J'ai voté en faveur de cette résolution du Parlement européen initiée par mon collègue Pierre Karleskind, qui déclare l’Union européenne comme « zone de liberté pour les personnes LGBTIQ ».
Avec mon groupe politique, nous menons un vrai combat contre les discriminations partout en Europe. Nous construisons une Europe qui respecte les libertés. Chacun doit être libre d’être soi-même sans avoir peur d’être agressé, discriminé, pourchassé à cause de son orientation sexuelle. La peur doit changer de camp ! Et au Parlement, les artisans de la haine ne peuvent pas se déguiser derrière des amendements « de bonne conscience » pour cacher leur vrai visage. Je ne suis pas dupe et j'ai donc voté contre tous les amendements déposés par le Groupe ID (qui rassemble les élus d'extrême droite au Parlement européen).
J’ai voté pour la mise en place d’un mécanisme européen d’ajustement des émissions carbone aux frontières de l’Union européenne. C’était une promesse de campagne du programme de la Délégation Renaissance (Renew Europe). Ce dispositif permettra de ne pas créer de déséquilibres entre les entreprises européennes qui doivent s’engager pour l’environnement et les entreprises étrangères. C’est une question de justice fiscale et environnementale. Les entreprises européennes sont soumises à des obligations environnementales dans le cadre de leur production industrielle, ce texte a pour objectif à la fois de mettre fin au déséquilibre entre les entreprises européennes et les entreprises hors-UE mais aussi de responsabiliser les entreprises étrangères.
Tout en soutenant la démarche globale, nous appelons cependant à ce que les spécificités des Régions Ultrapériphériques soient prises en compte dans le cadre du mécanisme carbone.