Corrao,author. – I think you know what I am going to say.
(Laughter)
I would like to move the oral amendment as tabled. You can find it at the end of your voting list.
(Applause and laughter)
4.19. Skabelse af arbejdsmarkedsvilkår, som er mere fordelagtige for at skabe balance mellem arbejds- og privatliv (A8-0253/2016 - Tatjana Ždanoka, Vilija Blinkevičiūtė) (afstemning)
Der Präsident. – Damit ist die Abstimmungsstunde geschlossen.
Der Präsident. – Sie wissen, dass der Präsident den Herrn Kollegen Korwin-Mikke von der Sitzung ausgeschlossen hat. Er hat selbstverständlich das Recht, abzustimmen. Das hat er heute getan. Er hat auch das Recht, Stimmerklärungen abzugeben. Deshalb gebe ich ihm jetzt in Abweichung von der eigentlich vorgesehenen Reihenfolge das Wort, damit er sofort seine Stimmerklärung abgeben kann und danach den Sitzungssaal verlässt.
5.1. Samhørighedspolitik og forsknings- og innovationsstrategier for intelligent specialisering (RIS3) (A8-0159/2016 - Ramón Luis Valcárcel Siso)
Janusz Korwin-Mikke (NI). – Panie Przewodniczący! Chciałem wyjaśnić, że wszelki postęp w dziedzinie nauki i techniki powstał w wyniku wolnej konkurencji, wolnych badań bez koordynowania przez rządy, bez robienia tego, co my tu robimy. Działalność Unii Europejskiej w kierunku koordynacji badań naukowych powoduje wyraźnie widoczne zahamowanie badań naukowych, zahamowanie postępu, dlatego głosowałem przeciwko temu sprawozdaniu.
Der Präsident. – Vielen Dank, Herr Kollege Korwin-Mikke. Ich möchte Sie jetzt bitten, den Saal zu verlassen.
Seine Stimmerklärung betraf den Bericht betreffend die Kohäsionspolitik. Wir kehren jetzt zur normalen Reihenfolge zurück.
Michela Giuffrida (S&D). – Signor Presidente, onorevoli colleghi, ho votato a favore di questa relazione perché si tratta di un testo completo e convincente, e ritengo che valutare l'attuazione delle strategie di ricerca e di innovazione sia molto importante per indirizzare la programmazione europea in corso.
Sono molti, purtroppo, gli Stati – compresa l'Italia – che sono ancora in ritardo rispetto agli investimenti pubblici in innovazione e ricerca tecnologica ed è un gap che è necessario sanare al più presto a beneficio dell'intera economia, soprattutto in un momento in cui l'innovazione è una valida risposta alla crisi.
Le RIS sono fondamentali anche per l'attuazione stessa della politica di coesione. Solo soluzioni innovative possono e devono essere usate, per esempio, per aumentare la capacità amministrativa degli enti locali. Lo chiedono anche le piccole e medie imprese, che sono costrette a confrontarsi con sistemi che sono ancora arcaici, complessi.
Supporto una valutazione e la revisione nel 2017 di quanto fatto fino ad oggi, per recuperare ritardi e rispettare gli impegni.
Daniel Hannan (ECR). – Mr President, what is the purpose of cohesion payments? It seems to me there isn’t really a moral case for them. There are parts of the world that are genuinely needy. There are many more deserving recipients of our aid than these territories within the European Union. If we have money to give away as development money, it should be targeted to Africa, Asia, and places where it will be useful. Or is it, then, that it is raising the standard of living in the recipient countries? Well if that worked, then Greece would be the wealthiest country in the European Union, having been the largest per capita recipient since 1981 of cohesion and structural funds.
The reality is, of course, this money goes to purchasing the loyalty of interest groups within the recipient countries, and this is relevant because as the UK negotiates its disengagement there is going to be a question of what we continue to pay into and what we do not. Obviously, if we’re going to continue to be part of any programmes or common structures, of course we are going pay our share of those. You will not find anyone arguing about that. But the idea of paying simply because somebody has a medium-level GDP? Not going to happen.
Monica Macovei (ECR). – Domnule președinte, tehnologia și inovarea sunt atuurile Europei și ale progresului în orice domeniu. Depinde, însă, cum le folosim. Există investiții din Fondul European de Dezvoltare tocmai pentru a se face strategii care să ducă la inovații și specializări inteligente. Nu trebuie să investim în orice, oricum, trebuie să vedem care este rezultatul. Și rezultatul trebuie să fie o specializare inteligentă. Din 2014, practic, orice regiune din Uniunea Europeană are o strategie de dezvoltare și inovare inteligentă, însă, în realitate, nu toate regiunile le pun în practică și le folosesc. Este o mare diferență între regiuni. Acolo unde nu există în practică și astfel de strategii de dezvoltare inteligentă, banii nu trebuie investiți, pentru că vor fi risipiți și pierduți. Ca atare, ceea ce susțin este să investim numai acolo unde regiunile și țările și-au făcut treaba și au adoptat astfel de strategii.
Stanislav Polčák (PPE). – Pane předsedající, já jsem tuto zprávu podpořil, protože samozřejmě politika soudržnosti je téma, které Evropou hýbe, a myslím si, že bychom neměli zůstat tzv. vzadu. V tomto smyslu je důležité, abychom do politiky soudržnosti přidávali ještě více inteligentní specializace, více vědy, tato inteligentní specializace by měla být součástí politiky soudržnosti. Měla by se rozšiřovat víceúrovňová správa a zvyšovat její kapacity. Rovněž by měl být podřízen participativní přístup v politice soudržnosti pro rozhodování regionů. Já jsem tuto zprávu podpořil, my jsme ji probírali ve Výboru pro regionální rozvoj a myslím si, že je dobrý základ pro další práci na inteligentní specializaci.
Seán Kelly (PPE). – Mr President, I too supported this proposal sharing the rapporteur's belief that RIS 3 strategies play an instrumental role in tackling the innovation gap that Europe and its Member States often face. And partly in reply to Mr Hannan’s question, there is no doubt that continued improvements and advances in the field of both regional and national legislation provide the key to the European Union’s future in this domain.
This report outlines the ways and means by which such deliberate evaluation, regulation and moderation would occur. From an Irish perspective I can appreciative the regional focus that RIS 3 may take incorporating regional and local authorities, thus encouraging multi-level involvement. Such efforts are essential in promoting knowledge-based growth not only in well-developed areas, but also in less well-developed regions. We find ourselves at a pivotal stage where the evaluation of existing policies, as well as the coordination of future ones, may be facilitated.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Isabella Adinolfi (EFDD), per iscritto. ‒ La strategia di specializzazione intelligente (RIS3) comprende molteplici politiche che toccano diversi ambiti come imprenditorialità, istruzione e innovazione ed è quindi un elemento fondamentale per la concessione di fondi UE agli Stati membri e alle regioni. Considerando il ruolo fondamentale che esercitano le PMI e le start-up nello sviluppo regionale, l'importanza dei sistemi di supporto per le imprese e la necessità di adottare sistemi affidabili per monitorare l'efficienza a tutti i livelli di governance, ho deciso di votare a favore.
Tim Aker (EFDD),in writing. – We voted against this report because, as usual, it was filled with buzzwords and phrases that sound impressive but which will do nothing to create growth and jobs. The EU’s obsessive interference and over-regulation damage both jobs and growth, and we fail to see how buzzwords and corporate-speak will change that.
Martina Anderson (GUE/NGL), in writing. ‒ I abstained on this own initiative report, which covers the innovation objective of the Europe 2020 Strategy. Each Member State has adopted its own national targets in each of these areas (employment, innovation, education, social inclusion and climate/energy). National and regional authorities across Europe will design smart specialisation strategies in entrepreneurial discovery process, so that the European Structural Investment Funds (ESIF) can be used more efficiently and synergies between different EU, national and regional policies, as well as public and private investments can be increased.
There are some good points in the report, including a broad view of innovation, support for technological as well as practice-based and social innovation, and a monitoring and evaluation system. It also provides investment choices for regions with a limited number of priorities, particularly knowledge-based investments and/or clusters.
However, the report focuses very heavily on using cohesion policies to meet the Europe 2020 objectives, places a strong emphasis on public-private funding and financial mechanisms, and identifies competitiveness is the main overarching goal of the innovation strategy. For these reasons I could not support the report entirely, so abstained.
Eric Andrieu (S&D), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport. Si l’on considère que l'innovation est un domaine qui est en constante évolution, les stratégies de recherche et d'innovation pour la spécialisation intelligente devraient être constamment révisées.
À cet effet, un examen des stratégies après 2017 semble obligatoire si l’on veut accroître l’efficience et l'efficacité de ces politiques de cohésion, en prenant notamment en compte les enseignements tirés des premières années de leur mise en œuvre.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), in writing. ‒ I have voted in favour of the Report on Cohesion policy and Research and Innovation Strategies for Smart Specialisation (RIS3). Research and innovation strategies for smart specialisation are an ex-ante conditionality for the allocation of the European Structural and Investment (ESI) funds. Smart specialisation combines and brings together different policies, including those for entrepreneurship, education and innovation, in order for regions to identify and select priority areas for their development and related investments by focusing on their strengths and comparative advantages and contributes to the achievement of the Europe 2020 objectives. The S3 platform, located at the JRC in Seville, plays a key role in advising regions and setting benchmarks on their innovation strategies, helping lagging regions and enhancing multi-level governance and synergies between regions, by providing information, methodologies, expertise and advice to national and regional policymakers. The report stresses that there is a still limited role for civil society, which must be more actively involved, a lack of interregional cooperation and of synergies across ESI funds and other EU funds. RIS3 strategies have to be well implemented and improved in order to tackle the innovation gap and boost jobs in Europe.
Νίκος Ανδρουλάκης (S&D), γραπτώς. ‒ Υπερψήφισα την έκθεση σχετικά με την πολιτική συνοχής και τις στρατηγικές έρευνας και καινοτομίας για έξυπνη εξειδίκευση, διότι σε μια περίοδο οικονομικής ύφεσης και δημοσιονομικών περιορισμών με τον παγκόσμιο ανταγωνισμό συνεχώς να εντείνεται, η συνεχής βελτίωση της ΕΕ σε θέματα καινοτομίας είναι μείζονος σημασίας.
Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ Alors que ce rapport concerne l’innovation et la recherche, on pourrait s’attendre à ce qu’il critique les politiques d’austérité sur les budgets publics et privés qui soutiennent ces domaines. Selon le rapporteur, le mode de gouvernance de la stratégie doit être à multi-niveaux et compatibles avec la stratégie Europe 2020. Les États membres doivent ainsi se tenir en retrait par rapport à la Commission européenne, tête de file de la stratégie.
De fait, l’Union européenne utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorité de gestion du FEDER, ainsi que la coopération transeuropéenne au détriment de la coopération entre États nations.
Il convient de noter également que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation. Aussi ai-je voté contre ce rapport.
Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ In the interest of transparency and democracy I voted against this report. This report has been prepared by the Committee on Regional Development and therefore contains many EU buzzwords but ultimately delivers little.
Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de ce rapport car la SRI-SI permet d’accroître la valeur ajoutée, l’impact et la visibilité des financements européens. Elle est synonyme d’un réel retour sur investissement alors même que les budgets et ressources publiques sont mis à rude épreuve.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už sanglaudos politikos ir mokslinių tyrimų ir inovacijų strategijas, skirtas pažangiosios specializacijos (RIS3) iniciatyvai. RIS3 strategijos yra svarbi priemonė, kurią pasitelkus Europoje galima išspręsti inovacijų atotrūkio problemą, paskatinti darbo vietų kūrimą ir ekonomikos augimą. Pritariu, kad valdžios institucijos turėtų atkreipti ypatingą dėmesį į stebėseną ir strategijų peržiūrą, kad pasiektų aukštų rezultatų ir kiek galima būtų padidintas tarpregioninis bendradarbiavimas plėtojant plačios apimties projektus, kuriantys pridėtinę vertę ekonomikai.
Zoltán Balczó (NI), írásban. ‒ A jelentés kohéziós politikáról és az intelligens szakosodást célzó kutatási és innovációs stratégiákról szól. Hasonló, innovációs stratégiák már korábban is készültek. A mostani abban különbözik elődeitől, hogy egyrészt a stratégiaépítésbe széleskörűen bevonja a helyi célközönséget és erőforrásokat, másrészt a hangsúlyt a technológiai kutatás-fejlesztésről áthelyezi az innováció teljes folyamatának felkarolására, harmadrészt nem csupán a legjobb gyakorlatokat másolná le, hanem a területek saját egyedi erősségeit és értékeit fölismerve gazdasági versenyelőnyökre és jövőbeli potenciálokra alapozna. A jelentés nem tűz ki konkrét, csak általános célokat, amiket mindig el lehet mondani.
Hasonló az egykori KGST-anyagokhoz, ott is mindig növelni kellett a hatékonyságot és elmélyíteni az együttműködést. Fő mondanivalója végül is az, hogy felkéri Régiók Főigazgatóságát, hogy készítsen rövid szakpolitikai dokumentumot a stratégiával kapcsolatos korábbi tapasztalatokról, és széles körben terjessze azt. Ezt támogatandónak ítéltem.
Gerard Batten (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because as usual, it was filled with buzz words and phrases that sound impressive but which will do nothing to create growth and jobs. The EU’s obsessive interference and over regulation damages both jobs and growth and we fail to see how buzz words and corporate speak will change that.
Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ Dans ce texte, rien n’est prévu pour soutenir le principe de labellisation (entreprises innovantes) ou aborder l’épineux problème des brevets et de l’espionnage industriel, qui constituent pourtant des sujets majeurs pour l’avenir des économies de nos États membres. Il convient de noter également que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros «clusters» ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation.
De manière plus générale, on utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorités de gestion du FEDER, ainsi que la coopération transeuropéenne, au détriment de la coopération entre États nations.
Je me suis donc opposé à ce texte.
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ Au vu des défis que rencontrent de nombreuses régions d’Europe dans le cadre d’une mondialisation exacerbant la compétition internationale et charriant avec elle un insoutenable lot de fermetures et de délocalisations, j’ai voté favorablement à ce rapport d’initiative soutenant notamment les stratégies de spécialisation intelligente (SRI-SI) mais également d’autres bonnes pratiques telles que la promotion des clusters ou encore de meilleures synergies entre les fonds et les outils disponibles.
Les fonds ESI représentant le principal instrument de la politique d’investissement de l’UE avec un budget de 454 milliards d’euros pour la période 2014-2020, il est en effet primordial que nous nous assurions que la part de ceux-ci allouée à la politique de cohésion soit utilisée le plus intelligemment et le plus spécifiquement possible.
Il apparaît en effet capital de permettre aux régions de se spécialiser dans des secteurs d’avenir et à forte croissance qui leur correspondent le mieux au regard de leurs atouts spécifiques, de leurs capacités mais également des compétences présentes sur leurs territoires, permettant ainsi de recréer un tissu économique pérenne et surtout l’emploi direct et indirect dont elles ont tant besoin.
Beatriz Becerra Basterrechea (ALDE), por escrito. ‒ Las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente representan un instrumento esencial para la innovación, así como, para impulsar el crecimiento y el empleo en Europa. Este informe me ha parecido muy equilibrado, y hace hincapié en la necesaria simplificación y coordinación de los programas puestos en marcha, importante para su correcta aplicación.
Brando Benifei (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione Valcárcel Siso su politica di coesione e strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente. Si tratta di un testo importante che sottolinea la necessità di intensificare gli sforzi per creare una crescita economica intelligente, sostenibile e inclusiva. Una scelta obbligata, soprattutto in un momento in cui l'Europa sembra risentire ancora degli effetti generati dalla crisi economica mondiale. La relazione ribadisce il ruolo centrale delle RIS3 per il conseguimento degli obiettivi di Europa 2020, senza dimenticare di mettere in evidenza quegli aspetti che dovrebbero essere ritenuti di particolare importanza, penso in primo luogo alla corretta analisi delle priorità, dei punti di forza e del potenziale delle diverse regioni, ma anche all'utilizzo di metodologie adeguate che prevedano l'elaborazione di monitoraggi periodici di tipo quantitativo e qualitativo. L'elaborazione di processi partecipativi e la creazione di sinergie tra attori pubblici e privati è un altro punto cruciale che si lega strettamente al tema della governance multilivello. Occorre rilanciare al più presto un serio approccio dal basso verso l'alto per favorire la creazione di nuove sinergie e una crescita fondata sull'innovazione.
Xabier Benito Ziluaga (GUE/NGL), por escrito. ‒ Voto a favor de este informe que apoya las políticas de cohesión y las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente (RIS3).
Las RIS3 contribuyen a la programación estratégica de los Fondos de Cohesión y pueden tener un papel fundamental en el cumplimiento de los objetivos de Europa 2020, en la búsqueda de un desarrollo equilibrado y sostenible y en la creación de empleos de calidad.
Propone además el apoyo a las gobernanzas multinivel y mayor participación a todos los niveles en los programas de ayudas, así como, la creación de sinergias positivas en las diferentes regiones para determinar sus puntos fuertes.
Aunque el informe contiene muchas «odas al viento» estoy a favor de la innovación tecnológica y social, de la evaluación del sistema de ayudas, el refuerzo de las fortalezas de cada región y de las pymes, para conseguir un desarrollo más sostenible.
Izaskun Bilbao Barandica (ALDE), por escrito. ‒ He apoyado este informe porque creo que las sinergias entre áreas homogéneas en conocimiento, tejido productivo y especialización han demostrado ser más eficaces para estimular y apoyar la innovación. Las áreas de desarrollo que se asocian a la cooperación transfronteriza, por ejemplo, demuestran esta realidad y los resultados que van obteniendo las regiones, como el País Vasco que han apostado por este modelo, acreditan que esta forma de organizar el apoyo a la innovación es más eficaz.
Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre ce rapport qui prétend donner un cadre favorable au domaine de la recherche et de l’innovation sans réellement s’attaquer aux véritables problèmes qui freinent l’expansion de ce secteur.
S’inscrivant dans la perspective du plan Juncker, la spécialisation «intelligente» préparée par Bruxelles doit prétendument booster la compétitivité de l’«économie européenne», notamment par l’utilisation et le recadrage d’une partie du FEDER. Outre que cet instrument fait doublon avec les politiques de recherches nationales et les contrats de plan État-région, il passe surtout à côté des enjeux stratégiques pour ce secteur: rien sur le problème des brevets ni sur les problèmes d’espionnage industriel.
Par ailleurs, on prescrit le remède en ignorant la cause du mal puisqu'aucune mention n’est faite des conséquences désastreuses des politiques d’austérité imposées par Bruxelles sur le secteur de la recherche et de l’innovation, stratégie qui ne sera favorable qu’aux grands pôles de recherches au détriment des petites structures, et qui a pour seul but de consolider l’emprise de la Commission européenne sur les régions au détriment de grandes stratégies nationales.
Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ La relazione sulle strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente è ben ponderata e condivisibile, per questi motivi ho inteso sostenerla col mio voto.
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ El objetivo de las estrategias RIS3 es impulsar un crecimiento inteligente, sostenible e integrador basado en el conocimiento, capaz de generar empleos de calidad en todas las regiones, no solo en zonas desarrolladas. Estas estrategias contribuyen a la concentración temática y la programación estratégica de los Fondos Estructurales y de Inversión Europeos (Fondos EIE) y conducen a una mayor orientación a los resultados sobre el terreno.
Pasados dos años del inicio de su implementación, este informe se centra en los principales ámbitos de mejora de las RIS3. En particular, subraya la necesidad de impulsar una utilización coordinada y complementaria de los Fondos EIE con el programa Horizonte 2020 y el Fondo Europeo para Inversiones Estratégicas para impulsar la innovación a escala regional, nacional y de la Unión, aumentando el atractivo de las inversiones en investigación e innovación con el fin de atraer capital privado como complemento de la financiación pública, para lo que se pide a autoridades locales y regionales que aprovechen al máximo las posibilidades de combinación de estos instrumentos. Destaca igualmente la necesidad de mejorar la coordinación entre todos los niveles de gobernanza y de otorgar un papel más activo a la sociedad civil.
Por todo ello, he votado a favor.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pranešimo, nes juo Parlamentas išsakė savo poziciją dėl sanglaudos politikos bei mokslinių tyrimų ir inovacijų strategijų, skirtų pažangiosios specializacijos iniciatyvai. Mokslinių tyrimų, technologinės plėtros ir inovacijų stiprinimas yra vienas iš investavimo prioritetų pagal Europos regioninės plėtros fondo 2014–2020 m. nuostatas. Visgi, įvairiose ES valstybėse parama inovacijoms labai skiriasi, visų pirma kai kalbama apie žinių ir technologijų panaudojimą inovacijų skatinimo srityje. Šiuo programavimo laikotarpiu valstybės narės pirmą kartą įpareigojamos parengti nacionalines ir regionines pažangiosios specializacijos strategijas, į verslininkystės procesą įtraukiant nacionalines ir regionines valdymo institucijas bei aukštojo mokslo institucijas, pramonės ir socialinius partnerius. Todėl šiuo pranešimu Parlamentas pabrėžia, kad šių strategijų tikslas – užtikrinti žiniomis paremtą tvarų augimą, darnų vystymąsi ir aukštos kokybės darbo vietas visuose regionuose – ne tik išsivysčiusiose teritorijose, bet ir pereinamojo laikotarpio regionuose, taip pat mažiau išsivysčiusiuose ir kaimo regionuose bei salose. Parlamentas taip pat reikalauja, kad reikalauja, kad būtų visapusiškai laikomasi naujų ex ante nuostatų dėl ESI fondų skyrimo sąlygų siekiant užtikrinti, kad veiktų pažangiosios specializacijos strategijos.
Andrea Bocskor (PPE), írásban. ‒ Határozott véleményem, hogy a kutatási és innovációs stratégiák (RIS3) hozzájárulnak az uniós alapok hatékony felhasználásához, az Európai Unió minden tagállamát és régióját érintik, valamint felszabadítják valamennyi régió potenciálját, ezáltal elősegítve, hogy az Unió leküzdje mind a belső, mind a külső innovációs szakadékokat annak érdekében, hogy globális szinten versenyképesebbé váljon. Helyes, hogy ezek a regionális stratégiák az energiaügyre, az egészségügyre, az információs és kommunikációs technológiákra, a korszerű anyagokra, az élelmiszerekre, a szolgáltatásokra, a turizmusra, a fenntartható innovációra és közlekedésre, a bioalapú gazdaságra, a gyártási rendszerekre és a kulturális és kreatív ágazatokra összpontosítanak.
Sajnálatos azonban, hogy sok stratégia nem elég részletes, úgy vélem, hogy az intelligens szakosodási stratégiák nemzeti megfigyelőközpontjainak támogatása segíthet a RIS3 nyomon követését biztosító megfelelőbb indikátorrendszerek kiépítésében, különösen a módszertan és a képzés vonatkozásában. Szavazatommal ezért támogattam a jelentés elfogadását.
Marie-Christine Boutonnet (ENF), par écrit. ‒ Si ce rapport a le mérite de s’intéresser à la compétitivité des entreprises de l’Union européenne, plus particulièrement sous l’angle de l’innovation et de la spécialisation, il oublie ce qui fait l’essentiel du problème à savoir le carcan de la monnaie unique et l’absence de protection économique aux frontières.
Ce sont ces facteurs qui font que les marges des entreprises sont si basses et ne leur permettent pas d’investir suffisamment dans la recherche et l’innovation.
Par ailleurs je suis en faveur de laisser la politique de recherche dans les compétences des États membres alors que ce rapport a tendance à mettre ces États sous la tutelle de la Commission.
Pour toutes ces raisons, j'ai voté contre.
Renata Briano (S&D), per iscritto. ‒ Le Strategie di innovazione nazionali o regionali per la specializzazione intelligente (RIS3) sono un elemento chiave della riforma della politica di coesione dell'Unione europea, che ha lo scopo di portare l'innovazione nelle regioni, spingendole a creare sinergie tra loro e col territorio, oltre a rafforzare la programmazione strategica che è un elemento ancor più importante in tempo di crisi e carenza di risorse disponibili per molti territori. Se vogliamo che l'Unione europea diventi un'economia intelligente, sostenibile e inclusiva, dobbiamo coinvolgere le regioni e gli Enti locali, sostenendo un'innovazione che parta dai territori e dia forza a tutte quelle realtà, locali e regionali, che producono ricchezza e lavoro nonostante la crisi e dalla cui prosperità dipende, oggi come domani, una parte significativa del prodotto interno lordo nazionale ed europeo.
Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Le présent rapport vante les mérites de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente (SRI-SI), stratégie censée s’inscrire, avec le plan Juncker, dans la nouvelle politique européenne d’investissement.
Ce document de cadrage oriente la mise en œuvre de la politique de cohésion et le versement du Fonds européen de développement économique régional (FEDER). Il considère que la stratégie économique de l’Union doit tout miser sur la spécialisation, l’innovation dans le but d’améliorer la compétitivité de nos PME. Globalement, la SRI-SI fait doublon avec les politiques de recherche nationale et surtout avec les contrats de plan État-région. Elle ne formule aucune critique ou remise en cause des politiques d’austérité sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
Par ailleurs, ces stratégies reposent sur un mode de gouvernance multi-niveaux au détriment des gouvernements nationaux. L’Union européenne utilise en effet la stratégie SRI-SI pour renforcer ses relations directes avec les collectivités locales. Enfin, il convient de noter que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation.
J’ai donc voté contre ce rapport.
Daniel Buda (PPE), în scris. ‒ Într-un context european marcat de crize economice și sociale, Uniunea Europeană are rolul de a stimula o creștere economică sustenabilă prin valorificarea potențialului de inovare.
Dezvoltarea unor strategii de specializare inteligente vine ca răspuns la provocările actuale, aceste strategii având un impact semnificativ în îmbunătățirea competitivității economiei europene. Astfel, rolul RIS3 este unul fundamental în contextul contribuției politicii de coeziune la obiectivele Strategiei Europa 2020. Acest instrument impulsionează crearea de locuri de muncă, respectiv creșterea economică, dar contribuie și la combaterea decalajului în materie de inovare. Având în vedere importanța acestor strategii, e nevoie de o monitorizare atentă pentru a obține rezultatele scontate, dar și pentru a consolida cooperarea dintre regiuni în vederea îndeplinirii obiectivelor Strategiei Europa 2020.
M-am exprimat în favoarea acestui raport deoarece consider că strategiile de specializare inteligentă sunt un instrument esențial în vederea consolidării cercetării, stimulării inovației și încurajării unei creșteri economice sustenabile.
Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ Afin que l’Union devienne en 2020 une économie intelligente, durable et inclusive, les régions doivent mettre en place des stratégies de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente. Il est important que les régions utilisent les fonds structurels comme le FEDER pour investir dans la recherche, le développement et l’innovation.
Une telle stratégie permettra de stimuler l’entrepreneuriat, l’éducation et l’innovation. Les régions pourront alors déceler leurs potentiels et atouts afin de pouvoir se développer et se spécialiser. La plateforme de spécialisation intelligente (S3) a un rôle déterminant dans ce processus. Un suivi des stratégies doit impérativement être correctement mis en place afin de pouvoir évaluer leurs véritables bénéfices.
J’ai voté en faveur de ce rapport.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione in questione perché il rafforzamento della ricerca, dello sviluppo tecnologico e dell'innovazione è di fondamentale importanza per il raggiungimento degli obiettivi della politica di coesione. In particolare, le strategie di innovazione nazionali o regionali per la specializzazione intelligente (RIS3) sono necessarie per favorire un utilizzo più efficiente dei Fondi strutturali e di investimento europei e per sostenere il passaggio a un'economia intelligente e sostenibile.
