Presidente. – Il progetto definitivo di ordine del giorno, fissato dalla Conferenza dei presidenti, ai sensi dell'articolo 157 del regolamento, nella riunione di giovedì 12 settembre 2019 è stato distribuito. Sono state presentate le seguenti proposte di modifica:
Lunedì
Non sono proposte modifiche.
Martedì
A seguito delle consultazioni con i gruppi politici, desidero presentare in Aula la seguente proposta di modifica del progetto definitivo di ordine del giorno che riguarda la giornata di martedì. Il titolo della dichiarazione della Commissione sulla posizione comune dell'Unione europea in vista del vertice delle Nazioni Unite sull'azione per il clima di New York dovrebbe essere cambiato in "Preparazione del vertice sull'azione per il clima e del vertice sugli obiettivi di sviluppo sostenibile di New York". Vi sono obiezioni?
(Il Parlamento accoglie la proposta)
Martedì (seguito)
I gruppi Verts/ALE e GUE/NGL hanno chiesto che la discussione sulle dichiarazioni del Consiglio e della Commissione sugli incendi boschivi in Amazzonia si concluda con una risoluzione, che sarà votata nella nella mattinata di giovedì. Do la parola all'on. Lamberts, presidente, per presentare la richiesta a nome del gruppo Verts/ALE.
Philippe Lamberts, au nom du groupe Verts/ALE. – Monsieur le Président, chers collègues, ce qui se passe dans l'Amazonie - parce qu'on n'en parle pas au passé, on en parle au présent -, les incendies de forêt massifs dans la région de l'Amazonie sont un problème de taille mondiale.
Il est tout à fait légitime pour ce Parlement non seulement d'en débattre, mais de s'exprimer. Ce que je crains fort, c'est que, si nous nous bornons simplement à débattre de la situation sans en tirer les conclusions, je vois déjà un certain nombre de personnes en Amazonie, les tenants de l'agro-business, se frotter les mains en disant: finalement, l'Europe est un tigre qui ne mord pas.
Je pense donc qu'il est important que nous concluions le débat par une résolution qui dit clairement, de notre point de vue, les conséquences que l'Union européenne devrait tirer si le Brésil reste dans la position qui est la sienne aujourd'hui, qui consiste à dire essentiellement qu'il n'y a pas de problème et que, finalement, les Européens n'ont qu'à se mêler de ce qui les regarde. Je pense que le cas de l'Amazonie nous regarde tous. Ce n'est pas seulement un patrimoine mondial, c'est un élément essentiel de la lutte contre le changement climatique et nous ne pouvons pas laisser la situation actuelle sans conséquences.
Je vous demande donc de voter la mise aux voix jeudi d'une résolution de ce Parlement qui dise clairement quelles sont les conséquences que nous comptons tirer de la situation.
(Il Parlamento respinge la richiesta di modifica)
Corina Crețu (S&D). – I’m sorry, my card doesn’t work, but I voted for. The card doesn’t work.
Martedì (seguito)
Presidente. – I gruppi ID e GUE/NGL hanno chiesto che la discussione e la votazione sulla relazione dell'on. Gualtieri sulla nomina del presidente della Banca centrale europea (Christine Lagarde) siano rinviate alla tornata di ottobre I per consentire alla sig.ra Lagarde di essere presente. Do la parola all'on. Bay per presentare la richiesta del gruppo ID.
Nicolas Bay, au nom du groupe ID. – Monsieur le Président, chers collègues, le débat et le vote prévus en présence de Mme Lagarde demain étaient programmés de longue date. C’est un débat évidemment essentiel et Mme Lagarde nous a fait savoir très tardivement qu’elle était retenue par des obligations à Washington et qu’elle ne serait pas présente. Certains prétendent aujourd’hui que son audition devant la commission des affaires économiques serait suffisante, ce n’est évidemment pas le cas.
Trop souvent, notre Parlement est considéré comme une simple chambre d’enregistrement de décisions qui sont prises ailleurs et dans l’opacité. Aujourd’hui on y ajoute l’humiliation. C’est une marque de mépris à l’égard de la seule institution européenne qui a la légitimité du suffrage universel.
