Guido Reil (ID). – Herr Präsident, liebe Kolleginnen und Kollegen! Ich habe gegen diese Entschließung gestimmt. Natürlich sind wir für die Rechte der Frauen, und wir müssen sie unterstützen. Aber hier wird so ein Schwachsinn gefordert wie die frühkindliche Sexualerziehung, um deren Gender-Identitätsfindung zu unterstützen. Also für mich ist das krankes Zeug. Wir haben ganz andere Probleme. In Deutschland zum Beispiel wird jeden dritten Tag eine Frau ermordet. Die Zahl der Morde ist seit 2013 stark gestiegen, die Fälle der häuslichen Gewalt in Deutschland sind seit 2014 stark gestiegen. 2014 waren es 103 000 Fälle, 2018 waren es 114 000 Fälle. Die Täter sind ganz überwiegend Migranten. Und nicht nur die Täter sind Migranten, auch ganz überwiegend die Opfer. Ich habe Zahlen aus meiner Heimatstadt Essen. Die Frauen, die in Frauenhäusern Schutz suchen, sind zu 70 % Migrantinnen. Das sind echte Probleme, und auf echte Probleme müssen wir hinweisen.
Virginie Joron (ID). – Monsieur le Président, chers collègues, ce Parlement soi-disant européen veut présenter une résolution à la 64e conférence aux Nations unies sur le statut des femmes.
Dans ce texte, on ne trouve rien sur ces milliers de jeunes femmes assassinées. Rien sur Laura, cette jeune fille de 16 ans égorgée au bout d’une esplanade herbeuse à Sallaumines. Sallaumines, ce n’est pas en Irak, ce n’est pas en Afghanistan, ce n’est pas en Colombie, ce n’est pas dans le Bronx. Sallaumines, c’est en Europe; Sallaumines, c’est ici, en France. Mille agressions chaque jour en France, 140 violences sexuelles chaque jour en France. Ces drames, ces horreurs, ces meurtriers, on les connaît.
Vous nous demandez, je cite, d’institutionnaliser l’analyse intersectionnelle au sein de tous les organes des Nations unies et dans l’Union européenne. Qu’est-ce que cela veut dire? Vous voulez étiqueter les gens – un quart Européen, trois quarts célibataire, un quart femme, trois quarts privilégié? Vous causez des victimes imaginaires éternelles avec vos bouts de papier. Vous tolérez que des agresseurs agressent encore. Les Françaises s’en rappelleront.
J’ai donc soutenu la résolution de nos alliés ECR et voté contre ce texte.
Eugen Tomac (PPE). – Domnule președinte, am votat pentru această rezoluție.
Consider că este esențial să acordăm în continuare atenție sporită politicilor prin care combatem discriminarea de orice fel în ceea ce privește genul. Deci femeile trebuie protejate. În continuare avem în Europa femei care provin din zone sărace, care se confruntă cu această discriminare zilnică, nu au reprezentare, nu au remunerare corespunzătoare, nu au un sistem echitabil în ceea ce privește pensionarea, deci există în continuare această problemă, inclusiv în Europa și trebuie să-i acordăm atenția cuvenită.
Deci sunt pentru o reprezentare cât mai mare pentru femei, sunt pentru a combate violența de orice fel și cred că doar prin politici implementate la un standard ridicat pe care-l avem putem combate acest fenomen.
Leila Chaibi (GUE/NGL). – Monsieur le Président, chers collègues, c’est la deuxième fois en trois semaines qu’on vote une résolution sur l’égalité entre les hommes et les femmes. Lors de la dernière session plénière, c’était un texte sur les inégalités de revenus entre les hommes et les femmes et aujourd’hui, donc, c’est un texte sur les priorités de l’Union européenne pour la 64e session de la commission des Nations unies sur le statut des femmes.
Encore une fois, dans ce texte qui a été voté à une large majorité par notre assemblée, je lis que la solution pour réduire les inégalités entre les hommes et les femmes, c’est d’augmenter les pensions de retraite des femmes et, par ailleurs, de développer les pensions de réversion – ces allocations qui sont versées à une veuve ou à un veuf quand le conjoint décède. J’ai vu que les collègues français du groupe Renew, de la République en marche, ont voté pour ce texte comme nous, et je veux dénoncer ici le double discours: le double discours parce que ces collègues votent pour cette résolution et, en même temps, en France, le gouvernement qu’ils représentent, celui d’Emmanuel Macron, est en train de restreindre l’accès aux pensions de réversion avec sa réforme des retraites. Stop à ce double discours, si l’on veut vraiment faire de l’égalité hommes-femmes une réalité.
Juozas Olekas (S&D). – Gerbiamas pirmininke. Lyčių lygybė yra ne tik visuomenės pagrindas, bet ir būtina vystymosi, skatinimo ir skurdo mažinimo priemonė. Rekomenduojame Tarybai dirbti aktyviau siekiant vyrų ir moterų lygybės ir kovoti su įvairia diskriminacija, dėti daugiau pastangų, siekiant panaikinti vyrų ir moterų darbo užmokesčio ir pensijų skirtumus, bei užtikrinti vienodą darbo užmokestį. Taip pat skatinti mergaičių ir moterų švietimą, ypač tose srityse, kuriose joms akivaizdžiai nepakankamai atstovaujama. Griežtai smerkiu visų formų smurtą prieš moteris ir mergaites, įskaitant prekybą žmonėmis, seksualinį išnaudojimą, priverstines santuokas, vaikų santuokas, moterų lyties organų žalojimą ir seksualinio smurto naudojimą kaip karo ginklą.