Nel quadro delle strategie di innovazione per la specializzazione intelligente (RIS3), penso che le regioni debbano sviluppare regimi di servizi di sostegno innovativi che integrino o sostituiscano i servizi di sostegno esistenti, al fine di consentire a una determinata regione di sfruttare appieno il suo potenziale competitivo, aiutare le imprese ad assorbire nuove conoscenze e tecnologie per rimanere competitive, nonché garantire che le risorse della ricerca e dell'innovazione raggiungano una massa critica.
Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I abstained on this own initiative report, which covers the innovation objective of the Europe 2020 Strategy. Each Member State has adopted its own national targets in each of these areas (employment, innovation, education, social inclusion and climate/energy). National and regional authorities across Europe will design smart specialisation strategies in entrepreneurial discovery process, so that the European Structural Investment Funds (ESIF) can be used more efficiently and synergies between different EU, national and regional policies, as well as public and private investments can be increased.
There are some good points in the report, including a broad view of innovation, support for technological as well as practice-based and social innovation, and a monitoring and evaluation system. It also provides investment choices for regions with a limited number of priorities, particularly knowledge-based investments and/or clusters.
However, the report focuses very heavily on using cohesion policies to meet the Europe 2020 objectives, places a strong emphasis on public-private funding and financial mechanisms, and identifies competitiveness is the main overarching goal of the innovation strategy. For these reasons I could not support the report entirely, so abstained.
David Casa (PPE), in writing. ‒ At a time of economic recession and resulting budget constraints, and in an increasingly competitive global environment, I believe that it is important that the European Union keeps improving its capacity to innovate. RIS3 strategies are a valuable tool to tackle the innovation gap, and boost jobs and growth in Europe. Simplification, as well as coordination of the existing programmes, is also essential in contributing to a good implementation of those strategies in the years to come. A review of the strategies after 2017 is essential to boost the efficiency and effectiveness of RIS3 strategies, taking into account the lessons learned from the initial years of their implementation. I voted in favour of this report.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ Sono diversi gli spunti positivi contenuti nella relazione sulla "RIS3" (Research, Innovation and Smart Specialisation Strategy), ovvero sulla specializzazione intelligente. Innanzitutto, si ricorda che i finanziamenti pubblici rimangono un potente motore dell'innovazione. Si invitano le autorità interessate a essere cauti nel concentrarsi maggiormente sugli strumenti finanziari in quanto l'innovazione non dovrebbe essere incentrata soltanto sulle sovvenzioni, ma dovrebbe altresì essere in grado di identificare mezzi di finanziamento alternativi, quali prestiti e garanzie. Si evidenzia l'importanza della consultazione delle imprese e in particolare delle PMI, in quanto la "visione dell'innovazione" avrà successo soltanto se le imprese realizzeranno anche il corrispondente potenziale. Infine, si segnala ai responsabili decisionali locali e regionali l'importanza del loro impegno a utilizzare le RSI3 come strumento di trasformazione economica nella propria regione e quindi, ("ottimisticamente"), a influenzare la politica dell'UE. Per questi motivi, ho votato a favore del testo finale.
Caterina Chinnici (S&D), per iscritto. ‒ In risposta alla crisi economica e nello sforzo di promuovere una crescita intelligente, sostenibile e inclusiva, il rafforzamento dello sviluppo tecnologico e dell'innovazione è diventato una delle priorità d'investimento per l'Unione europea. A tale scopo, la politica di coesione e strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente (RIS3) mira a rendere l'economia dell'Unione più competitiva sviluppando un valore aggiunto europeo in tali ambiti.
A tale proposito, ritengo che la politica RIS3 si debba basare su una partecipazione congiunta e una governance multilivello. Gli Stati membri non devono perdere l'occasione di coinvolgere nell'elaborazione delle strategie le autorità regionali e locali, più vicine alle piccole e medie imprese e alle start-up, pioniere dell'innovazione. Occorre inoltre procedere a un monitoraggio periodico sull'attuazione delle strategie RIS3 e stimolare la partecipazione della società civile, troppo spesso limitata, mediante piattaforme e partenariati di collaborazione.
Infine, la sinergia tra i fondi strutturali e di investimento (SIE) e gli altri strumenti finanziari dell'UE disponibili nell'ambito RIS3, come il Fondo europeo per gli investimenti strategici (FEIS), deve ritenersi necessaria per valorizzare il potenziale della ricerca e dell'innovazione nelle imprese e massimizzarne i risultati. Per questi motivi, ho votato a favore della relazione.
Λευτέρης Χριστοφόρου (PPE), γραπτώς. ‒ Στηρίζουμε την έκθεση και τονίζουμε πως η συνεχής βελτίωση της ικανότητας της ΕΕ για καινοτομία είναι αποφασιστικής σημασία. Οι RIS3 πρέπει να επανεξετάζονται διαρκώς καθώς αφορούν ένα χώρο που αλλάζει συνεχώς.
Κώστας Χρυσόγονος (GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Ψηφίσαμε την έκθεση σχετικά με την πολιτική συνοχής και τις στρατηγικές έρευνας και καινοτομίας για έξυπνη εξειδίκευση. Θεωρώ πως ανάλογες διαδικασίες είναι θετικές για την εξέλιξη και βελτίωση των πρακτικών εκπαίδευσης, κάτι που υποστηρίζει τις προοπτικές των ευρωπαίων πολιτών. Γι’ αυτό και ψήφισα θετικά.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Mi sono espresso a favore della relazione del collega Valcarcel Siso sulla politica di coesione e sulle strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente (RIS3). Si tratta infatti di un'ottima relazione che evidenzia come le strategie RIS3 contribuiscano alla crescita dell'Europa sia nel campo dell'innovazione che in quello dell'occupazione, in linea con gli obiettivi di Europa 2020. Chiedendo che le strategie RIS3 siano una condizionalità ex ante per l'allocazione dei fondi SIE, la relazione propone una crescita equilibrata e basata sulla conoscenza non solo nelle regioni ben sviluppate, ma anche nelle aree meno sviluppate o in transizione. Mi congratulo con il collega per l'ottimo lavoro svolto.
Deirdre Clune (PPE), in writing. ‒ I supported the report on cohesion policy and research and innovation strategies for smart specialisation (RIS3) and noted no objections.
Carlos Coelho (PPE), por escrito. ‒ As estratégias de investigação e inovação para a especialização inteligente (Research and innovation strategies for smart specialisation - RIS3) constituem um vetor fundamental para o crescimento económico baseado no conhecimento, para o incremento da capacidade de inovação da UE e para a construção de uma política de coesão assente nos objetivos da Europa 2020.
Como tal, constituem uma condição “ex ante” para os Estados-Membros e as regiões beneficiarem dos fundos europeus estruturais e de investimento (FEIE), o que conduz à conceção de uma Estratégia RIS3 em cada uma das regiões, facto que é positivo.
Acompanho a preocupação com a necessidade de reduzir estrangulamentos burocráticos para agilizar a execução das estratégias e a necessidade de assegurar uma revisão contínua das mesmas, considerando a constante evolução verificada nesta matéria.
Sublinho que a aplicação destas estratégias deve procurar promover a cooperação inter-regional, promovendo também sinergias entre as infraestruturas de investigação da UE, no contexto da política de coesão 2014—2020.
A plena aplicação da Agenda Urbana, centrada na criação de cidades inteligentes, deve ser prioritária, bem como as áreas das energias renováveis, da agenda digital ou da saúde pública, conforme a análise SWOT de cada região.
Pelo exposto, apoio o relatório.
Therese Comodini Cachia (PPE),in writing. – The proper functioning of a digital single market requires high-quality skilled jobs with smart specialisation that could lead to new skills, knowledge, innovation and employment in order to better exploit research results and take advantage of all forms of innovation.
I support therefore the call upon the EU and the Member States to use existing tools such as the Community Innovation Survey (CIS) to carry out periodic (annual and mid-term) monitoring – both quantitative and qualitative on of the implementation of the strategies, and to involve all stakeholders, including civil society in the exercise.
Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado abstención en este informe, porque a pesar de contener aspectos positivos promueve la lógica de los mercados como gobernantes de facto de los Estados y sus ciudadanos, y potencia la financiación público-privada en la política de cohesión. El informe versa sobre el objetivo de la innovación dentro de la Estrategia 2020. Trata la innovación desde una perspectiva muy amplia, apoyando el desarrollo tecnológico, así como, innovación social basada en la experiencia. Fomenta la innovación regional y su adaptabilidad a las circunstancias particulares del entorno. También promueve una mejor rendición de cuentas y sistemas de evaluación. Se echa en falta una reflexión y pronunciamiento acerca de la recolocación de puestos de trabajo destruidos por la innovación tecnológica, así como, sobre el fenómeno de la concentración de la riqueza generada por la especialización inteligente.
Andrea Cozzolino (S&D), per iscritto. ‒ Le PMI sono essenziali per l'economia delle regioni dell'UE in termini di occupazione e la competitività. Negli ultimi dieci anni le PMI hanno creato l'85 % dei posti di lavoro europei e nel 2015 hanno contribuito fino al 71 % della crescita dell'occupazione nell'economia commerciale non finanziaria. Attraverso i fondi ESI, in particolare l'Obiettivo Tematico 3, possiamo contribuire a migliorare ulteriormente la competitività delle piccole e medie imprese e la loro capacità di generare buona occupazione.
Per il periodo 2014-2020 sono previsti 63 miliardi di EUR che potranno sostenere oltre 800 000 PMI. La parte finanziaria, tuttavia, è solo uno degli aspetti. Persistono infatti alcune strozzature che impediscono di svilupparne appieno le potenzialità, a cominciare dalle difficolta che, a livello di Stati membri, si hanno nell'accesso al credito. Inoltre, la relazione sottolinea giustamente la necessità di semplificare le procedure amministrative e il ruolo che le amministrazioni locali devono svolgere, in particolare offrendo la necessaria assistenza tecnica. Con una più stretta cooperazione tra tutti i livelli possiamo sicuramente migliorare sia l'assorbimento delle risorse che la capacità delle PMI di contribuire alla crescita socio-economica europea.
Andi Cristea (S&D), în scris. ‒ Cu o economie globală aflată într-o continuă transformare și care este marcată de recesiuni, dar și constrângeri bugetare, UE este obligată să-și îmbunătățească potențialul de inovare. Strategiile trebuie revizuite constant atunci când discutăm despre un domeniu aflat în continuă transformare. Am votat pentru creșterea sinergiei dintre instrumentele europene pentru a folosi resursele cât mai eficient. Este esențial ca autoritățile locale și cele regionale să-și dezvolte propriile opinii, precum și să asigure o cooperare mai extinsă între regiuni, pentru a evita dublarea eforturilor și cheltuielile ineficiente.
Pál Csáky (PPE),írásban. – A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. A fentiek mellett az alapinfrastruktúra fejlesztését sem szabad elhanyagolni, mivel a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele. Támogattam a jelentést.
Edward Czesak (ECR), na piśmie. ‒ Popieram działania związane z polityką spójności i strategią dotyczącą badań naukowych i innowacji na rzecz inteligentnej specjalizacji, które muszą jeszcze podjąć niektóre państwa członkowskie w celu spełnienia wymogów związanych z warunkiem ex ante RIS3. Ustalenia EFRR (Europejskiego Funduszu Rozwoju Regionalnego) dotyczące ukierunkowania inwestycji (w okresie programowania 2014–2020) na obszary badań naukowych, rozwoju technologicznego i innowacji za pomocą strategii inteligentnej specjalizacji są bardzo istotne. W pełni rozumiem, że RIS3 jest warunkiem ex ante, aby otrzymać wsparcie na powyższe inwestycje.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report as I agree with the main areas outlined, where improvement for RIS3 should be carried out. The coordinated and complementary use of ESI Funds together with Horizon 2020 and EFSI, provides excellent options for boosting innovation at regional, national and EU levels. This strategy is fundamentally important to create a knowledge-based economy, sustainable growth and balances development and high quality jobs in all regions. This increases performance and also contributes to the achievement of the Europe 2020 objectives.
Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Consider necesară utilizarea complementarității dintre fondurile structurale și de investiții europene (ESIF) și fondurile europene pentru investiții strategice (EFSI) și a potențialului de a combina aceste fonduri în scopul de a face uz pe deplin de garanțiile Uniunii Europene pentru finanțarea platformelor de investiții.
Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport d’initiative donne les premières conclusions ainsi que la position du Parlement européen sur les stratégies de recherche et d’innovation pour une spécialisation intelligente.
Élément clé de la nouvelle politique de cohésion 2014-2020, les stratégies SRI-SI visent à mieux mobiliser les fonds européens en incitant les régions à investir dans leurs atouts pour favoriser la croissance et l’emploi. Parmi les mesures principales, le rapport propose d’initier une réflexion pour l’amélioration de la mise en œuvre de ces stratégies.
Considérant que les spécificités des territoires sont des composantes essentielles du modèle de développement économique des régions, à l’exemple des zones de montagne, j’ai voté en faveur de ce rapport.
William (The Earl of) Dartmouth (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because as usual, it was filled with buzz words and phrases that sound impressive but which will do nothing to create growth and jobs. The EU’s obsessive interference and over regulation damages both jobs and growth and we fail to see how buzz words and corporate speak will change that.
Rachida Dati (PPE),par écrit. – J’ai soutenu ce texte sur la politique de cohésion et les stratégies de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente (SRI-SI). Afin de garantir la meilleure efficacité dans l’utilisation des fonds européens vers les actions prioritaires, il est indispensable que des stratégies de spécialisation intelligentes (SRI-SI) soient mises en place.
Ces stratégies de spécialisation intelligentes doivent alors se développer dans des conditions propices à l’amélioration de la compétitivité et de l’innovation en Europe qui doivent être encouragées par une synergie des différents instruments à notre disposition.
Andor Deli (PPE), írásban. ‒ A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok, ezért szavazatommal támogattam a jelentést a plenáris szavazás során.
Azonban fontosnak tartom megjegyezni, hogy az alapinfrastruktúra-fejlesztést sem szabad elhanyagolni, mert sokszor a fejlettebb tagállamokban is hiányos az infrastruktúra, a szükséges fejlesztés piaci alapon nem mindig oldható meg, és a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele.
Isabella De Monte (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della relazione perché ritengo che sia importante che l'Unione europea continui a rafforzare la propria capacità di innovare a fronte della crescente concorrenza mondiale. Inoltre, sostengo gli investimenti nella ricerca e nelle strategie di specializzazione intelligente per fornire servizi innovativi e competitivi, garantire crescita economica e nuovi posti di lavoro.
Mireille D'Ornano (ENF), par écrit. ‒ Ce texte sert de fil conducteur à la mise en œuvre du Fonds européen de développement économique et régional (FEDER). Ce dernier vise à instaurer une relation directe entre l’Union européenne (la Commission) et les collectivités, en faisant ainsi l’impasse sur les États membres.
En outre, ce programme cadre qui s’inscrit dans la droite ligne de la stratégie «Europe 2020» ne remet nullement en cause les politiques d’austérité imposées en Europe aussi bien sur les budgets publics que privés. Aussi, j’ai voté contre ce texte.
Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ Подкрепих този доклад, тъй като той подчертава ролята на многостепенното управление в процеса на създаване на стратегии, ролята на програмата за градско развитие на ЕС в създаването на синергии и силните връзки за ефективно използване на ресурсите, както и ролята на мониторинга и оценката като важна част от стратегиите за интелигентна специализация в програмния период 2014 –2020 г.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Η πολιτική συνοχής, πέρα από μη λειτουργική γενικότερα, δεν οδηγεί σε δημιουργία ποιοτικών θέσεων. Αντιθέτως, έχει προκαλέσει μεγάλη απώλεια πολύτιμου ανθρώπινου δυναμικού και στην χώρα μας αλλά και σε όλες τις άλλες οικονομικά αδύναμες χώρες της Ένωσης.
Norbert Erdős (PPE), írásban. ‒ A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok, ezért szavazatommal támogattam a jelentést a plenáris szavazás során.
Azonban fontosnak tartom megjegyezni, hogy az alapinfrastruktúra-fejlesztést sem szabad elhanyagolni, mert sokszor a fejlettebb tagállamokban is hiányos az infrastruktúra, a szükséges fejlesztés piaci alapon nem mindig oldható meg, és a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ As estratégias de RIS3 constituem uma ferramenta valiosa para colmatar o fosso em termos de inovação e impulsionar os empregos e o crescimento na Europa. As autoridades públicas devem tentar ter uma atenção especial ao acompanhamento e à revisão das estratégias, a fim de maximizar, por um lado, os seus resultados e, por outro, a cooperação inter-regional, com o objetivo de desenvolver projetos ambiciosos que criam valor acrescentado para a economia. A organização de uma conferência à escala europeia e o desenvolvimento de um documento de orientação política que incorpore os principais ensinamentos da experiência nesta área são ferramentas muito úteis a favor de uma melhoria contínua.
Edouard Ferrand (ENF), par écrit. ‒ Vote contre: il convient de noter que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ O Fundo Europeu de Desenvolvimento Regional (FEDER), em apoio ao Objetivo Temático n.º 1, estabeleceu que as regiões devem canalizar os respetivos investimentos em IDI (investigação, desenvolvimento e inovação) através de estratégias de especialização inteligente no período de programação 2014-2020. Por conseguinte, as RIS3 constituem uma condição «ex ante» para os Estados-Membros e as regiões da UE beneficiarem dos Fundos Europeus Estruturais e de Investimento. Todas as regiões europeias dispõem de uma Estratégia RIS3. Estas estratégias foram moldadas e começaram a ser executadas durante 2014 e 2015.
Ainda que o relatório se ligue à dimensão de cumprimento de objetivos da UE (nomeadamente através da Estratégia UE 2020, que rejeitamos), a lógica de centrar as estratégias de IDI nos Estados-Membros e nos organismos regionais e locais permite uma definição de necessidades mais realista e perspetivas de desenvolvimento mais sustentadas (não impostas, parecendo a lógica ser a de que a concretização do objetivo local poderá contribuir para o objetivo geral). A mobilização de fundos estruturais e de investimento, ligados à coesão social e territorial, enquadrados numa lógica RIS, poderá contribuir para o investimento na dinamização económica, nomeadamente no apoio às PME, o que, principalmente no quadro de depressão económica que a austeridade e as políticas de asfixia neoliberal impuseram, parece positivo.
Raffaele Fitto (ECR), per iscritto. ‒ In un periodo di recessione economica e ristrettezze di bilancio e in un contesto di crescente inasprimento della concorrenza mondiale, è di vitale importanza che l'Unione europea continui a rafforzare la propria capacità di innovare. Ho votato a favore della relazione sull'implementazione della politica di coesione e delle strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente, perché mette in evidenza gli aspetti a cui le strategie dovrebbero prestare particolare attenzione, come: l'analisi delle priorità, dei punti di forza e del potenziale di ogni regione; l'elaborazione di un monitoraggio periodico di tipo quantitativo e qualitativo; l'elaborazione di processi partecipativi; la creazione di sinergie tra attori pubblici e privati; il coordinamento tra tutti i livelli di governance e servizi. Ciascun paese dell'UE dovrebbe adoperarsi al massimo per promuovere sinergie tra questi strumenti e utilizzare le risorse nel modo più efficiente.
Monika Flašíková Beňová (S&D), písomne ‒ Cieľom stratégie RIS3, ktorá je založená na politike súdržnosti, stratégie a výskumu a inovácií pre inteligentnú špecializáciu, je na základe poznatkov, udržateľného rastu, vyváženého rozvoja a vysoko kvalitných pracovných miest vo všetkých oblastiach – nielen v ekonomicky silných oblastiach, ale aj v regiónoch v procese transformácie rovnako ako v menej rozvinutých, vidieckych a odľahlých oblastiach – skvalitniť stratégiu inteligentnej špecializácie podpory tematického zamerania a strategického plánovania lepšieho využitia európskych štrukturálnych fondov a investičných fondov, zvýšiť orientáciu na výkon na zemi, a tým prispieť k dosiahnutiu cieľov, ktoré boli stanovené v rámci stratégie EUROPA2020.
Lorenzo Fontana (ENF), per iscritto. ‒ Voto a favore della relazione perché sono per un maggiore e continuo monitoraggio della strategia di innovazione per la specializzazione intelligente.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Καταψηφίζω την έκθεση σχετικά με την πολιτική συνοχής και τις στρατηγικές έρευνας και καινοτομίας για έξυπνη εξειδίκευση (RIS3), διότι η πολιτική συνοχής πέρα από μη λειτουργική γενικότερα, δεν οδηγεί σε δημιουργία ποιοτικών θέσεων, αντιθέτως, έχει προκαλέσει μεγάλη απώλεια πολύτιμου ανθρώπινου δυναμικού στην χώρα μας, όπως και σε όλες τις άλλες οικονομικά αδύναμες χώρες της Ένωσης.
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ During the year 2014, regions have started to develop and publish their RIS3 strategies. The aim of these strategies is to create knowledge-based, sustainable growth, balanced development and high quality jobs in all regions, not only in well-developed areas but also in regions in transition as well as in less developed, rural and island regions. Smart specialisation strategies support thematic concentration and strategic programming of the European Structural and Investment Funds (ESI Funds) and lead to increased performance orientation on the ground, thus contributing to the achievement of the Europe 2020 objectives. I therefore support the report.
Kinga Gál (PPE), írásban. ‒ A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok, ezért szavazatommal támogattam a jelentést a plenáris szavazás során.
Azonban fontosnak tartom megjegyezni, hogy az alapinfrastruktúra-fejlesztést sem szabad elhanyagolni, mert sokszor a fejlettebb tagállamokban is hiányos az infrastruktúra, a szükséges fejlesztés piaci alapon nem mindig oldható meg, és a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele.
Ildikó Gáll-Pelcz (PPE), írásban. ‒ Szavazatommal támogattam a néppárti álláspontot, mivel a gazdasági recesszió és ennek következtében a szigorú költségvetési korlátozások és egyre élesedő globális verseny idején létfontosságú az EU számára innovációs képességének fenntartható javítása. A RIS3 központi szerepet tölt be a kohéziós politikának az Európa 2020 stratégia célkitűzéseihez való hozzájárulásában, ezért a RIS3 előzetes feltételnek számít a tagállamok és az uniós régiók számára ahhoz, hogy részesülhessenek az európai strukturális és beruházási alapok forrásaiból. Valamennyi európai régió rendelkezik RIS3 stratégiával, amelyeket folyamatosan felül kell vizsgálni.
Az innovációról van szó, azaz egy olyan területről, amely folyamatosan változik, ezért alapvető fontosságú, hogy a stratégiákat folyamatosan hozzáigazítsák a szakosodás területén bekövetkező változásokhoz. Ezenkívül ki kell emelni azokat a területeket, amelyekre a stratégiáknak különös figyelmet kell fordítaniuk: a prioritások elemzése, az egyes régiók erősségei és potenciálja, a négyes spirál bevonása a stratégiák meghatározásába, a módszertan használata, rendszeres időközönkénti mennyiségi és minőségi nyomon követés kialakítása, részvételi eljárások kialakítása, az érdekelt felek meghívása, különös tekintettel a magánszférára, a köz- és a magánszféra közötti szinergiák kialakítása, az összes irányítási szint és szervezeti egység közötti koordináció, illetve alternatív finanszírozási módok felkutatása.
Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ He votado a favor totalmente convencido de que es necesario, en un momento de recesión económica y restricciones presupuestarias, y en un entorno mundial cada vez más competitivo, que la Unión Europea siga mejorando su capacidad de innovar. Estamos hablando de innovación, un ámbito en constante cambio. Por ello, es esencial que las estrategias se adapten constantemente a los cambios operados en el ámbito de especialización. Todas las regiones europeas disponen de una estrategia RIS3, y estas estrategias se han empezado a aplicar a lo largo de 2014 y 2015.
Elisabetta Gardini (PPE),in writing. – This is a very important report and it aims to increase the impact of the ESI funds on for example job creation and growth. The report outlines that the regions should develop RIS3 strategies based on analyses of competences, assets and more. It is important that these RIS3 strategies are developed on a regional level so that no growth opportunities are not lost. I also support the report in its assessment that more synergies are needed across different EU funding instruments, such as ESI. These obstacles hinders the coordination and the coherence of EU funding and reduces their overall impact.
Enrico Gasbarra (S&D), per iscritto. ‒ Coordinare al meglio le risorse provenienti dall'Europa è un'esigenza cruciale per la crescita. Il ruolo delle autorità locali e regionali è essenziale per perseguire tale obiettivo. La relazione che abbiamo approvato sottolinea come ad una specializzazione strategica per l'innovazione debba anche e necessariamente corrispondere una complementarità tra tutti i fondi a disposizione. La crisi economico-finanziaria e le conseguenti riduzioni dei bilanci pubblici impongono ai territori uno sforzo per razionalizzare le capacità di investimenti per l'innovazione; con questa relazione auspichiamo che si pongano le basi per un approccio più comune ed efficace.
Elena Gentile (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della risoluzione del Parlamento europeo sulla politica di coesione e strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente (RIS3) perché sono fermamente convinta che in questi tempi di crisi economica, finanziaria e sociale l'UE debba intensificare gli sforzi per creare una crescita economica intelligente, sostenibile ma soprattutto inclusiva.
L'innovazione deve essere la chiave di volta per rafforzare le sinergie tra i paesi membri per la crescita e la creazione di nuovi posti di lavoro, e le aree urbane dell'UE devono svolgere un ruolo fondamentale in questo processo, diventando catalizzatori delle strategie di smart specialization. Le regioni e le città, come fatto in Puglia, devono fungere da poli per vari attori e settori, declinando le sfide e le opportunità per la crescita intelligente, ed essendo pioniere dell'approccio territoriale integrato.
Arne Gericke (ECR), schriftlich. ‒ Ich habe für den Bericht über Kohäsionspolitik und Forschungs- und Innovationsstrategien für intelligente Spezialisierung (RIS3) gestimmt, da ich der Überzeugung bin, wir müssen regionale Förderung und Forschungsförderung noch weiter verzahnen – gerade zum Vorteil strukturschwacher Regionen. Dort schaffen wir Arbeit. Beispiele existierender regionaler Forschungs- und Innovationsstrategien beweisen das – etwa in Thüringen.
Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Ich unterstütze die Kohäsionspolitik der Europäischen Union. Vor allem in den jetzigen Zeiten von wirtschaftlicher Rezession, knappen Haushalten und einem sich verschärfenden weltweiten Wettbewerb ist es absolut notwendig, dass die Europäische Union ihre Innovationskraft ausweitet und die europäischen Regionen gestärkt werden. Die Unterstützung wird vor allem im Bereich der Förderung von Beschäftigung und dem interregionale Austausch ansetzen.
Besonders begrüße ich, dass die Kohäsionspolitik wirtschaftliches Wachstum in ländlichen Regionen als ein zentrales Ziel anerkennt.
Neena Gill (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report because innovation is an area that is continuously evolving. It follows therefore that RIS3 strategies should be constantly revised. In order to achieve this, a review of the strategies after 2017 seems mandatory so as to boost efficiency and effectiveness, also taking into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Voto a favor de este informe que apoya las políticas de cohesión y las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente (RIS3).
Las RIS3 contribuyen a la programación estratégica de los Fondos de Cohesión y pueden tener un papel fundamental en el cumplimiento de los objetivos de Europa 2020, en la búsqueda de un desarrollo equilibrado y sostenible y en la creación de empleos de calidad.
Propone además el apoyo a las gobernanzas multinivel y mayor participación a todos los niveles en los programas de ayudas, así como, la creación de sinergias positivas en las diferentes regiones para determinar sus puntos fuertes.