La gouvernance de la BCE est évidemment fondamentale. La politique de l’euro fort, la politique de lutte contre l’inflation ne sont pas sans conséquences, nous le savons tous, sur l’emploi et sur les exportations européennes. Cela nécessite un vrai débat avec la principale intéressée.
Notre groupe demande donc à Mme Lagarde d’avoir la courtoisie de venir débattre devant le Parlement européen et demande évidemment, en conséquence, le report du vote et du débat prévus demain.
Philippe Lamberts (Verts/ALE). – Monsieur le président, je ne partage absolument pas l'argumentation de Monsieur Bay et comme il mentionne la procédure, je voudrais rappeler que la procédure prévoit une audition de la candidate par la commission compétente du Parlement européen, à savoir la commission des affaires économiques et monétaires.
Cette audition a eu lieu, Mme Lagarde s'est rendue disponible pour débattre de longues heures avec nous et donc, de ce point de vue -là, les règles ont été respectées et ces règles prévoient qu'ensuite, en effet, le vote soit soumis à la plénière. Néanmoins, je voudrais attirer l'attention de la plénière sur le fait que Mme Lagarde a manifesté qu'en principe, elle était d'accord de venir en plénière, ce que les règles ne l'obligent pas à faire.
Je pense que, si ce Parlement veut profiter de cette occasion pour améliorer son profil en menant un débat avec la candidate à la présidence de la Banque centrale, c'est une bonne chose. Mme Lagarde, je pense, avait de bonnes raisons d'être à Washington: l'assemblée générale du Fonds monétaire international se prépare et donc je ne prends pas son absence ici comme un signe de manque de respect. Néanmoins, c'est vrai que si, demain, le débat ne peut pas se tenir en sa présence, ça n'a pas beaucoup de sens de le tenir.
Donc, pour des raisons assez opposées à celles de monsieur Bay, je pense que ça pourrait avoir du sens – mais uniquement, uniquement si c'est de manière consensuelle dans ce Parlement – de tenir le débat et le vote en octobre I, mais si on veut présenter ça comme un acte de défiance à l'égard de Mme Lagarde, alors évidemment, nous ne nous rangeons pas à ces arguments-là.
Mais je pense que la raison pour laquelle il faut le faire, c'est une raison de stature de ce Parlement. Mener le débat sur la nomination de Mme Lagarde sans Mme Lagarde, ça n'a pas de sens et si on veut mener un débat sur la politique monétaire de l'Union, alors c'est autre chose, cette demande n'a pas été formule à la conférence des présidents et ce n'est pas celle qui nous est faite aujourd'hui non plus.
Manon Aubry, au nom du groupe GUE/NGL. – Monsieur le Président, je voulais préciser la demande de notre groupe de la Gauche unitaire européenne.
L’article 130 du règlement intérieur précise que la nomination de la présidente de la Banque centrale doit intervenir dans les deux mois suivant son audition. Or, son audition a eu lieu le 4 septembre. Nous avons donc jusqu’au 4 novembre pour nommer la présidente de la Banque centrale européenne et nous avons deux sessions au mois d’octobre. Cela pourrait nous permettre d’avoir un débat serein et sain avec Mme Lagarde, comme on peut l’attendre d’une politique monétaire et d’une nouvelle présidente de la Banque centrale européenne.
Je me souviens de son audition où elle a indiqué que la Banque centrale européenne avait écouté pendant bien trop longtemps le marché et qu’il était temps d’écouter les peuples européens. Eh bien, nous sommes ici, chers amis, les représentants des peuples européens, et il est temps que la Banque centrale européenne nous écoute, parce qu’elle a bien trop longtemps écouté le marché.
Je ne peux pas imaginer, chers amis, chers collègues, que vous refusiez un débat en présence de Mme Lagarde sur sa nomination à une instance dont on sait qu’elle est primordiale pour l’avenir de notre planète et aussi pour l’avenir des peuples. Je vous encourage à demander ce débat avec elle et en sa présence.
(Il Parlamento respinge la richiesta di modifica)
Antonio Tajani (PPE). – Sul tabellone principale i voti contrari appaiono come astensioni, quindi c'è un errore, mentre sul display è giusto. Per questo motivo i deputati non capiscono cosa è successo.