Aunque el informe contiene muchas «odas al viento» estoy a favor de la innovación tecnológica y social, de la evaluación del sistema de ayudas, el refuerzo de las fortalezas de cada región y de las pymes, para conseguir un desarrollo más sostenible.
Beata Gosiewska (ECR), na piśmie. ‒ Głosowałam za przyjęciem sprawozdania w sprawie polityki spójności i strategii dotyczących badań naukowych i innowacji na rzecz inteligentnej specjalizacji, tzw. RIS3.
Strategie RIS3 są cennym narzędziem do minimalizowania luki innowacyjnej i zwiększenia zatrudnienia oraz pobudzenia wzrostu gospodarczego w Europie. Strategia wymaga jeszcze wielu usprawnień, a władze publiczne powinny stale monitorować strategie w celu maksymalizacji ich wyników i zapewnienia możliwie jak najefektywniejszej współpracy międzyregionalnej. Uproszczenie i skoordynowanie istniejących programów jest ponadto niezbędne dla odpowiedniej realizacji tych strategii w kolejnych latach.
W tym kontekście przegląd strategii po 2017 r. powinien być obowiązkowy w celu zwiększenia efektywności i skuteczności strategii RIS3, biorąc pod uwagę doświadczenia zdobyte w pierwszych latach ich realizacji.
Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ With my EPLP colleagues I voted in favour of this report because innovation is an area that is continuously changing, RIS 3 strategies should be constant revised. For this purpose, a review of the strategies after 2017 seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Antanas Guoga (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of the report. RIS3 strategies are a valuable tool to tackle the innovation gap, and boost jobs and growth in Europe. Simplification, as well as coordination of the existing programmes, is also essential in contributing to a good implementation of those strategies in the years to come.
Τάκης Χατζηγεωργίου (GUE/NGL),γραπτώς. – Υπερψηφίσαμε την έκθεση αφού προωθεί την ανάπτυξη της καινοτομίας παρέχοντας ένα ευρύ φάσμα επιλόγων για μια ισορροπημένη ανάπτυξη μέσω επενδύσεων σε δυσμενείς περιοχές, σε περιφέρειες καθώς και σε λιγότερο ανεπτυγμένες, αγροτικές και νησιωτικές περιοχές.
Marian Harkin (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this report because within cohesion policy, the European Regional Development Fund (ERDF) established that regions were required to concentrate their investments within four priorities including R&D and Innovation via smart specialisation strategies (RIS3) in the 2014-2020 programming period. Therefore, RIS3 is an ex-ante condition for Member States and EU regions for receiving European Structural and Investment Funds (ESIF). I was happy that the report focused on the RIS3 and its central role within cohesion policy and its contribution to the Europe 2020 goals. Moreover, the report highlights that the implementation of RIS3 can only be successful if based on local and regional assets. In addition, the report asks for better synergies for growth and job creation between funding instruments, ESIF, EFSI and Horizon 2020. Finally, the report acknowledges the importance of Smart cities as catalysts for RIS3 and presents the main lessons for the future of RIS3.
Brian Hayes (PPE), in writing. ‒ I voted in favour as I have no objections.
György Hölvényi (PPE), írásban. ‒ A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok, ezért szavazatommal támogattam a jelentést a plenáris szavazás során.
Azonban fontosnak tartom megjegyezni, hogy az alapinfrastruktúra-fejlesztést sem szabad elhanyagolni, mert sokszor a fejlettebb tagállamokban is hiányos az infrastruktúra, a szükséges fejlesztés piaci alapon nem mindig oldható meg, és a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele.
Cătălin Sorin Ivan (S&D), in writing. ‒ The aim of these strategies is to create sustainable growth, balanced development and high quality jobs in all regions. Smart specialisation strategies support thematic concentration and strategic programming of the EFSI funds in order to increased performance.
This report deals with the areas where improvement for RIS3 should be carried out and underlines the fact that the use of ESI Funds, together with Horizon 2020, provides excellent options for boosting innovation at national and EU levels. I voted in favour of this report.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasao sam za Izvješće o kohezijskoj politici te istraživačkim i inovacijskim strategijama za pametnu specijalizaciju (RIS3) s obzirom na središnju ulogu strategije RIS3 u doprinosu kohezijske politike ciljevima strategije Europa 2020, te s obzirom da bi strategije RIS3 trebale pomoći pri jačanju konkurentnosti europskoga gospodarstva, razvoju europske dodane vrijednosti u inovacijama i otvaranju većeg broja boljih visokokvalitetnih radnih mjesta.
Razvoj strategije RIS3 uključuje postupak razvoja mehanizama upravljanja s pomoću kojih se utvrđuju konkretna područja s najvećim strateškim potencijalom i određuju strateški prioriteti. Strategijama pametne specijalizacije podržava se tematska koncentracija i strateško programiranje u okviru europskih strukturnih i investicijskih fondova čime se poboljšava učinak na terenu.
U okviru platforme S3 u Sevilli, posebnu pozornost bi trebalo posvetiti regijama koje zaostaju te im pružiti pomoć u oblikovanju i usmjeravanju njihovih strategija. Postoji problem što su neke države članice uspostavile nacionalne strategije RIS3 tako da lokalnim i regionalnim tijelima nisu pružile šansu da oblikuju vlastite stavove.
Jean-François Jalkh (ENF), par écrit. ‒ La stratégie présentée dans ce rapport s'inscrit dans le cadre du Fonds européen pour les investissements stratégiques (plan Juncker). Ce document de cadrage oriente la mise en œuvre de la politique de cohésion et le versement du Fonds européen de développement économique régional (FEDER). Il considère que la stratégie économique de l’Union doit tout miser sur la spécialisation et l’innovation dans le but d’améliorer la compétitivité de notre économie.
Cependant, rien n’est prévu pour soutenir le principe de labellisation (entreprises innovantes) ou aborder le problème des brevets et de l’espionnage industriel, sujets pourtant stratégiques. De plus, on ne trouve aucune critique ou remise en cause des politiques d’austérité sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
L’État français, pris en tenaille entre l'Union européenne et les régions, n’est pas chef de file de la mise en œuvre de cette stratégie qui répond à des orientations décidées par la Commission européenne.
L’Union européenne utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorité de gestion du FEDER, ainsi que la coopération transeuropéenne au détriment de la coopération entre États nations. J'ai donc voté contre ce texte.
Petr Ježek (ALDE), in writing. ‒ I supported this resolution because RIS3 will allow our regions to remain competitive, create more quality jobs and achieve sustainable growth by helping them develop in the areas of their strength. Put differently, smart specialisation means that these regions will be able to focus in priority sectors where they have the biggest competitive potential. I believe in the participatory approach of this strategy that concentrates on targeted research and innovation programmes but at the same time offers support for regions and businesses to take full advantage of the new technologies and knowledge. This way we will be able to bridge the development and innovation gap in Europe.
Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur du rapport de mon collègue Ramón Luis Valcárcel Siso au sujet des stratégies de recherche et d'innovation pour une spécialisation intelligente. Ces stratégies encouragent les différentes régions européennes à identifier leurs atouts afin d'orienter au mieux les fonds européens et de maximiser ainsi leur contribution à la croissance.
Le rapport tire les premières leçons de la mise en œuvre de ces stratégies et émet plusieurs recommandations de bon sens pour l’avenir. Il souligne par exemple l’importance de mieux adapter l’enseignement et la recherche aux besoins réels, afin que l’innovation réponde à la demande et débouche sur la croissance.
Ce rapport a été adopté à une large majorité, ce dont je me félicite.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur du rapport Valcárcel Siso qui apporte son soutien aux stratégies de spécialisation intelligente et qui appelle à tirer les leçons de la mise en œuvre de ces stratégies afin d'obtenir de meilleurs résultats à l’avenir.
En effet, les stratégies de recherche et d'innovation pour une spécialisation intelligente (SRI-SI) sont une conditionnalité ex-ante pour l'attribution des fonds ESI.
Les SRI-SI favorisent la concentration thématique et la programmation stratégique des fonds. En fonction des atouts et des avantages de chaque région, ces stratégies ont pour but d'engendrer la croissance dans toutes les régions européennes.
Eva Kaili (S&D), in writing. ‒ The report of Ramón Luis Valcárcel Siso on Cohesion policy and research and innovation has been focusing on the importance of certain aspects of our policies that I align with. At a time of economic recession and resulting budget constraints, and in an increasingly competitive global environment, it is crucial that the European Union keep improving its capacity to innovate.
The rapporteur is of the opinion that RIS3 strategies are a valuable tool to tackle the innovation gap, and boost jobs and growth in Europe. For the time being, we can see that creation of the strategies still leaves room for changes to be made. Public authorities should try to pay special attention to the monitoring and review of the strategies in order to maximise its output on the one hand, and interregional cooperation on the other hand, in order to develop ambitious projects that create added value for the economy. Simplification, as well as coordination of the existing programmes, is also essential in contributing to a good implementation of those strategies in the years to come.
Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Ich stimme für den vorliegenden Bericht. In seiner Ausgewogenheit bringt er Vorschläge an die Kommission ein, welche die intelligente Spezialisierung in der Kohäsionspolitik und RIS3 weiter vorantreiben, um so einen größeren Mehrwert für die Rezipienten zu schaffen.
Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report as innovation is an area that is continuously changing. Therefore, a review of the strategies after 2017 seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Ádám Kósa (PPE), írásban. ‒ A technológiai fejlesztés és innováció megerősítése egyike az Európai Regionális Fejlesztési Alap 2014–2020 közötti időszakra vonatkozó beruházási prioritásainak. Az intelligens szakosodási stratégiák pozitív hatást gyakorolhatnak az európai gazdaság versenyképesebbé tételére, a munkahelyteremtésre, a vállalkozói szellemre. A stratégiák elősegítik a tudásalapú, fenntartható növekedést, a kiegyensúlyozott fejlődést és a minőségi munkahelyteremtést. Az innováció, kutatás támogatásának pozitív hatásai vitathatatlanok, ezért szavazatommal támogattam a jelentést a plenáris szavazás során.
Azonban fontosnak tartom megjegyezni, hogy az alapinfrastruktúra-fejlesztést sem szabad elhanyagolni, mert sokszor a fejlettebb tagállamokban is hiányos az infrastruktúra, a szükséges fejlesztés piaci alapon nem mindig oldható meg, és a megfelelő infrastrukturális összekapcsolás az egységes belső piac működésének is előfeltétele.
Андрей Ковачев (PPE),в писмена форма. – Подкрепих доклада относно политиката на сближаване и научноизследователските и иновационните стратегии за инициативата за интелигентна специализация (RIS3), тъй като смятам, че технологиите и иновациите са основна предпоставка за икономически растеж както за регионите, така и за ЕС. Политиката на сближаване предоставя инструменти за насърчаване на научните изследвания и развитие на иновациите чрез използване на местните и регионални активи, чрез които могат да бъдат преодолени разликите в иновативния напредък между регионите.
Смятам, че чрез регионална насоченост, стратегическо и ефективно планиране и използване на инвестициите за публични изследвания и иновации ще се подпомогнат не само добре развитите области, но и по-слабо развитите и селските райони, ще се даде тласък за засилването на заетостта и растежа на местно ниво и ще се спомогне за засилване на административния капацитет на местно и регионално ниво.
Ilhan Kyuchyuk (ALDE), in writing. ‒ Research and innovation strategies for Smart specialisation are particularly important in times when the EU needs to create smart, sustainable and inclusive growth in order to tackle financial and social crises across the Union. I supported the resolution and it is important to note that for the 2014-2020 programming period, Member States are required, for the first time, to develop national and/or regional smart specialisation strategies by involving national and regional managing authorities and stakeholders such as higher education institutions, industry and social partners, in an entrepreneurial discovery process. Therefore, research and innovation strategies for smart specialisation should be designed by a strong governance system and should stimulate private investment in research, technology and development.
Giovanni La Via (PPE),per iscritto. – La seguente proposta di risoluzione mira al raggiungimento di una crescita sostenibile che si basi sulla conoscenza, su uno sviluppo armonioso e sulla creazione di posti di lavoro, non solo nelle aree ben sviluppate, ma anche nelle regioni in transizione e in quelle meno sviluppate, rurali e insulari. Avendo riguardo al presente obiettivo tematico, il FESR prevede che, durante il periodo 2014/2020, le regioni debbano concentrare gli investimenti nella RSI, mediante le strategie di specializzazione intelligente.
In questo contesto trova attuazione la RIS3, che costituisce la condizione attraverso la quale è possibile concedere agli Stati membri e alle regioni dell'UE, le quali godono di una propria strategia RIS3, fondi strutturali e di investimento europei (i cosiddetti fondi SIE). Pertanto, ritengo che le summenzionate strategie rappresentino uno strumento in grado di promuovere la crescita occupazionale europea e, per contribuire ad una buona attuazione di tali strategie, sono essenziali la semplificazione e il coordinamento dei programmi esistenti.
Gilles Lebreton (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre ce rapport parce qu’il ne veut opérer aucune remise en cause des politiques d’austérité sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
D’autre part, je déplore que l’Union européenne utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorités de gestion du FEDER, au détriment de la coopération entre États nations.
Marine Le Pen (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre le rapport sur la politique de cohésion et les stratégies de recherche et d'innovation pour la spécialisation intelligente.
Ce texte vante les mérites de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente. Il ne comporte aucune critique ou remise en cause des politiques d’austérité sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
Le mode de gouvernance de la stratégie doit être à multi-niveaux et compatible avec la stratégie Europe 2020. Cela veut dire que l’État français n’est pas chef de file de la mise en œuvre de cette stratégie qui répond à des orientations décidées par la Commission européenne. L’Union européenne utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorité de gestion du FEDER, ainsi que la coopération transeuropéenne au détriment de la coopération entre États nations.
Dans le texte, rien n’est prévu pour soutenir le principe de labellisation (entreprises innovantes) ou aborder l’épineux problème des brevets et de l’espionnage industriel, qui constituent des sujets majeurs pour l’avenir des économies de nos États membres.
Philippe Loiseau (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport vante les mérites de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente. Il considère qu’en termes de stratégie économique, l’UE doit tout miser sur la spécialisation et l’innovation, afin d’améliorer la compétitivité économique européenne.
Néanmoins, derrière ces poncifs se dessinent plusieurs éléments négatifs. Tout d’abord, le texte ne prévoit pas de soutien pour la labellisation, n’aborde pas la question des brevets et de l’espionnage industriels.
De plus, il tend à écarter l’échelon national au profit d’une relation directe entre la Commission et les régions, devenues autorité de gestion du FEDER (Fonds européen de développement régional).
Enfin, on n’y trouve nulle remise en cause de la politique monétaire de la Banque centrale européenne et des politiques d’austérité menées depuis des années.
Pour toutes ces raisons, j’ai voté contre ce rapport.
Javi López (S&D), por escrito. ‒ He votado a favor del presente informe porque se ha centrado en los principales ámbitos de mejora de las RIS3. En particular, el informe subraya que la utilización coordinada y complementaria de los Fondos EIE con el programa Horizonte 2020 y el Fondo Europeo para Inversiones Estratégicas (FEIE), en consonancia con las orientaciones sobre complementariedades entre el FEIE y los Fondos EIE publicadas por la Comisión en febrero de 2016, ofrece excelentes posibilidades para impulsar la innovación a escala regional, nacional y de la Unión, aumentando el atractivo de las inversiones en investigación e innovación con el fin de atraer capital privado como complemento de la financiación pública.
En este sentido, el informe pide a las autoridades locales y regionales que aprovechen al máximo las posibilidades de combinación de estos instrumentos.
El informe pide que se realice una revisión de las estrategias RIS3 después de 2017 con el propósito de mejorar su eficiencia y eficacia, teniendo en cuenta lo aprendido en los primeros años de su aplicación.
Paloma López Bermejo (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado abstención en este informe, porque a pesar de contener aspectos positivos promueve la lógica de los mercados como gobernantes de facto de los Estados y sus ciudadanos, y potencia la financiación público-privada en la política de cohesión. El informe versa sobre el objetivo de la innovación dentro de la Estrategia 2020. Trata la innovación desde una perspectiva muy amplia, apoyando el desarrollo tecnológico, así como, innovación social basada en la experiencia. Fomenta la innovación regional y su adaptabilidad a las circunstancias particulares del entorno. También promueve una mejor rendición de cuentas y sistemas de evaluación. Se echa en falta una reflexión y pronunciamiento acerca de la recolocación de puestos de trabajo destruidos por la innovación tecnológica, así como, sobre el fenómeno de la concentración de la riqueza generada por la especialización inteligente.
Antonio López-Istúriz White (PPE), por escrito. ‒ En un momento de recesión económica y restricciones presupuestarias, y en un entorno mundial cada vez más competitivo, es crucial la labor de este informe que apuesta por la innovación y por las políticas de cohesión.
Como ya se estableció, el Fondo Europeo de Desarrollo Regional (FEDER) debe ser utilizado por las diferentes regiones europeas para definir su inversión en I+D+i a través de estrategias de especialización inteligente. Los RIS3 son una condición ex ante para que los Estados miembros y las regiones de la Unión puedan recibir los Fondos Estructurales y de Inversión Europeos (Fondos EIE). Así contribuimos a la concentración temática y a la programación estratégica de los mismos, conduciendo a una mayor orientación de los resultados sobre el terreno.
Doy mi voto positivo para la aprobación de este informe, que además de lo anteriormente descrito, fomenta un crecimiento sostenible basado en el conocimiento, que impulsa un desarrollo equilibrado y la creación de empleos de calidad en todas las regiones.
Mairead McGuinness (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of this report that aims to bolster knowledge-based growth equally in developed and less-developed regions.
Petr Mach (EFDD), písemně. ‒ Hlasoval jsem proti. Jde o neužitečné usnesení plné nesmyslných provolání, jako např., že „strategie inteligentních specializací by měly být účinným nástrojem k vypořádání se se sociálními, environmentálními, klimatickými a energetickými výzvami.“ Nesouhlasím ani s tím, „aby vnitrostátní orgány investovaly do regionálního zpravodajství a hloubkové analýzy velkého objemu dat, což jim umožní pochopit vývojové trendy týkající se regionálních podniků v globálním hodnotovém řetězci.“ Podle mě nic takového vnitrostátní orgány dělat nemají.
Andrejs Mamikins (S&D), in writing. ‒ I support the report’s idea to develop Strategies for Smart Specialisation on the basis of analyses of each region’s existing capabilities, assets and competences, to focus on entrepreneurial discovery in order to detect emerging niches or comparative advantages for smart specialisation, and to enhance a stronger partnership between public and private sectors.
Vladimír Maňka (S&D), písomne ‒ Politika súdržnosti musí byť zameraná na efektívne a účinné využívanie zdrojov pri dosahovaní cieľov stratégie Európa 2020. Zvyšujúca sa konkurencieschopnosť si prirodzene vyžaduje zamerať sa na rozvoj a zvyšovanie podpory výskumu, vývoja a inovácií a na činnosti s vysokou pridanou hodnotou, ktoré posilnia rast zamestnanosti a rozvoj regiónov. Stratégia výskumu a inovácií pre inteligentnú špecializáciu (RIS3) je základom pre tvorbu operačných programov a vyžaduje si od všetkých zúčastnených subjektov nielen dôkladné poznanie regiónov a vzájomnú kvalitnú spoluprácu, ale aj kontrolu, monitorovanie a hodnotenie výsledkov pri dosahovaní cieľov. RIS3 je dôležitým nástrojom na riešenie rozdielov v oblasti inovácií a zvýšenie zamestnanosti a rastu v Európe.
Louis-Joseph Manscour (S&D), par écrit. ‒ Dans le cadre d’«Europe 2020», chaque État membre a défini en 2014 ses stratégies nationales et régionales d’innovation pour une spécialisation intelligente (SRI-SI). Ces dernières visent à accroître les synergies entre les différentes politiques européennes, nationales et régionales, afin d’investir dans des domaines clés tels que l’éducation, l’innovation, l’inclusion sociale et l’énergie.
Ce rapport identifie principalement les domaines dans lesquels des améliorations peuvent être apportées en matière de spécialisation intelligente. Il rappelle par ailleurs la nécessaire complémentarité entre les fonds structurels européens, la stratégie Horizon 2020 et le fonds européen pour les investissements stratégiques (Plan Juncker) afin de stimuler l’innovation.
Je vote pour ce rapport qui promeut l’optimisation de l’utilisation des fonds européens au service de la croissance locale.
Νότης Μαριάς (ECR), γραπτώς. ‒ Ψηφίζω υπέρ της έκθεσης σχετικά με την πολιτική συνοχής και τις στρατηγικές έρευνας και καινοτομίας για έξυπνη εξειδίκευση (RIS3), διότι είναι πλήρης και τεκμηριωμένη.
Dominique Martin (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre ce texte.
Ce document sert de fil conducteur à la mise en œuvre du Fonds européen de développement économique et régional (FEDER).
Dans sa mise en œuvre, il vise à instaurer une relation directe entre l’Union européenne (la Commission), en faisant ainsi l’impasse sur les États membres.
En outre, ce programme cadre, qui s’inscrit dans la droite ligne de la stratégie «Europe 2020» ne remet nullement en cause les politiques d’austérité imposées en Europe aussi bien sur les budgets publics que privés.
Fulvio Martusciello (PPE),in writing. – Regarding the Report on Cohesion Policy and Research and Innovation Strategies for Smart Specialisation, I voted in favour, as the report highlights the need to develop sustainable and inclusive economic growth. The European Union has room for improvement, and, therefore, I find essential the need for technological development, education, specialisation strategies, and innovation, during these times of economic, financial, and social crisis the union is undergoing. Only by improving these areas is the EU able to develop a more competitive economy, allowing for the creation of more and better high-quality jobs.
Gabriel Mato (PPE), por escrito. ‒ La Unión necesita tomar medidas que ayuden a fomentar un crecimiento económico sostenible e integrador, así como, el empleo de calidad, que es uno de los objetivos más importantes de la estrategia Europa 2020. Por eso es tan importante el informe que hemos aprobado, con mi total apoyo, en el que mi compañero Ramón Luis Valcárcel aboga por reforzar la competitividad de las regiones.
Para ello, proponemos impulsar las estrategias de especialización inteligente, que se deben convertir en herramientas indispensables para crear empleo de calidad y de futuro, dando la oportunidad a nuestras regiones para modernizarse y transformarse en polos innovadores que puedan competir en este mundo globalizado.
Κώστας Μαυρίδης (S&D), γραπτώς. ‒ Η βελτίωση της ικανότητας της ΕΕ για καινοτομία και εξειδίκευση είναι θεμελιώδους σημασίας. Θα πρέπει να διαμορφωθούν καλύτερες στρατηγικές σε τομείς που αφορούν το RIS3 και να προσαρμόζονται συνέχεις στις αλλαγές του τομές εξειδίκευσης. Για την αποτελεσματική εφαρμογή των στρατηγικών αυτών είναι απαραίτητη η διευκόλυνση και απλούστευση των διάφορων διοικητικών διαδικασιών. Υπάρχουν διάφοροι τρόποι για την τόνωση της έρευνας και της καινοτομίας οι οποίοι μπορούν να συμβάλουν στη δημιουργία θέσεων απασχόλησης. Τέλος δεν πρέπει να αγνοείται και η σημαντικότητα της αξιολόγησης των καινοτομιών αυτών και της διαδικασίας που οδηγεί στην έρευνα και την εξειδίκευση, για τη σωστή αξιολόγηση είναι απαραίτητο να χρησιμοποιούνται σωστά ποιοτικά και ποσοτικά μέτρα και να δημοσιεύονται έγκυρες εκθέσεις οι οποίες θα αναλύουν τον αντίκτυπο των στρατηγικών RIS3.
Georg Mayer (ENF), schriftlich. ‒ Hier wird über die Stärkung der Wirtschaft durch die effiziente Verwendung von EU-Mitteln im Rahmen der RIS3 berichtet. Mehr Innovation ist notwendig, um hochwertige Arbeitsplätze zu schaffen. Dies kann ich nur unterstützen.
Valentinas Mazuronis (ALDE), raštu. ‒ Mokslinių tyrimų, technologinės plėtros ir inovacijų stiprinimas yra vienas iš investavimo prioritetų pagal Europos regioninės plėtros fondo 2014–2020 m. nuostatas. Visgi, įvairiose ES valstybėse parama inovacijoms labai skiriasi, visų pirma kai kalbama apie žinių ir technologijų panaudojimą inovacijų skatinimo srityje. Šiuo programavimo laikotarpiu valstybės narės pirmą kartą įpareigojamos parengti nacionalines ir regionines pažangiosios specializacijos strategijas, į verslininkystės procesą įtraukiant nacionalines ir regionines valdymo institucijas bei aukštojo mokslo institucijas, pramonės ir socialinius partnerius. Todėl šiuo pranešimu Parlamentas pabrėžia, kad šių strategijų tikslas – užtikrinti žiniomis paremtą tvarų augimą, darnų vystymąsi ir aukštos kokybės darbo vietas visuose regionuose
Jean-Luc Mélenchon (GUE/NGL), par écrit. ‒ La spécialisation intelligente vise à mieux mobiliser l’ensemble des fonds structurels pour "une croissance intelligente, durable et inclusive", en incitant les régions à adopter des modèles de développement économique adaptés à leurs atouts et en renforçant les synergies entre les politiques européennes en faveur de la recherche et de l’innovation.
Ces stratégies de recherche et d'innovation favorisent la concentration thématique et la programmation stratégique des fonds structurels et d'investissement européens (fonds ESI).
Le rapport se félicite de la mise en place de ces stratégies, tout en soulignant le rôle des services publics dans l'efficacité de ces stratégies. «La capacité administrative des autorités et la stabilité du service public sont déterminantes pour l'efficacité de la mise en œuvre des stratégies».
Un bavardage moins pontifiant qu'à l'accoutumée, avec une reconnaissance du rôle de l'État. Je vote pour ce texte.
Joëlle Mélin (ENF), par écrit. ‒ Dans ce texte, rien n’est prévu pour soutenir le principe de labellisation (entreprises innovantes) ni pour régler le problème des brevets et de l’espionnage industriel, qui constituent des sujets majeurs pour l’avenir des économies de nos États membres.
L’ensemble de la stratégie mise en place découle de la stratégie Europe 2020, directement imputable à la Commission. À ce titre, l’État français n’est pas maître de son propre destin en la matière.
Enfin, la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des pôles de recherche exclusifs sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation.
En conséquence, j’ai voté contre ce rapport.
Nuno Melo (PPE), por escrito. ‒ Nesta época de crise económica, financeira e social, a UE deve intensificar os seus esforços em prol de um crescimento económico inteligente, sustentável e inclusivo. É necessário que os intervenientes desenvolvam as RIS3 com base na análise das capacidades, dos recursos e das competências de cada região, com o objetivo de identificar nichos emergentes ou vantagens comparativas para a especialização inteligente, evitar uma superespecialização forçada e artificial e reforçar uma parceria mais sólida entre os setores públicos e privados, evitando simultaneamente eventuais conflitos de interesses entre os setores públicos e privados. Daí o meu voto favorável.
Roberta Metsola (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of this report, which focuses on delivering research and innovation funds to less-developed and rural regions. The report expresses Parliament’s support for the RIS3 platform and points out ways that they can improve through greater oversight, planning and participation.
Louis Michel (ALDE),par écrit. – Ce rapport a toute sa pertinence car il permet de tirer les enseignements de la mise en œuvre progressive au niveau régional des «stratégies de recherche et innovation pour la spécialisation intelligente » (SRI-SI).
Nous ne resterons compétitifs au niveau mondial qui si nous créons les conditions d’une croissance intelligente, durable et inclusive ; ce qui présuppose l’amélioration de notre capacité à innover. Pour y arriver, les SRI-SI doivent être conçues dans le cadre d’un système de gouvernance fort, fondées sur une analyse swoft (atouts, faiblesses, perspectives), faire l’objet d’un suivi et prévoir des mesures destinées à stimuler les investissements.
Ce ne sera que de cette manière que l’Europe pourra se revendiquer d’un savoir-faire européen qui lui permettra d’accroître sa compétitivité, de renouveler ses compétences, de créer des emplois, en un mot de continuer à exister au niveau mondial.
Dans ce cadre, je tiens à souligner le rôle essentiel joué par la plateforme pour la spécialisation intelligente (la «plateforme S3») dans la diffusion d’informations, de méthodes, de compétences et de conseils auprès des autorités responsables de l’élaboration des politiques à tous les niveaux de pouvoir et dans le cadre de la coopération transnationale.
Miroslav Mikolášik (PPE),písomne– V predchádzajúcom období sa v rámci Európskeho fondu regionálneho rozvoja pre tematický cieľ č. 1 stanovilo, aby regióny v programovom vyhlásení zamerali investície na výskum, vývoj a inovácie prostredníctvom stratégií inteligentnej špecializácie. Stratégie RIS3 sú pre štáty a regióny EÚ predbežnou podmienkou pre čerpanie prostriedkov z európskych fondov, majú ich všetky regióny a ich uplatňovanie sa začalo počas rokov 2014 a 2015. Stratégie RIS3 sú dôležitým nástrojom na riešenie rozdielov v oblasti inovácií a zvýšenie zamestnanosti a rastu. Keďže ide o inovácie, a teda oblasť, ktorá sa neustále mení, je nevyhnutné, aby sa stratégie neustále prispôsobovali zmenám, ku ktorým v oblasti špecializácie dochádza. Je potrebné, aby verejné orgány venovali osobitnú pozornosť monitoringu a preskúmaniu stratégií, aby sa na jednej strane maximalizoval ich výstup a medziregionálna spolupráca, a na strane druhej, aby sa vytvárali projekty prinášajúce pridanú hodnotu pre hospodárstvo. Návrh kladie dôraz aj na zjednodušenie a koordináciu existujúcich programov, na preskúmanie stratégií po roku 2017 s cieľom posilniť účinnosť a efektívnosť stratégií RIS3. Usporiadanie fóra pre dialóg zainteresovaných strán a vypracovanie politického dokumentu, ktorý by zahŕňal hlavné poznatky vyplývajúce z reálnych skúseností v tejto oblasti, sú užitočným nástrojom, a preto za daný návrh budem hlasovať kladne.
Marlene Mizzi (S&D), in writing. ‒ I have voted in favour of the report on Cohesion Policy and Research and Innovation Strategies for smart specialisation (RIS3), which aims to create knowledge-based, sustainable growth, balanced development and high quality jobs in all regions, not only in well-developed areas but also in regions in transition as well as in less developed, rural and island regions. Smart specialisation strategies support thematic concentration and strategic programming of the European Structural and Investment Funds and lead to increased performance orientation on the ground, thus contributing to the achievement of the Europe 2020 objectives. A review of the strategies after 2017 seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Csaba Molnár (S&D), írásban. ‒ A gazdasági recesszió és ennek következtében szigorú költségvetési korlátozások és egyre élesedő globális verseny idején létfontosságú az EU számára innovációs képességének fenntartható javítása. Az Európai Regionális Fejlesztési Alap (ERFA) meghatározta, hogy a régióknak a K+F+I-re irányuló beruházásaikat intelligens szakosodási stratégiák révén kell koncentrálniuk a 2014–2020 közötti programozási időszakban. Ezért a RIS3 előzetes feltételnek számít a tagállamok és az uniós régiók számára ahhoz, hogy részesülhessenek az európai strukturális és beruházási alapok forrásaiból. Valamennyi európai régió rendelkezik RIS3 stratégiával.
A stratégiákat a régiók 2014 során kezdték el kidolgozni és közzétenni. A stratégiák közzétételét és végrehajtásuk megkezdését követően le kell vonni a tanulságokat, és meg kell próbálnunk jobban összpontosítani a következő években végrehajtandó intézkedéseket, hogy a RIS3 stratégiákat eredményesebbé és hatékonyabbá tegyük. A Regionális Fejlesztési Bizottság jelentése áttekinti a stratégia kulcsfontosságú szempontjait, és azokra a főbb területekre koncentrál, amelyek esetében a RIS3-ra vonatkozóan fejlesztéseket kell végrehajtani. Az állásfoglalás-tervezetet megszavaztam.
Bernard Monot (ENF), par écrit. ‒ Le présent rapport vante les mérites de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente. Il ne formule aucune critique ou remise en cause des politiques d’austérité et de leurs conséquences sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
L’État français n’est pas chef de file de la mise en œuvre de la stratégie Europe 2020 qui répond à des orientations décidées par la Commission européenne.
L’Union européenne utilise la stratégie SRI-RI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions devenues autorités de gestion du FEDER ainsi que la coopération transeuropéenne au détriment de la coopération entre États-nations. La stratégie SRI-RI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation.
Vote défavorable.
Cláudia Monteiro de Aguiar (PPE), por escrito. ‒ Subscrevo a posição do relator quando afirma que nesta era de recessão económica e, consequentemente, de escassez de recursos orçamentais, bem como de concorrência cada vez mais renhida ao nível mundial, torna-se determinante para a UE melhorar de forma sustentável a sua capacidade de inovação.
Entendo que as estratégias de RIS3 constituem um mecanismo valioso para diminuir as assimetrias em termos de inovação e impulsionar os empregos e o crescimento na Europa.
Defendo que as estratégias de RIS3 devem adaptar-se continuamente, uma vez que a inovação está em constante evolução e, deste modo, torna-se vital que as estratégias estejam sujeitas a uma revisão contínua. Entendo ser essencial a simplificação e a redução dos estrangulamentos nos procedimentos administrativos, de modo a assegurar a boa aplicação e execução efetiva das estratégias.
Pelo exposto, e por identificar que as estratégias de especialização inteligente são ferramentas valiosas para encarar os desafios na UE, o presente relatório merece o meu voto favorável.
Sophie Montel (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport fait l’éloge de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente qui s’inscrit dans la nouvelle politique européenne d’investissement.
Ce rapport fait l’impasse sur les désastreuses politiques d’austérité imposées à la recherche et aux budgets nationaux. Cette stratégie répond à des orientations décidées par la Commission européenne et non par les États.
J’ai donc décidé de voter contre ce texte.
Claude Moraes (S&D), in writing. ‒ With my EPLP colleagues I voted in favour of this report because innovation is an area that is continuously changing, RIS 3 strategies should be constant revised. For this purpose, a review of the strategies after 2017 seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Nadine Morano (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport sur la politique de cohésion et les stratégies de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente.
La mise en place d’une croissance nouvelle et durable, basée notamment sur la recherche et sur l’innovation, est fondamentale dans une Union européenne frappée par le chômage et par la concurrence déloyale des pays émergents.
Elisabeth Morin-Chartier (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur du rapport Valcárcel Siso sur la politique de cohésion et les stratégies de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente (SRI-SI).
Les SRI-SI favorisent la concentration thématique et la programmation stratégique des fonds structurels et d’investissement et conduisent à une démarche plus axée sur l’efficacité de leur mise en œuvre.
Alessia Maria Mosca (S&D), per iscritto. ‒ La capacità di innovare è essenziale per la ripresa economica dell'Unione, alla luce del complesso contesto di recessione economica e delle sempre maggiori pressioni competitive sui mercati globali. Le strategie di specializzazione intelligente mirano a raggiungere una crescita sostenibile basata sulla conoscenza e creare posti di lavoro di qualità in tutta l'Unione, con speciale attenzione a quelle regioni in fase di transizione o meno sviluppate. È quindi da accogliere in maniera positiva la relazione proposta dal Parlamento europeo, che identifica le principali opportunità di miglioramento per le strategie di specializzazione intelligente, puntando quindi a sfruttarne appieno il potenziale. In particolare, la relazione evidenzia il bisogno di un monitoraggio costante delle strategie RIS3, al fine di tenerle aggiornate, vista l'alta dinamicità del settore dell'innovazione.
Considerando poi che le strategie per la specializzazione intelligente supportano i programmi dei Fondi strutturali di investimento e concorrono al raggiungimento degli obiettivi strategici di Europa 2020, è importante che si raggiungano sinergie tra i vari strumenti finanziari dell'Unione. Presentando questa relazione, il Parlamento europeo si fa anche portavoce di un necessario cambiamento di mentalità per promuovere un approccio a partire dal basso, poiché sino ad ora il sistema di governance multilivello non è stato adeguatamente sfruttato.
Alessandra Mussolini (PPE), per iscritto. ‒ Ho votato a favore di questo provvedimento poiché ritengo importante che l'Unione europea continui a investire e a potenziare l'attività di ricerca e innovazione considerato anche l'attuale periodo di recessione economica e di conseguenti ristrettezze di bilancio. Per mezzo del Fondo europeo di sviluppo regionale (FESR) le regioni concentreranno gli investimenti nella RIS, mediante strategie di specializzazione intelligente. Pertanto, la RIS3 costituisce una condizione ex ante per la concessione agli Stati membri e alle regioni dell'UE dei Fondi strutturali e d'investimento europei (fondi SIE). A seguito della pubblicazione delle strategie, è necessario individuare meglio le azioni da compiere nei prossimi anni per rendere le strategie RIS3 più efficaci ed efficienti. La presente relazione si concentra sui principali settori in cui si dovrebbero apportare miglioramenti alle RIS3.
József Nagy (PPE), írásban. ‒ Támogatom a jelentést, mivel úgy gondolom, hogy a RIS3 rendszer nagyban hozzájárul a fenntartható, intelligens és inkluzív gazdaság megvalósításához. A rendszer teljesen új módon ötvözi az ipari, oktatási és innovatív politikákat. Hármas spirál alapú megközelítést használ például a városfejlesztésben, melynek alapja az üzleti szereplők, a kutatóközpontok és a városok közötti fenntartható kapcsolat és együttműködés. A városok kulcsfontosságú szerepet töltenek be az Unió gazdasági és társadalmi fejlődésében, hiszen központokként szolgálnak a különböző szereplők és ágazatok számára. A jelentés rámutat arra, hogy a kisebb régiókban gondot okoz a megfelelő stratégiák kidolgozása és működtetése, a RIS3 rendszer innovációja hozzájárul ahhoz, hogy a bevált gyakorlatok cseréje alapján ezekben a régiókban a megfelelő stratégiák jól működjenek, illetve hogy ezek ismertté váljanak.
Victor Negrescu (S&D), in writing. ‒ Improving the European Union’s capacity to innovate is crucial during these times of economic recession. I have voted for this report which through the RIS3 strategy will, amongst others, stimulate private investment in research, technology and development.
Момчил Неков (S&D),в писмена форма. – Дадох подкрепата си за тази резолюция, призоваваща държавите от ЕС да подобрят изпълнението и мониторинга на „стратегии за интелигентна специализация“ (RIS3 или S3), защото съм на мнение, че S3 може да запълни някои от недостатъците на политиката на сближаване.
Въпреки че политиката на сближаване на ЕС е изключително важен механизъм, чиято основна цел трябва да е премахването на съществуващите социално-икономически неравенства между различните европейски региони, голяма част от европейските структурни и инвестиционни фондове не успяват да бъдат привлечени от селски и други по-слабо развити региони, които изпитват трудности при изготвянето и изпълнението на регионални стратегии.
В този контекст, заставам твърдо зад апелa на тази резолюция за развиване на административния капацитет на региони в неравностойно положение. Именно чрез подобрения в административен капацитет селските и по-слабо развити региони, каквито има и в моята страна България, ще могат да идентифицират своите силни страни и приоритетни сфери за развитие по начин, по който да използват максималния потенциал на тяхното население, създавайки нови умения, знания, иновация и работни места.
Dan Nica (S&D), în scris. ‒ Strategiile de cercetare și inovare pentru specializare inteligentă (RIS3) ar trebui să ajute la îmbunătățirea competitivității economiei europene, la dezvoltarea unei valori adăugate europene în inovație si la crearea de noi locuri de muncă de înaltă calitate. Strategiile de specializare inteligentă pot fi și instrumente puternice de abordare a provocărilor în materie de energie, eficiența resurselor și securitate energetică.
Subliniez importanța adaptării învățământului și cercetării la nevoile reale ale pieței, în efortul de a se asigura că inovațiile nou-apărute satisfac cererea și conduc la creștere economică.
Susțin noul Consiliu european al inovării, menit să creeze un ghișeu unic pentru inovatori, și care va face legătura între reușitele științifice și nevoile mediului de afaceri și ale autorităților publice din Europa.
Având în vedere că cercetarea, dezvoltarea tehnologică și inovarea constituie priorități de investiții în cadrul Fondului european de dezvoltare regională (FEDER) pentru perioada 2014-2020, am votat pentru rezoluția Parlamentului European referitoare la politica de coeziune și la strategiile de cercetare și inovare pentru specializare inteligentă (RIS3).
Liadh Ní Riada (GUE/NGL),in writing. – I abstained on this own-initiative report, which covers the innovation objective of the Europe 2020 Strategy. Each Member State has adopted its own national targets in each of these areas (employment, innovation, education, social inclusion and climate/energy). National and regional authorities across Europe will design smart specialisation strategies in entrepreneurial discovery process, so that the European Structural Investment Funds (ESIF) can be used more efficiently and synergies between different EU, national and regional policies, as well as public and private investments can be increased.
There are some good points in the report, including a broad view of innovation, support for technological as well as practice-based and social innovation, and a monitoring and evaluation system. It also provides investment choices for regions with a limited number of priorities, particularly knowledge-based investments and/or clusters.
However, the report focuses very heavily on using cohesion policies to meet the Europe 2020 objectives, places a strong emphasis on public-private funding and financial mechanisms, and identifies competitiveness is the main overarching goal of the innovation strategy. For these reasons I could not support the report entirely, so abstained.
Андрей Новаков (PPE), в писмена форма. ‒ С все по-изостряща се конкуренция в световен мащаб за ЕС е от решаващо значение да продължи да подобрява потенциала си за иновации. RIS3 допринасят за ефикасното използване на средствата на ЕС и отключват потенциала на всички региони, подпомагат ЕС в борбата с разликите в иновациите и увеличават конкурентоспособността му.
Докладът подчертава нуждата от регионален подход в изпълнение на RIS3 и призовава ЕС и държавите членки да извършват периодичен мониторинг на изпълнението на стратегиите. Стратегиите RIS3 са ценен инструмент за преодоляване на разликите в иновациите и за засилване на заетостта и растежа в Европа.
Franz Obermayr (ENF), schriftlich. ‒ Ich habe mich für diesen Bericht ausgesprochen, da hier über die Stärkung der Wirtschaft durch die effiziente Verwendung von EU-Mitteln im Rahmen der RIS3 berichtet wird. Mehr Innovation ist notwendig, um hochwertige Arbeitsplätze zu schaffen.
Δημήτρης Παπαδάκης (S&D), γραπτώς. ‒ Στην περίοδο οικονομικής ύφεσης και χρηματοπιστωτικής και κοινωνικής κρίσης που διανύουμε, θέλουμε την ΕΕ να εξελιχθεί σε μια έξυπνη, διατηρήσιμη και χωρίς περιορισμούς οικονομία στα πλαίσια της στρατηγικής “Ευρώπη 2020”. Στα πλαίσια λοιπόν της προγραμματικής περιόδου 2014-2020, ορίστηκε ότι οι περιφέρειες θα πρέπει να εστιάσουν τις επενδύσεις τους στην έρευνα, την ανάπτυξη και την καινοτομία μέσω στρατηγικών έξυπνης εξειδίκευσης (RIS3).
Αυτές οι στρατηγικές, που καταρτίζουν οι εθνικές και περιφερειακές αρχές σε όλη την Ευρώπη, συμβάλλουν έτσι ώστε να γίνει πιο αποδοτική η χρήση των διαρθρωτικών και επενδυτικών ταμείων της ΕΕ και να αυξηθούν οι συνέργειες μεταξύ διαφορετικών εθνικών και περιφερειακών πολιτικών σε επίπεδο ΕΕ, καθώς και μεταξύ δημόσιων και ιδιωτικών επενδύσεων.
Επιπλέον οι RIS3 θα συμβάλουν στο να καταστεί η ευρωπαϊκή οικονομία πιο ανταγωνιστική, να δημιουργηθεί ευρωπαϊκή προστιθέμενη αξία στην καινοτομία, να δημιουργηθούν περισσότερες και καλύτερες θέσεις απασχόλησης υψηλής ποιότητας και να προστεθεί ένα ευρύ φάσμα νέων εμπειριών· Είναι πολύ θετικό ότι οι RIS3 υποστηρίζουν τη δημιουργία θέσεων εργασίας όχι μόνο σε σημαντικούς πόλους της έρευνας και της καινοτομίας αλλά και σε λιγότερο αναπτυγμένες και αγροτικές περιοχές.
Υπερψήφισα την έκθεση η οποία επικεντρώνεται στα κύρια σημεία που πρέπει να βελτιωθούν με στόχο την καλύτερη διαμόρφωση των στρατηγικών.
Margot Parker (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because as usual, it was filled with buzz words and phrases that sound impressive but which will do nothing to create growth and jobs. The EU’s obsessive interference and over regulation damages both jobs and growth and we fail to see how buzz words and corporate speak will change that.
Eva Paunova (PPE),in writing. – I voted in favour because one of my priorities is to encourage innovation at all levels. I believe that RIS3 aims to create knowledge- based growth not only in well-developed areas, but also in less-developed and rural regions. The report sends a support signal from the EU to RIS3 strategies, calls for them to be improved and also to for lessons to be learned from the strategies already initiated in order to achieve the best results in the forthcoming years in this area.
Marijana Petir (PPE), napisan. ‒ Jedan od prioriteta kohezijske politike jest razvijanje istraživanja, tehnološkog razvoja i inovacija čemu su usmjerene RIS3 strategije. Konačni cilj tih strategija jest stvaranje održivog i uključivog gospodarskog rasta što je imperativ za EU jer se nalazi u gospodarskoj, financijskoj i socijalnoj krizi.
Podržavam ovu rezoluciju zbog navedenih stavova i odredbi. Rezolucija jasno daje do znanja da su RIS3 strategije usmjerene prema jačanju konkurentnosti europskog gospodarstva te da pridonose razvoju poduzetničkog duha, postizanju uravnoteženog razvoja i otvaranju visokokvalitetnih radnih mjesta. Osim toga, te strategije pridonose učinkovitom korištenju fondova EU-a i zato utječu na sve države članice s ciljem da se oslobađa potencijal svih regija. Rezolucija u tom pogledu predlaže određene norme i smjernice kao što su poštivanje novih odredbi o ex ante uvjetima za dodjelu sredstava iz fondova ESI-ja te podržavanje uloge platforme S3. Rezolucija također naglašava važnost procesa „odozgo prema gore” zbog čega svaka država članica treba dati šansu lokalnim i regionalnim tijelima da oblikuju svoje stavove.
Florian Philippot (ENF), par écrit. ‒ Le rapport vante la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente, censée s’inscrire, avec le Fonds européen pour les investissements stratégiques (plan Juncker), dans la nouvelle politique européenne d’investissement. Il oriente la mise en œuvre de la politique de cohésion et le versement du Fonds européen de développement économique régional (FEDER). Il considère que la stratégie économique de l’Union doit tout miser sur la spécialisation, l’innovation.
Rien n’est prévu sur le principe de labellisation (entreprises innovantes) ou l’épineux problème des brevets et de l’espionnage industriel. On ne lit aucune critique des politiques d’austérité.
Le mode de gouvernance de la stratégie doit être à multi-niveaux et compatibles avec la stratégie Europe 2020. Les orientations sont décidées par la Commission européenne, non par les États. L’Union européenne utilise la stratégie SRI-SI pour renforcer les relations directes entre la Commission européenne et les régions, devenues autorités de gestion du FEDER, au détriment de la coopération entre nations.
Notons aussi que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures. Pour toutes ces raisons, je vote contre ce rapport.
Tonino Picula (S&D), napisan. ‒ Budući da u ovim vremenima gospodarske, financijske i socijalne krize EU mora ulagati više napora u stvaranje pametnog, održivog i uključivog gospodarskoga rasta, te da pravovremen i uspješan razvoj strategija RIS3 u državama članicama uvelike ovisi o njihovu rastućem administrativnom kapacitetu programiranja, pripreme proračuna, provedbe i evaluacije unutar okvira politike u cilju povećanja privatnih ulaganja u istraživanje, razvoj i inovacije.
U okviru tog razvoja treba voditi računa o činjenici da su inicijalne procjene strategija za pametnu specijalizaciju dale nejasnu sliku, pogotovo u pogledu izbora prioriteta koje se često smatralo previše općenitima ili nedovoljno povezanima s regionalnim gospodarskim i inovacijskim strukturama, što znači da je strategije pametne specijalizacije potrebno poboljšati u tom smislu. Zbog svega navedenog, podržavam usvajanje predloženog izvješća.
Salvatore Domenico Pogliese (PPE), per iscritto. ‒ Il Fondo europeo di sviluppo regionale (FESR) stabilisce che, nel periodo di programmazione 2014-2020, le regioni debbano concentrare gli investimenti nella RIS, mediante strategie di specializzazione intelligente. All'interno di questo contesto la RIS3 costituisce una condizione ex ante per la concessione agli Stati membri e alle regioni dell'UE dei Fondi strutturali e d'investimento europei (fondi SIE). La concessione di questi fondi può avvenire, giustamente, solo a seguito del raggiungimento di determinati obiettivi tra i quali: l'elaborazione di un monitoraggio periodico di tipo quantitativo e qualitativo; l'elaborazione di processi partecipativi; il coinvolgimento delle parti interessate, con particolare attenzione al settore privato; la creazione di sinergie tra attori pubblici e privati; il coordinamento tra tutti i livelli di governance e l'individuazione di modalità alternative di finanziamento. Ritengo che sia di vitale importanza che l'Unione europea continui a rafforzare la propria capacità investire nella ricerca e nello sviluppo. Per questo motivo ho deciso di votare a favore dell’approvazione di questa risoluzione.
Tomasz Piotr Poręba (ECR), na piśmie. ‒ Podczas ostatniej kadencji Europejski Fundusz Rozwoju Regionalnego (EFRR) ustalił w kontekście wspierania realizacji pierwszego celu tematycznego, że w okresie programowania 2014–2020 regiony muszą ukierunkować inwestycje na obszary badań naukowych, rozwoju technologicznego i innowacji za pomocą strategii inteligentnej specjalizacji. Dlatego RIS3 jest dla państw członkowskich i regionów UE warunkiem ex ante, by otrzymać wsparcie za pośrednictwem europejskich funduszy strukturalnych i inwestycyjnych (ESIF). Wszystkie regiony europejskie posiadają strategię RIS3. Strategie te zostały opracowane i zaczęto je realizować w latach 2014 i 2015. Zastosowanie warunku ex ante okazało się ważnym krokiem naprzód, ponieważ większość regionów przyjęła już strategię RIS3. Jednakże niektóre z nich muszą kontynuować prace mające na celu spełnienie wymogów związanych z warunkiem ex ante RIS3.
W sprawozdaniu podkreślono kluczowe znaczenie RIS3 dla wkładu polityki spójności w realizację celów strategii „Europa 2020”, rolę zarządzania wielopoziomowego w procesie określania strategii, rolę unijnego programu dla miast w tworzeniu synergii i silnych powiązań umożliwiających skuteczne wykorzystywanie zasobów, rolę nadzoru i oceny. Niniejszym poparłem to sprawozdanie.
Franck Proust (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport portant sur la politique de cohésion et les stratégies de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente (SRI-SI).
Ces stratégies, qui sont une condition préalable à l’attribution de fonds structurels et d’investissements européens, favorisent la programmation et la concentration thématique des fonds.
Ce texte tire les conclusions de la mise en œuvre initiale de ces stratégies et réaffirme son soutien à l’Union européenne pour renforcer les stratégies SRI-SI au cours des années à venir.
Julia Reid (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because as usual, it was filled with buzz words and phrases that sound impressive but which will do nothing to create growth and jobs. The EU’s obsessive interference and over regulation damages both jobs and growth and we fail to see how buzz words and corporate speak will change that.
Sofia Ribeiro (PPE), por escrito. ‒ Votei favoravelmente por no meu entender ser cada vez mais fundamental apostar na inovação sustentável como forma de fazer face à escassez de recursos orçamentais bem como de concorrência a um nível mundial.
As estratégias RIS3, pela sua importância no contributo da Política de Coesão para os objetivos da Europa 2020, devem ser fruto de constante revisão. Uma vez que a inovação está em constante evolução, importa também destacar os domínios em que as estratégias se devem focar, através da análise de prioridades, pontos fortes e potencialidades de cada região, do acompanhamento periódico quantitativo e qualitativo, da criação de sinergias entre os intervenientes públicos e privados, permitindo também a redução dos estrangulamentos nos procedimentos administrativos, possibilitando o aconselhamento às regiões de modo a definirem e recentrarem as suas estratégias.
A inovação deve ser utilizada para reforçar a capacidade administrativa das autoridades públicas, especialmente ao nível local e regional, recorrendo às novas tecnologias e apostando na racionalização de procedimentos para melhor servir o público. É fundamental que as regiões desenvolvam as suas ideias inovadoras e trabalhem em conjunto de modo a evitar a duplicação de esforços e o uso indevido de recursos.
Liliana Rodrigues (S&D), por escrito. ‒ Numa era de recessão económica e de escassez de recursos orçamentais, bem como de concorrência cada vez mais renhida ao nível mundial, torna-se determinante para a UE melhorar de forma sustentável a sua capacidade de inovação ao nível das estratégias de investigação e inovação para a especialização inteligente. Teremos de olhar com especial atenção para a revisão contínua dessas mesmas estratégias; analisando prioridades, pontos fortes e potencialidades de cada região; desenvolvendo processos de participação; criando sinergias entre os intervenientes públicos e privados; coordenando entre todos os níveis de governação e departamentos e identificando vias alternativas de financiamento e, finalmente, simplificando e reduzindo os procedimentos administrativos.
Inmaculada Rodríguez-Piñero Fernández (S&D), por escrito. ‒ El objetivo de las estrategias RIS3 es impulsar un crecimiento inteligente, sostenible e integrador basado en el conocimiento, capaz de generar empleos de calidad en todas las regiones, no solo en zonas desarrolladas. Estas estrategias contribuyen a la concentración temática y la programación estratégica de los Fondos Estructurales y de Inversión Europeos (FEIE) y conducen a una mayor orientación a los resultados sobre el terreno.
Pasados dos años del inicio de su implementación, este informe se centra en los principales ámbitos de mejora de las RIS3. En particular, subraya la necesidad de impulsar una utilización coordinada y complementaria de los FEIE con el programa Horizonte 2020 y el Fondo Europeo para Inversiones Estratégicas para impulsar la innovación a escala regional, nacional y de la Unión, aumentando el atractivo de las inversiones en investigación e innovación con el fin de atraer capital privado como complemento de la financiación pública, para lo que se pide a autoridades locales y regionales que aprovechen al máximo las posibilidades de combinación de estos instrumentos. Destaca igualmente la necesidad de mejorar la coordinación entre todos los niveles de gobernanza y que se otorgue un papel más activo a la sociedad civil.