Udo Bullmann (S&D). – Herr Präsident! Im Saal herrscht der Eindruck vor, es habe auch eine elektronische Konfusion bei dem Antrag der Grünen über die Frage gegeben, ob wir das Amazonas-Thema mit einer Entschließung belegen – auch hier war nicht plausibel, ob das elektronisch angezeigte Ergebnis in der Tat der Abstimmung im Saal entsprochen hat. Ich würde Sie bitten, diese Abstimmung ebenfalls wiederholen zu lassen, weil es nicht sein kann, dass wir hier an technischen Problemen scheitern.
Presidente. – Per quanto riguarda la discussione sulla relazione Gualtieri, i risultati sono: a favore 175, contrari 274, astenuti 10. L'ordine del giorno resta invariato.
Per quanto riguarda la richiesta riguardante la discussione sull'Amazzonia, i risultati sono: a favore 192, contrari 228, astenuti 13.
Martedì (seguito)
Il gruppo Renew ha chiesto che la risoluzione che conclude la discussione sulle
dichiarazioni del Consiglio e della Commissione relative alle interferenze elettorali straniere e alla disinformazione nei processi democratici nazionali ed europei sia rinviata alla prima tornata di ottobre. Do la parola a chi vuole sostenere questa richiesta.
Sophia in 't Veld, on behalf of the Renew Group. – Mr President, it’s pretty straightforward. I think it is fine for us to have the debate, but clearly the draft resolution needs a bit more time. It is a very controversial and sensitive topic and we need to get it right. So let’s have the debate this time and work on the resolution for the next session.
Kati Piri (S&D). – Mr President, this initiative came from the S&D Group and I am very happy to see that there is a big majority in this House wanting to put this on the agenda. If it is necessary, in order to make sure we are united by setting up a special committee next week, we can live with the postponement. But I hope the outcome is not that we suddenly drop the case. So with that, we are in favour of having the debate tomorrow and the vote next week.
(Il Parlamento accoglie la richiesta di modifica)
Mercoledì
Il gruppo PPE ha chiesto che la discussione sulle dichiarazioni del Consiglio e della Commissione sull'importanza della memoria europea per il futuro dell'Europa si concluda con una risoluzione, che sarà votata giovedì. Do la parola all'on. Gahler per presentare la richiesta del gruppo PPE.
Michael Gahler, im Namen der PPE-Fraktion. – Herr Präsident! Einer guten Tradition folgend, besonderer Jubiläen in diesem Hause in einer Form mit Debatte und Entschließung zu gedenken, schlagen wir aus Anlass des achtzigsten Jahrestages des Molotow-Ribbentrop-Paktes – manche nennen ihn auch Hitler-Stalin-Pakt – vor, eine Debatte mit Entschließung durchzuführen, so wie wir es auch mit einem breiten Konsens vor zehn Jahren getan haben. Ich denke, die Konsequenzen dieses Paktes waren für den ganzen Kontinent fatal und sind ja teilweise bis heute noch spürbar. Ich denke, das ist dem traurigen Anlass angemessen, dass wir zu diesem Punkt eine Debatte mit Entschließung führen.
Miriam Dalli, on behalf of the S&D Group. – Mr President, first of all I would like to emphasise that we retain the title that is in the plenary agenda: ‘The importance of European remembrance for the future of Europe’.
Secondly, we kindly ask you to consider that we present and vote on a resolution in the October I plenary session. It is a very sensitive and important topic, and we would like to have enough time to work properly on the resolution.
(Il Parlamento accoglie la richiesta)
Mercoledì
Presidente. – Ai sensi dell'articolo 314 del trattato sul funzionamento dell'Unione europea, propongo che, a seguito della presentazione da parte del Consiglio, ci sia una discussione completa. Dico questo perché il gruppo Verts/ALE aveva chiesto che la presentazione da parte del Consiglio sul bilancio generale per l'esercizio 2020 fosse sostituita dalle dichiarazioni del Consiglio e della Commissione sul bilancio 2020. Io propongo che ci sia non solo la presentazione da parte del Consiglio, ma anche una discussione completa, che veda impegnata la plenaria.