Por todo ello, he votado a favor.
Claude Rolin (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport d’initiative sur la politique de cohésion et stratégies de recherche et d'innovation pour la spécialisation intelligente (SRI-SI).
En effet, il convient d’encourager le développement de la recherche et de l’innovation pour la spécialisation intelligente car celles-ci devraient permettre d’accroître notamment la compétitivité économique européenne et de créer davantage d’emplois de qualité.
Bronis Ropė (Verts/ALE), raštu. ‒ Balsavau už šį pranešimą, kuriame aptariama sanglaudos politikos ir mokslinių tyrimų bei inovacijų strategijų nauda ir esminiai iššūkiai jas rengiant. Reikia pastebėti, kad šios strategijos yra svarbios, nes jas pasitelkus Europoje galima išspręsti inovacijų atotrūkio problemą, paskatinti darbo vietų kūrimą ir ekonomikos augimą. Vis dėlto ne viskas yra padaryta įgyvendinant sanglaudos politiką. Būtina padidintas tarpregioninis bendradarbiavimą, ypač kai yra vykdomi dideli, pridėtinę vertę ekonomikai teikiantys projektai. Ne mažiau svarbi dokumente minima mintis, jog geresnį koordinavimą visais valdymo lygmenimis galima pasiekti skatinant regioninių strategijų viziją „iš viršaus į apačią“. Manau, jog būtent toks veiklos principas, gali apdėti apsiekti daug geresnių rezultatų.
Fernando Ruas (PPE), por escrito. ‒ As estratégias de investigação e inovação para a especialização inteligente (RIS3) são uma condicionalidade ex-ante para a atribuição de financiamento através dos Fundos EEI (Europeus Estruturais e de Investimento). De facto, as estratégias RIS3 apoiam os objetivos de concentração temática e a programação estratégica dos Fundos EEI, promovendo a sua ‘orientação para o desempenho’.
Este relatório, que analisou a relação/inclusão destas estratégias no âmbito da Politica de Coesão, reflete a posição deste Parlamento sobre as mesmas no âmbito da aplicação do atual Quadro Financeiro Plurianual, demonstrando o apoio do Parlamento Europeu à implementação ‘no terreno’ das estratégias RIS3, apelando ao seu aprofundamento e a um processo de aprendizagem permanente com os projetos entretanto aprovados ou em fase de implementação, à simplificação de procedimentos, bem como a uma maior coordenação na aplicação dos atuais programas.
O relatório, que votei favoravelmente, sublinha que as estratégias RIS3 não se destinam exclusivamente às regiões mais desenvolvidas. Pelo contrário, pretendem ser um meio inteligente, inovador e eficaz para potenciar os pontos fortes e as oportunidades das regiões menos desenvolvidas, criando sinergias com vista ao desenvolvimento de uma economia mais baseada no conhecimento, na criação de valor e de mais-valias para a população.
Tokia Saïfi (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport qui donne les premières conclusions et la position du Parlement européen sur les stratégies SRI-SI.
Les stratégies SRI-SI signifient stratégies de recherche et d’innovation pour une spécialisation intelligente et sont une conditionnalité ex ante pour l’attribution de financements.
Elles favorisent la concentration thématique et la programmation stratégique des fonds ESI et conduisent, sur le terrain, à une démarche plus axée sur l’efficacité de leur mise en œuvre.
J’ai voté en faveur de ce texte qui envoie un signal de soutien de l’Union européenne aux stratégies SRI-SI, appelle à certaines améliorations et à aboutir ainsi à de meilleurs résultats dans les prochaines années.
Lola Sánchez Caldentey (GUE/NGL), por escrito. ‒ Voto a favor de este informe que apoya las políticas de cohesión y las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente (RIS3).
Las RIS3 contribuyen a la programación estratégica de los Fondos de Cohesión y pueden tener un papel fundamental en el cumplimiento de los objetivos de Europa 2020, en la búsqueda de un desarrollo equilibrado y sostenible y en la creación de empleos de calidad.
Propone además el apoyo a las gobernanzas multinivel y mayor participación a todos los niveles en los programas de ayudas.
Aunque el informe contiene muchas «odas al viento» estoy a favor de la innovación tecnológica y social, de la evaluación del sistema de ayudas, el refuerzo de las fortalezas de cada región y de las pymes, para conseguir un desarrollo más sostenible.
Sven Schulze (PPE), schriftlich. ‒ Ich habe für die Kohäsionspolitik und für die Forschungs- und Innovationsstrategien für intelligente Spezialisierung gestimmt, da dies ein wichtiges Signal für ein solidarisches Europa darstellt.
Die Kohäsionspolitik dient der Stärkung des wirtschaftlichen, sozialen und territorialen Zusammenhalts. Es gilt, Unterschiede zwischen den verschiedenen Regionen und den Rückstand der am stärksten benachteiligten Gebiete zu verringern.
Die Forschungs- und Innovationsstrategien sind eine Bedingung für die Zuweisung von Mitteln aus dem Europäischen Struktur- und Investitionsfonds (ESI).
Sie zielen darauf ab, auf der Grundlage der jeweiligen Stärken und des Potenzials jeder Region auf Wissen gegründetes Wachstum zu schaffen, und zwar nicht nur in hochentwickelten Gegenden, sondern auch in weniger entwickelten und ländlichen Gebieten.
María Lidia Senra Rodríguez (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado abstención en este informe, porque a pesar de contener aspectos positivos promueve la lógica de los mercados como gobernantes de facto de los Estados y sus ciudadanos, y potencia la financiación público-privada en la política de cohesión. El informe versa sobre el objetivo de la innovación dentro de la Estrategia 2020. Trata la innovación desde una perspectiva muy amplia, apoyando el desarrollo tecnológico, así como, innovación social basada en la experiencia. Fomenta la innovación regional y su adaptabilidad a las circunstancias particulares del entorno. También promueve una mejor rendición de cuentas y sistemas de evaluación. Se echa en falta una reflexión y pronunciamiento acerca de la recolocación de puestos de trabajo destruidos por la innovación tecnológica, así como, sobre el fenómeno de la concentración de la riqueza generada por la especialización inteligente.
Remo Sernagiotto (ECR), per iscritto. ‒ L'esistenza di strategie di ricerca e innovazione per la specializzazione intelligente (RIS3) costituisce una delle condizioni ex ante per la concessione agli Stati membri e alle regioni dell'UE dei Fondi strutturali e d'investimento europei per il periodo di programmazione 2014-2020. Al fine di perseguire con successo questo nuovo approccio strategico, è importante che l'attuazione di tali strategie sia basata su punti di forza locali e regionali. Le regioni si trovano infatti in una posizione favorevole per scegliere le priorità giuste, partendo dal rafforzamento delle rispettive caratteristiche, potenzialità e vantaggi competitivi.
La ricerca e l'innovazione sono importanti fattori per il rilancio della crescita. Attualmente sono in atto circa 121 strategie RIS3 a livello nazionale e regionale. Si prevede che fino al 2020 verranno mobilitati ben 250 miliardi di EUR. Per continuare in questa direzione, è necessario promuovere approcci politici innovativi per dare impulso alla collaborazione interregionale, semplificare le procedure e ridurre le strozzature nel processo amministrativo delle strategie, migliorare le sinergie tra i fondi SIE e gli altri strumenti finanziari dell'UE e fornire maggiore sostegno alle PMI e alle imprese start-up. Queste sono alcune delle raccomandazioni formulate nella relazione che condivido pienamente. Ho deciso pertanto di votare a favore.
Ricardo Serrão Santos (S&D), por escrito. ‒ A política de coesão é a marca distintiva da União Europeia, refletindo a prática da solidariedade que está na base da sua construção. A política de coesão serve de catalisador às políticas nacionais públicas destinadas a fomentar o desenvolvimento e o crescimento económico, oportunidades de emprego, mais e melhor educação e inclusão social. Este aspeto adquire especial relevância nas regiões da Europa onde existem maiores disparidades sociais, económicas e territoriais e que, inevitavelmente, dispõem de menor resiliência face a situações de crise económica.
As regiões ultraperiféricas inscrevem-se neste contexto. Apelo, por isso, a que a política de coesão continue a fazer parte das prioridades políticas da UE, traduzindo-se no seu financiamento adequado. Contesto qualquer tentativa de penalização de Estados-Membros que sofrem de importantes desequilíbrios macroeconómicos através da suspensão de instrumentos de política com impacto na coesão, que, justamente, são fulcrais para relançar o investimento, a economia e a criação de emprego. A possibilidade de suspensão dos fundos estruturais implica uma dupla-penalização que obedece a uma lógica que se afasta do princípio de solidariedade fundador da União e que se aproxima antes de uma estratégia de estrangulamento absoluto das economias que sofrem de fragilidades suplementares. Esta é uma lógica que apenas posso repudiar.
Jill Seymour (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report due it being an EU Commission project and we do not recognise their competency in this area.
Czesław Adam Siekierski (PPE), na piśmie. ‒ W dobie ciągłej walki ze skutkami kryzysu i związanych z tym ograniczeń budżetowych, a także z uwagi na coraz silniejszą światową konkurencję ze strony takich krajów jak USA, Chiny czy Korea Południowa decydujące znaczenie dla UE ma stałe zwiększanie zdolności innowacyjnych.
„Europa 2020” to strategia UE na rzecz wzrostu gospodarczego na okres do roku 2020. W zmieniającym się świecie chcemy, aby UE stała się inteligentną i zrównoważoną gospodarką sprzyjającą włączeniu społecznemu. Unia chce osiągnąć do 2020 r. pięć ambitnych celów związanych z zatrudnieniem, innowacyjnością, kształceniem, włączeniem społecznym i klimatem/energią. W każdym z tych obszarów swoje własne cele krajowe określiło też każde państwo członkowskie. Za wspomnianą strategią stoją konkretne działania na szczeblu krajowym i unijnym. Władze krajowe i regionalne w całej Europie opracują strategie na rzecz inteligentnej specjalizacji w celu wykorzystania europejskich funduszy strukturalnych i innowacyjnych w sposób bardziej efektywny oraz zwiększenia synergii między różnymi politykami unijnymi, krajowymi i regionalnymi, a także inwestycjami publicznymi i prywatnymi.
Wspomniane strategie powinny przyczynić się do niwelowania luki innowacyjnej i zwiększania zatrudnienia oraz pobudzenia wzrostu gospodarczego w Europie. Obecnie widać już, że w tworzeniu strategii można wprowadzić szereg ulepszeń. Władze publiczne powinny starać się przywiązywać szczególną wagę do monitorowania i przeglądu strategii w celu maksymalizacji ich wyników.
Siôn Simon (S&D),in writing. – With my EPLP colleagues I voted in favour of this report because innovation is an area that is continuously changing, RIS 3 strategies should be constant revised. For this purpose, a review of the strategies after 2017 seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation
Monika Smolková (S&D), písomne ‒ Stratégiu politiky súdržnosti a stratégie výskumu a inovácií pre inteligentnú špecializáciu (RIS3) vnímam ako veľmi cenný nástroj na riešenie rozdielov v oblasti inovácií a zvýšenia zamestnanosti a rastu v celej Európe. Rovnako za jednu z investičných priorít v rámci Európskeho fondu regionálneho rozvoja (EFRR) na roky 2014 – 2020 považujem aj posilnenie výskumu, technologického vývoja a inovácií. Aj keď stratégiu RIS3 majú v súčasnosti vypracovanú všetky európske regióny a ich uplatňovanie sa začalo v priebehu rokov 2014 a 2015, chcem poukázať na rozdielnosť podpory inovácií v EÚ a v rámci členských štátov, ktorá sa značne líši, najmä pokiaľ ide o využívanie znalostí a technológii pri podpore inovácií. Som toho názoru, že RIS3 je potrebné nepretržite skúmať a neustále prispôsobovať zmenám, ku ktorým v oblasti špecializácie dochádza. Uznesenie som podporila najmä preto, že prichádza s opatreniami, ktoré môžu výrazným spôsobom pomôcť, aby stratégie RIS3 boli efektívnejšie a účinnejšie. Od správy taktiež očakávam, že sa zlepší kvalita spolupráce správnych orgánov a príslušných subjektov v regiónoch, ktorá bude mať rozhodujúci vplyv na stratégiu RIS3, a zreteľne sa zníži riziko nesprávneho výberu priorít.
Igor Šoltes (Verts/ALE), pisno. ‒ Pametna specializacija lahko pripomore k usmerjanju investicij ter koncentraciji raziskav in inovacij na področjih, kjer je prisotnih največ regionalnih in lokalnih kompetenc.
Razlike, ki se pojavljajo med evropskimi regijami na področju raziskav in inovacij, kažejo na to, da obstaja potreba po politikah, ki bodo krojene v skladu z lokalnimi potrebami. Prav pametna specializacija ponuja možnost za diferenciacijo in ekonomsko transformacijo na podlagi inovacij, ki bodo temeljile na lokalnih sredstvih in komparativnih prednostih. Prizadevanja in investicije se bodo tako osredotočile na omejeno število prioritet, ki bodo identificirane v postopku, v katerem bodo glavno vlogo igrali podjetniki in raziskovalci. Pametna specializacija je postala glavno načelo in predpogoj, na podlagi katerega se lahko pridobivajo sredstva iz Evropskega sklada za regionalni razvoj (ERDF).
Poročilo tako ponovno poudarja pomembno vlogo pametne specializacije, ki jo ta igra v kohezijski politiki. Menim, da je to prava smer razvoja na tem področju, zato sem glasoval za sprejem poročila.
Ivan Štefanec (PPE), písomne ‒ Inovatívne postupy a využívanie moderných technológií pomáhajú zvyšovať hospodársky rast, znižovať nezamestnanosť a maximálne znižovať náklady. Na základe princípu subsidiarity pristupujeme k tomu, aby do týchto procesov boli maximálne zapojené samosprávy, a to najmä v zaostalých regiónoch. Kľúčové bude optimálne nastavenie spolupráce európskych inštitúcií, národných vlád, škôl, samospráv a podnikateľského prostredia.
Beatrix von Storch (EFDD), schriftlich. ‒ Der Entschließung des EU-Parlaments über Kohäsionspolitik und Forschungs- und Innovationsstrategien für intelligente Spezialisierung (RIS3) habe ich nicht zugestimmt.
Die Kohäsionspolitik lehne ich als ein rein umverteilendes Instrument ab. Die AfD steht in Deutschland für selbständige und starke Gebietskörperschaften. Wir wollen regionale und lokale Selbstverwaltung ermöglichen und Subsidiarität garantieren, damit regionale Eigen- und Besonderheiten gepflegt werden können. Wir wollen dem Föderalismus wieder mehr Gewicht verleihen.
Die AfD ist also schon einer Politik des regionalen Ausgleichs innerhalb Deutschlands einigermaßen skeptisch eingestellt. Auf Ebene der EU hat diese erst recht nichts zu suchen. Wir stehen für starke und selbständige Nationalstaaten.
Eine durch die Kohäsionspolitik zentralplanerisch bewirkte und geförderte Spezialisierung der Regionen, die dadurch Schwerpunktbereiche für ihre Entwicklung und damit verbundene Investitionen bestimmen und auswählen können, lehne ich ab.
Dubravka Šuica (PPE), napisan. ‒ Istraživačke i inovacijske strategije za pametne specijalizacije (RIS3) uvjet su financiranja iz Europskih strukturnih i investicijskih fondova. RIS3 podržava tematske koncentracije i strateško programiranje sredstava Europskog socijalnog fonda te nastoji poboljšati provedbu na terenu.
Ovo izvješće nam daje prve pokazatelje provedbe strategije za razdoblje 2014.-2019. U vremenu gospodarske, financijske i socijalne krize EU mora ulagati više napora u stvaranje pametnog, održivog i uključivog gospodarskog rasta. Podržavam ovaj prijedlog Rezolucije o kohezijskoj politici te istraživačkim i inovacijskim strategijama za pametnu specijalizaciju, jer smatram da je važno da se pametnom specijalizacijom kombiniraju i povezuju različite politike, pogotovo politike poduzetništva, obrazovanja i inovacija, kako bi regije mogle utvrditi i odabrati prioritetna područja za svoj razvoj te povezati ulaganja usredotočujući se na svoje jače strane i relativne prednosti.
Krajnji cilj je da se stvori veći broj visokokvalitetnih radnih mjesta i da se strategijama doprinosi širenju dobrih praksi i razvoju novog poduzetničkog duha.
Patricija Šulin (PPE), pisno. ‒ Glasovala sem za poročilo o kohezijski politiki ter raziskovalnih in inovacijskih strategijah za pametno specializacijo.
Podpiram prizadevanja Evrope po ustvarjanju na znanju temelječe in trajnostne rasti, uravnoteženega razvoja in visokokakovostnih delovnih mest v vseh regijah. V času gospodarske krize je to še posebej pomembno. Kohezijska politika je tista, ki skrbi, da Evropa enakomerno raste, da ni prevelikih razlik v razvitosti med različnimi regijami v EU.
Podpiram poziv regijam, naj oblikujejo inovativne sheme podpornih storitev, ki bodo dopolnjevale ali nadomeščale obstoječe storitve, da bi posameznim regijam omogočile doseganje vsega konkurenčnega potenciala.
Νεοκλής Συλικιώτης (GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Υπερψηφίσαμε την έκθεση καθώς προωθεί την ανάπτυξη της καινοτομίας δίνοντας ένα ευρύ φάσμα επιλόγων για μια ισορροπημένη ανάπτυξη μέσω επενδύσεων σε δυσμενείς περιοχές, σε περιφέρειες καθώς και σε λιγότερο ανεπτυγμένες, αγροτικές και νησιωτικές περιοχές. Επίσης δίνει ιδιαίτερη έμφαση στην αξιοποίηση της τεχνολογικής ανάπτυξης για την δημιουργία νέων ποιοτικών θέσεων εργασίας και την στήριξη των ΜΜΕ.
Ελευθέριος Συναδινός (NI), γραπτώς. ‒ Η πολιτική συνοχής, πέρα από μη λειτουργική γενικότερα, δεν οδηγεί σε δημιουργία ποιοτικών θέσεων. Αντιθέτως, έχει προκαλέσει μεγάλη απώλεια πολύτιμου ανθρώπινου δυναμικού στην χώρα μας, όπως και σε όλες τις άλλες οικονομικά αδύναμες χώρες της Ένωσης.
Hannu Takkula (ALDE), kirjallinen. ‒ Suomi on ollut aina innovaatioiden kärkimaa, ja tämä on luonut taloudellista kasvua. Tässä mietinnössä nostettiin esille se, että innovaatioita tulee tukea tehokkaasti jatkossa koko Euroopan unionin alueella, mikä on ehdottoman tärkeä taloudellisen kasvun mahdollistaja. Muun muassa näistä syistä äänestin mietinnön puolesta.
Claudia Țapardel (S&D), in writing. ‒ During the year 2014, regions have started to develop and publish their RIS3 strategies. The aim of these strategies is to create knowledge-based, sustainable growth, balanced development and high quality jobs in all regions, not only in well-developed areas but also in regions in transition as well as in less developed, rural and island regions. All this shall contribute to the achievement of the Europe 2020 objectives. I agree with the main areas identified by the report, where improvement for RIS3 should be carried out. Moreover, this report provides excellent options for boosting innovation at regional, national and EU levels. Because innovation is an area that is continuously changing, I believe that RIS 3 strategies should be constant revised. Therefore, I support the review of the strategies after 2017, which seems mandatory in order to boost the efficiency and effectiveness of them, taking also into account the lessons learned from the initial years of their implementation.
Marc Tarabella (S&D), par écrit. ‒ Les SRI-SI constituent un outil précieux pour combler le retard en matière d'innovation ainsi que pour stimuler l'emploi et la croissance en Europe.
Pour l'heure, il existe encore une marge d'amélioration au regard de l'élaboration des stratégies. Les autorités devraient s'efforcer d'accorder une attention particulière au suivi et à la révision des stratégies afin de maximiser, d'une part, les résultats obtenus et, d'autre part, la coopération interrégionale, afin d'élaborer des projets ambitieux et de créer de la valeur ajoutée pour l'économie.
La simplification et la coordination des programmes existants sont également essentielles en vue de contribuer à la réussite de la mise en œuvre des stratégies dans les années à venir.
Pavel Telička (ALDE), in writing. ‒ In an increasingly competitive global environment, it is crucial that the EU keeps improving its capacity to innovate. I voted in favour of the report on Cohesion Policy and Research and Innovation Strategies for smart specialisation, as these strategies will be valuable to overcome Europe’s innovation gap and encourage growth. In fact, by combining and bringing together different policies, including those for entrepreneurship, education and innovation, RIS3 enables regions to identify and select priority areas for their development and investments. RIS3 is also a condition for receiving European Structural and Investment Funds (ESIF), and therefore contributes to an increased performance orientation on the ground. Moreover, I am very supportive of including a review of the strategies after 2017, in order to ensure their continuing relevance and maximise their output.
Ruža Tomašić (ECR), napisan. ‒ Podržala sam izvješće o kohezijskoj politici te istraživačkim i inovacijskim strategijama za pametnu specijalizaciju (RIS3), jer se njime potiče otvaranje radnih mjesta, i to visokokvalitetnih radnih mjesta koja se trebaju otvoriti ne samo u razvijenim područjima nego i u tranzicijski slabije razvijenim regijama.
Smatram da će upravo predložene socijalne inovacije pridonijeti uspostavi novih poslovnih modela i kultura. Držim da je ovo izvješće dobar put ka uspješnom razvitku Europe i država članica, prije svega slabije razvijenih regija.
Romana Tomc (PPE), pisno. ‒ Predlog o kohezijski politiki ter raziskovalnih in inovacijskih strategijah za pametno specializacijo (RIS3) sem podprla.
Cilj slednje je ustvariti na znanju temelječo in trajnostno rast, uravnotežen razvoj in visokokakovostna delovna mesta v vseh regijah, tudi v manj razvitih, podeželskih in otoških regijah. Strategije RIS3 so pomembno orodje za odpravo inovacijske vrzeli ter spodbujanje zaposlovanja in rasti v Evropi.
Zaenkrat lahko opazimo, da vzpostavitev strategij še vedno daje dovolj možnosti za spremembe. Javni organi bi si morali prizadevati, da posebno pozornost namenijo spremljanju in pregledu strategij, da bi tako čim bolj izkoristili njihov učinek ter medregijsko sodelovanje, s čimer bi oblikovali ambiciozne projekte, ki ustvarjajo dodano vrednost za gospodarstvo.
Estefanía Torres Martínez (GUE/NGL), por escrito. ‒ Voto a favor de este informe que apoya las políticas de cohesión y las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente (RIS3).
Las RIS3 contribuyen a la programación estratégica de los Fondos de Cohesión y pueden tener un papel fundamental en el cumplimiento de los objetivos de Europa 2020, en la búsqueda de un desarrollo equilibrado y sostenible y en la creación de empleos de calidad.
Propone además el apoyo a las gobernanzas multinivel y mayor participación a todos los niveles en los programas de ayudas, así como, la creación de sinergias positivas en las diferentes regiones para determinar sus puntos fuertes.
Aunque el informe contiene muchas «odas al viento» estoy a favor de la innovación tecnológica y social, de la evaluación del sistema de ayudas, el refuerzo de las fortalezas de cada región y de las pymes, para conseguir un desarrollo más sostenible.
Mylène Troszczynski (ENF), par écrit. ‒ Le présent rapport vante les mérites de la stratégie de recherche et d’innovation pour la spécialisation intelligente, stratégie censée s’inscrire, avec le Fonds européen pour les investissements stratégiques (plan Juncker), dans la nouvelle politique européenne d’investissement.
Ce document de cadrage oriente la mise en œuvre de la politique de cohésion et le versement du Fonds européen de développement économique régional (FEDER). Globalement, la SRI-SI fait doublon avec les politiques de recherche nationales et surtout avec les contrats de plan État-Région. Ce rapport ne présente aucune critique des politiques d’austérité sur les budgets publics et privés de soutien aux politiques de recherche et d’innovation.
Le mode de gouvernance de la stratégie doit être à multi-niveaux et compatible avec la stratégie Europe 2020. Cela veut dire que l’État français n’est pas chef de file de la mise en œuvre de cette stratégie qui répond à des orientations décidées par la Commission européenne.
Il convient de noter également que la stratégie SRI-SI favorise la concentration thématique, ce qui a pour conséquence de miser exclusivement sur des gros clusters ou pôles de recherche sans soutenir les petites structures et les grappes d’innovation.
J'ai donc voté contre.
Kazimierz Michał Ujazdowski (ECR), na piśmie. ‒ Strategie RIS3 są istotnym czynnikiem w gospodarce, gdyż wypełniają one luki innowacyjne, wzmacniają efektywność inwestycji oraz stanowią bodziec do wzrostu zatrudnienia. Instytucje publiczne, monitorujące współpracę międzyregionalną i wspierające regionalne specjalizacje, mogą zapewnić stabilny wzrost i rozwój gospodarczy w całej Europie. Biorąc pod uwagę doświadczenia zdobyte w pierwszych latach realizacji projektu, by móc zwiększyć możliwość inicjatywy oddolnej i podkreślić znaczenie społeczeństwa obywatelskiego, istotne jest wsłuchanie się w głos władz lokalnych poszczególnych obszarów zaangażowanych w projekt.
Strategia jest ważnym elementem kształtującym rozwój gospodarczy i wzmacniającym siłę regionów, dlatego zagłosowałem za przyjęciem wniosku.
István Ujhelyi (S&D), írásban. ‒ Gazdasági recesszió és ennek következtében szigorú költségvetési korlátozások és egyre élesedő globális verseny idején létfontosságú az EU számára innovációs képességének fenntartható javítása. Voksommal támogattam a jelentést.
Miguel Urbán Crespo (GUE/NGL),por escrito. – Voto a favor de este informe que apoya las políticas de cohesión y las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente (RIS3).
Las RIS3 contribuyen a la programación estratégica de los Fondos de Cohesión y pueden tener un papel fundamental en el cumplimiento de los objetivos de Europa 2020, en la búsqueda de un desarrollo equilibrado y sostenible y en la creación de empleos de calidad.
Propone además el apoyo a las gobernanzas multinivel y mayor participación a todos los niveles en los programas de ayudas, así como, la creación de sinergias positivas en las diferentes regiones para determinar sus puntos fuertes.
Aunque el informe contiene muchas «odas al viento» estoy a favor de la innovación tecnológica y social, de la evaluación del sistema de ayudas, el refuerzo de las fortalezas de cada región y de las pymes, para conseguir un desarrollo más sostenible.
Ernest Urtasun (Verts/ALE), in writing. ‒ I voted for, as smart specialisation can help channelling investment and concentrate research and innovation on areas which are linked to local or regional competences, qualifications and assets regardless of their size.
Ivo Vajgl (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of the Report on Cohesion Policy and Research and Innovation Strategies for Smart Specialisation (RIS3). The RIS3 supports a broad definition of innovation as signifying the transformation of an idea into a new or improved product or service introduced on the market, into a new or improved operational process used in industry and commerce, or into a new approach to a social service. I strongly believe that in these times of economic, financial and social crisis the EU must step up its efforts to create smart, sustainable and inclusive economic growth. I voted in favour because I am of the opinion that RIS3 should help make the European economy more competitive, develop European added value in innovation, create more and better high-quality jobs, and take on board a wide range of new experiences.
Ramón Luis Valcárcel Siso (PPE), por escrito. ‒ Las estrategias de investigación e innovación para la especialización inteligente son una herramienta fundamental para luchar contra la crisis económica y el alto desempleo en Europa. La economía del conocimiento es una herramienta vital para promover empleo de calidad en la Unión y poder dar a nuestros jóvenes las oportunidades que se merecen. Este informe ha tenido en cuenta la opinión de los expertos en el área, así como, la de la gran mayoría de los grupos políticos de la cámara y pretende dar una clara señal de apoyo por parte de este Parlamento a dichas estrategias, poniendo énfasis en la necesidad de poder disponer de datos para evaluar su actual implementación, para de este modo, poder aprender de posibles errores y mejorarlas de cara al futuro. Por todo ello creo necesario votar a su favor.
Hilde Vautmans (ALDE), schriftelijk. ‒ Dit verslag schenkt aandacht aan de rol van onderzoeks- en innovatiestrategieën. Europa zet financiële middelen in om innovatie te promoten als motor voor groei in tewerkstelling en investering in de toekomst van het industriebeleid van de EU. Ik stemde voor dit verslag omdat de EU in deze tijden van economische, financiële en sociale crisis extra inspanningen moet leveren om slimme, duurzame en economische groei te creëren.
Miguel Viegas (GUE/NGL), por escrito. ‒ Em período de recessão económica, e fruto dos constrangimentos do Euro, deveria ser determinante para a UE melhorar de forma sustentável a sua capacidade de inovação.
Na prática, nada disso acontece. A política de coesão está inclusivamente a tornar-se um elemento fomentador de assimetrias. Com efeito, hoje, são os países ricos que absorvem os apoios à investigação e os países pobres que ficam com as migalhas do FSE para minorar os dados da austeridade.
Portugal forma aos milhares os investigadores que migraram para outros países em virtude da descontinuidade dos projetos de investigação. São crimes que estamos a cometer, cujas consequências irão perdurar por muitos anos.
Harald Vilimsky (ENF), schriftlich. ‒ Der Bericht sieht in RIS3 ein wichtiges Instrument für die Bewältigung der Innovationslücke und für die Förderung von Beschäftigung und Wachstum in Europa. Grundsätzlich ist es ein sehr ausgewogener Bericht zur und über intelligente Spezialisierung. Daher habe ich dem Bericht zugestimmt.
Julie Ward (S&D), in writing. ‒ Innovation is, by definition, a cross-cutting concept. I therefore welcome the effort made in this report to build synergies across policy areas and better coordinate funding tools that are crucial for the sustainable development of regions, in both urban and rural areas. I attended the European Symposium on Science (ESOF) 2016 last July in my region in Manchester, and where I co-hosted with my Greek S&D colleague Eva Kaili a session on the natural links between the Arts and Science. This session confirmed that there is a demand in both communities to work beyond the obvious and to change the mentality of working in silos. Attending businesses, scientists and artists all argued in favour of a more global approach to innovation, and to jointly explore their common impact on societies. For me this should be the essence of ‘smart specialisation’ strategies. Smart specialisation should not only be seen as a tick box exercise for jobs and growth, but help us answer ecological, social, economic and cultural challenges. And we must invest in creative thinking and transferable skills if the EU wants to be at the forefront of innovation in a fast changing world.
Iuliu Winkler (PPE), în scris. ‒ Am votat raportul din proprie inițiativă referitor la Politica de coeziune și strategiile de cercetare și inovare pentru specializare inteligentă (RIS3). Raportorul consideră că într-o perioadă marcată de recesiune economică și de constrângeri bugetare inevitabile, precum și de o concurență globală tot mai acerbă, este esențial ca UE să își îmbunătățească în continuu potențialul de inovare. În opinia acestuia, RIS3 reprezintă un instrument valoros pentru a combate decalajul în materie de inovare și pentru a impulsiona crearea de locuri de muncă și creșterea economică în Europa.
Jadwiga Wiśniewska (ECR), na piśmie. ‒ Warunkiem otrzymania wsparcia finansowego przez przedsiębiorstwa, za pośrednictwem europejskich funduszy strukturalnych, przez państwa członkowskie i regiony UE było uprzednie ukierunkowanie inwestycji na obszary badań naukowych, rozwoju technologicznego i innowacji za pomocą strategii inteligentnej specjalizacji. Strategia ta jest instrumentem realizacji polityki rozwoju i jej zadaniem jest wpieranie państw UE w wypracowaniu własnych ścieżek rozwoju gospodarczego, pobudzenie rozwoju przedsiębiorstw i zapewnienie im dalszego wzrostu.
Ograniczony budżet UE, a także recesja gospodarcza na całym świecie wymusiły zwiększenie konkurencyjności przedsiębiorstw poprzez podniesienie zdolności innowacyjnych. Obecnie wszystkie regiony europejskie posiadają strategię inteligentnej specjalizacji. Zostały one opracowane i zaczęto je realizować w latach 2014 i 2015. Sprawozdanie sprzyja wspieraniu przedsiębiorstw poprzez pobudzenie ich rozwoju, co w konsekwencji wpływa na wzrost ich konkurencyjności na arenie międzynarodowej.
Θεόδωρος Ζαγοράκης (PPE), γραπτώς. ‒ Η έκθεση αναλύει τον ρόλο της έξυπνης ανάπτυξης και της καινοτομίας στα πλαίσια της πολυεπίπεδης διακυβέρνησης. Επίσης, θέτει τις απαραίτητες προϋποθέσεις για την αποτελεσματική εφαρμογή των έξυπνων στρατηγικών. Τέλος, ενθαρρύνει την δημιουργία συνεργιών με στόχο, μεταξύ άλλων, την ενίσχυση της απασχόλησης και την δημιουργία νέων θέσεων εργασίας. Ψήφισα θετικά.
Pablo Zalba Bidegain (PPE), por escrito. ‒ Las estrategias de investigación e innovación para una especialización inteligente (RIS3) son una condición ex ante para la asignación de financiación de los Fondos EIE. Las RIS3 apoyan la concentración temática y la programación estratégica de los Fondos EIE y dan lugar a una mayor orientación hacia el rendimiento de su aplicación sobre el terreno.
Su objetivo es crear un crecimiento basado en el conocimiento, no solo en áreas desarrolladas, sino también en otras menos desarrolladas y en las regiones rurales.
Este informe es el primero que realiza el Parlamento Europeo en el período legislativo 2014-2019 en el que expresa su apoyo a las estrategias RIS3. Se aboga por una mejora de las estrategias ya iniciadas y un mayor aprendizaje a partir de ellas, con el fin de lograr mejores resultados en los próximos años.
Estoy a favor de este informe ya que no solo favorece a las regiones menos favorecidas sino que, además, es positivo para todos los europeos.
Carlos Zorrinho (S&D), por escrito. ‒ Votei a favor do relatório Valcárcel Siso, por entender que as propostas apresentadas para as estratégias de especialização inteligente contribuem para a consecução dos objetivos da Europa 2020 através de um crescimento sustentável baseado no conhecimento, um desenvolvimento equilibrado e criação de emprego de elevada qualidade.
Sublinho o papel da plataforma S3, criada pela DG REGIO da Comissão e localizada no CCI de Sevilha, que desempenha um papel essencial no aconselhamento das regiões e na definição de critérios de referência no tocante às suas estratégias de inovação, no reforço da governação a vários níveis e das sinergias entre as regiões, mediante a disponibilização de informação, metodologias, conhecimentos especializados e consultoria aos decisores políticos nacionais e regionais.
Defendo ainda que a plataforma S3 de Sevilha preste especial atenção às regiões menos desenvolvidas, devendo, em especial, auxiliá-las a configurar e orientar as suas estratégias.
Milan Zver (PPE), pisno. ‒ Glasoval sem za Poročilo o kohezijski politiki ter raziskovalnih in inovacijskih strategijah za pametno specializacijo (RIS3).
Strinjam se, da mora Evropska unija v teh časih gospodarske, finančne in socialne krize okrepiti svoja prizadevanja za pametno, trajnostno in vključujočo gospodarsko rast.
Zato menim, da bodo raziskovalne in inovacijske strategije za pametno specializacijo (RIS3) doprinesle k večji konkurenčnosti evropskega gospodarstva, razvoju evropske dodane vrednosti v inovacijah, ustvarjanju večjega števila visokokakovostnih delovnih mest in pridobivanju širokega spektra novih izkušenj.
5.2. Europæisk territorialt samarbejde - bedste praksis og innovative foranstaltninger (A8-0202/2016 - Iskra Mihaylova)
Miguel Viegas (GUE/NGL). – Senhor Presidente, reconhecemos o potencial da cooperação territorial. Uma parte significativa da população europeia vive em zonas transfronteiriças e, por sua vez, estas regiões transfronteiriças são, na sua maioria, regiões deprimidas, sofrendo quase sempre dos problemas inerentes à interioridade e ao afastamento dos grandes centros.
Lamentamos, todavia, toda a propaganda à volta dos sucessivos programas Interreg, como se fosse possível fazer algo palpável apenas com algumas migalhas. Não é, se calhar, por acaso que não existe nenhum balanço minimamente objetivo sobre o impacto de 25 anos de cooperação territorial. Não se conhece nenhum impacto visível sobre o desenvolvimento socioeconómico dessas regiões e, muito menos, sobre a permeabilidade transfronteiriça, seja nas trocas comerciais, seja na partilha de infraestruturas.
Mas as críticas que fazemos estendem-se à política de coesão a nível global, que são, naturalmente, extensíveis à cooperação territorial. Esta política de coesão que levou um corte substancial no atual quadro plurianual é, infelizmente, cada vez mais uma miragem e cada vez mais está ao reboque das agendas neoliberais da União Europeia. A política de coesão está hoje condicionada não às necessidades das regiões e às estratégias locais de desenvolvimento, mas antes à agenda neoliberal da União Europeia.
A política mais grave, a política de coesão, na concretização, tende a transformar-se num elemento promotor das assimetrias, quando vemos os fundos destinados a apoiar a inovação serem centralizados nos países mais ricos do Norte, e os fundos destinados a apoiar o desemprego de longa duração são drenados para o Sul com o objetivo de minorar as consequências das políticas de liberalização impostas pela União Europeia.
Urge pôr cobro a esta situação, rompendo com este modelo e pugnando por uma nova Europa de paz e cooperação. Se queremos, de facto, a coesão social e territorial, desafiamos as instituições europeias a duplicar o orçamento para a coesão e a mudar completamente o seu figurino, por forma a dar liberdade às regiões para poderem escolher as suas estratégias de desenvolvimento, de acordo com as suas características, e, então, sim, poderemos lutar, de facto, contra as assimetrias regionais.
Michela Giuffrida (S&D). – Signor Presidente, onorevoli colleghi, ho votato a favore di questa relazione perché credo che la cooperazione territoriale sia fondamentale per l'attuazione della politica di coesione, e non si può prescindere dalla cooperazione con i paesi frontalieri. Per le regioni di confine, come per esempio la mia, la Sicilia nel Sud Italia, la cooperazione con le regioni vicine è fondamentale per crescere e perseguire risultati di sviluppo che poggiano sullo sfruttamento delle stesse risorse: una cultura comune, una tradizione e soprattutto storie condivise.
L'obiettivo della cooperazione territoriale è crescere insieme, che è un concetto che le regioni frontaliere conoscono molto bene, così come affrontare le stesse difficoltà. Per questo la Commissione dovrebbe certamente ampliare e incentivare i programmi di cooperazione territoriale e li dovrebbe inserire nel contesto più ampio delle nuove sfide che l'Unione sta affrontando: prima di tutto, come sappiamo, la migrazione e il terrorismo.
Monica Macovei (ECR). – Domnule președinte, 38 % din populația europeană trăiește în regiuni transfrontaliere și cooperează din toate punctele de vedere: oamenii trăiesc împreună, iar această cooperare este un element cheie pentru stabilitatea în regiunile respective, pentru locurile de muncă, pentru dezvoltare, pentru investiții. Tocmai de aceea am susținut acest raport și insist pentru accentul pus pe dezvoltarea investițiilor și trimiterea de fonduri în aceste regiuni tocmai pentru a le asigura dezvoltarea în continuare și pentru a le asigura stabilitatea. Iarăși, este importantă integrarea regională, pentru că se pune și problema crizei migrației și imigranții care ajung în astfel de regiuni, cum sunt integrați sau dacă sunt integrați. Prin urmare, foarte mare atenție pe această cooperare regională și, încă o dată, fonduri pe măsura eforturilor pe care le fac cei de acolo.
Stanislav Polčák (PPE). – Pane předsedající, pokud jde o územní teritoriální spolupráci, tak bych chtěl uvést, že toto je skutečně nezbytný předpoklad kohezní politiky pro to, aby fungovala. Myslím si, že bychom měli kohezní politiku více propagovat, není vidět toliko hvězd. Myslím si, že kohezní politika právě v té podobě územní spolupráce by měla ukazovat, jakým způsobem dokáží regiony spolu spolupracovat a přinášet další benefity, ať je to odstraňování znevýhodnění nebo tvorba pracovních příležitostí. Tvorba regionálního HDP, to je velmi podstatné. V tomto smyslu je důležité, aby územní soudržnost byla součástí kohezní politiky, která bude pevnou součástí rovněž tedy evropské politiky regionálního rozvoje. Já jsem přesvědčen, že není dobré, abychom kohezní politiku oslabovali nějakými zvláštními nástroji, ta má své pevné místo v programu EU a já jsem velmi rád, že ji můžeme podporovat.
Schriftliche Erklärungen zur Abstimmung
Isabella Adinolfi (EFDD), per iscritto. ‒ La cooperazione territoriale europea (CET) risulta essere uno degli obiettivi della politica di coesione della strategia Europa 2020. Essa svolge infatti un ruolo fondamentale nella ricerca e sviluppo. Per questo motivo è necessario introdurre sistemi monitoraggio e piani di valutazione che garantiscano maggiore trasparenza utili al conseguimento degli obiettivi in termini integrazione territoriale. Allo stesso tempo però ritengo che un uso più ampio di strumenti finanziari, congiuntamente alle sovvenzioni, non sia propriamente adeguato per l'implementazione dei programmi di cooperazione territoriale europea. Per questi motivi ho deciso di astenermi dal votare.
Tim Aker (EFDD),in writing. – We voted against this report because it enshrines the EU principle of harmonising everything and refusing to allow different regions and territories to have their own way of developing. This report will not help the situation.
Martina Anderson (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this own initiative report focusing on improving the effective use of the Interreg initiative (a Community Initiative in place since 1990) in order to develop European Territorial Cooperation (ETC). The overarching objective of ETC is to lessen the influence of borders in order to reduce disparities between regions, removing the remaining obstacles to investment and cooperation across borders. The report calls for increased funds to be directed towards ETC, for cross-border innovation policy and research cooperation, and for a focus on projects that promote the adaptation of social and mobility infrastructure to demographic change and migratory flows.
Eric Andrieu (S&D), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport, estimant que la coopération territoriale européenne participe pleinement à l'amélioration du potentiel économique, sociale et territoriale de nos régions.
Je regrette l'issue des négociations sur le cadre financier pluriannuel 2014-2020 en ce qui concerne les crédits pour la coopération territoriale européenne qui ont été fortement réduits.
Dans cette résolution nous appelons la Commission et les États membres à maintenir la coopération territoriale européenne comme un instrument d'intégration européenne.
Nous demandons par ailleurs d’attribuer à la coopération territoriale européenne un rôle plus spécifique au sein de la politique de cohésion après 2020, et enfin, d’augmenter son budget pour la prochaine période de programmation.
Laima Liucija Andrikienė (PPE), in writing. ‒ I voted in favour of the report on European territorial cooperation (ETC). ETC so far has made a significant contribution to strengthening the EU’s objective of territorial cohesion through integrating diverse sectorial policies on a territorial scale. However, the ETC budget of EUR 10.1 billion represents only 2.8% of the total cohesion policy budget; therefore, an increased budget for ETC in the next programming period will boost the added value of cohesion policy. The report also calls for greater respect for Article 174 TFEU on territorial cohesion (rural areas, islands, cross-border and mountains regions, outermost regions). The report underlines the lack of reliable data on cross-border cooperation and thus calls on the Commission, Eurostat and other managing authorities to cooperate with the aim to set up common criteria and a common database. The ETC programmes have proved to be effective; however, their potential should be further developed in areas beyond regional policy such as the single market, the digital agenda, employment, mobility, energy, research, education, culture, health and the environment. The report calls on the Commission and the Member States to consider preserving ETC as an important instrument.
Νίκος Ανδρουλάκης (S&D), γραπτώς. ‒ Ψήφισα υπέρ της έκθεσης σχετικά με την ευρωπαϊκή εδαφική συνεργασία (ΕΕΣ) διότι, ανεξάρτητα από τον μικρό προϋπολογισμό, τα έργα ΕΕΣ έχουν σημαντικά αποτελέσματα σε τομείς όπως οι μεταφορές, η εκπαίδευση, η ενέργεια, η υγειονομική περίθαλψη, η κατάρτιση και η απασχόληση.
Pascal Arimont (PPE), schriftlich. ‒ Seitdem das ETZ-Programm (Interreg) vor ungefähr 25 Jahren ins Leben gerufen wurde, hat es sich zu einem der wichtigsten Instrumente für den territorialen Zusammenhalt entwickelt. Eine ganze Reihe von Programmen mit hohem europäischem Mehrwert und besonderer Auswirkung auf die europäischen Grenzregionen, wurden im Rahmen dieses Programms bereits unterstützt. Hierbei konnten Mehrwerte in wichtigen Sektoren wie u.a. Vernetzung, Innovation und Wissen, Kultur oder Bildung geschaffen werden.
Grenzüberschreitende Zusammenarbeit ist ein Schlüsselinstrument für die Entwicklung von Grenzregionen. Insbesondere als Bewohner und Vertreter einer Grenzregion unterstütze ich diese Maßnahmen, die zur Verbesserung der territorialen Zusammenarbeit beitragen sollen.
Marie-Christine Arnautu (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport encourage l’utilisation de la coopération territoriale pour financer l’accueil des immigrés clandestins, notamment grâce aux programmes Interreg; ces programmes ont également vocation à faciliter la mobilité de la main-d’œuvre au sein de l’Union.
Par ailleurs, la coopération territoriale est utilisée pour financer les politiques de voisinage et d’élargissement de l’Union européenne. Elle met l’accent sur la concentration thématique qui délaisse les projets plus locaux, entraînant un accroissement des disparités régionales.
En outre, le rapport demande une augmentation rapide du budget dédié à la coopération territoriale alors qu’il s’élève déjà à 10,1 milliards d’euros pour la période de programmation 2014-2020 soit 2,8 % du budget de la politique de cohésion tout en reconnaissant qu’il n’existe aucune donnée quantitative fiable démontrant l’efficacité de ces programmes de coopération territoriale.
Par conséquent, j’ai voté contre ce rapport.
Jonathan Arnott (EFDD), in writing. ‒ In the interest of transparency and democracy I voted against this report. I believe that the UK should be good neighbours to the European Union. However there is a difference in being willing to share best practices with other countries and other countries, although the EU forcing us to do so.
Jean Arthuis (ALDE), par écrit. ‒ J'ai voté en faveur de cette délibération portée par ma collègue Iskra Mihaylova car ce rapport montre clairement qu’"Interreg" a prouvé son efficacité.
Il met également en évidence son potentiel au-delà de la politique régionale, dans des domaines tels que le marché unique, l’agenda numérique, l'emploi, la mobilité, la culture, la santé et l'environnement.
Zigmantas Balčytis (S&D), raštu. ‒ Balsavau už ši pranešimą, kurio tikslas ir toliau skatinti Europos teritorinio bendradarbiavimo (ETB) veiklą, kuri tapo viena iš dviejų lygiaverčių 2014–2020 m. sanglaudos politikos tikslų. ETB yra veiksminga priemonė plėtojant potencialą tokiose srityse kaip: bendroji rinka, skaitmeninė darbotvarkė, užimtumas, judumas, energetika, moksliniai tyrimai, švietimas, sveikata bei aplinkos apsauga, todėl būtina išsaugoti ETB kaip svarbią priemonę ir po 2020 m. ir iš esmės didinti jo biudžetą.
Gerard Batten (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because it enshrines the EU principle of harmonising everything and refusing to allow different regions and territories to have their own way of developing. This report will not help the situation.
Nicolas Bay (ENF), par écrit. ‒ J’ai voté contre ce rapport qui vise à renforcer la coopération territoriale européenne en favorisant «l’accueil des migrants» en augmentant le budget qui s’élève déjà à 10,1 milliards d’euros.
La place des immigrés clandestins n’est pas dans des centres d’accueil, elle est dans des charters de retour au pays.
Hugues Bayet (S&D), par écrit. ‒ J'ai approuvé ce rapport d'initiative qui souligne la valeur ajoutée de la coopération territoriale européenne notamment dans des domaines tels que la protection de l'environnement ou la mobilité. La coopération territoriale a également permis de multiples collaborations entre villes, améliorant ainsi de nombreuses politiques régionales et locales.
Le rapport demande notamment aux États membres de recourir davantage aux programmes de coopération transfrontalière. Il souligne l’importance de créer des approches de politique d'innovation transfrontalières telles que des programmes communs de recherche et de mobilité.
Il souligne enfin la nécessité de simplifier davantage la mise en œuvre des programmes de coopération territoriale.
Beatriz Becerra Basterrechea (ALDE), por escrito. ‒ La iniciativa Interreg tiene un espíritu absolutamente europeo, es decir, resolver problemas que sobrepasan fronteras administrativas nacionales y requieren soluciones comunes. He votado a favor de este informe porque me parece esencial que tras más de 25 años de actuación en la cooperación regional reflexionemos sobre las mejores prácticas llevadas a cabo y los desafíos futuros.
Brando Benifei (S&D), per iscritto. ‒ La cooperazione territoriale europea ha come obiettivo generale quello di ridurre l'influenza dei confini nazionali per diminuire le disparità fra le regioni e gli ostacoli ancora esistenti per gli investimenti e le attività di cooperazione transfrontaliera. La relazione Mihaylova, che ho sostenuto con il mio voto, sottolinea efficacemente il ruolo della CTE all'interno della politica di coesione, pur sottolineandone la ristrettezza di finanziamento che non risulta essere all'altezza dell'elevato valore aggiunto che essa è in grado di apportare in settori quali i trasporti, l'ambiente, la sanità e l'innovazione.
Nel prossimo futuro occorre potenziare la CTE rafforzando ulteriormente la sua dimensione innovativa. Bisogna sollecitare il coinvolgimento di più attori privati, generando partenariati transfrontalieri pubblico-privato di successo e consentendo l'attuazione e la diffusione di approcci integrati. L'armonizzazione di strumenti di pianificazione, procedure amministrative e disposizioni giuridiche transfrontaliere rappresenta un passo ulteriore che può garantire un vero rafforzamento della coesione e un'efficace promozione dello sviluppo economico, sociale e culturale dell'Unione nel suo complesso.
Xabier Benito Ziluaga (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor en este informe porque pienso que es crucial disminuir las disparidades entre las regiones fronterizas y fomentar la paz, la estabilidad y la integración regional en estas zonas. Además, este dossier apoya la adaptación social y la movilidad de infraestructuras, con el objetivo de crear un cambio demográfico y fomentar los flujos migratorios. Apoya también la creación de empleos para personas mayores, mujeres y migrantes con el fin de contribuir a una mayor integración social.
Izaskun Bilbao Barandica (ALDE), por escrito. ‒ Fomentar la capacidad y posibilidades de las regiones de colaborar en régimen transfronterizo vertebra y construye Europa porque estimula el desarrollo, favorece la convivencia en diversidad y genera potencialidad y posibilidades que no pueden frenar antiguas fronteras. Igualmente apostamos por simplificar los procedimientos y la burocracia que afecta a esta mecánica de cooperación y apuesta con la ponente por dar a estas políticas un papel estelar en la política de cohesión más allá de 2020.
Dominique Bilde (ENF), par écrit. ‒ Je me suis farouchement opposée à ce rapport qui utilise la dialectique bien connue de concepts en soi positifs - ici la coopération - pour des objectifs dévoyés. En effet, sous prétexte d’améliorer la coopération territoriale européenne il s’agit en fait ici d’un levier vers la fédéralisation de l’UE.
La soi-disant coopération viendrait donc effacer toujours plus les frontières nationales, et ce, en faveur de projets iniques tels que le financement de l’accueil sans fin des migrants; la circulation des travailleurs sur le mode des travailleurs détachés, qui, on le sait, favorise le dumping social et la précarisation des travailleurs nationaux; ou encore la concentration thématique qui accroîtra encore l’exclusion des zones rurales en faveur de maxi régions de l’État Europe.
Dans les détails même, ce rapport est scandaleux puisqu’il demande par ailleurs une augmentation du budget dédié à la coopération territoriale alors qu’il s’élève déjà à 10,1 milliards d’euros, et que dans le même temps, les politiques publiques nationales sont soumises à la pression des politiques d’austérité menées par Bruxelles.
Le clou du spectacle réside dans ces plateformes institutionnalisées qui utiliseraient l’argent du contribuable à des fins de propagande pro-UE.
Mara Bizzotto (ENF), per iscritto. ‒ La relazione che analizza le migliori pratiche riguardo al finanziamento per la cooperazione territoriale risulta equilibrata e condivisibile. Le nostre regioni del Nord si sono già dimostrate capaci di sfruttare queste opportunità di sviluppo collaborando con partner come Austria e Slovenia; per questo motivo ho inteso votare a favore di questo testo.
José Blanco López (S&D), por escrito. ‒ La cooperación territorial europea (CTE) debe ser un elemento clave de la política de cohesión. Cabe recordar que aproximadamente el 38 % de la población europea vive en regiones fronterizas, por lo cual esta política se revela como fundamental a la hora de promover un mayor desarrollo económico, social y territorial de estas regiones.
No obstante, el presupuesto de la CTE solo representa el 2,8 % del presupuesto de la política de cohesión, por lo que, como indica el informe, no está a la altura de los grandes desafíos a los que se ha de enfrentar la CTE y no refleja su elevado valor añadido europeo. De ahí la reclamación de una mayor dotación presupuestaria para el próximo período de programación, dada la necesidad de dedicar atención especial a las zonas más desfavorecidas de la Unión desde el punto de vista geográfico y demográfico.
Por todo ello, he votado a favor del informe.
Vilija Blinkevičiūtė (S&D), raštu. ‒ Balsavau dėl šio pranešimo, nes juo Parlamentas išsakė savo poziciją dėl Europos teritorinio bendradarbiavimo, geriausios patirties ir naujoviškų priemonių. Visa apimantis Europos teritorinio bendradarbiavimo tikslas – sumažinti nacionalinių sienų įtaką, kad būtų mažinami regionų skirtumai, šalinamos likusios investavimo ir bendradarbiavimo nepaisant sienų kliūtys, stiprinama sanglauda ir skatinamas darnus ekonominis, socialinis, kultūrinis ir teritorinis vystymasis visoje Sąjungoje. Deja, šiandien vis dar nepakankamai Europos Sąjungos piliečių naudojasi visomis galimybėmis, kurias suteikia ES vidaus rinka ir laisvas judėjimas. Todėl Europos Parlamentas pabrėžė, kad 2014–2020 m. laikotarpiu maždaug 41 proc. Europos regionų plėtros fondo lėšų bus investuota į priemones aplinkai gerinti, 27 proc. į pažangaus augimo stiprinimą, įskaitant mokslinius tyrimus ir inovacijas, o 13 proc. bus skirta integraciniam augimui skatinti vykdant veiklą, susijusią su užimtumu, švietimu ir mokymu, be to, 33 programomis bus apskritai siekiama gerinti susisiekimą tarp skirtingų šalių.
Andrea Bocskor (PPE), írásban. ‒ Az európai területi együttműködés átfogó célja a nemzeti határok hatásának csökkentése, a régiók közötti különbségek csökkentése, a határokon átívelő beruházások és közös munka tekintetében még fennálló akadályok felszámolása, a kohézió megerősítése és az Unió egészének harmonikus gazdasági, társadalmi, kulturális és területi fejlődésének előmozdítása. Mivel az európai lakosság mintegy 38%-a határ menti régiókban él, és mivel az EU jelentős gazdasági, pénzügyi és társadalmi válsággal néz szembe, a meghatározó politikáknak ezeket a tényeket kell figyelembe venniük. Úgy vélem, hogy az európai területi együttműködés bizonyította hatékonyságát, de a benne rejlő lehetőségeket még jobban ki kell bontakoztatni.
Fontos, hogy a jelentés kiemeli a regionális politikán túlmutató lehetőségeit az olyan területeken, mint az egységes piac, a digitális menetrend, a foglalkoztatás, a mobilitás, az energiaügy, a kutatás, az oktatás, a kultúra, az egészségügy és a környezetvédelem terén. Ezért kérem a Bizottságot és a tagállamokat, hogy fontolják meg az európai területi együttműködés – mint fontos eszköz – fenntartását, sőt, szánjanak neki markánsabb szerepet a 2020 utáni időszakra szóló kohéziós politikán belül, jelentősen növelve egyúttal költségvetését. Ugyanakkor szavazatommal nem támogattam a jelentés elfogadását, mivel a jelentés (a hasznos gondolatok mellett) több olyan bekezdést is tartalmaz, mely a kohéziós forrásokat a bevándorlók integrálására fordítaná.
Marie-Christine Boutonnet (ENF), par écrit. ‒ Même s’il est toujours utile de s’interroger sur les bonnes pratiques et de les partager, ce rapport vise à affaiblir le rôle des États en faveur du pouvoir supra national de l’UE.
Notamment il traite de l’élargissement de l’UE, de l’accueil des migrants, et favorise les liens avec les collectivités locales. Sans justifier à aucun moment de l’efficacité de cette politique, il demande une augmentation du budget déjà très conséquent et sollicite les États pour en faire la promotion.
Pour ces raisons, j'ai voté contre.
Renata Briano (S&D), per iscritto. ‒ Se siamo consapevoli che l'Unione europea è la casa comune di tutti noi, viene naturale promuovere la cooperazione reciproca e quella fra le istituzioni di livello amministrativo minore degli Stati membri. La qualità di questa cooperazione ha importanti ricadute sia in termini di efficienza delle istituzioni e di servizi al cittadino, che in termini direttamente economici. I dati di Eurobarometro evidenziano che è necessaria una maggiore collaborazione transfrontaliera per l'attuazione dei programmi comuni, di cui deve essere semplificata sia la modalità di fruizione e accesso dei fondi che quella di gestione del programma. Troppo spesso i cittadini non sono a conoscenza dell'operato dei programmi sul loro territorio, della loro attivazione, delle possibili ricadute positive come servizi offerti e come opportunità lavorative. Dobbiamo renderci conto che il primo passo per un'Europa più vicina ai cittadini è un'Europa che comunica meglio e che rende comprensibili i risultati del proprio operato.
Steeve Briois (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport vise à renforcer la coopération territoriale dont l’objectif est de réduire l’influence des frontières nationales au sein de l’Union européenne.
Bien que la coopération territoriale puisse favoriser la multiplication des projets transfrontaliers, elle constitue une étape supplémentaire vers la fédéralisation de l’Union européenne. C’est la raison pour laquelle je me suis opposé à ce rapport qui encourage l’utilisation de la coopération territoriale pour financer non seulement la politique de voisinage et d’élargissement de l’Union mais également l’accueil des migrants clandestins notamment grâce aux programmes Interreg.
Sans compter que ces nouvelles orientations nécessiteront une augmentation du budget dédié à la coopération territoriale qui s’élève déjà à plus de 10 milliards d’euros pour la période 2014-2020.
Alors qu’il n’existe aucune donnée quantitative fiable pour démontrer l’efficacité des programmes de coopération territoriale, il est demandé aux États membre de faire la promotion de cette politique en finançant la création de plateformes de communication institutionnalisées.
Enfin, la mise en place des programmes de coopération territoriale repose sur une gouvernance multi-niveaux avec une participation accrue des collectivités locales dans les instances décisionnaires au détriment des gouvernements nationaux.
J’ai donc voté contre ce texte.
Daniel Buda (PPE), în scris. ‒ Cooperarea teritorială europeană are o contribuție semnificativă la consolidarea obiectivului Uniunii de coeziune teritorială, stimulând atât creșterea economică, cât și dezvoltarea teritorială a regiunilor.
În urma restructurării CTE în concordanță cu obiectivele Strategiei Europa 2020, se constată un impact pozitiv crescut, rolul CTE fiind unul esențial în continuarea priorităților regionale. Acest instrument este prezent atât la nivelul orașelor și regiunilor, cât și în afara granițelor naționale, încurajând consolidarea cooperării și integrării regionale cu precădere în regiunile insulare.
În ceea ce privește practicile optime, se remarcă îmbunătățirea conectivității regionale, a mobilității și a accesibilității serviciilor prin surmontarea problemelor transfrontaliere în ceea ce privește mobilitatea persoanelor. Salut, de asemenea, consolidarea capacității instituționale și a capitalului social, întărirea structurilor rețelelor transfrontaliere și crearea unor noi parteneriate.
M-am exprimat în favoarea acestui raport deoarece consider că reprezintă un instrument valoros în asigurarea stabilității și integrării regionale, având o contribuție importantă în cadrul politicii de extindere și a celei de vecinătate.
Alain Cadec (PPE), par écrit. ‒ La coopération territoriale européenne permet à des régions de coopérer et d’échanger leurs bonnes pratiques. Elles pourront alors poursuivre le plus efficacement possible les objectifs de la politique de cohésion.
La coopération territoriale européenne se décline en trois volets: la coopération transfrontalière, transnationale et interrégionale. Cela donne l’opportunité à des porteurs de projets de s’associer pour financer leurs projets dans différents domaines tels que l’emploi, l’environnement ou encore le tourisme.
Il est important que cette coopération reçoive un soutien politique et financier approprié à l’accomplissement de son objectif.
J’ai voté en faveur de ce rapport.
Nicola Caputo (S&D), per iscritto. ‒ Oggi ho votato a favore della relazione in questione perché la cooperazione territoriale europea (CTE) è stata ripensata al fine di ottenere un maggiore impatto e un uso più efficace degli investimenti attraverso l'attenzione sulla concentrazione tematica e sull'orientamento al risultato.
Penso che la nuova cooperazione territoriale europea (CTE) sia di primaria importanza perché può contribuire all'accrescimento del potenziale economico, sociale e territoriale delle regioni, rispecchiando e integrando diverse politiche settoriali su scala territoriale, superando i confini nazionali.
Tuttavia, penso sia necessario rendere meno burocratiche le fasi di attuazione e gestione dei programmi e dei progetti per la cooperazione territoriale europea. Da un lato, la Commissione dovrebbe armonizzare le norme e i modelli relativi ai programmi di cooperazione territoriale europea. Dall'altro, gli Stati membri dovrebbero semplificare le loro disposizioni nazionali, al fine di evitare inutili oneri amministrativi non riconducibili alla normativa comunitaria.
Penso sia fondamentale promuove la cooperazione territoriale europea in materia di ricerca e innovazione, come progetti comuni di ricerca e cooperazione tra istituti di ricerca e imprese, fondazione di università internazionali transfrontaliere, centri di ricerca transfrontalieri, istituti di formazione transfrontalieri, creazione di cluster e reti aziendali transfrontalieri, incubatori e servizi di consulenza transfrontalieri alle PMI.
Matt Carthy (GUE/NGL), in writing. ‒ I voted in favour of this own initiative report focusing on improving the effective use of the Interreg initiative (a Community Initiative in place since 1990) in order to develop European Territorial Cooperation (ETC). The overarching objective of ETC is to lessen the influence of borders in order to reduce disparities between regions, removing the remaining obstacles to investment and cooperation across borders. The report calls for increased funds to be directed towards ETC, for cross-border innovation policy and research cooperation, and for a focus on projects that promote the adaptation of social and mobility infrastructure to demographic change and migratory flows.
David Casa (PPE), in writing. ‒ The survey Flash Eurobarometer ‘Cross-border cooperation in the EU’ (2015) established that the majority of the people living in EU border regions are not aware of EU-funded cross-border cooperation activities in their region falling under the umbrella of European Territorial cooperation (ETC). Therefore, I agree that more effective communication on the results and achievements from completed projects is needed and also to enhance synergies with the other EU-funded programmes/initiatives. I also believe that all parties involved in ETC should provide critical analysis of project thematic achievements in order to provide recommendations for post-2020, and at the same time ensuring for projects a high level of quality, transparency and closeness to citizens. I agree with this report.
Fabio Massimo Castaldo (EFDD), per iscritto. ‒ La relazione in questione fa uno stato dell'arte piuttosto completo e dettagliato degli obiettivi, delle finalità e della criticità del nuovo quadro della cooperazione territoriale europea (CTE), con diversi spunti positivi e altri, invece, che non condivido totalmente. Tra gli aspetti più controversi figurano l'uso degli strumenti finanziari dei programmi di CTE, in particolar modo quando si incoraggia un uso più ampio degli strumenti finanziari quali meccanismi di flessibilità da utilizzare parallelamente alle sovvenzioni o quando si afferma che gli strumenti finanziari debbano costituire parte integrante dei programmi di cooperazione territoriale europea. Non condivisibile neanche un paragrafo sugli investimenti privati in cui però, a fronte di una raccomandazione sui possibili vantaggi dei partenariati pubblico-privato, si sottolinea il rischio di conflitto di interesse, che dovrebbe essere adeguatamente affrontato attraverso gli strumenti di legge vincolanti e non vincolanti. Per questi motivi ho preferito astenermi sul voto finale.
Caterina Chinnici (S&D), per iscritto. ‒ La cooperazione territoriale europea (CTE) è uno dei due pilastri della politica di coesione dell'UE, nonché un'iniziativa chiave nella promozione di pace, stabilità e integrazione tra regioni europee, e consente di beneficiare appieno dei vantaggi del mercato interno. Nei 25 anni della sua esistenza ha dato un importante valore aggiunto, specialmente nell'affrontare le sfide transfrontaliere, e può rappresentare un'opportunità per le regioni europee, soprattutto per quelle più esposte alla crisi migratoria, che attraverso lo scambio di buone pratiche possono trovare soluzioni e approcci comuni.
Di fronte a questi esiti positivi e al potenziale del programma, ritengo che il bilancio di 10,1 miliardi di EUR (rappresentante solo il 2,8% del bilancio per la politica di coesione) non potrà essere all'altezza delle grandi sfide che la CTE deve affrontare.
Come succede per molti programmi complessi, il successo della CTE dipende molto dalle procedure amministrative richieste per la sua attuazione. Per tali motivi abbiamo rivolto alla Commissione la richiesta di ridurre l'onere amministrativo e di armonizzare le procedure dei programmi CTE.
Alla luce di tali considerazioni, ho votato a favore della relazione.
Λευτέρης Χριστοφόρου (PPE), γραπτώς. ‒ Στηρίζουμε την έκθεση και συμφωνούμε με τη θέση της εισηγήτριας περί ανάγκης περιορισμού της γραφειοκρατίας που χαρακτηρίζει τη διαχείριση και την υλοποίηση των προγραμμάτων και των έργων ΕΕΣ. Η υλοποίηση των προγραμμάτων ΕΕΣ παραμένει περίπλοκη και, ως εκ τούτου, ζητούμε από την Ομάδα ανεξάρτητων εμπειρογνωμόνων υψηλού επιπέδου για την παρακολούθηση της απλούστευσης για τους δικαιούχους των ευρωπαϊκών διαρθρωτικών και επενδυτικών ταμείων να εξετάσει μέτρα για την απλούστευση και τη μείωση του διοικητικού φόρτου που βαρύνει τους δικαιούχους.
Κώστας Χρυσόγονος (GUE/NGL), γραπτώς. ‒ Η έκθεση σχετικά με την ευρωπαϊκή εδαφική συνεργασία και τις βέλτιστες πρακτικές και καινοτόμα μέτρα αφορά σύνθετους και διαφορετικούς τομείς της συνεργασίας μεταξύ των κρατών μελών της ΕΕ. Καθώς χρειαζόμαστε βελτιώσεις ως προς τη συνεργασία αυτή, θεωρώ πως η έκθεση αποτελεί ένα σωστό βήμα και για αυτό τον λόγο ψήφισα θετικά.
Alberto Cirio (PPE), per iscritto. ‒ Mi esprimo a favore di quanto riportato nella relazione della collega Mihaylova dal momento che l'European Territorial Cooperation ha consentito numerosi progressi in termini di connettività e innovazione, in special modo nelle regioni di confine dell'Unione. La cooperazione territoriale rappresenta uno degli obiettivi di Europa 2020 per la coesione e fornisce un quadro di riferimento per l'attuazione di azioni comuni e scambi politici tra gli attori nazionali, regionali e locali dei diversi Stati membri. Ritengo che sia fondamentale supportare adeguatamente un progetto che da 25 anni implementa uno sviluppo economico, sociale e territoriale quanto più armonioso possibile poiché ciò rientra tra quelle che considero le priorità per il mio territorio.
Il valore aggiunto apportato dall'ETC emerge sotto numerosi profili che spaziano da un miglioramento della connessione regionale fino ad una maggiore accessibilità ai servizi per i cittadini, consentendo così una velocizzazione nel trasferimento della conoscenza e dell'innovazione che a sua volta si traduce in maggiore competitività per le nostre imprese. In questo modo, oltre a far nascere numerose partnership imprenditoriali e istituzionali, si è comunque contribuito ad accrescere l'immagine e l'identità regionale stessa.
Deirdre Clune (PPE), in writing. ‒ I supported the report on European territorial cooperation – best practices and innovative measures, and noted no objections.
Carlos Coelho (PPE), por escrito. ‒ A Cooperação Territorial Europeia (CTE) compreende as dimensões de cooperação transfronteiriça, transnacional e inter—regional, constituindo-se como um dos dois objetivos da política de coesão.
A significativa dimensão financeira do INTERREG para o período 2014-2020 (10,1 mil milhões de euros) que, além destas dimensões, compreende o cofinanciamento de programas de cooperação de desenvolvimento regional fora da UE, atesta a sua importância, mas também a necessidade de desburocratizar e agilizar processos, de forma a concentrar recursos nos objetivos prioritários, reforçar a consecução da estratégia Europa 2020 e melhorar o potencial económico, social e territorial das regiões, integrando as suas políticas setoriais.
Entendo que, nos 25 anos do INTERREG, devem ser reunidas as melhores práticas de orientação do financiamento nos domínios da conectividade, mobilidade e acessibilidade; apoio à inovação e ciência; incremento de competitividade das PME; prevenção de catástrofes naturais; promoção do crescimento inclusivo, assente no emprego, educação e formação; e gestão sustentável dos recursos ambientais e energéticos.
Acompanho o alerta para a necessidade de coordenar melhor os mecanismos de financiamento da CTE com os fundos estratégicos e de investimento, eliminando sobreposições e garantindo uma governação mais coerente com os objetivos de coesão territorial.
Pelo exposto, apoio o relatório.
Therese Comodini Cachia (PPE),in writing. – I agree with the rapporteur in advocating greater respect for territorial cohesion, in particular islands when implementing cohesion policy. There are intrinsic peculiarities which need to be addressed through this funding tool. In this sense it is disappointing to note the outcome of the negotiations on the MFF 2014-2020 regarding the cut in appropriations for ETC.
I agree that an increased budget for ETC in the next programming period will boost the added value of cohesion policy.
Member States need to simplify national provisions urging the implementation of e-cohesion and streamlining of administrative procedures.
Javier Couso Permuy (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor de este informe porque contiene algunos aspectos positivos de relevancia para mejorar las condiciones de la población de referencia. Recomienda que se preste especial atención a los proyectos que se esfuerzan en adaptar los municipios y las regiones a la nueva situación demográfica, tales como: la adaptación de la infraestructura social y de movilidad al cambio demográfico y los flujos migratorios, el apoyo a la búsqueda de empleo para personas de edad, mujeres y migrantes, contribuyendo a una mejor inclusión social. Refuerza la idea sobre la simplificación de los programas y la involucración de la sociedad civil, teniendo en cuenta la transparencia y rendición de cuentas. Insta a que las instituciones locales y regionales tengan un papel mayor en la propuesta, gestión y evaluación de los programas de cooperación territorial europea.
Andi Cristea (S&D), în scris. ‒ Pentru perioada 2014-2020 s-a marcat o orientare clară în alocarea fondurilor pentru dezvoltarea transfrontalieră a priorităților strategice. Aceste modificări au contribuit la creșterea potențialului economic, social și teritorial al regiunilor, mergând chiar dincolo de granițele naționale.
Am votat pentru debirocratizarea programelor și a proiectelor CTE. O dezbatere publică structurată la nivelul UE cu privire la viitorul politicilor de coeziune pentru perioada post-2020 este necesară.
Aceste proiecte cu rezultate concrete în eliminarea impedimentelor pentru dezvoltarea securității, a transporturilor, a educației, a energiei sau a sănătății trebuie să continue.
Pál Csáky (PPE),írásban. –Az európai területi együttműködés a 2007–2013-as programozási időszak óta a kohéziós politika önálló célkitűzése, mégse kap megfelelő figyelmet ez a terület. Azonban több paragrafusban megjelenik annak gondolata, hogy a kohéziós forrásokat, területfejlesztési eszközöket a migránsok társadalmi integrációjának támogatására, a menekültválság által támasztott kihívások kezelésére, a migráció és a menekültügy területét célzó intézkedésekre is kell fordítani. Ez a javaslat figyelmen kívül hagyja a kohéziós politika EUMSZ 174. cikkében megfogalmazott eredeti célkitűzését, amely „a különböző régiók fejlettségi szintje közötti egyenlőtlenségek és a legkedvezőtlenebb helyzetű régiók lemaradásának csökkentése”, „a gazdasági, társadalmi és területi kohézió erősítése”. Nem tudok egyetérteni azzal, hogy az európai régiók számára oly fontos kohéziós forrásokat migrációval kapcsolatos célokra fordítsák.
Edward Czesak (ECR), na piśmie. ‒ Popieram sprawozdanie dotyczące europejskiej współpracy terytorialnej (Interreg), gdyż podejmuje ono bardzo istotne kwestie takie jak: opis najlepszych praktyk, wkład w spójność terytorialną, uproszczenia oraz wartość dodaną UE. Interreg stanowi ramy realizacji wspólnych działań i wymiany doświadczeń w zakresie polityki między podmiotami krajowymi, regionalnymi i lokalnymi z różnych państw członkowskich.
Poparłem to sprawozdanie, gdyż dla mnie bardzo ważna jest realizacja polityki spójności, a Interreg, o którym mowa w sprawozdaniu, jest jego częścią.
Miriam Dalli (S&D), in writing. ‒ I am in favour of this report as it highlights the importance for the Commission and Member States of working towards preserving European territorial cooperation. I strongly believe that this cooperation is a fundamental basis for the European integration process and that it should be given a more distinct role within cohesion policy.
Viorica Dăncilă (S&D), în scris. ‒ Consider că buna cooperare dintre CE, BEI și autoritățile locale și regionale reprezintă un element esențial pentru asigurarea succesului utilizării instrumentelor financiare în dezvoltarea teritorială și în întreaga politică de coeziune.
În acest context, cred că este necesară intensificarea schimbului de experiență și de cunoștințe între CE și BEI, pe de o parte, și autoritățile locale și regionale, de cealaltă parte.
Michel Dantin (PPE), par écrit. ‒ Ce rapport d’initiative dresse un bilan de la politique de coopération territoriale européenne (Interreg), dont le but est de renforcer et développer les rapports de voisinage entre collectivités ou autorités territoriales de plusieurs États.
Le rapport recommande notamment de développer plusieurs secteurs clés tels que la connectivité, l’innovation, la connaissance, la culture et l’éducation.
Considérant que la coopération entre pays appartenant à un même espace géographique, tel que les régions montagneuses, est un élément clé permettant d’établir une réelle politique de développement territoriale, j’ai soutenu ce rapport.
William (The Earl of) Dartmouth (EFDD), in writing. ‒ We voted against this report because it enshrines the EU principle of harmonising everything and refusing to allow different regions and territories to have their own way of developing. This report will not help the situation.
Rachida Dati (PPE),par écrit. – J’ai soutenu ce texte sur les bonnes pratiques liées la coopération territoriale européenne. Le programme Interreg participe indéniablement au renforcement de la cohésion territoriale en Europe, notamment en favorisant la connectivité interrégionale et transfrontalière.
Il était particulièrement important de souligner la nécessité d’accorder une attention particulière aux projets visant les régions insulaires, les régions ultrapériphériques et les régions peu peuplées, ainsi que les régions de montagne et les régions rurales en vue de remplir nos objectifs fixés dans le cadre de la politique de cohésion pour la période 2014-2020.
Enfin, les politiques d'innovation transfrontalières, et notamment les programmes communs de recherche et de mobilité, doivent être encouragés pour favoriser la compétitivité et la croissance en Europe.
Andor Deli (PPE), írásban. ‒ A plenáris szavazás során nem tudtam támogatni az európai területi együttműködésről szóló jelentést. A jelentés számos értékes gondolatot tartalmaz. Kétségtelen, hogy bár az európai területi együttműködés a 2007–2013-as programozási időszak óta a kohéziós politika önálló célkitűzése, mégse kap megfelelő figyelmet ez a terület. Azonban több paragrafusban megjelenik annak gondolata, hogy a kohéziós forrásokat, területfejlesztési eszközöket a migránsok társadalmi integrációjának támogatására, a menekültválság által támasztott kihívások kezelésére, a migráció és a menekültügy területét célzó intézkedésekre is kell fordítani.
Ez a javaslat figyelmen kívül hagyja a kohéziós politika eredeti célkitűzését, mely „a különböző régiók fejlettségi szintje közötti egyenlőtlenségek és a legkedvezőtlenebb helyzetű régiók lemaradásának csökkentése”, „a gazdasági, társadalmi és területi kohézió erősítése” (EUMSZ 174. cikk). Nem a sokat hangoztatott szolidaritásról van szó, hanem egy befektetési politikáról, melynek a nettó befizetők legalább annyira haszonélvezői mint a támogatásban részesülő országok. Nem tudok egyetérteni azzal, hogy az európai régiók számára oly fontos kohéziós forrásokat migrációval kapcsolatos célokra fordítsák. Itt az ideje felismerni, hogy a kötelező befogadási kvóta, az áttelepítés nem működik. A migránsok, menekültek számára származási országukban kell segítséget nyújtani, és nem az uniós tagállamokba hozni a problémát.
Isabella De Monte (S&D), per iscritto. ‒ Ho sostenuto questa relazione perché sono convinta che una migliore connettività a livello comunitario, nazionale e regionale sia indispensabile per lo sviluppo dell'UE. Il testo pone tra i propri obiettivi l'incremento della qualità dei trasporti, della salute e dell'istruzione e un maggiore impegno comune alla salvaguardia della sicurezza dei cittadini.
Mireille D'Ornano (ENF), par écrit. ‒ La politique territoriale de l’Union européenne absorbe déjà 10,1 milliards d’euros, soit 2,8 % du budget de la politique de cohésion pour la période 2014-2020.
Outre le fait que son efficacité n’a jamais été démontrée, elle s’appuie sur une régionalisation toujours plus poussée de l’Union au détriment des États nations. En l’occurrence, le programme de coopération multiterritoriale repose sur une implication accrue des collectivités dans les instances décisionnaires.
Enfin, ce programme encourage nombre de politiques que nous contestons, en particulier le financement de l’accueil des migrants, ou bien de la politique de voisinage et d’élargissement de l’Union européenne.
J’ai voté contre ce texte.
Ангел Джамбазки (ECR), в писмена форма. ‒ Подкрепих доклада на г-жа Искра Михайлова относно европейското териториално сътрудничество – най-добри практики и новаторски мерки, тъй като тази политика е част от кохезионната политика на Европейския съюз, която е от изключително значение за България и за нейното икономическо и социално развитие. С отпуснатата сума от 10.1 милиарда евро за програмния период 2014 – 2020 г. целта на Европейското териториално развитие е да подпомогне цялостното сътрудничество между национални, регионални и местни участници, като акцент се поставя на трансграничното сътрудничество и подпомагането на граничните региони.
Докладът на г-жа Михайлова е важен най-вече поради две причини. На първо място той призовава за значително увеличение на бюджета в следващия програмен период, за да се увеличат инвестициите в граничните региони, тъй като те са изключително много засегнати от настоящата бежанска криза. На второ място докладът изисква да се опрости изпълнението на програмите за териториално сътрудничество, за да станат по-достъпни за различните участници и по този начин да се увеличи ефектът от инвестираните средства.
Γεώργιος Επιτήδειος (NI), γραπτώς. ‒ Σύμφωνα με την έκθεση, ο πρωταρχικός ρόλος της Ευρωπαϊκής Εδαφικής Συνεργασίας είναι η μείωση της επίδρασης των εθνικών συνόρων, γεγονός το οποίο συνιστά άμεση απειλή στην εθνική κυριαρχία των κρατών μελών.
Norbert Erdős (PPE), írásban. ‒ A plenáris szavazás során nem tudtam támogatni az európai területi együttműködésről szóló jelentést. A jelentés számos értékes gondolatot tartalmaz. Kétségtelen, hogy bár az európai területi együttműködés a 2007–2013-as programozási időszak óta a kohéziós politika önálló célkitűzése, mégse kap megfelelő figyelmet ez a terület. Azonban több paragrafusban megjelenik annak gondolata, hogy a kohéziós forrásokat, területfejlesztési eszközöket a migránsok társadalmi integrációjának támogatására, a menekültválság által támasztott kihívások kezelésére, a migráció és a menekültügy területét célzó intézkedésekre is kell fordítani.
Ez a javaslat figyelmen kívül hagyja a kohéziós politika eredeti célkitűzését, mely „a különböző régiók fejlettségi szintje közötti egyenlőtlenségek és a legkedvezőtlenebb helyzetű régiók lemaradásának csökkentése”, „a gazdasági, társadalmi és területi kohézió erősítése” (EUMSZ 174. cikk). Nem a sokat hangoztatott szolidaritásról van szó, hanem egy befektetési politikáról, melynek a nettó befizetők legalább annyira haszonélvezői, mint a támogatásban részesülő országok. Nem tudok egyetérteni azzal, hogy az európai régiók számára oly fontos kohéziós forrásokat migrációval kapcsolatos célokra fordítsák. Itt az ideje felismerni, hogy a kötelező befogadási kvóta, az áttelepítés nem működik. A migránsok, menekültek számára származási országukban kell segítséget nyújtani, és nem az uniós tagállamokba hozni a problémát.
José Manuel Fernandes (PPE), por escrito. ‒ Atualmente, a CTE beneficia 28 Estados-Membros. O montante afeto à CTE ascende aos 10,1 mil milhões de euros: 74,1 % para a cooperação transfronteiriça - 60 programas, 20,4 % para a cooperação transnacional - 15 programas e 5,6 % para a cooperação inter-regional - 4 programas. O Interreg também cofinancia programas de cooperação de desenvolvimento regional fora da UE: programas de colaboração transfronteiriça do Instrumento de Assistência de Pré-Adesão (242 milhões destinados especificamente à cooperação transfronteiriça) e 16 programas de colaboração transfronteiriça do Instrumento Europeu de Vizinhança (634 milhões destinados especificamente à cooperação transfronteiriça). Concordo por isso, que a CTE tem um grande efeito de alavancagem.
Edouard Ferrand (ENF), par écrit. ‒ Vote contre: reconnaît qu’il n’existe aucune donnée quantitative fiable démontrant l’efficacité de ces programmes de coopération territoriale.
João Ferreira (GUE/NGL), por escrito. ‒ A nossa posição relativamente à Cooperação Territorial Europeia (CTE) tem sido crítica, tendo por base o entendimento de que esta prossegue o objetivo de superar os obstáculos que ainda subsistem ao funcionamento do mercado único da UE, nomeadamente os que têm que ver com os entraves à livre circulação de mercadorias e à migração dos trabalhadores entre países, tendo por base não os seus interesses e aspirações (e aproveitando as carestia de vida que lhes é imposta), mas sim as necessidades de mão-de-obra do capital.
A CTE não corresponde a uma cooperação assente no benefício mútuo, solidária e tendo na sua base a soberania e os interesses complementares dos países envolvidos, com a qual estaríamos indubitavelmente de acordo, mas antes com a intenção de obstaculizar o empecilho que consideram ser os modelos de desenvolvimento de base soberana e nacional.
A cooperação e a integração são uma realidade e uma necessidade potenciada pelo desenvolvimento das forças produtivas, particularmente do desenvolvimento tecnológico e científico. Este relatório, ao enfatizar a questão dos instrumentos financeiros e ao privilegiar as parcerias público-privado, faz notar que, como noutros momentos, promove-se uma cooperação impositiva com vista a facilitar a concentração e a centralização do capital (monopolista) por todo o espaço da UE.
Raffaele Fitto (ECR), per iscritto. ‒ Ho espresso voto favorevole poiché la presente relazione sottolinea la necessità di una maggiore integrazione e complementarietà tra i programmi Interreg e gli altri programmi finanziati sia a livello nazionale che UE, quali Orizzonte 2020, il Fondo europeo per gli investimenti strategici (FEIS) e la Banca europea per gli investimenti.
Lorenzo Fontana (ENF), per iscritto. ‒ Voto a favore della relazione auspicando anche una maggiore collaborazione con i privati.
Λάμπρος Φουντούλης (NI), γραπτώς. ‒ Σύμφωνα με την έκθεση, ο πρωταρχικός ρόλος της Ευρωπαϊκής Εδαφικής Συνεργασίας είναι η μείωση της επίδρασης των εθνικών συνόρων, γεγονός το οποίο συνιστά άμεση απειλή στην εθνική κυριαρχία των κρατών μελών. Για αυτόν τον λόγο καταψηφίζω την έκθεση σχετικά με την ευρωπαϊκή εδαφική συνεργασία - βέλτιστες πρακτικές και καινοτόμα μέτρα.
Doru-Claudian Frunzulică (S&D), in writing. ‒ Having in view that ETC has made a significant contribution to enhancing the economic, social and territorial potential of regions, Parliament expressed its disappointment concerning the outcome of the negotiations on the MFF 2014-2020 regarding the cut in appropriations for ETC. Thus, one of the important goals of this report was to call on the Commission and Member States to work towards preserving ETC as an important and positive instrument for the European integration process, through allocating ETC a more distinct role within Cohesion policy post-2020 and increasing its budget for the next programming period. I supported the report in the Plenary.
Kinga Gál (PPE), írásban. ‒ A plenáris szavazás során nem tudtam támogatni az európai területi együttműködésről szóló jelentést. A jelentés számos értékes gondolatot tartalmaz. Kétségtelen, hogy bár az európai területi együttműködés a 2007–2013-as programozási időszak óta a kohéziós politika önálló célkitűzése, mégse kap megfelelő figyelmet ez a terület. Azonban több paragrafusban megjelenik annak gondolata, hogy a kohéziós forrásokat, területfejlesztési eszközöket a migránsok társadalmi integrációjának támogatására, a menekültválság által támasztott kihívások kezelésére, a migráció és a menekültügy területét célzó intézkedésekre is kell fordítani.
Ez a javaslat figyelmen kívül hagyja a kohéziós politika eredeti célkitűzését, mely „a különböző régiók fejlettségi szintje közötti egyenlőtlenségek és a legkedvezőtlenebb helyzetű régiók lemaradásának csökkentése”, „a gazdasági, társadalmi és területi kohézió erősítése” (EUMSZ 174. cikk). Nem a sokat hangoztatott szolidaritásról van szó, hanem egy befektetési politikáról, melynek a nettó befizetők legalább annyira haszonélvezői, mint a támogatásban részesülő országok. A magyar néppárti delegáció tagjaként nem értek egyet azzal, hogy az európai régiók számára oly fontos kohéziós forrásokat migrációval kapcsolatos célokra fordítsák. Itt az ideje felismerni, hogy a kötelező befogadási kvóta, az áttelepítés nem működik. A migránsok, menekültek számára származási országukban kell segítséget nyújtani, és nem az uniós tagállamokba hozni a problémát.
Francesc Gambús (PPE), por escrito. ‒ He votado a favor al constatar que es necesario continuar apostando por mejorar y ampliar la cooperación territorial dentro de la UE. En la actualidad, la cooperación territorial europea beneficia a los 28 Estados miembros y se ha convertido en uno de los objetivos de la política de cohesión. Dispone de un presupuesto de 10 100 millones de euros: un 74,1 % para la cooperación transfronteriza (60 programas), un 20,4 % para la cooperación transnacional (15 programas) y un 5,6 % para la cooperación interregional (4 programas). La cooperación territorial europea contribuye a reforzar el potencial económico, social y territorial de las regiones, traspasando las fronteras nacionales y eliminando los obstáculos para la mejora de la seguridad, el transporte, la educación, la energía, la sanidad, la formación y el empleo. Por lo tanto, debemos seguir apostando decididamente por la mejora y la ampliación de la cooperación territorial de la UE.
Elisabetta Gardini (PPE), in writing. ‒ I voted to approve this reports as it outlines several possible improvements in the area of ETC and aims to strengthen the program and its role in supporting cross-border initiatives. Cross—border cooperation and initiatives are one of the things that lie at the heart of what the EU is as they bring citizens of different Member States together in cooperation. The ETC is also important when it comes to closing the gaps in cross-border governance and regulation, an issue that makes it harder to do business and to facilitate investment to these regional cross-border areas.
Enrico Gasbarra (S&D), per iscritto. ‒ Rafforzare la cooperazione territoriale europea significa investire in una crescita larga, democratica e intelligente, ambire ad un piano di solidarietà ed inclusione socio-economica, supportare la piccola e media impresa, rispondere ad esigenze di aree e territori diversi ma con urgenze comuni. Per questo ritengo che l'Europa non possa accettare ulteriori tagli alle politiche di coesione, ma anzi debba confermare con totale convinzione la necessità di investimenti nella crescita dei singoli territori per rafforzare l'intero progetto europeo.
Le politiche di coesione sono determinanti per il raggiungimento degli obietti di Europa 2020, per questo ritengo di dover dare il mio pieno appoggio alla relazione, ritenendo che nella sinergia tra governi locali e nazionali e tra città metropolitane, regioni e i diversi Stati risieda la vera anima dell'Europa, che trova nel rispetto di diverse identità la sua vera forza di propulsione.
Elena Gentile (S&D), per iscritto. ‒ Ho votato a favore della risoluzione del Parlamento europeo sulla cooperazione territoriale europea – migliori pratiche e misure innovative, perché sono fortemente convinta del valore aggiunto europeo dello strumento della cooperazione territoriale e di programmi specifici come il programma Interreg, che fin dal 1990 supporta lo sviluppo dei territori. È infatti fondamentale dotarsi di un quadro efficace per la cooperazione transfrontaliera dato l'alto numero di cittadini che vivono in regioni transfrontaliere con simili difficoltà economiche, finanziarie e sociali.
La cooperazione territoriale rappresenta la risposta a sfide tradizionali come la ricerca, l'innovazione, l'adattamento al cambiamento climatico e la promozione della mobilità e dei trasporti sostenibili, ma anche a nuove sfide come la gestione dei flussi migratori e la scarda mobilità dei giovani.
Condivido dunque le preoccupazioni del Parlamento rispetto all'assenza di risorse sufficienti nel bilancio 2014-20 in favore della cooperazione territoriale, così come la necessità di aumentarne i fondi se vogliamo considerare le regioni transfrontaliere come laboratori dell’integrazione europea. Ritengo importantissimo infine il collegamento tra il programma Interreg e le strategie macro regionali e ritengo che esso possa diventare il braccio finanziario per lo sviluppo della Macroregione Adriatico-Ionica.
Arne Gericke (ECR), schriftlich. ‒ Ich habe heute für den „Bericht über die Europäische territoriale Zusammenarbeit – bewährte Verfahren und innovative Maßnahmen“ gestimmt. Die Europäische territoriale Zusammenarbeit ist ein wichtiger Teil der Kohäsions- und Strukturpolitik der Europäischen Union und fördert die grenzübergreifende Zusammenarbeit der Regionen in Europa. Ihr Ziel ist die Stärkung einer harmonischen, ausgewogenen und nachhaltigen Entwicklung sowie des Zusammenhalts und der Wettbewerbsfähigkeit Europas. Gerade ein Binnenland wie Deutschland profitiert davon in seinen Grenzregionen – und das soll auch so bleiben.
Jens Gieseke (PPE), schriftlich. ‒ Die Europäische territoriale Zusammenarbeit (ETZ) ist als eine Schlüsselkomponente der Europa-2020-Strategie weiter zu fördern. Die ETZ liefert in diesem Hinblick einen wichtigen Beitrag zur Verbesserung des wirtschaftlichen, sozialen und territorialen Potenzials der Regionen. Dies wird besonders im Bereich des Wissens- und Innovationstransfers und der transregionalen Verkehrsanbindung sichtbar.
Neena Gill (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report because it calls on the Commission and Member States to work towards preserving European Territorial Cooperation (ETC) as an important and positive instrument for the European integration process, by allocating ETC a more distinct role within cohesion policy post 2020 and increasing its budget for the next programming period.
Bruno Gollnisch (NI), par écrit. ‒ A quoi sert la coopération territoriale européenne sinon à rendre encore plus floues les frontières des États et à servir, comme le dit le rapporteur, de «laboratoires de l’intégration européenne»?
C'est là une formule piquante à l’heure où l’euro et les politiques européennes favorisent la divergence des économies et accroissent les disparités sociales et territoriales. Plus piquant encore, cet enthousiasme affiché sur l’efficacité des coopérations transfrontalières et leur valeur ajoutée, qui côtoie l’aveu d’absence de données et de preuves fiables.
Bref, ce rapport est avant tout un acte de foi qui réclame que l’on investisse encore plus dans des projets qui ne marchent pas bien, sont inutiles voire nuisibles et créent des effets d’aubaine.
J’ai voté contre.
Tania González Peñas (GUE/NGL), por escrito. ‒ He votado a favor en este informe porque pienso que es crucial disminuir las disparidades entre las regiones fronterizas y fomentar la paz, la estabilidad y la integración regional en estas zonas. Además, este dossier apoya la adaptación social y la movilidad de infraestructuras, con el objetivo de crear un cambio demográfico y fomentar los flujos migratorios. Apoya también la creación de empleos para personas mayores, mujeres y migrantes con el fin de contribuir a una mayor integración social.
Beata Gosiewska (ECR), na piśmie. ‒ Głosowałam za przyjęciem sprawozdania w sprawie Europejskiej współpracy terytorialnej – najlepsze praktyki i działania innowacyjne.
Dla osiągnięcia lepszych rezultatów i bardziej wydajnego wykorzystania inwestycji europejska współpraca terytorialna (Interreg) w programie na lata 2014–2020 przyjęła nowy kształt. Było to możliwe dzięki skupieniu się na obszarach tematycznych i ukierunkowaniu na wyniki.
Aktualnie bardzo ważne jest podnoszenie świadomości społecznej na temat europejskiej współpracy regionalnej i jej większe wyeksponowanie, bowiem większość mieszkańców regionów przygranicznych UE nie jest świadoma prowadzonej w ich regionach współpracy transgranicznej finansowanej ze środków Unii Europejskiej.
Dlatego w mojej ocenie bardzo ważnym jest zarówno skuteczne nagłaśnianie wyników związanych z ukończonymi projektami, jak i lepsza koordynacja działań pomiędzy Komisją, organami zarządzającymi i wszystkimi zainteresowanymi stronami w trakcie realizacji programów transgranicznych. Pozwoli to zapewnić krytyczną analizę projektów pod kątem ich osiągnięć w poszczególnych obszarach tematycznych i ułatwi dalszą realizację programów po roku 2020 przy jednoczesnym zagwarantowaniu wysokiej jakości i przejrzystości projektów.
Theresa Griffin (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report because it calls on the Commission and Member States to work towards preserving ETC as an important and positive instrument for the European integration process, through allocating ETC a more distinct role within Cohesion policy post-2020 and increasing its budget for the next programming period.
Françoise Grossetête (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport, qui fait le point sur les progrès obtenus grâce à la coopération territoriale européenne (le programme Interreg), très utile notamment dans les régions frontalières.
Ce programme rassemble une série de projets à forte valeur ajoutée, de dimension transfrontalière, dans les domaines clés de la connectivité, de l’innovation de la culture ou de l’éducation.
Antanas Guoga (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of the report. European Territorial Cooperation represents high value for money and has future potential beyond regional policy. It makes a significant contribution to boosting integrated and sustainable territorial development, including implementation and dissemination of integrated approaches, development of governance approaches, harmonisation of planning instruments, administrative procedures and legal provisions across borders.
Τάκης Χατζηγεωργίου (GUE/NGL),γραπτώς. – Το 1990, το Interreg αναπτύχθηκε ως κοινοτική πρωτοβουλία με προϋπολογισμό μόλις 1 δισεκατομμυρίου ευρώ που κάλυπτε αποκλειστικά τη διασυνοριακή συνεργασία και με δικαιούχους 11 κράτη μέλη. Αργότερα, το Interreg επεκτάθηκε στη διακρατική και τη διαπεριφερειακή συνεργασία. Κατά την περίοδο 2014-2020, εγκρίθηκε ειδικός κανονισμός που καλύπτει τις δράσεις ΕΕΣ με τη στήριξη του ΕΤΠΑ. Επί του παρόντος, η ΕΕΣ έχει 28 κράτη μέλη δικαιούχους και έχει αναχθεί στον έναν από τους 2 στόχους της πολιτικής συνοχής. Υπερψηφίσαμε την έκθεση αφού διασφαλίζει:
- Καλύτερη περιφερειακή συνδεσιμότητα, κινητικότητα και προσβασιμότητα στις υπηρεσίες,
- Μεταφορά γνώσης και καινοτομίας, ενίσχυση της ανταγωνιστικότητας των ΜΜΕ,
- Αντιμετώπιση περιβαλλοντικών προκλήσεων, καλύτερη διαχείριση κινδύνων και αντίδραση σε καταστροφές,
- Ενίσχυση της ανάπτυξης της θεσμικής ικανότητας και του κοινωνικού κεφαλαίου, εδραίωση διασυνοριακών δομών δικτύων και δημιουργία νέων εταιρικών σχέσεων ενώ συμβάλλει επίσης στην εδαφική συνοχή.
Marian Harkin (ALDE), in writing. ‒ I support the report of my colleague Iskra Mihaylova. I believe that European Territorial Cooperation should facilitate better regional connectivity, mobility and accessibility to services throughout Member States. Already it has helped to support research, innovation and the knowledge economy, adapting to climate change, and promoting sustainable transport and mobility through transnational approaches, and has contributed to enhancing institutional capacity of cities in the EU. Equally, cross-border labour markets are becoming an increasingly important element of ETC. I support the initiative of the Luxembourg Presidency, which proposed a specific legal tool for border regions, as well as the Commission’s initiative of carrying out, by the end of 2016, an analysis of the barriers to cross-border cooperation that will look at solutions and examples of good practices. I agree that potential of the European Territorial Cooperation should be further developed, especially in areas such as the single market, the digital agenda, employment, mobility, energy, research, education, culture, health and the environment.
Brian Hayes (PPE), in writing. ‒ I voted in favour as I have no objections.
Hans-Olaf Henkel (ECR), schriftlich. ‒ In diesem Initiativbericht wird die Europäische territoriale Zusammenarbeit (ETZ) behandelt. Dieses Finanzierungsinstrument wurde 1990 als Gemeinschaftsinitiative im Rahmen der EU-Kohäsionspolitik entwickelt und umfasst für den aktuellen mehrjährigen Finanzrahmen (MFR) 10,1 Milliarden Euro. Ziel ist eine verbesserte grenzüberschreitende bzw. transnationale und interregionale Zusammenarbeit innerhalb der EU. Positiv am Bericht sind die Forderungen nach mehr Ergebnisorientierung, einer besseren Umsetzung von ETZ-Programmen, nach mehr Daten und Überwachungssystemen, nach mehr Koordination, Synergie und Komplementarität. Zudem wird eine bessere Verknüpfung mit Anstrengungen zur Bewältigung der aktuellen Migrationskrise eingefordert. Negativ ist allerdings die Aussage, dass „nur“ 10,1 Milliarden Euro für 2014-2020 zur Verfügung stehen, sowie die pauschale Forderung, nach 2020 mehr Geld für die ETZ aufzuwenden, ohne dass gleichzeitig auf Einsparungen in anderen Bereichen gedrängt wird. Aufgrund der Tatsache, dass neben sinnvollen Projekten im Rahmen der EU-Kohäsionspolitik etliche Aktivitäten weder zielorientiert noch nachhaltig oder effizient umgesetzt werden und zur Verfügung stehende Gelder in einzelnen Mitgliedstaaten mangels professioneller Verwaltungskapazitäten nicht abgerufen werden können, ist eine pauschale Forderung nach mehr Mitteln für ein Instrument der Kohäsionspolitik blanker Hohn für die europäischen Steuerzahler. Aus diesem Grund lehne ich diesen Bericht ab. Im Übrigen bin ich der Meinung, dass der Einheitseuro abgeschafft werden muss. Er führt zu Zwietracht und Zwist in Europa.
György Hölvényi (PPE), írásban. ‒ A plenáris szavazás során nem tudtam támogatni az európai területi együttműködésről szóló jelentést. A jelentés számos értékes gondolatot tartalmaz. Kétségtelen, hogy bár az európai területi együttműködés a 2007–2013-as programozási időszak óta a kohéziós politika önálló célkitűzése, mégse kap megfelelő figyelmet ez a terület. Azonban több paragrafusban megjelenik annak gondolata, hogy a kohéziós forrásokat, területfejlesztési eszközöket a migránsok társadalmi integrációjának támogatására, a menekültválság által támasztott kihívások kezelésére, a migráció és a menekültügy területét célzó intézkedésekre is kell fordítani.
Ez a javaslat figyelmen kívül hagyja a kohéziós politika eredeti célkitűzését, mely „a különböző régiók fejlettségi szintje közötti egyenlőtlenségek és a legkedvezőtlenebb helyzetű régiók lemaradásának csökkentése”, „a gazdasági, társadalmi és területi kohézió erősítése” (EUMSZ 174. cikk). Nem a sokat hangoztatott szolidaritásról van szó, hanem egy befektetési politikáról, melynek a nettó befizetők legalább annyira haszonélvezői, mint a támogatásban részesülő országok. Nem tudok egyetérteni azzal, hogy az európai régiók számára oly fontos kohéziós forrásokat migrációval kapcsolatos célokra fordítsák. Itt az ideje felismerni, hogy a kötelező befogadási kvóta, az áttelepítés nem működik. A migránsok, menekültek számára származási országukban kell segítséget nyújtani, és nem az uniós tagállamokba hozni a problémát.
Cătălin Sorin Ivan (S&D), in writing. ‒ This report calls on the Commission and Member States to work closely towards preserving European Territorial Cooperation as an important instrument for the European integration process. European Territorial Cohesion receives a more distinct role within Cohesion policy post 2020 and has its budget increased for the next programming period. I voted in favour of this report.
Ivan Jakovčić (ALDE), napisan. ‒ Glasao sam za Izvješće o europskoj teritorijalnoj suradnji – najbolje prakse i inovativne mjere, s obzirom da iz iskustva župana Istarske županije odlično poznajem vrijednost programa teritorijalne suradnje osobito za nove odnosno buduće zemlje članice. Svojevremeno je Istarska županija bila najuspješnija hrvatska regija u korištenju EU fondova osobito onih iz programa prekogranične suradnje sa Slovenijom i prekogranične suradnje na Jadranu.
Ti programi su nam osobito pomogli u pripremi institucija i građana za EU-u, ali i usvajanju naprednih razvojnih rješenja po uzoru na tadašnje razvijene regije u zemljama članicama. Programi teritorijalne suradnje izvrstan su instrument u prevladavanju razlika između članica osobito regija u prekograničnom području te postizanje socijalne i ekonomske kohezije.
Nažalost, teritorijalna suradnja ima tek 2,8 % od ukupnih sredstava kohezijske politike. Postoji trenutni problem slabije implementacije zbog kasnog usvajanja operativnih programa, ali i permanentni problem brojnih prepreka u implementaciji koje su često vezane s birokratskim pristupom rada u upravljačkim tijelima.
Jean-François Jalkh (ENF), par écrit. ‒ Ce rapport vise à renforcer la coopération territoriale dont l’objectif général est de réduire l’influence des frontières nationales au sein de l’Union européenne.
Cet objectif n'est ni légitime, ni opportun. Le rapport ouvre outre la porte à des dérives auxiliaires: il encourage ainsi l’utilisation de la coopération territoriale pour financer l’accueil des migrants clandestins, notamment grâce aux programmes Interreg.
Enfin, concernant le dumping social, ces programmes ont également vocation à faciliter la mobilité de la main-d’œuvre au sein de l’Union.
J'ai donc voté contre.
Petr Ježek (ALDE), in writing. ‒ I voted in favour of this report on ETC because it is important to further develop and support the large number of programmes that play a crucial role in achieving our cohesion policy goals. Such programmes will further improve our cross-border cooperation in many policy domains. Besides transportation, we will see a positive impact in healthcare, research and innovation, and even environment. As it has great potential to enhance the economic, social and territorial development across European regions and boost competitiveness of our small and medium enterprises (SMEs), it will positively affect our citizens and businesses, and I am pleased to support such a decision.
Marc Joulaud (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur du rapport de ma collègue Iskra Mihaylova au sujet de la coopération territoriale européenne.
Cet objectif de la politique régionale favorise la coopération entre différentes régions de l’Union en permettant de financer des projets qui dépassent les frontières nationales dans les domaines de l’emploi, des transports, de l’environnement ou encore du tourisme.
Du fait de sa position géographique, la France est très impliquée dans la coopération territoriale. La région des Pays de la Loire participe de son côté à deux programmes transnationaux («Europe du Nord-Ouest» et «Espace atlantique») et un interrégional (Interreg Europe).
Le rapport Mihaylova fait le point sur les progrès permis par la coopération territoriale et pointe plusieurs marges d’amélioration, notamment en matière de simplification. Il appelle à poursuivre et à amplifier cette coopération, c’est pourquoi je me réjouis de l’adoption de ce rapport.
Philippe Juvin (PPE), par écrit. ‒ J’ai voté en faveur de ce rapport qui fait le point sur la coopération territoriale européenne.
Mise en place il y a environ 25 ans, la coopération territoriale européenne demeure un instrument clé pour parvenir à une cohésion territoriale par le biais d'une série de programmes et de projets à forte valeur ajoutée européenne, avec des retombées plus importantes dans les 60 régions frontalières européennes.
Elle a permis des progrès considérables dans une série de secteurs clés – connectivité, innovation et connaissance, culture et éducation.
Eva Kaili (S&D), in writing. ‒ The rapporteur stresses the need for the management and implementation of European territorial cooperation (ETC) programmes and projects to become less bureaucratic. Irrespective of the separate regulation, the implementation of ETC programmes remains too complicated, and the report therefore urges the High Level Group of Independent Experts on Monitoring Simplification for Beneficiaries of ESI Funds to consider measures for significantly simplifying and reducing the administrative burden on beneficiaries.
As I am of this opinion I supported the report.
Jarosław Kalinowski (PPE), na piśmie. ‒ Współpraca terytorialna w obrębie Wspólnoty Europejskiej jest istotnym elementem polityki spójności. W jej ramach rozwijanych jest wiele programów mających na celu ułatwienie transportu poprzez budowanie transnarodowych sieci komunikacyjnych, co jest ważnym aspektem na terenach przygranicznych, gdzie wiele osób codziennie przekracza granice, aby dojechać do pracy. Ponadto ułatwia to transport towarów, tym samym redukując koszty dostawy, a także przyczynia się do rozwoju turystyki.
Państwa współpracujące na terenach przygranicznych mają większe możliwości radzenia sobie z wyzwaniami środowiskowymi. Wiele obszarów zagrożonych leży na terytorium kilku krajów członkowskich, tak więc współpraca w zakresie ich ochrony daje dużo większe możliwości niż działania podejmowane osobno przez każde państwo. To samo dotyczy mórz i kontrolowania zanieczyszczeń wód.
Współpraca terytorialna skutkuje także wzrostem innowacyjności i badań podejmowanych przez instytuty badawcze i przedsiębiorstwa pochodzące z różnych krajów, a także daje możliwość współpracy międzynarodowych uniwersytetów przygranicznych.
Ważne jest także zwiększenie atrakcyjności tych obszarów dla przedsiębiorstw handlowych. Wykorzystanie potencjału ludzkiego, regionalnego i transgranicznego daje możliwości rozwoju terenów przygranicznych, a także stwarza nowe miejsca pracy, zapobiegając wyludnieniu.
Barbara Kappel (ENF), schriftlich. ‒ Ein gut ausdifferenzierter Bericht, der die besten Beispiele für die territoriale Zusammenarbeit aufzeigt, um einen tatsächlichen Mehrwert für die europäischen Bürger zu schaffen. Die vorgeschlagenen Maßnahmen sind innovativ und dennoch realistisch umsetzbar. Aus diesen Gründen stimme ich für den vorliegenden Bericht.
Afzal Khan (S&D), in writing. ‒ I voted in favour of this report as it calls on the Commission and Member States to work towards preserving ETC as an important and positive instrument for the European integration process.
Bernd Kölmel (ECR), schriftlich. ‒ In diesem Initiativbericht wird die auch als Interreg bekannte Europäische territoriale Zusammenarbeit (ETZ) behandelt. Dieses Finanzierungsinstrument wurde 1990 als Gemeinschaftsinitiative im Rahmen der EU-Kohäsionspolitik entwickelt und umfasst für den aktuellen mehrjährigen Finanzrahmen (MFR) 10,1 Milliarden Euro. Ziel ist eine verbesserte grenzüberschreitende bzw. transnationale und interregionale Zusammenarbeit innerhalb der EU. Positiv am Bericht sind die Forderungen nach mehr Ergebnisorientierung, einer besseren Umsetzung von ETZ-Programmen, nach mehr Daten und Überwachungssystemen, nach mehr Koordination, Synergie und Komplementarität sowie einer Vereinfachung der Programme und einer Verringerung des dafür notwendigen Verwaltungsaufwands. Zudem wird eine bessere Verknüpfung mit Anstrengungen zur Bewältigung der aktuellen Migrationskrise eingefordert. Negativ ist allerdings die Aussage, dass „nur“ 10,1 Milliarden Euro für 2014-2020 zur Verfügung stehen, sowie die pauschale Forderung, nach 2020 mehr Geld für die ETZ aufzuwenden, ohne dass gleichzeitig auf Einsparungen